Le gouvernement impose aux universités une réduction de 12% de leur budget

Tahar Hadjar, ministre de l’Enseignement supérieur et de la Recherche scientifique. New Press

Une note confidentielle du ministre de l’Enseignement supérieur et de la Recherche scientifique adressée cette semaine à l’ensemble des universités ordonne une réduction de 12% des budgets qui leur sont alloués d’ici la fin de l’exercice 2016, a appris Algeriepatriotique de source sûre. Ainsi, les responsables de ces établissements sont tenus de se «débrouiller» avec leurs partenaires ou fournisseurs pour revoir à la baisse les dépenses déjà prévues ou programmées.

La décision s’inscrit dans le cadre de la politique d’austérité appliquée par le gouvernement pour faire face aux retombées de la chute drastique des recettes pétrolières. Elle vient s’ajouter à une instruction du Premier ministre adressée, en juillet dernier, aux établissements publics dans les différents secteurs – santé, éducation, universités, entreprises et administrations publiques – leur enjoignant de réduire de moitié les dépenses sur leur budget annuel.

Dans cette instruction révélée par Algeriepatriotique, il est clairement stipulé que les établissements publics auraient le droit d’utiliser 30% de la seconde moitié de leur budget mais seulement sur dérogation, c’est-à-dire en justifiant les dépenses et en soumettant la demande à l’approbation du gouvernement. Les 20% restants du budget serviront pour «les besoins d’extrême urgence» – qui restent à définir –, sinon ils resteront conservés pour être automatiquement comptabilisés dans le budget de l’année à venir. Cette note est tombée tel un couperet sur les administrations qui se plaignaient déjà des faibles budgets qui leur étaient affectés, notamment dans les établissements hospitaliers où le déficit en matière de matériels médicaux et de médicaments est particulièrement important.

Le même constat s’applique au secteur de l’enseignement supérieur où beaucoup de projets initiés ou envisagés dans le cadre, notamment, de la promotion de la recherche scientifique seront ajournés ou tout simplement annulés, à cause de ces nouvelles restrictions budgétaires.

R. Mahmoudi

Comment (27)

    TheBraiN
    14 septembre 2016 - 8 h 18 min

    Ça fera 12 pour cent en
    Ça fera 12 pour cent en moins de médiocrité , de ventes de sujets et de « promotions canapés »?

    UMERI
    12 septembre 2016 - 13 h 35 min

    Désormais les études vont
    Désormais les études vont couter très cher, les ménages, vont être délester de leurs petites économies et
    les gros bonnets vont grossir leurs comptes a l’étranger, voila ce qu’est désormais la politique de notre gouvernement. Lorsqu’on dit, il faut toucher au budget des moudjahidines « les faux » puisqu’ils sont un million 200.000, vous rigolez, car ils constituent avec la mafia de Saidani et Tliba, le soutien indéfectible du systéme. La crise économique va être supportée uniquement, par la classe la plus démunie, mais non par les nouveaux riches et les corrompus. Ne comptez surtout pas sur l’ A P N et le Sénat , pour s’opposer aux augmentations et au retrait des subventions,des produits de première nécessité.Libéralisme de Bazar cher a Bouteflika et a sa clique est en marche pour mettre le pays a genoux.

    Anonymous
    12 septembre 2016 - 12 h 23 min

    Dans toutes les grandes
    Dans toutes les grandes universites du monde ,il y a toujours des partenariats entre les universites et les entreprises,en Algerie cette forme de cooperation commence a prendre forme et tant mieux pour l Algerie.
    Toute subvention fournie par une entreprise a une universite est deduite de ses impots.Une tres belle formule qui encourage l independance des universites et leur evolution avec des retombes naturelles sur les etudiants.
    L Etat se doit d encourager cette formule de sponsoring avec des avantages fiscaux.En fin de compte ils sont tous gagnants,les etudiants,l Universite,l Etat et les entreprises.

