Ezzahi, un enfant du peuple

Par Saadeddine Kouidri – Amar Ezzahi n’est pas un chanteur chaâbi, comme il est dit, mais plutôt un chaâbi qui chante merveilleusement bien. Orphelin de mère et de père, et après la mort de la seule parente, sa tante, qui s’occupait de lui, c’est sa voisine qui prend la relève jusqu’à la mort. Comme on voit, il n’avait pas besoin du ministère de la Culture ! Car Il semait et récoltait cet amour du peuple qui s’affiche aujourd’hui lors de son enterrement où la majorité du peuple, qui l’accompagnait à sa dernière demeure, était si nombreux qu’il n’a pu accéder au cimetière.

Son humble demeure devrait être élevée en musée pour l’exemple à la jeunesse et illustrer ce nationaliste populaire qui rejoint par son labeur, sa modestie, sa manière de vivre, sa science, son dévouement les héros de la nation populaire, ces amoureux du peuple. Le peuple en amour de leur enfant est à l’image d’Amar Ezzahi.

S. K.

Comment (13)

    kamal
    8 décembre 2016 - 16 h 12 min

    ALLAH YARRAHMOU C’EST UN
    ALLAH YARRAHMOU C’EST UN MONUMENT JE SUIS D’ACCORD.MAIS COMBIENS D’ALGERIENS PARTAGENT SA SIMPLICITE ET SON ZOUHD , TOUS LES ALGERIENS VEULENT TOUS DEVENIR DES MILLIARDAIRES, POURQUOI NE PAS SUIVRE L’EXEMPLE DE AMAR DANS CE DOMAINE ?

    O.BOUCHAKOUR
    6 décembre 2016 - 18 h 22 min

    je partage totalement votre
    je partage totalement votre analyse et je témoigne pour la postérité les valeurs humaines incarnées par ce monument de la chanson chaabi.En 2005 le ministère de la culture a versé des aides pour soulager les difficultés de la vie que traversés les artistes en cette décennie noire.Il est resté l’un des rares à refuser de percevoir cette allocation.Il lui arrive souvent à partager les recettes de ses soirées avec ses voisins.Quelle leçon de solidarité et de bienfaisance
    .à méditer.

    Mourad
    4 décembre 2016 - 23 h 54 min

    Allah irrahmou allah irrahmou
    Allah irrahmou allah irrahmou

    nabilkarim
    4 décembre 2016 - 23 h 50 min

    On dit qu’il habitait une
    On dit qu’il habitait une chambre dans la terrasse de l’immeuble.C’est vrai? C’est une catastrophe!

      selecto
      5 décembre 2016 - 12 h 46 min

      Oui c’est vrai elle faisait
      Oui c’est vrai elle faisait 8 m2 et sans chaauffage d’où les maladies qu’il avait attrapé pas comme d’autres chanteurs vénérés par le pouvoir comme Cheb Khaled qui sera à Alger le 9 décembre pour un gala contre un énorme cachet en devises qu’il investira au Maroc.

    ABDOU
    3 décembre 2016 - 19 h 13 min

    NOUS DEVONS TOUS PRENDRE
    NOUS DEVONS TOUS PRENDRE EXEMPLE DE SA MODESTIE DE SA GENEROSITE DE SON AMOUR POUR CE PAYS C’EST UN HOMME AVEC UN GRAND  »H » PRIONS POUR LUI POUR QUE DIEU TOUT PUISSANT LUI RESERVE UNE PLACE DANS SON PARADIS L’ALGERIE A PERDU UNE ICONE DE NOTRE CULTURE LE CHAABI

    RAYES EL BAHRIYA
    3 décembre 2016 - 14 h 46 min

    JE DÉDIE CETTE CHANSON AU

    JE DÉDIE CETTE CHANSON AU MEDDAH QU AIME TANT SE REVENDIQUER FEU AMAR EZZAHI

    AMAR AIT ZAI DE SON VRAI NOM. AMEDDAH C EST LE POÈTE TROUBADOUR.

