Les projets de Sonatrach financés en fonds propres

SONATRACH.jpg

Tous les investissements consentis par Sonatrach jusqu’à 2017 seront financés en fonds propres, a assuré dimanche un haut cadre du groupe, précisant qu’à partir de 2018 le financement des projets se fera en fonction de l’évolution des prix mondiaux de pétrole. «Tous les investissements de la période 2015-2017 seront financés en fonds propres du groupe. Pour 2018, s’il n’y avait pas eu les projets de raffineries, nous aurons pu financer nos investissements en fonds propres», a affirmé le président activités exploration et production de Sonatrach, Salah Mekmouche, qui a coanimé avec le P-dg, Amine Mazouzi, une conférence de presse. A partir de 2018, si le cours du baril se maintient à 60 dollars à compter de 2017, il y a une «forte probabilité» que les investissements soient financés par les moyens propres du groupe, a avancé M. Mekmouche. Mais dans le cas où le prix du baril descendrait à 30 dollars, a-t-il précisé, les projets de pétrochimie seront financés en Project financing, alors que les plus importants projets de raffinage (environ 2 milliards de dollars) feront l’objet, à partir de 2018, de financements bancaires en interne. Le Project financing est une formule de financement basée sur la rentabilité du projet, explique-t-on. Ce concept se fait sur la base de la création d’une société pour la réalisation du projet et qui est chargée de la mobilisation des financements (crédits bancaires, émission d’actions et d’obligations…) Par ailleurs, M. Mekmouche a indiqué que Sonatrach détient des placements au niveau des banques publiques à hauteur de 270 milliards e dinars, en plus de 904 milliards de dinars sous forme de bons de Trésor. Sur le plan financier, il a aussi fait savoir que des instructions avaient été données aux filiales opérant à l’international pour le rapatriement des dividendes et placements à l’étranger. Une première opération a déjà été effectuée dans ce sens et porte sur un montant de 322 millions de dollars. « Nous comptons récupérer d’ici fin juin en cours 100 millions de dollars de plus », a-t-il ajouté.

Augmentation des investissements en 2015

Les investissements de Sonatrach ont augmenté de 16% en 2015 par rapport à 2014, un résultat qui reflète le «regain de confiance» des managers dans l’acte de gestion en Algérie, a indiqué le P-dg de ce groupe, Amine Mazouzi, lors de cette conférence de presse. Cette hausse reflète «l’implication personnelle de nos managers qui ont pleinement pris conscience de l’impératif de maintenir les flux actuels de production et d’assurer de nouvelles sources de croissance à l’entreprise», a-t-il expliqué. Une «très bonne progression» a ainsi été réalisée dans l’exploration, tandis que l’investissement dans le forage a évolué positivement avec 144 puits forés en 2015 (dont 111 en effort propre) contre 104 en 2014. Les efforts d’exploration ont permis un renouvellement des réserves qui représentent, avec les réévaluations successives, 115% des volumes commercialisés en 2015. Rappelant les grands projets maturés en 2015, M. Mazouzi a cité en particulier le projet de «Revamping» des satellites Sud de Hassi Messaoud et le «Boosting phase 3» de Hassi R’mel dont les appels d’offres ont été lancés durant le 1er trimestre 2016. L’année 2015 a également été marquée par le démarrage des travaux de réalisation de la station de compensation GR4 et du gazoduc GR6 (Rhoude Nouss-Hassi R’mel). Il a aussi fait part de la réception du méga train GNL3 d’Arzew, qui devrait accroître les capacités nationales en matière de liquéfaction du gaz. Pour ce qui est du partenariat, les efforts déployés en 2015 ont porté sur deux axes stratégiques : la recherche de partenaires disposés à augmenter le contenu local de leur production et la diversification géographique des partenaires potentiels, a-t-il relevé.

