Maladie du Président : l’armée n’interviendra pas

L’appel du moudjahid Mohamed Mechati ne sera pas entendu par l’institution militaire. L’ancien membre des 22, qui vient de s’adresser «aux décideurs de ce pays» qu’il ne cite pas et dont il «entend parler comme tout le monde» car, a-t-il déclaré à notre confrère Le Soir d’Algérie, il ne les connaît pas personnellement et il ne les a «jamais fréquentés», leur demande d’intervenir pour pallier le vide laissé par l’absence du président Bouteflika, dont «la pratique despotique, autoritaire et dictatoriale» du pouvoir a «affecté l’Etat tout entier». Si le constat de Mohamed Mechati est au demeurant juste, son initiative qui s’ajoute à la panique générale – mais néanmoins camouflée – qui s’est emparée des sphères du pouvoir depuis l’hospitalisation du Président et au hourvari médiatique suscité par cette longue éclipse, est un coup d’épée dans l’eau. En effet, l’institution militaire, aux destinées de laquelle président trois hauts responsables de l’ancienne génération, a la légalité chevillée au corps. Déjà en janvier 1992, le ministre délégué à la Défense, le chef d’état-major de l’ANP et le patron du DRS actuels avaient participé au sauvetage de la République des mains des intégristes du FIS qui voulaient lui substituer une théocratie rattachée à l’internationale salafiste. L’armée, suite à la démission de Chadli qui face au péril du moment avait choisi de se retirer, avait pris le parti d’appeler à la rescousse un civil, le défunt Mohamed Boudiaf, pour achever le mandat laissé vacant par le président démissionnaire, dans le cadre d’une direction collégiale, le Haut Comité d’Etat (HCE), qui comptait cinq membres. Cette intervention directe de l’institution dans la gestion politique du pays – le HCE comptait un militaire en son sein –, cessa dès que Liamine Zeroual fut élu président en 1995. Lui-même issu de l’ANP, il n’en avait pas moins démissionné suite à un désaccord avec Chadli sur la restructuration de l’armée. Elu à la tête du pays, Zeroual choisit, à son tour, de déserter El-Mouradia suite à une série de scandales mettant en cause son plus proche conseiller politique qui essuyait un feu nourri de la presse. L’avènement de Bouteflika scellera la séparation des prérogatives entre le Président et l’institution militaire. Le chef d’Etat fraîchement élu avait, dès l’entame de sa première mandature, clairement expliqué qu’il ne voulait pas être un «trois quarts d’un président». L’opinion publique avait saisi cette annonce comme un message à l’armée, donc aux «généraux», dont il aurait voulu «se défaire». Mais ses décisions postérieures allaient démontrer que Bouteflika avait été mal compris. Après le départ du général Mohamed Lamari, alors chef d’état-major, à la retraite, il le fera remplacer par un ancien de l’ALN, au moment où les observateurs s’attendaient à un rajeunissement de la hiérarchie. La désignation d’Abdelmalek Guenaïzia au poste de ministre délégué à la Défense nationale achèvera de confirmer que le président de la République n’avait pas l’intention de couper la branche sur laquelle il était assis et qu’il était pleinement conscient que le pays ne pouvait pas se permettre de se passer de l’expérience des «anciens», dans un contexte sécuritaire qui n’était pas encore tout à fait stabilisé. Tout en faisant voter par référendum une loi sur la réconciliation nationale, Bouteflika maintient le cap, poursuivant la lutte antiterroriste, modernisant l’armée et s’appuyant sur des services de renseignements à l’efficacité redoutable. Depuis 1995 à ce jour, l’armée s’est abstenue d’intervenir directement dans la prise de décision politique. Les bruits qui ont longtemps couru sur des différends – vrais ou faux – récurrents entre le Président et les «généraux» sont la preuve que les responsables militaires obéissent aux ordres du chef. Même malade et absent, ils gardent une position droite. Bref, tant qu’il n’y aura pas de menace sur la République, l’armée ne se distraira pas de sa mission actuelle ardue, celle de surveiller d’immenses frontières poreuses et explosives.
M. Aït Amara
 

Comment (41)

    dracula
    14 juin 2013 - 3 h 27 min

    NASSER::t as oublier ennahar
    NASSER::t as oublier ennahar tv .com.fr.ar.islm.dz!!!

    syriano
    12 juin 2013 - 12 h 17 min

    L’armée connait la valeur de
    L’armée connait la valeur de Bouteflika.
    C’est pas demain la veille qu’on aura un président du meme calibre de Bouteflika,qui a sortit l’Algerie de la guerre civile,qui a galvanisé la souveraineté de l’Algerie grace a sa politique de remboursement par anticipation des dettes extérieurs et qui a eu une politique etrangere fidèle a l’histoire algérienne.

