Mohand Amokrane Chérifi prédit un changement rapide en Algérie

Mohand Amokrane Chérifi. New Press

L’expert onusien et membre de l’instance présidentielle du FFS, Mohand Amokrane Chérifi, estime que le changement de système est imminent. Intervenant aujourd’hui au meeting de son parti à Tizi Ouzou, Chérifi, ancien ministre sous Chadli Bendjedid, explique sa certitude par la situation générale du pays qui ne prête pas à l’optimisme. Il assure que le temps est compté pour les partisans du statu quo au sein du régime «car un pouvoir coupé de la population et sans suffisamment de ressources à terme pour se légitimer n’a aucune chance de survie». Mohand Amokrane Chérifi se dit ainsi certain que le pouvoir n’a de choix que «le dialogue pour un changement pacifique du système». Pour lui, la fuite en avant des dirigeants du pays est «porteuse de danger pour le pays».

Le membre de l’instance présidentielle du plus parti de l’opposition défend ainsi la démarche de son parti pour un consensus national. «Notre projet de consensus national constitue désormais l’unique perspective de sortie de crise. Le contrôle de la société par la désinformation, la neutralisation du mouvement associatif et le discrédit de l’opposition véritable a montré ses limites», a-t-il souligné. Il a relevé que «le découragement et la perte d’espoir dans l’avenir gagnent du terrain chez les citoyens à cause des problèmes au quotidien sans perspective de solution, la vie chère avec les fins de mois difficiles, la recherche, en vain, d’un emploi pour certains, d’un logement pour d’autres, et pour tous des services sociaux de base insuffisants sur le plan quantitatif et qualitatif».

«Les citoyens sont persuadés que le système ne pourra pas régler leurs problèmes. Il ne l’avait pas fait avant quand le budget dégageait des surplus. Il ne le fera pas aujourd’hui avec les déficits annoncés. Ils considèrent que la seule issue pour le pays est de faire tomber ce système d’une manière ou d’une autre car il est lui-même le problème et non la solution. Avec la population, nous disons ça suffit. 53 ans barakat !» a assuré cet ancien ministre.

Chérifi souligne que «pour gagner du temps, le système se voit contraint d’hypothéquer le pays, de céder des secteurs de l’économie au capitalisme international, à travers les privatisations du secteur public et les investissements directs étrangers dans des filières stratégiques. Sans contrepartie effective pour le développement du pays, un nouveau colonialisme en perspective ». Pour cet expert onusien, «si le changement garantissant la démocratie et l’Etat de droit n’intervient pas rapidement, radicalement, avec l’accord de toutes les parties, pouvoir/opposition, alors il faut craindre un changement dans la violence et le chaos avec le risque de l’intervention de forces internes et externes pour installer durablement un régime autoritaire pour protéger leurs intérêts».

Pour ce membre de l’instance présidentielle du parti, «ceux qui font la décision au sein du système savent bien que nous avons raison. Mais ils craignent que l’alternative démocratique que nous préconisons amène au pouvoir un Etat de droit qui rendrait justice aux victimes du système et restituerait au peuple les biens mal acquis, sans offrir de garanties pour la sécurité des responsables». «Mais c’est sous-estimer l’éthique de conviction et de responsabilité qui guide notre parti et qui ne tolérera jamais une atteinte, hors la loi, à l’intégrité des biens et des personnes. Nos valeurs, nos idées et nos actions parlent pour nous», a-t-il soutenu, considérant que «malgré toutes les entraves, nous continuerons à plaider pour la reconstruction du consensus national en mobilisant les citoyens et la société civile ».

«Nous n’excluons pas le pouvoir de cette initiative s’il y adhère sincèrement, mais nous poursuivrons sans lui s’il persiste à s’opposer à ce processus, seul à même de sortir le pays de la crise. Il y va de l’intérêt national, de son indépendance, de sa souveraineté et de son unité», a précisé Mohand Amokrane Chérifi, estimant que le FFS n’a pas encore réussi à changer le système, «mais il a créé les conditions pour y parvenir, notamment en contribuant à la prise de conscience des citoyens sur la nature de ce système à l’origine des maux de la société».

