Erreurs des années 1980, dites-vous ?

Par Hamid B. – La déclaration attribuée au président de la République parlant des erreurs des années 1980 jette un discrédit sur les gouvernants de cette période mais en ne donnant pas de précisions sur ces erreurs. Cela s’apparente à du dénigrement et amène, alors, à se questionner sur la qualité de la gouvernance des années 2000. Beaucoup d’Algériens, sinon la majorité, s’ils pouvaient s’exprimer librement, pensent que cette dernière période est un véritable désastre pour le pays.

Quelques exemples : gaspillage des ressources en devises – les plus élevées qu’ait connues le pays – par des appels inconsidérés aux entreprises étrangères au détriment des entreprises nationales et, donc, perte en emplois et savoir-faire. L’option prise en faveur des infrastructures et logements sociaux s’est faite au détriment des investissements productifs, source de croissance, de richesse et d’emplois. Si au moins ces réalisations avait été confiées à des entreprises nationales et il y avait-eu recours à des fournitures locales au lieu de recourir aux importations, source d’hémorragie en devises et de corruption.

Encourager les importations, c’est encourager la corruption. Imposer le crédit documentaire, c’est favoriser et sécuriser les fournisseurs étrangers au détriment des entreprises locales qui sont, ainsi, obligées de mobiliser des ressources qui auraient pu être utilisées pour les besoins locaux. Qui peut imposer une telle mesure, en dépit du bon sens, sinon au plus haut niveau ? Imposer la règle 51/49 aux entreprises étrangères, c’est les décourager à investir dans le pays, alors que la législation en vigueur permettait déjà de l’imposer au cas par cas, selon les besoins, sans la généraliser et sans, donc, en faire un repoussoir pour les investissements étrangers dont aurait besoin le pays.

Ce sont donc des mesures antiéconomiques qui ont porté un grand préjudice au pays. Il y a aussi le régionalisme affiché dans le choix des cadres, des responsables, des programmes d’infrastructures urbaines. Plus que des erreurs, ce sont des fautes qui resteront dans l’histoire.

H. B.

Comment (57)

    MDAMAR
    29 novembre 2016 - 11 h 06 min

    un point est à soulever en ce
    un point est à soulever en ce qui concerne le recrutement des jeunes diplômés universitaires : au niveau des universités ne passent le magistère et le master que la progéniture des professeurs et assistants des instituts et eux seuls peuvent béneficier de bourses à l’étranger et sans contrainte aucune et avec l’appui du paternel pour étudier en Europe et s’y installer définitivement.un aller sans retour. cet état de fait a été constaté au niveau des facultés de médecine , les fils de toubibs ,et quels toubibs, sont les plus chanceux de décrocher une place à la fac de médecine .un ami m’a raconté une anecdote au niveau de l’usine des pelles et grues de Ain Smara, lors d’un recrutement , un grand nombre de candidats qui se sont présentés avec des dossiers bien ficelés ont été éconduits au profit de garnements sans aucune formation fils d’anciens travailleurs de l’usine. « le recruteur » sans aucun scrupule , mit de coté les proches de l’usine et cria très fort à la face des autres que l’usine n’a plus besoin de recrues. ainsi donc LA PIECE EST JOUEE. Un directeur général d’une institution d’information ,a placé toute sa dechra dans des postes clés ainsi que des « AMIES » sans aucune formation ni connaissance du métier de l’information et du journalisme , idem pour les autres sociétés , sonelgaz, ptt, naftal …. on place des proches et des parents pour des postes sûrs , quant aux autres ,ceux du bas peuple , qu’ils vont laver les toilettes et balayer devant le bureau d’un DG privé ignare que les circonstances et la chkara ont propulsé sur la scène. Ainsi on est bien arrivé à ce qu’ a souhaité notre premier responsable lors de son investiture, en prenant comme exemple l’Egypte , un universitaire peut exercer le métier de serveur dans un café .on est bien arrivé à ce niveau de mépris flagrant.

    mouatène
    1 septembre 2016 - 17 h 23 min

    si vous voulez réellement
    si vous voulez réellement connaitre les vrais raisons de la destruction de l’économies du pays à partir de 1980, par le nombre abdelhamid BRAHIMI, ministre de la planification et ensuite chef du gouvernement, il faudra prendre contact avec deux anciens wali . si khélifa et si kaddour. et bien sur lala h’lima. les anciens ministres en savent quelque chose. et bien sur la complicite a touché le sommet de l’état. ça !!! c’est la vérité !!! si non askout !!!!!!

    Anonymous
    30 août 2016 - 10 h 37 min

    Erreurs des années 1980,
    Erreurs des années 1980, dites-vous ? = Cumuls des luttes au sommet de l’état
    Depuis le coup de force de 1962
    Erreurs des années 1980, dites-vous ? = Système corrompu, policier, répressif, tout sécuritaire, depuis 1962
    Erreurs des années 1980, dites-vous ? = Marginalisation du peuple,
    Et de ses élites civiles,nationalistes,intègres, pacifiques
    Et compétentes
    Erreurs des années 1980, dites-vous ? = Luttes de classes inégales
    Entre une classe bureaucratique militaire, incompétente
    Issue du clan dictatorial militaire de Oujda
    Et des classes naissantes pauvres,défavorisées, disparates,
    Et non homogènes pour qu’ils puissent constituent une force civile
    Démocratique, d’opposition pacifique,instruite, à la dictature militaire
    Incompétente

