L’après-Bouteflika a été programmé bien avant sa maladie

La maladie de Bouteflika ne change rien à la donne politique, contrairement à ce que de nombreux analystes et médias tentent de prouver. L’après-Bouteflika a été préparé dès après son élection au troisième mandat et il n’a jamais été question d’un quatrième. Les appels de certains cercles à Bouteflika de rempiler une quatrième fois n’étaient qu’un leurre. Le président en exercice ayant décidé depuis longtemps de prendre sa retraite dès 2014, voire avant. Des personnalités proches du cercle présidentiel affirment même que c’est presque à contrecœur qu’il aurait accepté de se représenter en 2009. Les décideurs ainsi que ses conseillers les plus proches l’auraient convaincu de la nécessité de mener à terme son programme «loin d’être achevé» pour de multiples raisons et de ne pas raccrocher jusqu’à ce que soient mises en place de véritables institutions qui pourraient, après son départ, récupérer les prérogatives qu’il a concentrées entre ses mains depuis son accession au pouvoir en 1999 et rééquilibrer, ainsi, les attributions des différentes instances dirigeantes. Les événements survenus dans le monde arabe en janvier 2011 et dont l’onde de choc a atteint l’Algérie sans que cela soit réellement perceptible – le pays ayant été épargné par les manifestations à grande échelle qui ont débouché sur le renversement de chefs d’Etat –, n’ont fait qu’accélérer l’option du départ de Bouteflika, annoncé lui-même lors d’un de ses discours qui se sont raréfiés ces dernières années en même temps que diminuaient ses déplacements à l’intérieur et à l’extérieur du pays jusqu’à ce que sa maladie l’en empêche définitivement. Ne pouvant pas recourir à l’article 88 de la Constitution qui évoque la destitution du président en exercice en cas d’empêchement – ce qui est le cas depuis pratiquement 2005 –, les centres de décision savent qu’une telle option fragiliserait davantage un système politique chancelant où la seule institution autour de laquelle se fédérerait le peuple en cas de grave crise est l’armée. Les citoyens nourrissant un ressentiment viscéral envers les trois autres composantes du pouvoir que sont le Parlement, le gouvernement et la justice. L’armée se verrait alors dans l’obligation de s’ingérer ouvertement et directement dans la sphère politique comme elle en a été obligée en 1992 et comme c’est le cas actuellement en Egypte où le pays risque de basculer irrémédiablement dans une violence sans fin. Or, l’armée ne peut se permettre de se détourner de sa mission de défense de l’intégrité territoriale dans un contexte géopolitique périlleux. Le règne sans partage de Bouteflika a «fantomisé» les institutions qui étaient censées équilibrer le pouvoir et représenter le peuple. Les décideurs, bien que tentés d’ouvrir le champ des possibles à une élection présidentielle trop longtemps soumise au bon vouloir de la hiérarchie, tâtonnent en attendant de trouver la solution la moins mauvaise pour le pays qui devra démarrer sur de nouvelles bases à partir de 2014. Autrement dit, tout est à refaire.
M. Aït Amara
 

Comment (58)

