La 3e Conférence algéro-française de l’enseignement supérieur et de la recherche scientifique les 20 et 21 janvier à Alger

Le système LMD, le rapprochement de l’enseignement supérieur et du monde socioéconomique, la capitalisation des acquis des programmes de coopération et l’internationalisation de l’enseignement supérieur et de la recherche, ce sont là quelques-uns des sujets qui seront abordés à l’occasion de la troisième édition de la Conférence algéro-française de l’enseignement supérieur et la recherche prévue les 20 et 21 janvier prochains au Centre de recherche sur l’information scientifique et technique (Cerist). Cette rencontre, placée sous le thème «De la coopération bilatérale à l’internationalisation de l’enseignement supérieur et de la recherche», sera ouverte par les ministres de l’Enseignement supérieur des deux pays, Mohamed Mebarki, du côté algérien, et Mme Geneviève Fioraso, du côté français. Elle permettra, notamment, de débattre «de l’apport des programmes de coopération bilatérale en cours et sur leur rôle dans l’ouverture à l’internationalisation de l’enseignement supérieur et de la recherche scientifique», selon un communiqué de l’ambassade de France à Alger. A la conférence sont attendus plusieurs présidents d’université et directeurs d’école supérieure, près d’une centaine d’universitaires français, mais aussi des représentants éminents de Campus France, de l’Agence universitaire de la francophonie, de la délégation interministérielle à la Méditerranée, de l’association France-Algérie et d’entreprises françaises. Les recteurs des universités algériennes, les directeurs des centres de recherche et des chefs d’entreprise algériens se joindront à eux pour ces débats qui seront organisés en tables rondes traitant des différents thèmes retenus à cet effet. Une première table ronde sera consacrée à une réflexion et des échanges dans le contexte des bilans faits sur la mise en place du LMD en Algérie (2003-2013) et en France lors des assises nationales. Le second débat tournera autour de «L’ouverture de l’enseignement supérieur et de la recherche au monde de l’entreprise à travers l’amélioration de l’employabilité des jeunes diplômés». Le troisième sera consacré à la recherche scientifique, sous le thème «capitaliser sur les acquis des programmes de coopération de formation des enseignants chercheurs et chercheurs». Il s’agira, entre autres, de passer en revue les bilans des programmes de coopération dans ce domaine entre les deux pays. L’ambassade de France à Alger souligne que le budget de coopération que consacre la France au secteur de l’enseignement supérieur et de la recherche en Algérie est l’un des tout premiers au monde à l’échelle du réseau diplomatique français.
Amine Sadek
 

Comment (19)

    BENKALFATE
    20 janvier 2014 - 13 h 10 min

    De quelle recherche parle le
    De quelle recherche parle le ministre? De la recherche des avantages bien évidemment.Sait il que dans les universités algériennes il y’a des enseignants de plus de 80 ans et d’autres qui n’enseignent pas une heure par an depuis des lustres. Parler donc de recherche scientifique c’est aller vite en besogne.

    Laetizia
    18 janvier 2014 - 23 h 29 min

    Mohamed Mebarki, ministre de
    Mohamed Mebarki, ministre de l’Enseignement supérieur, il a des diplômes ce type ?

    selecto
    17 janvier 2014 - 19 h 12 min

    Le taux de réussite au BAC a
    Le taux de réussite au BAC a l’école ALGERIENNE internationale de Paris.
    Désolé pour l’oublie.

    selecto
    17 janvier 2014 - 18 h 46 min

    Dans les milieux
    Dans les milieux universitaires français, une dérision actuellement en vogue pointe du doigt  » les cartes de séjour « . Le quolibet désigne ces Algériens en quête d’une inscription dans une institution de formation.

    C’est que cette inscription devient de plus en plus problématique. En cause, les services en charge de l’opération auraient reçu une discrète instruction de la tutelle les mettant en garde et leur demandant une vigilance accrue notamment à l’endroit de nos compatriotes.

    Ces derniers, surtout lorsqu’il s’agit d’enfants de la nomenklatura nationale, excellent dans l’art d’exhiber de faux diplômes ou des attestations de complaisance de cursus de formation.

