Etat-nation algérien et islamisme

Par Khider Mesloub – J’ai longtemps hésité avant de me résoudre à rédiger cette contribution pour Algeriepatriotique afin de la porter à la connaissance des lecteurs. Je vous livre sur ce site, par souci de synthèse, juste une version abrégée de mon analyse. La thèse avancée, radicalement novatrice, se propose d’analyser le phénomène islamique en Algérie en particulier, et au Maghreb en général, sous un angle historique jamais abordé. Dans cette perspective, la question sera appréhendée avec objectivité et rigueur. C’est-à-dire sous un angle purement historique et sociologique, sans implication religieuse personnelle. L’objectif de l’étude vise à comprendre et à expliquer le développement de l’islam radical en Algérie, et non à se livrer à une critique de la religion musulmane dans ses multiples facettes. En outre, ma démarche est totalement profane, dépourvue de toute dimension théologique. Enfin, pour dissiper toute accusation d’accointances avec quelque entité politique supposée ennemie de l’Algérie, je déclare être un simple citoyen algérien indépendant, un prolétaire affilié à aucune organisation, inféodé à aucun parti politique.

Procédons dans un premier temps à quelques rappels historiques. D’abord, avant toute analyse, il n’est pas inutile de définir la structure économique en vigueur en Algérie (Maghreb) durant la période étudiée. Car les sociétés n’évoluent pas seulement dans le ciel des idées, mais surtout sur des bases concrètes de rapports sociaux de production, qui déterminent historiquement ces idées. Pour simplifier, le mode de production dominant durant toute cette époque était fondé sur une économie de subsistance. Donc, ni esclavagiste, ni féodale, ni capitaliste, selon la terminologie marxiste des trois niveaux successifs de production en cours sur les autres continents. Donc, une société fortement archaïque. Cette clarification apportée, passons à notre sujet. L’Algérie, comme tout le Maghreb, avant d’embrasser de gré ou de force la religion musulmane, fut durant plusieurs millénaires chrétienne, juive, païenne, du moins diversement selon certaines tribus berbères. Au cours de leur longue histoire, ces populations, que l’on désignera par commodité sous le vocable générique de Maghrébins, ont forgé une morale, des principes, des vertus partagées par l’ensemble de ces tribus nord-africaines.

Evoluant dans des sociétés statiques dans lesquelles le culte des ancêtres était érigé en dogme, ces populations berbères professaient un attachement atavique à leurs traditions et coutumes. Elles ne toléraient aucune remise en cause de leurs mœurs. Elles étaient très réfractaires aux innovations. Ce substrat de valeurs universelles, porté par ces sociétés à la solidarité villageoise chevillée à leur corps social, a perduré jusqu’au XXe siècle, époque des premières fissurations infligées par le colonialisme, puis parachevées par le mode de production capitaliste dominant. Ce socle de valeurs millénaires se résume, outre cette solidarité villageoise évoquée plus haut, en multiples codes moraux respectés comme des divinités. On ne peut pas les décrire de manière exhaustive. Contentons-nous d’en énumérer quelques-uns parmi les plus sacrés à leurs yeux. Les valeurs morales, le code de l’honneur, le respect de la parole donnée, l’aide naturelle due à la progéniture comme aux géniteurs, le respect filial, l’esprit d’hospitalité accordée aux familiers comme à l’étranger en villégiature, etc. Cependant, aujourd’hui, de manière erronée, toutes ces traditions et coutumes millénaires en vigueur au Maghreb ont été assimilées à la religion musulmane. Toutes ces précieuses et humaines traditions, portées avec une vigueur inégalée par nos aïeux jusqu’après l’indépendance de l’Algérie, se sont malheureusement volatilisées, pulvérisées par le mode de production capitaliste. Noyées dans les eaux glacées des intérêts égoïstes des individus, ces coutumes survivent pourtant encore en surface dans quelques cœurs purs que le goût du lucre n’a pas encore corrompus et emportés. Après ce rapide rappel historique sur les traditions et coutumes partagées des siècles durant par ces populations berbères et arabes en Algérie et au-delà de ses frontières, revenons à la religion musulmane.

Tout le monde s’accorde sur les dates des premières conquêtes et implantations islamiques au Maghreb. Ce n’est pas le lieu ici de rappeler qu’au cours des premières invasions, les conquérants arabes se heurtèrent à la résistance héroïque des populations berbères. Contrairement à l’idée répandue, après leur soumission, «l’islamisation» de ces populations prit des décennies, voire des siècles dans certaines régions pour s’accomplir. En outre, par islamisation, il ne faut pas entendre l’accession immédiate de ces nombreuses tribus berbères à la connaissance et la maîtrise du corpus coranique dans toutes ses dimensions théologiques. Majoritairement analphabètes, donc incapables de lire le Coran, elles se contentaient durant des siècles à pratiquer un islam syncrétique, truffé de superstitions, de rites païens encore vivaces. Seule une minorité de lettrés, souvent issue des classes opulentes, et par ailleurs organisée en confréries pour mieux contrôler et soumettre leurs ouailles, pouvait prétendre maîtriser à la lettre le Coran. La majorité des autres musulmans n’avaient accès qu’à l’esprit du Coran diffusé verbalement par les imams. Ainsi, dépourvue de connaissances scripturales du corpus coranique et des dogmes théologiques, la majorité de ces populations s’adonnait à une pratique de la religion musulmane sur un registre globalement traditionnel. Sur un mode de transmission purement orale, réduite à sa plus simple expression dans l’accomplissement des rites et l’observance du culte musulman. La pratique de l’islam de ses populations analphabètes se résumait en l’observance du jeûne, de la prière, mais avec une connaissance rudimentaire des sourates.

Toutes ces dévotions musulmanes étaient souvent assaisonnées de superstitions et de cultes païens, dans certaines tribus. Ce syncrétisme était très répandu. On peut relever à ce stade de l’étude que la pratique de l’islam, parmi la majorité de ces populations paysannes analphabètes, se fondait sur une dimension traditionnelle transmise oralement de génération en génération durant des siècles. Elle ne reposait pas sur un enseignement magistral dispensé dans les écoles, souvent inexistantes. Quand bien même certaines villes disposaient de quelques écoles coraniques, elles étaient inaccessibles à la majorité des populations paysannes pauvres et analphabètes, occupées aux labeurs quotidiens pour subvenir à leurs besoins vitaux. Seuls certains enfants citadins issus de familles fortunées pouvaient s’inscrire dans ces écoles et acquérir ainsi la maîtrise de la langue arabe, et par voie de conséquence lire le Coran.

En résumé, pendant des siècles les populations algériennes (et maghrébines) partageaient les mêmes traditions et coutumes millénaires. Sur ces traditions est venue se greffer la nouvelle religion musulmane qui n’a que partiellement imprégné la majorité paysanne analphabète des régions du Maghreb, et encore moins modifié leur mode de vie et de pensée. Leur pratique religieuse était très sommaire, dépourvue de toute connaissance scripturale du Coran. Leur existence continuait à être régie, sans modification notable jusqu’au XXe siècle par ces traditions et ces coutumes. Ces nobles et précieuses traditions qu’il ne faut pas confondre avec la religion musulmane. En effet, il ne faut pas assimiler les rites musulmans qui se résumaient en l’observance de certains principes fondamentaux comme la prière et le jeûne, souvent accomplis mécaniquement, et les traditions et coutumes qui régentaient concrètement l’ensemble de la vie de la communauté, avec un attachement atavique aux principes moraux issus de ces traditions. Dès lors qu’on parvient à distinguer les deux registres, la religion musulmane telle qu’elle s’est répandue en Algérie, et les traditions profondément ancrées telles qu’elles régissaient réellement les populations algériennes (et au-delà de ses frontières), on saisira mieux la métamorphose historique de l’islam dans l’Algérie indépendante. En effet, sans cette coupure (quasi épistémologique) des deux niveaux d’appréhension (traditions et islam) de l’histoire de l’Algérie (du Maghreb), tels que je les ai résumés plus haut, la compréhension de l’apparition du radicalisme islamique demeurera toujours réductrice, pour ne pas dire erronée.