    Ceux ci pour l’honneteté intellectuelle, et historique, pour tirer les leçons des échecs, et des malheurs du passé
    Dramatique, et sanglant de l’Algérie, par manque cruel surtout de Justice, et de Démocratie, et de respect pour la dignité du pauvre citoyen algérien piétinée par les dépassements, et les débordements incontrolés des responsables
    Grands Hommages au G.P..R.A civil, éclairé,pacifique, et sage
    Cela ne m’empeche pas de dire الله يرحمهم و الله يغفر لهم للجميع اءمين

    hamida
    30 août 2016 - 0 h 28 min

    en 80 c’est d’abord l
    en 80 c’est d’abord l’université qui a été détruite par l’arabisation et la doctorisation (phd de 60 pages quand il existe) de non bacheliers, production de douctours qui sont nuls sans titres et occupent les postes de recteurs et de doyens pour bien casser le peu qui reste.

    Anonymous
    29 août 2016 - 9 h 07 min

    1979-1992: incompétences, et
    1979-1992: incompétences, et manques d’autorités pour asseoir les bases du développement économique

    1999-2016: Corruptions, démagogies, mensonges, gaspillages, dépenses, et scandales de malversations qui se sont bien exportés à l’étranger pour avoir en retour un discrédit total sur les institutions algériennes

    Malheureusement c’est le pauvre peuple algérien qui va payer cette mauvaise situation par une austérité de plus en plus sévère, et surtout injuste – le retour de la manivelle sur sa figure –

    TheBraiN
    29 août 2016 - 9 h 03 min

    D’abord vous avez bien raison
    D’abord vous avez bien raison de préciser qu’il s’agit d’une déclaration attribuée au président .
    Ensuite, et sur le fond , il s’agit d’une tactique politicienne bien connue et utilisée partout , y compris dans ce que certains appellent par « les démocraties » .
    S’il s’agit de faire un bilan des 2 périodes en question (Chadli , Bouteflika) , il faudra le faire avec un maximum d’honnêteté intellectuelle en tenant compte des différents contextes y afférant .
    Comme nous sommes en 2016 , et en toute honnêteté , je me permettrai juste de faire un mini-bilan de la période 1999-2013 (l’année ou le président Bouteflika a cessé de « diriger ») avec 2 points essentiels , l’un positif , l’autre négatif.
    Le point positif à mettre au crédit du président Bouteflika aura été la façon dont a été évité le traquenard destructeur du « printemps arabe » .
    Le point négatif aura été l’amplification exponentielle de la corruption !

    Anonymous
    29 août 2016 - 8 h 56 min

    1979-1992: La non maitrise
    1979-1992: La non maitrise des processus de développement économique, du stade des investissements
    Au stade de la production en masse pour le décollage économique, et l’exportation du surplus des richesses
    à cause d’un système bureaucratique – sécuritaire incompétent , corrompu, et rigide

    1999-2016: Un système de développement économique calqué sur certains models importés du Moyen Orient
    Basé sur les infrastructures, et batiments (inexportables pour le pays),
    Grands consommateurs (massacreurs) des terres agricoles fertiles
    Sources d’emploi, de production de richesses, et d’exportations de surplus
    Système basé sur la formation d’élites affairistes, opportunistes, et incompétentes,
    Et des activités opaques, sans transparences à cause d’un manque de justice, et de démocratie
    1999-2016: développement flous sans visions, et sans objectifs stratégiques à atteindre
    Pour le décollage économique, et industriel définitifs

    Anonymous
    28 août 2016 - 23 h 52 min

    1999-2016 une véritable
    1999-2016 une véritable calamité économique pour la pauvre Algérie
    Gaspillages inqualifiables des ressources du pays, mal gouvernance, incompétences,opportunisme, Clientélisme, népotisme, manques graves de visions claires, et de stratégies de décollages économiques à L’instar de la grande Corée, de la Malaisie, et meme de la Turquie opportuniste avec les marchés arabes du Golfe, et du Moyen Orient,…..

    Les rigidités du fonctionnement du système (moins souple),l’entetement, le manque de démocratie, et de Justice,et l’arrogance envers le peuple, et ses élites ont couté trop chère, et peut etre d’une façon irréversible, Et irrémédiable au développement, et la sortie de crise de la pauvre Algérie des expériences avec échecs Historiques – la « révolution agraire,…..?! »; « la gestion socialiste des entreprises,…..?! »
    Trop bureaucratisées , trop de lois, trop de paperasses, et trop de temps perdus

    Anonymous
    27 août 2016 - 18 h 04 min

    Ce sont les erreurs des
    Ce sont les erreurs des années 80 qui nous ont laisse organise une seule coupe d’afrique dasn des stades construits par des entreprises locales .Ce sont ces erreurs qui ont commence la realisation du metro de l’autoroute et l’aoroprt d’ALGER et si les finances n’ont pas fait dafut toutes ces realisations seraient terminées aux moidres couts pas comme voyre periode ou les prix ont quadriplé.Chacun defend son propre bilan et celui des années 2000 est indefendable parceque tout simplement inexistant.L’argent depense pour du vent.Le peuple des années 80 mangeait a sa faim avec bien sur viande rouge poissons et produits laitiers et la majorite de la popluation passait des vacances a l’etranger .Maintenant tout ça du luxe pour 90% de la population n »st ce pas Mr Ouyahia qui habitait un F3 et declarait a ceux qui voulaient l’entendre et maintenant…….