    Les falsifications ont atteint un tel degré que les autorités françaises s’en émeuvent. Elles entendent réagir d’autant que les attestations d’inscription ouvrent aussi droit à …  » une carte de séjour  » …

    Des études, ces enfants gâtés n’en ont cure !

    Et à lire le récent supplément  » étudiant  » d’El Watan et la lettre ouverte des doctorants de l’Université d’Alger dénonçant les magouilles qui ont présidé à la liste des participations au concours et des lauréats – listes qui ont donné la part belle à la progéniture des pontes du système -, il n’est plus possible de démentir le bien fondé de l’argumentaire français.

    Le taux de réussite au BAC a l’école internationale de Paris a battu tout les records mondiaux ces dernières années, allez savoir comment surtout si on sait que les heureux bacheliers se font éjecter des universités françaises dès la première année du premier cycle..

    Allah yarham Boumedienne qui avait permis aux enfants du peuple d’accéder à une école de qualité et gratuitement.

    B H enseignant universitaire.
    17 janvier 2014 - 18 h 17 min

    l’application du lmd est
    l’application du lmd est quelque peu biaisée car le lmd qui repose sur le TUTORAT ne fonctionne pas bien à constantine mentouri pourtant premiere université à appliquer ce systeme.le tutorat à constantine n’existe pas ! comble de l’ironie,les masters prof ne different en rien des masters academiques.les etudiants des deux types de masters se cotoient sur les bancs des amphis et pourtant les masters et licences prof devraient etre quelque part à l’usine,chantier,etc….alors que reste t il du lmd algerien ,rien!donc il faut revoir la copie et balayer tous les responsables responsables de cette tragedie nationale et commencer par former les enseignants pour le tutorat ,sinon c’est la fin du lmd!?

    rafik. constantine1
    17 janvier 2014 - 18 h 03 min

    les responsables en charge du
    les responsables en charge du dossier LMD comme le dit le recteur de constantine1 LMD:LAISSE MOI DORMIR. renseigne sur l’implication de ces responsables souvent sans BAC sur l’application anarchique du lmd sans consultation prealable du corps enseignant en assemblée generale.mais la consultation est restreinte aux administratifs:doyens ,chefs de departements…comités scientifiques tous acquis à la solde du recteur…dont acte!

    00213
    17 janvier 2014 - 17 h 59 min

    Israel est entré au C.E.R.N.
    Israel est entré au C.E.R.N. et nous on fait encore une conférence sans conséquences qui servira juste à remplir quelques minutes du journal « creux » de l’ENTV.

    mounira
    17 janvier 2014 - 11 h 31 min

    il faut rien faire avec
    il faut rien faire avec eux!!!!!mrs le ministre ,il sont en retard de tout quelle etude superieur «  » » »inferieur «  » »oui!!!!!ne te fait manupuler par ces rapaces ,ils sont dans la merde totale, et dit leur qu il faut liberer le jeune checheur algerien AU CNRS ?UNE SACRE TETE qui croupie dans les geoles francaises depui une decennie ok !!!

    AlwaysTAMURTHalways
    17 janvier 2014 - 10 h 55 min

    qui decide des bourses?
    le

    qui decide des bourses?
    le committee scientifique forme en majorite de ces memes budgetivores qui partent a tour de role au mepris des jeunes pleins de competence et d’ardeur.

    Rascasse
    17 janvier 2014 - 10 h 20 min

    @ Abou Stroff bien dit, je
    @ Abou Stroff bien dit, je rajouterai ; pendant les années 2000 des médecins hospitalo-universitaires de grade supérieur ( biensur pas les jeunes résidents ou internes comme le font nos voisins) ont bénéficier de bourses d’études d’une année au retour ils n’ont ramener dans leur bagages que dal à la médecine algérienne le résultat est la aujourd’hui, y’a un pseudo chirurgien futur professeur à l’hôpital zmirli et peut être chef de service parcequ’il l’est par interime maintenant ne faisant pas la distinction entre scanner et IRM et à ce demander si vraiment il a fait des études de médecine eh bien ce monsieur si vous lui posez la question qzesqu’il a retenu de son stage il vous parlera du frigo garni et de la bouffe rien de scientifique , voilà le drame en Algérie et ce monsieur sera promu par la médiocrité et sera même dans le comité de réforme j’imagine, encore une chose d’autres professeurs qui ont raconter toute leur vie que le système de formation était meilleure ailleurs qui ont aussi rapporté comment était la formation et la recherche outre mer et qui n’ont jamai fait quoique ce soit pour changer les choses pendant leur règne , ces même fainéant pervers narcissique se vont octroyer aujourd’hui les destinées de la réforme au plus haut niveau, alors hal hayara limane tounadi!!!!!!?????

