Dieu vous aveuglera et vous vous en irez (I)

Par Ali Farid Belkadi – «Il y a trois ports excellents en Afrique, juin, juillet et août», dit un jour l’amiral Andréa Doria à Charles-Quint qui réfléchissait à la manière de prendre Alger. On sait que ni l’un ni l’autre ne réussirent dans leur tentative de surprendre la ville.

Cette fois, des Européens, Français ceux-là, sont bel et bien aux portes de la ville. Ils ne sont pas arrivés frontalement pour braver les Algériens. Ils ont choisi de débarquer à quelques encablures de la ville. A Sidi Ferruch.

Lorsque les Français mirent le pied sur le sol algérien, l’armée turque était dirigée par un général qui n’avait aucune connaissance de l’art militaire, selon le secrétaire du dey, Hamdan Khodja. Ce général, Ibrahim Agha, était le gendre du dey d’Alger.

Un immense champ de manœuvres

A Sidi Fredj, aucune artillerie ni aucune fortification n’avaient été préparées pour recevoir les Français. Hormis une douzaine de canons fatigués, qui avaient été mal disposés sur le site par le prédécesseur de l’agha Ibrahim. Hamdan Khodja, témoin des évènements, écrit : «Une nuit, je me trouvais au milieu de son camp (le dey) ; j’avais besoin de quelque chose, et au lieu d’envoyer le domestique, je fus moi-même à sa tente. Je parcourus le camp, j’entrai chez lui, je pris ce dont j’avais besoin sans que personne ne s’en aperçût, toute l’armée étant dans un profond sommeil, et je ne rencontrai pas une seule sentinelle pour veiller contre une attaque de l’ennemi. (…) Ibrahim Aga voulait faire la guerre aux Français sans troupe organisée, sans munitions, sans vivres, sans orge pour les chevaux, et sans avoir la capacité nécessaire pour faire la guerre. (…) Lors de la défaite de Staouali, cet aga quitta le camp entièrement découragé et comme s’il eût perdu la tête. Les tentes, le corps de musique, les drapeaux et toute son armée, il avait tout abandonné. Si Bourmont, ce jour-là, eût dirigé sa troupe vers le fort de l’Empereur, il n’aurait rencontré aucun obstacle.» (Hamdan Khodja, Le miroir : aperçu historique et statistique sur la Régence d’Alger. Sindbad. Paris. 1985, page 168).

Dans ce livre, Hamdan Khodja rompt singulièrement avec le marasme intellectuel qui prévalait dans la société algérienne du début du XIXe siècle. Le miroir, qui a été publié à Paris en 1833 sous le titre Le miroir (Aperçu historique et statistique de la Régence), sera contesté par le maréchal Clauzel dans un texte intitulé «Réfutation» (du livre de Hamdan Khodja), paru dans l’Observateur des Tribunaux en 1834. Hamdan Khodja réfutera les propos du maréchal Clauzel dans ce même journal.

Relation de Hadji Ahmed Efendi

Le débarquement a eu lieu le 14 juin, à 3h du matin. Bessières et Charles de Bourmont entrent les premiers dans une batterie turque. Le 21 juin 1830, la ville de Toulouse «a voté une souscription de 1 600 francs en faveur du soldat français qui pénétrera le premier dans les murs d’Alger».

Hadji Ahmed Efendi, natif d’Alger, occupait le poste de gouverneur (kaimakam) d’Alagah, en Anatolie, après son départ d’Alger. Il fut témoin oculaire et actif des évènements qui agitèrent la Régence d’Alger.

«(…) Dans la première décade de la lune de Chawal (26 mars-4 avril 1830), deux bâtiments français ayant échoué la nuit près du susmentionné endroit appelé Tassara, leurs équipages qui étaient descendus à terre furent attaqués par les Arabes, qui conduisirent à Alger quatre-vingt-seize prisonniers et y portèrent cent huit têtes. Le 8 zilhidjé (30 mai 1830), le pacha fit arrêter les nommés Cara Moustapha Khodja, Kirkor Ibrahim, Deli Imam et Mehmed Tchauch. Tous les quatre furent mis à mort la veille de l’arifé. ‘‘Ceux-ci, dit le pacha à cette occasion aux gardiens de la caserne, font partie de la bande des vingt-sept individus qui conspirent contre moi ; quant à ceux qui restent, j’espère pouvoir leur faire subir le même sort.’’

Comme cependant tout le monde ignorait le crime pour lequel ils avaient été exécutés, les soldats s’en alarmèrent, et, dès lors, une méfiance réciproque commença à se faire jour entre la milice et le pacha. Sur ces entrefaites, les ennemis de l’islamisme tentèrent, le 13 de la lune de zilhidjé (4 juin), un débarquement à Sidi-Fredj, endroit situé à l’ouest, à quatre lieues environ d’Alger. Bafreli Ibrahim Deyi, gendre du pacha et commandant en chef des guerriers arabes, essaya de leur résister à la tête d’un détachement de ses troupes ; mais, culbuté par l’ennemi, il dut se replier sur Usta-Veli (Staouali), endroit situé à peu près à une heure de Sidi-Fredj. Là il fut rejoint par mille hommes faisant partie de la garnison turque de la ville, qui alors se composait de trois mille hommes, ainsi que par les Arabes accourus de toutes parts.

