Azzedine Mihoubi restructure le secteur de la culture

Azzedine Mihoubi. New Press

Des établissements culturels placés sous tutelle du ministère de la Culture, dont l’Agence algérienne pour le rayonnement culturel (AARC), seront fusionnés à la faveur d’une opération de restructuration, a annoncé Azzedine Mihoubi. Intervenant lors d’une conférence à Alger, le ministre de la Culture a expliqué que cette restructuration était motivée par le «souci d’améliorer» la prestation de ces établissements et de «réduire les dépenses». Cette réorganisation n’aura, cependant, «pas d’impact» sur les personnels de ces établissements qui seront «réintégrés dans de nouvelles fonctions au sein des structures réorganisées», a-t-il rassuré.

L’AARC sera rattachée à l’Office Riadh El-Feth, désormais «Entreprise Riadh El-Feth pour le rayonnement culturel». Par ailleurs, le Centre algérien de développement du cinéma (CADC) se voit confié les missions attribuées jusque-là à l’AARC dont la promotion et la production de films. Créée en 2005, l’AARC qui avait le statut d’entreprise, était chargée notamment de promouvoir la culture algérienne à travers l’organisation de manifestations en Algérie et à l’étranger.

La Cinémathèque algérienne intégrera, pour sa part, le Centre national du cinéma et de l’audiovisuel (CNCA), alors que l’Office national de la culture et de l’information (ONCI) fusionnera avec le Village des artistes de Zéralda, un établissement chargé de l’accueil et de l’hébergement des artistes, a encore révélé le ministre de la Culture. La nouvelle restructuration concerne également le Ballet national, l’Orchestre symphonique national (OSN) et l’Ensemble national algérien de musique andalouse, tous trois rattachés à l’Etablissement Opéra d’Alger, récemment inauguré.

Le ministre a de nouveau invité les opérateurs privés à s’impliquer, «en partenariat avec les institutions publiques», dans la gestion des salles de cinéma, gérées jusqu’à présent par les collectivités locales, pour la plupart.

R. C.

Comment (26)

    khaznadji
    1 août 2016 - 13 h 55 min

    absence de vision de
    absence de vision de stratégies du secteur déclinée sur le territoire touchant la création le patrimoine le cinéma la musique etc…………….le pays fonctionne au jour au le jour selon le désira ta de ces ministres qui défilent dans le secteur aucune visibilité sur le moyen terme et le long terme une gestion chaotique de budgets colossaux sans impact de l’image de la culture ici et ailleurs en fait un management à petits sous et petites réformettes qui n’augurent rien de bon. une culture de quartier de villes de villages entre urbain et rural avec des encouragements à tous les acteurs avec une culture de proximité loin des approche fastueuses sans incidences le mouvement associatif peut jouer un rôle primordial pour donner un nouveau tonus à la léthargie ambiante .là il faut des compétences de la transparence du dévouement besogneux du travail de professionnel et un tableau de bord de tout le secteur pour rectifier corriger orienter valoriser etc…….

    khaznadji
    1 août 2016 - 13 h 55 min

    absence de vision de
    absence de vision de stratégies du secteur déclinée sur le territoire touchant la création le patrimoine le cinéma la musique etc…………….le pays fonctionne au jour au le jour selon le désira ta de ces ministres qui défilent dans le secteur aucune visibilité sur le moyen terme et le long terme une gestion chaotique de budgets colossaux sans impact de l’image de la culture ici et ailleurs en fait un management à petits sous et petites réformettes qui n’augurent rien de bon. une culture de quartier de villes de villages entre urbain et rural avec des encouragements à tous les acteurs avec une culture de proximité loin des approche fastueuses sans incidences le mouvement associatif peut jouer un rôle primordial pour donner un nouveau tonus à la léthargie ambiante .là il faut des compétences de la transparence du dévouement besogneux du travail de professionnel et un tableau de bord de tout le secteur pour rectifier corriger orienter valoriser etc…….

    Anonymous
    31 juillet 2016 - 15 h 22 min

    Oui, c’est ça ya si le

    Oui, c’est ça ya si le sinistre. Occupe toi des salles du cinéma pendant que le makhzen vole tout ce qui est Algérien.

    Anonymous
    31 juillet 2016 - 15 h 22 min

    Oui, c’est ça ya si le

    Oui, c’est ça ya si le sinistre. Occupe toi des salles du cinéma pendant que le makhzen vole tout ce qui est Algérien.

    lhadi
    31 juillet 2016 - 15 h 08 min

    Une politique d’encouragement

    Une politique d’encouragement à la création dans tous les domaines stimulera la progression de la nation et ouvrira les perspectives d’un développement sans précédent des personnalités et des relations entres les hommes. Elle s’accompagnera d’un effort de diffusion de la culture, de conservation du patrimoine et d’extension des échanges culturels internationaux. Elle s’associera ainsi à la reforme de l’éducation nationale et à l’effort de la recherche.