Quelques éclaircissements sur le concept d’islamisme

Parvenu à ce point d’analyse, annonçons que nous quittons les rappels historiques pour aborder la question de l’islam radical apparu au lendemain de l’indépendance de l’Algérie. Il n’est pas inutile de noter d’emblée la coïncidence entre la naissance de l’Etat-nation algérien et le surgissement de l’islamisme. En effet, on ne peut pas comprendre et expliquer l’apparition de l’islamisme sans le situer dans le prolongement de la fondation de l’Etat algérien. Sans édification de l’Etat algérien, pas d’enfantement de l’islam radical. Sans structures étatiques éducatives et médiatiques construites au lendemain de l’indépendance, l’islamisme n’aurait jamais vu le jour. Il serait demeuré dans la nuit de ses ténébreuses et sages pratiques locales. A ce stade de notre étude, il serait temps d’apporter quelques éclaircissements sur le concept d’islamisme. De nos jours, il est fréquent de le définir comme la forme radicale, extrémiste de l’islam. L’islam étant défini ici, a contrario, comme la pratique saine, associé au culte exercé par nos parents, nos aïeux dans un esprit de tolérance.

Effectivement, la pratique religieuse des anciens était radicalement différente de celle de la génération contemporaine post-indépendance. Mais comme je l’explique plus haut, il ne faut pas confondre l’exercice religieux avec sa pratique mécanique et mimétique, et l’existence traditionnelle avec ses fondements moraux. En un mot, il ne faut pas confondre le cultuel et le culturel, sous peine de perdre de vue la particularité de chacun des deux registres. A amalgamer les deux niveaux, on ne peut saisir la singularité radicale contemporaine de l’islam actuellement enseigné, professé, diffusé, appliqué en Algérie. On entend souvent dire que l’islam actuel n’est absolument pas semblable à celui de nos parents, grands-parents. Ce qui est fondamentalement vrai. D’où cette propension aujourd’hui à magnifier cette période révolue pour sa supposée pratique religieuse tolérante. Et à glorifier surtout cette période pourtant toute récente, car située à la charnière de l’avant et de l’après-indépendance, pour ses nobles valeurs encore amplement et profondément partagées par tous les Algériens. Et enfin à regretter nostalgiquement, en raison de la perdition actuelle de ces nobles valeurs, cette époque bénie. A ce niveau de description, nous devons énoncer notre thèse.

Sur les fondements historiques brièvement résumés ci-dessus, on peut avancer que la vie des Algériens durant des siècles se fondait globalement sur les traditions doublées partiellement et pauvrement par une pratique rudimentaire de la région musulmane. Le socle anthropologique de leur existence reposait sur la transmission orale de ces traditions et coutumes millénaires. La religion, souvent appliquée de manière syncrétique, ne jouait qu’un rôle secondaire. C’est la fondation de l’Etat-nation algérien, grâce ou à cause au réseau éducatif et médiatique, qui a impulsé le mouvement inverse. L’islam, jusque-là superficiellement appliqué en raison de l’analphabétisme de la majorité des populations disséminées sur le territoire algérien, s’est retrouvé au lendemain de l’indépendance propulsé à un niveau de diffusion massivement élargie, grâce à la propagation de l’enseignement généralisé. La transmission écrite ayant supplanté la transmission orale dans l’éducation des nouvelles générations, l’école s’est ainsi substituée aux parents dans la formation des enfants. L’accès à l’écrit de cette nouvelle génération post-indépendance lui a permis, corrélativement, de maîtriser la langue arabe, et par voie d’extension la maîtrise littérale du coran. L’effacement des parents de leur rôle éducatif au profit de l’école a entraîné la dissolution progressive des valeurs morales millénaires.

L’effritement de ces traditions a déstabilisé totalement la société algérienne. Et corrélativement, l’érection de l’islam au rang de religion d’Etat dont l’enseignement est intégralement assumé par l’éducation nationale a permis l’édification d’une génération radicalement (radical : qui va à la racine) islamisée selon le corpus coranique et théologique authentiquement appliqué dans les pays musulmans, et notamment dans son berceau, à savoir l’Arabie Saoudite. Somme toute, l’accession de ces millions de jeunes à l’écrit, c’est-à-dire à la maîtrise de l’arabe, a favorisé, soutenu et entretenu par le pouvoir en place depuis l’indépendance, l’apprentissage approfondi du Coran. La connaissance littérale du corpus coranique et autres textes théologiques a profondément modifié la mentalité de ces nouvelles générations. Contrairement à leurs aïeux analphabètes dont la connaissance rudimentaire du Coran leur permettait d’accéder seulement à l’esprit du texte sacré, ces nouvelles générations s’imprègnent directement aux sources des textes islamiques grâce à leur maîtrise de la langue arabe. De là s’expliquent les raisons de la transformation des mentalités ces dernières décennies. On a affaire à des mutants. Pour corroborer ma thèse selon laquelle nos aïeux ne furent pas vraiment depuis l’avènement de l’islam en Algérie (Maghreb) imprégnés par les fondements coraniques, il nous suffit de les comparer aux générations post-indépendance. On peut affirmer que nos ancêtres furent des Algériens de confession imparfaitement musulmane.

En revanche, les générations contemporaines sont radicalement musulmanes de nationalité algérienne. La différence est fondamentale. Dans le cas de nos aïeux, le substrat de leur vécu était culturel et non cultuel. Pour mieux mesurer la validité de cette thèse et se figurer l’image de cette réalité, il nous suffit de nous remémorer (ou d’observer pour ceux et celles qui sont vivants) comment étaient nos parents, nos grands-parents, il y a à peine 30 ans en arrière. La majorité des femmes étaient analphabètes, et une grande partie des hommes l’étaient aussi. Tout le monde s’accorde pour reconnaître qu’ils étaient radicalement différents des générations contemporaines. Et sur tous les plans. Et en particulier au niveau religieux. De ce qui précède, on peut inférer qu’ils étaient culturellement algériens. Mais nullement musulmans au sens contemporain du terme. Et, a contrario, depuis l’indépendance, ils sont majoritairement littéralement musulmans, et quasiment plus culturellement algériens. Cette approche dialectique permet de saisir, dans le mouvement des métamorphoses opérées ces dernières décennies en Algérie, le processus d’érosion culturelle et concomitamment le processus d’éclosion cultuelle. La distinction des deux niveaux nous a permis de mieux discerner les soubassements historiques en œuvre au cours des siècles écoulés.

En d’autres termes, nous avons relevé l’imprégnation et la domination du substrat culturel dans cette société algérienne. Le versant cultuel s’étant, lui, certes essaimé sur une large aire algérienne, mais avec une pénétration et une imprégnation demeurée longtemps rudimentaire et imparfaite. Pour preuve, après ce passage en force sous les fourches caudines de l’islam authentique puisé à ses véritables sources orientales saoudiennes, passage imposé par le pouvoir au lendemain de l’indépendance, phénomène amplifié par l’arabisation outrancière impulsée au cours des années 70, la majorité des Algériens,
sous l’effet de l’actuelle sanglante et meurtrière radicalisation de l’islam, prône aujourd’hui le retour à un «islam algérien». Pour conclure cette synthétique étude, nous pouvons affirmer que de même qu’un individu ne se définit pas par ce qu’il pense de lui-même, mais de ce qu’il est réellement. Semblablement, un pays (une société) ne se définit pas à partir de ses superstructures officielles proclamées et institutionnellement enseignées, mais sur le fondement de ses véritables rapports sociaux dominants souvent voilés par ces mêmes superstructures. Ainsi, de quelque manière qu’on le désigne, islam ou islamisme, dichotomie opérée pour dédouaner le premier terme, il est évident que la société algérienne s’est littéralement et radicalement islamisée seulement depuis son indépendance. L’Algérie applique l’authentique islam.