Le samedi 18 de la lune de zilhidjé (9 juin), les musulmans attaquèrent les infidèles et les mirent en déroute. Déjà, nombre de têtes et d’oreilles avaient été expédiées à la ville, où leur arrivée fit éclater un sentiment de satisfaction générale, lorsque la chance tourna, et cette fois-ci ce furent les guerriers musulmans qui battaient en retraite. Alors, le pacha me fit quérir pour me faire part de la défaite qu’on venait d’éprouver. Je tâchai de le consoler, après quoi il alla se jeter au-devant des fuyards que, par ses exhortations et ses bons conseils, il parvint à faire rebrousser chemin jusqu’à Aine-Zirka.

Là eut lieu une nouvelle rencontre avec les infidèles, qui, après un combat de quelques instants, se retirèrent sur Sidi-Mohamed, où ils s’arrêtèrent. C’est dans cette position, c’est-à-dire les Français se maintenant à Sidi-Mohamed et les musulmans à Aine-Zirka, que le combat se renouvelait du matin au soir pendant douze jours. (…) Les infidèles, ceux-ci réussirent à mettre le siège devant la citadelle d’Alger, tout en ouvrant des tranchées autour de la ville. Le même jour, les bâtiments chrétiens partis de Sidi-Fredj s’embossèrent devant la rade d’Alger.

Le bombardement, simultanément ouvert par terre et par mer, se prolongea jusqu’à ce que la garnison du fort situé sur le flanc de la montagne et appelé le fort Espagnol, se voyant hors d’état de résister davantage, l’abandonnât après avoir mis le feu à la poudrière. L’explosion fit trembler la ville et frappa de stupeur tout le monde. Alors, Hussein Pacha convoqua les notables de la ville pour tenir conseil. La population toute entière vociférait contre lui en l’accusant à hauts cris d’être l’auteur de sa présente situation. En attendant, il avait député le consul anglais ainsi que son Divan Efendi et le capitaine Arnaut (l’Albanais) Ali vers le commandant en chef de l’armée française, afin de sonder ses intentions.

Celui-ci répliqua par une missive suivant les termes de laquelle il accordait vingt-quatre heures pour délibérer sur la reddition de la place, tout en déclarant qu’il sévirait contre elle dans le cas où il devrait l’emporter de vive force. Lecture ayant été faite de ce rescrit, le pacha, d’accord avec les principaux personnages de la ville, vota en faveur de la soumission. Quant à moi, ne pouvant m’y décider, j’assemblai les pieux musulmans, et, tout en leur exposant ce qu’il y avait de glorieux dans le martyre et quelle était la récompense réservée à ceux qui savaient se dévouer à la cause de Dieu, je les engageai à me suivre (contre l’ennemi). Effectivement, ils firent pénitence, et, après s’être réciproquement pardonné leurs péchés, ils se mirent en marche derrière moi en entonnant le cri du Tekbire (Dieu est grand). En ce moment, les femmes se précipitent au-devant de nous, jetant leurs enfants à nos pieds et s’écriant ‘‘C’est bien si vous êtes vainqueurs, mais si vous ne l’êtes pas, sachez qu’alors les infidèles viendront nous déshonorer. Partez donc ; mais avant de partir, immolez-nous !’’. Pendant que je m’exerçais d’apaiser les femmes, le pacha me fit chercher et me dit «Sache, mon fils, que j’ai désobéi à notre souverain, qui ne m’a pas autorisé à agir comme je l’ai fait. Aussi ai-je succombé. Tel est le sort de ceux qui se mettent en opposition avec leur padichah. Ces paroles, je les transmis aux soldats, en leur faisant comprendre que, puisque le khalife était contraire à la guerre, la religion nous commandait de ne pas la continuer. Là-dessus ils s’écrièrent ‘‘Ah c’est donc ainsi que se sont passées les choses. Après avoir, par amour pour la foi et notre souverain, quitté notre famille et notre patrie pour endurer dans ce pays lointain toutes les privations de l’exil, nous voici, après tout, réduits à l’état de rebelles’’. Et ils voulurent tuer le pacha. Hélas à quoi cela aurait-il servi, Alger ayant été une fois détruit !

Dieu préserve tout pays musulman d’un pareil spectacle, les infidèles firent leur entrée dans la ville. Sur ces entrefaites, toute la population, hommes et femmes, se pressait au seuil de mon logis en criant d’un ton lamentable : ‘‘Puisque déjà il faut périr, mieux vaut mourir devant la porte d’un alim (membre du clergé musulman) !’’ A cet aspect, le cœur me défaillit, et je m’imposai l’humiliation d’aller intercéder en leur faveur auprès du commandant en chef des infidèles. Grâce à mille procédés insinuants, je réussis à en obtenir une déclaration (patente) assurant le libre départ à ceux qui voudraient partir, et sécurité pleine et entière à ceux qui compteraient rester.

