Deux hadjis algériens portés disparus identifiés parmi les décédés

Deux hadjis algériens, portés disparus jusque-là, ont été identifiés parmi les décédés, indique le ministère des Affaires étrangères dans un communiqué. «Il s'agit de Hadda Tabbi, née le 7 mars 1956 à Annaba et de Bouchenoua Aomar, né le 4 juin 1954 à Béjaïa», affirme le communiqué, affirme le communiqué. «Les équipes algériennes sur place ont identifié dix-huit blessés dont l'un était précédemment porté disparu, Maâmeri Abdelkader, né le 5 mai 1945 à Médéa, son état est satisfaisant. La liste des dix-huit blessés est disponible au niveau de la cellule de crise». «Enfin, le ministère des Affaires étrangères enregistre, à ce jour, cinquante et un hadjis n'ayant pas donné signe de vie», précise le communiqué. «La cellule de crise du ministère des Affaires étrangères, en coordination avec celle du ministère des Affaires religieuses et des Waqfs, poursuit le suivi de la situation des hadjis algériens aux Lieux saints, à la suite de la tragédie de Mina, en liaison permanente avec le consulat général d'Algérie à Djeddah et les équipes de la mission algérienne», assure le ministère des Affaires étrangères. «Mobilisées depuis le 24 septembre, jour de la catastrophe de Mina, les équipes algériennes sur place continuent à travailler d'arrache-pied pour localiser et identifier l'ensemble des victimes algériennes», conclut le communiqué.
R. N.

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