    NASSER
    12 juin 2013 - 10 h 57 min

    Sites anti Algériens dont-il
    Sites anti Algériens dont-il faut se méfier
    __________

    Outre les sites Anti-Algérie dont nous avons fait état dans d’autres circonstances à savoir Le ‘’ Quotidien d’Algérie’’, ’’KalimaDZ’’ou ‘’lanationdz’’, « soleil d’Algérie », Siwel, Kabylie.net, Rachad TV, Al Magharibia, Ennsar TV, « Activiste Dz » , El Watan et Echourouk aussi qui ont soutenus les ‘’Printemps », nous devons aussi relever un site dont il faut se méfier de « : http://islamic-intelligence.blogspot.com . C’est un site extrémiste qui ne fait que proférer des mensonges en mettant dans le même sac les services Français, les services Algériens, la CIA, le MI6 et le Mossad.
    Rien de logique et d’intelligent, que du dénigrement surtout du pouvoir algérien. Ce site considère tous les terroristes de l’Aqmi, du GIA, de Syrie, d’Al Qaida, qu’il soutient, comme des Moujahidine qui prônent le Djihad. Il se contredit dans tous ses articles, voire dans un même article lorsqu’il soutient les révoltes, fustige en même temps l’occident et l’Otan. Un exemple : le monde sait ce qui se déroule en Syrie, en particulier le complot dont fait l’objet ce pays qui résiste, mais ce site persiste à dire que l’Occident et les sionistes soutiennent plutôt Bachar El Assad. On retient que là où il y a complot de l’occident et des monarchies contre un pays arabe de l’axe de la résistance, utilisant les terroristes dits ‘’islamistes’’, il est toujours là pour faire diversion et tromper sur les objectifs, diaboliser plutôt la victime, personnaliser le complot ; comme il le fait contre « Bachar » et son armée, contre « Bouteflika » et son armée etc. Il applique ainsi à la lettre les « techniques de la propagande subversive » et surtout de la manipulation. Ce site « islamic intelligence » est administré par un certain « Abu Sulayman ». Sous les articles (tous) on retrouve la mention «Posted by Abu-Suleyman » dont les initiales son « AS », sûrement un pseudo du nom d’un certains «Abu Sulayman Jazairi » mort en 2008 au Pakistan haut dirigeant d’Al Qaida. Il est libre, bien entendu, de faire ce qu’il veut avec son site. Il répond lui-même avec rapidité aussi bien aux commentaires sélectionnés sur son site que sur Alterinfo. Nous pensons que nous sommes aussi libres de donner des précisions aux lecteurs sur les auteurs de certains sites et commentaires pour qu’ils puissent se faire une opinion des plus réalistes sur les choses qui se déroulent dans ce monde sans se voir victimes de manipulation.
    —–
    Abu Sulayman Jazairi (décédé le 14 mai 2008) était un haut dirigeant d’Al-Qaïda. Il est originaire de l’Algérie et a été tué au Pakistan.

    NASSER
    12 juin 2013 - 10 h 33 min

    Le DRS algérien est le
    Le DRS algérien est le fleuron de l’armée. L’armée et ses cadres, sont la colonne vertébrale de l’Algérie qui ont mis en échec tous les complots contre l’Algérie y compris celui du FIS que soutenaient la France, le Qatar et l’Arabie saoudite. Les officiers de la DRS sont des patriotes. Beaucoup, comme des perroquets reprennent les mêmes conneries que diffuse « l’opposition algérienne à l’étranger » dont le MAK. Quand on cherche le désordre dans son pays aidé de forces étrangères soit par les armes ou en faisant le relai de leur propagande on ne peut être autre chose qu’un traitre. C’est Le FIS/GIA qui tuait et égorgeait et c’est l’armée qui protégeait soutenue par les groupes de légitime défense (GLD). Ils ne cessent maintenant de se venger en critiquant l’armée et la DRS aidés par les milieux nostalgiques et sionistes.

    karim
    12 juin 2013 - 7 h 59 min

    Les algériens doivent se
    Les algériens doivent se rassembler autour de l’institution militaire et faire preuve de civisme et de maturité en ces temps de tempêtes.

    chemlal
    12 juin 2013 - 7 h 51 min

    D’ abord, la conjoncture
    D’ abord, la conjoncture internationale ne permet pas. Le renversement d’un président « élu » les fossoyeurs de l’ Afrique
    et du monde arabe , n’attendent que ça pour semer les troubles dans notre pays, avec l’aide de l’émirat du Qatar et de l’Arabie Saoudite .De plus , Bouteflika n’ est pas un enfant de chœur, il y a longtemps qu’il a pris ses dispositions , au cas ou certains seraient tenter de le renverser.

    NASSER
    11 juin 2013 - 22 h 33 min

    Mohamed Mechati? Tiens une
    Mohamed Mechati? Tiens une comète!! A-t-il parlé lorsque le pays était en guerre contre le FIS? Lorsqu’il était en faillite du temps de Chadli? Il parle maintenant parce qu’il est en sécurité, mais pour dire des conneries. A-t-il le niveau requis pour analyser; être un des « 22 » n’est pas suffisant. Est-il le tuteur de l’Algérie? L’écrasante majorité de nos jeunes ne le connaisse pas parce qu’il n’a pas les compétences pour se faire connaitre contrairement à d’autres comme Ait Ahmed. Il veut maintenant paraitre? C’est trop tard. Il aurait mieux fallu pour lui de se taire au lieu de débiter des stupidités.

    Horizon
    11 juin 2013 - 20 h 55 min

    @ 00213. et les autres aussi
    @ 00213. et les autres aussi LUCIDES

    J’avais remarquer les mêmes flèches empoisonnés entre autres venant des médiats Français à l’encontre du futur très sombre qu’ils prédisent tous a l’unissons , sur le même ton envers notre pays l’Algérie et son peuple .

    Je n’aurais jamais pu l’expliquer a nos frères comme tu la fait dans ton commentaire .

