Attention au glissement !

R. Mahmoudi – Après les émeutes réprimées d’Oued El-Ma, la semaine dernière, un nouveau cycle de violence urbaine commence à prendre forme depuis quelques jours un peu partout dans le pays et agit comme une vague de fond. De Béni-Amrane, dans la wilaya de Boumerdès, où règne une tension permanente depuis plusieurs jours, à Tizi Ouzou, où les étudiants manifestent périodiquement contre l’insécurité dans leurs résidences en affrontant les forces du maintien de l’ordre, à Bologhine, où des échauffourées entre supporters déchaînés et policiers ont failli, cette semaine, déborder dans la rue en émeute, les foyers de tension se multiplient. Cette vague de contestation s’amplifie de semaine en semaine, pendant que la classe politique, pouvoir et opposition, s’englue dans un simulacre de débat autour de la révision constitutionnelle. Une constante dans tous ces mouvements de protestation : l’administration laisse s’accumuler les problèmes jusqu’à l’explosion, obligeant ainsi les forces de sécurité à «tout faire» – c’est-à-dire à réprimer encore et toujours – pour éviter une contagion qui risque de prendre de l’ampleur et d’être «exploitée» par des aventuriers politiques. Pour pallier cette absence d’autorité politique – ou de «police politique», pour certains –, on charge les forces antiémeutes de redoubler de répression pour mater les manifestations. On est, là, loin du dogme cher au directeur général de la Sûreté nationale sur «la gestion démocratique des foules». En effet, nos dirigeants ne savent pas que, de cette façon, ils sont en train de se discréditer aux yeux de la communauté nationale et de conforter dans leur démarche ceux qui veulent accélérer l’avènement d’un «printemps arabe» en Algérie, en creusant le fossé, qui est déjà assez profond, entre l’Etat et la population et en maintenant vive la braise de la discorde : les révisionnistes de tous bords, les salafistes, les revanchards. Et, surtout, les zélateurs du «qui tue qui» qui annoncent leur retour d’exil, l’un après l’autre.
R. M.

Comment (35)

    Anonyme
    6 février 2016 - 9 h 32 min

    le contrat algerie-bouteflika
    le contrat algerie-bouteflika considéré à tord comme un contrat décideurs -bouteflika ne peut plus être renouvelé ;
    le pouvoir absolu exigé par ce président ne peut être assumé par un homme impotent ,et surtout isolé dyu pays et de ses habitants ;
    la contrepartie de ses « sacrifices » en « daignant accepter la charge » est catastrophique :
    corruption démocratisée pour justifier les détournements colossaux
    régionalisme frisant le racisme pour « neutraliser » toutes les institutions et l’État qui a laissé place au clan au détriment de l’intégrité et de l’engagement ;l’allégeance n’a plus de limite:tout est possible ;
    la recherche effrénée de soutiens extérieurs a sacrifié la souveraineté du pays qui rappelle la régence turque précédent 1830
    les députés et sénateurs qui adopteront demain la constitution du zaim ne mesurent pas le danger qu’ils créent en répétant le crime politique de 2008.
    ils ne pourront pas dire qu’ils ne savaient pas et qu’ils étaient contraints par le pouvoir qui les a désigné.

    RAMO
    5 février 2016 - 23 h 47 min

    L’Algérie il lui faut un
    L’Algérie il lui faut un super Méga printemps Algérien, Désolé de vous le dire car c’est une pure vérité et le constat est la pour le prouver, si le peuple ne participe pas, ne décident pas et que les autres le font a sa place sa serre a quoi de vivre,surtout avec ces nouveaux colons d’un genre nouveau qui bradent le pays a tout va,ni éducation;ni justice ni santé rien wallou,la glissade elle est bien la et c’est tant mieux si elle se réalise.

    fatigué
    5 février 2016 - 21 h 14 min

    il y a une constance chez
    il y a une constance chez nous:
    les séismes
    les émeutes
    même la révolution de 1954
    tout cela se passe en automne
    séisme d’orléanville ( el asnam) sptembre 1954
    révolution algérienne ( 1er novembre 1954)
    séisme d’El asnam octobre 1980
    émeutes nationales ( octobre 1988)
    et ainsi de suite
    actuellement nous sommes en février
    donc il faut s’attendre à un tsunami social en septembre ou octobre 2016

    Anonyme
    5 février 2016 - 20 h 41 min

    Qui vous dit que pour le
    Qui vous dit que pour le système, le glissement ne constitue pas son plan B.

