L’exemple d’«en haut»

Par Kamel Moulfi – Depuis que les accusations de corruption tombent sur des ministres en poste, lesquelles remontent à au moins une trentaine d’années, d’abord sous forme de rumeurs insistantes plus ou moins fondées, du temps du système du parti unique, puis directement dans les médias après l’instauration de la liberté de la presse, et maintenant sur les sites d’information électroniques et les réseaux sociaux, aucune personnalité concernée n’a réagi de façon significative, en dehors d’une vague dénégation ou d’une marque de mépris à peine cachée. Comme si les responsables politiques visés se contentaient d’un «cause, toujours, tu m’intéresses», persuadés que la sanction ne viendrait jamais et convaincus que l’opinion publique ulcérée ne comptait que pour du beurre. Auront-ils le courage de démissionner face à des accusations infamantes d’atteinte à la probité, qui vont de la corruption à la concussion en passant par le trafic d’influence, le favoritisme, le népotisme, le clientélisme ? Ces derniers mois, il n'y a pas un scandale dans lequel un certain nombre d'entre eux n'est pas cité. Comment arrivent-ils à dormir la nuit ? N'ont-ils pas de conscience ? N'ont-ils pas de cœur ? L'argent et le pouvoir les a-t-il grisés au point de tuer chez eux l'amour de la patrie ? Croient-ils que le peuple ne sait pas ? Croient-ils qu'il est lâche parce qu'il refuse de réagir pour les faire dégager comme des malpropres par peur pour la sécurité et la stabilité du pays ? L'éthique avec une de ses valeurs fondamentales, l’honnêteté, qui sont à la base de la lutte contre la corruption dans la Fonction publique, et particulièrement dans sa haute hiérarchie, semblent inefficaces. En principe, l’exemple doit venir d’en haut. En plus de la dimension morale qui appelle à lutter contre ces fléaux, les lois existent en Algérie pour les combattre, mais leur application dépend de la qualité des institutions publiques et de leurs capacités à faire respecter les règles élémentaires de fonctionnement et de gestion.
K. M.

Comment (27)

    Anonyme
    26 mai 2016 - 9 h 29 min

    « Qui néglige de punir le mal
    « Qui néglige de punir le mal le cautionne » Léonard de Vinci.

    Omar
    26 mai 2016 - 7 h 05 min

    Petit Grand Poème :
    LE PEUPLE

    Petit Grand Poème :
    LE PEUPLE VEUT UNE MÉTÉORE … COMME CELLE DES DINOSAURES

    Anonyme
    25 mai 2016 - 21 h 39 min

    Dans un passé récent,
    Dans un passé récent, lorsqu’un homme politique japonais, voyait son nom lié à un scandale, il se suicidait carrément. On n’en demande pas tant, à nos augustes dirigeants, mais ils pourraient au moins démissionner (en attendant d’être jugés), comme cela se fait dans les pays occidentaux. En Chine, c’est des lourdes peines de prison, pouvant aller parfois jusqu’à la peine de mort.

    Anonyme
    25 mai 2016 - 18 h 48 min

    Ce pouvoir sait que la
    Ce pouvoir sait que la majorité du peuple ne s’intéresse pas a la politique,ou alors il en a marre! C pour ça que c gouvernants font ce qu’ils veulent! En plus ils jouent sur l’oubli,les algériens oublient vite! Bientôt on oubliera chakib khelil,Bouchouareb,et leurs sociétés offshore!! Qui se rappele boumarafi? Qui se rappelle boudiaf? On essaie de nous faire oublier que saadani a acheté une résidence à Paris,ce qu’on veut savoir c comment il a sorti l’argent??

