Le renégat Souaïdia refait surface de son hôpital psychiatrique en France

Eh oui ! les renégats, les traîtres, les fils de traîtres, les harkis et les collabos sont tous réunis en France qui les abrite et les soigne dans son «vaste hôpital psychiatrique» des demandeurs d’asile. Habib Souaïdia fait partie de cette vraie racaille adoptée par la France. Il a eu la chance, que nos enfants et les enfants des patriotes n’ont pas eue, de s’engager dans l’Armée nationale populaire en tant qu’officier des forces spéciales au grade de lieutenant. Soudain, comme sa vision médiocre ressemblait aux autres visions des nostalgiques de leur mère la France, il a décidé de rejoindre le bercail familial à Paris. Mais il faut qu’il montre son amour aux nostalgiques de l’Algérie française et aux déstabilisateurs de l’Algérie indépendante. Souaïdia, comme ses prédécesseurs, excelle dans les fausses déclarations : «J’ai déserté les rangs de l’armée algérienne parce que j’ai constaté que cette armée assassine le peuple algérien et propage le terrorisme.» En 24 heures, il a innocenté les terroristes islamistes sanguinaires, allant jusqu'à déclarer que le sinistre inculte Antar Zouabri était un agent du DRS, que le défunt Français Gourdel a été assassiné par le DRS, et que Gouri, Droudkel, Belmokhtar, et leurs suivants, sont des agents du DRS. Il a omis de dire que la mère de Zouabri était cuisinière dans la caserne «Antar» et sa sœur femme de chambre de l’hôtel militaire. Après un oubli de quelques années, voilà ce petit lieutenant qui réapparaît, sûrement manipulé par les islamistes et le Makhzen contre quelques billets d’euros ou quelques carnets de chèques restaurant. Les autorités algériennes dans de pareils cas devraient saisir la justice et demander l’extradition de cet auteur de la dénonciation calomnieuse qui porte atteinte à la dignité des combattants du terrorisme. Nous ne parlons pas de ceux qui se prétendent de la «famille révolutionnaire», ils sont occupés ailleurs, pas par l’amour de la patrie, sinon, c’était à eux de répondre à ce renégat.
C. H.
 

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