En outre, il y fut inséré l’autorisation de continuer, comme par le passé, le libre exercice d’el-âdhân (appel à la prière du haut des minarets). Cette déclaration, je la fis approuver par les consuls des autres puissances, qui y apposèrent leurs sceaux respectifs. Ensuite je retournai au milieu du peuple assemblé devant ma maison, et, en lui consignant le papier en question, je lui dis : C’en est fait d’Alger, mais n’importe, et vive le sultan. De quelque côté qu’il tourne le regard. (…) Ce fut Hamdan-Ben-Ahmed-Khoja qui négocia le traité de capitulation au nom du dey dont il fut le secrétaire. Hadji Ahmed Efendi, mufti d’Alger et auteur de cette notice, s’en attribue tout. Finalement, je suis arrivé ici (à Constantinople) avec ceux qui ont émigré dans cette direction. Cependant, partout où éclatera la guerre sainte je m’y rendrai, oh ! Certes, je m’y rendrai, et ce n’est qu’avec ma vie que je renoncerai à la guerre sainte ! Plaise à Dieu que cela soit ainsi.»

Cette longue citation est extraite de La prise d’Alger racontée par un Algérien. Texte turc traduit par M. Ottocar de Schlechta (Journal asiatique, extrait n°11, année 1862).

Aussitôt le départ des Turcs, l’Algérie devint un immense champ de manœuvres pour l’armée française, pour ainsi dire ininterrompu depuis l’invasion d’Alger en 1830, jusqu’aux essais nucléaires à usage militaire, qui se poursuivirent bien au-delà de l’indépendance du pays, le 5 juillet 1962.

Ali Farid Belkadi
Historien, anthropologue

(Suivra)

Comment (43)

    RAYES EL BAHRIYA
    31 décembre 2016 - 15 h 20 min

    Résumé


    Résumé

    Qui était Barberousse ? Pas seulement, comme le raconte la légende, un corsaire cupide et cruel qui semait la

    terreur dans toute la méditerranée. De son vrai nom Khayr-ed-Din ibn Yacoub, fils d’un ancien janissaire devenu

    potier dans l’îlede Mytilène, en Grèce, Barberousse fut un brillant navigateur aux côtés de son frère Aroudj

    auquel il a succédé sur le trône d’Alger. Grand chef politique, habile et fin stratège, il deviendra le personnage

    incontournable dans la lutte à mort à laquelle se livrèrent Soliman, Charles Quint et François 1er au XVI° siècle.

    Geneviève Chauvel, historienne et romancière, nous livre ici un portrait sans concession, vibrant et flamboyant,

    de cet homme au destin hors du commun.

    Geneviève Chauvel : BARBEROUSSE , LE MAITRE DE LA MEDITERRANNEE
    ISBN : 235315073X
    ROMAN

    Éditeur : BALLAND (2010)

      Anonymous
      2 janvier 2017 - 14 h 43 min

      Geneviève Chauvel c’est Made
      Geneviève Chauvel c’est Made in Taiwan, ici nous consomnons algérien !

        Anonymous
        7 janvier 2017 - 23 h 50 min

        @raïs as zoufriya, Geneviève
        @raïs as zoufriya, Geneviève Cauvel a écrit un roman, de la fiction ici le texte parle d’histoire, nuances, avec des références parfois inexploitées, livrées aux visiteurs de AP.

    ASSIMA
    31 décembre 2016 - 13 h 47 min

    Arrêter vos chamailles arabe
    Arrêter vos chamailles arabe/kabyle, avant 62 tous les algériens utilisaient le mot arabe pour dire musulman en opposition aux kouffar français, que ce soit en kabylie, dans les aures ou ailleurs, ce n’est qu’après l’indépendance que les voyous d’oujda ont donné un sens éthnique et idéologique à ce mot qui maintenant est perçu comme une agression sur notre algérianité.

    Anonymous
    31 décembre 2016 - 11 h 04 min

    On attend la suite de l
    On attend la suite de l’article avec impatience

    Jeux d'échecs
    31 décembre 2016 - 3 h 47 min

    Ce que la plupart des
    Ce que la plupart des historiens omettent de préciser concernant cette période est que la régence d’Alger était secouée par de très violentes dissidences et des soulevements, au moins depuis 1802.
    L’économie était sous monopole un peu comme à présent et des factions ont fait appel à la France.
    Ce détail ne figure quasiment nulle part sauf dans un écrit datant de 1832.
    Le Dey Hussein avait indéniablement commis des erreurs. Mais il était manipulé par ceux qui détenait le monopole exclusif du commerce exterieur.
    Le choix de Sidi Fredj était loin d’être aléatoire et depuis 1827, le blocus maritime avait réduit les sorties en mer de ce qui restait de la marine de la regence, détruite en Grece.
    Le Dey s’était retrouvé entre les Français et une insurrection généralisée. La suite était prévisible.
    Un mot sur la gigantesque explosion du Fort l’Empereur: on ne sait la quantité de poudre qui y était entreposée mais elle devait être assez considérable pour y avoir provoqué l’une des plus grandes explosions connues avant l’ère atomique.

      anti-khafafich
      31 décembre 2016 - 5 h 20 min

      et pourquoi ne donnes tu pas
      et pourquoi ne donnes tu pas les noms de ces sionistes qui détenaient le monopole ? se sont les familles bouchenak et bacri, 2 familles sionistes notoires qui faisaient le lien entre leurs frères français et l’Algérie. Qu’ils soient maudits eux et toutes leurs progénitures, AMIN !