    Abou Stroff
    17 janvier 2014 - 9 h 36 min

    moua, quand j’entends parler
    moua, quand j’entends parler de séminaire ou de conférence ou de colloques organisés par le mers ou par une quelconque université algérienne, la seule et unique question que je pose est: est ce que la bouffe a été bonne? en effet, derrière ces rencontres se cachent souvent des énergumènes qui ne mangent pas convenablement chez eux et qui profitent pour se goinfrer lors de rencontres supposées dédiées à la « richarche siantifik ». d’ailleurs, on peut remarquer que les responsables administratifs sont, tous, conviés aux méchouis alors que beaucoup d’enseignants et de chercheurs n’ont, jusqu’à présent, pas entendu parler de cette conférence. quand on sait comment on devient responsable dans les universités algériennes, on ne peut éviter de poser une simple deuxième question: y aura t il des suites à cette conférence dédiée principalement à la bonne bouffe?
    PS: dans un système basé sur la distribution de la rente, une université performante serait considérée comme un anachronisme. je parie, donc, que cette conférence sera oubliée, juste après le dernier dessert. quant aux responsables qui auront eu la chance d’y participer, ils étofferont leurs carnets d’adresse et recevront une invitation qu’ils adjoindront à leurs dossier de demande d’une bourse de « perfectionnement » à l’étranger. la vie n’est elle pas délicieuse pour les rentier qui squattent l’université algérienne?