    Anonyme
    5 février 2016 - 20 h 05 min

    Vingt deux ans en arrière, on
    Vingt deux ans en arrière, on devait comprendre ce qui pouvait arriver à ce pays.
    Mercredi 25 janvier 1994. Le jour se lève à peine sur Alger lorsque le général Liamine Zeroual, ministre de la Défense, quitte sa résidence à bord d’une voiture blindée, escortée par une garde rapprochée.
    Assis à côté de lui, Chérif Belkacem, ancien ministre sous Houari Boumediene dans les années 1960-1970. Les deux hommes sont chargés d’une mission de haute importance.
    Après quelques minutes de route, le petit cortège arrive devant un immeuble plutôt chic, entouré de hautes végétations : le domicile d’Abdelaziz Bouteflika, ex-ministre des affaires Etrangères. La mission de Zeroual et Belkacem? Tenter de convaincre Bouteflika d’accepter le poste de chef d’Etat.
    Si Bouteflika reçoit les deux hôtes avec courtoisie, l’entretien s’avère très vite une pure formalité. Il durera moins d’un quart heure. Tout juste une quinzaine de minutes, pas plus. C’est que Bouteflika a déjà pris sa décision, et il ne reviendra pas dessus.
    «Je ne fais plus de politique. Je ne veux plus faire de politique. Je jure de ne plus faire de politique»

    mohamed el Maadi
    5 février 2016 - 16 h 01 min

    Un glissement dangereux qui
    Un glissement dangereux qui peut déboucher et je ne l’espère pas vers une radicalisation et peut mener le pays au chaos.
    Cela fait des années que des observateurs avertie tire la sonnette d’alarme en vain.

    Anonyme
    5 février 2016 - 15 h 15 min

    Par selecto (non vérifié) |
    Par selecto (non vérifié) | 5. février 2016 – 14:28

    @ Par amal (non vérifié) | 5. février 2016 – 11:58

    Il est certain que les harrkis sont mécontents à cause de l’article 51, alors ils ne vont pas lâcher un filon propice à servir de mèche.
    Appliquons l’rticle 51 et restons vigilants.
    Si un algérien résidant à l’étranger veut se présenter à la magistrature suprême, il n’a qu’à le savoir dix ans auparavant et s’y préparer en algérie.
    ___________________________________

    Non RAIS les harkis ne sont pas concernés par l’article 51 car ils n’ont que la nationalité française depuis 1962, ils rentrent et sortent en Algérie depuis les années 2000 comme ils veulent depuis que vous avez retiré leurs fiches des ports et aéroport, décision prise depuis la dernière visite de Bouteflika en France.
    _____________________

    Fils de Lévy a détruit l’Algérie

    Anonyme
    5 février 2016 - 14 h 59 min

    Le premier projet de
    Le premier projet de Bouteflika en Algérie.
    Dés son installation, il a envoyé tous les artistes Algériens ( Chanteurs) à la Mecque.
    Même Chaba Azahwanya a fait le Hadj.

    Il a montré sa couleur dés son arrivée.

    Mais d’autres part, ils invitaient les putes libanaises et Égytiennes pour venir chanter en Algérie. Payées en Chakarates.

    Quel massacre.

    Anonyme
    5 février 2016 - 14 h 51 min

    le clan ne peut plus jouer la
    le clan ne peut plus jouer la carte de la reconciliation contre l’éradication ;les algeriens savent aujourd’hui comment le pays a été mis à feu et à sang et par qui ;ils savent aussi que cette situation ne pourra plus exister de nouveau ;
    l’exemple du « printemps arabe » qui n’a pas marché en algerie est du à la population et non au clan qui a exploité la peur des algeriens pour se maintenir au pouvoir ;
    le peuple sait aussi que le clan boutef a « bien voulu » gérer le pays en contre partie de l’exercice d’un pouvoir total absolu caractérisé par des règlements de comptes inutiles ,une corruption généralisée pour couvrir les détournements colossaux et une gestion des ressources humaines jamais réalisée tant la compétence ,l’intégrité et l’engagement sont des critères combattus pour le compte de la seule allégence ;
    l’Etat a été dissous au bénéfice du pouvoir qui s’est accaparé sans scrupule aucun de tous les rouages des institutions ;
    les réactions multiples et aussi violentes que la répression des soldats de hamel ,de tartag et de merad vont se généraliser à mesure que les problèmes économiques et sociaux prennent de l’ampleur ;le trésor ne pouvant plus faire face à tous les besoins des populations grandissants sans cesse et à
    l’enrichissement de la nomenklatura devenue plus gourmande et plus importante ;
    le contrat de « mercenariat » du clan ne peut plus être renouvellé car la solution alternative est à portée de main des institutions fussent elles illégitimes :anp,apn,sénat,partis du pouvoir et opposition,conseil constitutionnel,police,darak,dss,cnes,justice,wilayate,apc
    avec la bénédiction de fafa et de l’oncle sam.