    Erdt
    26 août 2016 - 23 h 04 min

    Bravo hamid B. En plein dans
    Bravo hamid B. En plein dans le mille! On ne lance pas des investissements publics qui seront réalisés par des etrzngers!! C le b.a.ba de la théorie de keynésien bien comprise: on lance c travaux pour donner du travail aux sociétés nationales,utiliser les matériaux et personnels locaux,sinon c un non sens. Je suis pas économiste mais c le bon sens! Boumediene était un vrai stratège: avant de lancer c travaux,il a mis le paquet sur les usines,cilenteries, raffineries,sonatrach,sonacome,snmc,sns….y tout y tout…universités,écoles d’ingénieurs inh,ingm,iap…entreprises de réalisations: sonatiba,dnc,sorecal,sonatrach…tous les domaines ont été investis!! Des apprentis qui n’ont rien compris à la théorie de keynes ont détruit tout ça en 78!! On diit:  » quand le bâtiment va,tout va »! Pourquoi? Parceque le bâtiment utilise plusieurs matériaux et personnels à condition qu’ils soient locaux!! Sinon tout va ailleurs mais pas chez nous!! A ceux sui critiquent boumediene et abdeslam de méditer leur erreur! Sous boum toute entrée du pétrole était investi en substitution,seule issue de salut! On ne peut pas s’insérer dans ce qu’ils appellent chaîne des valeurs mondiales,du moins pour les 5,10 ans a venir,on ne sait rien faire ni produire,sinon être esclaves des autres. Small lalmas et un autre expert,mahfoud,je crois,sur ennahar font le constat: » nos exportations hors pétrole stagnent à des sommes insignifiantes,nos entreprises sont familiales de très petite taille… » Mais sans tirer la conclusion évidente,simple et amère: : c qu’en réalité on n’a rien a exporter!!!

      anonyme dégouté
      27 août 2016 - 10 h 26 min

      SI monsieur on donne bien les
      SI monsieur on donne bien les travaux à des entreprises même étrangères qui savent faire et non à des entreprises nationales au gré à gré sans appel d’offres… ! boumediene l’a bien fait parce qu’il savait ce qu’est un investissement sur le long terme et non pas une entreprise nationale qui vous construit une merde qui tombe en ruines 3 mois après! ya monsieur Eftc. il faut comprendre que dans ce domaine seule compte la compétence ! quand on fait un investissement par millions voire par milliards on fait en sorte qu ce soit bien réalisé durable beau solide et résistant construit dans les règles de l’art alors votre patriotisme a deux balles qui a fait de l’algérie un vaste bidonville et qui a enrichi des nuls…gardez le pour vous !

    SI DAHO
    25 août 2016 - 20 h 43 min

    VOYANT CLAIR . LES GENS
    VOYANT CLAIR . LES GENS DE LOUEST SONT PAS COMME SES CHAOUI HACHA ZEROUAL QUI ONT GOUVERNE PLUS DE TRANTE ANNEES MAIS ARIS EST TOUJOURS MARGINALISER

      anonyme
      28 août 2016 - 16 h 32 min

      Ya si daho, les chaouis t’em.
      Ya si daho, les chaouis t’em…. Ben Bella n’etait pas un chaoui. Boumedienne etait un guelmois pas un chaoui. Chadli n’etait pas un chaoui. Et qui d’autre? Zeroual etait un chaoui et toute l’algerie le regrette y compris toi. Quant a Arris, ca s’ecrit avec 2 « r. » J’en sais quelque chose puisque c’est mon patelin.

    ABDELKRIM
    25 août 2016 - 15 h 39 min

    je pense que la periode de
    je pense que la periode de chadli a ete la plus catastrophique de toutes car il a mene le pays vers la faillite totale avec en plus la guerre civile en algerie.Comparer BOUTEFLIKA a CHADLI c est comparer les extremes car BOUTEFLIKA a ramene la paix ;la stabilite ainsi que beaucoup de projets socioeconomiques,nier cela c’est soit etre aveugle ou completement a cote de la plaque,mais nous les algeriens on est champions dans le denigrement de son pays.

      anonyme
      25 août 2016 - 21 h 00 min

      C’est toi qui est a cote de
      C’est toi qui est a cote de la plaque abdelkrim. Tu dois avoir vecu sur Mars depuis 1999. Va faire un tour du cote des ports pour voir de toi meme cette mer de containers. Tu appelles ca projets socio economiques, moi je l’appelle mauvais investissements qui ont tourne notre peuple en tubes digestifs tout en achetant la paix social. En somme, gaspillage douloureux de precieuses devises. Ton sinistre bouteflika est un grand malheur qui s’est abattu sur notre pays.

        el mauro
        26 août 2016 - 11 h 02 min

        Abdelkrim , vous avez
        Abdelkrim , vous avez complètement raison et ceux qui vous contredirons , c’est des menteurs.Effectivement , bien que la période de bouteflika n’as pas été une période faste pour l’Algérie voire une période de désastre , on ne peut pas la comparer a la periode de chadli. c’est la periode la plus vile de toute l’histoire de l’Algérie pour la simple raison que l’Algérie est tombé en faillite, et qui a développer l’injustice, le piston, le terrorisme , la gabegie et la famine. chadli nous a livré pied et poins lie a nos ennemis.