    SiZineddine
    11 juillet 2013 - 10 h 50 min

    Ils sont assez nombreux, des
    Ils sont assez nombreux, des hommes comme lui qui ont défendu l’Algérie, avant et après l’indépendance. Il était revenu d’Indochine avec des médailles alors qu’il n’avait qu’un vingtaine d’années. Il avait été approché par des commissaire révolutionnaire qui avait sapé le morale des soldats français. Les soldats des colonies étaient revenus conscient de leur états de citoyens ne représentant qu’un deuxième collèges. Ils fut approché en 1950 par les commissaires politiques. La révolution d’après une valise en fer qu’on souvent les militaires de carrières est remplies de dossier de procès verbaux remplis par ce terme qui revient en gras sur chacune des page « Association de malfaiteur ». Des procès verbaux datant de 1956 mentionnait mon père comme association de malfaiteur. Il fut condamné à mort deux fois. La première fois où il pu s’échapper de la prison de Mostagnem après un incendie que ses compagnon de combat et feu Boudebza qui tomba plus tard au champs d’honneur avec Messaoul(Grand père de Yasmina Khadra. Yasmin Khadra dont le père et le grand père avait porté les armes contre le colonisateur).
    Mon père fut promus au rang du chef de la zone 6(Saïda). Son nom de Djebel était Si Zineddine, nom avec lequel, il a toujours signé tout document jusqu’à son décès en 1993 d’une hémiplégie, la même que ce Bouteflika aujourd’hui, mais mort d’avoir injustement été considéré malgré son combat héroïques. La chanson disait de lui «  Que si vous entendez des coup de feu, sachez que si Zineddine est dans les parages ».
    Il était célébré par tous les courtisan et les chanteurs et poètes de la région. La deuxième fois quand il fut capturé par le colonisateur, il a été incarcéré à la prison d’Oran. On appelait la maison de ma grand mère, la maison du chef au point qu’un voisin de l’OAS avait pris mes grand parents comme cible. Deux charge de plastic l’avait fait voler en éclat et avait enterré les occupants. Mais grand parents avaient cherché à se réfugier ailleurs. Tout le monde les a chassé de peur de subir les représailles de l’armée française ou sa milices l’OAS qui agissait pendant le couvre feu.
    Avant les charges de plastic de l’OAS, il y eu le char qui est arrivé et un officier vociférant que s’il avait trouvé la moindre preuve, il passerait la maison sous le char comme le font aujourd’hui les israéliens pour les combattant palestiniens.
    Les soldats français avaient fouillé partout. Les avocats qui ont ruiné ma grand mère qui était obligé de vendre tout son or, jusqu’à ses bracelets offerts en dote de mariage par mon grand père, étaient tous là. Deux bâtonniers étaient dépêchés grâce au téléphone arabe. Sans cela, la maison aurait été déjà sous les char qu’il y eu preuve ou pas. Les preuves étaient là sous le matelas d’une tantes qui parlait couramment espagnol et qui avait le look d’une françaises car elle avait les yeux trop clairs et une peau trop blanche pour une indigène. Il psalmodiait des mot en espagnole. Il l’ont prise pour l’une des locataire espagnoles qui occupaient en même temps que mes grand auparavant la maison. Oui, toute l’architecture de l’organisation, les laisser passer, les noms, les places et les lieux étaient là sous le matelas de la pseudo-espagnoles qui feignait souffrir et à qui beaucoup de personnes doivent la vie car ce jour là, elle a joué formidablement la comédie. Sans son talent, c’est toute la zone6 qui était anéantie. Les soldats ont même mis la main dans les fosses des toilettes pour trouver une quelconques preuve.
    J’ai compris plus tard pourquoi chaque semaine ma mère rendait visite à cette tante jusqu’à sa mort. S’occupait d’elle et regardait si elle ne manquait de rien. Deux femmes de la famille se relayait chaque semaine pour lui faire son ménage, lui cuisiner des plats et l’emmenait une fois par semaine au hammam. Elle était vieille et malade mais son talent de comédienne avant l’indépendance avait sauvé plusieurs vie et qu’il se peut que l’oranie tant convoité par le colonisateur serait peut être encore française aujourd’hui car Oran était la capitale de l’OAS.
    Les chars ne sont pas passé mais l’OAS est passé une semaine plus tard avec ses charges de plastic.
    ….
    Après le cessez-le feu, mon père et ses compagnons condamnés à mort et incarcérés à la prison d’Oran, furent libérés.
    Les femmes de la familles se réveillaient à 4 heure du matin pour aller à la prison porter les repas des prisonnier car l’administration carcérale française ne les nourrissait pas, les empêchait même de boire de l’eau. On les laissait mourir de faim et de soif. A 4 heure du matin, la chaine à la prison d’Oran était déjà longue. Les gardiens de la prison qui étaient tous d’origine espagnole et naturalisé français aspergeaient d’eau froide en plein mois de décembre toutes ces femmes qui faisaient la queue à l’aube attendant de pouvoir livrer les repas au prisonniers incarcérés pour association de malfaiteurs. .