    el wazir
    11 septembre 2016 - 19 h 43 min

    Un projet prévu pour une
    Un projet prévu pour une année, dure trois années sans arriver a sa fin, c’est une defaillance flagrante dans la gestion du projet et dans la planification et le suivi des travaux. Comme ont dit  » le temps c’est de l »argent », l’important retard s »est converti en besoin en financement supplémentaire, et traduit au demeurant une inssuffisance flagrante dans la prise en charge de projet pour le moins superflu au regard des importants retards. Quand a la réduction des budget de 12% elle reste insignifiante et largement occulté par la faiblesse de consommation budgetaire comme vous lvenez de le confirmer (par un budget d’une année qui s’est allegrement etalé sur trois ans). Votre argumentation possede tres peut de rapport avec la mesure du gouvernement laquelle a mon avis devra etre de 50% pour commencer a se faire sentir et pousser les responsables de l’université a etre efficace

    anonyme117
    11 septembre 2016 - 18 h 53 min

    Pourquoi ne pas arrêter le
    Pourquoi ne pas arrêter le chantier faramineux plus de trois milliards de dollars de la.grande mosquée qui en.plus un coût très élevé en entretien et en plus elle ne sert à rien.

    pierre
    11 septembre 2016 - 17 h 55 min

    C’est la navigation à vue et
    C’est la navigation à vue et dans le brouillard.
    A titre d’exemple cette réduction se fait sentir actuellement,au niveau de l’école Nationale Supérieure Agronomique (ENSA ex INA ) où trois départements qui ont bénéficié d’un budget de réaménagement et qui voient les travaux traîner en longueur depuis trois ans déjà; puis arrêté (faute de budget) pénalisant ainsi les étudiants et les enseignants chercheurs .Les laboratoires de ces trois filières sont à l’arrêt poussant les enseignant à recommander leurs étudiants au niveau des autres universités pour leurs analyses expérimentales soit proposer des thèmes sous forme d’enquêtes qui non de nom que d’enquête. OU VA T’ON AVEC CE BRICOLAGE et cette MÉDIOCRITÉ .ET ON S’APITOIE SUR LE CLASSEMENT DE NOS UNIVERSITÉS A L’ECHELLE ARABE (mondiale ,on n’en parle pas )

    Anonymous
    11 septembre 2016 - 13 h 03 min

    « Un vieux monde se meurt , le
    « Un vieux monde se meurt , le nouveau monde tarde à apparaître et dans ce clair – obscur surgissent les monstres  » Antoine Gramsci ( 1891-1937)

    L’Algerie est la croisée des chemins ,en pleine période de decompisition/ recomposition . Aprés une periode  » d’exaltation » revolutionnaire au lendemain de l’independance , nous sommes maintenant dans une phase de marchandisation de tout . L’école n’est plus une priorité . L’argent est devenu une finalité . Le fossé entre les citoyens, le système de représentation et les institutions est devenu un abîme. Il faut espérer que de tout ce vide naisse une nouvelle algerie ou l’éducation ne sera plus une variable d’ajustement budgétaire .

      le citoyen
      11 septembre 2016 - 14 h 05 min

      « Un vieux monde se meurt , le
      « Un vieux monde se meurt , le nouveau monde tarde à apparaître et dans ce clair – obscur surgissent les monstres  » Antonio Gramsci ( 1891-1937) L’Algerie est la croisée des chemins ,en pleine période de decompisition/ recomposition . Aprés une periode  » d’exaltation » revolutionnaire au lendemain de l’independance , nous sommes maintenant dans une phase de marchandisation de tout . L’école n’est plus une priorité . L’argent est devenu une finalité . Le fossé entre les citoyens, le système de représentation et les institutions est devenu un abîme. Il faut espérer que de tout ce vide naisse une nouvelle algerie ou l’éducation ne sera plus une variable d’ajustement budgétaire .

      anonyme
      11 septembre 2016 - 22 h 23 min

      belle citation que voilà! moi
      belle citation que voilà! moi je la trouve complètement d’à propos, le surgissement des monstres voilà où nous en sommes de notre phase de décomposition quant à la recomposition chui pas sûr, la citation le dit bien , le nouveau monde tarde à venir…

