L’Algérie pourra transformer tout son pétrole dès 2025

Noureddine Boutarfa, ministre de l'Energie. New Press

L’Algérie pourra transformer localement toute sa production de pétrole brut à l’horizon 2025 grâce aux projets de pétrochimie actuellement en réalisation ou à l’étude, a indiqué le ministre de l’Energie, Noureddine Boutarfa, dans un entretien au quotidien L’Expression, publié mercredi.

«Si tous les projets dans le raffinage et la pétrochimie arrivent à leur terme, l’Algérie pourra transformer toute sa production de pétrole brut à l’horizon 2025», explique Boutarfa, soulignant que le pays sera, dès lors, un «exportateur marginal» de pétrole. Ces projets permettent d’entrevoir un «bond appréciable» dans le domaine de la diversification et de la substitution aux importations, selon le ministre qui a précisé que les quatre raffineries à venir (Tiaret, Hassi Messaoud, Biskra et Arzew) accroîtront la production de carburants de quelque 20 millions de tonnes. Ces quantités sont «largement suffisantes pour la consommation locale, avec un surplus qui sera destiné à l’exportation», avance Boutarfa, considérant que cette projection faite par le gouvernement est aussi «le grand défi de Sonatrach».

Abordant le gaz de schiste, il a estimé que le déclin «inéluctable» du gaz conventionnel imposait le développement de cette ressource. «Nous sommes condamnés à y aller un jour ou l’autre. Maintenant, il faut dialoguer, sensibiliser et être à l’écoute des préoccupations afin de dédiaboliser les hydrocarbures non conventionnels», a-t-il considéré. Concernant les derniers appels d’offres internationaux pour l’exploration et l’exploitation des hydrocarbures en Algérie, Boutarfa a jugé que les dispositions fiscales contenues dans la loi sur les hydrocarbures en vigueur depuis 2013 ne favorisaient pas leur succès. Il a indiqué, dans ce sens, que le gouvernement pourrait recourir à la révision de cette loi dans son aspect fiscal si cette démarche s’avèrerait nécessaire. «Nous examinons la situation pour voir s’il est absolument nécessaire de réviser la loi. Personnellement, je ne suis pas très favorable à la révision de but en blanc. La loi est incitative dans beaucoup d’aspects, mais il y a certains paramètres à réviser par voie réglementaire de façon à donner plus d’attractivité au secteur sans avoir à modifier le texte législatif», a-t-il noté.

Evoquant l’application de la baisse de production de brut algérien, dans le cadre de l’accord de l’Opep, le ministre a expliqué que l’Agence nationale pour la valorisation des ressources en hydrocarbures (Alnaft) avait la prérogative légale de contraindre toutes les entreprises étrangères activant en Algérie à réduire leur production. «L’opération sera gérable puisqu’il s’agira de décisions prises d’un commun accord entre la compagnie nationale et ses partenaires. Il n’y a donc aucun problème à ce niveau. Au demeurant, la réduction est assez faible : 50 000 barils/jour répartis entre les producteurs est une équation très facile à résoudre», soutient-il.

Concernant le marché international du gaz, le ministre a estimé que le pays n’avait d’autre choix que de se mettre en compétition avec les autres producteurs pour garder ses parts de marché et pour pouvoir placer son gaz. Selon lui, «nous sommes face à une nouvelle réalité (du marché)» et les contrats à long terme vont devenir «très difficiles» à maintenir vu l’évolution du commerce du gaz naturel liquéfié (GNL).

R. E. 

Comment (30)

    May
    10 février 2017 - 19 h 19 min

    SVP COMMENCEZ PAR ÉLIMINER L
    SVP COMMENCEZ PAR ÉLIMINER L ESPRIT DE VENGEANCE QUI REIGNE SONATRACH. CELUI QUI ARRIVE AU COMMANDEMENT ACHÈVE SON ENNEMI INETRNE IL L ATTEND AU TOURNANT SANS OUBLIER DE SE REMPLIR LES POCHES ET DE FAIRE UNE SITUATION CAR ILS SAVENT QU ILS OCCUPENT DES SIÈGES EJECTABLES LIMITES DANS LE TEMPS