    Une vérité limpide a comprendre une nouvelle preuve pour ceux qui se bercent encore d’illusion en croyants et en espérant que leur avenir viendra par les colons envahisseurs .

    CE SONT DES GLOUTONS IRRASSASIABLES DES RICHESSE NATUREL QUE POSSÈDENT LES MUSULMANS.

    Cassandra
    11 juin 2013 - 20 h 35 min

    En 1992, les démocrates
    En 1992, les démocrates avaient sollicité l’intervention de l’armée pour conjurer le péril islamiste et elle répondit présente. Et c’est son honneur. Nous sommes tous des janviéristes. Aujourd’hui encore,et alors qu’il y a péril en la demeure, l’armée doit mettre fin à cette mascarade. Il le faut tant qu’il en est encore temps.

    00213
    11 juin 2013 - 17 h 57 min

    Même moi, simple citoyen
    Même moi, simple citoyen algérien, sait que son appel n’a aucun sens.
    Alors que lui, qui est censé avoir un minimum de visibilité sur les entrailles du gouvernement, se permet de porter des propos dignes du Figaro ou d’Al Jazeera ????
    .
    En ce moment tout les merdias y vont de leurs propres analyses :
    – « L’Algérie au bord du chaos »
    – « Un coup d’état en préparation »
    – « L’état s’effondre »
    – « Un printemps arabe après les élections »
    – « L’impossible transition »
    – « L’armée se déchire »
    – « Un écroulement prévu pour 2014 »
    En bref, chacun y va de son désir le plus profond de voir notre pays exploser et le peuple s’entretuer.
    Il est clair que la période est délicate, mais là c’est du fantasme ou du rêve.
    .
    Cependant il ne faut pas que la classe dirigeante use et abuse de cette patience populaire, car certains changements sont réellement attendus…

    bilal
    11 juin 2013 - 17 h 47 min

    Je fais confiance à l armée
    Je fais confiance à l armée Algérienne pour prendre la décision qu’elles estimeront la meilleure pour ce pays. Enlever l’Armée Algérienne de ce pays et nous deviendront la grande Putain du Maghreb, tout le monde nous passera dessus…Certain on du mal a le comprendre ou le font express..

    Anonyme
    11 juin 2013 - 17 h 32 min

    Pourvu que l’armée
    Pourvu que l’armée intervienne !!!
    Militaires, fâchez-vous !

    Jeune Algérien
    11 juin 2013 - 17 h 18 min

    Vive l’ANP
    Vive

    Vive l’ANP
    Vive l’Algérie

    L’ANP se consacre à ses missions constitutionnelles et les politiciens font de la politique.
    C’est très bien comme ça.
    Un ex militaire qui se lance dans la politique, c’est sa liberté de citoyen. Mais il n’a pas le droit de parler au nom de notre glorieuse ANP.
    S’il le fait, il doit aller au trou.

    Brahim Haddou
    11 juin 2013 - 15 h 57 min

    Des actions salutaires pour
    Des actions salutaires pour sauver la nation
    Le pays a adopté le multipartisme et la démocratie, après tant de péripéties sous un régime de parti unique. Mais assez vite, le changement démocratique s’est un peu disséminé et une cacophonie meurtrière a ravagé durant presque dix ans le fondement du corps social national. Les forces barbares, criminelles et antidémocratiques voulurent prendre par la force le pouvoir national. Ce qui n’allait pas sans faire occasionner des dégâts considérables tant sur le plan humain que matériel. L’armée, appelée à la rescousse, s’est vue, dans la morale constitutionnelle, obligée d’agir par des actions salutaires afin de sauver la nation d’un véritable désastre. Elle ne transcendait pas ses missions originelles dans le domaine politique, car depuis les événements d’octobre 1988, l’institution militaire s’est automatiquement et volontairement dessaisie de toute immixtion du genre dans la gestion des affaires du pays, se limitant à la noble prescription de protection du caractère républicain du pays et de la sauvegarde de la souveraineté nationale. Cette force militaire qui, au cours du siècle dernier, a mis à genoux la puissance coloniale et ses alliées outre-Atlantique avait pu spontanément et graduellement s’adapter à une situation à laquelle elle ne fut guère préparée non sans un bilan humain assez lourd.
    Initialement armée populaire vouée à la libération, elle se transformera, avec doigté et dextérité vers la fin de la guerre de libération nationale, en une authentique armée de métier constituée de compétences, de corps d’élite et d’une solide expérience. De ce fait, et lorsque l’Etat s’est trouvé menacé dans ses fondements par les actes subversifs perpétrés par les groupes terroristes, l’ANP a été aux premières lignes de la lutte pour restaurer et maintenir la sécurité, la stabilité du pays et préserver la République et les institutions étatiques. Concomitamment, l’institution militaire a poursuivi dans un élan studieux la mise en œuvre du vaste programme de modernisation dans lequel elle s’est engagée pour répondre aux exigences de la défense nationale et être au diapason des armées modernes. Avant l’attaque des tours du World Trade Center, le 11 septembre 2001, la notion de terrorisme n’avait pas la même définition. Les grandes puissances, l’opinion officielle internationale en faisaient un menu fretin, croyant à un brin local de révolte ou de soubresauts fiévreux d’ordre politique interne. L’Algérie ne cessait de déployer par preuve et conviction le caractère transnational de ce fléau, ses capacités de nuisance, sa connexion directe avec le trafic de drogue et les stupéfiants et son aptitude à frapper à tout moment et en tout lieu. Ainsi, lors d’une conférence d’une instance des Nations unies tenue à Vienne en Autriche, en 1995, l’Algérie, en son nom et au nom des Etats arabes et africains, a introduit un projet de résolution voulant mettre une liaison franche entre le terrorisme et le trafic des psychotropes. Mais elle s’est heurtée au veto américain et britannique. Depuis, le monde a changé. Fortement. L’apparition des foyers de tensions de par le monde a contraint la réticence des puissances mondiales à plus de mesures et de compréhension. Ainsi l’Algérie commençait, par le biais de son armée, à exporter l’expérience acquise dans la lutte antiterroriste et l’ingénierie militaire et à contraindre à la réduction de ce potentiel criminel. L’affaire d’In Amenas a encore une fois authentifié la vérité algérienne.