    Anonymous
    11 septembre 2016 - 10 h 39 min

    L’essentiel qu’on ne
    L’essentiel qu’on ne touche surtout pas au budget trottoirs et floralies ainsi que celui du mdn !

    elhadj
    11 septembre 2016 - 9 h 43 min

    au lieu de viser les
    au lieu de viser les universités pourquoi ne pas avoir le courage de réduire les budgets faramineux des la défense de l intérieur des moudjahidines par exemple notamment durant une certaine période jusqu au redressement du pays..les secteurs prioritaires notamment l éducation et la sante ne doivent être en aucun cas concernés réduire les salaires mirobolants des hauts cadres;sénateurs;députés;hauts grades;supprimer les comptes spéciaux; regrouper certains ministères en une seule entité voire en secrétariats d état; culture,information, solidarité nationale,tourisme,hydraulique;énergie et industrie;moudjahindines,etc .il ne faut pas voir plus bas les citoyens n en peuvent plus et n arrivent pas a s alimenter a leur faim.l Algérie est le seul pays au monde qui a 2 ministres des affaires étrangères ce qui génère des dépenses inutiles.ainsi de suite

    festi2016
    11 septembre 2016 - 7 h 31 min

    réduire le salaire des
    réduire le salaire des débutés…et des ministres….c’et mieu je pense
    comme a fais la tunisie de réduire les salaires des ministres
    mais probléme aprés kifache saadani va passé les vacances en éspagne !!!!!!!

    Anonymous
    11 septembre 2016 - 3 h 00 min

    Des universités avec des
    Des universités avec des programmes écoles maternelles sans concours d admission et des hôpitaux algériens de
    Dernieres générations qui veut dire de la génération la plus pathétique et pas en terme de modernité
    Ou sont les 20:CHU moderne que le gouvernement’ promettait
    195 ?milliards de dollars de liquidité a la disposition de l Algérie ne semble n être au une farce que les plus crédules croyaient mais dieu merci je n y ai jamais cru sinon ou est cet argent ?

    Anonymous
    11 septembre 2016 - 2 h 45 min

    C est quoi ce pays qui ajuste
    C est quoi ce pays qui ajuste’ses budgets en fonction du cours du Brent
    La Norvège et l Algérie doivent continuer a rester des leaders dans la recherche et l éducation tout en augmentant massivement le budget de l education
    La Norvège qui s est inspire du modèle algérien reste tous comme l’Algérie ,un pays capable de se passer de la rente et c est pourquoi l Algérie doit enen raire autant pour rester le modèle de nos frères norvégiens anti’ marocains
    Vive l Algérise des hommes

    Anonymous
    11 septembre 2016 - 2 h 33 min

    Les universités algériennes
    Les universités algériennes qui ont déjà sale réputation vont devenir la risée du monde
    Dans les 30meilleures universités d Afrique on peut noter l absence des universités algériennes ou même le Maroc qui fait partis des pays les plus pauvres au monde arrive a en classer 3 tous comme’la tunisie’ et pire encore lorsque je vois que les arabes d egypte en placent 6 et l Afrique-Asie du sud qui est d un niveau plus ou moins similaire aux notres en termes de richesse et de compétence en place 16
    La France et israel aident le maroc a devance l algérie dans tous les classements qualitatifs en payant pour le marocain en mettant leurs compétences face a la grande algerie’afin de soumettre l algerie éternelle que seul dieu pourrait peut être y parvenir avec une massive et constante des ennemis de l Algérie que sont le Maroc,israël,la France et les USA
    L Algérie doit rester celui qui en Afrique est capable de construire de magnifique infrastructure que les algériens construisent dans le monde entier qui fait la fierté des algériens alors que les marocains ne sont même pas capable
    De construire un petit port de pêche sans demander a la Chine de le faire et de le financer comme tous bon miserable

