Comment Abdelaziz Belkhadem et ses soutiens ont tendu une «embuscade» à Amar Saïdani

Les promoteurs d’Amar Saïdani à la tête du FLN sont-ils en train de tourner leur veste ? Selon des sources sûres, la présence d’Abdelaziz Belkhadem ce samedi à la rencontre avec les élus a été minutieusement préparée par un groupe de cadres ayant permis l’intronisation de Saïdani à la tête du FLN. Sentant le vent tourner, ce groupe, ajoute notre source, cherche à s’adapter rapidement à la nouvelle situation, en cherchant activement une solution de rechange à Amar Saïdani, qui s’est fortement compromis par son engagement total pour un 4e mandat en faveur du président Bouteflika, une probabilité qui s’éloigne au fil des jours. «Onze cadres se sont rendus hier soir au domicile d’Abdelaziz Belkhadem à qui ils ont demandé de revenir en lui exhibant les signatures des membres du comité central qui veulent la destitution de Saïdani. Parmi ces cadres, il y a Layachi Daâdouaâ, ancien chef du groupe parlementaire, Brahim Boulahia, sénateur et mouhafadh de Batna et Boualem Djaâfar, également sénateur et mouhafadh de Sidi Bel-Abbès. Après une longue discussion autour d’un café, le groupe des onze a réussi à convaincre Belkhadem d’aller à cette rencontre pour se remettre au-devant de la scène dans la perspective d’une nouvelle session du comité central annoncée par les frondeurs. Une opération réussie puisque sa présence a éclipsé celle de Saïdani. Ce dernier s’est rendu compte tardivement de ce «coup tordu» qui le vise personnellement. C’est pour cela qu’il a écourté son intervention lors de la rencontre avec les élus et invité les journalistes à une conférence de presse pour demain au siège du parti. «Ses soutiens commencent à se rendre à l’évidence. La révision de la Constitution n’a pas eu lieu et la candidature de Bouteflika pour un nouveau mandat est de plus en plus incertaine, deux revendications chères à Saïdani. Les rangs des contestataires grossissent de jour en jour, renforçant ainsi son isolement», poursuit notre source. Ces manœuvres interviennent au moment où les frondeurs préparent une session du comité central. D’après l’un des proches d’Abderrahmane Belayat, ils sont sur le point de mettre en place la commission des candidatures au poste de SG. La session sera convoquée avant la fin du mois. Ce qui explique ces tentatives de faire revenir Abdelaziz Belkhadem pour remplacer Saïdani, qui est en perte de vitesse par rapport au camp de Belayat. Amar Saïdani sera-t-il l’arroseur arrosé ?
Hani Abdi

Comment (17)

    Nass!ma
    13 janvier 2014 - 18 h 25 min

    Par boumi (non vérifié) | 12.
    Par boumi (non vérifié) | 12. janvier 2014 – 17:01
    C´est à moi de vous remercier ,car finalement c´est vs qui avez ouvert le dialogue en quelque sorte pour me permettre d´en prendre part dans le but d´informer . Je n´ai fait que compléter votre idée . Ce Sujet m´intéresse et si le sujet ne me dit rien, je n’aurai pas de plaisir à rédiger sinon le sujet ne s’écrira pas bien et rapidement. Et grâce à des gens intélos comme Nasrou et vous ,j´ai pu partager mes modeste idées sur ce Sujet avec vous tous .

    NB : excusez mes fautes de frappe qui se sont glissées ds le Sujet ;(

    Mes salutations respectueuses et cordiales

    Anonyme
    13 janvier 2014 - 16 h 42 min

    DANS CE BAS MONDE IL Y’a les
    DANS CE BAS MONDE IL Y’a les rusés etles malins ,ça me rappelle la fable du corbeau et du renard !

    Anonymesalam
    13 janvier 2014 - 13 h 37 min

    A Chaque echeance electorale
    A Chaque echeance electorale , c’est toujours la même Zerda qui se repete sans cesse. M.SAIDANI qui vous a mandaté pour parler au nom du President BOUTEFLIKA , qui vous a autorisé à parler au nom de nos valeureux Chouhadas mort pour que vive l’Algerie indépendante ? Ou etiez vous lors de la decennie noire ? Arrêtez
    votre cirque et rentrez chez vous.