    Anonyme
    5 février 2016 - 14 h 49 min

    @Par Anonyme (non vérifié) |
    @Par Anonyme (non vérifié) | 5. février 2016 – 15:00

    Anonyme (non vérifié) | 5. février 2016 – 13:21
    Ce sont ces généraux de pacotilles qui nous ont foutu dans la grosse M, pour sauver leur peau il ont fait rentrer au pays Bouteflika le marocain et son clan, ces généraux n’ont rien vu venir, ils ne voient pas plus loin que leur bout du nez. Si nous sommes dans cette grosse M c’est à cause des ces généraux pour lesquels je n’ai plus aucun respect, ils ont livré l’Algérie et son peuple aux serpents Bouteflika allié des sionistes de la France, vu ses origines juives, tout le monde le sait qu’il n’est pas algérien ni musulman. Les généraux devait terminer leur travail par l’éradication de l’islamisme et faciliter le pays à une transition démocratique pacifique progressive.

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    On se demande bien comment un conseiller des Wahhabites ( pays du Golf) a pu devenir président en Algérie.
    La wahhabisation de l’Algérie en douce.

    Anonyme
    5 février 2016 - 14 h 00 min

    Anonyme (non vérifié) | 5.
    Anonyme (non vérifié) | 5. février 2016 – 13:21
    Ce sont ces généraux de pacotilles qui nous ont foutu dans la grosse M, pour sauver leur peau il ont fait rentrer au pays Bouteflika le marocain et son clan, ces généraux n’ont rien vu venir, ils ne voient pas plus loin que leur bout du nez. Si nous sommes dans cette grosse M c’est à cause des ces généraux pour lesquels je n’ai plus aucun respect, ils ont livré l’Algérie et son peuple aux serpents Bouteflika allié des sionistes de la France, vu ses origines juives, tout le monde le sait qu’il n’est pas algérien ni musulman. Les généraux devait terminer leur travail par l’éradication de l’islamisme et faciliter le pays à une transition démocratique pacifique progressive.

    Anonyme
    5 février 2016 - 13 h 49 min

    Si nous voulons sauver notre
    Si nous voulons sauver notre pays des griffes des prêcheurs de la haine, de la «fitna», de tous bords politiques, nous devrons nous engager civiquement et réinvestir le terrain politique afin de leur faire barrage, mais aussi pour s’opposer aux corrompus qui nous gouvernent. Nous devons casser le mécanisme machiavélique du pouvoir, des hommes du pouvoir et de leurs enfants. Ils font tout pour accentuer notre peur et notre dégoût du politique et de l’action politique afin qu’ils y règnent en maîtres sans partage. Jusqu’ici, ils l’ont réussi parfaitement bien.
    Après le Big Brother algérien, incarné par la Sécurité militaire à laquelle a succédé le DRS, on nous fomente un nouveau seigneur de l’Algérie, le frère de… La peur doit enfin changer de camp. Il n’y a de pouvoir qui fait réellement peur que celui du peuple, et nous sommes le peuple. Notre engagement leur fera assurément peur.
    Et s’engager ne veut pas dire forcément s’encarter dans un parti. On peut aussi rejoindre les syndicats estudiantins, les syndicats autonomes, les sections locales de l’UGTA, adhérer à des associations et en créer d’autres dans tous les secteurs possibles, investir les quartiers et les réseaux sociaux par toutes sortes d’initiatives citoyennes (sociales, culturelles, etc.). C’est comme cela qu’on assumera notre responsabilité historique. Il faut imposer notre propre agenda politique et nos choix d’avenir, comme l’ont fait Aït Ahmed et ses camarades à partir des années 1940 alors qu’ils n’avaient qu’une vingtaine d’années en moyenne, contre le gré des vieux politicards du mouvement national.
    Des solutions alternatives existent aussi sur le plan de la gestion décentralisée, légitimement revendiquée par certaines régions d’Algérie, sans tomber dans les folies du racisme, du régionalisme ou du séparatisme. Il «suffirait», et cela reste une idée primaire, d’instaurer un fédéralisme à l’algérienne, encore une idée de Hocine Aït Ahmed depuis la fin des années 1970. Ceci n’a même pas besoin d’une «révolution» constitutionnelle. Des exemples européens l’ont prouvé dans le passé, parfois très proche, en Allemagne, en Suisse, en Belgique et même en France, avec son système jacobin que nous avons copié pratiquement à tous les niveaux.