    Bekaddour Mohammed
    25 mai 2016 - 17 h 09 min

    En Algérie, les repères
    En Algérie, les repères géométriques font partie des objets perdus, on n’y sait plus ce qui est haut, et ce qui est bas. Pourtant un voleur, pourvu qu’il ne vole pas pour survivre, est toujours bas, bref le haut a disparu, nous sommes dans un plat pays, pire que le plat pays chanté par Jacques Brel… Enfin, c’est une bonne chose, toute cette mise à plat, le bon ordre final sera les voleurs en bas, et un haut inédit,composé d’Algériens restés hauts de façon invisible…

    Anonyme
    25 mai 2016 - 16 h 42 min

    Mais comment ces « canards »
    Mais comment ces « canards » se maintiennent-ils au pouvoir depuis si longtemps ? Pourquoi le peuple ne leur signifie-t-il pas leur congé ?
    La mémoire ! Bien sûr, les Algériens ont une vague connaissance des drames dont la période coloniale a été prodigue, notamment durant ses sept dernières années. Malheureusement, la désillusion a été quasi immédiate. La libération du pays s’est d’abord traduite par la guerre des wilayas et la prise du pouvoir par une coterie constituée des gens qui avaient le moins de légitimité pour y prétendre. Ces gens ont imposé le silence et l’obéissance aveugle au peuple qu’ils étaient censés avoir affranchi.Ceux des dirigeants du FLN révolutionnaire qui étaient porteurs d’idéaux démocratiques et pluralistes ont dû s’exiler. Certains ont été tués. L’Algérie accédait ainsi à l’indépendance sous le sceau de la dictature et du primat de l’incompétence. Notre pays a glissé ainsi vers sa réalité actuelle, celle d’une proie mise à l’encan, promise après dépouillement total à l’enfer de l’éclatement dans une partition sanglante.

    Anonyme
    25 mai 2016 - 16 h 23 min

    Le système algérien a été une
    Le système algérien a été une entreprise permanente du saccage de la politique au profit d’une vision policière (ou de basse police) où il s’agit en général de contrôler, de brider, de brimer et de manipuler.
    L’effet d’entropie aidant, la qualité des préposés aux fonctions ministérielles s’est dégradée à un niveau abyssal. Mais bien entendu, le niveau de la presse ne s’est pas non plus améliorée, la tendance n’est plus d’informer ou d’éclairer mais de se comporter en cerbères ou en sicaires.
    Et voilà que ces ersatz usés d’hommes politiques avec l’aide des médias qu’on ne qualifie plus des «plus libres du monde arabe » convient les Algériens à la très vieille – et peu ragoutante – mixture des guerres de clans que l’on transforment en bataille du destin ? Les uns se battraient contre les «monopoles » et les autres se battant pour la «liberté de la presse ».
    Et dans un pays où la vente concomitante fait partie des fondamentaux du système, nous voilà donc sommés de «choisir », de nous positionner dans ce combat de coqs où les dés sont pipés ? Peut-on monsieur être pour la liberté de la presse et contre le monopole ?

    Bekaddour Mohammed
    25 mai 2016 - 16 h 03 min

    Les Chinois, dans leur
    Les Chinois, dans leur affreux problème linguistique avec les Algériens, ça se passe dans tous les chantiers, ont trouvé un raccourci pour nous désigner un voleur, ils disent…Ali Baba !
    Bref, l’Algérie est La Caverne, et s’il y a 40 millions d’Algériens selon les démographes, les voleurs ne seraient-ils que 40 ! Pauvre Ali La Pointe…

    Aldjazairi
    25 mai 2016 - 15 h 51 min

    La Seule et vraie cause de
    La Seule et vraie cause de ce à quoi nous assistons est a chercher chez nos « Vieux SAGES  » qui n ont pas fait l » Université » des Gueux .Ils disaient tout simplement  » YA WILEK MINA GIA3ANE MIN YECHBA3 !!!!! » .