    Mon opinion
    13 janvier 2014 - 5 h 10 min

    Salam,
    Regardez moi cet

    Salam,
    Regardez moi cet imbécile heureux. Je croyais qu’ on l’ avait mis à la porte, mais non! Le voici revenir défonçant la fenêtre par effraction! La médiocrité dans tout son état…
    Qu’ a t-il apporté apres toutes ces années au service de la RDPA?
    Se pose t-il au moins la question?
    Pourquoi n’ a t-il pas changé le sigle RDPA?
    Pauvre Ouhayhia qui avait dit alors qu’ on le poussait vers la sortie, si je dois partir, alors il faut qu’ on parte tous. Je crois bien que vous vous êtes fait avoir par plus malin que vous.
    Décidement ce fakir charmeur de serpents en a hypnotisé plus d’ un.
    @ saine politique, trés bien votre commentaire, plein de vérités.
    Toutefois on peut être religieux et faire du trés bon boulot, mais dans le cas de ce personnage c’ est de l’ hypocrisie sans vision futuriste, doublé d’ une bigoterie mièvre afin d’ amadouer un maximum de partisans. Pour ce qui est du sort des hypocrites Dieu leur réservent un châtiment douloureux.

    saine politique
    13 janvier 2014 - 0 h 17 min

    Définition du politiciens
    Définition du politiciens algériens : sans stratégies, sans vision aucune ne serait ce qu’à très, court terme. Il gère dans l’urgence et la précipitation. Sans motivations. Aucun idéal philosophique ou politique. Imperturbable. Sans abnégation. Paradigme : aucun. En revanche très religieux, obsessionnellement religieux. Bigot.

    Nos politiciens sont à l’image de nos industriels, de nos importateurs, de nos fonctionnaires, de nos forces de sécurité. Ils vivent de chapardages, de petits larcins. Ils vivotent à la petite semaine prélevant leur dîme soit 10 dinars par ci 20 dinars par là. Mais compte tenu de leur nombre c’est une banque qui est dévalisée chaque semaine (fuite de capitaux).

    Des industriels qui importent du lait en poudre qui après adjonction d’eau se déclarent producteurs de lait. Des importateurs qui selon l’air du temps sans stratégie économique importent des soutiens gorges, la fois d’après des pétards, puis des hidjab…..

    Tels nos industriels nos politiciens vivotent, changent de créneaux, retournent leur veste, portent des jugements a l’emporte pièce, font des déclaration cyniques…Ils blasphèment lorsqu’ils perlent de démocratie, de liberté de droits de l’homme, de société civile…
    Nos politiciens ne sont pas des stratèges mais ce sont des magouilleurs, des spécialistes des petites phrases sans lendemain que le microcosme politique et le peuple dans sa volonté de croire en n’importe quoi boit comme du petit lait.

    Très sur de leurs talents et de leurs compétences ils utilisent des grigris, des amulettes. Lorsqu’ils sont confrontés à des difficultés, à des questions géostratégiques, économiques ou militaires… ils consultent des imams, des prédicateurs, des cheiks. Ils consultent aussi des voyantes qui prédisent à nos politiciens l’avenir de l’Algérie en lisant dans le marc de café.

    Pour vous donner un ordre d’idée relatifs au processus de prise de décision en Algérie, Bouteflika ne prenait pas une décision sans consulter sa mère âgée de 80 ans ex tenancière de bains maures et analphabète de surcroît. Bonjour les transferts de connaissances qu’il pouvait espérer. L’espoir fait vivre.

    Certains de nos politiciens sont des technocrates. Ghoul Amar est la fine fleur de la technocratie à l’algérienne ou plutôt à l’arlésienne. Son arlésienne a ghoul (prononcer roule) c’est son autoroute au coût exorbitant de 12 milliards de dollars dont on parle depuis des années mais dont on ne voit toujours pas la fin.