Pour illustrer notre thèse, intéressons-nous à l’exemple de l’ex-URSS, disparue sans coup férir pour laisser place de nouveau à la Russie capitaliste libérale. Après une parenthèse d’un régime désigné sous le nom mensonger de communiste, en réalité il s’agissait d’un système fondé sur le capitalisme d’Etat, ce régime stalinien s’est effondré. Longtemps donc, cet Etat soviétique se proclamait communiste, inscrivant même sa profession de foi dans sa constitution. Le monde entier s’accordait, excepté une minorité d’authentiques marxistes, pour reconnaître la nature communiste de l’URSS (et de ses autres pays satellites de l’Europe de l’Est). Ces pays étaient aussi réputés pour leur proclamation officielle d’athéisme, et corrélativement pour leurs politiques antireligieuses. Pourtant, après plus de soixante-dix ans de pouvoir communiste stalinien, au lendemain de l’effondrement de ces régimes, on a découvert des populations totalement anti-communistes et profondément religieuses. Donc, un historien objectif ne dira jamais que ces populations russes furent communistes, en dépit de la désignation officielle communiste de leur pays. Pareillement, on ne peut historiquement affirmer que l’Algérie fut au cours de ces derniers siècles musulmane.

K. M.
Educateur spécialisé

Comment (44)

    Baraa
    30 octobre 2016 - 18 h 16 min

    commentaire supplémentaire
    commentaire supplémentaire distinct de mon précédent : l’URSS ne s’est jamais désigné officiellement, ce qui apparait dans son nom même, comme « communiste » mais comme « socialiste ». Le communisme était un but à atteindre ultérieurement et seuls étaient censés être communistes, la minorité de la population appartenant au Parti communiste, dont la majorité a proclamé d’ailleurs son libéralisme dans les années 1985-91. Mais il n’en reste pas moins que les idées marxistes ont profondément marqué la société soviétique et post-soviétique comme les idées musulmanes ont profondément pénétré les sociétés arabes et musulmanes. Même si les conflits de classe ont pu diviser les musulmans en progressistes et réactionnaires de la même façon qu’ils ont divisé les membres du parti communiste en néo-libéraux et marxistes.

    How?
    29 octobre 2016 - 11 h 45 min

    Très bonne et juste analyse
    Très bonne et juste analyse Mr Mesloub, mais malheureusement inaccessible à la majorité des Lecteurs de ce site, vous n’avez qu’a lire les commentaires.

    L’advenue de l’État-nation algérien, à crée des pseudo sachant et favorisé du coup la destruction de la sagesse multimillénaire des peuples Nord-Africains.

    Cordialement

    Elguerroumi
    28 octobre 2016 - 16 h 17 min

    Je rajoute que l’éducation
    Je rajoute que l’éducation était en langue Arabe.

    Elguerroumi
    28 octobre 2016 - 16 h 10 min

    Bonsoir, j’apporte une pierre
    Bonsoir, j’apporte une pierre à l’édifice !
    Si vous voulez avoir un aperçu ce qu’était l’Algérie avant 1830 je vous invite à regarder une vidéo de Bruno Étienne il vous éclairera .
    Quand l’alphabétisation des Algériens avant 1830 d’après les témoignages des généraux français ,les Algériens savaient lire et compter à 90% alors qu en France elle était d’environ 10% des témoignages rapportait que dans chaque dechra et douar il y avait une Medrassa ….. inutile de vous rappeler les siècles de lumiere ne serait ce que ce qu à apporter Bejaia à l’Europe (les mathématiques et autres savoir) au 11siecles les héritiers des royaumes européens venaient se cultiver à Bejaia et bien d’autres choses . voilà l’Algérie aussi à une histoire riche dont on peut être fière.

      Bekaddour Mohammed
      29 octobre 2016 - 20 h 20 min

      j’ai connu le défunt Bruno
      j’ai connu le défunt Bruno Etienne, et bien, un homme exceptionnel dont un imbécile universitaire algérien a voulu m’éloigner sous prétexte qu’il était… Juif ! Bref, le côté IMBECILE de l’humanité ! Pourquoi fut-il si fasciné par la personnalité de l’émir Abdelkader !!! L’Algérie avant 1830, malgré la barbarie fiscale des Turcs était plus belle que la France, France qui avait la supériorité au plan technologie militaire… Nous aurons Le Dernier Mot, ainsi Le Dessein divin, malgré les tares actuelles dominantes, pires que la fiscalités des barbares turcs remplacés par les barbares français européens !

      OMAR
      30 octobre 2016 - 8 h 20 min

      LE PEUPLE A TOUJOURS PRATIQUE
      LE PEUPLE A TOUJOURS PRATIQUE SON ISLAM CALMEMENT ET SOLIDAIREMENT BIEN AVANT 1830

      APRES L INDEPENDANCE CE SONT LES GOUVERNEURS QUI JOUAIENT A L EQUILIBRISTE

      A SAVOIR MONTER UNE TENDANCE RELIGIEUSE POUR CONTRER DES REVENDICATIONS SOCIALES

      ET SURTOUT POLITIQUES/EXEMPLE:UN COURANT RELIGIEUX CONTRE LES COMMUNISTES

      ILS IGNORAIENT QU ILS DONNERAIENT UNE DIMENSION POLITIQUE A CES COURANTS RELIGIEUX

      QUI ONT SU PRENDRE PLACE AU SEIN DU PEUPLE EN EXPLOITANT CES COULOIRS ET EN SEMANT DES AMALGAMES

      QUI ONT NUI A NOTRE RELIGION DOMINANTE..

      POUR MOI L ISLAM/CORAN ET SUNNA SANS CONTRAINTES

      IL EST BIEN SIGNALE DANS LE CORAN/PAS DE CONTRAINTES CHACUN SA RELIGION…

      PUIS LES CONFUSIONS SE SONT ACCUMULEES JUSQU ‘AU PIETINEMENT VOULU/ DU TEMPS DE BELKHADEM ETC

      A SAVOIR RESPECT DE CONSTANTES PAR TOUS/PAS DE PARTIS A CARACTER RELIGIEUX/HISTORIQUE ETC

      CES ILLUMINES ONT PIETINE LA LOI SUR LES ACP/ASSSOCIATIONS A CARACTERE POLITIQUE

      POUR CONTINUER A DOMINER POLITIQUEMENT…

      APRES LES ABERRATIONS DES POLITIQUES C EST L ARMEE QUI ETAIT OBLIGEE D INTERVENIR

      SUITE AUX DECLARATIONS /DEMOCRATIQUES/ DE BELHADJ ET CIE QUI PROMETTAIENT ……..DES JOURS

      D ENFER ET DE PAGAILLLES……

      LA LIBERTE DE CULTE EN PAIX SANS INCURSIONS POLITIQUES MALSAINES EST LE GARANT DU REEL DEVELOPPEMENT ECO/TECHNIQUE/SCIENTIFIQUE ETC….