    Anonyme
    25 mai 2016 - 15 h 49 min

    « Les hommes qui fleurissent
    « Les hommes qui fleurissent en régime colonial, ce sont les combinards, les traficoteurs, les renégats, les élus préfabriqués, les idiots du village, les médiocres, les ambitieux sans envergure, les quémandeurs de bureau de tabac, les indicateurs de police, les maquereaux tristes, les tristes cœurs. Il ne peut ne peut y avoir en régime colonial ni saint, ni héros, pas même le modeste talent, car le colonialisme ne libère pas, il contraint; il n’élève pas, il opprime, il n’exalte pas, il désespère ou stérilise; il ne fait pas communier, il divise, il isole, il emmure chaque homme dans une solitude sans espoir.» Mouloud Mammeri (Lettre à un français 1957) –
    La vidéo mettant en scène le Directeur Général du plus prestigieux hôtel de la capitale et l’homme d’affaires le plus riche d’Algérie ne marquera pas l’histoire du cinéma. Elle laisse tout juste suinter cette ambiance malsaine qui explique pourquoi un si beau pays est encore incapable de se doter d’un hôtel où un simple serveur est en mesure de faire, respectueusement, respecter le règlement par la clientèle.

    fatigué
    25 mai 2016 - 15 h 45 min

    la chanson que les supporters
    la chanson que les supporters du mouloudia ont scandé dernièrement dans un stade est très inquiétante et est le prélude à des événements graves.
    cependant l’Algérie « d’en haut » ( soufella) semble sourde.

    Sid Ahmed
    25 mai 2016 - 14 h 50 min

    Par Omar (non vérifié) | 25.
    Par Omar (non vérifié) | 25. mai 2016 – 14:33
    Ya Si Omar, y a pas de transitivité dans ta logique car tu finis par le commencement et tu commences par la fin…

    Anonyme
    25 mai 2016 - 14 h 30 min

    Un journal marocain, Le Desk
    Un journal marocain, Le Desk a publié un article signé par un journaliste algérien, indiquant que la fille du Premier ministre Abdelmalek Sellal, figure dans le listing de documents relatif au scandale «Panama Papers».

    Ce journaliste, un certain Lyès Hallas, ne signe sur le Desk que des papiers concernant des personnalités algériennes, certainement que, « pense-t-on », qu’un écrit sous la plume d’un algérien dans un journal marocain serait tout à fait crédible.

    Sauf que cette crédibilité est mise à mal, lorsqu’il « omet » de citer Issad Rebrab, pourtant épinglé par un journal roumain lequel est un partenaire de l’ICIJ. L’explication est simple ; ce journaliste avait travaillé à Liberté, propriété du milliardaire, d’où cette « omission ».

    Ce mélange du genre est de toute évidence suspect, d’autant que lorsque on commence notre lecture, il y a comme un malaise parce que l’article ne s’en tient pas aux faits et uniquement aux faits. Le journaliste fait un procès politique en commençant par extrapoler sur « les relations qu’auraient entretenu son père avec les mis en cause » (dans l’affaire Sonatrach NDLR), puis fait une digression, histoire de donner du crédit à son papier, en reprenant longuement des extraits d’un livre français qui relate l’achat de deux studios à Paris par Rym Sellal, voulant faire accroire que cet achat est un acte illicite et que ceci expliquant cela.

    Selon nos propres investigations, il apparait que le nom de Rym Sellal n’existe nulle part sur la base de données du consortium de journaliste ICIJ – (International Consortium of Investigative Journalists), ni dans aucun document provenant du cabinet d’avocats panaméen, Mossack Fonseca. Mieux encore, ce journal marocain ne fait pas même pas partie des journaux partenaires de l’ICIJ. (Voir la liste des partenaires de l’ICIJ en cliquant sur leur lien https://panamapapers.icij.org/pages/reporting_partners/.)

    Autrement dit, les informations publiées par Le Desk n’engagent que leurs auteurs.

    Cela étant, le journal marocain publie à l’appui de son réquisitoire, deux documents scannés. L’un est un fax qui prétend (mais sans preuves) avoir été envoyé par un certain M. Guignet. Le deuxième est un PV d’une réunion du Conseil d’Administration et aucun de ces deux documents ne porte la signature de Omar Habour ou Rym Sellal. Ce qui vient à l’esprit c’est que ces documents sont des faux ou à tout le moins des documents où « on » a modifié les noms.