    AlwaysTAMURTHalways
    17 janvier 2014 - 8 h 49 min

    C’est un peu comme le permis
    C’est un peu comme le permis a point. Ce dernier est utilise au etats unis depuis les annees 1960. nous, nous avons attendu que l’ancienne puissance coloniale et l’ennemi de toujours l’adopte pour que l’on se decide de ‘l’adopter. combien de morts par accident d’auoto auraient on pu prevenir?
    Dans l’enseigment superieur, c’est au mieux la mame chose sinon c’est pire. le systeme LMD, correspond originallement au Bachelor/Master/PhD du syteme d’enseigment des US. Le systeme le plus addapte a produire des ingenieurs, des medecins, des avocats, des inventions technologiques, des brevets.
    En Algerie, sous FEU le PRESIDENT HOUARI BOUMEDIENE, quelle que soit les fautes qui furent commises, il y a eu un envoi en masses d’etudiants algeriens ( des fils du peuple, celui qui avait un ingeniorat and avait l’age beneficiait d’une bourse de master et eventuallement de PHD). c’etai un choix judicieux de miser sure les capacites des fils du peuple d’acquerir et de maitriser des technologies avancess chez la puissance mondiale de la technologie. IL Y EUT CLAIRVOYANCE, DE VOULOIR ADAPTER L’ALGERIE au Systeme Bachelor/Master/PHD des 1976.
    Helas, cela ne dura pa longtemps, au plus de de 1976 a 1978. puis, les chose changeres avec le martyre de HOUARI BOUMEDIENE. Memes l’initiative de formation initiee par BOUMEDIENE a ete bloquee.Les etudiants algeries qui ont beneficie de bourses aux etats unis grace a l’initiative de boumediene, se sont vus rire au nez quand ils sont retournes ( pour ce qui l’ont fait) en algerie. Nombre d’emtre eux ont entendu le REFRAIN » Aux etas unis, les etudes sont payantes, avec l’argent on obtient n’importe quel diplome ». Cela de la part de personnel de Ministere de l’enseigment superieur ( ou au siege ou dans les universites), avec des diplomes francais, russes, ou autres. le Master et le PhD avaient moins de valeurs que les diplomes obtenus dans ces pays.Aux etats unis, Si on a u PHD et on enseigne dans une universite, on peut enseigner n’importe quel cours dans la filiere, encadrer des etudiants en Bachelor, Master, et PHD. Tout depend des capacites de l’enseignant. Si les etudaints le jugent bon, et competent, ils essaieront en masse de l’avoir comme leur encadreur(e) pour supervizer leur these ou memoire. Prenez le ou la meme enseignante, transposez la dans un eatblissent du MESR , on lui dira , mais vous n’etes pas de rang magistral, vous pouvez au plus encadrez des licence ou ingenieurs, et des travaux diriges. Pendant ce temps la, messieurs les rans magisraux assureront les THESES et thes quelques heures d’enseigment au niveau Master.
    Ces « De rang magistral » , ces prof, ces maitres de conf, …. La majeure partie sont devenus DOUCTOURS , je dis bien DOUCTOURS, ou docteurs d’etats, apres avoir beneficie de stage dans un laboratoire chez l’ancienne puissance coloniale et lennemi de toujours. Lors de ces stages, le futur DOUCTUOR travaillera ( L’expression raciste est faire le negre) sur des themnes de recherche francais, en aucun lien avec la realite et les besoin de l’ALGERIE, ni economiquement ni industriellement, ni academiquement, ni pedagogiquement. Le ou la future Douctour, une fois ses taches francaises accompli pour la recherche francaise, revient en Algerie. Il ou elle soutiendra « une these d’etat » devant un jury compose d’autres DOUCTOURS, qui on obtenu leur diplome de la meme maniere. Pas besoin de comprendre le sujet debattu, il faut simpolement etere DOIUCTOUR dans la filiere. IL FAUT AJOUTER QUE BIEN QUE LE FUTURE DOUCTOUR EXHIBE UNE OU DEUX PUBLICATIONS OBTENUS AVEC DES MEMBRES DU Laboratoires ou ils on accompli leur stage, la pusissance coloniale ne leur delivre auncum diplome, et ne reconnait pas le travail accompli come digne d’un DOCTORAT.
    Une fois DOCTOUR, il ne faur plus vous importuner avec des basses ouevres telles qu’enseigener les etudiants de premieres et deuxiemes annees. ces etudiants se compte par milliers sinon centaines de milliers. La majoritee est constitueee des filles et des fils de ce valeureux peuple ALGERIEN. ces etudiants, viennent non seulement des lycees et doivent faire une transition difficile and un autre system d’education, mais une majeur partie vient des petites villes ou il n’ya pas d’universite. Il se retrouvent seuls, sans la guidance parental, ni la presnce d’amis d’ecoles. Ces etudiants requierent des enseignants pedagogiquement experimentes a , sinceres, et qui de plus veulent servire ce PAYS en se SACRIFIANT pour AIDER le plus D’algeriens possibles a maitriser les sciences ( humaines ou autres) et technologies.
    NON, nos DOUCTOURS, du jour au lendemain, deviennent « de rang Magistral » like une nobilite untouchables. ILS se consacrent A LA RECHERCHE– continuent de publieravec 3,4,5,6,et meme plus co-auteurs, la plus part dans l’ancienne puissance coloniale. OUi, il enseignent MAIS A UN RANG MAGsitral- cad pour plus d’argent, moins, d’heures, et just a UN PETIT NOMBRE d’edutiants de niveau MAster. OUR DOUCTOURS SONT STROP PRECIEUX et COMPETENTS pour se soucier des PREMIERES et DEUXIEMES ANNEES prennent leurs cours par classe de 200, 300 et + dans des amphi qui fonctionnent encore au tableuax Nnoir et a la craie. les DOUCTOURS< par contre enseignet la PG dans de petite salle avec un DATASHOW. Imaginer un(e) etudiant(e) de premiere annee, prenat un cours de maths, que peuvent ils voir d'un tableau distant de 20metres? Et l'enseigant de rang-non magistral qui assure ses cours, ses TD, qui bouffent de la craie a longuer de journees, doit gerer des centaines d'etudiants tous juste sortis du lycee, qui ont tellement de chose a apprendre. Nos douctours, n'ont pas de temps a perdre avec ce type de taches degradatnes pour eux. NOn, ils se consacrent a leur recherche soit directement liee a leur Labo de stage en france, soit lie a un soi disant PNR qui est plus adapte aux interest "de recherche" personels des DOUCTOURS que ceux de notre CHERE TAMURTH ALGERIE. ET LA SOLUTION: A un certain moment, on a creer un folklore annuel, ou l'on invitait des expert algeriens vivant a l'etranger a venir aider leur collegues en algerie, comme si tous les universitaires qui sont en algerie sont en algerie car il sont incompetents. HORMIS une ceratinne category de DOUCTOURs qui ont terni l'image de l'UNIVERSITAIRE ALGERIEN, IL Y A UN Majorite d'universitaires sincaires et competents. Cex algeriens quis sont a l'entrangers on fait un choix personel, leur interet avant tout. Il peuvent avoir beaucoup de raisons pour de choix. Neanmoins, une fois qu'ils travaillent hors de l'algerie pour une insitution particuliere, ils sont obliges d'accomplir des taches pour ces entreprises la. IL FAUT ETRE UN MENTEUR pour dire qe quelqu'un puetr travailler pour GOOGle France durant la journees ad travailler avec une univeriste ALGERIENNE la nuit. Au plus, ces personnes peuvent contribuer a l'effort en trouvant des bourses, stages a des etudaints algeriens. MAIS LE GROS DU TRAVAIL EST RESSENTI ET CONNU AU DETAIL PRES PAR LES ALGERIENS EN ALGERIE. Cette commision algero-Francaise ;;;;;;;;;;;;;;;;;;;;;;;;;;;;;;;;;;;;;; Au lieu de prendre experience sur les USA. le royaume uni, L'allemagne, la CHINE ( OUI LA CHINE), on copie le cancre de la classe. VIVE DZAIR