          anonyme
          26 août 2016 - 23 h 51 min

          ya si el Mauro, je n’ai pas
          ya si el Mauro, je n’ai pas dit que la periode de chadli etait positive pour l’Algerie. Au contraire toutes les devises qui ont ete laissees derriere par Boumedienne ont ete gaspillees par lui et sans aucune contrepartie en investments durables. Sans parler de l’ouverture du champ politique aux mouvements islamistes. Ca tout le monde le sait. Tu ne m’apprends rien. J’ai simplement dit que ce gaspillage est tres loin d’egaler celui qu’on a tous vu et commente sur durant le regne plus que catastrophique de bouteflika. Chadli n’a pas gaspille $1000 milliard de dollars. Mais je ne denie pas le fait qu’il l’aurait probablement fait lui aussi s’il avait eu acces a autant d’argent. Ne me fais pas dire ce que ne je n’ai dit.

          Anonymous
          27 août 2016 - 18 h 19 min

          Boumedien a construit des
          Boumedien a construit des usines et a contracte des dettes de l’exterieur celles se sont eleves en 78 a 17 Milliards et l ‘histoire ne ment pas .Pour des raisons techniques cette dette est passee a 26 Milliards sous l’ere Chadli.
          avec le peu Chadli a essayé de cosntruire vous a donné des parcelles de terre a un Dinars symbloique poru l’auto cosntruction pour ces pauvres malheureux et de cooperatives immobilieres a des prix bas si vous appelez ça fiasco alors …….

      ali ham
      26 août 2016 - 21 h 36 min

      soit vt qui ne comprendra
      soit vt qui ne comprendra jamaisous etes un grand chiate ce qui explique bien ce que vous dite,ou bien un nul qui n a rien compris et qui ne comprendra jamais

      Erdt
      26 août 2016 - 22 h 44 min

      Sans parti pris,bouteflika a
      Sans parti pris,bouteflika a très mal géré car il eu des rentrées de centaines de milliards$ de pétrole,chadli non. Des centaines de milliards et on importe de l’essence!! Un défaut de narcissisme,se croire plus intelligent que tous les autres,benyounes l’a dit: » son cerveau fonctionne mieux que celui de nous tous »!! Ne pas écouter les autres c surtout ça le défaut. La meilleure période est celle de boumediene,voilà un stratège! Quant à la paix c les généraux Drs qui ont négocié avec l’ais du temps de zeroual.

      Anonymous
      27 août 2016 - 18 h 14 min

      Dans tes reves.Pensez a 92 et
      Dans tes reves.Pensez a 92 et 95 ou il faisait chaud et tres tres chaud meme .
      l’algerie n’a connue qu’une seul extremite celle que vous defendez mais du mauvais cote.Depensez 1500 Milliards pour recolter le poux la malaria et les autres maladies pourtant disparues dans les années 80 est une realisation.Construire un complexe geant a Tlemcen n’est pas une realisation.Chadli avec 35 Milliards et une dette exterieure qui etait 17 milliards de Dollars a fin 78 et pour des raisons techniques est passée a 26 milliards a construit des stades dans pratiquement toutes les dairas et grace a ça on a pu organiser la seule coupe d’Afrique.Vouys et vos semblables mangeaient a leur faim et se permettaient meme des vacances a l’etranger pas comme dans les années 2000 ou tout ça est reservée a la caste.Vive laperiode Bouemedien Chadli et Zeroual

    Amazighkan
    25 août 2016 - 14 h 12 min

    Feu Chadli a été choisi par
    Feu Chadli a été choisi par lès décideurs pour succéder à Boumediene parce qu’il etait le militaire le plus âgé parmi les plus gradés. Il n’était question ni de vision ni de compétences dans ce choix. Je me souviens qu’à l’époque de Chadli la rue disait « houkoumet Hlima » en raison de la mainmise et de l’influence de cette famille pour s’accaparer des biens et des privilèges. Seulement Boutef plus instruit et beau parleur ( plus maintenant) n’a guère fait mieux même avec toute la « bahbouha » providentielle qui a accompagné son règne. Bilan de l’histoire kif-kif b…Je persiste à croire que Boudiaf athirhem Rebbi était le seul qui voulait secouer le cocotier pour faire tomber les vieilles branches et ainsi permettre aux jeunes pousses de grandir, la suite on la connaît.

    les damnes de la terre
    25 août 2016 - 11 h 04 min

    S il y a bien une periode
    S il y a bien une periode desatreuse c celle du 1 er au 4 eme mandat.1)regionalisme flagrant et a outrance et ds un seul sens.2)ennahb bila houdoud.3)depenses colossales au profit des tenants du pouvoir .4)campagne electorale a distance,unique au monde et « election d un president.5)t culte de la personnalite.6 ts les indicateurs socio eco educatonnel sont au bas de l echelle.7) aicune evaluation credible a meme de justfier les 900 molliards de dollars consommes .8)bsence de l Etant mais present ds un seul creneau.

      les damnes de la terre
      25 août 2016 - 11 h 25 min

      Omission:il faut lire mais
      Omission:il faut lire mais present ds in seul creneau c celui de la Repression.Le reste sans changement.

    momo
    25 août 2016 - 10 h 45 min

    il es impossible de reformer
    il es impossible de reformer ce pays soit du fait religieux soit social .c le chat et la souris .et en plus on donne des avantages electoraux a tout va .des acquis qui ne sont pas meriter .