    Du terrorisme résiduel consubstantiel à nos politiciens, du mal logement, à la mal vie, il n’y a qu’un pas. Le terrorisme est pour eux résiduel. En matière de logement nos politiciens s’évertuent chiffres à l’appui nous font gober qu’ils ont construit depuis le premier jour de la NAKBA à savoir l’année 1999 année ou bouteflika a été intronisé, plusieurs millions d’unités de logements et autant d’emplois productifs. Du haut de leurs splendides villas situées sur les hauteur de Hydra ils osent appeler les gourbis qu’ils font construire à la hâte par les chinois des logements.

    A mon grand regret nos politiciens adoptent en permanence la stratégie du pire que l’on peut aussi traduire par méthodologie de résolution de problèmes, ou analyse stratégique, qui se présente comme suit : je ne sais rien, je ne comprends rien, mais j’agis quand même.
    Si par malheur j’essuie un échec je ne cherche pas à comprendre d’où vient cet échec puis à le corriger. Mais confronté une quelconque problématique (emploi, logement, industrie..). J’utilise la technique qui m’a conduit à l’échec la fois précédente.

    La stratégie de nos politiciens c’est celle du lapin a savoir la reproduction pour occuper tous les postes clés, et la reproduction d’échecs. Echouer, échouer est leur leitmotive, leur sacerdoce politique ,leur mode de gouvernance. Un exemple de la stratégie du pire est le silence systématique de bouteflika lors de catastrophes graves en Algérie. Sans compassion aucune pour les victimes. C’est ce qui explique l’amnistie des hordes du GIA.

    La stratégie du pire fut adoptée par Ghoul. On lui a confié la gestion de l’autoroute Est Ouest. En bon capitaine du pire il a cumulé les erreurs sans les corriger.
    La stratégie du pire fut aussi celle adoptée par Chakib Khellil lorsqu’on lui a confié la gestion de la SONATRACH et qui a failli la brader (la SONATRACH).

    La stratégie du pire fut enfin celle de bouteflika qui a jeté 500 milliards de dollars par la fenêtre sans être parvenu à créer 1 % de croissance dans le secteur de l’industrie productive du privé ou du public.
    On ne peut pas non plus dédouaner la généralissime en chef des pire NIAIS incarnés par la gérontocratie ou génaraux-cratie incarnée par les généraux qui ont eu l’intuition de choisir le moins mauvais parmi de très mauvais candidats à la magistrature suprême pour gérer l’échec de l’Algérie. Comme au tiercé et persuadé qu’ils avaient décroché le gros lot en la personne de bouteflika ils ont tout misé sur un tocard pensant qu’ils allaient rafler la mise. Nos généraux ont effectivement raflé une mise, pas celle de la bonne gouvernance, de la transparence, ni du progrès social, mais celle de l’importation. De riches généraux ventripotents.

    Notre échec était prévisible. On voit le résultat.
    Cette NIAISERIE quasi consubstantielle qui va de la parole politique à l’action politique en Algérie explique les flops récurrents de tout ce qui a été entrepris par nos politiciens depuis 1962. Même le droit d’association est interdit.

    Le mode opératoire de nos politiciens ne relève pas de la stratégie à long terme, mais de la roublardise. Ils agissent, ils réfléchissent, ils appréhendent toutes les problématiques au jour le jour, au coup par coup. C’est-à-dire qu’ils ont sans cesse recours a des tactiques, à des magouilles que l’on peut assimiler au jeu de carte de Bonneteau.

    Nos politiciens sont les prestidigitateurs du verbe stérile, de la pensée stérile, de l’action stérile et fugace (ramassage des ordures des villes par Amara Benyounes).
    Ils n’ont aucune conviction si ce n’est la peur de leur éviction qui sans conteste les éloignerai du gâteau qu’ils se partagent.
    Métaphore footballistique aidant la différence de nos politiciens d’avec le football c’est qu’au football lorsque les résultats ne sont pas là le sélectionneur et l’entraîneurs sont foutus dehors ou remerciés. En revanche nos politiciens prennent racine et ils sont inexpugnables indéboulonnables. Voyez belkhadem est au pouvoir depuis boumedienne. Il a même tenté d’imposer son fils à la tête du FLN. Benbouzid 15 années ministre de l’éducation nationale qui a tué notre système éducatif moribond depuis lors.
    C’est ce que l’on appelle la reproduction par un plus nase que soi. Et comme le stipule le vieil adage plus l’on n’est de nases plus l’on rit. Et plus l’on rit plus l’Algérie dépérit et plus les algériens se meurent.