    Cette tâche est inséparable d’une politique du progrès social, du dégagement de ressources élevées, d’une démocratisation générale de la vie.

    Pas d’épanouissement de la création sans liberté de la création. Pas d’essor de la pensée sans liberté de pensée. Pas de liberté de création et de pensée sans liberté de leur expression et de leur diffusion. L’intelligence doit enfin cesser d’être en butte à la loi du profit, aux contraintes et aux entraves matérielles et idéologiques que cette loi impose. La culture doit recevoir les moyens qui garantiront son expansion. D’où les relations essentielles entre l’essor culturel et las transformation politique et économique de la nation.

    Pas d’accès de tous à la culture sans que l’ensemble de la population ait le temps et les moyens de vivre, sans qu’un équipement culturel moderne, dynamique, diversifié, soit implanté sur tout le territoire, sans que soit formé un personnel qualifié, capable de mettre en valeur le patrimoine et d’animer la vie culturelle.

    La reforme de l’éducation nationale est une condition majeure de la réussite d’une politique culturelle.

    Pour déterminer les objectifs, dégager les orientations et rechercher l’utilisation rationnelle des moyens, une collaboration permanente sera instituée, au plan national, entre les représentants qualifiés de toutes les activités qui concourent à la création et à la diffusion de la culture, avec, en particulier, l’intervention des créateurs. De même que le développements sciences nécessite les débats et les recherches, la création artistique ne se conçoit pas sans explorations, sas courants, sans écoles diverses et sans confrontations entre elles. Toute forme de pré-censure et de censure sera abolie.

    Les dispositions particulières assurant la liberté de création reposeront sur les principes suivants :
    1- Soustraire la culture à l’emprise des affaires
    2- démocratiser les moyens modernes d’information et de diffusion
    3- Décentraliser
    4- Ouvrir la culture à l’enfance et à la jeunesse.

    Fraternellement lhadi
    ([email protected])

    lhadi
    31 juillet 2016 - 15 h 08 min

    Une politique d’encouragement

    Une politique d’encouragement à la création dans tous les domaines stimulera la progression de la nation et ouvrira les perspectives d’un développement sans précédent des personnalités et des relations entres les hommes. Elle s’accompagnera d’un effort de diffusion de la culture, de conservation du patrimoine et d’extension des échanges culturels internationaux. Elle s’associera ainsi à la reforme de l’éducation nationale et à l’effort de la recherche.

    Cette tâche est inséparable d’une politique du progrès social, du dégagement de ressources élevées, d’une démocratisation générale de la vie.

    Pas d’épanouissement de la création sans liberté de la création. Pas d’essor de la pensée sans liberté de pensée. Pas de liberté de création et de pensée sans liberté de leur expression et de leur diffusion. L’intelligence doit enfin cesser d’être en butte à la loi du profit, aux contraintes et aux entraves matérielles et idéologiques que cette loi impose. La culture doit recevoir les moyens qui garantiront son expansion. D’où les relations essentielles entre l’essor culturel et las transformation politique et économique de la nation.

    Pas d’accès de tous à la culture sans que l’ensemble de la population ait le temps et les moyens de vivre, sans qu’un équipement culturel moderne, dynamique, diversifié, soit implanté sur tout le territoire, sans que soit formé un personnel qualifié, capable de mettre en valeur le patrimoine et d’animer la vie culturelle.

    La reforme de l’éducation nationale est une condition majeure de la réussite d’une politique culturelle.

    Pour déterminer les objectifs, dégager les orientations et rechercher l’utilisation rationnelle des moyens, une collaboration permanente sera instituée, au plan national, entre les représentants qualifiés de toutes les activités qui concourent à la création et à la diffusion de la culture, avec, en particulier, l’intervention des créateurs. De même que le développements sciences nécessite les débats et les recherches, la création artistique ne se conçoit pas sans explorations, sas courants, sans écoles diverses et sans confrontations entre elles. Toute forme de pré-censure et de censure sera abolie.

    Les dispositions particulières assurant la liberté de création reposeront sur les principes suivants :
    1- Soustraire la culture à l’emprise des affaires
    2- démocratiser les moyens modernes d’information et de diffusion
    3- Décentraliser
    4- Ouvrir la culture à l’enfance et à la jeunesse.

    Fraternellement lhadi
    ([email protected])

    ahmed
    31 juillet 2016 - 14 h 53 min

    Une fois de plus, énième
    Une fois de plus, énième restructuration dans la restructuration, l’algérie est un perpétuel recommencement et renouvellement.

    ahmed
    31 juillet 2016 - 14 h 53 min

    Une fois de plus, énième
    Une fois de plus, énième restructuration dans la restructuration, l’algérie est un perpétuel recommencement et renouvellement.