    Comment peut-on établir une procuration sans pièces justificatives, lesquelles doivent impérativement prouver l’’identité officielle (passeport), l’adresse de résidence et une preuve d’adresse résidentielle, comme une facture d’électricité etc…

    D’ailleurs, après avoir tenté de faire accroire que le célèbre cabinet d’avocats Mossack Fonseca, une véritable institution, un Etat dans l’Etat, a été soi-disant pris de « panique », à cause de l’affaire Sonatrach, le journaliste reconnait lui-même que les incriminés « N’ont (pas) fourni toute la documentation nécessaire à leur traçabilité » et avoue finalement « Que le dossier de Rym Sellal est quant à lui resté désespérément vide. » D’où des questions légitimes sur ce journaliste, qui travaillait dernièrement dans un site électronique algérien, avant d’être viré pour avoir entrainé son journal dans une procédure judiciaire.

    Il est clair que ce journaliste n’a pas écrit pour son propre compte, d’où le choix troublant d’un journal marocain. Un écrit qui s’apparente à de la calomnie, où se mêlent dénigrement, allégations, artifices, mauvaise foi, tromperie, mensonges, accusations sans preuves, altération des documents, déformation des faits, faux et usage de faux…

    Le summum de la malhonnêteté est atteint lorsqu’il écrit à la fin de son écrit « Le Desk n’a pas réussi à la joindre ». L’auteur essaie par ces quelques mots de s’en tirer par une pirouette, tentant de démontrer son « objectivité », du genre « j’ai essayé de la joindre pour avoir son avis en vain ». Comme s’il était écrit sur le front de la mise en cause, qui est une parfaite inconnue, « Fille de Sellal, peut être jointe au Palais du gouvernement. »

    Si l’on voulait une preuve des manipulations journalistiques, cet écrit du journaliste algérien dans un journal marocain en est la quintessence ! Un bijou de mensonges ciselé main pour lecteurs attardés !

    Bison
    25 mai 2016 - 14 h 26 min

    Un jours, il y a de ca tres
    Un jours, il y a de ca tres temps, en quittant le sénat romain, le grand Jugurtha lança cette phrase pleine de dédain : » Rome est a vendre, tu périrais si tu trouves un acheteur. » !! Allusion, certainement a la corruption de ses élites!! C’était l’époque quand l’Algérie s’appelait Numidie nation des les hommes qui preferaient la mort plutot se vendre a un corrupteur!! Quand, un homme accepte la corruption il renonce a son statut d’homme pour celui de marchandise, exposée au plus offrant!! Comment un homme né libre se réduit de son plein gré en esclavage!!
    L’époque de la Numedie notre fakhamatouhou s’appellait Jugurtha!Si Rome s’en souvient encore, nous on l’a oublié il y a déjà longtemps! L’histoire c’est pour les idiots nostalgique, enfin la notre surtout !! Car celle des pharaons et autres on raffole !
    On a renonce a notre histoire au nom de la modernité pourtant les pays les plus moderne sont ceux qui s’intéressent le plus a leur histoire, ils en inventent même des mythes!!!
    On a rennoncé a notre histoire au nom de la religion pourtant le saint Coran est plein d’histoire  » lui kawmin yaakiloun »!

