FFS : Abdelmalek Bouchafa maintenu au poste de premier secrétaire

Abdelmalek Bouchafa. New Press

La direction du Front des forces socialistes (FFS) a décidé, au terme de la session extraordinaire de son conseil national tenue ce vendredi au siège du parti, de maintenir à son poste l’actuel premier secrétaire, Abdelmalek Bouchafa, a appris Algeriepatriotique de sources proches du parti. Au moment où mettions en ligne cet article, aucun communiqué sanctionnant les travaux de cette réunion n’a été rendu public. Part ailleurs, l’exécutif du parti a été réduit à 17 membres, mais les postes les plus importants n’ont pas été touchés par ce changement, ajoute notre source.

Pour rappel, le parti de feu Hocine Aït Ahmed traverse depuis quelques semaines une conjoncture explosive, marquée par la radiation d’un membre de l’instance présidentielle, Rachid Halet, suivie de la démission fracassante de l’ancien premier secrétaire et député de Bouira, en l’occurrence Ahmed Betatache, qui a contesté l’exclusion de Halet et critiqué la gestion du parti par l’actuelle direction. De nombreux observateurs de la scène politique prédisent de nouvelles fractures au sein de ce parti à l’approche des élections législatives auxquelles le FFS a décidé de participer au cours d’une réunion de son conseil national tenue le 9 décembre dernier.

R. Mahmoudi

Comment (15)

    Djamel44
    18 décembre 2016 - 12 h 51 min

    Très bonne décision
    Très bonne décision

    rak
    18 décembre 2016 - 6 h 47 min

    roh a mi roh l’FFS yemouth

    roh a mi roh l’FFS yemouth
    …a vous n’avez meme pas eu la decense d’attendre la 1ere commemoration de la mort de Da L’Hocine pour faire main basse sur le parti afin de servir vos intérêts personnels.
    que vous le vouliez ou pas le FFS est et restera avant tout le parti de Da L’Hocine athirhem rebi mais aussi celui de said khelil, Djamel zenati, ahcene taleb,rabah aissat, rachid halet, oudahar, ramdane achab, nait djoudi, mahiout, djeddai, tabou, etc…. et de milliers d’autres que vs avez ecartés ou eloignés.. vous les militants de la 25 heure et autres transfuges du FLN et des services.
    a la queue leu leu et entredechirez vous pour la « mangeoire » bande de renégats harkis… le peuple détrompez vous saura reconnaître les siens et les gens sincères du FFS Canal historique, vous allez surement avoir des postes de « depités »( dans la limite des 25 de 91) mais certainement pas par les voix du peuple mais par le quota que vous auront attribué siyadkoum avec leur magouille innée ya r’kh….

    Rayes El Bahriya
    17 décembre 2016 - 23 h 03 min

    Démentiel ….démons du ciel!
    Démentiel ….démons du ciel!
    Après un règne du gourou A.A.H.
    Les cacatacombes nous ouvrent les portes du colysé
    Du maître tapis à Lausanne depuis plus de 50 ans.
    Une odeurs pesticimentiel nous monte aux narines.
    De vrais salamandres ont mis leur tentacules dans l’arrière
    Boutique de ces cavernes qui sentent la pourrietique d’un
    Clan maffieux sur le parti ninikiste.
    Honteux.
    C’est digne des purges entre suceurs de sangs et
    salamandres ….
    Eh oui on assiste enfin à l’auto sabordage du tita-nik.

