Le FLN de 1989 à nos jours : une longue histoire d’intrigues et de complots

Tous les SG du FLN ont été dégommés par des coups de force. New Press

La démission forcée – ou destitution maquillée – d’Amar Saïdani du poste de secrétaire général du FLN, marque-t-elle un nouveau départ de ce parti, sans risques de nouveaux spasmes à quelques mois des législatives ? Tout porte à croire, a priori, qu’avec un Djamel Ould-Abbès à sa tête, la hache de guerre sera momentanément enterrée, dès lors que ce dernier s’est engagé solennellement à se réconcilier avec les opposants à la ligne Saïdani. Ce n’est, bien entendu, qu’une profession de foi. Car l’histoire de ce parti nous a appris que tous les hommes qui se sont succédé à sa tête ont été dégommés par des coups de force : symptôme d’une maladie qui est, avant tout, celle d’un système qui peine à se régénérer. C’est le «réformateur» Mouloud Hamrouche, ancien chef de gouvernement, qui a dit un jour que le FLN – son parti qu’il n’a jamais réussi, du reste, à réformer – est comme condamné à demeurer un parti qui pose toujours problème ; à la société, lorsqu’il est au pouvoir, à ce même pouvoir lorsqu’il décide de s’en retirer. Le constat se vérifie à chaque fois qu’un changement de cap est envisagé, à chaque grand tournant de la vie politique nationale.

Depuis la proclamation du multipartisme en 1989, l’ex-parti unique a traversé des périodes cruciales et connu des ruptures douloureuses. D’aucuns prédisaient sa dislocation, mais il a toujours su s’adapter aux nouvelles réalités et pu survivre grâce à ses relais influents dans les rouages de l’Etat et au crédit dont il continuait – et continue toujours ? – à jouir au sein de l’institution militaire, seul pourvoyeur de pouvoir dans les années 1990. L’armée étant pour lui à la fois une sorte de succédané (l’ALN, ancêtre de l’ANP, a été créée par le FLN historique) et son rival historique, ultime recours de ses proscrits quand ils n’en sont pas les pourfendeurs les plus zélés.

Le cas Saïdani se passe de tout commentaire. Ses attaques effrontées contre l’ex-chef du DRS sont illustratives de cette ambivalence, à la limite de la perversité, qui caractérise les rapports du FLN avec l’institution militaire. Lorsqu’en 1995, Abdelhamid Mehri, alors secrétaire général du parti, signe au nom du FLN le contrat de Rome aux côtés du FIS et du FFS, les «hommes de l’ombre» avaient vite réagi et monté un plan pour le destituer. On fit appel, comme à chaque «complot», à Abdelkader Hadjar. Un complot dit «scientifique» (par opposition peut-être aux méthodes brutales et incongrues qui seront employées plus tard contre Ali Benflis), exécuté par un groupe de caciques de l’ancien comité central, finira par restituer au parti son rôle de soutien du pouvoir, à l’époque où ce dernier en avait tellement besoin pour parer au danger islamiste du FIS. 

C’est Boualem Benhamouda, un homme qu’on dit proche de l’institution, mais sans envergure nationale ni ambition politique affichée, qui sera «élu» à la tête du parti dans la perspective des élections législatives et locales de 1997, puis des présidentielles de 1999. Une guéguerre stérile l’opposa un moment au nouveau parti majoritaire, le RND, qu’il accusait d’avoir manipulé les résultats des premières élections à son profit. Pourtant, tout au long de son mandat, Benhamouda se distingua par un loyalisme sans faille à l’égard des nouveaux maîtres. 

Arrive Benflis à la tête du parti, en même temps qu’à la tête du gouvernement. Rien ne présageait de nouvelles fissures au sein du FLN désormais majoritaire à l’APN, tant la symbiose paraissait parfaite entre le discours «réformateur» du nouveau FLN, «rajeuni et modernisé» avec celui des institutions de l’Etat. Or, l’homme cachait bien des ambitions, dont, la plus grave aux yeux de ses détracteurs, celle de défendre une «hypothétique» autonomie du parti par rapport au président de la République. En décidant de ne pas apporter sa caution et celle de son parti à la future candidature de l’actuel chef de l’Etat, lui-même issu du FLN, Ali Benflis sera limogé de son poste de chef de gouvernement, la tentative de noyauter le congrès de 2004 ayant échoué. Il ne restait plus alors qu’à lui déclarer une guerre d’occupation de ses sièges, avec le recours à la force et aux bastonnades.