    selecto
    5 février 2016 - 13 h 28 min

    @ Par amal (non vérifié) | 5.
    @ Par amal (non vérifié) | 5. février 2016 – 11:58

    Il est certain que les harrkis sont mécontents à cause de l’article 51, alors ils ne vont pas lâcher un filon propice à servir de mèche.
    Appliquons l’rticle 51 et restons vigilants.
    Si un algérien résidant à l’étranger veut se présenter à la magistrature suprême, il n’a qu’à le savoir dix ans auparavant et s’y préparer en algérie.
    ___________________________________

    Non RAIS les harkis ne sont pas concernés par l’article 51 car ils n’ont que la nationalité française depuis 1962, ils rentrent et sortent en Algérie depuis les années 2000 comme ils veulent depuis que vous avez retiré leurs fiches des ports et aéroport, décision prise depuis la dernière visite de Bouteflika en France.

    Ameziane
    5 février 2016 - 13 h 24 min

    Tu touches a tout sauf a leur
    Tu touches a tout sauf a leur portefeuil (pour ceux qui en ont un) donc implicitement a leur estomac.
    Une fois qu’ils n’ont rien a se mettre sous la dent, ils iront dans la rue pour chercher a manger.
    Sans miettes, le peuple se sentira tres mal car il est conditionné comme un automate a toujours recevoir pour se taire.
    Comme l’argent du pétrole leur appartient, ceux qui nous gouvernent le jettent par les fenetres alors.
    Aujourd’hui, ils n’ont plus de solution miracle car la banque de charité est vide. en tant que vache a lait, tout le monde en profitait de l’Algerie meme les pays qui ont plus que nous: L’irak produit aujourd’hui deux fois plus de pétrole que l’Algerie et notre messie leur a épongé leur dette de plus de 1 milliard de dollars. Qui fera mieux. Des enveloppe supplementaire a seti, tlemcen ora etc. sans parler meme au ministre des finance. on est riche, super riche non ?
    Alors que faire maintenant ? Meme la drogue du maroc n’a plus aucun effet.
    L’estomac est roi car on est devenu des tubes digestifs qui ne pensent qu’a aujourd’hui mais jamais demain ou apres demain.On est des merguez en forme humaine qui marchent et rigolent sur tout mais jamais sur nous-memes car on est les meilleurs duu monde sans jamais nous regarder dans le mirroir.
    Alors des mosquées supplémentaires pour doubler les prieres et peut etre oublier la faim ?
    De la drogue plus forte d’oujda ou de marakech?
    Tous les bars sont fermés ainsi que les théatres et les salles de cinéma. Alors comment tuer le temps sans manger ?
    Il nous faut un miracle du messie peut etre ?
    Apres tout, ils nous a ramené la « paix » et la « stabilité » cachetée par Sellal. La preuve: Tous les criminels et les truands qui ont gonflé les boucheries du GIA en 1990 – 2000 sont de retour aujourd’hui la tete haute non ? Tout est gommé et tout est oublié mais le peuple ne peut pas oublier ni ses morts ni son estomac. Ces monstres sont meme libres de dénigrer et d’insulter les vrais patriotes, ceux qui ont sauvé l’Algerie d’un nauffrage certain en 1989/90. Voila la « paix civile et sociale » sur un plateau d’argent ! Mais le peuple – La majorité a faim et les miettes pour le ronronner comme un bébé avec un faux biberon sans lait sont terminées car le bébé comprendra qu’il n y a plus de lait dans son biberon et que son estomac est toujours vide et qu’il souffre toujours. Voila ou nous en sommes arrivés en 2016 apres avoir été l’un des pays les plus riches d’afrique et les plus respecté du monde avec des potentialités humaines ENORMES. On voit donc aujourd’hui le fruit de 4 mandats illégitimes. Meme notre pseudo opposition est devenue une grappe de merguezs sans queue, ni tete, et sans cerveau, dont seul, le ventre et le bas ventre fonctionnent. On dirait que l’Algerie est devenue un restaurant du coeur orchestré par une zerda depuis 1999. Aujourd’hui, tout s’éteind. Le reve est fini car croire aux mensonges c’est comme croire aux miracles.