      CES AMALGAMES ET CONFUSIONS F ONT LE BONHEUR DE CEUX QUI VEULENT VOIR LES NATIONS

      SURTOUT MAGHREBINES ET ARABES DU MOYEN ORIENT DANS LE CHAOS….ILS Y SONT ARRIVES

      EN SACHANT MANIPULER LES COURANTS DITS DE L ISLAM /QUI N ONT ETE CREES QUE PAR L HUMAIN…

      GO

    Attention !!!
    26 octobre 2016 - 21 h 05 min

    Attention beaucoup d’anti
    Attention beaucoup d’anti Islam sur ce site qui font volontairemznt des amalgames pour dupper ce site !!!

      khanfri
      27 octobre 2016 - 10 h 15 min

      Seriez vous un gardien de la
      Seriez vous un gardien de la pensée.Le plus simple était de donner votre point de vue et pas de mettre en garde.

    lhadi
    26 octobre 2016 - 9 h 40 min

    L’Algérie possède
    L’Algérie possède incontestablement une personnalité et une culture propres, marquées par l’histoire ancienne, l’islam, le patrimoine arabe et l’influence de las civilisation européenne moderne, et l’esprit Algérien ressemble à l’esprit européen.C’est en tenant compte de cette identité algérienne et de ces particularités culturelles que l’Algérie peut parfaire son indépendance, conquérir son entière liberté et tracer sa voie vers une participation effective à la civilisation universelle Fraternellement lhadi ([email protected])

      MELLO
      27 octobre 2016 - 14 h 10 min

      La question d’un Etat-nation
      La question d’un Etat-nation ALGERIE est intimement liée au problème amazighe, qui est une question de civilisation, dont l’histoire est profondément ancrée dans le territoire national, qui nécessite une solution au niveau national, avec la participation de toutes les composantes qui croient à la solution démocratique, par le biais d’un dialogue profond à propos des droits culturels et linguistiques. Il en est de même pour toutes les régions de notre patrie amazighe (au Nord et au Sud) où une solution interne et juste doit être trouvée à propos de la question culturelle, en toute indépendance et en accord avec les caractéristiques politiques et sociales de chacune des régions. (…) Il faut refuser toute ingérence étrangère dans les affaires culturelles et politiques de ces régions, selon le principe de l’indépendance dans la décision, le choix et le destin. (…) La question amazighe en ALGERIE est une question nationale : c’est la responsabilité de tous les Algériens sans exception. Par conséquent, il faut la considérer dans le cadre national selon les principes du dialogue démocratique entre toutes les composantes concernées par les questions nationales

    Anonymous
    26 octobre 2016 - 7 h 00 min

    Cet écrit est de la
    Cet écrit est de la propagande pour le wahhabisme dire que les algériens n’étaient pas musulmans avant l’indépendance est un peu gros

    Khider Mesloub
    26 octobre 2016 - 3 h 51 min

    Je lis souvent de la part de
    Je lis souvent de la part de certains commentateurs que, à l’époque antérieure et contemporaine de la colonisation française, le taux de gens qui savaient lire (et écrire ?) était supérieur en Algérie qu’en France. Et donc, le niveau d’instruction des Algériens était plus élevé qu’en France. Cet argument est non seulement fallacieux mais aussi dépourvu de toute démonstration scientifique. Comme si, à la même époque en France et en Europe en général, le fait pour des personnes d’avoir appris à lire uniquement en latin pour juste s’adonner à l’apprentissage de la Bible écrite en latin pouvait s’assimiler à de l’instruction, à une véritable éducation avec tous ses programmes afférents fondamentaux (grammaire française, mathématiques, et autres matières scientifiques), qui plus est dispensée en langue française ou en anglais pour le cas des Anglais. Une école coranique, comme son nom l’indique, ne constitue pas une Ėcole au sens noble et scientifique du terme. Elle ne peut jamais être assimilée à une ÉCOLE MODERNE qui dispense un véritable et authentique SAVOIR varié et multiple appliqué avec un degré de progression en vue d’une maîtrise encyclopédique des connaissances scientifiques toujours plus approfondies et étendues. Et si l’école coranique, longtemps en vigueur en Algérie et dans les pays dits « musulmans », fait appel uniquement à la foi pour imposer à l’élève par l’apprentissage mimétique le contenu d’un seul livre considéré comme incréé et immuable datant de 15 siècles, l’École moderne convoque,elle, principalement la Raison et l’Entendement de l’élève pour lui prodiguer un Savoir scientifique, oeuvre des hommes contemporains ancrés dans la Modernité. Alors, de grâce, cessez de comparer l’incomparable. L’école coranique (corps-unique) n’égalera jamais l’école moderne au corpus (corps-plus, plus, plus) scientifique multiple et diverse. Enfin, quant à la distinction en permanence opérée entre islam et islamisme, malheureusement elle n’est pas convaincante. Le Ver est dans le fruit. Qu’on le veuille ou non, le fruit islam porte en lui le ver islamisme dès ses origines. On a beau apporté des soins au fruit islam pour l’enjoliver, le ver islamisme finit toujours par le corrompre de l’intérieur. Hélas, c’est tout l’arbre sénile et moribond qu’il faut enfin se décider à découper, pour au moins enflammer et éclairer avec ses branches une nouvelle Ère plus lumineuse et brillante pour l’humanité.

      Amazighkan
      26 octobre 2016 - 11 h 43 min

      Monsieur Khider votre analyse
      Monsieur Khider votre analyse est juste et les changements évoqués, depuis l’indépendance à ce jour, dans votre article sont visibles à l’œil nu. Je suis d’accord que le ver est bien dans le fruit et je rajouterai que l’arabisation à marche forcée est un accélérateur du pourrissement du fruit. Heureusement que des personnes courageuses comme vous osent dire clairement où se situe le mal. Thanemirt.

      Khider Mesloub
      26 octobre 2016 - 12 h 09 min

      Une coquille s’est glissée
      Une coquille s’est glissée dans mon message rédigé cette nuit, l’esprit encore embrumé par le sommeil.On a beau APPORTER des soins…

      khanfri
      26 octobre 2016 - 21 h 50 min

      « Avant 62 Les Algériens
      « Avant 62 Les Algériens étaient imparfaitement musulmans après 62 l Algérie applique l Islam authentique. »Je pensais que vous en tiriez une fierté s il n y a avait eu ce post complémentaire. Je lis les choses autrement: avant 62 nos parents devaient survivre et nécessité faisant loi ils se devaient de peser le pour et le contre quand il s agissait de questions religieuses ; car il y avait encore un libre arbitre et il ne fallait pas heurter les us et coutumes.Apres 62 et notamment après 90 il y eut installation aux forceps d un logiciel dans les cervelles ; d un logiciel qui ne supporte pas l exercice de la raison du libre arbitre et cela facilite par une vie rentière qui n exige pas d efforts particuliers.Je suis d accord avec vous sur l urgence de reformer l Islam ou son enseignement Peut on admettre aujourd’hui hui en notre âme et conscience que la religion musulmane doive être forcement supérieure aux autres croyances surtout que les peuples pratiquant celles ci apportent plus a l humanité que les musulmans. Et pourquoi en Islam cette ligne rouge cet avertissement maintes fois répété par les imams  » que juifs et chrétiens ne vous admettront que si vous suivez leur voie’  »
      C est pour moi la source de la non intégration des musulmans en Occident.L Islam tel qu enseigne aujourd’hui hui ne pousse pas a l effort intellectuel et il faut dire que les Etats musulmans y sont responsables a 100 pour cent.