Les mêmes pratiques sont revenues à partir de 2010, pour déboulonner son successeur Abdelaziz Belkhadem, après avoir échappé, une première fois, à la potence grâce aux résultats obtenus par le FLN aux législatives de mai 2012. Mais la nomination d’un nouveau gouvernement, dans lequel le FLN, pourtant grand vainqueur des élections, se trouvera amoindri et dans lequel Belkhadem lui-même ne figurait plus, a donné l’impression à ses opposants que le secrétaire général n’aurait plus les faveurs du président de la République, ce qui les autorisait de fait à l’abattre au moment voulu. 

R. Mahmoudi

Comment (34)

    les damnes de la terre
    25 octobre 2016 - 20 h 42 min

    Parmi ts ses secrataires
    Parmi ts ses secrataires generaux seuls 3 peuvent se preavaloit d une suite logique compte tenu de leur parcours de militantisme et que leur choix a ete un choix en beton pr des hommes en beton.Ces 3 sg sont Hamrouche,Mehri et Benhamouda.Quant aux autres y compris le dernier en date ,leur intronisation s est faite par un voeu ds le debut et puis par imposition de celui qui nomme et degomme les chefs de gouvernements et plutart les 1 er ministres.D ailleurs si on fait in pt travail de gymnastique,nous arriverons a une seule reponse.Ils nous diront tt simplement que je n ai jamais cru en arriver la cad sg du parti fln.Parceque ils savent pertinemment qu il y a plusieurs flnistes. dont le poste du sg est en leur faveur mais ils ne se sont jamais manifestes parceque tt simplement ils ne sont pas aplavantristes.Quant au sg qui a vraiment su redonner a l activite partisane un sens et a fait du parti Fln un vrai parti au sens propre du terme c bien le feu Abdelhamid Mehri et cette maniere de faire ne repondait pas aux ambitions des oppotunistes a leur tete les concepteurs du coup d etat « scientifique » dont certains sont tjrs aux commandes.

      les damnes de la terre
      25 octobre 2016 - 23 h 57 min

      Rectificatif:Hamrouche n a
      Rectificatif:Hamrouche n a jamais ete secretaire general du parti Fln

    Erracham
    24 octobre 2016 - 22 h 31 min

    Le FLN est un parti qui a su
    Le FLN est un parti qui a su intégrer et fédérer les autres partis politiques pendant la guerre de libération pour réaliser l’objectif ultime et commun de l’indépendance du pays. Il était formé de militants honnêtes, mais s’est laissé infiltré par une faune d’opportunistes qui a réussi à semer la zizanie et voler le peuple et sa volonté. Depuis, nous assistons à des coups fourrés de toute sorte. Le POUVOIR exerce une telle fascination sur eux que tous sont prêts à tout pour l’avoir et le conserver, et ceux qui l’ont font tout pour le conserver en abusant de moyens réprésensibles, quitte à sacrifier et vendre leur âme au pires ennemis du pays (France et Maroc en tête). Moralité: le FLN doit, soit disparaître ou se réorganiser en rajeunissant ses effectifs (les dinausores doivent mourir car les ressources du pays ne suffisent plus pour calmer leur appétit) et en se rapprochant du peuple, seul souverain selon La Constitution. Les loups doivent être chassés de la bergerie pour avoir la paix sociale.

    rachid Hdey
    24 octobre 2016 - 15 h 46 min

    :: La démission forcée – ou
    :: La démission forcée – ou destitution maquillée – d’Amar Saïdani du poste de secrétaire général du FLN, marque-t-elle un nouveau départ de ce parti, sans risques de nouveaux spasmes à quelques mois des législatives ? :: Ma réponse est NON, tant que LA TOTALITÉ de ces membres, ou prèsque tous, car il y existe des vrais patriotes qui ne peuvent rien faire contre cette classe de DESTRUCTEURS de tte notre nation. ou tu vole et tu es avec eux, ou tu es honnete et tu es laissé à côté… il faut que tous partent, et donc, le FLN AU MUSÉE… nouvelle géneration, nouveau chemin et creer une atmosphère positive pour que NOTRE ÉLITE INTELLECTUELLE revienne en Algérie, qui est la vrai cause de notre désintégration.