    Un grand pays, de grands défis
    L’Algérie est devenue, depuis l’indépendance du Sud Soudan, le 9 juillet 2011, le plus vaste pays d’Afrique de par la superficie. Il est le deuxième pays arabe le plus peuplé après l’Égypte et partage ses frontières avec sept pays voisins (Libye, Maroc, république sahraouie, Mauritanie, Mali, Niger et Tunisie). Cette immensité territoriale densifie davantage le rôle de l’armée algérienne à sécuriser l’ensemble du pays. C’est à juste titre, par-devant la réplique des menaces et l’implantation du terrorisme d’Al-Qaïda sur son aile Sud (le Sahel), qu’elle s’est mise dans la permanence d’une vigilance accrue. Objectif fondamental : la défense du pays contre toute atteinte à son intégrité territoriale.
    Ce qui allait accroître encore l’appréhension de cette menace, c’était assurément le conflit libyen. Les groupes de rebelles, dotés anarchiquement d’armes et de moyens de guerre, par la France, l’Italie et autres entités européennes, sont devenus pourvoyeurs de dangers. Le brouillard et l’anarchie qui sévit encore en ce pays constituent non seulement pour l’Algérie mais aussi pour les autres pays limitrophes, un risque permanent tant des armes de valeur destructrice circulent librement. L’Algérie, dans un passé récent, lors de la guerre des sables, eut à connaître un nuage menaçant. Sans la mobilisation de ses énergies alors naissantes, sans l’engagement inébranlable de son armée sur le qui-vive, le pays aurait connu quelques démêlés.
    La modernisation de l’armée projette une approche didactique de défense moins agressive, singularisée par une politique de défense et de sécurité du territoire. L’enjeu qui se greffe à cette approche reste confiné dans la manière de rallier le souci de la sécurisation interne, le besoin de s’affirmer en tant que force tranquille et le besoin d’ouverture vers un monde pluridisciplinaire, multipartisan et démocratique.

    L’appui à la démocratie : un principe sacro-saint
    L’armée algérienne ne fait plus de politique. Ceci en effaroucherait plus d’un qu’il n’en étonnerait. Eh oui, ceci est devenu une réalité tangible. Depuis son retrait des instances exécutives du parti du Front de libération nationale et à la lumière des nouvelles dispositions constitutionnelles, elle s’est mise au service de la nation en gardant avec beaucoup d’ardeur les compétences attributives conventionnelles que sont les siennes : la protection du pays. Même l’amalgame, créé par justement l’exercice de l’acte politique par certains acteurs en mal d’égérie, n’a pu l’attirer vers les méandres d’une ingérence dans la trame politique nationale. Gardienne, elle surveille le développement de la démocratie et fait en sorte qu’elle s’épanouisse. De nombreuses élections ont eu lieu, aucun mot d’ordre ne fut lancé par ses dirigeants. La liberté d’expression élective est reconnue, sous le sceau de la confidentialité, à tout élément faisant partie de cette institution. Par définition, son effectif supérieur ou subalterne est déclaré légalement apolitique. En aucun cas, depuis l’instauration d’un climat politique ouvert aux charmes de la démocratie, l’institution militaire avec tous ses démembrements n’a eu à faire d’intrusion dans les trajectoires d’ordre politique qui transcendent le pays. Bien au contraire, l’on a vu celle-ci inciter, par un silence actif et de non-ingérence, les forces nationales politiques, à plus de débats et de cadres concertationnels.