R. E. 

Comment (14)

    donbadro
    28 juin 2016 - 0 h 52 min

    là ou le défaut étincele le
    là ou le défaut étincele le défi et permis aux nations de promovoir le moindre des richesses de la nature et devenir les maîtres d’une telle ou telle industrieet , fait l’alternatif des ratés et la succession des échecs chez nous.
    et chez nous …C….les passions idéologiques infantile,l’allégeance pathologique et hypocrite , le racisme y s’instale et s’agrandir dans le silence ,la complicité, muscler et fortifier de régionalisme ,ne laissant auqu’une place à la sagesse et à la saine réflexion.

      Anonymous
      28 juin 2016 - 9 h 28 min

      Concrètement tu veux dire
      Concrètement tu veux dire quoi à part de vagues généralités et de grands sous entendu ? ?

        donbadro
        29 juin 2016 - 0 h 17 min

        Mr fantôme : le destin ne
        Mr fantôme : le destin ne peut reserver que mépris et décadence à l’ignorance!!!!!

    TheBraiN
    27 juin 2016 - 10 h 15 min

    Ce fils à papa a-t-il été
    Ce fils à papa a-t-il été désigné pour vendre la SONATRACH via les financements étrangers auxquelles le fils à papa souhaiterait recourir comme le préconise son ministre au palmarès judiciaire plus qu’…… »honorable » .

    algerino
    27 juin 2016 - 6 h 45 min

    Je ne comprends pas pourquoi
    Je ne comprends pas pourquoi Sonatrach continue à investir dan sun domaine qui est de moins en moins rentable
    et où les stocks sont déjà énormes.Pourquoi ne pas investir dans le tourisme, la mécanique, les usines autres que pétrochimiques…??

    Abdelghani Boulkenafet
    27 juin 2016 - 0 h 50 min

    Secteur énergétique en
    Secteur énergétique en Algérie,
    En panne d’idées….Limogeage de M. Salah Khabri, est-ce la solution ?