    UMERI
    24 octobre 2016 - 10 h 39 min

    Le F L N historique a été
    Le F L N historique a été transformé en parti Caméléon, de Marxiste avec Ben Bella, d’Appareil avec Boumedienne, de Khobziste avec Chadli, d’Éradicateur avec Boudiaf d’ Opportuniste avec Zeroual et d’ Affairiste avec Bouteflika et le coup tordu est venu en 1989, avec la soit disant ouverture démocratique, ou le F L N a gardé ses locaux, son patrimoine financier son parc auto, son personnel pour ne laisser que des miettes aux nouveaux partis, ou « groupuscules » a cette date, il aurait du changer d’appellation. Mais les décideurs l’ont maintenu pour de nombreuses raisons, faisant de l’opposition un alibi qui leurs a couté moins cher qu’ une véritable opposition démocratique et véritablement populaire, qui mettrai fin a leurs privilèges.

    AMAR MOKHNACHE
    24 octobre 2016 - 6 h 57 min

    c est l endroi ideal ou se
    c est l endroi ideal ou se dispute la rente sous toutes ses formes ..a defaut de produire des politiques ou des homme le fln produits « les personnalites que nous meritons  » Hiers c etait la derbouka aujourd’hui c est le bendir et ainsi de suite…tant qu il y a de la soupe………….

    Anonymous
    24 octobre 2016 - 2 h 21 min

    Saidani l’ont place pour
    Saidani l’ont place pour mettre le Fln au musée.

    الهوارية..في فرنسا
    24 octobre 2016 - 0 h 19 min

    Dorénavant, Il faut créer d
    Dorénavant, Il faut créer d’autres Partis démocrates non régionaux , non islamistes et anti pro Occident par des jeunes pour les jeunes algériens et algériennes
    Je suis certaines la jeunesse zappera tous ces Partis Politiques de rapaces qui passent leurs temps à fabuler des inepties spécialités de Amar Drabki
    Faites en sorte que le FLN est sous la tutelle des octogénaires, il faut une forte opposition de jeunes trentenaire et quadra pour contrer et empêcher que le FLN reste le Number One du Pays, parce que ce parti ne devrait pas exister, puisqu’il ne sert que les intérêts d’un clan opaque !!!
    Bonne nuit!

    le citoyen
    23 octobre 2016 - 19 h 33 min

    Le FLN , fait partie du
    Le FLN , fait partie du patrimoine national , il est intimement lié à l’histoire de la guerre de libération . Ce patrimoine est celui de tous les algériens . Par conséquent , aucun groupe de personnes ne doit utiliser ce sigle pour une activité partisane . Le FLN appartient à l’histoire de la nation .
    54 ans après l’indépendance, la légitimité historique , ne doit plus être invoqué pour réclamer quoi que ce soit, par qui que ce soit. Basta, la seule légitimité aujourd’hui doit être celle du mérite un point c’est tout.
    54 ans après l’indépendance parler de  » La famille révolutionnaire  » devient indécent . Les martyrs sont morts avant 1962 et pour ce qui est des moudjahidines, même celui qui avait 20 ans en 1954 , il a 82 ans aujourd’hui . Combien avaient -ils 20 ans en 1954 ? A moins qu’ils soient partis au maquis en couches culottes, normalement ils ne sont plus que quelques milliers , la sélection naturelle étant passé par là.
    Estimés à 70000 moudjahids en 1958 , ils ne sont plus que 35000 à l’indépendance, après les opérations meurtrières du plan challe de 1959 à 1961 . En 2010 le secrétaire national de L’ONM, parle de 100000 moudjahids , un scandale .
    Mr Mellak, à été embastillé pour avoir dénoncé ce scandale . Rendez – vous compte , 100000 moudjahids en 2010 , donc ils étaient 700000 en 58 , pratiquement les effectifs de l’armée de chine populaire …
    54 ans après l’indépendance, je dis Basta, cela suffit comme ça. Le FLN au musée de l’histoire; Les moudjahidines, les rares , les authentiques survivants , sont largement à l’âge où on se prépare à rencontrer son  » seigneur  » . Que les générations de l’indépendance leur soient reconnaissantes pour l’éternité. Qu’ils bénéficient de la protection de la république n’a rien de choquant , bien au contraire. Pour le reste , les organisations d’enfants de moudjahidines , ils sont une insulte aux idéaux de la révolution , ils devraient avoir honte de faire commerce du sacrifice de leurs parents , sacrifice auquel ils n’ont aucun mérite . Qu’ils retroussent leurs manches et qu’ils se mettent au travail pour gagner leur pain , comme tous les autres algériens . Le devoir des parents , ne confère aucun droit aux enfants .
    Seul le mérite doit distinguer un algérien d’un autre .
    Les ayant droits cela suffit , les usurpateurs des sigles de la révolution cela suffit, les faux moudjahids cela suffit , la famille révolutionnaire cela suffit . Basta, 54 ans après fiha baraka.