    Anonyme
    5 février 2016 - 13 h 19 min

    @Par selecto (non vérifié) |
    @Par selecto (non vérifié) | 5. février 2016 – 9:10

    Des rumeurs circulent sur la nomination de Hamel comme ministre de l’intérieur lors d’un prochain remaniement.
    ::::

    Il n’ya pas de rumeur en Algérie. La rumeur c’est L,info officielle.

    Anonyme
    5 février 2016 - 13 h 00 min

    Par selecto (non vérifié) |
    Par selecto (non vérifié) | 5. février 2016 – 9:10

    Des rumeurs circulent sur la nomination de Hamel comme ministre de l’intérieur lors d’un prochain remaniement.

    ……………………

    Ce serait le début de grosses émeutes. Hamel est terne et mediocre. Tout le monde le sait.
    Par contre il doit tout aux bouteflika ( promotion éclaire au titre de général major…pas d’équivalent dans les anales) il vient d’un village de hallaba et de contrebandiers marocains ( sabra) et surtout il n’a qu’une mission en tête : sauvegarder coût que coût la famille bouteflika. Son rôle de dgsn il le tient à merveille : Élimination des têtes qui dépassent et nomination de son cercle de proches ( au diable les compétences ),à tous les postes stratégiques de la dgsn ( des tlemcano marocains…il suffit de consulter l’organigramme ). Bref le sieur Hamel a verrouillé la dgsn au service exclusif du clan au pouvoir.

    Ministre de l’intérieur il sera le bras armé qui frappera toute contestation du peuple contre son appauvrissement et le delitement du pays. Il frappera très fort qui a provoqué un embrasement. Le trésor public sera ensuite chargé de soudoyer les plus récalcitrants.

    Sous Hamel il y a eu une inflation terrible de nominations aux grades supérieurs. Les lauréats choisis pour leur fidélité sont ainsi devenus de parfaits larbins zélés pour appliquer la politique de Hamel qui se résume en un point : Sauvegarde du clan bouteflika.
    Mais même dans les pires dictatures le peuple a toujours le dernier mot…

    Anonyme
    5 février 2016 - 12 h 43 min

    Il n’ya plus rien à espérer

    Il n’ya plus rien à espérer dans un pays où on permet aux assassins-voleurs-violeurs, tels que Brahimi, d’insulter les généraux qui ont combattu le terrorisme et sauvé l’Algérie.
    C’est très grave ce qui se passe en Algérie.
    Un dérapage total.

    Anonyme
    5 février 2016 - 12 h 38 min

    Au lieu de récupérer les

    Au lieu de récupérer les compétences Algériennes parties à l’étranger pour fuir la barbe de Abassi-Brahimi, nos dirigeants récupèrent ces satans-sionistes qui ont déjà ébranlé le pays.

    La crise économique s’approche, en attendant la montée du brut il faut nourrir le peuple de la barbe de Abassi-Brahimi.
    Provoquez des émeutes, et puis occuper le peuple avec le wahhabisme. On ne changera jamais.

    Anonyme
    5 février 2016 - 12 h 26 min

    Le clan Bouteflika veut

    Le clan Bouteflika veut rester au pouvoir en jouant la carte des dirigeants du FIS. Ils sont de retour pour soutenir le pouvoir, Mais c’est quoi le compromis cette fois-ci.
    En 1992, le compromis de Chadli avec les barbus wahhabites a été stopper par des patriotes de l’Armée Algérienne.
    Mais cette fois-ci, j,ai peu qu’il n’y aura personne. Boutef a bien préparé le terrain.

    Anonyme
    5 février 2016 - 12 h 21 min

    Ils ont isolé et méprisé les

    Ils ont isolé et méprisé les généraux qui ont sauvé l’Algérie pendant la décennie noire. Il parait que Bouteflika les menaçait à chaque fois par la cours internationale ( ???).
    Les voleurs et les pilleurs du peuple sont devenus innocents y compris Chakib. Les dossiers de la corruption sont classés ou jetés pour faire disparaitre les traces.
    Les assassins de la décennie noire sont rentrés. Brahim Allume déjà le feu sur les plateaux de ses chaines qu’il commandait depuis Londres.
    Il ne reste qu’à donner le pouvoir aux Wahhabites qui ont massacré le pays.