Sonia Baker

Comment (31)

    MELLO
    3 octobre 2016 - 19 h 51 min

    A ceux et celles qui se
    A ceux et celles qui se demande qu’avait fait Mohand Amokrane Cherifi en tant que Ministre, une réponse de sa part:
    Durant les années 1978-80, dans notre plan pour les années 2000, nous avions prévu que toutes les usines créées autour du pétrole, de mécanique, de sidérurgie et autres soient toutes conçues de façon à être intégrées dans les industries du secteur de la transformation. Nous avions une intégration horizontale de répartition géographique pour les investissements pour que toutes les régions se développent en même temps et avoir de l’emploi à proximité, et en même temps une intégration verticale, à savoir que le produit pétrochimique puisse servir à l’agriculture, que les produits colorants puissent servir l’industrie de la tannerie. C’étaient des plans de maillage et de jonction des différentes activités qui permettent le décollage.
    Aujourd’hui, il n’est pas fait rapport à l’Assemblée nationale, par exemple, dans les lois de finances de la quantité d’argent qui se trouve dans ces fonds de stabilisation. Et c’est toute la problématique. La deuxième problématique, c’est que dans le fonds de stabilisation, la grande question est : où ce qu’il est ? Est-ce dans un compte à l’étranger ? Un compte national ? Où est-il transformé en actions dans des sociétés étrangères ? On ne peut pas garder de l’argent dormant, ce sont des devises. Où se trouvent-elles et pour quel usage ? Est-ce qu’on veut faire un usage financier, comme font les Saoudiens ou les Koweïtiens pour avoir des intérêts ? Donc, tout ça est opaque pour le moment.

    Quenelle
    2 octobre 2016 - 17 h 35 min

    Comme j’aurai aimé avoir son
    Comme j’aurai aimé avoir son optimisme !

      MELLO
      3 octobre 2016 - 19 h 08 min

      Il ya plus d’un siècle que
      Il ya plus d’un siècle que les algériens ont entrepris leur longue marche vers la liberté et la dignité dans leur acception politique moderne. (La marche est ici entendue dans son sens de mise en mouvement d’une société engagée en profondeur et non pas un bref footing en ville)
      Le rajeunissement nécessaire des élites, les nouvelles formes que prennent leurs luttes, l’extension du champ de leurs revendications, qui secoue le vieux fonds classique des combats de leurs aînés, ne doit pas servir à l’odieux dessein de couper les générations en tranches jetables. Le combat pour l’indépendance nationale et le combat pour la démocratie sont indissociables. Ceux qui ont cru que l’une pouvait faire l’économie de l’autre ont fait la preuve de leur échec.
      Cette marche sans cesse contrariée vers la liberté s’inscrit dans les combats des peuples du monde pour la conquête de leur souveraineté et de leurs droits. Elle ne relève ni d’une spécificité religieuse ni d’un particularisme régional.

    Anonymous
    2 octobre 2016 - 16 h 52 min

     » L’expert onusien et membre
     » L’expert onusien et membre de l’instance présidentielle du FFS, Mohand Amokrane Chérifi, estime que le changement de système est imminent.  »
    En faite , les « experts  » du FFS predisent tous sans exception l’effondrement du systeme depuis … 1962 !!!
    et croyez moi , il en ont encore pour un autre demi siecle !

      MELLO
      3 octobre 2016 - 18 h 41 min

      Qui mieux que la jeunesse
      Qui mieux que la jeunesse peut comprendre que la mémoire n’est pas seulement se souvenir du passé mais aussi ne pas oublier l’avenir pour se rappeler le présent?

      Aussi une culture démocratique requiert-elle une conscience parfaite et toujours présente de l’idée maîtresse qui soutient la visée stratégique du printemps berbère: la paix civile et la non-violence. N’ayant aucun titre pour distribuer des titres, on ne saurait néanmoins assez rendre hommage à tous ceux et à toutes celles qui ont su garder leur sang-froid et éviter le déchirement au plus fort des provocations des incitations à la violence. Il y avait dans cette maîtrise de soi, l’espoir, l’intuition d’une solidarité nationale. Le peuple algérien garde un patrimoine de bon sens et sa jeunesse foisonne de générosité et de ferveur. Ils sauront briser les barrières des préjugés et de la haine cultivées par les intérêts en place. Le grand débat d’opinion qui est la gloire du printemps constitue aussi sa servitude. Il est condamné à le poursuivre à l’échelle nationale patiemment et avec la calme détermination de convaincre pour vaincre.