    Après les accords d’Evian, l’amnistie, les condamnés à mort ont échappé à la guillotine de la prison d’Oran, la célèbre guillotine qui avait tranché la tête de feu Zabana(Zahana) et qui en a tranché d’autres après lui.
    Ils étaient tous la dans cette prison pour passer à la guillotine.

    Après l’indépendance, ces moudjahidines seraient obligé de lutter contre un autre assaillant à Tindouf ou mon père eu une pleurésie.

    La suite de nos souffrances, de notre légitimité viendra après dans un livre que les algériens liront tous pour apprendre à quel point ces imposteur arrivé du Maroc nous ont confisqué l’indépendance et nous ont toujours persécuté.
    Leur légitimité est la langue arabe littéraire qu’ils savaient parler car ils étaient à la Medersa d’Oujda et d’Agadir sur les banc de l’école arabe et dans les lycées marocain ou les université du Caire. Il apprenaient à gérer le pays libéré du danger coloniale français qui avait pour mission de réaliser un génocide, effacer l’identité algérienne à sa racine. Les autres, ceux qui se préparaient dans la paix du Maroc, de Tunis et du Caire, ceux qui faisaient la révolution par correspondance, c’était ceux là qui allaient devenir nos maitre et vendre l’Algérie à un autre colonisateur. Celui là même qui nous a détruit voilà plus de 15 siècle faisant de nos femmes leur jarryates et de nos enfants leur gholam. Ils sont arrivés de partout après l’indépendance au point que les indigènes, ceux là meme torturé et emprisonnés dans les geôles du colonisateur n’avait jamais vu avant. Ces nouvaux algériens d’adoptions étaient venus nous gouverner comme ces tlemceneen de l’ouest qui ne sont en réalité que des marocains ou personnes qui ont choisi l’exil au royaume, le royaume qu’ils nous ont confisqué car eux parlent arabe littéraire et les vrai moudjahidine ne sont que des traitres puisqu’ils ne maîtrisent que la langue du colonisateur qu’ils ont vaincus.
    Sorti d’une colonisation, ils avaient à affronter une autre, plus malicieuses, moins apparente et qui pourtant 30 années plus tard avait plongé le pays aune autre fois dans les braises.
    Gloire à mon père qui vous répondra à titre posthume …Un parmi d’autres à qui on a confisqué l’indépendance de son pays.

    Anonyme
    10 juillet 2013 - 18 h 29 min

    @Syriano:
    Quel délire sur la

    @Syriano:
    Quel délire sur la personne de Kasdi Merbah. Quelles sont les preuves en votre possession qui indique une telle accusation de haute trahison de la par de Kasdi Merbah. Mais à mon avis vous faites dans la diffamation. Je vous défie d’apporter une seule preuve de ce que vous avancez, à quels moment Kasdi Merbah a séjourné aux USA, quels responsables américains a t il rencontré. La pseudo libéralisation de l’économie (qui n’en était pas une car les caisses était vide) date du gouvernement Hamrouche, des mois après son exclusion du pouvoir en Septembre 89. Enfin essayer de lui coller la responsabilité de l’arrivée de Chadli au pouvoir en 79 est malhonnête, car c’était une décision collégiale prise à l’ENITA, il c’est rallié tout simplement à la majorité du commandement: Belhouchet, Abdelghani, Chelloufi, Benyelles…