    New kid
    5 février 2016 - 12 h 17 min

    Pauvre gouvernement acculé au
    Pauvre gouvernement acculé au confinement solitaire d’un paria. Mis à part deux boiteux retardataires qui annoncent la couleur de leur peur de voir leurs strapontins glisser de sous leurs « back side » à tout jamais.
    Quand le peuple reniera la rente, il enlèvera la poudre de ses yeux et enlèvera à tout jamais cette épée de Damoclès que le pouvoir ne cesse de tournoyer autour de sa tête. La liberté renaitra quand le chaab rejettera les miettes comme les os que l’on jette à son chien.
    Non à la société soudoyée, non à la corruption non à la mal gérance non à l’autocratie.
    Le pouvoir a assuré ses devants et arrières la flicaille bien rémunérée, est double de toute maigre manifestation qui a mon avis n’est pas le chemin pour recouvrir un état de droit et une justice pour tous.
    Tout scrutin doit au préalable montrer la liste électorale et la surveillance de celui-ci doit être l’affaire de tous les citoyens. Du début jusqu’au dernier bulletin. Nious savons que les billets de 2000 dinars abondent durant toute consultation, donc le chaab est corrompus comme la main qui offre cette manipulation. Tous doivent voter le même jour et dans les bureaux désignées sans aucune dérogation pour les militaires ou employés (employées) du gouvernement quels qu’ils soient. Et bien sûr pas de vote proxy pour les islamisant. Le recours aux listes et a tous votants l’impression des deux mains d’une encre qui ne pourra être lavée et au décompte concurrent des listes.
    La confiscation de notre indépendance par ces régimes mafieux depuis 62 malgré le million et demi de chahids, le peuple n’est pas prêt pour donner son sang pour cette patrie tant divisée.
    La rente exterminée, avec la menace de la faillite des revenus pétroliers qui encochera sur la paix sociale, L’Algérie connaitra une épreuve et une période extrêmement difficile, entre les casseurs et les corrompus.

    Rabah
    5 février 2016 - 12 h 14 min

    Le tsunami social annoncé par
    Le tsunami social annoncé par les observateurs avertis de la vie politique, économique et sociale algérienne, est en train de gonfler pour libérer notre pays des aventuriers , prédateurs, cupides et obstinés du clan présidentiel, qui l’ont pris en otage depuis 1999.

    A tout moment, ces haggarine, élevés dans les cultes de la force et de la magouille, seront submergés par le peuple qu’ils n’ont cessé de mépriser et d’humilier, puisque les autres forces de la nations ont montré leurs limites structurelles.

    Anonyme
    5 février 2016 - 12 h 13 min

    @Par selecto (non vérifié) |
    @Par selecto (non vérifié) | 5. février 2016 – 9:10

    Des rumeurs circulent sur la nomination de Hamel comme ministre de l’intérieur lors d’un prochain remaniement.

    _______________________

    L’ange gardien des Bouteflika. C’est juste pour que le peuple s’habitue à lui. Il sera le future Bouteflika, président.

    Il n’a Même pas pu assurer la sécurité dans les rues, on va lui confier le pays pour l’insécuriser encore plus.

    Mais c’est quoi ces charlots de dirigeants

    Anonyme
    5 février 2016 - 12 h 09 min

    OUI, il faut vraiment

    OUI, il faut vraiment vraiment faire attention, Car ceux qui appelaient à un printemps arabe en Algérie sur El-Djazeera sont rentrés au pays: L’escroc-voleur Brahimi, Les traitres Samraoui et Chouchène…..On prépare le retour de Madani parait-il.

    Ceux qui ont fait revenir ces sanguinaires doivent aussi leurs préparer le terrain des émeutes, un autre octobre 88, pour leurs donner le pays.

    À mon avis, l’Algérie joue avec le feu. Le scénario des années 80-90 se redessine. MERDE.

    Bouzenzel
    5 février 2016 - 12 h 07 min

    Notre probleme n’est pas
    Notre probleme n’est pas d’ordre politique, mais purement culturel et ideologique.

    Il faut avoir le courage de dire que la culture Arabo-islamique est périmée et elle la cause de la mal vie et ne répond nullement aux besoins des jeunes Algeriens..et Algeriennes..

    Nous nous sommes pas honêtes, car les jeunes qui partent à létranger, n’est pas pour des raisons politiques ou bien pour travailler et devenir riche.. mais pour vivre leur jeunesse pleinement..

    Il faut plus de Kifan Clubs, plus de piscines, plus de réstaurant.. de Cinemas, de bar.. et discothèques..

    La religion reste une conviction personnelle..

    Même ceux qui sont pour un état islamique, serons les premiers à le quitter une fois établie.. car il ne répond nullement au besoins de l’être humain même spirituellement paralant..