    Kad
    10 septembre 2016 - 22 h 08 min

    Toujours les solutions
    Toujours les solutions faciles !

    anonyme
    10 septembre 2016 - 21 h 54 min

    c’est les fournisseurs que ça
    c’est les fournisseurs que ça va déprimer,d’autant qu’ils se sucrent largement en livrant des produits bidons importés ou importés puis emballés en faisant croire que … la réduction des dépenses devrait concerner tout le monde à commencer par les partis politiques inutiles qui reçoivent des subventions bien qu’ils ne soient que des nids d’espions ou harkis accrédités,enfin il y a une foule de gens à calmer côté dépenses pour injecter cet argent dans la formation et l’éducation; mais est-ce que ça va changer quelque chose ? c’est pas quand on est au pied du mur qu’il faut faire ça, mais comme la fourmi il faut être travailleur et prévoyant

    les damnes de la terre
    10 septembre 2016 - 21 h 46 min

    Une decision de reduction du
    Une decision de reduction du budget qui est venue en retard.Cela denote que tt fonctionne par tatonnement.On vient pas demander aux recteurs des universites de rompre des engagements pris avec leurs fournisseurs et partenaires de rompre in engagement en fin d annee financiere.Par cette instruction vous allez mettre les universites ds l embaras vis a vis de leurs partenaires.Le reproche qu on vous fait c que vous gerez les affaires au jour le jour.Cette decision aurait d etre prise des la mise en place des budgets.GERER C PREVOIR.

    le citoyen
    10 septembre 2016 - 20 h 54 min

    “Après le pain, l’éducation
    “Après le pain, l’éducation est le premier besoin d’un peuple.”

    De Georges Jacques Danton 

    Bravo, continuez comme ça , vous êtes sur la bonne voie. Encore un coup de rabot à l’éducation est Tliba sera le prochain président . Il prêtera serment dans votre belle et grandiose mosquée . Une honte .

    momo
    10 septembre 2016 - 20 h 30 min

    il vaut mieux fermer les
    il vaut mieux fermer les universites car elle ne serves a rien .d autant que c les etranger qui font des trous au sud et qui prenne 49 pour cent

    Amar MOKHNACHE
    10 septembre 2016 - 20 h 14 min

    UN EXCELLENT PROGRAMME
    UN EXCELLENT PROGRAMME ECONOMIQUE QUE CE QUE L ON NOUS EXHUBE! DE LA DEPENSE OU DE LA REDUCTION DE LA DEPENSE cest selon dans la pure culture depensiere!!!! C est l histoire vraie de la KOREE DU SUD racontee par son AMBASSADEUR lors d une rencontre economique tenue a la chambre de commerce d ANNABA en 2002 OU 2003 en guise de reponse aux tres nombreuses questions posees par plus d une dizaine de fonctionnaires « SUR L ECONOMIE de bazzard » que posait la relation avec son pays…il disait tout simplement que son pays a connu une crise qui a secoue dans la duree plus de 98% DE COREENS ET QU IL FALLAIT ETRE TRES COSTAUX POUR MANGER A MIDI !!! et qu il fallait etre un homme d exception pour faire nourrir toute la famille! leurs dirigeants ont avoue qu ils n avaient pas de reponse a cette crise…plutot la seule reponse c etait de former une generation en mesure d apporter une reponse!
    ainsi les coreens ont CONSACRE PRESQUE 80% de leurs budgets a l education avec comme leit motive:
    plus de classe de 40 ELEVES…
    PLUS DE FAIM A L ECOLE
    PLUS DE PROFESSEURS INCOMPETANTS
    PLUS D ELEVES MALADE A L ECOLE!!!
    la generation formee a ete reconnaissante et a fait de la coree ce qu elle est……………
    il est vrais que la coree n est pas l algerie ils savent compter et savent surtout quoi economiser et quoi reduire

