Abdelmalek Sellal : «L’Algérie n’interfère pas dans les affaires internes de la Tunisie»

Le Premier ministre Abdelmalek Sellal a affirmé, aujourd’hui mercredi à Tébessa, que l'Algérie œuvrait pour la stabilité de la Tunisie sans interférer dans ses affaires internes. «La Tunisie est un pays frère pour lequel nous souhaitons du bien et pour la stabilité duquel nous œuvrons», a indiqué M. Sellal lors d'une rencontre avec les représentants de la société civile, dans le cadre d'une visite d'inspection dans cette wilaya. «L'Algérie n'interfère pas dans les affaires internes des pays voisins, partant du principe fondamental de sa politique extérieure», a-t-il ajouté. «On nous a demandé conseil et nous avons répondu à cette demande pour rapprocher entre nos frères tunisiens afin qu'ils puissent trouver des solutions aux problèmes que connaît leur pays», a fait savoir le Premier ministre. Le président de la République, Abdelaziz Bouteflika, avait reçu en septembre le président du Mouvement tunisien Ennahda, Rached Ghannouchi, et l'ancien Premier ministre tunisien Béji Caid Essebsi.
R. N.
 

Comment (4)

    Anonyme
    5 octobre 2013 - 8 h 15 min

    3 réactions et ce sont celles
    3 réactions et ce sont celles de la patientèle !

    SiZineddine
    3 octobre 2013 - 6 h 41 min

    Sellal a encore sorti une
    Sellal a encore sorti une bourde hier. El Ma3dnous. Il a dit que quand un citoyen doit aller acheter ElMa3adnous, il doit se déplacer loin. Sellal doit être un bon cuisinier.

    AL
    2 octobre 2013 - 20 h 33 min

    Le wali, le chef de daïra et

    Le wali, le chef de daïra et le maire
    (le quotidien d’Oran 18.8.2013°
    (…)L’Algérie est l’un des rares pays au monde où le maire, comme au cinéma, joue le rôle d’un figurant.
    Ce représentant du peuple détient, certes, les clés de la ville mais n’as pas l’autorisation d’ouvrir ses portes.
    Au vu de l’importance et de l’envergure du wali, certains pensent que le maire est un «éboueur». Car à la longue, on a vidé les textes régissant la fonction du maire de leur substance comme on vide un poulet de ses viscères.
    Mais, la mission de cet édile dans les états de droit qui se respectent est noble et bénéfique à plus d’un titre.
    Depuis l’instauration du parti unique au lendemain de l’indépendance du pays jusqu’à l’avènement du multipartisme consacré par la constitution du 23 février 1989, le président de l’APC, nouvelle appellation du maire, dont la fonction n’a pas changé d’un iota est le seul responsable local à être le premier sacrifié sur l’autel, soit pour avoir contrarié ses pairs à l’assemblée, soit pour avoir dit Non aux hommes forts de la ville en l’occurrence le wali et le chef de Daïra…

    Anonyme
    2 octobre 2013 - 19 h 31 min

    Mettez donc de l’ordre dans
    Mettez donc de l’ordre dans la maison Algérie que vous avez détruit, corrompu, destabilisée vous et votre clan d’Oujda, avant de vous mêlez de ce qui se passe chez le voisin tunisien qui s’en sortira de lui-même. Que chaqun balaie dans sa cour. La seule que vous puissiez faire d’intelligent pour régler la menace terroriste à nos frontières, c’est de creuser des tranchées et les miner, on ne peut pas mettre un solde à tous les mètres de nos immenses frontières.

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