    Anonyme
    12 janvier 2014 - 19 h 38 min

    Je vous assure que tout ce
    Je vous assure que tout ce micmac c’est du cinéma et on se réveillera prochainement avec une gueule de bois comme pas possible en plus d’une grosse déception………la vérité et ailleurs……..

    Elhadj
    12 janvier 2014 - 18 h 17 min

    Je commence a comprendre
    Je commence a comprendre Hitler, qui a compare la race des Arabes a celle des Arabes.
    – Aucun pays arabe n´est develope,
    -aucun des pays arabe n´est democratique,
    – la majorite des Arabes utilisent la religion comme fond de commerce surtout les Algeriens,
    – tout le gouvernement arabes sont corrompus,
    – Aucun pays arabe n´a une justice independante,
    -99% des Arabes sont des feneants, incultes, sans conduite, malades sexuels, menteurs et voleurs.
    – aucun pays arabe n´est industrialise. Tous vivent plus ou moins du petrole e du Gas.

    J´ai honte d´ecrire ces lignes, MAIS c´est la verite pure.

    MAILLOT.dz
    12 janvier 2014 - 16 h 44 min

    j’espère qu’un tout ce bon
    j’espère qu’un tout ce bon monde sera jugé et leurs biens confisqués et restitués aux algériens qui souffrent.

    Anonyme
    12 janvier 2014 - 13 h 30 min

    quand allons nous sortir de
    quand allons nous sortir de ces coups bas et autre peaux de bananes.ces gens là n’ont-ils plus de dignité?dégagez et laissez la place aux compétences.c’est dramatique et honteuxxxxxxxxxxx.

    KarloMarxo
    12 janvier 2014 - 12 h 22 min

    Comment Abdelaziz Belkhadem
    Comment Abdelaziz Belkhadem et ses soutiens ont tendu une «embuscade» à Amar Saïdani…Une photo vaut mille mots…Belkhadem qui rassure ses troupes en criant tres fort…Ma tkhafouch….el flouss, el malayards dakhline, dakhline…..vous allez tous manger et aider votre famille et vos amis a manger plus….

    chaila
    12 janvier 2014 - 11 h 27 min

    Saadani est seulement un
    Saadani est seulement un dérapage hasardeux , la Camorra a misé sur le mauvais cheval ou elle n’avait que ce drabky dans la main mais ce qui dérange c’est ce FLN chèr à Si Larbi Ben M’hidi tombé trés bas , le FLN a rassemblé toute l’Algérie et voilà que maintenant est devenu une arme dangeureuse entre des mains irrésponsables .

    Anonyme
    12 janvier 2014 - 11 h 04 min

    Quelle bassesse Mr Saidani
    Quelle bassesse Mr Saidani ,vous êtes indigne de représenter le FLN,ce sigle ne vous appartient plus c’est un patrimoine nationale qu’il faut préserver dans le musée des moudjahidines,quant je vous ai vu à la salle crié comme un gamin Bouteflika,Bouteflika,Bouteflika,j’ai eu la certitude que vous n’êtes qu’une marionnette au mains d’un clan d’opportuniste qui veulent enfoncer ce pays dans l’incertitude,votre comportement ajouté au déclaration de ce fanfaron de Boughetaya provoque chez nous l’envie de ce révolter contre ce système pourri,dégage vous êtes la honte de ce pays.

    saidnidabeilles
    12 janvier 2014 - 10 h 21 min

    Au travers des déclarations
    Au travers des déclarations politiques des uns et des autres, à travers de leur meetings, de leurs prises de positions on voudrait nous laisser penser que les instituions politique et le partis politiques algériens fonctionnent en toute transparence et le plus normalement du monde.