    MELLO
    17 décembre 2016 - 13 h 34 min

    De nos jours, deux hommes
    De nos jours, deux hommes habitent la terre : l’homme du passé, et l’homme de l’avenir.
    Lequel des deux êtes-vous ?
    Approchez afin que je vous regarde attentivement et que je lise les traits de votre visage pour savoir si vous avancez vers la lumière ou si vous sombrez dans l’obscurité.
    – Approchez et dites-moi qui vous êtes, ce que vous êtes.
    Etes-vous ce politicien qui se dit : « J’exploiterai mon pays pour mon seul bénéfice ? » Si oui, vous n’êtes qu’un parasite, vivant de la chair d’autrui.
    Ou bien êtes-vous ce fervent patriote chuchotant à l’oreille de son être intime : « Je me dévoue à ma patrie en serveur fidèle ? » Si oui, vous êtes une oasis, prête à étancher la soif du voyageur.
    Etes-vous ce marchand qui, abusant des besoins du peuple, monopolise le marché afin de vendre pour un dinar ce qu’il a acheté pour une piastre ? Si oui, vous êtes un criminel, que vous viviez dans un palais ou dans une prison.
    – Ou bien êtes-vous cet homme honnête et laborieux qui, en médiateur entre acheteur et vendeur, facilite aux tisserands et aux fermiers l’échange de leurs produits, et dont l’équité profite tant à lui-même qu’à autrui ? Si oui, vous êtes un homme intègre, que l’on vous loue ou que l’on vous blâme.
    – Ou bien êtes-vous ce maître qui se tient sur l’une des tribunes de la civilisation, tel un prédicateur qui, après s’être convaincu de son propre sermon, infuse dans les esprits du peuple son enseignement inspiré des gloires du passé ? Si oui, vous êtes une panacée pour l’humanité souffrante et un baume sur les cœurs meurtris.
    -Etes-vous ce chef d’Etat qui s’humilie devant ceux qui l’ont nommé et qui humilie ceux qu’il a nommés, et qui ne tend jamais la main hormis pour vider la bourse de ses sujets ou pour les exploiter à son profit ? Si oui, vous n’êtes que l’ivraie dans l’aire où les nations battent leur grain.
    -Ou bien êtes-vous ce serviteur fidèle qui se préoccupe du bien-être du peuple et qui se voue à réaliser les ambitions des citoyens ? Si oui, vous êtes une bénédiction pour les greniers.
    – Et vous, dans quelle procession vous rangez-vous ?
    Posez-vous la question dans le silence de la nuit. Et lorsque vous vous décidez enfin de vous dégriser, jugez si vous êtes un esclave d’hier ou un homme libre de demain.
    – Par ces temps, ô combien douloureux pour la population, armés de la pensée de Hocine Aït Ahmed, comment croire que l’heure est aux aventures individuelles et aux affrontements fratricides, fussent-ils verbaux ? Le moment n’est-il pas venu, au contraire et plus que jamais, de resserrer les rangs pour ouvrir la route « aux enfants de demain », celle du combat collectif, pacifique et démocratique pour la conquête de nouvelles libertés ?
    UNE PENSEE EN MOUVEMENT
    Par Smaïl Goumeziane

      AZARUG
      17 décembre 2016 - 16 h 11 min

      Vous rêvez debout cher
      Vous rêvez debout cher monsieur. Durant les années 1990,le slogan fétiche du FFS était; »Ni Etat policier,ni Etat intégriste ».26 ans après nous sommes sous la botte d’un Etat policier et intégriste en bonne et due forme ! A cette époque de la grande illusion,le FFS pouvait mobiliser des dizaines de milliers de kabyles pou marcher à Alger et appeler à la démocratie et aux droits de l’homme.Qu’en est-il aujourd’hui ?
      Objectivement l’Algérie d’aujourd’hui est mûre pour vivre sous un Etat théocratique.Il n ‘ y pas et il n y aura pas d’alternative démocratique à moyen terme.Le courant démocratique est ultra-minoritaire en Algérie comme dans la plupart des pays dit arabes.
      Comme l’a si bien dit le Dr Saïd Sadi,si un parti islamiste prenait le pouvoir en Algérie,il va chômer ! Tout a été fait pour abrutir les algériens avec l’intégrisme religieux.Il ne reste qu’à fermer tous les commerces,les administrations…aux appels à la prière.Couper les mains des voleurs et fouetter les femmes adultères en public…Les carottes sont cuites pour l’Algérie.

        MELLO
        17 décembre 2016 - 18 h 56 min

        « Ni Etat policier, ni Etat
        « Ni Etat policier, ni Etat intégriste » ce slogan est toujours d’actualité auprès des militants du FFS et auprès de la Direction de ce parti. Effectivement, il fut un temps, les années 80/90, l’Algérien est politisé , il manie le verbe d’une pensée objective, chacun à sa manière, mais des années après, cet Algérien ne sait plus où il est, il a perdu ses repères de la vie quotidienne c’est à dire du politique et ça, il est inutile de vous le rappeler, le pouvoir (policier) en place l’ a programmé. La distribution de la rente, le verrouillage des médias et l’interdiction de manifester en sont les pourvoyeurs de cette dépolitisation. Le je-m’en-foutisme a gagné du terrain pour laisser place à un modèle social théocratique. De toute cette manipulation, le FFS n’a de cesse d’appeler à la mobilisation citoyenne: De toute évidence, ce qui importe au FFS, c’est le traitement objectif de la situation politique du pays. Bien que le régime claironne que tout va bien, les Algériens ressentent les effets néfastes de la gestion chaotique des affaires de l’État. « Le FFS considère l’absence de consensus national sur les conditions d’exercice du pouvoir et sur les conditions de la gouvernance du pays comme la cause principale des dysfonctionnements qui sapent la confiance des citoyens dans la représentation sociale et politique ». Hélas, ces dernières années, les risques de dislocation nationale incitent les formations patriotiques à adopter des choix difficiles. C’est incontestablement une pilule dure à avaler. Mais, s’il faut éviter l’effondrement de l’Algérie, elles devront participer. En ma qualité de sympathisant du FFS, je voterai avec enthousiasme pour ne pas laisser ces extrémistes s’octroyer confortablement les institutions.