        Anonymous
        31 décembre 2016 - 12 h 56 min

        Ces deux familles n’étaient
        Ces deux familles n’étaient que les représentants d’une grande coterie dont les descendants ont le monopole effectif de la vie politique et économique du pays.
        Il y a toujours un monopole de fait.
        Il faudra se pencher sur cet atavisme un jour.
        Je remercie l’auteur de cet article. Ça change de la morne monotonie de la presse Algérienne.

    HABIB
    30 décembre 2016 - 20 h 51 min

    Quand les troupes françaises
    Quand les troupes françaises sont arrivées un mois plus tard sur les berges de oued el harrach, ce sont les tribus kabyles qui sont venues, sur sollicitation des turcs, défendre l’Algérie !

    Djemel Ziou
    30 décembre 2016 - 18 h 08 min

    Merci à M. Belkadi pour cette
    Merci à M. Belkadi pour cette contribution fort intéressante. Je voudrais joindre ma voix à ceux et celles qui ont remarqué l’usage du mot «arabes» dans le texte. Pourquoi l’auteur a utilisé cette identité? Selon quels critères les participants ont été identifiés « arabes » ? En tant qu’historien, M. Belkadi devra être plus précis.

      Anonymous
      30 décembre 2016 - 20 h 01 min

      Ce sont des détails que les
      Ce sont des détails que les Algériens dans leur ensemble ne connaissent pas. A l’époque on employait des ethniques génériques pour désigner les populations : arabes, kabyles, indigènes. Le terme Algérien était réservé aux pieds-noirs. Pour simplifier on disait surtout musulmans : les « français-musulmans ». De nos jours on veut imposer en France un Islam de France, pour retourner à la case départ : français-musulman. Dans le cas présent il s’agit d’une longue citation, d’un turc né à Alger, réfugié en Turquie, qui dit sa version de la prise d’Alger.

    krimou
    30 décembre 2016 - 17 h 19 min

    C’est Hadji Ahmed Efendi qui
    C’est Hadji Ahmed Efendi qui parle d’arabes. Il faut bien lire avant avant d’incriminer. Personnellement je ne connaissais pas cette version, pas plus que le traducteur Ottocar de Schlechta. Par contre Hamdane Khodja nous est plus accessible, il a été publié par les éditions Sindbad. A Staoueli il n’y a avait pas que des tribus berbères, kabyles et autres. L’Algérie est plurielle. Il n’y a pas que la Kabylie en Algérie.

    Anonym
    30 décembre 2016 - 17 h 13 min

    Je crois que les Turcs nous
    Je crois que les Turcs nous ont vendu à la France, comment se fait-il que les Turcs n’ont jamais étaient touché par les barbares et les voleurs, Ils jouissaient d’une liberté et considéré comme citoyen frenchi même après l’indépendance beaucoup d’entre eux n’étaient pas content de vivre avec les Algériens,je ne suis pas surpris aujourdhui de voir les Turcs font tout pour rentré avec l’Europe et pourtant ces derniers ils leurs ont dit vous? Non jamais,on ne veut de vous.

    Anonymous
    30 décembre 2016 - 16 h 40 min

    Je demande à AP de publier
    Je demande à AP de publier pour mettre en échec les balivernes diffusées par un pseudo historien. Merci

    Il n’y a pas d’arabes en Algérie que cela soit bien claire dans votre tête, il y a un seul peuple uni amazighe fier de son histoire millénaires, connu pour son histoire qui a donné des grands guerriers Numides. Vous confondez la diversité culturelles très riche en Algérie, avec «ethnies» ce qui vous ôte toute crédibilité et honnêteté intellectuelle, . Merci AP de publier, il faut mettre les pendules à l’heure à ceux qui écrivent des balivernes sur l’histoire de l’Algérie, et qui se permettent d’insulter toute une région la Kabylie pour diviser le peuple algérien qui est un et indivisible..
    Vous êtes connu pour votre arabisme zélé, et haine des kabyles, et vous osez écrire dans vos torchons qu’on peut lire sur le Net «le peuple algérien est composé d’ethnies» il n’ y pas d’ethnie en Algérie, il y a un seul peuple de souche Numide amazighe, unifié par le roi Numide Massinissa, il y a plus de 3000 ans, ne vous en déplaise, en parlant d’ethnies au lieu de diversité culturelle, vous faites le jeu de nos ennemis extérieurs et intérieurs vous devez connaître la maxime « diviser pour bien régner».
    Les français à leur arrivée en Algérie ont confronté les berbères et non pas les arabes que cela soit bien claire, vous reprenez mot à mot les balivernes coloniaux.

      Anonymous
      30 décembre 2016 - 17 h 06 min

      Le peuple algerien est issu
      Le peuple algerien est issu de plusieurs siecles de brassage ethniques comme partout dans le Monde. EN France personne ne se dit gaulois a 100%. L’ALgerie a toujours ete une Terre d’invasion . Les Pheniciens, les Romains, les Vandales; les Arabes; les Turcs; les Français et je dois en oublier. Pourquoi voulez vous que les Amazighs n’aient pas ete touches par ce brassage .? Donc diversité d »origine et diversité culturelle; ne vous en deplaise :