    Lemdigouti
    25 août 2016 - 10 h 11 min

    En parlant d’erreur des
    En parlant d’erreur des années 1980 il en est une qui a conditionné les catastrophes engendrées par les années 2000 et surtout la période d’avril 1999 à ce jour.
    Cette erreur impardonnable de Bendjeddid Chadli qui nous coûte beaucoup aujourd’hui : le pardon et l’exonération des poursuites dirigées contre l’actuel occupant illicite du Palais avec toute sa smala. Pour un juste rappel de cette sombre affaire : http://librespenseurs.unblog.fr/2013/03/20/arret-de-la-cour-des-comptes-a-l%e2%80%99encontre-de-m-abdelaziz-bouteflika/

    Merdassi Mohamed
    25 août 2016 - 8 h 31 min

    Je soutien votre commentaire
    Je soutien votre commentaire et l’Algérie ne peut avancer aux plans politique et économique sans mettre fin au régionalisme étroit appliqué pas le lobby dirigeant notamment en matière de choix de cadres .La marginalization et l’éviction et la mise à la retraite inopinée des cadres efficaces dans tous les secteurs sont à l’origine de l’enlisement et le marasme économique enregistrés en depuis 1999 sans oublier que la bonne gouvernance n’avait jamais lancée en Algérie.il serait judicieux de procéder de la même manière que la Corée du Sud sur tous les plans et opter pour une dictature temporaire permettant d’assainir tous les secteurs de la monarchie et de la corruption.

      FreeWill
      25 août 2016 - 13 h 40 min

      chacun voit l’efficacite’ au
      chacun voit l’efficacite’ au bout de son nez, juste au dessus de sa levre, prete a tomber entre ses dents…

    algerien pur et dur
    24 août 2016 - 23 h 29 min

    je suis tout a fait d’accord
    je suis tout a fait d’accord pour dire que le pactole devises sous Boumedienne a ete gaspillee par le gouvernement Chadli dans des depenses futiles qui n’ont pas servi a etoffer le tissue industriel de l’Algerie. Mais de la a dire  » gaspillage des ressources en devises – les plus élevées qu’ait connues le pays » est un pas que jene franchirai certainement pas. Le plus grand gaspillage de devises de la jeune histoire de l’algerie s’est passé sous le « regne » de l’ actuel locataire d’el mouradia. Chadli n’avait pas 800 milliard de dollars a sa disposition. Jamais plus l’algerie surtout avec ces « strategies » economiques irreflechies, n’arriverait a en amasser autant.

      Anonymous
      25 août 2016 - 8 h 04 min

      Gaspillage. .Gaspillage ..oui
      Gaspillage. .Gaspillage ..oui et non.
      La famille régnante et sa petite clique tribale a certes hypothèqué l’avenir de l’Algérie et de son peuple mais à surtout assuré le sien et celui de sa progéniture tout en enrichissant la France et le Maroc…Donc la notion de Gaspillage, ici, est toute relative ..

        Algerien pur et dur
        25 août 2016 - 16 h 47 min

        On est algeriens, pas
        On est algeriens, pas francais ou marocains. On ne fait pas partie de cette clique, dieu merci. Alors pour nous c’est du gaspillage. Gaspillage oui sur toute la ligne.

    MELLO
    24 août 2016 - 19 h 14 min

    La vérité est ailleurs, la
    La vérité est ailleurs, la vérité , il faudrait la chercher dans l’esprit du pouvoir à vouloir refuser et à vouloir rejeter les innombrables propositions politiques des événements d’AVRIL 1980. Les années noires , non seulement les années 80 , mais aussi les années 90 puis les années 2000 , sont à rechercher dans ce refus d’écouter les différentes propositions de sorties de crises émises par le mouvement berbère des années 80. Le printemps BERBERE est un de ces instants de vérité où des jeunes de Kabylie ont compris que les droits de l’homme c’est d’abord le devoir d’être des hommes et de se battre pacifiquement pour la démocratie, le droit d’être des Algériens à part entière passe par le devoir d’assumer sa berbérité qui est irréductible au couscous et au burnous. Le même phénomène d ’automobilisation par la base fervente et responsable, la même réponse massive. Le résultat le plus concret a été le déblocage historique de l’opinion algérienne et la réactivation de la vie politique algérienne. A travers la survie de la langue berbére, les Algériens comprennent de plus en plus que l’enjeu est la démocratisation de la vie politique, économique et culturelle. Quelle question se pose aujourd’hui ? Est-ce que l’Etat voulu par des générations d’Algériens, par ce peuple qui a tant payé pour atteindre cet objectif est aujourd’hui bien incarné par le régime en place ? Quand on entend des responsables faire officiellement des procès en patriotisme à notre jeunesse, nous avons le devoir de leur rappeler, d’une part, quels étaient les principes fondateurs de l’Etat algérien et d’autre part, combien ils les ont bafoué !!

    ben
    24 août 2016 - 18 h 04 min

    nos gouvernants réfléchissent
    nos gouvernants réfléchissent toujours après que les erreurs soient faites ensuite ils donnent des constats mais jamais de solutions et quand ils mettent en oeuvre des solutions c’est souvent raté le cas du crédit documentaire ; de l’emprunt obligataire qui a été fait dans le but d’endiguer l’argent qui circule dans l’informel et non à transformer l’argent des déposants en banques celui des entreprises et Etablissements publiques qui est déjà dans le circuit économique du pays la mise en conformité fiscale le grand fiasco…etc. attendez, non ce n’est pas vrai qu’ils soient aussi congre que l’on croit ils le font délibérément.