    Malik
    31 juillet 2016 - 14 h 46 min

    Tant que c’est l’Etat qui
    Tant que c’est l’Etat qui décide, la culture ne quittera jamais le folklore inhibant. La libération de l’initiative culturelle au profit du mouvement associatif est la seule solution susceptible de « défolkloriser » la culture et les arts, et de les promouvoir. Les associations culturelles activant dans les villages et les douars doivent être aidées à propager la culture sur tout le territoire pour que toute la population puisse en bénéficier

    Malik
    31 juillet 2016 - 14 h 46 min

    Tant que c’est l’Etat qui
    Tant que c’est l’Etat qui décide, la culture ne quittera jamais le folklore inhibant. La libération de l’initiative culturelle au profit du mouvement associatif est la seule solution susceptible de « défolkloriser » la culture et les arts, et de les promouvoir. Les associations culturelles activant dans les villages et les douars doivent être aidées à propager la culture sur tout le territoire pour que toute la population puisse en bénéficier

    Kahina
    31 juillet 2016 - 14 h 28 min

    Nous exigeons la récupération
    Nous exigeons la récupération de notre patrimoine culturel qui est en train d’être volé par les marocains: Habits traditionnels, Culture culinaire, Chansons ( musique et parole), ainsi que Pièces archéologiques qui font le bonheur des musées d’autres pays. Ces pièces ont été volées ou données comme cadeaux ????

    Renforcez les lois, les artistes Algériens se font voler facilement par les imposteurs marocains qui s’approprient les chanson des artistes Algériens qui sont décédés ( allah yerhamhoum)
    Nous aimerions savoir, c’est quoi votre plan pour la défense de la culture Algérienne dans toute sa globalité.
    La ligne rouge a été dépassé par le chanteur marocain, cet imposteur qui s’est approprié , sans scrupule, la chanson du défunt Kamel Messouadi. Où êtes vous ya si Monsieur le ministre de la culture??? Que font vos hommes au ministère.
    Nous exigeons des réponse à ce HOLD-UP marocain de tout ce qui est Algérien. Des actions urgentes de votre part sont attendues……………………..

      anonyme
      31 juillet 2016 - 17 h 58 min

      Le Marocain en question c’est
      Le Marocain en question c’est l’ami du mari Marocain de la chanteuse Souad Massi, c’est elle qui l’a branché au ministère de la culture pour l’invitation, elle est repartie au Maroc avec un très bon caché en devises comme beaucoup d’autres artistes Marocains.

        Anonymous
        31 juillet 2016 - 19 h 33 min

        Il ya quelque chose qui

        Il ya quelque chose qui cloche dans ce ministère qui met le répertoire culturel Algérien à la disposition des marocains. Une trahison à grande échelle.

        Ras Le Bol
        31 juillet 2016 - 19 h 36 min

        Si je comprends bien, ce
        Si je comprends bien, ce marocain en question a eu le feu du ministère de la culture( à travers des intermédiaires) pour s’accaparer du patrimoine Algérien.

    Kahina
    31 juillet 2016 - 14 h 28 min

    Nous exigeons la récupération
    Nous exigeons la récupération de notre patrimoine culturel qui est en train d’être volé par les marocains: Habits traditionnels, Culture culinaire, Chansons ( musique et parole), ainsi que Pièces archéologiques qui font le bonheur des musées d’autres pays. Ces pièces ont été volées ou données comme cadeaux ????

    Renforcez les lois, les artistes Algériens se font voler facilement par les imposteurs marocains qui s’approprient les chanson des artistes Algériens qui sont décédés ( allah yerhamhoum)
    Nous aimerions savoir, c’est quoi votre plan pour la défense de la culture Algérienne dans toute sa globalité.
    La ligne rouge a été dépassé par le chanteur marocain, cet imposteur qui s’est approprié , sans scrupule, la chanson du défunt Kamel Messouadi. Où êtes vous ya si Monsieur le ministre de la culture??? Que font vos hommes au ministère.
    Nous exigeons des réponse à ce HOLD-UP marocain de tout ce qui est Algérien. Des actions urgentes de votre part sont attendues……………………..

      anonyme
      31 juillet 2016 - 17 h 58 min

      Le Marocain en question c’est
      Le Marocain en question c’est l’ami du mari Marocain de la chanteuse Souad Massi, c’est elle qui l’a branché au ministère de la culture pour l’invitation, elle est repartie au Maroc avec un très bon caché en devises comme beaucoup d’autres artistes Marocains.

        Anonymous
        31 juillet 2016 - 19 h 33 min

        Il ya quelque chose qui

        Il ya quelque chose qui cloche dans ce ministère qui met le répertoire culturel Algérien à la disposition des marocains. Une trahison à grande échelle.