      kazmer
      23 octobre 2016 - 22 h 22 min

      Il y en a même ceux nés en
      Il y en a même ceux nés en 1946, faites le calcul

      UMERI
      25 octobre 2016 - 21 h 42 min

      En 1962, les effectifs des
      En 1962, les effectifs des Moudjahidines et des fidaynes étaient de 40.000, en 2016, ils sont a 1million 200.000, qui touchent de belles pensions,. Les réfugiés civils, en Tunisie et au Maroc ont été inscrit comme moudjahidines, ceux qui ont été enrôlé en 1962 dans l’ armée des frontières également.

    Chlouche
    23 octobre 2016 - 19 h 22 min

    Le prochain de la liste c’est
    Le prochain de la liste c’est….. TLIBA ! i radouh yatlob !!! Il va bientôt tendre la gaule sur la Place de la Révolution !!! Sadaqa li djah rabi…..

    La Cigale
    23 octobre 2016 - 16 h 10 min

    Le FLN doit disparaître il ne
    Le FLN doit disparaître il ne doit exister que dans les livres scolaires d’histoire .
    Les Moudhahidines les chouhadas sont quasiment tous auprès de leurs créateur Allah Soubhanou .
    Dorénavant il y a l’ANP et les nouvelles générations d’enfants algériens pour ressembler aux 1.5 millions Chouadas .
    Nous ne voulons pas ressembler à ces opportunistes du FLN surgit de nulle part et n’ont pour la plupart jamais êté dans le maquis.
    Juste là pour leurs intérêts que leurs procure titre de membres du FLN.
    Arrêter avec cette mascarade elle n’a plus lieu d’exister.

    Amir
    23 octobre 2016 - 15 h 22 min

    K.Merbah a compris ca bien
    K.Merbah a compris ca bien avant tout le monde et a démissionné du FLN en 1990 pour créer son propre parti. Paix à son âme.

      Anti-chitta
      23 octobre 2016 - 16 h 23 min

      Irremplacable ! Paix à son
      Irremplacable ! Paix à son âme.

      UMERI
      26 octobre 2016 - 10 h 58 min

      Lorsqu’il a crée son propre
      Lorsqu’il a crée son propre parti Le M A J D, il avait dit » c’est pour marquer ma différence » et on ne lui a pas pardonné son action, puis il a été trahit par les siens. Ministre de l’agriculture, il avait fait planter 1 million de palmiers dattiers. Ceux qui s’accrochent au symbole de la révolution, c’est par ce qu’ils sont incapables de créer leur propre parti. On ne tue pas la vache qui donne beaucoup de lait et du beurre.

    Anonymous
    23 octobre 2016 - 14 h 39 min

    Le FLN N’EST DEVENU RIEN DE
    Le FLN N’EST DEVENU RIEN DE PLUS QU’UNE BOITE DE PANDORE
    l’on sait qu’en 1999 , une grande majorité qui n’ont vu la guerre ni de pres ni de loin ont eu la carte de moudjahid et sont devenus riches du jour au lendemain, d’autres sucent la mamelle depuis 62
    Si les chouhadas savaient!
    iL EST TEMPS DE METTRE FIN A CE CIRQUE QUI N’ A QUE TROP duré

    pegasse
    23 octobre 2016 - 13 h 44 min

    La grande fosse septique est
    La grande fosse septique est beante , elle deborde même!,ouled abbés a la tête de l’hydre f l n, plebisclte des zaouias pour un cinquieme mandat et…..aujourd’hui Benyounes en fait de même, turlututu chapeau pointu!, devinez la suite, il n’y’a plus de pays, maintenant je comprend pourquoi certaine region veulent la partition du pays, parceque tous simplement il a éte gobé par le FLN, et croyez moi que je ne veux pas de division mais alors ou et la solution?!, ils savent pertinemment qu’on les veux plus et ce que la majorité du peuple pense d’eux et n’en n’ont cure, ils nous poussent a exploser dans tous les sens, ils veulent l’affrontement physique,c’est la theorie du chaos,car eux ont deja assis leurs projets au cas ou,y’a li mahabitounech nkahsou ,nkasrou avant de quitter.

    lhadi
    23 octobre 2016 - 11 h 30 min

    On se perd dans la digression
    On se perd dans la digression. Le FLN était un mouvement de libération nationale. A l’indépendance, il est devenu un parti politique ayant toute sa place dans le paysage politique algérien.