    Une entité respectée, savamment gérée
    La défense totale et entière du pays reste une déclaration frontale, sans équivoque, soutenue par toutes les composantes militaires et paramilitaires d’une Algérie se voulant libre et souveraine. Composée des commandements des forces terrestres, navales et aériennes, ainsi que d’un état-major responsable de l’emploi et de la préparation des troupes au combat, l’institution s’organise selon un schéma général conforme aux normes des armées contemporaines. Le sommet de la hiérarchie militaire aboutit directement au chef de l’État, constitutionnellement chef suprême des Forces armées et ministre de la Défense nationale. La restructuration organique et la professionnalisation entamée ont fait de l’armée nationale populaire une entité respectée, savamment gérée. L’unité du commandement, comme l’avait affirmé le Premier ministre dans se conférence de presse du 21 janvier 2013 est un atout majeur bloquant toute mauvaise supputation.
    Les conflits régionaux ont eu certes des effets pervers sur la quiétude régnant jusqu’à un temps récent au niveau de nos frontières. Cependant, depuis le prélude de la guerre de Libye en février 2011, conflit dans lequel l’Otan est le principal belligérant, le statut géostratégique de l’Algérie demeure situé dans une notion aléatoire, voire menacé. Le bombardement des dépôts d’armes et de munitions de l’armée libyenne par les forces aériennes et navales de l’Otan et leur pillage par les rebelles dont des membres de l’organisation terroriste AQMI ont entraîné un accroissement comminatoire et pesant des armes conventionnelles en Libye et au Sahel. C’est toute la hardiesse des services de sécurité générale, entre police et gendarmerie, qui est mise en épreuve. Plusieurs tentatives d’introduction frauduleuse de ces armes furent avortées. Les services spécialisés ont la tête partout. Le cas du site gazier en est le dernier. « La colonne terroriste» repérée, suivie et anéantie dans le sud récemment et dont avait parlé le Premier ministre en est une autre.
    Ce sont ces services qui protègent, à leur corps défendant, et par la haute valeur expérimentale et pragmatique qui les anime, la sérénité du pays. Si avant cette mutation géopolitique régionale vécue par nos voisins, les frontières étaient quelque peu tranquilles, elles constituent, avec la survenance justement de ces derniers événements, l’objet d’un souci permanent. Les services y veillent comme on le fait pour le lait sur le feu. Un regard, une présence, une concentration en veille continue. L’Algérie se retrouve sans ambages, menacée de tous les flancs. Malgré ceci, l’ANP, forte de sa confiance, de l’élan de soutien du peuple ne croit pas aux miracles. Elle agit beaucoup et ne parle pas trop.

    Sous un œil vigilant, rassurant
    Ainsi nonobstant les désarticulateurs de la cohésion sociale et les détracteurs haineux, les services ont toujours cet œil vigilant, cette oreille attentive. La menace n’est pas exclusivement intérieure. A contrario de certaines voix dont la liaison est branchée sur l’onde nostalgérique, semblable à celle de leur maître, l’appétence pour une autre espèce d’intervention en Algérie est aussi mise en alerte. La probabilité, voire l’effectivité de « la main de l’étranger » est prise par ces contradicteurs sur un ton ironique et insouciant. Ils en font une sorte d’hilarité et de dérision. Cette vérité, que seule la postérité, un jour, pourra en effeuiller les épisodes, est le plus souvent caricaturée par ceux-là mêmes qui ont intérêt à ce qu’elle se fasse, qu’elle agisse, qu’elle vienne décomposer l’union nationale et altérer l’histoire et ses épopées. La sécurité extérieure du territoire, tel un rempart infranchissable de par la foi et l’engagement de ses acteurs, aurait été l’une des meilleures au monde pour avoir à temps opportun su déjouer le complot et l’aversion guettant le pays. Digne héritière du fameux MALG, la sécurité générale du territoire obéit aux principes constitutionnels de défense du pays, en tant qu’organe réflexif, préventif et informatif ; voire de formation spéciale professionnelle de l’armée, tout en adoptant un agencement structurel qui avait conduit à une adaptation de la doctrine militaire sur la sûreté sectorielle. La menace ainsi n’est pas sans rapport de pouvoir peser sur les infrastructures sensibles dans des domaines tels que la circulation des personnes et des biens, l’énergie, l’industrie, la santé ou la communication. La paix, son maintien, la cohésion sociale et la sacralisation de l’intégrité territoriale demeurent l’objectif principal d’où se tire toute la puissance managériale de nos différents services de sécurité. La sécurisation de la vie citoyenne passe inévitablement par la présence puissante de services aussi puissants et forts. L’Etat de droit est là justement par tous ses organes à garantir et à stabiliser la situation sécuritaire qui prévaut, nonobstant quelques poches d’insécurité par-ci par-là. Le travail est long et pérenne. La sécurité comme enjeu et défi n’est-elle pas l’affaire de tous ? Du monde et de ses structures internationales.

    algerieAnonyme
    11 juin 2013 - 15 h 50 min

    kader wahrani,
    kader wahrani, ferme-la……….

    AL
    11 juin 2013 - 15 h 37 min

    Le Vénérable Mr. MECHATI, dit
    Le Vénérable Mr. MECHATI, dit (à qui ?) Naïvement ou par malice qu’il ne ‘’ connait pas les décideurs, qu’il ne fréquente pas et en entend parler comme tout le monde ‘’… !
    je crois qu’ils sont presque tous connus de  »tout le monde’ ‘- dont je fais partie –
    toutefois ils ne courent pas rues ou les marchés !
    seuls ceux qui ont de la chance et surtout les sésames utiles – parfois les deux ! – les fréquentent et ont accès à leur aires restreints et fermés et protégés jalousement au de là d’une certaine importance, du pouvoir décisionnel ou d’influence :
    ce sont :
    – Le PAPC est soumis et obéit au chef de Daïra, celui-ci au Wali et ce dernier au Ministre de l’intérieur
    – Tous les secteurs de l’Etat, y compris les instituions ‘’élues’’ ou installées totalement ou en partie sont ainsi amalgamés et constituent la pyramide des ‘’décideurs’’ dont le sommet est constitué des fonctions dites de souveraineté …et au sommet du sommet son excellence le Président de la République
    – Tous sont nommés par décret Présidentiel y compris leurs collaborateurs proches ou lointains, centraux ou décentralisés, actifs ou en retraites etc…
    Un citoyen, cellule de base de la société, avec tout le respect du à cet honorable Moudjahid …

    louizette
    11 juin 2013 - 15 h 25 min

    Si l’armée n’avait pas été
    Si l’armée n’avait pas été là, l’Algérie, sous le Président Bouteflika, aurait été complètement disloquée..cela ne fait aucun doute pour moi..preuve en ait que, selon la presse, c’est les services de la DRS qui sont à l’origine des enquêtes visant les malversations au plus sommet de l’Etat..