        Anonymous
        30 décembre 2016 - 17 h 23 min

        Brassages ou non , le peuple
        Brassages ou non , le peuple amazighe Algérien anciennement Numide, garde sa majorité absolue comme composante majoritaire du peuple algérien, point barre!!!! les minorités ne prendront jamais le dessus sur la grande majorité d’un peuple bien identifié. En terre algérienne anciennement Numide, les envahisseurs n’ont jamais pu s’implanter durablement, les romains partis, les envahisseurs arabes ont été expulsés du pays ils n’ont jamais pu s’implanter durablement en terre Numide très hostile par sa population berbère guerrière, géographiquement du point de vue climatique, entre autres, aux peuples nomades d’Arabie, , les derniers envahisseurs français sont partis, et j’en passe, TOUS LES ENVAHISSEURS SONT PARTIS DE CETTE TERRE NUMIDE. CECI DIT JE N’AI RIEN CONTRE LES BRASSAGES ETHNIQUES, MAIS LES MENSONGES HISTORIQUES ME POSENT GRANDEMENT PROBLÈME, VOUS VOULEZ FAIRE DE L’ALGÉRIE UNE TERRE «D’ESTHNIES» POUR la DIVISER SON PEUPLE, L’EMPÊCHER DE SE RÉAPPROPRIER SA VÉRITABLE IDENTITÉ ET SON HISTOIRE. DANS AUCUN PAYS AU MONDE LES MINORITÉS PRENNENT LE DESSUS SUR LA MAJORITÉ DU PEUPLE D’ORIGINE.

          Juba III et IV
          30 décembre 2016 - 19 h 50 min

          Quelle histoire ? Tu es
          Quelle histoire ? Tu es incapable de citer la généalogie de Masensen et tu parles d’Histoire ? Il faut oublier l’Arabie et les arabes et commencer à construire ton identité propre personnelle familiale tu ne sais même pas le nom de ton arrière-grand-père, ni ce qui s’est passé dans ta famille en 1645 ou 1750 ! Rigolo.

          anti-khafafich
          31 décembre 2016 - 5 h 28 min

          exact ! de plus ces minorités
          exact ! de plus ces minorités s’effaceront selon les lois de la génétique même. Mais, selon ces arabisés de la dernière pluie non, c’est la majorité qui s’efface face à la minorité, un procédé fallacieux mais qui ne durera pas plus longtemps que le temps de proférer leur mensonge grotesque. Le peuple Algérien est Numide composé essentiellement de 2 tribus importantes : Les Zénètes et les Sanhadjas, ce ne sont pas les minuscules soldatesque zarabe ou turque qui ont changé nos gênes, point barre.

        Anonymous
        30 décembre 2016 - 19 h 16 min

        C’est pour cela que vous
        C’est pour cela que vous employez «arabe» vous dans votre tête d’arabiste zélé, vous tombez vous mêmes dans votre confusion mentale, vous parlez de plusieurs soit disant ethnies en Algérie, mais vous n’avez qu’admirations ou reconnaissance envers vos «arabes» faux ce sont les algériens amazighes qui sont la composante absolue du puple algérien, vous préférez le vocable «ethnies» pour renier aux algériens leur identité millénaires amazighes Numides, comme le font tous les arabistes zélés qui se considèrent plus arabes que les arabes eux mêmes, alors ils nous sortent que le peuple algérien est composé d’ethnies dans le seul but d’effacer toute trace d’amazighité du peuple algérien, c’est exactement ce qu’ont fait les envahisseurs français. Vous parlez de supposés brassages ethniques en Algérie, mais vous n’avez que d’yeux que pour les arabes auxquels vous attribuez la résistance contre la France coloniale. Les colonisateurs, les ignorants algériens, ont aussi dit que c’était les arabes qui avaient conquis l’Espagne, uniquement pour occulter comme l’ont fait les colonisateurs français, qu’en réalité ce sont véritablement les amazighes qui ont conquis l’Espagne et non pas les arabes. Allez faire vos classes et apprendre l’histoire véritable, avant de vous ridiculiser en affichant votre ignorance crasse négationniste de l’histoire authentique et l’identité du peuple algérien millénaires amazighes Numides. Quelle catastrophe pour l’école algérienne d’avoir des pseudos profs d’histoires incultes.

          Anonymous
          30 décembre 2016 - 21 h 52 min

          Apprenez a etre moins
          Apprenez a etre moins agressif dans vos propos !!!! et peut etre arriveriez vous a convaincre certains . Pour ma part j’ai cité les ARABES parmi ceux qui ont envahi l’ALgerie que vous le vouliez ou non . Si vos ancetres n’en voulaient pas, pourquoi les avoir laisses entrer et s’installer . il fallait les refouler a ce moment la ! Trop tard; (…)

          Anonymous
          31 décembre 2016 - 12 h 27 min

          Les arabes n’ont pas fait
          Les arabes n’ont pas fait long feu en Algérie, l’Algérie est amazighe son peuple est berbérophone, ou «arabophone» par le dialecte dit «arabe» mais en réalité issu de la langue berbère, voilà ce que vous appelez arabe vous confondez ethnie arabe et arabophone. Allez refaire vos devoirs et cessez de distiller les mensonges historiques coloniaux qui ont confondu musulmans et arabes. Les colonialistes ont opté pour la stratégie de génocide identitaire et culturelle de l’ALgérie et son peuple, c’est à dire d’enrayer son histoire, ses racines, ses origines amazighes, c’est exactement ce que font les pseudos historiens qui dénaturent l’histoire de l’Algérie en distillant des balivernes sortis tout droit de l’histoire, des peuples en général, particulièrement l’histoire de l’Algérie, concoctée dans les laboratoires coloniaux. l’école arabiste imposée en Algérie a visiblement fait des ravages sur le cerveau de certains qui s’identifient aux arabes et font du déni de l’identité authentique amazighe algérienne leur cheval de bataille.