    L’incompétence et l’échec sont les raisons évoquées pour le limogeage de l’ex ministre de l’énergie et des mines M. SALAH KHABRI, un département jugé trop grand pour un directeur d’institut.
    C’est la lecture la plus objective de ce remaniement, du moins, si on veut faire la sourde oreille aux interprétations qui l’impute au clash avec le PDG de sonatrach, M. Amine mazouzi.
    Mais, que pourrait bien faire son remplaçant M. Noureddine Bouterfa ?
    La réaction la plus logique de tout producteur face à des cours de pétrole aussi bas est d’augmenter la production pour assurer un niveau de recettes proche de celui des périodes de bons prix, tout en intensifiant l’activité exploration pour renouveler les réserves pétroliers, d’où la nécessité d’amender les lois sur les hydrocarbures et la fiscalité dans le domaine afin d’attirer les compagnies étrangères et partager les charges d’exploration en effort propre supportés par la Sonatrach.
    Malheureusement, les données du terrain font état d’une situation des plus pessimistes ou la Sonatrach est aujourd’hui, non seulement n’est pas en mesure d’augmenter la production nationale, mais aussi le sous-sol national a été discrédité aux yeux des firmes étrangères par des politiques antérieures très mal mesurées, particulièrement l’exigence de consacrer à la recherche 3US $/baril sur les contrats d’achats/ventes.
    Les cadres intègres et compétents en bas d’échelle dans la hiérarchie du groupe, se trouvent écrasés, par le clanisme, la culture des groupes, le régionalisme et même le racisme institutionnalisé qui favorise certains groupes ethniques, destinés pour occuper les postes de hautes responsabilités par rapport à d’autres qui n’ont le droit d’accès qu’à des fonctions subalternes.
    Ainsi, c’est derrière des slogans brillants comme la polyvalence que des électriciens sont propulsés aux postes des chefs de champs et qu’on a cessé de designer des ingénieurs en process dans ces postes.
    Il est normal pour cette classe des managers que ce qui les préoccupe est loin d’être les véritables causes des difficulté que rencontrent leurs divisions ou filiales respectives et dont l’absence de traitement conduit inévitablement à la spirale infernale de l’échec.
    Les auditeurs internes ou externes ( IGF) qui se penchent souvent sur le respect des procédures ne sont pas dotés d’outils qui leur permet de mettre en évidence ces fléaux ou l’enquête sociale est la plus préconisée dans ces cas de figure qui manquent malheureusement d’un cadre légal en Algérie.
    L’absence de traitement des veritables causes de difficultés fait en sorte que des milliards de dollars soient brulés dans les torches par manque de maintenance et rénovation des turbines et autres installations, certains parlent de 5Mtep/mois sur un seul site.
    Le segment amont au cœur de la transition énergétique
    Le déclin de la production était prévisible pour nombre de spécialistes nationaux, au sein du groupe et à l’extérieur, au moment ou les besoins locaux de consommation énergétique ont dépassé les 40% de la production nationale.
    C’est le segment amont qui doit avoir toute l’attention des décideurs algériens tout en préparant une transition vers un système énergétique basée sur des énergies de substitution ou énergies nouvelles (nucléaire, solaire, éolienne et géothermie).
    « Bien que l’énergie nucléaire n’est pas sans risques et demande une maitrise de technologies, l’état algérien est appelée a évaluer la situation de ce secteur, enquêter un peu plus profondément autour de ses responsables, de leurs proches et sur le statut-quo qui y règne et évaluer le rôle du COMENA pour tirer les conclusions sur les vrais motivations de tel ou tel responsable, surtout que des rumeurs ont circulé sur des projets qui ont été interrompu au stade d’études ».
    Préparer l’avenir sans grandes contraintes, revient à préserver la ressource et l’outil de production existant.
    Si la production dans le secteur hydrocarbures s’est fléchi de manière monotone depuis 2006, la situation de l’activité amont a fortement régressé depuis 2011, en exploration et en production, aggravée par une surexploitation des puits pétroliers et par le manque des découvertes pour renouveler le potentiel national en gaz et pétrole et les maigres découvertes ne peuvent être exploitées que dans plusieurs années.
    Ainsi, la Sonatrach, vu l’urgence de la situation, se trouve condamné à prioriser les puits de développement des gisements périphériques autour des grands champs pétroliers connus de manière à permettre à une seule installation de traitement de prendre en charge plusieurs gisements situés dans la même zone.