    @RAIS:
    Quels respects vous pouvez avoir pour vos héros que vous réduisez leur nom a quelque chose qui ressemble à une marque d’électroménager (AEK). L’Emir Abdelkader a été un grand stratège et résistant jusqu’a la traitrise de la Tafna. Après ce traité, il ne devient qu’un simple autocrate frappé de mysticisme jusqu’à sa déchéance et sa honteuse rédition. Messali le Zaim adepte du culte de la personalité faisant un holdup sur l’ENA au détriment de ses véritables fondateurs et animateur que son Amar Imache,Belkacem Radjef, Si Djilani, Ahmed Yahiaoui, Rabah Moussaou. Heureusement qu’il ya eu le 1° Novembre 54, le poussant à montré son vrai visage, un traite adepte du culte de la personnalité.
    Les autres anonymes n’existent pas car planqués à Oujda, Meknes … 5 wilayas sur 6 avait leur PC et QG sur le sol national sauf une la wilaya 5. Ce n’est pas un hasard si le détournement de l’indépendance c’est fait lors d’une réunion d’assoiffés de pouvoir à Tlemcene poignardant dans le dos tous les chouhadas.

    abdelkader wahrani
    10 juillet 2013 - 13 h 27 min

    la falsification de
    la falsification de l´histoire ne profitera qu´a de tristes personnages embusques, comme ils toujours été.

    Philanthrope2BabEloued
    10 juillet 2013 - 12 h 52 min

    Tout le clan d’Oujda,
    Tout le clan d’Oujda, d’Agadir, de Merakech dont Bouteflika et ce president du sénat sont marocains d’Agadir, d’Oujda, de Merakech. Verifiez leur extrait de naissance qui se trouvent à Nantes et sont accessibles. Eux et leur parent sont marocains. En somme ils ont mis la main sur les places commerciales les plus stratégiques à l’ouest ou j’ai pu vivre pendant quelque années. Leur villa pour certains sont bêti sans debourser un centime, mais c’est les puits de Hassi Messaoud et Sonatrach qui a payé leur villa à la Beverlay Hill. Ils ont les meilleures place dans le gouvernement. En même temps les habitants originaires reellement de l’ouest, ceux qui vivaient les affres du colonialisme, ceux qui ont vécu les arrestation, la torture et qui ont perdu des membre de leur famille, ceux là sont restés pauvres. Ils regardent encore ces tlemceneen par adoption et marocain d’origine, se gaver.

    syriano
    9 juillet 2013 - 21 h 54 min

    @ Anonyme (non vérifié) | 9.
    @ Anonyme (non vérifié) | 9. juillet 2013 – 11:27
    Salam,
    Kasdi Merbah a été un précurseur pour la libéralisation économique de l’Algerie et pour la privatisation.
    Il a beaucoup contribuer pour que Chadli devienne président et pour qu’il libéralise l’economie.L’importation a connu le summum encore jamais atteint a cette époque a cause de Kasdi Merbah.Kasdi Merbah a été la personne qui s’est impliquer volontairement pour nouer les premier liens avec les USA,il est connu pour avoir organiser la premiere rencontre officiel de l’Algerie avec les USA(apres celle de Ben Bella en 1962,sauf que Ben Bella est allé juste apres a Cuba aupres de Fidel et Cheguevara,ce qui n’a pas hésité a rendre Kennedy furieux).
    Kasdi Merbah avait des liens tres étroits avec les USA et etait un haut responsable dans le contre espionnage.
    Les USA ont toujours infiltré les armées arabes,il n’y a qu’a voir l’armée egyptiennes ou saoudiennes pour comprendre.
    J
    Cependant il est vrai lorsque vous dites que Bouteflika a une influence tres faible pour la fixation du prix du pétrole.
    C’est vrai ce sont les USA qui fixe les prix.
    Ils ont infiltré l’OPEP et dans la réalité du terrain pratiquement aucun pays respecte les accords sur la quantité du pétrole exporté.Je ne vais pas vous contredire sur ce point,bien sur que c’est la mafia sioniste qui fixe les prix,le pétrodollar a été mis en place par la mafia la plus puissante au monde,au-dela des USA et malheureusement l’Algerie ne peut pas faire grand chose.
    On pourrait prendre exemple sur l’Iran qui a inventé en 2008 une Bourse internationale iranienne du pétrole qui n’echange plus son pétrol avec du dollar mais avec de l’OR,ainsi en mettant a mal la suprématie du dollar.
    Cependant si on fait cela,nous serions attaqués avant la fin de la semaine.
    Sommes-nous assez fort pour défier la mafia la plus puissante au monde???
    Avant de pouvoir faire ceci,il faut d’abord établir un etat avec une armée puissante et une industrie élaboré(ok pour l’armée,nous sommmes dans une bonne perspective mais pour l’industrie….)
    Bref,pour revenir au sujet,Chadli,alah y rahmou a été un homme patriote mais completement incompétent du fait de sa politique de libéralisation qui a ruiné et nous a rendu des tubes digestives,champion du monde de l’importation.Ceci dit je ne lui en veut pas car c’est bien sous l’impulsion de Kasdi Merbah que c’est passer tout ceci.
    Vive Bouteflika,Vive cheikh Toufik
    Vive l’ANP
    http://fr.wikipedia.org/wiki/Bourse_internationale_iranienne_du_p%C3%A9trole