      homme libre
      26 octobre 2016 - 22 h 24 min

      Au risque de vous décevoir mr
      Au risque de vous décevoir mr.mesloub votre commentaire ne cache en fait que l’incurie de votre analyse qui traite d’autre chose. Je ne remet pas en cause le siècle des lumières ni l’avancée technologique de l’Occident…ne changez pas de sujet..votre  »analyse » parlait de l’islam en Afrique du nord ou du moins en Algérie.. Je vous le dit qu’au niveau du fikhhh, de la jurisprudence de la tolérance on a reculé.. Je ne peux mesurer la foie des gens mais l’absurdité oui..celle qui caractérise notre époque et nos sociétés ne sont pas l’oeuvre de l’islam..désolé… Je respecte beaucoup abderrahmanne boukebrine pour soutenir ce type de propos…la force d’une religion est liée aux hommes qui la porte..l’islam et l’islamisme ne sont pas consubstantiels je suis désolé pour vous .. Si au moins vous avez soutenu votre matérialisme ( philosophique) de façon plus élaborée. Comprenez moi en moins et lisez un peu autre chose que vos recettes aseptisée et importée.. Lisez l’humanisme chez arkoun..Liser la violence sociale chez ethalaibi ..decodez votre société sans faire table rase des valeurs qu’elle porte…vous savez, pour clore, vous etes en rupture avec votre société je comprends vous souffrez certainement..mais soyez courageux et aidez nous à reformer cette école du mensonge qui ruine nos enfants..soyons musulmans avec nous même et non pas entre nous …disons la vérité à nous même.. Travaillons sur ce qu’on a déjà au lieu de faire table rase de ce que cette terre sacrée a mis des milliers d’année à mettre en place …soyons porteur de la meilleure tolérance…soyons modernes et respectons les libertés individuelles soyons polyglottes c’est notre identité plurielle qu’il faut assumer et surtout ayant un état qui prône la justice ou personne n’est au dessus de la loi ou le responsable est le premier a accepter de répondre de ces actes…voilà notre mal mr.mesoub…salut

      anonyme
      27 octobre 2016 - 12 h 13 min

      je trouve que vous
      je trouve que vous fanfaronnez un peu trop ! de l’éducation si vous en aviez vous n’insulteriez pas les anciens qui soit dit en passant connaissaient l’humilité contrairement à l’algérien moyen que vous êtes, formé à la vacuité benbouzidienne et qui prétend honteusement tout savoir sur tout et surtout que les autres n’ont absolument rien compris à leur religion, eux dont la pratique n’était entachée ni par le souci des apparences ni par la violence à l’encontre d’autrui ! sans compter que vos aptitudes en « analyse » me semblent très limitées pour rester polie! votre conception de l’islam inspirée semble t-il du nihilisme – takfirisme ou quelle qu’elle soit ne vous autorise pas à en faire un postulat! oseriez -vous vous prendre pour Dieu?

    Tabou
    26 octobre 2016 - 3 h 26 min

    Les vrais auteurs de l
    Les vrais auteurs de l’Arabisation sont les Juifs Maghrebins, surtout depuis que cela renforcait leurs position aupres des Francais. Puis, danstout ce que j’ai lu, qui raconte avec une certaine fidelite’ les realite’s quotidiennes – les Maghrebins auront continue’ a pratiquer LEURS RITES SPIRITUELS, acquis de longs siecles de Christianisme, qiuse retrouve du jour au lendemain dit islam – c’est ce qu’on appele arabisation, par label . . .

    H'didwane
    25 octobre 2016 - 15 h 03 min

    Des qu’il y a des problemes
    Des qu’il y a des problemes sociaux, la faim, la misère, la religion apparait comme par surprise comme étant la seule issue qui trouvera des solutions aux problemes sociaux malgré que la majorité est déja religieuse depuis bien longtemps. cette instrumentation de la religion est utilisée par les dictateurs et toute sorte d’opportunistes pour s’enrichir. Cette méthode marche bien tant que le peuple est sans savoir et sans culture, c’est a dire un peuple ignorant (voila pourquoi par exemple on détruit l’école et l’instruction en Algerie). Des que les gens commencent a comprendre on les élimine car ils pourront exposer le pot aux roses des nouveaux tartufes religieux. Si les gens comprennent analysent et se posent des questions, ils découvriront l’origine, la source de leur misère, chose que les tyrans refusent. Comme il n’y a plus de stratageme a utiliser pour voler et décevoir son prochain, la religion est devenue le dernier instrument, le dernier rempart pour faire peur et formatter des peuples dans la peur et la servitude. La religion est déviée pour faire peur, faire du mal et dominer au lieu qu’elle soit un facteur de paix, de tolérance et d’équilibre de société. La question que tout musulman doit normalement se poser est: Pourquoi soudain je dois REDEVENIR musulman – comme si je ne l’étais pas avant – ? A partir de la, on verra que tout ce que l’on voit au quotidien comme destructions, haine et misère humaine n’est ni l’oeuvre de Dieu ni l’oeuvre du prophete; elle est simplement l’oeuvre de satanistes qui nous apparaissent sous forme humaine. Si on pourra comprendre cela, on aurait compris la source des malheurs qui arrivent aux musulmans.

    Anonymous
    25 octobre 2016 - 12 h 51 min

    En tant qu’éducateur
    En tant qu’éducateur (spécialisé en quoi ?°, vous risquez d’impacter négativement le comportement de nos enfants arrivés à l’âge adulte et c’est pourquoi il conviendrait de modeler quelque peu votre discours de telle sorte à éviter des blocages mentaux particulièrement néfastes, – voire dangereux -, mais au contraire à susciter des MOTIVATIONS qui puissent leur permettre de s’épanouir et de jouer pleinement leur rôle de citoyen à part entière et dans tous les domaines.
    Cela étant dit, en vous lisant, on croirait que les Algériens n’étaient Pas musulmans avant l’indépendance, que le capitalisme n’a PAS préservé les valeurs morales héritées de nos ancêtres et que l’enseignement oral de la religion n’est PAS aussi efficace que celui transmis par le livre.
    Autrement, on était RIEN avant l’indépendance… er j’oserais dire, pour arriver à la conclusion que nous devons remercier l’Arabie Saoudite de nous avoir islamisés ….
    Et bien je répondrais ceci à l’éducateur que vous êtes : Avant l’idépendance, quand nous étions enfants, nos parents, mais aussi les imams, nous ont enseigné un Islam adapté à nos valeurs et à nos principes qui nous avait permis de vivre ensemble dans la paix et le respect mutuel de nos convictions religieuses.
    Un tel héritage indélébile, car reçu LORS NOTRE ENFANCE, nous permet aujourd’hui de résister au wahabisme enseigné à nos enfants de la manière la plus sournoise, en commençant par le débarquement, après l’indépendance, de marchands de zalabia érigés en éducateurs et grassement rémunérés dans le but inavoué de « formater » le cerveau des Algériens à leur idéologie obscurantiste et sans pour autant leur permettre de maîtriser une langue de manière à les rendre incapables de prendre conscience de leur propre déculturation.

      How?
      29 octobre 2016 - 14 h 10 min

      Je crois que vous avez mal lu
      Je crois que vous avez mal lu l’article, il dit presque exactement ce que vous écrivez.