          Anonymous
          31 décembre 2016 - 21 h 28 min

          Votre fanatisme vous aveugle
          Votre fanatisme vous aveugle et vous empeche de discerner les faits historiques. Les Arabes comme d’autres peuples ont envahi et occupé l’Algerie a travers les siecles, Les Arabes sont restes quoique vous en pensiez. Et le peuple algerien est constitue de tous ces brassages. Nieriez vous la presence romaine ? phenicienne ? francaise etcx;;;? L’Histoire s’etudie avec raison et non pas avec hargne et obstination .

          Anonymous
          1 janvier 2017 - 13 h 16 min

          Si vous vous sentez arabe
          Si vous vous sentez arabe soit qu’il en soit ainsi pour vous, mais cela ne trompe pas sur votre profond complexe d’infériorité qui est le fait de l’ignorance crasse, d’un déni de soit même, d’une inculture effarante. Vous devez certainement faire partie de l’extreme minorité des individus issus d’ accidents de parcours Dieu Merci face à la grande majorité amazighe du peuple algérien de descendance Numide. Je ne cesserai de le répéter, les infimes si elles existent en Algérie, elles se sont mêlées à la grande majorité amazighe c’est la Loi de la génétique, il s’avère selon la science et les tests d’ADN, que les populations d’Afrique du Nord n’ont pas les mêmes gênes que celles des authentiques populations arabes,, c’est la Loi du plus fort qui l’emporte, donc les minorités ne prendront pas le dessus sur la grande majorité des amazighes Numides, peuple majoritaire millénaires authentique de l’Algérie, et cette grande majorité restera fière de ses origines elle fera échec aux fossoyeurs de l’histoire de l’Algérie et de l’identité authentique de son peuple, à vos balivernes sortis tout droit de la littérature faussaire colonialiste. Advenant qu’il y ait quelques accidents de parcours et quelques brassages «ethniques» comme vous le prétendez, cette infime minorité issue «des brassages ethniques»ne prendront jamais le dessus, sur la grande majorité de la grande famille Numide amazighe. Les algériens se réapproprient de plus en plus leur histoire millénaires que leur a été cachée par les fossoyeur, tous comme vous, de leur histoire, et en font la promotion très fièrement. Sachez que vous ne réussirez jamais à imposer vos visions éhontées, étroites, incultes qui ne peuvent émaner que d’un esprit profondément complexé. Je ne cesserai en tant qu’enfant authentique de ce pays, de clamer mon identité Numide amazighe authentique, c’est celle des plus de 40 millions d’algériens arabophones et amazighophones, ne vous en déplaise. Il n’y a pas en Algérie des individus qui portent le nom des brassages ethniques, jusqu’à preuve du contraire, tels que Maximus le Romain, Erdogan Ahmet bey le Turque, ou Ibn Saoud, ibn je ne sais quoi d’Arabie. Les algériens portent bien les noms de familles de leurs ancêtres à consonance amazighe, et des centaines de villes en Algérie portent toujours les noms Numides berbères je peux vous les citer mais ce serait trop long.. De la part de : emiss oumazighe que je suis et fier de l’être.

          Anonymous
          1 janvier 2017 - 15 h 45 min

          Comme vous etes pitoyable !!!
          Comme vous etes pitoyable !!! Parmi tous les peuples qui ont envahi l’Algerie a travers les siecles;, il n’y a que les Arabes qui vous sont restes en travers de la gorge. Vous pretendez que l’immense majorité des Algeriens est numide ou berbere. Donnez nous vos references blibbliothecaires que chacun aille consulter ces documents reellement histqoriques et non pas sorties d’un cerveau gangrene par un anti-arabisme primaire .

          Anonymous
          1 janvier 2017 - 17 h 00 min

          Elles sont tes références à
          Elles sont tes références à toi que les algériens sont arabes ? meme les séoudiens disent de nous ( et des maghrébins en géneral) qu’on n’est pas arabes. ma yankar asslou ghir (…)

