La question de l’article 87 bis sera définitivement tranchée lors de la prochaine tripartite

Le gouvernement est-il décidé à en finir avec l’article 87 bis du code du travail ? Pour le ministre du Travail, Tayeb Louh, la question sera définitivement tranchée lors de la prochaine tripartite. Il a affirmé aujourd’hui à Alger que cet article régissant les relations de travail fera l’objet d’un débat entre les partenaires sociaux, le patronat et le gouvernement à l’occasion de la prochaine tripartite, afin de prendre les décisions nécessaires à son amendement. Le ministre a assuré avoir reçu les propositions du groupe de travail tripartite installé en 2011 pour traiter ce dossier controversé. Les propositions du groupe de travail vont, d’après lui, dans le sens de la révision de l’article 87 bis du code du travail. Cet article inclut dans le calcul du salaire minimum national garanti (SMNG) à la fois le salaire de base, les primes et les indemnités, quelle que soit leur nature, à l’exception des indemnités versées pour payer les dépenses assumées par le travailleur». Le ministre défend ainsi la nécessité d’amender cet article pour qu’il soit conforme à la politique des salaires en vigueur actuellement et avec la réforme de la fonction publique. Il considère que «son maintien en l’état entrave ladite politique des salaires, d’où l’impératif de le réviser». La suppression de l’article de 87 bis a été le cheval de bataille de l’UGTA depuis plus d’une décennie. Le gouvernement s’y est à chaque fois opposé arguant du coût financier insupportable pour l’Etat.
Sonia B.
 

Comment (9)

    Anonyme
    4 décembre 2013 - 17 h 31 min

    si cet article 87 bis ne
    si cet article 87 bis ne touche pas les pensions des retraites vaux mieux ne pas le changé ou supprimé il creera un desastre pour les retraités

    Anonyme
    4 décembre 2013 - 17 h 31 min

    si cet article 87 bis ne
    si cet article 87 bis ne touche pas les pensions des retraites vaux mieux ne pas le changé ou supprimé il creera un desastre pour les retraités

    Anonyme
    27 novembre 2013 - 22 h 21 min

    qui pays faute
    qui pays faute

    Anonyme
    27 novembre 2013 - 22 h 21 min

    qui pays faute
    qui pays faute

    BELHADJ Bechar
    20 juillet 2013 - 21 h 48 min

    Permettez moi a cet occasion
    Permettez moi a cet occasion de présenter a tous les algeriens ramadan karim et je remerçi dieux d’avoir guérri notre PRESIDENT ABDELAZIZ BOUTEFLIKA en lui souhaitant une longue vie pleinne de joie et de bonheur,et a permettez moi de dire a tous les retraitées de la suppression de l’article 87 bis,nous permet d’une augmentations énorme car,il nous permet au moins une augmentations minimum,nous qui encaisse 17500 dinars plus de 2500 dinars mensuel sans compter le changement du SNMG qui va monter au moins 3000 da a 5000 dinars,ce qui nous permet de gagner 5500 dinars par mois au prochain tripartie qui se siégera en septembre 2013.

    mahdi
    20 juillet 2013 - 21 h 10 min

    du moment que 98% des
    du moment que 98% des recettes de l’algérie proviennent des hydrocarbures, et que le tissus industriel ne représente pratiquement rien dans la balance alors on se demande sur quelle base est établi ce SNMG ? Je crois que l’information principale que AP n’a pas cité c’est que ce Louh veut privatiser la sécurité sociale ? Alors en l’absence de Khalifa quelle banque ou groupe prendra en charge les 12 milliards de dinars annuel pour le remboursement des médicament ? à moins que ces nabot ne voient que leur bout du nez, tout en nous prenant pour des imbéciles ! Gros sous à l’horizon ya si Louh

    abdelkaderderamchi
    20 juillet 2013 - 17 h 22 min

    si cet article 87 bis ne
    si cet article 87 bis ne touche pas les pensions des retraites vaux mieux ne pas le changé ou supprimé il creera un desastre pour les retraités qui subiront l’inflation generale a laquelle nous sommes depuis plusieurs années soumis.sauf au cas d’ajournement et d’ajustement de nos pensions.

    [email protected]
    19 juillet 2013 - 11 h 37 min

    il y a que les salaries qui
    il y a que les salaries qui pays sérieusement les impôts, pour ce qui est de l’article 87bis ce n’est qu’une injustice a l’encontre des travailleurs avérée.

    AL
    18 juillet 2013 - 22 h 15 min

    Les présumés  »décideurs »
    Les présumés  »décideurs » de la politique économique se divise en quatre catégories :
    ceux qui cherchent et trouvent
    Ceux qui trouvent sans chercher,
    Ceux qui cherchent sans trouver.
    Ceux qui ne cherchent pas et ne trouvent pas

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