    Mais il n’en est rien. Pour la bonne et simple raison c’est que la liberté d’association en Algérie est entravée et que les réunion, les assemblée générale…sont soumis a une déclaration préalable et que le wali, le ministre ou que sais je encore peuvent refuser de délivrer les autorisations de réunion.

    Puis l’état refuse la délivrance du récépissé d’enregistrement ayant valeur d’agrément pour la création d’une association. Partout ailleurs dans le monde il suffit d’envoyer un formulaire a la préfecture. OR les partis politiques sont régis par le droit des associations.

    Puis il y a les déclaration intempestives qui portent atteinte à l’image de la fonction politique et qui portent atteinte aux pratiques culturelles ancestrales.

    Amar ghoul aghioul a ainsi déclaré : »Yennayer est Haram interdite par la religion musulmane ». Il fait de la politique,il est imam, recteur d’une mosquée, chevalier du saint coran, ou émir en devenir ?…

    Autant interdire les festivité du nouvel an, les anniversaires, les célébrations lors d’obtention de diplômes, le sport automobile, l’informatique, l’utilisation d’intraveineuses ….qui n’apparaissent nullement dans le coran

    Amar ghoul aghioul le doctoré en lieu et place du doctorant. Il me fait songer a belkhadem qui lors d’un déplacement a berriane a déclaré que connaissant l’étendue des richesses des mozabites qu’il comprenait le malaise des arabes.

    En terme politique l’ALgérie mérite mieux que cette faune de mafieux qui la queue en tirebouchon les oreilles sur les yeux pour ne pas voir toute leurs incompétences, se vautrent et mangent dans la bauge selon l’air du temps changeant de casaque, changeant de partis, pratiquant le nomadisme politique au gré des milliards de dollars, sans conviction aucune, sans sacerdoce, plus obsédés par l’appât du gain facile que par une fonction politique expurgée de ses scories, désintéressé au service de l’état et des citoyens.

    Anonyme
    12 janvier 2014 - 10 h 19 min

    Un drabki et un enseignant
    Un drabki et un enseignant d’école maternel pour le FLN. On dirait qu’ils n’ont pas d’instruit dans ce partie de vieillards.
    Said ces deux choix pour défendre un 4ème mandat sont vraiment mauvais.

    Anonyme (non vérifié) | 7. janvier 2014 - 23:22
    12 janvier 2014 - 9 h 35 min

    Le parti de gens qui ont fait
    Le parti de gens qui ont fait du pays une vache à lait pour une clientèle vorace et de la guerre d’Algérie (…) un fond de commerce politico-sacralisme.

    Aguelidh trés modeste
    12 janvier 2014 - 8 h 37 min

    Qu’ils laissent le pays
    Qu’ils laissent le pays tranquille et rentrent chez eux ces personnes sans intelligence et les plus sous-doués de la race humaine. Ils doivent rentrer chez eux et savourer le butin qu’ils ont volé au fil des temps PUIS reprendre leurs chèvres et les chameaux qu’ils ont laissés sans pâturage depuis qu’ils tentent de garder le peuple pour le laisser sans avenir. Le FLN ce n’est pas vous ce sont nos parents qui sont morts à la fleur d’âge, torturés, fusillés laissant derrière des veuves et des orphelins dont les larmes de haine contre vous IMPOSTEURS et nos bourreaux ne sont pas encore séchées.

    COMMENT VOULEZ-VOUS GERER L’ALGERIE PENDANT QUE VOUS N’ETES MEME PAS EN MESURE DE GERER VOS ENFANTS, VOUS ME FAITES PITIE…

    Makhloufi
    12 janvier 2014 - 8 h 35 min

    Un vrai souk d’indignes.
    Mais

    Un vrai souk d’indignes.
    Mais pourquoi ne restitue-t’on pas ce patrimoine national, qu’est le signe FLN, au Musee de la Revolution Nationale au meme titre que le prestigieux sigle ALN et calmer ainsi les ardeurs de ces charognards ?

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