      Cordialement

    khanfri
    25 octobre 2016 - 9 h 58 min

    Admettons: Avant 62 l
    Admettons: Avant 62 l Algérie n était pas musulmane et après 62 elle le fut.Il y a beaucoup a dire sur ces affirmations peu crédibles .Néanmoins cela nous fait – a mon avis – une belle jambe d être musulmans.
    Car qu est ce que l Islam et que sont les Musulmans.L Islam on le sait c est un texte sacre ; des hadiths une sounna et un droit musulman.A l inverse qu est ce qu un musulman: quelqu un qui suit les préceptes de la religion musulmane.Et la il y a une panoplie impressionnante de comportements divers.Est ce que c est l être ou le paraître.Ne trouvez vous qu il y a un mal être en pays musulman. Pourquoi les habitants de ce pays émigrent ils et vont vers les pays ou la religion est une chose et l Etat une autre.Franchement ne trouvez vous pas que la religion musulmane tends a mettre au pas toutes les autres croyances jusque a l intolérance.On dit qu un réformateur musulman au retour d un voyage en Occident a fait cette réflexion: en occident j ai rencontre des musulmans mais je n ai pas trouve d Islam et ici en pays musulman j ai rencontre l Islam mais de musulmans

      Muscles
      25 octobre 2016 - 19 h 47 min

      @khanfri, je te rejoins, nous
      @khanfri, je te rejoins, nous sommes d’accord ! Un jour mon père m’a montré ses muscles en me disant ; C’est ça, l’Islam. L’expérience qui a suivi m’a appris qu’il faut un cerveau musclé et un corps musclé, contre les parasites qui ont sali le vrai Islam lequel est incompatible avec l’ignorance et le farniente, vivement le retour des « Quatre Charlots » de la Police Militaire, il n’y a qu’un Boumédiène qui a su faire trembler ce peuple de kamikazes, suicidaires par la paresse du corps et de l’esprit ! Combat, telle est La Vraie Vie, contre soi et contre toutes les tares de L’HUMAIN, cette créature horriblement aléatoire…

    TheBraiN
    25 octobre 2016 - 8 h 54 min

    1-Si les Algériens étaient
    1-Si les Algériens étaient analphabètes au moment de l’islamisation , ils ne l’étaient plus en 1830 .
    En 1830 le taux d’analphabétisme était plus important en France qu’en Algérie !
    Je me demande pourquoi l’auteur occulte cette réalité à moins qu’il ne considère des « lettrés » en arabe (majoritairement d’écoles coraniques) comme analphabètes ce qui serait d’une absurdité flagrante vu qu’à cette époque aucun enfant du monde n’apprenait la physique quantique et le théorème de Pythagore .
    2-L »Islam religion d’état » est l’article constitutionnel qui empêche , et empêchera toutes les dérives !
    Si vous l’enlevez vous aurez automatiquement la « légalisation » des mariages gays , de la pornographie et de l’inceste .
    L’auteur en fait un combat idéologique sans , j’en suis sur, appréhender les contours de cette question .
    3-Dire que l’Algérie n’est pas musulmane relève du négationnisme pur et simple .
    Dire ceci alors que la France laïque (c’est ce qu’elle se prétend elle-même) revendique fièrement ses racines judéo-chrétiennes laisse sous-entendre pas mal de choses …

    En conclusion je dirai que les penseurs et intellectuels de salon ça n’a jamais manqué chez nous !!!

      aziz
      25 octobre 2016 - 21 h 57 min

      1- c’est vrai qu’en 1830, les
      1- c’est vrai qu’en 1830, les soldats français avaient remarqué que le pourcentage de gens qui savaient lire et écrire en Arabe devait être supérieur à Alger qu’en France (est-ce que c’était valable pour toute l’Agérie ?). Cette idée a été utilisée dans un argumentaire par un intellectuel français (si je me souviens bien) qui était pour l’indépendance de l’Algérie. C’était pour défendre la thèse que la France n’avait ramené aucune civilisation en Algérie, contrairement à ce qu’elle prétendait. L’argumentaire a été repris dans une vidéo diffusée sur Facebook. Mais en fait même si on admet qu’en Algérie le taux d’analphabètes pouvait être inférieur à ce lui de la France, le contenu de l’enseignement était différent. La France avait déjà ses écoles d’ingénieurs (utiles pour l’armement aussi), son élite intellectuelle dans tous les domaines, notamment scientifique, depuis assez longtemps. Elle avait également amorcé son décollage économique. C’est ce qui lui a permis de coloniser de coloniser les pays qui avait du retard en termes de développement scientifique. 2- je ne partage pas les définitions que l’auteur de l’article donne de l’Islam et de l’islamisme. Pour moi l’islamisme c’est l’utilisation de l’Islam dans le domaine politique, et comme la politique utilise souvent la violence, elle entraîne du coup l’islam dans la violence, on le voit aujourd’hui en Syrie, en Libye… où les musulmans tuent d’autres musulmans! En Afrique du Nord il y a souvent eu une distinction entre la fonction de l’imam (autorité religieuse, morale) et la fonction de gestionnaire des affaires de la communauté, ce qui donne généralement une pratique simple et sincère de la religion, sans exigence d’ostentation, en tout cas sans violence. On peut dire que c’est la politique qui a perverti l’islam en le transformant en fonds de commerce, avec même recours à la corruption (pour des postes de députés par exemple.

        TheBraiN
        26 octobre 2016 - 8 h 27 min

        Il est vrai que c’est le
        Il est vrai que c’est le « développement scientifique » Européen , surtout dans le génie militaire, qui leur avait permis de coloniser les autres .
        Mais le système , en lui-même , était des plus inégalitaires avec des périodes de famine et d’épidémies itératives et très proches .
        On peut toutefois leur reconnaître qu’ils avaient tiré les leçons de l’histoire et qu’il valait mieux « voler » et « tuer » les autres !!
        Le mélange entre islam et politique , dans le contenu « moderne » , a été une création purement occidentale , une création des services Britanniques qui avaient « conçu » 2 branches de « l’islam politique » à savoir le Wahabisme (et pas salafisme) proche du sionisme et le courant des frères musulmans proche de la Franc-maçonnerie .
        Ils s’en sont servis et s’en servent toujourspour combattre l’islam avec l’islam et tuer les musulmans par des musulmans .
        Ceci étant dit, évitons de travestir les réalités et constantes !
        L’islam c’est l’islam et la politique c’est la politique mais c’est tout sauf simple parce que chaque nation, chaque peuple qui se respectent mettent leurs cadres et limites politiques dans le cadre de leurs constantes , y compris religieuses .
        Je pense, que NOUS (en tant qu’Algériens) avions très bien assimilé les contours abstraits de cette complexe équation (le rapport entre l’islam et la politique) avec une plate-forme parlant clairement d' »état démocratique et social dans le cadre des principes de l’islam » .
        Ce qui a fit des « juifs » ce qu’ils sont et des musulmans ce qu’ils sont se résume grosso-modo à ce constat « les sionistes utilisent la politique à des fins religieuses , les musulmans utilisent la religion à des fins politiques ».

    Mohamed El Maadi
    25 octobre 2016 - 8 h 26 min

    Je suis desole mais c’est
    Je suis desole mais c’est vous au pays qui avait fait une fixette sur la religion. Pourquoi ? Quand je vais au pays pourquoi me posez vous la question de savoir si je prie ou fait le ramadan.En quoi cela vous regarde ? Tout le monde est touché par ce phénomène mais ceux qui representer pour nous la frange liberal et progressistes au pays.

    L’islam ce sont des valeurs avant tout ,une ethique et un comportement.

    Voyez vous mes soeurs ne porte pas le voile et pourtant elles sont sortie de la maison a l’algerienne c’est a dire au bras de leur mari.

    Anonymous
    25 octobre 2016 - 7 h 53 min

    Quel islam pratiquaient ceux
    Quel islam pratiquaient ceux qui ont pris les armes contre l’occupant français à partir de 1830 ,selon cet écrit L’emir Abdelkader ,0ulad sidi cheikh, El mokra,’étaient haddad, Fathma N’soumer et tous les autres valeureux ancêtres
    n’étaient pas musulmans ,c’est de la propagande !En tous cas l’islam de nos grands parents était plus beau

      TheBraiN
      25 octobre 2016 - 8 h 55 min

      C’est tout sauf de la
      C’est tout sauf de la propagande innocente !
      Après avoir désigné nos moudjahidine d’ivrognes , on nous colle carrément l’image d’un peuple païen !!