    elkhayam
    2 octobre 2016 - 15 h 36 min

    « La stagnation économique des
    « La stagnation économique des pays arabes repose sur les mêmes mécanismes que le déclin des empires arabe et ottoman. Seule mutation significative : la rente pétrolière a remplacé la rente de guerre (butin). L’empire a décliné parce que sa base économique s’était révélée insuffisante pour financer la guerre, augmenter le montant du butin et éviter une trop forte pression fiscale sur les peuples déjà conquis. De même, une partie des pays de la Ligue arabe est entrée en crise parce que la rente pétrolière a stagné, ce qui a rendu plus difficile l’entretien des clients.
    L’histoire nous conduit à nous poser une question fondamentale. L’islam en tant que religion a-t-il favorisé l’instauration d’un modèle de développement où l’Etat et la prédation sont des éléments centraux ? Dans cette dernière section, nous allons répondre par l’affirmative. Cela nous conduit à ne pas suivre Ross (2001), Noland (2003 ou Yousef (2004) lorsqu’ils refusent d’expliquer les choix institutionnels des pays arabes par des facteurs religieux et culturels. »
    (François Facchini, enseignant et chercheur en économie)

      Laetizia
      2 octobre 2016 - 18 h 01 min

      c’est scandaleux d’écrire des
      c’est scandaleux d’écrire des trucs pareils ! ce Facchini est tout simplement un fasciste! dire que la prédation est un élément central de la gouvernance des États musulmans et que cet aspect serait directement lié à l’islam c’est nous prendre pour des andouilles pour mieux nous faire oublier que l’occident s’est fondé sur une prédation puissance mille sans équivalent sur terre, une prédation qui continue plus que jamais!

    Anonymous
    2 octobre 2016 - 13 h 16 min

    Le Front des Forces
    Le Front des Forces Socialistes est un parti intéressant qui aurait pris de la sagesse et de l’humilité à travers le temps, ayant une idée plus précise des attentes de TOUS les Algériens et Algériennes. Mais maintenant, nous attendons que quelque chose se concrétise, le changement doit se faire à l’instant, attendre c’est fini ça n’a plus de sens. « Je veux maintenant des choses concrètes « .

    Kerdoune
    2 octobre 2016 - 13 h 12 min

    L’éternel attente d’un pays
    L’éternel attente d’un pays émergeant qui fait son possible pour ne pas émerger mais plutôt immergé.

    lhadi
    2 octobre 2016 - 11 h 48 min

    Au lieu de se fourvoyer dans
    Au lieu de se fourvoyer dans les dédales et les méandres de la pensée du premier écrivain de la science fiction de l’humanité, en l’occurrence Platon, ce lecteur de Machiavel devrait faire son mea culpa pour ne pas dire son autocritique. Il importe de plaider pour le rajeunissement des instances dirigeantes de ce vieux parti ; condition sine qua none pour oeuvrer à la seule tache qui mérite adhésion et que la situation rend nécessaire : donner force et vie afin qu’il devienne le premier parti d’Algérie. Ainsi, il pourra ébranler ce système insane bien ancrée dans la société algérienne soumise à la seule loi de l’argent. Fraternellement lhadi ([email protected])

    La Cigale
    2 octobre 2016 - 11 h 33 min

    Personnellement Monsieur
    Personnellement Monsieur Mohand Amokrane Chérifi dit des choses justes sur beaucoup de points .D’autres sujets nécessiteraient quelques éclaircissements.
    Et il est surtout pour une transition de pouvoir pacifique en concertation avec tout les parties et en consultant le peuple.
    Que dire de plus BRAVO.

      Moulay Chentouf
      5 octobre 2016 - 7 h 13 min

      Le FFS ment, il ne consulte
      Le FFS ment, il ne consulte que les partis et les parties qu’il veut. Le FFS n’a jamais pris attache avec le Parti pour la Laïcité et le Démocratie (PLD). Dans tous les cas de figure nous ne cherchons pas un consensus pour maintenir le système et l’islamisme politique, mais un consensus pour se débarrasser définitivement et du système et de l’islamisme politique. J’espère que le FFS reviendra à sa famille qui avance vers la modernité, l’universalisme, l’égalité la plus totale entre l’homme et la femme, la séparation du politique et du religieux, en un mit vers la laïcité.

