Les patrons se rebiffent : le FCE rejette le plan d’action du gouvernement

Ali Haddad. New Press

Lors de l’inauguration de la deuxième édition de l’université du Forum des chefs d’entreprises (FCE), hier soir à Constantine, le président du Forum, Ali Haddad a pointé du doigt le «statu quo» dans lequel se retrouve l’économie du pays, le qualifiant «d’insupportable et à long terme intenable». Pour le patron du FCE, il est temps de mettre un terme aux «tergiversations et aux demi-mesures». «Des diagnostics, nous en avons fait. Nous avons aussi fait une multitude de propositions pour remédier à la crise multidimensionnelle qui frappe notre pays. Nous estimons qu’il est temps de mettre en œuvre des réformes profondes et courageuses qui changeront réellement notre économie», a-t-il recommandé.

Le FCE, rappelons-le, qui a largement soutenu l’opération d’emprunt national, lancé par le gouvernement Sellal, montre à travers le discours d’Ali Haddad que le plan d’urgence initié par les pouvoirs publics ne répond pas à leurs attentes et ce, à travers des critiques à peine voilées. Le patron du FCE a indiqué qu’ils [les chefs d’entreprises] «adhèrent» au plan d’urgence mis en place par les pouvoirs publics pour revenir à l’équilibre budgétaire, mais cela ne doit pas se faire au détriment des entreprises, des emplois et de la stabilité économique et sociale des régions.

Le choix du thème «Transformer ! Pour aller de l’avant», de cette 2e édition n’est pas fortuit. Ali Haddad, qui indique vouloir «aller de l’avant et directement à l’essentiel pour réinventer et transformer notre économie», s’est adressé aux jeunes entrepreneurs qui, selon lui, relèveront les défis «qui sont sérieux et nombreux». Pour lui, certaines conséquences de la crise sont quantifiables comme le déficit budgétaire, le déficit commercial ou encore la hausse de l’inflation. Mais d’autres ne le sont pas. Ali Haddad en veut pour preuve l’acharnement des chefs d’entreprise pour la pérennité de leurs entreprises et des emplois, qui persévèrent malgré l’adversité, mais finissent par abandonner par dépit.

Mohamed El-Ghazi

Comment (39)

    Anonymous
    30 septembre 2016 - 23 h 31 min

    Regardez la vidéo de Haddad a
    Regardez la vidéo de Haddad a Constantine ( il dit moi je croyu qui le teblabla c iet pour lui dire amour ji qui etouni c est la honte du siècle.qu est ce qui se trame dans notre pays l Algérie a t elle mérite ça

    zombreto
    30 septembre 2016 - 20 h 58 min

    Je n’ai jamais compris les
    Je n’ai jamais compris les propositions de sortie de crise de ces chefs, baron de l’import import.
    C’est simple comme tout, l’activité de l’importation restera une démarche de l’état, car où est l’intérêt de laisser cette activité au privé, toute personne peut le faire, il suffit de chercher un approvisionneur et la banque te débloquera les fonds nécessaire, donc aucune transformation et résultat des courses, aucune plus value.
    Nous avons constaté comment les surfacturation sont réalisées dans ce genre d’activité.

      lui même
      1 octobre 2016 - 10 h 44 min

      il va plus loin, il se
      il va plus loin, il se prépare pour les prochaines elections decisives

    BAHRI
    30 septembre 2016 - 18 h 04 min

    Juste pour rappel;les chinois
    Juste pour rappel;les chinois ont CONSTRUIT 900 km d’autoroute ;avec pont tunnels;viaducs etc;en 5 ANS
    ETRHB refait 15 km d’autoroute du coté Bouira Lakhdaria en 5 ANS; SANS PONT NI ECHANGEUR NI TUNNEL NI SIGNALISATION;NI PLANTATION D’ARBRE;NI DEBLAIEMENT DES GRAVAS et il ne sont qu’à la moitié et associé à une autre société !!!!!