    thileliAnonyme
    11 juin 2013 - 15 h 25 min

    bien dit maleh et je rajoute
    bien dit maleh et je rajoute que dieu protege notre pays et les gens honnetes et integres

    Walho
    11 juin 2013 - 14 h 50 min

    Le jour où l’on comprendra
    Le jour où l’on comprendra que le seul tuteur dans ce pays c’est la démocratie , ce jour là , l’Algérie aura fait un grand bond en avant dans la construction de son édifice institutionnel . On n’aura plus besoin de titiller la constitution pour lui demander de changer de posture , au gré des intérêts . comme un brouillon que l’incompétence gribouille avant de le jeter plus tard comme un kleenex plein de morve . Ce jour-là , les aboyeurs de service , ceux-là mêmes qui au nom de l’Intérêt Supérieur de la Nation dont ils se proclament dépositaires mais qu’ils écrasent allègrement et qui ont traumatisé et démoli tout un peuple , n’auront plus de raison d’être et seront mis aux oubliettes . Ce jour- là , ceux qui ont embobiné la joie et l’espérance de tout un peuple par des politiques démago-populistes , et qui , jamais rassasiés , assouvissent une soif inextinguible de richesses par le vol et la rapine . sauront que le jour de leur déchéance est arrivé . Ce jour-là , ceux qui ont franchi les limites de l’ Isstihya’a car n’ayant plus aucun frein à la descente vers la dépravation de toutes les valeurs morales allègrement abandonnées pour amasser , entasser , accumuler et amonceler des fortunes pharaoniques dans l’illégalité la plus totale ; ce jour – là , les incompétents notoires et les illétrés polyglottes , produits de la médiocratie et de la flibusterie érigées en mode de gouvernance , et que le système a entrainé dans l’engrenage mielleux de la gouvernance où l’impunité permet tous les dépassements , sauront que le pouvoir appartient désormais au peuple .

    Horizon
    11 juin 2013 - 14 h 39 min

    C’est avec les vieilles
    C’est avec les vieilles casseroles que l’on fait la meilleur soupe………..
    Rien ne vaudra jamais L’EXPÉRIENCE de la vie ……………
    La théorie s’est toujours effacée devant les individus ayant le poids des année .
    Vous vieillirais tous et vous le remarquerez a votre tour .
    Si vous vieillissez bien-sur ce que je vous souhaite à tous et me souhaite à moi même évidemment sur le droit chemin autant qu’a faire .

    Anonyme
    11 juin 2013 - 13 h 15 min

    Que la société civile et les
    Que la société civile et les partis, tous ensemble pour une fois, s’entendent et se retrouvent autour d’un consensus. 2014, année des élections n’est pas loin. Nous sommes à la croisée des chemins. Le pays a besoin de tous. Redonner confiance aux algériens à travers un scrutin transparent, libre, une plateforme démocratique, prenant en compte tous les aléas du moment. Donner la légitimité aux gouvernants. Le parti au pouvoir est révolu. La génération de Novembre a fait son Devoir. Aux autres générations de faire le leur et assez de faire appel à chaque fois à l’Armée. Depuis, cette armée a compris qu’ont s’est joué d’elle. Elle n’a fait que réparer les errements des politiques. Il n’y a qu’à revisiter, 1962, 1965 et 1978. La Constitution de 1989 était la plus moderniste, excepté celle de la Constituante de 1962 qui n’a pas vu le jour. Qui est responsable? Ce n’est pas l’armée à ce que je sache. Cette Constitution de 1989, aurait pu voir réellement le jour si Chadli, dans sa précipitation et sa non clairvoyance, n’avait pas fui ses responsabilités. Oui assurément, il a carrément fui non parce que l’armée le lui a demandé, mais parce qu’il avait engendré un monstre qu’il ne pouvait plus contrôler. Ce que nous avons tendance à oublier. L’histoire, elle, ne l’oubliera pas!

    abdelkader wahrani
    11 juin 2013 - 12 h 59 min

    ce vieillard Mechati
    ce vieillard Mechati soi-disant membre du groupe des 22, qui n´a même pas tiré une seule bal contre l´ennemi colonial. aujourd´hui a son age toute honte bue! il s´adresse a l´armée pour planger le pays dans le chaos, dans une guerre civile, dans destruction et le malheurs. au lieu de calmer les esprits, Mechati Mohamed incitait a la révolte,l´appel a la guerre civile.