    …etc

    Lemdigouti
    25 mai 2016 - 14 h 20 min

    En principe l’exemple doit
    En principe l’exemple doit venir d’en haut.
    Mais l’exemple, et le mauvais exemple est donné et a été donné par un ancien ministre des étranges affaires.
    Il se retrouve aujourd’hui avec les pleins pouvoirs, entourés de pickpockets prêts à tout pour perpétuer leur domination dans le seul but d’éviter de rendre des comptes.
    Faisant goûter à outrance la corruption à leurs comparses ils marchent main dans la main sans se soucier des scandales qui touchent leurs personnes ou leurs proches (des prêtes noms le plus souvent).
    Leurs comportements fait de dédain à l’égard de tout un peuple, leur mépris pour la justice (qui n’existe que pour le ghachi que nous sommes), justice ravalée par eux au stade d’institution à leurs seuls ordres….la meilleure preuve : une procédure de référé renvoyée de semaine en semaine depuis le début du mois (Affaire Ghani Gédoui contre El Khabar). LE PAUVRE JUGE NE SAIT PLUS QUOI FAIRE AVEC SON TÉLÉPHONE.

    TheBraiN
    25 mai 2016 - 13 h 51 min

    Tel « en haut », tel « en bas » !
    Tel « en haut », tel « en bas » !

    Omar
    25 mai 2016 - 13 h 33 min

    LA FIN DU DEBUT EST LE DEBUT
    LA FIN DU DEBUT EST LE DEBUT DE LA FIN.
    LE DEBUT DE LA FIN EST LA FIN DU DEBUT.
    LA FIN DE LA FIN EST LE DEBUT DU DEBUT.
    LE DEBUT DU DEBUT EST LA FIN DE LA FIN.

    Pour l’Algérie, personne ne sait exactement où est le DEBUT et où est la FIN de toute cette MACEDOINE AMERE qui est ingurgée de force dans la bouche du PEUPLE ALGERIEN ?

    hmida
    25 mai 2016 - 12 h 56 min

    il n y avait pas de
    il n y avait pas de corruption structurelle comme aujourd’hui du temps de la révolution , durant la présidence de Boumediene , durant Boudiaf et Ali Kafi et durant zeroual …c’était pas le paradis mais ces dirigeants algériens s’occupaient de l’état algérien et faisaient ce qu’ils pouvaient avec les moyens qu’ils avaient sous la main …Paradoxalement ceux qu’on accusait de militaires et que la propagande wahabo-demokhratique se sont avérés les plus intègres , les plus propres , les plus positifs , les plus nationalistes et les plus patriotes

    Et la vermine « civile » , Les plus grands corrompus et les plus prédateurs sont ceux qui nous parlent de Omar ben khatab et détruisent et détroussent l’Algérie derrière notre dos … les mystificateurs du FLN de Belkhadem et Saadani et leurs FIS … il faut les juger et les poursuivre

    Anonyme
    25 mai 2016 - 12 h 42 min

    Par Anonyme (non vérifié) |
    Par Anonyme (non vérifié) | 25. mai 2016 – 11:56
    Depuis l’arrivée de M. BOUTEFLIKA, ce pouvoir ne tient que par la corruption tolérée pour régner dans ce pays.

    ————————–

    Exact. Et toute la petite vermine qui mange dans la gamelle vient régulièrement au secours de Bouteflika et de sa secte.
    C’est pour nous dire : Circulez y’a rien à voire.

    slimane
    25 mai 2016 - 12 h 31 min

    Au bresil ils ont fait tomber
    Au bresil ils ont fait tomber Roucef pour justement des affaires de corruption meme si cette corruption n’atteind pas 1% de la notre. Chez nous, 80% de l’équipe au pouvoir est citée dans des affaires de corruption a chaque investigation et personne au pays ne bouge – meme l’opposition – comme s’ils sont aussi noyés dans des détournements:
    Dans un monde de droit il faudrait que:
    1/ Le pouvoir demissionne en masse
    2/ La justice commence son travail pour donner confiance au peuple
    3/ Un gouvernement de transition nationale est necessaire pour éviter une instabilité quelconque.
    Si ca ne marche pas, l’ANP doit s’y mettre serieusement car c’est de la SECURITE du pays que ca se joue. Un groupe de bandits et d’escrocs aidés par des mercenaires qui dévalisent les coffres du pays doit etre arreté car ces gangsters pourront mettre le pays en banqueroute tres rapidement et déclancher des conflits sociaux internes qui détruiront le pays. Donc l’ANP a le devoir de proteger et le peuple et le pays. C’est son role primordial.