    Nora
    30 septembre 2016 - 13 h 43 min

    depuis 2000 l’Algérie ne
    depuis 2000 l’Algérie ne réussie qu’aux étrangers et de plus en plus fort. La corruption s’est installée a tous les niveaux et les plus médiocres (t^tes de viandes) deviennent de plus en plus riches au détriment de ceux qui aiment ce pays et se consacrent à essayer de relever les défis pour faire avancer l’algérie .

    Fatima Kerdjoudj
    30 septembre 2016 - 11 h 33 min

    @KHENZIR bien rôti (non
    @KHENZIR bien rôti (non vérifié) nous dit que (je le cite et je suis d’accord avec lui) :  » LA SEULE SOLUTION POUR LE PAYS c’est le changement de système politique, le changement du pouvoir et donc le changement de gouvernance. ». A la suite de quoi un autre internaute en l’occurence @juste (non vérifié) lui répond (je le cite) : « tu proposes quoi comme solution exactement? »

    Effectivement, c’est là un bon débat assez délicat. Mais pour répondre à l’internaute @juste sans prétendre répondre à la place de l’internaute @KHENZIR bien rôti, qu’il m’en excuse, je dirais :

    a/- il faut d’abord mettre à la retraite le fauteuil roulant car il viole la Constitution qu’il a lui-même pondue (Article 102 de la Constitution de 2016 : « Lorsque le Président de la République, pour cause de maladie grave et durable, se trouve dans l’impossibilité totale d’exercer ses fonctions, le Conseil constitutionnel se réunit de plein droit, et après avoir vérifié la réalité de cet empêchement par tous moyens appropriés, propose, à l’unanimité, au Parlement de déclarer l’état d’empêchement. »

    b) – constituer un Gouvernement de Transition chargé de réorganiser la vie politique et institutionnelle dans la perspective d’une Algérie véritablement démocratique, d’une République algérienne démocratique et sociale, d’une forme de gouvernance où l’alternance est une réalité poltique et pour enfin mettre en place un planning des élections (Présidentielle, législatives etc….) dans la plus grande transparence. A ce propos, la question de la désignation et de la composition de la Commission Indépendante de Contrôle des Elections est primordiale. Elle doit être véritablement indépendante et ce n’est pas au « Brizidène » d’en nommer les membres. Les membres de cette commissions doivent être minutieusement désignés parmi la société civile, les personalités connues pour leur probité, leur honnêté intellectuelle, leur sens patriotique et leur compétence technique en matière de contrôle de la régularité des élections.

    C’est un début incontournable. Si on ne fait pas cela, on continuera toujours à tourner en rond, on continuera à voir à la télé et dans les journaux des guignols excités, un personnel politique zélé à tous les niveaux (…du fauteuil roulant jusqu’au au chef de Daira..) et des « experts » en tout genre nous donner leurs avis et propositions. Mais pour moi je dit que tout cela n’est que du vent (eurih) et cela ne nous mène à rien car si on continue comme cela on va droit au mur, même si on trouve de très bonnes analyses et de très bonnes interventions chez certains experts ou conseillers compétents.

    Bon courage aux Algériens et à l’Algérie.

    AHMED
    30 septembre 2016 - 11 h 32 min

    J’EN RIS QUAND VOUS ECRIVEZ
    J’EN RIS QUAND VOUS ECRIVEZ LES PATRONS , ECRIRE PLUTÔT LES BARONS DE L’INFORMEL
    CONSEIL
    N’ÉJECTEZ PAS CES BARONS POUR S’ACCAPARER DE NOS TERRES AU SAHARA, LES GENS SONT ICI AU BORD DE ÉCLATEMENT
    C’EST UN CONSEIL A PRENDRE AU SERIEUX

    Anonymous
    30 septembre 2016 - 10 h 07 min

    La kermesse de HADDAD! Il
    La kermesse de HADDAD! Il veut nous faire croire qu’il conteste avec beaucoup de tact la politique économique de SELLAL lui qui ne cesse d’en tirer profit. Décidément le ridicule ne tue pas.