    AMAR
    24 août 2016 - 17 h 55 min

    L HISTOIRE RETIENDRA que
    L HISTOIRE RETIENDRA que chadli a ete le moins mauvais de tous nos presidents et n a jamais ete un accro du pouvoir…les conditions n etaient pas les meme ….la corruption et l abus non plus! un code de la retenue s impose notamment lorsqu il s agit de citer des morts ….qui on fait ce qu ils pouvait faire………..EN 1999 LES HYDRAUCARBURES CONSTITUAIENT 98¨% DE NOS EXPORTATIONS …MALGRES PRESQUE 1000 MILLIARDS DE UDS ET 16 ANS PLUTARDS LE TAUX EST LE MEME …COMME LE DIT L ADAGE QUI N AVANCE PAS RECULE FORCEMMENT ET C EST CE QU ON FAIT A MERVEILLE!!!

    Anonymous
    24 août 2016 - 17 h 37 min

    chadli ben jeddid a été la
    chadli ben jeddid a été la plus grande catastrophe depuis la libération . on lui doit le fis , la destruction du peu d’industrie que nous avions , l’ouverture des frontières à la consommation par l’importation sans barrières douanières d’où la corruption qui a gangréné le pays . le type le plus abruti de tous ceux qui ont accédé au pouvoir même partiel

      Anonymous
      24 août 2016 - 23 h 57 min

      Mais le plus dangereux
      Mais le plus dangereux pervers haineux et cynique est au pouvoir depuis 1999 .

    elhadj
    24 août 2016 - 16 h 07 min

    c est une honte accabler les
    c est une honte accabler les morts qui étaient certes de véritables nationaux patriotes et ont servi le pays le pays dans se servir.ils ne sont pas dotes d avion spécial médicalise ni d hélicoptères pour leurs usages;ils n ont coopte en famille la présidence ils étaient physiquement toujours présents pour s adresser au peuple et visiter le pays pour s enquérir de l état des lieux,ils n ont pas dilapidé les ressources du pays ni importe de la main d oeuvre étrangère pour des travaux effectues jusque la par les nationaux,;les corrompus; corrupteurs et voleurs étaient traduits devant la justice, la paix sociale était évidente ,la vie paisible était vraiment ressentie par le citoyen, les prix étaient abordables,le citoyen avait une certaine dignité et un amour ardent pour la patrie,Si DJELLOUL EL FEHAIMI a été objectif dans son analyse.l amour du pays nous fait parfois réagir malgré notre volonté de réserve et de démobilisation citoyenne

    FreeWill
    24 août 2016 - 14 h 17 min

    « … La déclaration attribuée
    « … La déclaration attribuée au président de la République parlant des erreurs des années 1980 jette un discrédit sur les gouvernants de cette période mais en ne donnant pas de précisions sur ces erreurs. … »

    Vous n’en donnez pas non-plus ! Relisez-vous des ANNE’ES 80, et non 2000. Arretez de regarder dans le mirroir, c’est ce qui vous induit a voir des mules partout. Vous finnissez par ecrire des stupidite’s. Je n’ai ni endorsement ni sympathie envers le nain, mais ce n’est pas pour cela, que je me ferais trainer par le nez comme une mule par une autre. Respectez-vous si vous voulez qu’on vous respecte. Si simple !

    Jelloul El Fehaimi
    24 août 2016 - 11 h 30 min

    La différence entre le
    La différence entre le président stagiaire et le « 9/4 » de président…..
    Le stagiaire qui n’avait aucune prétention pour le pouvoir a été coopté par la SM et les vestiges du conseil de la révolution, il gouvernera le pays comme un bon père cool, il fera l’erreur d’écouter un Nabi Belkacem à l’énergie qui avait une revanche à prendre sur Belaid et Ghozali, il dénoncera le plan Valhyd et éloignera le pétrole et gaz algérien des States au profit de FAFA. Il écoutera le grand DOUKTOUR Abdelhamid la science qui déstructurera les entreprises nationales en en faisant des petites entités « de taille humainement gérables » alors qu’à l’époque c’était le regroupement et fusion des grands groupes industriels des pays avancés pour réduire les coûts de siège et surtout être solide pour la concurrence. Toujours est-il que l’héritage de Houari Boumédiène était encore là, un peu éparpillé mais il était là, les entreprises publiques produisaient biens de consommation et équipements et employaient des centaines de milliers d’ouvriers, techniciens et ingénieurs.
    Le président stagiaire avait comme tout le monde des frères, sœurs, cousins …. 2 de ses frères étaient déjà dans la gestion des affaires publiques, l’un (Abdelmalek) ancien combattant était officier de l’ANP, l’autre (Khelifa ) était chef de daira et deviendra Wali mais le président Benjedid n’avait jamais ramené des frères et sœurs sortis du néant pour en faire des cadres supérieurs de l’état. Il y’ avait une forme de pudeur dans la gestion des affaires, l’état algérien s’imposait à tout le monde et d’abord aux citoyens algériens qui respectaient la chose publique sur la chaussée pour conduire les voitures, pour le ramassage des ordures, les villes et villages étaient relativement propres et la sécurité régnaient sur tout le territoire, les vacances étaient au bord de la mer dans des camps de toiles et les gens ne courraient pas par millions pour la Tunisie ou le Maroc, les baltaguias n’étaient pas là pour rançonner les gens au bord des trottoirs de la république privatisés et personne ne venait demander de la chipa pour s’installer au bord de la mer enfin DA avait une valeur respectable et on n’entendait pas parler de kidnapping d’enfant, de pédophilie et plus effroyable crimes sur mineurs.
    Le président stagiaire avait promulgué en 84 une loi qui protège la faune et la flore menacée et cette loi n’a jamais été abrogée et les hideux émirs du golfe ne venaient pas en pays conquis chasser l’outarde et la gazelle du désert commettant un désastre sous le regard approbateur du 9/4 de président qui, suprême mépris pour ce pays interdira la chasse aux citoyens algériens et fera accompagner les trous du C… du moyen orient par des compagnies entières de gendarmes pour veiller sur leur sécurité.
    Toujours au titre des comparaisons, le président stagiaire n’avait pas piqué dans les caisses de l’état ni quand il était chef de région à Oran ni plus tard quand il sera président quant au 9/4 de président il sera coincé avec l’affaire des 26 millions de $ reliquat des ambassades algériennes dont il reconnaitra les faits et pour lesquels il remboursera à peine la moitié du pactole avant de se voir gracié par le fameux président stagiaire qui était mal à l’aise pour envoyer un ancien ministre de la république au trou.