    Anonymous
    30 décembre 2016 - 16 h 53 min

    Sonatrach , une société
    Sonatrach , une société stratégique en déclin, a besoin plus que jamais de réformes profondes, et modernes,
    Et d’une révolution culturelle-managériale
    Pour réformer, et changer totalement ses structures, et son management obsolètes
    Du bon vieux temps du socialisme surréaliste, et utopique qui a mené à la bureaucratie monstre, et paralysante
    A l’inertie? et à la stagnation
    Apprendre des expériences des multinationales, et des compagnies pétrolières étrangères
    N’est pas une faiblesse, où un défaut, mais c’est une qualité,
    Et un courage de prendre des initiatives innovantes, et salutaires
    Contre l’inertie, la mort lente, et la disparition à terme

    Erdt
    29 décembre 2016 - 21 h 00 min

    Faut pas qu’on se trompe!!
    Faut pas qu’on se trompe!! Nous ne sommes pas riches,nous ne sommes pas gros producteurs de pétrole! Nous sommes derniers dans l’OPEP!! G souvent proposé à nos confrères économistes spécialistes de l’industrie et du pétrole de faire la simulation suivante: l’Algérie développé une industrie pour remplacer les importations,dans tous les domaines et en particulier pétrochimique,chimique en général,pharmaceutique ,mécanique…… Que resterait nous de pétrole à exporter?? Rien!!! Les chiffres sont là et donnés par le ministre lui même: la consommation des ménages à elle seule progresse à un rythme que sonelgaz n’arrive pas à suivre!!! La consommation de l’industrie est minime par rapport à celle des ménages!! Ça veut dire quoi?? La réponse va de soi!! En réalité on ne devrait pas être exportateur de pétrole,et les plus pessimistes disent que dans un avenir proche on sera dans l’obligation d’importer du pétrole!! Car 2030 n’est pas un horizon,encore moins 2020 c demain!! Alors si bouterfa allez vite vers le solaire! C gratui inépuisable!!!

    Anonymous
    29 décembre 2016 - 10 h 19 min

    Seules des réformes, et des
    Seules des réformes, et des restructurations organisationnelles, économiques, managériales, et financières
    Pourraient sauver l’Algérie, et Sonatrach d’une banqueroute, où d’une faillite, dans l’avenir

    Dans une démocratie, dans une justice, et dans une transparence crédibles

    La fuite en avant , sans marquer un arret, se corriger, se réviser, ne sert absolument à rien,
    Une pure perte de temps, et de moyens inutiles que nul n’a besoin

    Malika
    29 décembre 2016 - 8 h 07 min

    Pourquoi en parler maintenant
    Pourquoi en parler maintenant pour donner la possibilité aux ennemis de notre pays d’y mettre des obstacles. Attendez de le réaliser et a ce moment criez-le.

    Aich Benguendouze
    29 décembre 2016 - 2 h 01 min

    Depuis la decouverte du
    Depuis la decouverte du petrole en Algerie et surtout depuis 1962….2025 pour etre en mesure de raffiner tout le petrole algerien….2025….? quelle tres bonne nouvelle

    Anonymous
    28 décembre 2016 - 21 h 35 min

    L’Algérie pourra transformer
    L’Algérie pourra transformer tout son pétrole dès 2025 sous l’égide du Docteur El Raqqi Belahmar sans oublier INCHALLAH

    Anonymous
    28 décembre 2016 - 21 h 09 min

    L’Algérie pourra transformer
    L’Algérie pourra transformer tout son pétrole dès 2025
    Il faut tout d’abord, commencer par entreprendre des réformes profondes (de fond en comble)
    Et de restructurations des modes de gestion des directions, et départements ministérielles,
    Directions, et départements techniques, technologiques, industrielles opérationnelles,
    Et unités, et usines de Sonatrach,…..
    Pour un changement radical, et total du Management de Sonatrach
    Qui hérite d’une gestion administrative, et bureaucratique lourde
    De l’époque socialiste obsolète, d’une administration trop lourde,(l’inertie, pas d’initiatives, pas d’innovations)
    (….avec les nouvelles technologies, et les changements de conjonctures, et d’alliances internationales rapides)
    Les réformes, et les restructurations de Sonatrach devraient etre étudiées, planifiées, et par étapes,
    Sans grands à coups pour réunir les conditions de succès
    Et sans règlements de comptes, où les droits, et les devoirs du personnel de Sonatrach seront préservés
    Dans la dignité, et le respect