    Anonyme ( Times)
    9 juillet 2013 - 21 h 25 min

    Sans me rendre compte ( sans
    Sans me rendre compte ( sans regarder le pseudo) j’ai commencé à lire la réaction de ce type meddaha personnel de Boutef à peine avoir lu deux ligne j’avais déjà la nausée. J’ai regardé le pseudo …. Quel lèche botte on dirait Dariyassa chantant, en 1975, la politique des village socialistes de Boukherrouba.

    RAIS
    9 juillet 2013 - 21 h 04 min

    A Lydia!
    Tiens il n’est plus

    A Lydia!

    Tiens il n’est plus Marocain maintenant il est tlemcenien!

    RAIS
    9 juillet 2013 - 20 h 59 min

    A l’anonyme du 09/07 11.27.
    A l’anonyme du 09/07 11.27. qui n’ose pas se dévoiler même par un pseudo, et à eliamine qui nous fait l’histoire que l’Algérie fut libérée grâce à une alliance de berger(chawi) et des montagnards(kabyle)Je m’éclate de rire quand je pense que le travaille de fourmi fourni par des stratèges tel le grand émir AEK , Le zaim Messali hadj, el mokrani,ont été les fédérateurs du peuple Algériens , un travaille de fonds que beaucoup attendaient cacher derrière les rideaux pour cueillir le fruit mur qui est le novembre 54.Non messieurs ne vous figez paz pa sur vos héros spontanés et ponctuels et revoyez l’histoire et la préparation de novembre 54 à commencer par l’étoile nord africaine, puis le ppa et ensuite le fln.Ces grands leader ont reussi un travail que la puissance coloniale a démolie, ils ont ramené à la raison les bouseux montagnards avec leur cousins bergers de l’est qui ne savaient pas faire la difference entre le frère et l’ennemi, il tuait son propre frère pour plaire aux colons et l’histoire le démontrera bientôt.Cesez de nous sortir cet rengaine avec vos héros car si on doit citer des noms je pense que la balance se penchera du coté ouest.Qui n’ont jamais trahis el merhoum boudiaf votre drs qui semble veiller sur les intérets de ces genenaux comme c’est le cas présent des gradés égyptiens qui veulent sauvegarder leur privilèges par des coups d’états(je suis loin d’être un pro morsi ou un frerot musulman).

    « De tout temps, l’Algérie n’a pu relevé la tête et faire face qu’avec une alliance entre les chawis et les kabyles (Krim Belkacem et Benboulid qui sans cette alliance jamais il n’y aurait eu de premier novembre, Abbane Remdhane et Benmehidi le congrès de la Soummam n’aurait été possible, Si Amirouche et Si el Haouès… »avec tous le respect que je leur doit c’est toujours les mêmes noms qui reviennent, ou sont les autres anonymes qui ont fait beaucoup plus mais qui préfèrent rester dans l’anonymat et ne veulent pas servir de fonds de commerce à des personnes en manque de reconnaissance.

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