    Les méthodes de haute résolution en prospection sismique permettent d’anticiper l’échec des forages et ainsi la réduction des charges des puits de développement s’ils étaient utilisés par la compagnie nationale.
    Cette situation nous renvoie encore une fois vers les problèmes réels du terrain qui nous révèlent une Algérie qui tourne le dos à ses compétences et que le devenir de toute une nation est entre les mains de pseudo-managers.
    L’exemple du puits HGT1 de Hassi guettar qui s’est révélé sec à quatre kilomètres du gisement prouve que l’implantation de ces forages de développement n’est pas sans effets sur les résultats escomptés et que dieu seul sait combien de gisements ont été ratés à cause des âmes vendues à BEICIP, NDM et autres boites étrangères, pourtant, ils se disent être nos concitoyens.
    Ce n’est pas un hasard que certaines divisions du groupe soient complètement fermées devant les enfants du peuple, car les infiltrer peut remettre en cause leurs plans.
    L’exploration en Algérie, des visons et des politiques
    Au début du 20eme siècle, pour préserver le pétrole national, le gouvernement américain imposa aux compagnies pétrolières américaines de ne produire qu’une partie de la semaine, elles acquirent des concessions dans les pays voisins et partirent ailleurs chercher des gisements à gros rendement de façon à vendre un pétrole bon marché avec une grande marge bénéficiaire, enfin c’est leur politique jusqu’aujourd’hui.
    M. CHAKIB KHELIL s’est inspiré de l’expérience américaine et c’est ainsi qu’il s’est lancé dans l’achat des blocs du bassin de TAOUDINI tout au long de la bande frontalière de l’Algérie dans les pays voisins Mali, Niger et Mauritanie.
    M. Youcef yousfi, avait une préférence pour cette zone, région sous explorée, mais du coté algérien, et c’est ainsi qu’il ordonna plusieurs campagnes sismiques d’exploration et la création des équipes d’accompagnement pour la compagnie mère en s’engageant de fournir les ressources nécessaires pour mener à terme son projet dans une époque de grande euphorie économique.
    M. Salah Khabri, un homme académique, désigné en pleine crise économique à la tête du département des énergies et des mines n’a pas eu ni le temps, ni la marge suffisante de manœuvre pour apporter le changement souhaité.
    Toutefois, un fait commun marque les trois ministres, il semble qu’ils sont arrivés tous à la conviction qu’en tant que tutelle du secteur d’énergie, ils ne peuvent provoquer le changement sauf s’ils auront la main mise sur la compagnie nationale sonatrach.
    Ainsi, Chakib Khelil a osé le pas en occupant à la fois le poste de ministre et celui de PDG de sonatrach, M. Youcef yousfi exigea que les nominations des cadres dirigeants dans le secteur doivent avoir l’aval de la tutelle et M. Salah Khabri limogé du gouvernement pour un clash sur le même sujet.
    La question qui se pose aujourd’hui est de savoir si le slogan d’autonomie de gestion de la Sonatrach n’est autre qu’un prétexte pour cacher une volonté et une préférence surtout des vrais décideurs pour un mode de gestion basé sur les cabinets noirs que par des personnalités publiques.
    Cette question, aussi banale qu’elle parait aux yeux de certains, me semble primordiale car elle réduit le rôle des ministres de la république à un simple travail d’orientation.
    M. youcef yousfi, bien que réputé nationaliste chauvin, n’a pas vu ses projets se concrétiser, mais les dirigeants de la compagnie ne sont pas comptables à la base de leurs résultats, mais, semble-t-il, de leur appartenance ou allégeance à des groupes beaucoup plus influents que le ministre lui-même, d’où la pérennité dans leur poste.
    Le plan triennal d’exploration
    Le plan triennal d’exploration avec un budget d’investissement atteignant les 70 milliards de dollars, 799 puits sont planifiés dont 355 puits d’exploration et 464 puits de développement, une production de 200 Mtep est attendue au terme de ce plan, soit la moyenne de 2006.
    Avec une telle stratégie et une telle production, il y’a certainement de quoi rassurer les algériens et surtout les décideurs sur l’avenir énergétique de notre pays.
    Malheureusement, une simple analyse montre combien le segment d’exploration est en panne d’idées et, au contraire, il ne sème que le désespoir aux algériens.
    La répartition géographique des forages témoigne non seulement d’une conviction profonde chez les managers de SONATRACH que les réserves restantes sont dans les pièges stratigraphiques et les objectifs profonds et complexes comme l’ordovicien dont l’exploitation est de plus en plus moins rentable avec des cours de pétrole aussi bas, mais aussi la solution proposée pour hisser la production est de cibler les objectifs structuraux quelques soient leur taille autour de champs matures dans nos provinces pétroliers.