    Alimaz
    30 septembre 2016 - 10 h 01 min

    Le trio de tête « le repasseur
    Le trio de tête « le repasseur-aveclevres et bouderbouka » coiffé par le nain bis et vous avez une marmelade du tonnerre du diable…pour le malheur de notre chere Algerie.
    La chanson dit: qu’est-ce-qui fait, qu’est-ce-qu’il a, qui c celui là…completement complètement etc…etc…

    el wazir
    30 septembre 2016 - 8 h 34 min

    le problème c’est que le FCE
    le problème c’est que le FCE ne dispose pas de la force de frappe requise pour faire bouger les chose, et il demeure très loin pour pouvoir se substituer aux capacités jadis employées par les différents secteurs publics pour le développement industriel et économique national. Il faut reconnaître que le FCE ne dispose même pas de ressources humaines valables indispensable a sa mise a niveau qui lui permet d’être compétitif ne serait ce localement. Malgré. a ces faiblesses flagrantes le FCE continue a lorgner sur la privatisation du patrimoine du secteur public a son profit exclusif (comme le ridicule ne tue pas chez nous). A mon avis le gouvernement ne peut pas compter sur les capacités actuelle du FCE, sauf si l’objectif est de se débarrasser du patrimoine public au profit exclusif du FCE, au moment ou il sera juste d’ouvrir a la manifestation d’Intérêt des personnes morales ou physique qui cherche a investir dans le domaine économique. En réalité il faudra au mois multiplier par 100 les capacités du FCE pour prétendre faire bouger un petit peut la machine économique en DZ.

    jokerpic
    29 septembre 2016 - 23 h 29 min

    Bien sure que Haddad et le
    Bien sure que Haddad et le FCE rejette le plan du gouvernement les entreprises sont asséché et doivent encore plus de charge a l’état qui prend et ne donne rien .
    L état se sert de tout ces privés comme d’une banque qui lui fait credit au risque de créer des chamboulements et les contraindres a ne plus pouvoir investir.
    A la limite si les paiements ne sont pas lâchés par l’état elle devient « brigands  »
    En parallèles mis a part les projets d’état qui devrait jouer le rôle d’accompagnateur veux toujours tout contrôler.
    Ce n ‘est plus possible ! et la conjoncture ne change pas , foncier , facilitations , lois d’investissement a appliquer , bureaucratie aux investisseurs , imposition erronées , charge fiscales et sociales élevés .Tout cela n’augure a rien de bon sont rôle devrait être tout le contraire surtout en ces conjonctures .

    Erracham
    29 septembre 2016 - 22 h 35 min

    Quoi? Ce charlatan OSE faire
    Quoi? Ce charlatan OSE faire la leçon au Gouvernement qui lui a TOUT donné! Sans les marchés de gré à gré dont il a bénéficié, il vendrait des casse-croûte à la gare routière de Tizi. Le pire c’est que personne dans le gouvernement ne le remet à sa place. Ses protecteurs sont-ils plus puissants que le gouvernement? Cette déclaration est révélatrice d’un état d’esprit nouveau: les patrons dictent la conduite à suivre à la puissance publique, maitresse des instruments de régulation et souveraine dans la conception de la strat(gie de développement. Sacrilège! Mais que « voulez-vous que la bonne y fasse quand le patron n’y peut rien? » comme nous l’enseigne le sage.

    Quenelle
    29 septembre 2016 - 22 h 17 min

    Cet hurluberlu sait-il
    Cet hurluberlu sait-il seulement de quoi il parle ?!
    Tous les Algériens savent qu’il porte un costume trop grand pour lui , sauf lui !
    Tous les Algériens savent comme s’est faite sa fortune , mais lui veut nous le faire oublier!
    Un peu comme ce ministre qui a fait fortune dans les chips (oui, les chips !) et , qui, devenu ministre, nous parle d’industrie avec suffisance !
    Non, je n’ai aucun espoir pour notre pays martyr !
    Par ailleurs, si ce nouveau projet sur les retraites est adopté, des milliers de futurs retraités vivront des horreurs pour joindre les deux bouts ! ! !
    Je lance un appel aux travailleurs algériens pour qu’ils jettent un regard sur son contenu , ils seront édifiés !
    AP se doit de faire un article sur ce projet !
    Dieu, que tout cela est TRAGIQUE !