    Anonyme
    25 mai 2016 - 12 h 29 min

    … il ne faut rien espérer.
    … il ne faut rien espérer.

    kahina
    25 mai 2016 - 12 h 28 min

    Il faut avoir de la

    Il faut avoir de la conscience et du respect pour le peuple pour pouvoir démissionner. Ces charlots-charlatans ont la langue collée dans le mangeoire. Aucune dignité humaine.

    slimane
    25 mai 2016 - 12 h 21 min

    Les 40 millions d’algeriens
    Les 40 millions d’algeriens moins les rapaces d’oujda et de gafsa doivent se poser la question: OU EST LA JUSTICE ?

    RAMO
    25 mai 2016 - 11 h 49 min

    200000 Morts,,pour que
    200000 Morts,,pour que d’autres viennent en-profité ces rapaces ces charognards mangeurs de cadavres,ils étaient ou avant? j’aimerai bien que AP nous donnes qu’il nous donnes des renseignements sur leurs passé

    lhadi
    25 mai 2016 - 11 h 13 min

    .
    Socrate professait qu’il

    .
    Socrate professait qu’il suffit de connaître le bien pour le pratiquer, que par conséquent la vertu est science et le vice ignorance.
    .
    Platon, fidèle disciple de Socrate, s’attache comme lui à définir les idées morales. Il recherche le courage, la sagesse, l’amitié, la pitié, la vertu. Comme lui, il croira que le bien est le but suprême de toute existence.
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    En clair, on ne doit pas stigmatiser ou faire des procès d’intention mais prendre de la hauteur pour émanciper l’esprit afin qu’il se plie aux conditions du savoir.
    .
    La pédagogie de la raison ne doit-elle pas profiter de toutes les occasions de raisonner afin de réintégrer la culture avide du savoir ?

    Ainsi, face au torrent de démagogie qui ne répond ni aux questions ni aux interrogations, le citoyen algérien ne doit plus alimenter les facteurs de troubles qui arrangent le pouvoir insane. Il se doit de se mettre en ordre de bataille pour protéger l’Algérie adamantine soumise au diktat des tailleurs de pierres.
    .
    La république algérienne a besoin d’un chiropracteur qui porte les valeurs qui émancipent afin d’ouvrir l’avenir à tous ceux qui n’ont que leur travail, leur talent, leur mérite pour obtenir leur juste place.
    .
    En d’autre terme, on doit se plonger directement au cœur de la problématique du pouvoir en posant la question de sa légitimité. C’est un des enjeux essentiels de toutes les sciences humaines et l’objet privilégié des sciences politiques.
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    Tout retard dans cette démarche sera imputé à la mauvaise volonté du citoyen algérien qui n’agit pas contre la stratégie cynique des agents du mensonge qui se résume en un schéma suivant : l’important est de rester au pouvoir, qu’importent les moyens, nous emploierons le plan de clivage ô combien utile dans le Pandémonium algérien, voulu et entretenu par des agitateurs de brasserie.
    .
    Fraternellement lhadi
    ([email protected])

    amal
    25 mai 2016 - 10 h 58 min

    Ya 7asra!
    Si les algériens

    Ya 7asra!
    Si les algériens des fondements faisaient comme eux le pays n’aurait éé plus qu’un souvenir lointain. Le problème s’est qu’ils ont fini par se persuader que c’est parcequ’ils volent que l’algérie reste debout.
    Si j’avais su que boutef avait été condamné par la cour des comptes jamais je n’aurais appuyé sa candidature!!!
    Mais à qui la faute?

    Anonyme
    25 mai 2016 - 10 h 56 min

    Depuis l’arrivée de M.
    Depuis l’arrivée de M. BOUTEFLIKA, ce pouvoir ne tient que par la corruption tolérée pour régner dans ce pays.

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