    Et vu la situation de la raffinerie d’adrar et pour faire face à certaines accusations que le traitement réservé au sud ouest algérien par la Sonatrach répond beaucoup plus à des plans occidentaux que nationaux.
    Et aussi affirmer l’orientation vers une politique gazière et témoigner de la volonté de Sonatrach d’exploiter les réserves du sud ouest algérien, 28 puits sont prévus dans les régions de Tindouf, reggane et Sbaa et 29 autres pour les régions de bechar et oued namous.
    Alors que l’historique des découvertes prouve que la solution n’est pas de forer plus, mais plutôt de mieux forer avec l’introduction de nouveaux concepts et de la technologie.
    Prospection sismique
    Comme les managers de sonatrach ont une préférence pour les chiffres pour prouver leur engagement et détermination de l’expansion de la base de réserves à travers la politique de recherche et d’exploration, il y’a lieu de souligner que le programme prévisionnel prévoit 10000 km/an en sismique 2D et 26000 km2/an en sismique 3D.
    Ce programme ambitieux soulève moult questions sur l’efficacité de la compagnie dans ce domaine et sur une stratégie inadaptée avec le fort turn-over qu’a connu le groupe pétrolier ces dernières années ; une situation qui incite les responsables du groupe à adopter une nouvelle politique ressources humaines dont le recrutement massif n’est pas la solution adéquate, mais surtout favoriser d’autres types d’organisation transversales en permettant une grande mobilité du personnel du groupe.
    Ainsi, au lieu de se référer aux bilans financiers de telle ou telle division ou filiale, c’est une autre approche que doit adopter les responsables du groupe en se posant les vraies questions.
    Il n’y’a qu’à voir comment ont été facturés les travaux d’acquisition, menés par la compagnie française CGG, en offshore (représente 6% du domaine minier algérien) pour comprendre l’effet des départs sur la perception de l’activité.
    L’offshore, l’autre dimension inconnue, qui fait de Sonatrach l’exemple d’un chirurgien, qui au bout de cinq décennies de pratique ne sache faire que les opérations de circoncision.
    Le groupe n’a pu lancer même, une seule mission pilote en offshore au terme de cinquante ans d’activités.
    Il n’y’a qu’à se demander si le hasard qui fait que des puits s’avèrent secs, alors que toutes les études montrent une grande probabilité de fructuosité.
    Il n’y’a qu’à voir comment l’introduction de nouveaux procédés de traitement et d’interprétation des données sismiques avec l’avènement de nouveaux logiciels et microprocesseurs superpuissants a transformé le destin de certains états qui ont par le passé consacré un grand effort d’exploration, mais resté sans résultats.
    Même, en termes de volume et moyens utilisés, l’équipe de haute densité d’ARGAS en Arabie saoudite, au bout de quatre mois, vient d’atteindre un million de points vibrés en janvier 2016 déployant le système d’acquisition le 508XT, opérant avec 12 groupes de 2 vibrateurs nomad65 Neo, utilisant la méthode vibrosismique DS4 et un dispositif d’enregistrement de 40000 canaux et 360000 capteurs d’une surface totale de 150 km2.
    Il est apparent que ces moyens ne sont pas en dehors des capacités de la compagnie nationale, pour une technique qui n’est pas encore utilisée en Algérie et un système expérimenté et taxé d’échec.
    Le domaine de la prospection sismiques n’engage que des timides moyens comparés aux puits de forage (soit 5 à 10% des charges de forage) offre une opportunité pour l’état algérien qui lui permet de renouveler ses réserves à condition de tourner la page du management figée et d’ouvrir les portes devant les vraies compétences du secteur et de les mobiliser autour d’une stratégie stable et bien réfléchie dont les enjeux sont loin d’être de petits pièges structuraux en lançant des études régionaux avec des objectifs clairement définis et des designs bien adaptés dont la seule variante pour nos campagnes sismiques serait le pendage des formations ciblées de manière à rendre la base de données exploitable à échelle régionale et aussi améliorer la chaine de traitement et interprétation structurale et stratigraphique de ces données en faisant recours de manière sélective et parallèle au savoir faire étranger pour ces deux dernières phases ou le groupe pétrolier présente toujours un manque de maitrise.
    C’est uniquement à ce prix qu’un Hassi Berkine bis n’est pas impossible.
    Pour terminer, je dirai que personnellement, je n’ai d’autres titres pour qualifier la situation du secteur national pétrolier en particulier et énergétique en général que celui d’un algérien qui crée son impuissance devant un management en panne d’idées qui tue l’avenir de l’Algérie.