    les damnes de la terre
    29 septembre 2016 - 21 h 43 min

    Si l Etat continue a
    Si l Etat continue a travailler avec le FCE croyant que ce forum. est en mesure de l aider ds sa tache en vue de faire avancer la machine economique cela me parrait irrealisable.Le fce ne cherche que son interet et a moindre prix .Son but c de beneficier de certaines facilitations et l octroi de marche pr faire fructufier ses activites.Aussi compter sr l appui de l UGTA. pr la moblisation des troupes autour des enjeux qui nous guettent et ce par la sauvegarde de l outil de production est un pari perdu d avance.L Ugta est un appareil comme les 2 autres appareils qui sont le Fln et le Rnd.Ce syndicat n a aucune credibilite du fait qu il est en contre sens des interets des travailleurs.Enfin s il y a un conseil a donner au pouvoir c lui dire que les vrais partenaires nationaux prives sont hors FCE .

    Ain El Berda
    29 septembre 2016 - 21 h 12 min

    BABABA YA BOURAB CE ALI EL
    BABABA YA BOURAB CE ALI EL GOUDTONE REJETTE LE PLAN DU GOUVERNEMENT YA BOURAB…ALI EL GOUDRONE EST LE SUBSTITUT DE L APN YA BOURAB..OU SONT CES INSTITUTION POUR ASSUMER LEUR ROLE DE GOUVERNANCE D ETAT! YA RAB LA MEDIOCRITE REIGNE DANS MON PAYS!

    Azzaba
    29 septembre 2016 - 20 h 22 min

    Juste être capable de faire
    Juste être capable de faire un jour une route,un trottoir ou un édifice quelconque qui répond aux normes et les choses iront un peu mieux ,monsieur les milles et une malfaçon prend de la hauteur.

    Chelieth
    29 septembre 2016 - 18 h 59 min

    Je me rappelle vaguement une
    Je me rappelle vaguement une chanson algerienne d’antan dont le refrain etait a peu pres: « c’est pas moi, c’est celui la ». Peut etre un autre lecteur avec une meilleure memoire que la mienne pourrait nous donner plus de details. C’est ce qu’ils semblent tous chanter ces derniers temps. Apres ce Ali Haddad, c’est au tour de Bouchouareb de se recuser et accuser les autres d’inaction. Fakou!

      Momo fougfali
      30 septembre 2016 - 7 h 14 min

      Haylik amarouila c Pa moi c
      Haylik amarouila c Pa moi c d celui la galha le bandit mesquinne ✂️✂️✂️

        chelieth
        30 septembre 2016 - 19 h 39 min

        Merci! Ca me revient
        Merci! Ca me revient maintenant. Est ce qu’ils l’ont sur youtube?

      Anonymous
      30 septembre 2016 - 8 h 41 min

      Wallah je rigole aux larmes,
      Wallah je rigole aux larmes, vous m´avez fait rappeler cette chanson, vaguement pour moi aussi, sauf le refrain évoqué, merci pour ce petit moment de détente!!

    Kahina
    29 septembre 2016 - 18 h 31 min

    C’est septembre = la rentrée

    C’est septembre = la rentrée de la médiocrité.
    Il vont s’occuper à ouvrir des birous, de faire des con-férence dans les hôtels*****… Ils vont parler de l’icounoumi aux journalistes…mais qui va faire avancer cette icounoumie.
    L’icounoumie ne peut avancer avec la parlote et le virtuel.

    GARAGOUZE
    29 septembre 2016 - 17 h 41 min

    @KHENZIR bien rôti (non
    @KHENZIR bien rôti (non vérifié) 29 Sep 2016 – 14:13 , il n’ a rien à ajouter. Vous avez tout dit. Merci de votre clarté ! Il n’y a pas d’autres solutions pour que les choses changent dans notre pays. Tout le monde est en train d’intervenir à droite à gauche, de faire du cinéma à la télé et dans les journaux, mais personne n’a le courage de parler ou de faire part de leur for intérieur qui j’en suis sûr n’est pas loin de ce que vous pensez !

    karimdjazairi
    29 septembre 2016 - 17 h 09 min

    On ne peut qu apprécier la
    On ne peut qu apprécier la réaction du FCE, qui somme toute est réaliste. Cela dément, la pseudo allégeance de son président à l égard du pouvoir.