    Anonymous
    25 octobre 2016 - 7 h 22 min

    C’est plutôt le wahhabisme
    C’est plutôt le wahhabisme qui s’est implanté en Algérie avec le soutien de certains de nos responsables ,la pratique religieuse de nos grands parents plus tolérante plus ouverte était d’obédience soufi les explications sont à chercher de ce coté là aussi

    Gaouar
    25 octobre 2016 - 6 h 03 min

    Si la religion musulmane est
    Si la religion musulmane est dans toutes les bouches, dans les actes on peut se permettre d’en douter : explosion des mariages clandestins, des enfants abandonnés issus de ces unions, égoïsme et dévots infernaux, triche et hypocrisie, lâcheté et corruption. Les européens en tant que peuples sont bien plus respectueux des préceptes musulmans (respect de la personne, de la nature, apprentissage de son rôle et de sa responsabilité). Ce ne sont pas les musulmans qui accueillent des réfugiés mais bien les pays européens et l’Allemagne en tête. La saloperie des Frères musulmans, du wahhabisme, du salafisme sont les seuls qui ont sali cette religion. Les algériens sont devenus des mutants sur cette question… L’islam traditionnel a tellement été raillé par les modernistes et les égyptiens coopérants de 1962 que nous avons laissée un monstre se créer et détruire son pays. Dans les années 80, on se moquait sur Alger des femmes portant le haik ? On a eu le niqab et autres habits délirants et obsessionnels. Si les modernistes avaient eu du respect pour le peuple pauvre, nous n’en serions pas a ce stade non plus. Cette arrogance des algériens lettrés de l’indépendance est elle aussi responsable, Les égyptiens eux devaient d’une colonie super-pétrolière. Entre l’arrogance des premiers et la perversité des seconds, le peuple algérien s’est fourvoyé dans un islamisme de morts. A quand l’examen de nos erreurs, de toutes nos erreurs, de nous tous ?

    homme libre
    25 octobre 2016 - 3 h 44 min

    Cher mr.Mesloub votre analyse
    Cher mr.Mesloub votre analyse, désolé de vous le dire qui n’en est pas une, est plus assimilable à une intuition prenant pour fondement un anachronisme entre le cultuel et le culturel dont le premier vous dites est porté par un analphabétisme généralisé de nos ancetres et le deuxième, dont vous semblez louer les mérite, est le fruit de la connaissance quasi parfaite de la langue arabe et d’une pratique effective des préceptes islamiques de la génération actuelle… Mr mesloub vous étes dans le faux ..votre  »analyse »souffre terriblement d’un manque flagrant e méthode.. Pour rejoindre un des commentaires la question de l’islamisme est un tantinet plus complexe et dépasse largement le cadre national…. Quant à la violence dite islamiste , elle est à mettre, et ce n’est qu’un avis, dans le registre des pathologies psycho sociologiques dont la dynamique et la symbolique seraient mieux exposées avec les outils d’analyse sociohistoriques et même criminologiques…mr mesloub votre  »analyse » est même rediculment simple…Et étrangement réductrice de l’histoire…je vous renvoies à lire et surtout à vous interesser aux différentes confréries et dynasties ayant influencé l’islam de nos ancêtres, Je vous renvoies également à vous interesser et de façon urgente à l’organisation avangardiste qui avait structuré nos village de sorte à ce que le religieux et le profane soient séparé mais intelligemment complémentaires je vous renvoies à lire tous les études qui ont pour objet la violence sociale légitimée par la religion enfin je vous renvoies a relire votre texte qui au lieux d’asseoir un débat prétend expliquer l’errance humaine et civilisationnelle actuelle par un tour de passe passe en usant d’une dichotomie temporelle absurde et d’une analogie transgenerationnelle farfelue.. Le tout enveloppé d’assertions maladroites .et je dirais même prétentieuses…….enfin merci de me publier AP

    Erracham
    24 octobre 2016 - 22 h 51 min

    L’Algérie a connu l’Islam
    L’Algérie a connu l’Islam depuis des années et sa pratique a toujours été une question personnelle. La société avait accommodé les pratiquants et les non-pratiquants n'(taient pas cloués au pilori. La piété ne se mesurait ni aux vêtements portés, ni aux sermons et la vie dans la société n’était pas dictée par des fetwa initiées par des incultes. L’Islam, tel que réclamé par certains illuminés de nos jours, n’est qu’une ruse pour prendre le pouvoir et promouvoir l’obscurantisme pour mettre le pays sous domination wahabite. Les partis islamistes n’ont rien fait d’autre que d’entraver la marche vers le développement et la modernisation du pays, une oeuvre que l’OAS n’avait pas pû achever. Bilan: 20 ans de perdus! Soyons aussi tolérants que nos ancêtres et rejetons tous ceux qui attisent la fitna entre frères et soeurs! Ceux-là sont voués aux enfers car en recourant aux crimes et assassinats, ils ont violé les préceptes fondamentaux de cet Islam qu’ils prétendent défendre alors qu’il n’a jamais été en danger en Algérie.

    Bas les pasques
    24 octobre 2016 - 20 h 59 min

    L’Algérie est un pays d’Islam
    L’Algérie est un pays d’Islam, sauf pour ceux qui la dirige réellement avec ces commercent pas tres musulmans, il n’y a qu’à voir la periode du ramadan ou tous les prix en hausse abusivement et pour l’Aïd le prix du montons à des prix la aussi abusifs !!
    A ce demandé qui dirrige l’Algérie ??? Car pas tres musulmans tout ceci !!!

    MoskosDZ
    24 octobre 2016 - 19 h 44 min

    Analyse de pointe,mais n
    Analyse de pointe,mais n’empêche que les musulmans se sont entre-tués depuis 15 siècles au nom de l’islam et continueront éternellement à s’entre-tuer,quand au vrai problème,ne réside t-il pas dans cette même religion?

      khanfri
      27 octobre 2016 - 10 h 09 min

      Très probablement.Donnez
      Très probablement.Donnez cette religion de l Islam a un philosophe il y trouvera du bon et du moins bon.Il gardera bien entendu le bon et reléguera le moins bon.Expliquez cette même religion a quelqu un qui n utilise pas la raison il prendra le tout pour acquis et vous avez en fait engendre un monstre. Assurement l Islam a besoin a mon humble d être reforme.Et les musulmans devront convenir une fois pour toutes pour le salut de leur foi que certains passages du texte sacre ne résistant pas a l épreuve du temps ne peuvent émaner raisonnablement et honorablement du Createur;

    New kid
    24 octobre 2016 - 17 h 36 min

    La réalité de l’histoire
    La réalité de l’histoire prédomine et détermine que l’invasion de l’Afrique du nord par les arabes n’était nullement pour convertir les indigènes de ces contrées. Mais la naissance de l’impérialisme arabe à la conquête du monde.
    Les indigènes étaient la base nécessaire pour servir de chair à canon pour les visées expansionnistes des arabes comme pour Hannibal contre les romains. Avec la conquête de l’Espagne ou la partie sud du moins, d’ailleurs les arabes ont accompli plus de grandiose en Espagne qu’en Afrique du nord mais seulement en s’alliant avec les juif qui étaient hais des chrétiens. Ces mêmes juifs tous experts en médecine, architecture et astrologie se sont même convertis à l’islam pour sauver leurs vies peut être temporairement. Prenons aussi l’exemple de cet amazigh dont le nom a été troqué pour le rendre plus arabe au nom de Ziad Ibn Tarik qui a vaincu les espagnol a Gibraltar en rentrant en conquerant!
    Les écoles étaient rarissimes en Afrique du nord pendant le raid et durant la domination, il fallait être bien né pour s’éduquer dans la langue de l’envahisseur qui a d’ailleurs institué des marabouts que nos aïeux devaient payer, nourrir et loger pour en échange avoir des leçons éphémères d’islam pour berbères –musulmans, comme avec les français qui nous appeler des français musulmans et l’éducation française de Rousseau, Molière et de Victor Hugo que le colonisateur ne dispensait qu’au compte-goutte.
    Dalleurs ces marabouts se la couler douce avec leur femmes qui ne sortait pas pour aller travailler la terre ou ramasser du bois ou des olives. Les populations amazighes devaient subvenir au besoin alimentaire de cette famille du marabout, véritable monarque imposé ! Comme on nous impose aujourd’hui des leaders de parti unique ou nés avec des moustaches ou à la barbe longue!
    Effectivement durant et après la révolution de Novembre, les algériens pour se dissocier du colon français « embrassa ou adopta » l’islam avec plus de virulence pour marquer non pas son choix mais pour se démarquer de tous ce qui pouvait être associée à la France.
    Hélas, les monarchies du Golf avec le peu de soutien pour la révolution, sont revenues à la charge avec plus de brutalité à cause de la direction prise par les 22, de créer une république démocratique et non un « kingdom ». L’Algérie en plus penchée vers l’URSS déplaisait brusquement aux wahhabites pros américain et anti communistes qui ont lancé leurs takfiristes d’islamistes sur notre peuple d’où l’hécatombe de 200.000 morts.
    Voilà les raisons mères du rejet et de la régression de l’islamisme en Algérie a l’heure actuelle et en plus des milliards de dollars pour une construction de la plus grande mosquée sur terre, ya 3jaba, au lieu d’écoles et d’universités, par des incapables et corrompue gouvernance!