      Abou Stroff
      24 août 2016 - 12 h 59 min

      tout est dit et merci d’avoir
      tout est dit et merci d’avoir été exhaustif dans votre commentaire.

        Jelloul El Fehaimi
        24 août 2016 - 13 h 23 min

        LA CHOUKRA A’AL WAJEB, it’s
        LA CHOUKRA A’AL WAJEB, it’s only a patriotic duty for every free man or woman, to tell the truth in a trouble time where the outlaw try to appear as a good fellow.

      Rubina
      25 août 2016 - 9 h 03 min

      … sauf que peut être le
      … sauf que peut être le stagiaire Président avait permis l’émergence de plus de 6 000 milliardaires durant son époque ….

    Zak
    24 août 2016 - 11 h 13 min

    Bientot Bouteflika et son
    Bientot Bouteflika et son clan vont critiquer les Chaouhadas pour avoir liberer l’Algerie.

      Anonymous
      24 août 2016 - 12 h 40 min

      Sans vouloir remettre en
      Sans vouloir remettre en cause leur patriotisme et la justesse de leur combat enfin de la majorité d’entre car ils n’étaient pas tous des saints et ça il faut le dire !, en ce qui concerne l’indépendance, s’il y a quelqu’un à remercier c’est bel et bien De Gaule. C’est la vérité claire comme l’eau de roche.

        Zak
        24 août 2016 - 13 h 53 min

        Je vois que ta famille n’a
        Je vois que ta famille n’a donne aucun martyre pour l’Algerie

          momo
          26 août 2016 - 14 h 40 min

          premierement laisses les
          premierement laisses les martyrs en paix et ensuite .je ne voit pas le raport a mon texte .alors si tu ne saisi pas les mots retourne a l ecole .

        W19 - TP
        26 août 2016 - 0 h 47 min

        Encore un aficionado du
        Encore un aficionado du strabisme historique : et le « dieu » de Gaulle crea l’Algerie pendant qu’on y est… !!!
        Tu sors d’ou pour parler d’un de Gaulle dont tu ne connais rien ? Petit rappel : de Gaulle a ete deserteur a l’entree de l’armee allemande en Alsace et surtout il n’a jamais recu le grade de General. Tu ne connais rien du sacrifice de ces Algeriens dont tu n’as rien recu en heritage. Tu profites de cette independance et de cette lutte sinon tu ne serais rien aujourd’hui. « Qu’on le sache ou qu’on l’ignore, on ne chemine jamais seul vers les sentiers de la creation » Levi-Strauss. Sans ces predecesseurs tu n’aurais meme pas le loisir de pouvoir penser a perte.

    momo
    24 août 2016 - 11 h 04 min

    gouverner un pays comme on
    gouverner un pays comme on une caserne c etait les 40 dernieres annees .mais gouverner un pays comme un casino c notre cas maintenant..payer tout et n importe quoi .inviter des etrangers .les payer comme des pachas .importer pour plus 70 milliard de dollars c de la folie .je dit harakiri.. en 1990 on importait pour 10 milliard et on es pas mort pour autant..alors arreter de jeter l eau sale sur les morts .17 ans au pouvoir .vous aviez tout le temps pour nous mettre sur les rails du progres..nul de chez nul.nos enfants vont payer cher votre echec .

    EL HOR
    24 août 2016 - 7 h 49 min

    Tout à fait….de 1999 à ce
    Tout à fait….de 1999 à ce jour, c’est la pire catastrophe qu’est connue le pays…. l’histoire retiendra !!!!!

      Bekaddour Mohammed
      24 août 2016 - 10 h 30 min

      houbbou el watan mina el
      houbbou el watan mina el imane…OK ? La pire catastrophe qu’ait connu LE PAYS a été la colonisation française, « 1999 » il faut avoir été en Algérie pour savoir ce qu’il représente, nous étions une société prostrée lorsque Bouteflka a été chargé de nous parler et de nous présider. L’Algérie est, après Boumédiène, un enchainement de cavtastrophes, « Bouteflika » a ouvert au pire, (ANSEJ, des fourgons bordels par exemple, de l’argent public mis à disposition des vils), et au meilleur, mais quand donc les meilleurs se lèveront ??? Parce que les catastrophes on peut y mettre fin, si on est contre. N’accuse pas Bouteflika seul, il y a d’innombrables coupables !