    La crise du pétrole doit être une leçon, et une leçon, le pays y a fait face tant mieux, personne ne peut nourrir à l égard du pays son malheur.

    Mais le pouvoir en place, ne doit pas se cantonner aux belles paroles, il doit maintenant agir vite et bien. Quand bien meme le baril augmenterait à 100 dollars, l accent doit etre mis sur l investissement productif, créateur de richesses, d emplois et garantissant surtout l indépendance de notre pays.

    Beaucoup peut être produit dans notre pays, et nous avons les moyens humains, financiers et la matière grise. Il est plus que temps, 54 ans après notre indépendance, il faut maintenant décoller.

    Anonymous
    29 septembre 2016 - 16 h 43 min

    Qu’îls se rebiffent ou pas
    Qu’îls se rebiffent ou pas ,qu’ils rejettent le plan d’actions ou pas,c’est du kif kif au même. Quand le pouvoir décidera de lâcher du lest la machine démarrera toute seule.Le problème c’est quand ?

    slaouti
    29 septembre 2016 - 16 h 24 min

    Le président Bouteflika doit
    Le président Bouteflika doit savoir que ses subalternes de responsables ont plutôt l’art de parler pour ne rien dire. Pour la plupart ils ont des ampoules sur la langue mais point d’acte concret pour redresser la situation économique du pays. Vite! Vite Monsieur le Président il y a le feu à la maison.

    Laissez moi rire
    29 septembre 2016 - 16 h 16 min

    hahahahahahah , c’est comme
    hahahahahahah , c’est comme le cinéma du patron de l’UGTA qui se rebiffe « contre » le gouvernement !!! lol
    tout ça c’est du pipo , juste pour faire croire aux petites gens que l’ugta , le fce et toute cette ….ont leurs mots à dire !!!!
    Faites vos jeux mesdames et messieurs ….les dés sont pipés ! ( éléction 2019 oblige…)

    NASRALLAH
    29 septembre 2016 - 15 h 50 min

    A quel titre il parle. Il a
    A quel titre il parle. Il a un mandat du peuple? juge le programme du gouvernement d’incohérent et lui proposer un autre, même le parlement ne peut pas le faire. HADDAD à oser,

    OMAR
    29 septembre 2016 - 15 h 32 min

    LE FCE REJETTE????????

    LE FCE REJETTE????????

    LE FORUM QUI APPLAUDISSAIT TOUJOURS????

    COUP D ECLAT OU COUP DANS LE TAS???

    COURAGEUX FORUM OU SIMPLE FOIRE HOME???

    Anonymous
    29 septembre 2016 - 15 h 02 min

    «Des diagnostics, nous en
    «Des diagnostics, nous en avons fait. Nous avons aussi fait une multitude de propositions pour remédier à la crise multidimensionnelle qui frappe notre pays. Nous estimons qu’il est temps de mettre en œuvre des réformes profondes et courageuses qui changeront réellement notre économie» dixit le « chef » des « chefs » des « entreprises » algériennes. messieurs les internautes, je vous suggère de comparer cette tirade avec les vidéos qui suivent:
    https://www.youtube.com/watch?v=rYD81X9lS5M
    https://www.youtube.com/watch?v=AAX3zuvvn2I
    https://www.youtube.com/watch?v=EfOXpGtaVuo
    reconnaissons, messieurs les internautes, qu’il y a un décalage ou un gouffre abyssal entre la tirade de départ et le galimatias qu’éructe si ali dans les vidéos ci-dessus. moralité de l’histoire: si le « chef » des « chefs » d’entreprises algériennes a le niveau qui transparait sur les vidéos, alors, nous sommes « cuits » pour de bon.