          Anonymous
          1 janvier 2017 - 17 h 45 min

          Je n’ai absolument rien
          Je n’ai absolument rien contre les arabes ethniquement parlant, qui eux ont l’intelligence de réfuter aux Nord Africains amazighe une appartenance quelconque arabe, parce qu’ ils reconnaissent les leurs les authentiques arabes, mais se moquent et prennent en dérision ceux qui comme vous tentent par tous les moyens de les singer, en s’identifiant à eux au mépris de l’identité authentique algérienne numide amazigh. Sachez que je n’ai pas besoin de découvrir ou faire la preuve des mes origines amazighe Numide authentique, parce que le sang qui coule dans mes veines fait fois de mon identité Numide amazighe, je n’ai pas à faire la preuve de qui je suis, mon identité est ancrée en moi elle est celle de mes authentiques ancêtre Numide amazighe, depuis des millénaires. Ceci dit à vous donc de prouver l’arabe que vous êtes, et ayez l’humilité de respecter la noble et digne identité Numide amazighe majoritaire du peuple algérien elle est ancrée en lui depuis plus de 10 000 ans. Allez vous instruire cela vous rendra plus humble moins arrogant, moins stupide et moins négationniste de l’identité amazighe Numide qui est celle de l’écrasante majorité du peuple algérien. Les phéniciens ont été détruits de la région, avec la destruction de Carthage en Tunisie actuelle grâce à cavalerie Numide, les romains sont partis, ils ont subi une résistance féroce de la part des Numide sous le règne du roi Numide Jughurtha, Tacfarinas, et bien d’autres valeureux guerriers Numides, réputés pour leur art de la guerre contre les envahisseurs, les dizaines de cavaliers pilleurs arabes sont repartis chez eux, les Ottomans sont partis après 4 siècles de présence en Algérie, les français sont partis après 132 ans de présence, parce qu’il n’y avait de place pour les envahisseurs aussi puissants furent-ils sur la terre éternelle des hommes libres et celle de Massinissa tous les guerriers roi Numide qui l’ont précédé et ceux qui l’ont succédés. C’est ce qui explique que je ne connais pas de descendant des Duponts, des Dumas etc…, ni de César, ni de Maximus, ni de Goulen, ou d’Erdogane, ni Emet Bey, ni de Ibn de je ne sais qui arabe sur la terre Numide des hommes libres.

          Anonymous
          1 janvier 2017 - 20 h 43 min

          Donc depuis 3000 ans , comme
          Donc depuis 3000 ans , comme vous dites, aucun amazigh de vos ancetres (homme ou femme) n’a eu de sang mele a celui des envahisseurs qui sont restes des siecles en Algerie. Ni parmi les Pheniciens, les Vandales, les Romains , les Arabes; les Turcs les Français? Aucun peuple au Monde ne peut pretendre avoir gardé les memes genes depuis des millenaires…sauf vous apparemment .

          Anonymous
          1 janvier 2017 - 22 h 43 min

          VOICI UN EXTRAIT DE MON POSTE
          VOICI UN EXTRAIT DE MON POSTE DE 14H38, Je ne cesserai de le répéter que les infimes minorités si elles ont existaient dans cette Algérie ex Numidie antique, elles se sont mêlées à la grande majorité amazighe c’est la Loi de la génétique majoritaire qui s’applique, c’est celle aussi de la sélection naturelle où les minorités se fondent naturellement au sein de la majorité. Il s’avère selon la science et les tests d’ADN que la génétique de la grande majorité amazighe est très largement prédominante auprès de la majorité de la population algérienne actuelle ainsi que les autres populations d’Afrique du Nord et cette science génétique ne pourra être contredite par des aventuriers et des pseudos historiens qui distillent des balivernes pour camoufler leur profond complexe d’infériorité face aux primitifs féodaux arabes tels que décrits par Ibn Khadoun dans sa Mokadima, ils sont restés tels qu’ils étaient, ils continuent à détruire le monde avec leur terrorisme, sans le pétrole ils seraient encore entrain de vivre comme des bédouins nomades incultes une vie qu’ils ont menée jusqu’à la fin des années 1970, jusqu’à la découverte du pétrole qui leur a permis de faire construire par les occidentaux des buildings, parce qu’ils ne sont pas capables de construire même une aiguille, ils sont restés profondément arriérés féodaux et sont les pourvoyeurs du terrorisme international .

          Droit de réponse
          1 janvier 2017 - 13 h 38 min

          Si vous vous sentez arabe
          Si vous vous sentez arabe soit qu’il en soit ainsi pour vous, mais cela ne trompe pas sur votre profond complexe d’infériorité qui est le fait de l’ignorance crasse, d’un déni de soit même, d’une inculture effarante. Vous devez certainement faire partie de l’extreme minorité des individus issus d’ accidents de parcours Dieu Merci face à la grande majorité amazighe du peuple algérien de descendance Numide. Je ne cesserai de le répéter, les infimes minorités si elles existent en Algérie, elles se sont mêlées à la grande majorité amazighe c’est la Loi de la génétique, de la sélection naturelle où les minorité se fondent naturellement au sein de la majorité. Il s’avère selon la science et les tests d’ADN, que les populations d’Afrique du Nord n’ont pas les mêmes gênes que celles des authentiques populations arabes,, c’est la Loi du plus fort qui l’emporte, donc les minorités ne prendront pas le dessus sur la grande majorité des amazighes Numides, peuple majoritaire millénaires authentique de l’Algérie, et cette grande majorité restera fière de ses origines elle fera échec aux fossoyeurs de l’histoire de l’Algérie et de l’identité authentique de son peuple, à vos balivernes sortis tout droit de la littérature faussaire colonialiste. Advenant qu’il y ait quelques accidents de parcours et quelques brassages «ethniques» comme vous le prétendez, cette infime minorité issue «des brassages ethniques»ne prendront jamais le dessus, sur la grande majorité de la grande famille Numide amazighe. Les algériens se réapproprient de plus en plus leur histoire millénaires que leur a été cachée par les fossoyeur, tous comme vous, de leur histoire, et en font la promotion très fièrement. Sachez que vous ne réussirez jamais à imposer vos visions éhontées, étroites, incultes qui ne peuvent émaner que d’un esprit profondément complexé. Je ne cesserai en tant qu’enfant authentique de ce pays, de clamer mon identité Numide amazighe authentique, c’est celle des plus de 40 millions d’algériens arabophones et amazighophones, ne vous en déplaise. Il n’y a pas en Algérie des individus qui portent le nom des brassages ethniques, jusqu’à preuve du contraire, tels que Maximus le Romain, Erdogan Ahmet bey le Turque, ou Ibn Saoud, ibn je ne sais quoi d’Arabie. Les algériens portent bien les noms de familles de leurs ancêtres à consonance amazighe, et des centaines de villes en Algérie portent toujours les noms Numides berbères je peux vous les citer mais ce serait trop long.. De la part de : emiss oumazighe que je suis et fier de l’être.