    Bekaddour Mohammed
    24 octobre 2016 - 16 h 59 min

    L’Algérie est complexe, très
    L’Algérie est complexe, très complexe… Cette contribution est même belle, très belle, mais certainement en deçà de la densité du sujet. Un exemple : Aux premiers temps de l’indépendance, la tribu des Ouled Riah, wilaya de Tlemcen. Anecdote véridique : La prière, pourtant pilier du vrai Islam, recommandée dès l’âge de sept ans, n’était pratiquée que par les vieillards, qui avaient déjà un pieds dans la tombe. Lorsqu’on demandait à un non vieux de prier, il répondait : « Je suis encore jeune » ! Aujourd’hui, au sein de ces même Ouled Riah, les mosquées font le plein, tous âges confondus. Ils ont eux aussi vécu la période « FIS », leur expérience m’a enseigné qu’il y avait une part de « nihilisme », une réaction suicidaire, significative de « Faire table rase »… Parce que la folie avait pris le dessus, contre la raison et une éventuelle méthode rationnelle…Etc.

    Echiboukh
    24 octobre 2016 - 16 h 26 min

    Confondre » Islam »(religion)
    Confondre » Islam »(religion) et  » islamisme » (politique) est l’erreur qui nuit à l’effort de clarification souhaité par l’auteur en dépit de ses précautions.
    Ce qui est reconnu comme une chose établie est que l’échec du Projet d’état-nation tel que mené par le parti unique a fait le lit des idées islamistes introduites par une organisation internationale les « frères » musulmans à partir de l’Egypte puis relayé par les Wahabite à partir des années 80 pour des raisons de géopolitiques indemnes de toute intention religieuse…. en dépit des apparences.
    Relisez (ou réécoutez) les écrits et conférences de M. Nouredine Boukrouh, cet intellectuel musulman lucide et vous comprendrez où sont les véritables causes des troubles que connaissent les jeunes algériens au niveau identitaire y compris dans la dimension religieuse.
    Être plus pieux ne jamais signifié avoir un comportement et une morale musulmanes plus élevées.
    Vous en aurez la preuve par une simple comparaison des comportements et pratiques cultuelles et sociales de nos grands parents et parents, en majorité peu lettré, et celle des générations nées dans les années 60 et plus tard . politesse, humilité, respect du prochain et tolérance, d’un côté et de l’autre, signe de religiosité, roublardise, mensonge, intolérance!

      Eau pure
      24 octobre 2016 - 17 h 36 min

      Entièrement d’accord. Ajoutes
      Entièrement d’accord. Ajoutes que l’ignorance héritée de la mission civilisatrice de la France BARBARE, la régression même mentale des premières années de l’indépendance, l’abus des agents de l’état, parfois analphabètes, aux comportements primitifs, l’erreur des pénuries institutionnalisées, l’exode rural, et bien d’autres causes se sont additionnées pour livrer l’Algérie à une barbarie inouïe, et pourtant l’Islam reste l’Islam, une voie conforme à la raison d’être de l’humain, une décantation s’opère, notre salut même comme état nation est d’épouser l’Islam dans toute sa limpide simplicité, ce qui ne convient pas aux aventuriers du pouvoir, déjà en place ou candidats !

    GHEDIA Aziz
    24 octobre 2016 - 15 h 53 min

    Merci pour cette pertinente
    Merci pour cette pertinente analyse. A un moment donné, javais l’impression de lire carrément Ibn Khaldoun tant les termes utilisés et l’approche sociologique de la société algérienne me paraissaient identiques. Encore une fois, votre analyse mérite une critique très sérieuse, chose que je ne pourrais pas faire dans l’immédiat mais peut-être à tête reposée.

    MELLO
    24 octobre 2016 - 15 h 22 min

    Monsieur Khider Mesloub,

    Monsieur Khider Mesloub,
    Une analyse fortement intéressante de par son contenu et le sujet abordé. L’histoire de ce pays, qu’est l’Algérie, sera laissée aux historiens afin de craquer ce dogme islamiste en Algérie. Il faudrait comprendre que le peuple Algérien n’a jamais été islamiste et que cet islamisme reste une notion étrangère à notre pays. Seulement, dans tout pays à pouvoir totalitaire, les extrémistes de tout bord trouvent un terrain fertile , greffé en cela à une dépolitisation totale de la société. Le 5 Octobre 1988 fut une étape de vacillement de ce pouvoir, avec ses conflits internes suite au discours de Chadli en Septembre 1988 qui « tirait » sur une frange du pouvoir qui voulait le destituer. La création des ACP n’avait pour seul objectif que la légalisation du parti FIS qui ratissait large dans une société en mal de vie, une société bâillonnée qui trouva refuge dans ce parti qui promettait le  » paradis » à tous ceux qui le suivent et l' »enfer » aux impies , tous ceux qui ne le reconnaissaient pas. La politique menée par le pouvoir en place était , on s’en souvient, en ne peu plus laxiste face aux dépassement de ce parti: qui ne se souvient pas cette visite de Ali Belhadj , en treillis militaire dans le bureau du chef d’Etat Major Khaled NEZZAR ?
    Le pouvoir avait tout fait pour que le FIS atteigne une position majoritaire. Malgré cette politique de la terre brûlée, la majorité du peuple reste à l’écart de ce jeu morbide. Durant , plus de deux décennies, l’Algérie et son peuple ont vécu l’une des pages les plus sombres de leur jeune existence , ceci par la faute des dirigeants qui ne cessaient de penser à leur panse.

    anonyme
    24 octobre 2016 - 14 h 39 min

    vous étalez votre  »culture »
    vous étalez votre  »culture » pour arriver à une conclusion qui une litanie d’insanités. sachez monsieur que le peuple algérien n’a pas de besoin de professeurs wahabites que vous admirez pour se sentir musulmans. Et qui vous dit que tous les Algériens sont ou ont envie d’être musulmans. On les comprend car votre islam les fait plutôt fuir.
    étalez moins votre  »culture » et apprenez et assimiler un peu plus de philosophie pour percer les secrets de l’évolution des sociétés.

      Omria
      25 octobre 2016 - 5 h 45 min

      Contre-sens total. Sans
      Contre-sens total. Sans compter la jalousie qu’on perçoit. La violence est toujours la conséquence d’une autre violence. C’est désespérant de lire des personnes qui lisent de travers, comprennent de travers et répondent pour se faire valoir en rabaissant les autres.

Laisser un commentaire

Votre adresse de messagerie ne sera pas publiée.