    Il importe, donc, de ne pas se tromper de cible, en l’occurence les responsables de la situation politique, économique, culturelle et morale désastreuse du pays.


    Les patriotes, ceux qui privilégient l’intérêt de la nation avant leurs intérêts propres, doivent monter à l’assaut de ces responsables qui gèrent le pays en mettant un peu de baume sur les plaies et des pansements sur une jambe de bois. Tous ceux qui aiment le pays doivent devenir la fureur et l’écume pour mettre un terme à l’égalitarisme dogmatique qui nivelle les talents et ignore le mérite, à ceux qui bafouent la justice, tarissent l’effort – source de prospérité – et justifient un Etat despotique.


    L’Algérie a besoin d’une vision politique qui ne peut naître que par l’intégration d’un triple héritage ;

    1- Celui du libéralisme politique – protection de la liberté individuelle, tolérance, distinction entre société civile et l’Etat, place du marché, etc.

    2- Celui du républicanisme – recherche « du bien commun », rôle clé du civisme, complémentarité entre liberté et égalité.

    3- et enfin, indissociable du mouvement ouvrier, celui du socialisme – exigence de dépasser ou du moins de régler collectivement le capitalisme selon un idéal de justice.

    Cette voie renouant avec la tradition socialiste et républicaine, vise à rendre effectives la citoyenneté et la solidarité, dans une relation critique aux principes du libéralisme économique.


    Les architectes de cette voie qui épouse notre siècle sont contre le libéralisme bourgeois et le totalitarisme marxiste : sources de dérives autoritaires.


    Cette vision politique et la mise en œuvre d’un programme novateur, qui offre la perspective claire et cohérente d’un changement profond, correspondant aux intérêts et aux aspirations des travailleurs manuels et intellectuels, de la ville et de la campagne, des démocrates, de l’ensemble du peuple algérien, engageront l’Algérie dans la voie d’une transformation sociale profonde permettant l’essor national et feront du bonheur une idée neuve en Algérie.

    C’est dans cet esprit que nous devons affranchir l’Algérie adamantine de la tutelle des tailleurs de pierres qui squattent cette écurie d’ambitions devenue une école d’escroquerie apprenant à ses élèves comment faire passer le faux pour du vrai.

    Fraternellement lhadi
    ([email protected]

    Bison
    23 octobre 2016 - 11 h 11 min

    e FLN de 54 a libéré le pays
    e FLN de 54 a libéré le pays du joug de siecles de colonialialismes successifs et le fln de 2016 peine à se libérer lui même du joug de 60 ans (seulement) d’opportunisme et d’ opportunistes! OOù est l’erreur!?

      Bonois23
      23 octobre 2016 - 17 h 33 min

      Un seul héros : LE PEUPLE!!
      Un seul héros : LE PEUPLE!! Ni FLN ni Sidi Zekri

    Rascasse
    23 octobre 2016 - 11 h 04 min

    Le fln est une secte de
    Le fln est une secte de truands au col blanc.

    ...
    23 octobre 2016 - 10 h 58 min

    la mouette ou le grand
    la mouette ou le grand corbeau ?

    Anonymous
    23 octobre 2016 - 10 h 30 min

    Il faut réagir vite avant que
    Il faut réagir vite avant que le paquebot prenne de l’eau.

    TheBraiN
    23 octobre 2016 - 8 h 59 min

    Le FLN c’est l’Algérie !
    Le FLN c’est l’Algérie !

      Anonymous
      23 octobre 2016 - 10 h 15 min

      Vous dites çà sérieusement ??
      Vous dites çà sérieusement ????

        TheBraiN
        23 octobre 2016 - 13 h 07 min

        Absolument mais chacun est
        Absolument mais chacun est libre d’interpréter comme il veut !

    Anonymous
    23 octobre 2016 - 8 h 52 min

    Le FLN de 1989 à nos jours :
    Le FLN de 1989 à nos jours : une longue histoire d’intrigues et de complots………..COMME DANS LE CLAN DES MAFFIOSOS SICILIENS, l’honneur en moins.

    SLIMANE
    23 octobre 2016 - 8 h 38 min

    Le FLN intrigue et complote
    Le FLN intrigue et complote depuis les années 60 avant l’indépendance avec les planqués Tlémcéniens du club très fermé d’Oujda où notre « président » a pu obtenir un portefeuille en 62 qui lui a permis de détourner 6 millions de France et de préparer son avenir sans avoir entendu un coup de fusil.
    Les mafieux du FLN ont pris bien soin d’ailleurs d’instaurer un parti unique c’est à dire une dictature d’Etat . Quelle honte !