    IL A ÉTÉ UN HUMBLE PARMI LES HUMBLES , SON PEUPLE QUI L ADULAIT ET LE FREDONNE COMME

    LA PSALMODIE DES SOURATES DU SAINT CORAN.

    LA CHANSON DE NOTRE CHANTEUR AIMÉ AIT MENGUELLET LOUNIS

    AIT MENGUELLET-Ameddah

    https://www.youtube.com/watch?v=tOsnpm7vtQ0

    ADIEU NOTRE AMAR , TU NOUS VOIS DE LA HAUT AU PARADIS, DJANET ARRIDHOUANE.

    SALAMAN SALAMAN

      disant
      6 décembre 2016 - 8 h 50 min

      Je crois, d’après ce que j
      Je crois, d’après ce que j’ai lu sur les journaux, que le village natal du Cheikh Amar Ezzahi (Allah Irrahmou) est IGHIL BWAMMAS, soit disant qu’il est du même village que notre poète adulé L. Ait Menguellet. Donc, c’est le patelin des Immeddahen et des poètes prônant la Sagesse et la Justice.

    selecto
    3 décembre 2016 - 13 h 33 min

    L’annonce de sont transfert
    L’annonce de sont transfert pour soins à l’étranger était un mensonge de la part de ce pouvoir corrompu qui a préféré dépenser plus de 300.000 € pour les procès du repris de justice Mohamed Khalifati dit Chab Mami et accorder des centaines de milliers d’euros à Cheb Khaled pour avoir soutenu le quatrième mandat au Maroc.

    momo
    3 décembre 2016 - 11 h 32 min

    EZZAHI le rossignol, le
    EZZAHI le rossignol, le bienheureux

    Sur la pointe des pieds il est parti
    Il pardonna à tous même à sa maladie
    Elle l’accompagna, il en fit son amie
    A sa rue, sa ville, son pays, sa Casbah
    Il s’excusa de n’être plus là
    Sans faire de bruit un petit coin au paradis
    El Ghali se fraya
    Discrètement de peur de gêner ceux qui
    Etaient déjà là
    Parmi ses frères du chaabi sa place il retrouva

    Pour Hany en Hommage à son maitre
    ANNABA le o1 Décembre 2016

    Hassen
    2 décembre 2016 - 22 h 51 min

    Allah yarhmou rahou fi dar
    Allah yarhmou rahou fi dar elhak par contre je suis désolé on est des millions fervan d’amar il fallait juste un appel pour q’uil puisse venir se faire soigner à l’étranger ce n’est pas une reproche avec tout le respect que j’ai envaire aaouchak de amar ezzahi mais nos hommes politiques préfère cheb khaled même que j’ai rien contre lui alors ya ehle echaabi il est temps de revoir qui est qui Alger elle est à nous réveiller vous essalem

    UN INCONNU
    2 décembre 2016 - 20 h 16 min

    JE CROIS QUE LE MEILLEUR
    JE CROIS QUE LE MEILLEUR MOYEN D’AVOIR DES RENSEIGNEMENTS SUR AA3MIMAR ZAHI, ALLAH YERAHMOU ! C’EST D’ENTRER EN CONTACT DIRECT AVEC SON VRAI ET UNIQUE AMI D’ENFANCE QUI VIVAIT AVEC LUI DANS LE MÊME BATIMENT ET LE MEME PALIER… SURTOUT. IL A POUR NOM : SAOUDI MABROUK Omar. Et vous verrez toutes les révélations qu’il vous fera.

    Djamal Hasniou
    2 décembre 2016 - 11 h 43 min

    Il aimait le chaabi, Alger,
    Il aimait le chaabi, Alger, le peuple modeste et l’Algerie. Le peulple Algérien l’aime car il était un des leurs. Il partageait leurs joyeux et tristes moments. Il vivait austère, modeste comme à été sa vie. Va Amer rejoint les honnêtes gens dans les cieux de Dieu réservés aux bonnes gens de ton envergure. Tu as vu que le peuple t’aimait il t’a accompagné fièrement à ta dernière demeure. Tu nous à enchantés durant plus de soixante ans. Je te garde dans mon cœur comme beaucoup de mes concitoyens à Dieu…

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