          Imezzayen
          17 décembre 2016 - 20 h 42 min

          Connaissez vous la fable de
          Connaissez vous la fable de La Fontaine,l’histoire de la grenouille qui voulait devenir aussi grosse que le bœuf ?
          L e FFS a voulu jouer à la grenouille en optant pour une voie ‘nationale » pour séduire les algériens en vain.Le FFS n’a pas séduit les algériens mais en plus il a perdu les kabyles,sa base sociale naturelle.A vu snat,vru i yiwet !
          En tournant le dos au peuple kabyle qu’il ne reconnait même pas,comble du déshonneur,ce parti s’est fait hara kiri.
          Finalement le FFS est là pour empêcher l’émergence d’une force politique kabyle autonome qui n’a pas honte de sa kabylité, pour empêcher dit-il la dislocation,c’est à dire l’émancipation de la Kabylie du joug de l’Etat ethnocidaire d’Alger.La politique criminelle de dépersonnalisation du peuple kabyle est le dernier des soucis du FFS. Ainsi « l’unité nationale » sur le dos des kabyles passe avant la défense de l’identité kabyle en danger de mort.C’est le raisonnement absurde du FFS qui amorce son déclin inévitable en voulant jouer les gladiateurs de la démocratie malgré les échecs re-recommencés.

          MELLO
          21 décembre 2016 - 15 h 47 min

          La Kabylie par ci, la Kabylie
          La Kabylie par ci, la Kabylie par là, le peuple Kabyle, force politique Kabyle ?????????
          Mais j’hallucine !!! C’est purement et simplement un dérapage régionaliste et cher Imezzayen , le FFS ne joue jamais sur ce terrain. Feu Hocine AIT AHMED disait: Je n’aime pas beaucoup l’expression « spécificité kabyle », elle supposerait des droits spécifiques qu’elle opposerait à la communauté nationale. Le libre développement de la langue berbère, l’exercice, et non pas la simple tolérance du droit à la différence, dépasse un cadre territorial donné ; je dirais que l’extrême densité démographique de la Kabylie, les supports villageois de la société civile et politique en ont fait un véritable bastion du patrimoine algérien. C’est sa spécificité ; la nation algérienne a plusieurs vitesses d’évolution selon les régions. Les grands réveils de la conscience nationale ont en Kabylie un ancrage plus profond et un rythme plus rapide, et cela impose à la Kabylie des devoirs à l’égard de la personnalité nationale dont la composante berbère.

      Anonymous
      19 décembre 2016 - 20 h 04 min

      Voter ffs c’est voter
      Voter ffs c’est voter DAAOUASSOU regarder la vidéo dans la prochaine assemblée vous aurez des dipités comme ceux de cette vidéo هل هاذ المخلوقات هم من يمثلون الشعب حقيقة !!! ceux qu’on voit là c’est bien les députés ffs

    RATBAINE-HARCHAINE
    17 décembre 2016 - 8 h 16 min

    ÇA NE MÉRITE MÊME PAS D’USER
    ÇA NE MÉRITE MÊME PAS D’USER UN NEURONE POUR DÉBATTRE DE LA SITUATION DANS LAQUELLE SE DÉBAT JUSTEMENT CE PARTI D’OPPOSITION À L’OPPOSITION.