    Anonyme
    11 juin 2013 - 12 h 48 min

    QUE DIEU BENISSE L’ALGERIE,
    QUE DIEU BENISSE L’ALGERIE, L’ANP, DRS, et les NATIONALISTES ALGERIENS. et les HARKIS-ISLAMISTES-WAHABITES-SIONISTES, et les ENNEMIS EXTERIEUR (..) SOIENT MAUDITS

    Mahdi
    11 juin 2013 - 12 h 46 min

    c’était prémédité. Un
    c’était prémédité. Un programme bien défini à commencer par l’école de benbouzid qui a vu naître des analpha-bètes multiculturel suivi du Programme de Destruction Massive de la population via le système de la santé publique (vaccins, outils de travail, hôpitaux, scanners, médecins etc, manquants) en parallèle des hords sauvage continue de faire le sale boulot, pillage des biens monétaires et stratégiques du pays par des vasseaux des puissances étrangères et on continue toujours à nous marteler que l’algérie va bien, que le président va bien, qu’il briguera un 4e mandat, que le printemps arabe ne nous touchera pas !
    el wadjh el m’tallass belk… des gouvernants !!!

    Ezzine
    11 juin 2013 - 11 h 12 min

    N’allons pas par 36 chemins
    N’allons pas par 36 chemins comme on dit !
    Qui est en train à l’heure actuelle en Syrie de nettoyer le pays des hordes terroristes-djihadistes, salafistes, wahabistes, etc.- et autres mercenaires de tout acabit sous couvert d’opposition armée ou non au pouvoir ?
    N’est-ce pas, dans un ultime sursaut, l’armée syrienne !
    Certes la souveraineté syrienne était menacée et le restera encore de l’extérieur mais ce sont les tonneaux de poudre enfouis intra-muros à la faveur d’une situation politique corrompue qui continuent d’exploser sur la figure du peuple, des militaires et des services de sécurité ; voilà maintenant deux ans et plus.
    C’est justement le pourrissement volontaire de la situation politique civile qui a conduit, l’armée idéologique syrienne à affronter cette guerre ! Appelez-là comme vous voulez !
    Si la Syrie n’est-elle pas comme l’Algérie, ne faut-il pas redouter une éventuelle conflagration du pays plus atroce chez nous. Celle-ci ne viendra-t-elle pas aussi et certainement de l’intérieur dont le front se fragilise de plus en plus et est laissé presque à l’abandon total ?
    Admettant la nouvelle stratégie de la guerre douce, l’étanchéité de nos frontières qui doit être absolument garantie, ne peut-elle pas outre mesure constituer une sorte de diversion. Dans ces conditions l’ennemi de l’intérieur ne continuera-t-il pas de préparer en toute sérénité sa guerre en y installant ses ingrédients hétérogènes.
    Aux prétentieux faut-il une fois pour toute leur expliquer qu’il ne s’agit plus du tout du « printemps algérien » qu’il ne faille plus craindre, mais ne s’agit-il pas de l’autre printemps ! Celui des forces du mal qui sont en train de le préparer d’arrache-pied pour notre pays. La fin des évènements en Syrie ne pointe-t-elle pas déjà à l’horizon. Prochaine cible : ALGER ! Malgré toutes les assurances de nos partenaires impérialo-sionistes. (الحرب خداع).
    Le constat : une démobilisation civile, une indifférence politique, une prolifération de lieux de loisirs et de prostitution illégaux pour pervertir la jeunesse, des problèmes sociaux à la pelle, une absence de sensibilisation, une communauté étrangère de plus en plus nombreuse et menaçante, et autres maux infinis. Les forces du mal ne peuvent-ils pas se réjouir de ce terrain favorable pour réaliser leurs desseins macabres.

    Le sursaut de toutes les forces vives de la nation algérienne n’est-il pas encore favorable ? Ou sera-t-il également ultime comme ce fût le cas malheureusement en Syrie. Ce pays ne paye-t-il pas encore un prix fort d’une certaine réserve et/ou prudence mal calculée dans le respect excessif des légalités nationales ou internationales.
    Ces légalités n’ont-elles pas été toujours utilisées comme attrape-nigaud par les américains et leurs auxiliaires occidentaux qui eux-mêmes les bafouent, pour tromper la communauté internationale dans le but de garder intact leur hégémonie sur le monde ?

    Mahdi
    11 juin 2013 - 10 h 51 min

    parce qu’il n’y a pas menace
    parce qu’il n’y a pas menace sur l’état ?? aller, aller, pas de fhoulia OUI tous aux ordres saghirouhoum et kabirouhoum ! en 90 l’armée est intervenue parce que la menace islamiste !!!!?? en 88 parce que les « gros bébé » du FLN ne s’entendaient pas !!!??? et maintenant que l’état algérien risque sérieusement de crouler, l’argent dillapidé, de vieux « charognard, voleurs et broutias » continue toujours à gouverner et dès qu’ils ont un petit bobo il partent tous chez fafa pour se faire soigner, le morcellement de l’algérie a déjà commencé, l’espace aérien violé par des forces armée, la venue du cheval de Troy turc en algérie etc. et vous dite que l’armée ne doit pas et ne va pas intervenir ???!

    AnonymeKELAM
    11 juin 2013 - 10 h 35 min

    que dire :que l ‘ALGERIE A DE
    que dire :que l ‘ALGERIE A DE LA CHANCE QUE SES ENFANTS(ANP) PROTEGE CE BEAU PAYS .

    nous avons les fils de ce pays qui sont toujours au garde a vous pour la patrie.
    nous souhaitons simplement une lutte contre la corruption et le bien être du peuple.
    ilarahame CHOUHADAS .ET QUE DIEU PROTÈGE TOUT LES ENFANTS DE CE PAYS QUI DÉFENDE CONTRE RÉPUBLIQUE;

    Anonyme
    11 juin 2013 - 10 h 31 min

    vive le president
    vive le president

    maleh
    11 juin 2013 - 10 h 19 min

    Concernant le désaccord entre
    Concernant le désaccord entre Zeroual et Chadli, voici ce qu’en pense Libé à l’époque :
    http://www.liberation.fr/evenement/0101155464-liamine-zeroual-general-providentiel-le-chef-de-l-etat-promet-d-ouvrir-le-dialogue-l-opposition-attend

    Karim
    11 juin 2013 - 10 h 00 min

    L’armée est au centre du
    L’armée est au centre du pouvoir et c’est très bien comme ça.