    Mohamed
    2 octobre 2016 - 11 h 09 min

    Bonjour à tous voilà les
    Bonjour à tous voilà les bonne paroles d’un grand homme qui seul à la solution idéal en ce moment pour un grand pays comme l’Algérie… un conseil suivons le avant qu’il soit trop tard

    Ziza
    2 octobre 2016 - 11 h 00 min

    Il est grand temps de liberer
    Il est grand temps de liberer la production et le commerce en favorisant l’emergence de capitaines d’industrie.

    LILE-YA-LILE
    2 octobre 2016 - 10 h 48 min

    Ya si Moh wallah loukane
    Ya si Moh wallah loukane tbousse 3ainak que le système ne changera pas de sitôt car tout le monde est corrompu finalemnet ( hacha limastahalche et il y en a pas beaucoup).
    Il faut se rendre à l évidence que nous n avons rien fait pour changer quoi que ce soit dans notre pays. Alors on peut toujours rêver en se drapant dans une euphorie imaginaire. Fait dodo Mohand mon grand frère, fait dodo tu auras du lolo…

    Mohamed El Maadi
    2 octobre 2016 - 9 h 47 min

    Il n’y a que l’armée qui peut
    Il n’y a que l’armée qui peut changer les choses et c’est dans son interet si elle ne veut pas etre prise dans la tourmente d’un changement rapide qui serait a long terme mortel pour l’institution.
    Car si l’armée ne bouge pas elle se fera bouffer tout cru par le lobby economique .

    Anonymous
    2 octobre 2016 - 9 h 23 min

    Langue de bois langue de bois
    Langue de bois langue de bois langue de bois!!! Rien de C O N C R E T

    Mohamed Amir
    2 octobre 2016 - 5 h 14 min

    Quelle différence entre la
    Quelle différence entre la politique économique menée aujourd’hui par le pouvoir et celle menée quand Chérifien quand il était ministre FLN ? Besef des grands opposants elyoum été des ministres FLN. Le FFS est un parti opposant depuis 1963 un grand et vrai opposition

      Bougamouss
      2 octobre 2016 - 9 h 21 min

      Celà fait des années que ces
      Celà fait des années que ces partis d’opposition, incapables de réunir plus de 5% de votants, nous prédisent la fin de l’Algérie.Leur seul souhait c’est de prendre le pouvoir.ILs ne donnent aucune proposition concrète du genre « Investir plus » ou « distribuer plus » sachant, qu’il n ya rien à distribuer…

        MELLO
        3 octobre 2016 - 18 h 58 min

        ya si boughamouss , la fin du
        ya si boughamouss , la fin du système n’est aucunement la fin de l’Algérie. Les algériens, qui se sont de longue date inscrits dans le combat pour la démocratie et le changement de régime, ont pour cela payé un prix très lourd.
        C’est pour que l’Algérie n’ait plus jamais à payer un tel prix pour la maitrise de son destin, qu’il incombe aux algériens, dans la diversité de leurs convictions et de leurs appartenances, d’indiquer clairement la voie de la construction politique en alternative à la voie de la confusion et de la violence.
        Il est plus que jamais temps de mettre à nu les pratiques de dépolitisation et de désarmement moral propagées par les tenants de la violence.

    amar benaissa
    2 octobre 2016 - 1 h 20 min

    un point de vue que je
    un point de vue que je partage avec lui.ce grand monsieur nous montre la voie a suivre pour depasser ce mauvais cauchemar.puissions nous reveiller toutes les bonnes consciences et agir rapidement adepasser nos differences pour sauvegarder l essentiel l ALGERIE.

    Minouche
    1 octobre 2016 - 23 h 34 min

    Pourvu que cela se fasse en
    Pourvu que cela se fasse en mode soft…… inch’Allah ! Pas de violence yal khawa… et VIVE L’ALGERIE !!! ALLAH YERHAM ECHOUHADAS !!!!!!

    Rayes El Bahriya
    1 octobre 2016 - 22 h 51 min

    Le FFS est un parti des
    Le FFS est un parti des témoins de JEHIVAH
    comme les compagnies d’assurance tout est
    Assuré sauf la pendule. le personnel a les Yeux
    Constemment fixés dessus.
    Yakhi parti de souchards.