    Mohamed El Maadi
    23 octobre 2016 - 8 h 11 min

    Je me souvient dans ma
    Je me souvient dans ma jeunesse le sigle FLN c’etait fort d’emotion et de fierté. Tellemment fort que je l’ai tagué un peu partout quand je militais a l’amical des algeriens en Europe pendant mon adolescence.

    Ce que je souhaite ? Changer le nom du parti car vous n’etes plus dans la ligne ideologique de la charte du 1 novembre.

    Vous avez bousillé l’Algérie certe mais de grace cessez de vos comparer avec des hommes qui fut le coeur battant de l’Algérie courageuse et noble.

    Hassi ben bouali allah yarhama est morte a la fleur de l’age .Vous n’avez pas le droit de salir nos heros tout mais pas cela.

    Entre nous je vous demande une chose et une seul défendez leur memoire .Je vous laisse le pays et l’argent qui va avec mais nos martyrs n’y toucher plus et si vous voulez les invoquer laver vous la bouche .
    Je vous le dit en toute sincerite je suis violent quand on n’evoque en mal ceux de mes compatriotes qui m’ ont permis de jouir de la liberte que j’ai aujourd’hui.

    ANONYME
    23 octobre 2016 - 7 h 59 min

    Ce qui nous inquiète surtout
    Ce qui nous inquiète surtout la situation financière du pays……un scénario à la VENEZUELA.

      Algérienne
      23 octobre 2016 - 14 h 10 min

      Le FLN a tout bouffé

      Le FLN a tout bouffé

    Gaouar
    23 octobre 2016 - 7 h 23 min

    Le FLN doit quitter le champ
    Le FLN doit quitter le champ politique pour rejoindre le champ historique.
    Ce parti, s’il devait continuer dans le champ politique, salirait définitivement le nom et l’objectif historique premier des fondateurs du FLN. Le FLN doit désormais devenir une fondation nationale, un lieu de mémoire.
    La page doit être tournée.
    Le mieux pour les militants est de dégager leurs différents courants et les rendre perceptibles. Ensuite qu’ils créent des micro-partis au sein d’une fenestration politique nouvelle ou qu’ils se séparent.
    Saadani a durablement sali le FLN et, avec lui, tous ceux qui ont usé et abusé de ce que pouvait leur offrir ce parti en terme de base arrière et de prébendes.
    Il est temps de dépouiller le FLN de ces taches et de porter au domaine qui est le sien : l’histoire du combat anti-colonial et des premières années de l’indépendance. Il faut avancer et libérer les militants des chefs de peu de qualité qu’ils ont du se farcir pendant des années.
    L’intérêt de ne plus être un parti est aussi autre, cela obligera les candidats assurés jusqu’ici d’être élus de devoir mouiller leur chemise s’ils veulent être réélus.
    Le FLN doit cesser d’exister en tant que parti politique.
    Il ne doit plus servir de machine électoral aux affairistes.
    C’est la seule façon de mettre un terme aux gugusses du genre de Saadani, Tliba et consorts.
    Sans machine électoral, ils sont morts. Le pouvoir est entre les mains des militants du FLN,
    Ils doivent faire en sorte de ne plus être les serfs de ces voyous qui ont pille les richesses nationales. L’Algérie est un pays ultra-riche, sa population est en grande partie appauvrie. Cette indécence doit cesser. Les algériens ont besoin de travail, d’écoles, d’hôpitaux, de sport, de loisirs, de fonder leurs couples et leurs familles. On doit en finir avec les personnes de la facture de Saadani. Cet individu mérite un procès mémorable. Il faut maintenant lui demander des comptes le plus vite possible. Rien ne justifie l’acquisition de ses richesses. C’est du pillage.

      Anonymous
      23 octobre 2016 - 10 h 53 min

      dissoudre le FLN c est
      dissoudre le FLN c est supprimer la corruption les escots trafiquants les passes droit le parachutage les intouchables le piston les abus de pouvoirs les chouchous ( juges corrompus) et ce n est ce q ils veulent ça ne les intéressent pas ce n est pas dans leurs intérêts il vont être obliger de travailler et moins renumérotés obliger de dire tout le temps la vérité,, la vérité engendre la dénonciation et des règlement de comptes ,,alors c est la cata

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