    Algérien
    11 juin 2013 - 9 h 55 min

    Le conseil constitutionnel
    Le conseil constitutionnel n’appliquera jamais notre fameux article 88 de la constitution pour des raisons bien connues des observateurs muets, le parlement des Bou-Chkaras (dans les deux sens) n’a pas l’habitude de défendre les intérêts de la nation, Tata Luisa et la tètes à claques alias Sellal, nous expliquent que les institutions de l’état fonctionnent le plus normalement possible sans président depuis… (Et de coup, on se demande à quoi sert l’article 88 ????), notre ministre des affaire étrangères nous dit que Bouteflika continue de donner des directives sans dire de quel Bouteflika s’agit-il précisément (l’ainé des malades ou le cadet des malades …) !!!! Monsieur Mechati demande à l’armée Algérienne et l’armée dit qu’elle ne peut rien…
    Quel solutions avons-nous de ce président qui ne veut ni mourir ni guérir ? La prière… La prière… La prière…
    Que dieu abrège ses souffrances et les nos souffrances par la même occasion.

    Anonyme
    11 juin 2013 - 9 h 53 min

    La plus grande gloire n’est
    La plus grande gloire n’est pas de ne jamais tomber mais de se relever a chaque chute et si l’homme atteint un certain age il est plus sage de donnez l’étendard a un plus jeune le voir travailler et le conseiller .

    Mouh
    11 juin 2013 - 9 h 18 min

    Vive l’anp. A bas les
    Vive l’anp. A bas les baratineurs.

    maleh
    11 juin 2013 - 9 h 12 min

    Allah Iarham Ben M’hidi et
    Allah Iarham Ben M’hidi et Abane.

    Mansour
    11 juin 2013 - 9 h 11 min

    La situation actuelle
    La situation actuelle n’honore ni l’ANP ni le pouvoir civil.La camarilla tient à ses privilèges et ne veut rien lâcher,quitte à s’accrocher à un homme au bout du rouleau.Jusqu’à quand?

    Nenuphar
    11 juin 2013 - 8 h 29 min

    Encore un appel à l’armée.
    Encore un appel à l’armée. C’est dire que la société sait que c’est cette armée qui dirige, en sous mains, le pays. C’est elle qui tire les ficelles des marionnettes qu’elle place sur le « trône » sans prérogative.
    Il suffit de voir, lors des « festivités » nationales, l’entourage du président et de ses prédécesseurs, formé exclusivement de hauts gradés pour dire sans se tromper que c’est l’armée qui organise et vend au peuple ces tribunes.
    L’armée est comme la société civile vérolée par la « famille révolutionnaire ». Elle se paie sur la bête de l’avoir libéré du joug colonial pour mieux la coloniser à son tour et comme tout colon, il est hors de question pour elle d’abandonner le table du festin sauf à y être chassée du pouvoir politique.
    Elle doit donc être contrainte par le pouvoir politique de rester dans ses casernes et laisser la société civile diriger le pays qui en a marre de ces généraux, du DRS et de cette « famille révolutionnaire » qui sont toujours là telles des teignes accrochées à leur proie.

    Anonyme
    11 juin 2013 - 8 h 27 min

    Merci pour cet
    Merci pour cet article.
    Certaines personnes naive,ignorant ou corrompu pense qu’en etat de guerre où nous sommes,la glorieuse ANP fidele a l’ALN allait participer a la destabilisation de notre patrie.
    Qu’il sache que les anciens traitres de l’ANP ont été il y a lontemps dégagé (…,…)
    En etat de guerre où nous sommes Bouteflika a prouvé inéluctablement sa loyauté et son devouement a sa patrie.
    Il restera inshalah jusqu’en 2014 et si en 2014 il jugera qu’il a la capacité physique de continuer alors il briguera un 4eme mandat.
    Meme si les américano sionistes veulent notre destruction et qu’ils n’hésitent pas a infiltrer certains,ils ne pourront rien faire
    Des hommes fort et loyaux protegent cette patrie.
    Vive Bouteflika,qu’Allah(swt)lui donne la santé pour continuer la résistance
    Vive l’ANP fidèle a notre ALN
    Vive l’Algerie.

    Horizon
    11 juin 2013 - 7 h 58 min

    L’armée est un état dans
    L’armée est un état dans l’état et personne ne sen plaindra.
    R.A.S : CIRCULER IL N’Y A RIEN A VOIR .

    Samir
    11 juin 2013 - 7 h 51 min

    garants de la stabilité
    garants de la stabilité

    Samir
    11 juin 2013 - 7 h 50 min

    Vive notre glorieuse ANP, ses
    Vive notre glorieuse ANP, ses soldats et ses officiers arants de la stabilité du pays. Que Dieu les protége tous.

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