    Car ce que tout le monde appel Islam n’est en fait qu’une secte parmis de centaines d’autres qui utilisent le Terme « Islam » comme une marque, pour vendre aux gens un mythe…

    Sérieusement.. La religion est le vrai problème…

    lhadi
    5 février 2016 - 11 h 41 min

    Si quelqu’un tente l’illégal,

    Si quelqu’un tente l’illégal, n’est ce pas parce qu’il suppose que son père peut tout se permettre (…).
    .
    Il est évident que le manque de culture de débat politique et la stratégie de la chaise vide confinent le peuple dans l’ombre et l’opinion.
    .
    Pour le faire sortir de cette situation, Les leaders d’opinion doivent lui insuffler la différence entre le savoir et l’opinion.
    .
    L’éclairer sur la dérive de notre Algérie adamantine devenue un véritable théâtre où la justice, la politique, l’histoire se mêlent, se confondent pour finalement se brouiller les unes les autres.
    .
    La société algérienne est traversée par des tensions majeures parce que la politique menée par des rebouteux fait que notre pays est pris dans une tempête qui ne fait pas honneur, ce qui précisément porte aujourd’hui condamnation du système patriarcal incarné par le Président de la république, seul responsable devant le tribunal populaire.
    .
    L’Algérie adamantine est en crise. Il ne s’agit pas d’une crise passagère provoquée par l’incapacité de quelques ministres. Il s’agit de la crise d’un système, d’un type d’organisation de l’économie et de la société.
    .
    Sommes nous condamnés à vivre dans une société où faute d’idées d’imbrication structurelles et structurantes, émerge un individualisme débridé et une poussée régionaliste en tout genre ?
    .
    Devons nous accepter cette misère moderne qui se cache sous les apparences de la prospérité et accepter cette perte de sens chez les jeunes qu’on les donne pour perdants ?
    .
    Le vent de la colère à travers le pays porte une exigence qui implique une reconnaissance de la souffrance vécue ou subie que nos dirigeants tendent à occulter ou minimiser.
    .
    Lorsqu’il existe aucun espace pour sa reconnaissance, les victimes peuvent susciter ou alimenter de terribles dérives et contribuer à la déréliction du politique, à l’affaiblissement de l’Etat et, déséquilibre le débat politique dans le sens des émotions, et non dans celui de l’analyse rationnelle des faits.
    .
    L’amour du pays qu’on appelle, à juste raison, patriotisme exige de se livrer pour inverser le stéréotype patriarcal qui régente la vie de la nation algérienne afin de combler les déficits d’avenir et le manque d’affirmation de soi, de rompre avec le sentiment du vide qui pourrait déboucher sur des conduites de risque et sur la recherche de l’épreuve physique comme… mode d’affirmation de soi.
    .
    En clair, on est au carrefour où un nouveau paradigme s’impose sous le label de la « mobilisation des ressources » pour un choix de société qui prend la forme d’un défi : prospérité et justice.
    .
    Fraternellement lhadi
    ([email protected])

    H'didwane
    5 février 2016 - 11 h 26 min

    Par Anonyme (non vérifié) |
    Par Anonyme (non vérifié) | 5. février 2016 – 9:32
    « …d’ailleurs,l’algerie est maintenant un pays « sûr » selon merkel »
    .
    C’est juste la bonne excuse pour refouler les milliers d’algeriens qui ont demandé asile politique ou économique. Selon Merkel, on ne fuit pas un pays « sûr », riche, « stable » et « prospere » ou in ne se bat pas encore dans les rues. Voila ce qu’a dit a Merkel notre raconteur d’histoires lors de sa visite. Donc des gens venus de pays « sûrs » et riches n’ont aucune excuse pour demander asile.

    Anonyme
    5 février 2016 - 11 h 18 min

    C’est bien de tirer la
    C’est bien de tirer la sonnette d’alarme mr Mahmoudi et ça fait combien de fois déjà que vous nous annoncez l’hiver arabe ? quand aux harkis salafiste et larbins du néocolonialisme je préfère qu’ils soient à porté de main des services de sécurité plutôt qu’à londre ou doha ou genève . La crapule Brahimi quand il se déchainait contre l’algérie à partir de londre au service des salafistes était à l’abri , maintenant qu’il est rentré piteusement, l’absence d’intérêt du pouvoir pour sa petite et minable personne lui fait croire qu’il peut insulter et dénigrer Nezzar et Médienne dans le but de dégouter les algériens de leur armée parce que Nezzar et Médienne ont brisés l’échine de son camp le Fis, le quatar et la france Méditterrandienne , il ne l’a toujours pas digéré ce félon qui a détruit le peu d’industrie que nous avions alors qu’il était premier ministre ,c’est lui le fauteur d’octobre 88. Il crèvera aigri et rancunier .