      Abou Stroff
      30 septembre 2016 - 8 h 50 min

      les habitués de AP on dû
      les habitués de AP on dû reconnaitre le style de Abou Stroff dans Anonymous (non vérifié)

      29 Sep 2016 – 16:02

    Rascasse
    29 septembre 2016 - 14 h 51 min

    Encore une tragi comédie, le
    Encore une tragi comédie, le cake se partage entre amis, ces mêmes amis qui créent l’illusion d’être en porte à faux les uns contre les autres pour mieux nous endormir.

    H'didwane
    29 septembre 2016 - 13 h 58 min

    Juste en regardant leurs
    Juste en regardant leurs visages, pensez vous qu’ils disent ou qu’ils pourront dire la vérité ? Je le doute car leurs visages ne mentent jamais …

    lhadi
    29 septembre 2016 - 13 h 24 min

    C’est un spectacle honteux
    C’est un spectacle honteux que de voir un « Rastignac » s’offusquer sur « un point de détail » alors que le pays est confronté au problème de la stagflation (croissance nulle, inflation forte accompagnée d’un taux de chômage élevé), à cette misère horrible à voir, aux sarcomes inhérents au sous développement qui obèrent toute chance de développement d’un Etat fort, d’une république solide, d’une Algérie moderne unie dans toute sa diversité, conquérante dans un monde de globalisation politiquement et économiquement injuste.
    .

    Il importe de stigmatiser la politique gouvernementale qui met la nation sans armes face aux nombreux défis, de rendre les gens sans défense dans leur esprit. Il importe de mettre au ban des accusés cette gouvernance qui ferme les yeux sur les faiblesses et les duretés du présent, sur les inquiétudes pour l’avenir. Et in fine débite du n’importe quoi, sans se soumettre au contrôle de la réalité.

    Aujourd’hui comme hier, le système, fonctionnant hors des clous de la légalité constitutionnelle, se montre parfaitement incapable de résoudre la crise de la société algérienne dans l’intérêt des travailleurs manuels et intellectuels des villes et des campagnes, dans l’intérêt du peuple et de la nation elle-même.
    .
    Les abolitionnistes du système d’un autre âge incarné par le président de la république poursuivront le combat sur une idée maîtresse qui inspire toute leur conduite et que Engels formulait ainsi : «  le temps des coups de main, des révolutions exécutées par de petites minorités conscientes à la tête des masses inconscientes, est passé. Là où il s’agit d’une transformation complète de l’organisation de la société, il faut que les masses elles-mêmes y coopèrent, qu’elles aient déjà compris elles-mêmes de quoi il s’agit, pour quoi elles interviennent avec leur corps et avec leur vie. ». Ils fondent, en toutes circonstances, leur action sur l’intervention de la plus large des masses populaires. Le succès de toute revendication, de tout mot d’ordre est à ce prix. Et il sera poursuivi avec plus de confiance car ce système est au bord de l’usure. Il traîne le boulet de la défaite. Qu’on se le dise ! Il ne peut y avoir de développement économique et social sans développement politique.
    .
    Fraternellement lhadi
    ([email protected])

    KHENZIR bien rôti
    29 septembre 2016 - 13 h 13 min

    Se rebiffer ou pas, tout çà c
    Se rebiffer ou pas, tout çà c’est du cinéma. Que ce soit ce FCE ou ce Gouvernement ou le fauteuil roulant ou Sellal ou Ouyahia ou Sida Said ou je ne sais qui parlent , ils ont beau dire ce qu’il veulent rien ne changera. LA SEULE SOLUTION POUR LE PAYS c’est le changement de système politique, le changement du pouvoir, et donc le changement de gouvernance. Tant que le système ne change pas les Haddad ce rab proclamé des privés, ou Bennachnou le mokh économiste, ou Preure l’expert pétrolier, ou Bekhti Belaid ou Bouterfa les ministres ou Saidani ou Ouyahia ou ammi ali, rien ne changera dans le schmilblick algérien qui dure malheureusement depuis 1962. Tant qu’on ne change pas de REPUBLIQUE, on restera à tourner en rond comme çà entre nous, mais pas seulement à tourner en rond mais en reculant en même temps. L’Algérie est en train de se consumer à petit feu. Dommage !! Et je ne suis pas d’un tempérament pessimiste, mais je suis sûr que çà va continuer comme cela encore longtemps ! Les dinosaures ont disparu après un cataclysme nucléaire comique, mais pour nos dinosaures à nous il faut un plus que çà pour les faire disparaître. Ciao les amis internautes !

      juste
      29 septembre 2016 - 17 h 17 min

      tu propose quoi comme
      tu propose quoi comme solution exactement?