    Karamazov
    28 décembre 2016 - 19 h 21 min

    @ souk Ahras ! Allons, voyons
    @ souk Ahras ! Allons, voyons ! Le chiwawa a raison ! AP a tout un chenil comme ça dressé que pour mordre. Mais qui te parle de raffinage ? On parle de « transformation » ! Et seulement « Si les projets arrivent à leur terme ». Et quand il n’y aura plus de pétrole, on vendra le sable. Et après on vendra les trous. Tu sais ce qu’on dit de ces gens : donnez-leur le désert et dans quelques années ils achèteront du sable.

      souk-ahras
      28 décembre 2016 - 20 h 19 min

      Vous ne croyez pas si bien
      Vous ne croyez pas si bien dire ! Il y a quelques toutes petites années, les espagnols ont réussi l’exploit sidérant de nous vendre du sable qu’ils disent  »raffiné » pour le compte des chemins de fer algériens. Ya bou rab !

    AMAR MOKHNACHE
    28 décembre 2016 - 19 h 18 min

    HUGH ! a dit le grand sachem
    HUGH ! a dit le grand sachem ! on ne decide pas comme ca sur le developpement de la filliere! s il y avait un marche financier operationnel la demande locale et exterieure determinera quelles fillieres IL FAUT developper ET pour quels couts et quels seront les avantages preferentiels que l on offrirait….IL FAUT DES ETUDES TECHNICO-ECONOMIQUES completes mais surtout RESPONSABLES POUR NE PAS ENGAGER LE PAYS DANS DES INVESTISSEMENTS QUI PEUVENT ETRE AVANTURIERS….IL SERAIT PLUS SAGE D ATTENDRE QUE LE MARCHE FINANCIER VOIT LE JOUR POUR QUE L ON PUISSE LE SOLLICITER ET C EST AUX PROMOTEURS DE PRENDRE LA RESPONSABILITE DE L ACTE D INVESTIR DES TRUCS PAREILS!!! SONATRACH POURRAIT PARTICIPER ET FORMER DES ADMINISTRATEURS A MEME DE DEFENDRE SES INTERETS….dans les CA DES NOUVELLES SOCIETES….

    ALI/ALGER
    28 décembre 2016 - 18 h 18 min

    c’est parfaitement bien et d
    c’est parfaitement bien et d’ailleurs ce que nous attendions depuis des decenies .le petrole que nous vendons a l’etat brut n’est guerre rentable pour notre pays du fait que nous rachèterons ses derives avec les memes dollars que nous en vendions .dernièrement j’ai eu les larmes aux yeux en voyant un documentaire sur l’extraction du petrole en birmanie c’est avec les moyens les plus modestes que les gens parviennent a extraire des tonnes de petrole . et le raffiner aussi dans des raffineries tres modestes .et si nous avions opte pour le raffinage du petrole plutôt que le vendre en brut nous aurions gagne beaucoup d’argent et pereniser nos ressources petrolieres pour plusieurs siecles .mais helas l’homme qu’il fallait n’était pas a la place qu’il fallait .nous comptons sur vous mr boutarfa bonne chance et graver votre nom dans l’histoire de l’algerie de demain . et bravo.

    fakou
    28 décembre 2016 - 18 h 12 min

    Il faut d’abord faire le
    Il faut d’abord faire le bilan de toutes les unités de pétrochimie (et de raffinage ) à l’arrêt et essayez de les redémarrer.
    Ces unités trop complexes pour le pousse-bouton ne marchent pas. J’ai une autre mauvaise nouvelle: les nouvelles unités de raffinage vont elles aussi devenir complexes. Vous avez compris bonjour les dégats.
    Dans le cas de la raffinerie d’Alger, les problèmes commencent avant même la réalisation et on, fait appel aux chinois qui ont raté la raffinerie du sud ouest.
    Quand il n’y aura plus d’argent pour importer du gasoil subventionné à 90% dont une bonne partie est destinée à la contrebande, que fera-t-on? MR BOUTERFA.. vous avez interet à imposer le GPL carburant et avant qu’il ne soit trop tard et ne nous endettez pas pour rien à coup de milliards de $ en construisant des unités pétrochimiques et maintenant des raffineries pour les fermer (Polymed..). Au fait, pourquoi avoir cédé au DA symbolique les usine d’engrais à un étranger?

    souk-ahras
    28 décembre 2016 - 17 h 34 min

    Raffiner du pétrole qu’on n
    Raffiner du pétrole qu’on n’aura plus ??? Il est affligeant de constater que depuis 1999, on a toujours fait appel à un travestissement frénétique du calcul comptable afin de construire des autoroutes au mensonge, à la corruption et à la dilapidation effrénée.