    amal
    5 février 2016 - 10 h 58 min

    Il est certain que les
    Il est certain que les harrkis sont mécontents à cause de l’article 51, alors ils ne vont pas lâcher un filon propice à servir de mèche.
    Appliquons l’rticle 51 et restons vigilants.
    Si un algérien résidant à l’étranger veut se présenter à la magistrature suprême, il n’a qu’à le savoir dix ans auparavant et s’y préparer en algérie.

    Anonyme
    5 février 2016 - 10 h 40 min

    Un observateur neutre
    Un observateur neutre descellerait dans notre pays deux entités sociales bien distinctes et vivant chacune dans une planète virtuelle sans possibilité de se rencontrer;le peuple d’un coté et le machin politique de l’autre.
    Effectivement,a voir ce qui se passe pressement dans le pays,la cassure parait très nette entre des politiciens affairistes et des experts bidon qui parlotent du matin au soir sur un projet de je ne sais quoi en accaparant tous les canaux télévisuelles et journalistique,et les gens du peuple qui survivent au jour le jour et qui ne connaissent aucun article ou article bis du fameux projet,pour ne pas dire de son existence même.
    A noter que pour le peuple,il n’y a aucune différence entre les politiciens algériens, du pouvoir ou de l’opposition.

    TheBraiN
    5 février 2016 - 9 h 58 min

    C’est tout sauf nouveau avec
    C’est tout sauf nouveau avec des mouvements de foule aux objectifs divers , parfois justifiés mais souvent totalement farfelus .
    Parler de contestation pour décrire des affrontements entre supporteurs et policiers reste quand-même assez limite.

    Hamid
    5 février 2016 - 9 h 47 min

    Ceci n’est qu’un début – la
    Ceci n’est qu’un début – la cime de l’iceberg – pour un pouvoir statique et absent qui ne juge plus les corrompus et les truants et qui a donné son feu vert et toute la liberté du monde aux criminels du peuple algerien, aux auteurs de 250.000 morts qui osent meme insulter des hommes tels que le Général Nezzar car il a éteind le feu !
    Que feront-ils pour arreter les augmentations de prix et les diminutions de salaires causées implicitement par un dinar en chute libre ? Evidemment le messie réglera tous nos problemes sur sa chaise roulante nous dira Mr Sellal. Nous sommes stables et prosperes – El hemdou lillah !!!! Alors pourquoi sommes nous pessimistes ? Eux ils voient leur vie sous un autre angle, celui du confort, des appartements a pari, barcelone et dubai et des méchouis bios au club des pins et nous, les creves la faim, on est trop pessimistes apparemment. Alors, tous ensemble crions El hemdou lillah car tout va tres bien madame la marquise.

    Anonyme
    5 février 2016 - 8 h 32 min

    Oui,je pense que la presence
    Oui,je pense que la presence des « zélateurs du qui tue qui « et des fisistes et des aventuriers de tout bord en algerie est des plus importants,parce qu’ils sont sur place et peuvent etre interpelés et jugés,au lieu de crier au loup d’ailleurs,l’algerie est maintenant un pays « sûr » selon merkel,donc tout les exilés politiques peuvent rentrer sans craintes,mais certains, fuient déjà en avant et se font arreter pour préparation d’attentats terroristes pour rester en allemagne!!!!personne ne fait confiance à la justice algerienne et son régime!!!!

    selecto
    5 février 2016 - 8 h 10 min

    Des rumeurs circulent sur la
    Des rumeurs circulent sur la nomination de Hamel comme ministre de l’intérieur lors d’un prochain remaniement.

    MACIZEL
    5 février 2016 - 8 h 08 min

    Bientôt le printemps berbère
    Bientôt le printemps berbère bis. Chaoui tergui mzab chluh kabyles algériens nerbrtes arabophones qui sont authentiquement amazigh vont créer une autre surprise du siècle. Finir ce qu’on a commencé contre les turcs les français les romains les Daesh les grecs les espagnols les anglais les vikings fermiers les vandales les portugais les pheniciens les byzantins pour enfin l’Afrique du Nord dont l’Algérie (alguer) pour les catalans du 13 siècle redevient ce qu’elle est depuis 150 siècles. Amazigh africaine et mediterannienne.

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