    Algérie Authentique
    1 octobre 2016 - 22 h 27 min

    alors comme ça « ceux qui font
    alors comme ça « ceux qui font la décision au sein du système … craignent que l’alternative démocratique que nous préconisons amène au pouvoir un Etat de droit qui rendrait justice aux victimes du système et restituerait au peuple les biens mal acquis, sans offrir de garanties pour la sécurité des responsables… Mais c’est sous-estimer l’éthique de conviction et de responsabilité qui guide notre parti et qui ne tolérera jamais une atteinte, hors la loi, à l’intégrité des biens et des personnes »?
    mais qu’est ce que c’est que ce charabia contradictoire monsieur de l’onu machin chose!? je pense que ces gens de « l’opposition » sont pires que ceux qui tiennent les rennes en ce moment! ils veulent un consensus pour se partager la galette avec les barbus au grand jour! monsieur cherifi d’abord si vous n’êtes pas d’accord avec la démarche du gouvernement (et moi non plusd’aileurs) donnez vos solutions comme ça on verra à quel point vous êtes compétents !!! ensuite sachez que tout bien mal acquis devra être restitué au trésor et les voleurs poursuivis et mis en taule qu’ils soient du ffs du fln du fis ou autre tribu! le changement je le vois porté par des républicains patriotes et rien d’autre, les autres devront s’écraser! ils ont fait les preuves de leur félonie et j’en vois pas mal qui devront passer par la case prison pour un bout de temps à commencer par un certain moquerie!

      DZ
      2 octobre 2016 - 7 h 49 min

      Sommes nous en mesure d
      Sommes nous en mesure d’imposer cette solution de républicains patriotes à un système soutenu tant par les forces de sécurité que par les baltagias de tous bords ? C’est pourquoi la voie du pardon « afa Allahou 3ama salaf » préconisée par le ffs est plus sage ; pourvu qu’on redresse la barre avant le crash.

    slaouti
    1 octobre 2016 - 20 h 34 min

    En tout cas le peuple n’admet
    En tout cas le peuple n’admet plus les discours politiques triomphalistes et surtout les statistiques rassurantes. Ce peuple sait désormais qu’on veut lui faire avaler des mensonges et qu’un contre pouvoir commence à dénoncer. Brouiller ainsi le peuple c’est tout simplement perdre à plus d’un sa crédibilité.

    Mokrane
    1 octobre 2016 - 20 h 28 min

    Un autre pyromane qui est
    Un autre pyromane qui est aussi responsable que ses maitres du pouvoir dans la situation actuelle du pays

    OMAR
    1 octobre 2016 - 20 h 12 min

    CHANGEMENT RAPIDE??

    CHANGEMENT RAPIDE??

    PREDICTION RAPIDE???

    CHANGEMENT DANS QUELLE DIRECTION???

    OU DE LA DIRECTION????

    PREVISIONS POSSIBLES EN TOUT

    LE SYSTEME PAS DU TOUT!!

    MAIS QUAND LE PEUPLE AURA LA MISERE AU COU!!

    De visu
    1 octobre 2016 - 19 h 09 min

    Ce n’est pas seulement la
    Ce n’est pas seulement la qualité des nutriments qui importe le plus dans un corps vivant, c’est surtout le mouvement. Un bon système immunitaire qui protège d’une façon optimale, dépend d’un bon fonctionnement de l’ensemble des organes du corps, l’élément central qui déclenche le potentiel d’action est le mouvement et au Front social les choses sont plutôt en bon mouvement. Petit clin d’œil au Ffs : bien qu’il est loin d’être en piteux état que ceux qu’en voit accrochés dans certains ministères, notre emblème national accroché à la cour de votre siège demande à être changer : son blanc est légèrement en lamelles.

    moumousse
    1 octobre 2016 - 19 h 01 min

    Encourageant, mais j’ai du
    Encourageant, mais j’ai du mal à y croire…que le pouvoir ce retire c’est clair et ainsi nous construirons l’algérie prospère égalitaire

    Thidhet
    1 octobre 2016 - 18 h 41 min

    Gageons que notre pays
    Gageons que notre pays possède assez d’hommes, de vrais hommes, pour éviter que des gens bizarres comme l’actuelle direction du FLN, des businessmen pourris, des ministres aussi corrompus qu’incompétents et leurs agents de destabilisation (Wahabistes, MAKistes, Erdoganistes, etc.) puissent poursuivre leur sale travail de sape.

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