      T'MESSGHIR
      28 décembre 2016 - 18 h 20 min

      @souk-ahras (non vérifié), tu
      @souk-ahras (non vérifié), tu n’as rien compris hélas à ce que dis le Ministre Bouterfa ! Ce n’est pas grave ! Essaye juste d’améliorer tes connaissances sur les enjeux énergétiques de l’Algérie et le marché international de l’énergie. Je sais que ce n’est pas facile et c’est pour çà que le juge t’accorde les circonstances atténuantes !!

        souk-ahras
        28 décembre 2016 - 19 h 04 min

        Le pétrole, en fin de vie
        Le pétrole, en fin de vie aujourd’hui, n’a servi qu’à nous faire marcher à reculons, et ces projets, coûteux, surréalistes et anachroniques, accéléreront cette marche. Je te félicite quand même de bien cerner les enjeux énergétiques de notre pays, C’est l’essentiel.

        misanthrope
        28 décembre 2016 - 20 h 13 min

        Encore un flagorneur! A t’il
        Encore un flagorneur! A t’il jamais dt queue chose de sensé ce ministres! Encore un de ses sbires qui a prés de 74ans et ki continue à exercer dans une ds société sans rien foutre

    Amar
    28 décembre 2016 - 16 h 49 min

    Ce sont des projets achetés
    Ce sont des projets achetés clé en main, c’est du déjà vue. où sont passées toutes les usines acquises par l’Algérie.
    Enfin sait-on jamais tout peut arriver!

    la vérité si je mens
    28 décembre 2016 - 16 h 33 min

    c’est des vents dans les
    c’est des vents dans les filets;ce discours on la déja entendu depuis presque notre indépendance; bientot soixante ans que nous sommes soi-disant libre et indépendant;nous dépendons toujours de l’occident et les autres pays; voir le vietnam qui a eu son indépendance en 1975; il ne dépend plus d’autres nations;si demain le pétrole disparaitre nous mourons de la famine;

    misanthrope
    28 décembre 2016 - 16 h 24 min

    Trop d’éloges pour ce
    Trop d’éloges pour ce ministre, C’est à croire que tous les conseillers et autres supplétifs se sont « mobilisé » pour chanter les louanges d’un homme qui a raté lamentablement son passage à Sonelgaz! Triste pays dans lequel les ploucs s’érigent en commentateurs « avisés  » de l’actualité et en expert es qualité! A mon avis, c’est une erreur de casting que d’avoir nommé certains ministres à ces postes là! Arrêter de louer les mérites d’un ministre qui a transformer Sonelgaz en mandiante du trésor public. La bonne entreprise est celle qui reçoit 0 DA DE SUBVENTION. Le peuple est trompé par le mirage du prix du pétrole!

    Karamazov
    28 décembre 2016 - 16 h 09 min

    Au fait, je n’y étais pas : l
    Au fait, je n’y étais pas : l’Algérie pourra transformer tout son pétrole en 2025. Avec les prestidigitateurs qu’on a c’est sûr qu’ils pourront le transformer . Mais en quoi ? Prions pour que leurs projets n’arrivent pas à terme!

    Nasser
    28 décembre 2016 - 16 h 07 min

    de lui je dirais qu’ il est
    de lui je dirais qu’ il est tout aussi remarquable et talentueux que notre MAE dans son portefeuille, alors ne nous privons pas de Ses compétences et cela quels que soit les gouvernements qui se succéderont, ce sont des hommes qui sont au service de l’ ALGERIE TOUT COMME LE SONT NOS MILITAIRES
    (IL EST TOUT L’ OPPOSÉ D’ UN CERTAINS MINISTRE DE L’ ENERGIE QUI C’ EST FAIT CONNAITRE PAR SON TALENT D’ ESCROC…..)