    Anonymous
    10 septembre 2016 - 19 h 09 min

    Le gouvernement impose aux
    Le gouvernement impose aux universités une réduction de 12% de leur budget
    Le gouvernement algérien devrait réduire le train de vie dépensier, gaspilleur, et opulent des députés, et sénateurs
    Salaires, paperasses, conforts, trop de charges diverses (missions, réunions bidons,véhicules rutilantes,…..)
    qui aggravent sensiblement le budget de fonctionnement de l’état ,déjà très déficitaire

    Des réductions sensibles sur les salaires de cette nouvelle classe aisée, qui n’est pas aussi, et plus productive
    Et aussi, et plus rentable que les autres classes moyenne, et pauvre de la société algérienne
    Dans une économie frappée par la crise structurelle, de savoir faire, et de management économique,

    FAQOU WA MA FAHMOUCHE
    10 septembre 2016 - 18 h 33 min

    En ses temps difficiles, le
    En ses temps difficiles, le gouvernement serait BIEN inspiré s’il commençait plutôt par réduire drastiquement les salaires des parlementaires, des ministres et autres diplomates et hauts fonctionnaires de l’ ETAT. Dans les pays respectables, ce sont les fonctionnaires EUX-MÊMES, qui prennent volontairement CETTE INITIATIVE, en temps de crise économique.

    hamid
    10 septembre 2016 - 17 h 49 min

    l’Iran fait mieux que nous
    l’Iran fait mieux que nous dans le domaine de la recherche,de la medecine,de la technologie,et du tourisme malgres l’embargo (voir documentaire de france 2 sur l’Iran)

    inasliyen
    10 septembre 2016 - 16 h 46 min

    Avec les Economies réalisées
    Avec les Economies réalisées augmentez les salaires et autres avantages des députés dont la plus part n’ont jamais été à l’ université (preuve que ça ne sert à rien), sauf peut etre pour draguer ou pour se marier comme l’ex épouse de karadawi! et s’il en nencore reste quelque chose, des économies, faites en don pour HAMAS!

    oui, « …fatouna bel ïlm… » avait dit Boudiaf allah yrahmou! mais a quoi bon de chercher quand les autres trouvent à notre place! Mais, tant que vous ne touchez pas au budget de la grande mosquée tout va bien, quant aux universités…fermez les carrément! ou encore faites des cours magistraux à la télé…MOKRI comme professeur unique! gains d’argent en scolarisation, et en œuvres sociales…
    Tahya dzair quand même!

    Algérienne-DZ
    10 septembre 2016 - 15 h 47 min

    « les établissements
    « les établissements hospitaliers où le déficit en matière de matériels médicaux et de médicaments est particulièrement important. »

    Nos hôpitaux passeront du statut « d’écurie » au statut de « la morgue ».

    Concernant l’université, je ne vois pas que va t-il changé. Sans ou avec l’argent, nos universités sont devenues des hangars, ou, des crèches pour des personnes adultes.

    el wazir
    10 septembre 2016 - 15 h 43 min

    je pense que c’est une bonne
    je pense que c’est une bonne mesure, qui mettra un terme aux dépenses superflues des universités »tels que l’approvisionnement en matériel de laboratoire fourni par des fournisseurs locaux) opérations réalisées sans spécifications techniques explicitant les exigences techniques et les normes a respecter (du matériel non éprouvé probablement chinoi a été fourni avec des étiquettes falsifiées (le passant pour du matériel allemand, notamment pour les hopitaux et universités: toutefois pour obtenir les améliorations souhaitées sans rien perdre en efficacité globale, cette mesure devra etre suivi d’autres réductions jusqu’a l’atteinte de la meilleure rationalité possible. dans tous les cas le ministère va se rendre compte qu’une réduction de 12% (bien qu’elle va compter comme performance),ne va meme pas etre ressentie, bien au contraire elle sera largement occulté par la faible consomation habituelle des budgets; le mieux c’est de mettre en oeuvre de nouvelle procédures pour rendre plus efficace l’estimation et l’établissement des budgets,en impliquant tous les acteurs des commandes dans un cadre unique

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