Absence de communication : le gouvernement veut se rattraper

Le ministère de la Communication semble vouloir trouver la faille dans la communication institutionnelle totalement grippée. Pour ce faire, il organise dimanche et lundi prochains à Alger un grand séminaire sur cette forme de communication avec la participation d’un panel d’experts algériens et étrangers. Placé sous le thème «Communication institutionnelle : citoyenneté et développement», ce séminaire vise à mieux cerner la problématique de la communication officielle qui n’est assurément pas le fort de nos responsables. Des représentants d’entreprises nationales et d’organismes spécialisés, de médias nationaux et d’institutions se pencheront sur la question. Les participants auront deux jours pour trouver des réponses et faire une évaluation de l’état de la communication institutionnelle. En tout, cinq ateliers sont prévus. Ils vont aborder divers thématiques traitant de la «fonction de communication, écoute des médias et de l’opinion publique », des «formes de communication des institutions», du «financement de la communication institutionnelle», des «cellules et chargés de communication des institutions publiques» et, enfin, de la «communication institutionnelle : gestion en temps de crise, coordination intersectorielle». La communication institutionnelle, très sollicitée ces derniers mois notamment lors de l’attaque terroriste de Tiguentourine et la maladie du président Bouteflika, s’est illustrée d’abord par son absence, ensuite par son manque de professionnalisme qui a choqué le monde extérieur. L’heure est donc à l’apprentissage.
S. Baker

Comment (3)

    RAMO
    7 juin 2013 - 14 h 23 min

    LA NON COMMUNICATION DANS
    LA NON COMMUNICATION DANS TOUTS LES DOMAINES de nos dirigeants ENVERS SON PEUPLE ET UNE PORTE OUVERTE DE L ENFER D’ICI BAS
    COMME ON DIT CHEZ NOUS HEUREUSEMENT QU IL Y A LE TÉLÉPHONE ARABE

    00213
    7 juin 2013 - 12 h 50 min

    Et maintenant on veut
    Et maintenant on veut transformer un âne en cheval de course ?
    Le problème c’est pas la communication, c’est le ministère concerné.
    .
    On va patienter jusqu’à Avril (car on a bien attendu 51 ans), mais après : HOP DU BALAI ET POUR DE BON !!!!
    Et pas que le ministre mais TOUS les cadres intermédiaires qui ont participé à la faillite du pays.
    .
    Avec ces spécialistes de la communication ( diplômés de l’épicerie du coin) ce n’est plus le Soft power mais le Never power pour l’image du pays.

    Anonyme
    7 juin 2013 - 10 h 24 min

    Même Polpot avait une
    Même Polpot avait une meilleure com que nous algériens, ma mère qui a 80 ans m’a dit dernièrement que notre TV était faite pour les vieux et qu’il devraient penser aux personnes de son age et la rajeunir un peu.

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