      MELLO
      17 décembre 2016 - 13 h 42 min

      Depuis sa création, et sur
      Depuis sa création, et sur son chemin il y a eu beaucoup d’obstacles. Mais le FFS ne serait pas ce qu’il est, c’est-à-dire le plus vieux et le plus solide parti d’opposition démocratique, s’il n’avait su, tout au long de ces années, serrer les dents durant les épreuves, renforcer les liens entre les militants les plus sincères, faire corps avec sa base et remonter, victorieux, à contre-courant de tous les traquenards.
      En dépit de toutes les crises, fomentées dans les officines ou générées par un climat ambiant peu soucieux de sincérité et de dialogue franc, le FFS a élargi sa base militante, conquis de nouveaux citoyens et convaincus de valeureux militants de joindre leurs forces aux siennes à travers diverses régions du pays. Cet acquis inestimable doit être mesuré à sa juste valeur.
      Pour les partis comme pour les femmes et les hommes, il faut savoir grandir, si on ne veut pas finir dans les dérives infantiles.

        Rastignac
        17 décembre 2016 - 14 h 10 min

        J’alhoucine ! Ce qui est
        J’alhoucine ! Ce qui est vrai c’est que le FFS est le témoin d’un temps dépassé. Le FFS qui ne fut qu’un anachronisme persistant a mis du temps pour sombrer, mais il sombre aujourd’hui. « Il faut savoir partir si on ne veut pas finir dans des dérives infantiles ».

          MELLO
          17 décembre 2016 - 19 h 08 min

          Notre pays – qui avait entamé
          Notre pays – qui avait entamé, à la fin des années 1980, une des expériences les plus intéressantes d’ouverture démocratique au sud de la Méditerranée – retombe dans le gangstérisme politique d’une oligarchie criminelle. Celle-ci a-t-elle pu masquer sa nature brutale et prédatrice en jouant admirablement de l’islamophobie ambiante, en instrumentalisant des élites fort peu intéressées par l’émancipation politique de leur société ou, plus prosaïquement, en « achetant » la « compréhension » des partenaires de l’Algérie à coups de pétrole et de gaz… et en laissant planer la menace de violences sur leur propre territoire ? Dès lors, la crise actuelle tient moins à l’opposition entre deux visions différentes de l’exercice du pouvoir qu’à l’exacerbation d’une vieille crainte des décideurs algériens : celle de voir l’un d’entre eux, n’importe lequel, accaparer tous les leviers du pouvoir. On aurait toutefois tort d’y voir de la passivité ou une patience illimitée. Jamais les Algériens ne se sont sentis aussi démunis et humiliés. Jamais la jeunesse ne fut aussi désemparée, comme le nombre croissant de suicides en témoigne. Jamais, elle n’a autant manifesté pour des revendications aussi précises que légitimes. Jamais elle ne fut aussi indistinctement réprimée. Les enjeux dépassent plus que jamais les considérations de personne, de région ou d’appareil. Nous ne pourrons faire l’économie de révisions déchirantes si nous voulons refonder l’Etat et la nation. Et s’il y a un enseignement à tirer de sa participation, c’est que le FFS n’hésite pas à venir au secours de l’Algérie en danger, mais il n’accepte pas qu’on l’utilise comme rampe de lancement.

          Rastignac
          17 décembre 2016 - 22 h 03 min

          Je vous rejoins sur tout,
          Je vous rejoins sur tout, sauf quand vous proclamez que Le FFS pouvait être une alternative alors que c’est plutôt lui qui en squattant le champ politique a empêché la possibilité d’une autre alternative. Hors de lui point de salut. Avec lui non plus, nous l’avions vu.
          Le drame c’est d’en être réduit à attendre chadi li yahleb a défaut d’un nouveau messie. Effectivement le FFS dont hiérarques et ténors ont toujours proclamé qu’il été le vrai FLN, un FLN moderne, où comme l’ont taxé ses détracteurs : à peine un FLN kabyle, sans plus, est l’incarnation de notre crise à tous les points de vue. La crise gramscienne où le nouveau n’a pu naitre et le vieux tardait à mourir. Ce FFS n’a pas empêché la crise telle que vous la définissiez, et n’a été que le cadet des soucis des tenants qui, je vous l’accorde, avait d’autres hantises. Il ne diffère en rien de son alter égo : le FLN classique qui a été galvaudé par la praxis. Cela suffit-il pour claironner que nous avions raté quelque chose pour ne pas l’avoir suivi et que nous lui devrions même de nous avoir sauvés du pire ?

    Rayes El Bahriya
    17 décembre 2016 - 6 h 23 min

    Le poufff f.f.s

    Le poufff f.f.s
    Un grand walooooo
    Leurre fils prêche sur les ondes de la télévision suisse
    romande …
    Les marabouts tout est permis pour eux
    Tout est interdit aux autres.

    Parti guignolesque

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