    Karamazov
    28 décembre 2016 - 15 h 46 min

    « Si tous les projets dans le
    « Si tous les projets dans le raffinage et la pétrochimie arrivent à leur terme..  » Quel optimisme ! Comme quoi… Vous comprenez pourquoi j’ai manqué d’enthousiasme à propos du dromadaire volant, rien que le nom dija: « Espoir 3 ». C’est révolving, quoi ! Ou comme les droites parallèles, bi idni Allah. Franchement si on récupérait toute les valeurs ajoutées à notre pétrole que vont deviendre nos import-importateurs et tateuses?

    benmegatel
    28 décembre 2016 - 15 h 45 min

    à manman 1954 vous dites  »
    à manman 1954 vous dites  » Il était temps. L’Algérie ne va plus vendre du pétrole brut. » camarade francophone dites plutôt  » En 2023 l’Algérie exportera sa dernière goutte de pétrole brut  » .
    En effet petit problème des anciennes classes de 1ère.
    Exportations petrolières = (Production) moins (Consommations domestique)
    sachant que (voir stat OPEP ou BP)
    – Production petrole brut 2016 (hors condensat lié au GN) : 1,08 million baril/ jour avec un taux de déclin de – 5 % ( en fait -3 à – 6 % )
    – Consommation domestique de produits pétroliers en 2016 : 0,44 million baril/jour avec un taux de croissance de + 8% (cf analyse des données statistiques)

    d’où Production en 2023 (dans 6 ans) : 1,08 * ((1- 0,5) puissance 6) = 1,08 * ((0,95) **6 = 1,08 * 0,73= 0,79
    et Consommation en 2023 : 0,44 * ((1+ 0,08) puissance 6)= 0,44 * ((1,08)** 6) = 0,44 * 1,58 = 0,7
    d’où l’égalité vers la mi 2023 qui donnera

    exportations de pétrole brut en 2023 = production (2023) moins consommation (2023) = ZERO

    Zero comme zéro $ et Zéro importations de blé, médicaments, pièces de rechanges ,essence, gaz oil, panneaux solaires, kiwis, vêtements

    et Adieu veaux vaches cochons ou la cigale et la fourmi (fables de la Fontaine

    Dr A. K. , Ingénieur Civil des Mines , Ingénieur IFP (Institut Français du Pétrole)

      fakou
      28 décembre 2016 - 18 h 17 min

      Vous n’êtes pas loin de la
      Vous n’êtes pas loin de la vérité… la crise énergétique a été programmée de manière scientifique, notamment avec la réalisation de 3 complexes d’engrais alors que le gaz est en chute libre.
      On a des taux de croissance de 14% pour électricité.. Ils ont mis le fil à la terre. et au sus, avec la baisse des prix, ils climatisent les fenêtres ouvertes.

    misanthrope
    28 décembre 2016 - 15 h 35 min

    Comme les contrats ECA ou le
    Comme les contrats ECA ou le take or pay qui ont bouffé toutes les subventions du trésor public au profit de micro sociétés inutiles et budgétivores (même étrangères). Nous avons raté nos contrats de transformation du gaz en electricité! De là à transformer le pétrole en autre chose, le marché sera hyper saturé! Révons toujours et continuons à scruter le prix du baril….C’est l’ambition qui est présenter aux futures génération. Spéculons sur les marchés spot pour assurer un prix artificiel au pétrole et un avenir vert de gris aux futures générations.Inquiétant

    el wazir
    28 décembre 2016 - 15 h 04 min

    es ce que la transformation
    es ce que la transformation de la totalité de notre production produira plus de valeur ajoutée pour notre économie et es ce que toutes les quantités transformées peuvent être vendues au prix désiré, une étude de marché s’impose

    manman1954
    28 décembre 2016 - 14 h 48 min

    Il était temps. L’Algérie ne
    Il était temps. L’Algérie ne va plus vendre du pétrole brut.

      1.2.3...
      28 décembre 2016 - 15 h 23 min

      « pour cet entretien exclusif,
      « pour cet entretien exclusif, avait le visage apaisé, mais qui laissait transparaître les stigmates d’une grande fatigue après un long périple à travers le monde… pétrolier. Lui, c’est Noureddine Boutarfa, le ministre de l’Energie qui sourit par les yeux. Mais ce n’est pas son seul atout. Il sait écouter ses interlocuteurs, synthétiser leurs idées pour en extraire le jus qui agrée les Palais des rois et étanche la soif des Républiques. Négociateur coriace, M. Boutarfa a déployé des trésors de diplomatie pour réussir un challenge presque impossible, même pour les initiés ». In L’Expression

        What else
        29 décembre 2016 - 8 h 22 min

        magistralement éloquent, le
        magistralement éloquent, le summum du professionnalisme de la presse. Isn’t it Mister Grine?

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