    Anonymous
    24 août 2016 - 7 h 40 min

    Il suffit de voir l’état du
    Il suffit de voir l’état du pays pour voir comment il a été et est gouverné, nous aurions pu être la 1er ou 2em puissance africaine dans tous les domaines,hélas nous sommes resté coincé sur notre révolution ,notre pétrole nos gouvernants n’ont pensé qu’a se remplir les poches et garder le pouvoir pour le pouvoir.Nous avons vécu et nous vivons sous une dictature il nous sera difficile de faire des progrès avec ces rapaces corrumpus sans une 2em révolution. Nous n’avons hélas pas le choix pour les futurs générations et l’avenir du pays même si ça doit faire mal.

    Bekaddour Mohammed
    24 août 2016 - 7 h 39 min

    CHADLI, donc, « les années 80 »
    CHADLI, donc, « les années 80 », il est mort le colonel, Allah yerhmou ! Un ami de Batna, étudiant en France, m’a montré de Chadli une photo datant de la guerre de libération, une tenue militaire déchirée, la joue gonflée par le tabac à chiquer, « Echemma », il m’a dit : Quand je regarde cette photo, je me dis que tout est possible ! Il voulait dire que la présidence n’était pas un poste impossible. Ah ! La Présidence ! Diriger qui ? « Un peuple difficile à gouverner », c’est Boumédiène qui l’a dit ! Sommes nous gouvernables ? Voulons nous être gouvernés, ou être tous des gouvernants !!! Ceux qui affichent leur désir d’être Président sont donc fous, voilà au moins une vérité, qui les exclue si nous voulons que triomphe la rationalité, surtout ne voter pour aucun des prétendants ! Le salut viendra d’un boycotte, à titre de rupture avec La Folie, l’Erreur et… L’Errance. Wadi Bouzar, un très brillant sociologue ALGERIEN nous a offert un merveilleux titre autant que livre, « La mouvance et la pause »… Une pause s’impose ! Notre cas relève de la dialectique entre deux Erreurs, La Française chrétienne ET La Musulmane, (Colonisabilité), nous sommes FACE A un défi qui impose la correction de deux erreurs, nos candidats à « La présidence » sont trop PETITS pour ça, il nous faut des non candidats, voilà où se trouve la clef, et ils ne sont pas à importer, ILS EXISTENT EN « NOUS » », il faut les identifier et désigner, L’ANP, dans sa sève noble, peut ça, et elle mettra fin à TOUS LES GASPILLAGES…

    mouloud madoun
    24 août 2016 - 7 h 22 min

    c`est en fait l`éternel fuite
    c`est en fait l`éternel fuite en avant. Tout a fait juste de dire qu`il s`agit plus de dénigrements , voire d`esprit revanchard qui anime le clan Bouteflica que d`analyse sérieuse de la situation. Il lui faut un Bouc émissaire pour justifier le fiasco auquel il a conduit le pays. C`est tout de même hallucinant de proférer de telles âneries sur les années 80, vingt cinq ans après!!!! enfin est il normal dans un régime présidentiel fortement personnalise de tolérer qu`un président soit aussi absent aussi longtemps…ne rien faire, ne rien dire, voila la source du mal.

    Devoir de Vérité
    24 août 2016 - 7 h 08 min

    Ils ne peuvent tromper ni le
    Ils ne peuvent tromper ni le peuple ni l’histoire. L’ère boutef est la plus noire de l’histoire de l’Algérie post-indépendance. En sus de la dilapidation des ressources pétrolières exceptionnelles, non renouvelables, le pouvoir à fini d’achever nos institutions en faisant la promotion des cancres et de l’argent sale, mais aussi en réhabilitant l’islamisme radicale qui était défait militairement et idéologiquement en 99.

    Anonymous
    24 août 2016 - 6 h 35 min

    Clair net limpide et partagé
    Clair net limpide et partagé par l’écrasante majorité des algériens.
    Et encore je trouve qu’on aurait pu parler de la tutelle de la France de la fuite des compétences écoeurées par cette gestion catastrophique et sans précédent du pays de la perte des valeurs au profit de comportements de voyous et d’escrocs.

    L’Algérie à perdue son identité son âme et son socle qui faisaient sa force depuis des lustres.

    Le règne de la famille bouteflika et de leur tribu est une calamité sans équivalent. Les algériens vont me payer pendant de longues années. Le pays s’en remettra t il?

    De passage
    24 août 2016 - 6 h 29 min

    Les erreurs de gestion datent
    Les erreurs de gestion datent de 1962 et chaque équipe a eu son lots d’erreurs de gouvernance mais celle qui gouverne actuellement a battu tous les records des en terme de mal gouvernance… L’Algérie telle un bateau à la dérive va finir sa course échouée sur un rivage inconnu et ne pourra plus se relever à moins d’un sursaut salvateur qui déjouera les pronostics les plus sombres auxquels le pays est destiné.

    Hb
    24 août 2016 - 5 h 17 min

    Tu écris bien mais tu ne sais
    Tu écris bien mais tu ne sais pas réfléchire…. C’est trop compliquée pour toi de voir la différence entre les deux époques? La simplification des choses est devenue l’art de la plupart de ceux qui écrivent sur AP.

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