        Ras Le Bol
        31 juillet 2016 - 19 h 36 min

        Si je comprends bien, ce
        Si je comprends bien, ce marocain en question a eu le feu du ministère de la culture( à travers des intermédiaires) pour s’accaparer du patrimoine Algérien.

    Le Tlemcenien
    31 juillet 2016 - 13 h 24 min

    1- Epargner nous les
    1- Epargner nous les festivals d appelation khorti du type « ….du monde kharabe », « …capitale kharabe », »….film kharabe » etc
    2- montrer votre bonne foi en privilegiant la culture amazighe puisque le tamazight est langue officielle
    La restructuration de la culture passe inevitablement par ces 2 mesures, autrement vous uriner dans le sable

    Le Tlemcenien
    31 juillet 2016 - 13 h 24 min

    1- Epargner nous les
    1- Epargner nous les festivals d appelation khorti du type « ….du monde kharabe », « …capitale kharabe », »….film kharabe » etc
    2- montrer votre bonne foi en privilegiant la culture amazighe puisque le tamazight est langue officielle
    La restructuration de la culture passe inevitablement par ces 2 mesures, autrement vous uriner dans le sable

    el wazir
    31 juillet 2016 - 10 h 07 min

    Pour prétendre apporter une
    Pour prétendre apporter une amélioration significative dans la gestion du secteur et de son budget, il faut commencer par éliminer les points de blocage et l’heritage leguer par l’ex ministre de la culture KHALIDA, marqué au demeurant par une frénisie incroyable au gaspillage et a la gabegie, quelqu’un comme BENTORKI qui sans arriver a un résultat satisfaisant continue de gerer les festivals de façon très archaique, des chanteurs de seconde zone des pays arabes sont invités a coup de milliards au détriment de notre star nationale FELLA EL DJAZAIRIA (ELLE FONDATRICE DU FESTIVAL DE TIMGAD) n’a pas été invité. un plan de mise a niveau devra concerner l’organisation et les ressources humaines (lesquelles pour le secteur de la culture ont fortement besoin d’etre remplacés)

    el wazir
    31 juillet 2016 - 10 h 07 min

    Pour prétendre apporter une
    Pour prétendre apporter une amélioration significative dans la gestion du secteur et de son budget, il faut commencer par éliminer les points de blocage et l’heritage leguer par l’ex ministre de la culture KHALIDA, marqué au demeurant par une frénisie incroyable au gaspillage et a la gabegie, quelqu’un comme BENTORKI qui sans arriver a un résultat satisfaisant continue de gerer les festivals de façon très archaique, des chanteurs de seconde zone des pays arabes sont invités a coup de milliards au détriment de notre star nationale FELLA EL DJAZAIRIA (ELLE FONDATRICE DU FESTIVAL DE TIMGAD) n’a pas été invité. un plan de mise a niveau devra concerner l’organisation et les ressources humaines (lesquelles pour le secteur de la culture ont fortement besoin d’etre remplacés)

    Anonymous
    31 juillet 2016 - 8 h 44 min

    On a nationalisé les salles
    On a nationalisé les salles de cinéma, on demande aux privés de s’impliquer de nouveau.L’état veut tout monopoliser. Décidément ça ne changera jamais.Quand laissera t’il les gens investir ,créer et prendre des initiatives sans être sous tutelle politique ?

    Anonymous
    31 juillet 2016 - 8 h 44 min

    On a nationalisé les salles
    On a nationalisé les salles de cinéma, on demande aux privés de s’impliquer de nouveau.L’état veut tout monopoliser. Décidément ça ne changera jamais.Quand laissera t’il les gens investir ,créer et prendre des initiatives sans être sous tutelle politique ?

    anonyme
    31 juillet 2016 - 7 h 47 min

    La culture est absente au
    La culture est absente au niveau local(commune, villages, wilaya).
    La culture est parmi les moteurs de la croissance pour notre pays.
    Le développement du secteur de la culture passe par la mobilisation des acteurs dans nos quartiers, villages, villes, etc..
    Il restaurer le secteur de la culture au niveau local..
    L’Algérie dispose de richesse incroyable dans chaque coin du pays

    anonyme
    31 juillet 2016 - 7 h 47 min

    La culture est absente au
    La culture est absente au niveau local(commune, villages, wilaya).
    La culture est parmi les moteurs de la croissance pour notre pays.
    Le développement du secteur de la culture passe par la mobilisation des acteurs dans nos quartiers, villages, villes, etc..
    Il restaurer le secteur de la culture au niveau local..
    L’Algérie dispose de richesse incroyable dans chaque coin du pays

Laisser un commentaire

Votre adresse de messagerie ne sera pas publiée.