      Anonymous
      27 juin 2016 - 8 h 28 min

      Soyez plus précis quand vous
      Soyez plus précis quand vous parlez de clanisme et de cabinet noir au sein de la sonatracht. ..Khebri ministre s’est fait éjecté par mazouzi …Qui est ce mazouzi ? ? Pourquoi un bouterfa ( idem qui est ce monsieur aux larges épaules et aux bilans catastrophiques) est promu alors que c’est une calamité ?

      Si vous avez des précisions il faut les diffuser sinon on reste toujours dans les fantasmes !

      Bison
      27 juin 2016 - 9 h 31 min

      Merci monsieur pour votre
      Merci monsieur pour votre commentaire très instructif ! Il dénote entre autres chose que la situation est grave! Le patriotisme du coeur a cèdé ou plutôt submergé par celui du ventre et de viles considérations! La bergerie et l’enclos aux agneaux est entre les mains des hyènes sans dignité ni scrupule !
      J’ai juste une question si vous permettez! Que pensez vous de l’information parue dans une certaine presse selon la quelle les données y compris les plus stratégique et « confidentielles » de sonatrach sont gèrées et stockées a l’étranger par des serveurs étrangers !??
      Voilà le texte: » C’est une anomalie qui inquiète de nombreux experts algériens de la sécurité informatique. Sonatrach, la plus grande compagnie algérienne, l’établissement économique le plus stratégique du pays, héberge ses données confidentielles et stratégiques dans des serveurs français…

      Une situation inédite qui soulève de nombreuses interrogations. En effet, le site web du groupe Sonatrach ainsi que l’ensemble des serveurs  par lesquels transitent les e-mails des différents employés et hauts responsables de la compagnie pétrolière nationale, sans oublier les données confidentielles relatives à l’entreprise, sont hébergés actuellement en France et plus précisément à Lyon, au niveau du centre de données (data center) de l’entreprise Elb Multimedia Group… » !???

      Merci

        Abdelghani
        27 juin 2016 - 16 h 43 min

        je suis pas informaticien,
        je suis pas informaticien, mais, je peux vous affirmer que plusieurs compagnies nationales qui redoutent des pertes énormes en cas de crash de leur  » base de données » ont eu recours à un prestataire privé pour la virtualisation de leur data center pour assurer un accès omniprésent dans toutes les circonstances. le prestataire le plus connu en Algérie est une boite française dont le cloud « serveur » est en outremer , france et dubai selon mes informations et les entreprises concernés sont surtout les opérateurs de telephonie et certaines grandes boites;
        Je veux juste rajouter qu’il n’y »a pas que des vendus, certaines filiales de sonatrach ont choisi d’acheter des ordinateurs puissants et pour la conception de leur data center et pour assurer sa virtualisation (disposer de l’espace suffisant et basculer vers la deuxiemme base de données en cas de crash )

    anonymous
    26 juin 2016 - 22 h 15 min

    Publiez les noms des
    Publiez les noms des Directeurs que le PDG a dégommé depuis son investiture , situation unique dans les annales de Sonatrach.
    Dans quel but? on le saura bientôt

      Anonymous
      27 juin 2016 - 1 h 56 min

      …..Quel but ??….Tlemcano
      …..Quel but ??….Tlemcano marocaniser l’entreprise !…Encore une fois on va se taper des crasseux intellectuels imposé par celui que le général Benhadid appelle  » Le taré »…Alias $aid la tchippa, issu d’une famille de berranis et de fous extrémistes..

    momo
    26 juin 2016 - 21 h 07 min

    fonds propre .. moi je croit
    fonds propre .. moi je croit que vos fonds sont sales .vous nous prener pour des atarders mentaux.

    Anonymous
    26 juin 2016 - 20 h 11 min

    Qui est Amine mazouzi ? Il
    Qui est Amine mazouzi ? Il parait que c’est lui qui a eu la tête de Khebri..

    anonyme
    26 juin 2016 - 18 h 27 min

    Vous êtes des menteurs et des
    Vous êtes des menteurs et des incompétents à la tête de SONTRACH.
    On vous croit plus, vous avez perdu notre confiance.
    Vous êtes des escroc et des corrompus.
    Quoi faire quand la confiance est brisée?

Laisser un commentaire

Votre adresse de messagerie ne sera pas publiée.