    aljazairi
    16 janvier 2014 - 23 h 05 min

    Dans un monde anglophone a
    Dans un monde anglophone a 99%, les frenchys ont besoin de sentir forts, vis a vis de leurs anciens occupes. C’est tout ce qu’il y a dans l’histoire.

    Lemdigouti
    16 janvier 2014 - 22 h 29 min

    C’est une rencontre stérile
    C’est une rencontre stérile …vu le niveau de nos « universités » et autres établissements d’enseignement supérieur. Le seul aspect positif bénéficiera aux seuls responsables, enseignants affectés à des tâches de gestion administratives, pédagogiques…qui obtiendront personnellement des contacts, des invitations à…..se rendre en France pour soi disant partager les expériences françaises. Tout cela au détriment des enseignants qui sont sur le front si j’ose dire ; ceux qui côtoient les étudiants, ceux qui assurent des enseignements quelle que soit le niveau ou la qualité.

    selecto
    16 janvier 2014 - 22 h 12 min

    ça rentre dans le cadre d’une
    ça rentre dans le cadre d’une deal pour un coup de mains aux traîtres pour qu’ils durent, il faudrait s’attendre à d’autres annonces de « coopérations », rien que Renault a bénéficié d’une commande de 100 ambulances sans d’appel d’offre..

    Othman
    16 janvier 2014 - 21 h 28 min

    Nous sommes le seul pays a
    Nous sommes le seul pays a continuer a croire a la langue francaise pour developper notre pays. Meme les chercheurs francais ne publient leurs travaux ni en langue francaise ni dans les revues de leur pays.

    Amcum
    16 janvier 2014 - 21 h 24 min

    Je sais kon est dans une
    Je sais kon est dans une periode de doute …
    Mais on doit fermer les yeux et continuer a reduire l’influence de la langue Française et continuer a ouvrir progressivement des fenetres pour l’enseignement en Anglais. C une question de temps, le marché du travail finira par basculer.
    Il faut croire en nos capacités.

    ALI
    16 janvier 2014 - 21 h 23 min

    UN AUTRE MANIERE PERNICIEUSE
    UN AUTRE MANIERE PERNICIEUSE DE MAINTENIR POUR NE PAS DIRE RENFORCER LA DEPENDANCE DE L’ALGERIE VIS A VIS DE SON EX COLONISATEUR

    Keltoum
    16 janvier 2014 - 21 h 21 min

    Quelle est l’utilite d’une
    Quelle est l’utilite d’une telle conference quand on sait que la langue de Moliere est consideree en ce 21eme siecle comme un moyen de communication des pays Sous-developpes ?
    C’est vraiment triste de constater que nos decideurs n’ont pas encore compris cela. A moins que c’est fait avec intention pour maintenir le peuple algerien dans son etat se sous-developpement scientifique et culturel ?

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