    Ain El Berda
    29 septembre 2016 - 12 h 43 min

    EH BIEN VOILA ENCORE UNE FOIS
    EH BIEN VOILA ENCORE UNE FOIS LA REAPARITION DE LA MEDIOCRITE ADMINISTRAT8VE PAR LES SORTIE DE CE MONSIEUR DU FCE ET CELLE D UN MIN8STRE D ETAT. MA QUESTION EST LA SUIVANTE. QUI EST RESPONSABLE DE L ECONOMIE DU PAYS? QUI EST COMPTABLE DES RESULTAT DE L ECON9MIE ALGERIENNE? QUI EST QUI DE CES 2 PISS ARTISTE… QUI EST RESPONSABLE DE NOTRE ECONOMIE LA EST LA QUESTION..JE TROUVE BANALE QU UNE ASSOCIATION DE SOIT DISANT PATRON QUI SE MELE DE LA STRATEGIE ECONOMIQUE DU PAYS…OU EST PASSER LE PARLEMENT? OU SONT NOS ECONOMISTES AU MINISTERES DES FONANCE …LA BANQUE CENTRALE ET LE COMMERCE? OU SONT CES GENS LA? POURQUOI UN ANALPHABET COMME ALI EL GOUDRONE ET SES AMIS SE MELENT DE LA POLITIQUE ECONOMIQUE DU GOUVERNEMENT? EST CE QUE CE MINISTRE N EST PAS CONFIDENT DE SA PROPRE DEMARCHE ? TANT DE QUESTIONS POUR TANT DE MEDIOCRITES a la tete de NOS INSTITUTION. VRAIMENT J AI LE SANG QUI BOUILLIE A VOIR TANT DE MEDIOCRITES QUI PARLE SANS CESSE ET AUCUN RESULTATS..YA RAB OU SONT PASSER NOTRE VRAI ELITES YA RAB OU SONT ILS PASSER! SALAM

      New kid
      29 septembre 2016 - 16 h 50 min

      Avec ces deux larrons, J’en
      Avec ces deux larrons, J’en suis sur qu’ils ne peuvent organiser « a piss up in a brewery »

    slaouti
    29 septembre 2016 - 12 h 30 min

    Le Président Bouteflika, doit
    Le Président Bouteflika, doit savoir qu’il nomme certaines incompétences qui tâtonnent et ne disposent pas de geste
    professionnel pour mener à bien l’économie du pays. Il doit passer outre certains critères de nominations et sélectionner des cadres qui disposent de capacités pour redresser cet environnement néfaste pour le pays . Avec des cadres en place du ministre, walis et chefs de Daïra : rien ne va plus et risquent de mener le pays à la décadence et regression totale. En effet, ils ne sont pas en mesure de maitriser et améliorer les ratios. Avec des ignares pareils C’est là l’ imbroglio et le nœud du problème risque encore de persévérer.

    Anonymous
    29 septembre 2016 - 11 h 58 min

    c’est normal de protéger l
    c’est normal de protéger l’investissement, dont les emplois…en fait le problème c’est celui la, le discours laisse poindre un problème d’appréciation dans le secteur privé… le positionnement est biaisé et le calcul est un calcul de négo…peut être qu’il faut que certains chef d’entreprise abandonnent certaines activités dues à une dynamique de consommation révolue et à une logique spéculative (il en faut toujours un peu en économie …mais un peu) et repense leur business model et s’interrogent sur ce qu’ils définissent comme étant un statut quo … de quelles demi mesure parle t on ? et sur quels sujets se portent les tergiversations ? peut on développer ? Secteur par secteur, quels sont les sujets prioritaires ?

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