      Juba III et IV
      30 décembre 2016 - 19 h 42 min

      Il n’y a jamais eu d’amazigh
      Il n’y a jamais eu d’amazigh en Kabylie, demande à ta grand-mère ou à ton grand-père, ni de tamezgha, ils te le confirmeront, tout comme il n’y avait pas l’électricité ou le téléphone dans les douars.

    Kichi Duoduma
    30 décembre 2016 - 15 h 28 min

    Le fait est que ni les turcs
    Le fait est que ni les turcs d’Alger, ni les indigènes algériens n’avaient aucune chance d’empêcher l’occupation française, et si ce n’était la France ç’aurait été l’Angleterre à sa place. Car ce n’était pas (seulement) un conflit entre deux pays, deux sociétés, mais entre un système capitaliste super-chargé en pleine forme et en pleine expansion, contre un système féodal/pirate pour les turcs et une agriculture de subsistence pour les indigènes. C’est comme heurter un œuf contre une pierre, aucun doute lequel des deux va se casser.
    Les européens avaient atteint un degré d’industrialisation tel qu’aucun pays ne pouvait leur resister si seulement il valait la peine et les dépenses pour l’occuper. Du moment que la France avait décider que l’Algérie en valait largement la peine, ce n’était plus qu’une question de temps.

      Anonymous
      30 décembre 2016 - 16 h 36 min

      Voilà encore un inculte
      Voilà encore un inculte sioniste ou ancien revanchard qui se ridiculise par l’ignorance crasse et l’arrogance qui l’animent. Si la France s’est industrialisée c’est parce qu’elle a pillé l’Algérie sous protectorat Ottoman, ce sont les Ottomans qui ont trahi l’Algérie à cette époque et n’ont pas défendu l’Algérie, parce que tout simplement l’empire Ottoman qui était présent dans une grande partie orientale de l’Europe, en Tunisie, en Algérie, en Lybie, en Égypte, et dans tout le Moyen Orient de la Palestine, jusqu’au confins de la Péninsule arabique. Quand la France a débarqué en Algérie, elle était en pleine famine et guerre civile, c’est cette situation de famine et de guerre civile qui a poussé la France à envahir des contrées industrialisées, riches en agriculture, c’est l’Algérie qui exportait son blé en Europe et en France`en pleine famine qui n’arrivait pas à payer ses dettes vis à vis de l’Algérie qui la fournissait en blé. Il faut lire l’histoire la vraie celle faite par les vrais historiens impartiaux comme Pierre Péant qui relate les faits historiques tels qu’ils se sont produits, et non pas les mensonges concoctés par les colonialistes pour justifier leur pillage, leur barbarisme dans des contrés plus développées à cette époque que l’Europe féodale dans laquelle étaient ampétrés les colonisateurs les français en tête. Lire mains basses sur le trésor d’Alger de Pierre Péan c’est à partir du pillage français en Algérie que la France féodale a commencé à sortir de sa misère de sa famine, de sa guerre civile, de son développement endémique et j’en passe.

        Anonymous
        30 décembre 2016 - 16 h 52 min

        AJOUT j’ai dit «parce que
        AJOUT j’ai dit «parce que tout simplement l’empire Ottoman qui était présent dans une grande partie orientale de l’Europe, en Tunisie, en Algérie, en Lybie, en Égypte, et dans tout le Moyen Orient de la Palestine, jusqu’au confins de la Péninsule arabique» j’Ajoute que cet empire Ottoman était en déroute et en déclin avancé, (C’est cette dernière phrase oublié dans mon précédent post)

          kasbadji
          30 décembre 2016 - 17 h 28 min

          Les turcs de la régence d
          Les turcs de la régence d’Alger étaient formés d’européens razziés durant leur prime enfance ou leur adolescence. Quand à l’empire ottoman , issu des descendants d’Osman ou Othman, c’était à l’origine une dynastie d’origine turkmène, bâtie sur les ruines de l’empire Seldjoukide, cela nous ramène à l’empire byzantin, avec la prise de Constantinople en 1453. Son apogée se situe au XVIe siècle, à l’époque de Soliman. Ce sont des européens par leur type physique et par leur comportement. Ils ne sont pas sémites. La religion c’est autre chose.

        Anonymous
        30 décembre 2016 - 16 h 56 min

        Lire SPV «sous développement
        Lire SPV «sous développement endémique» j’ai oublié le mot SOUS

        j’ajouterai que «l’industrialisation» de la France s’est faite par le pillage du trésor d’Alger

        Anonymous
        30 décembre 2016 - 19 h 08 min

        @l’anonyme qui prend les
        @l’anonyme qui prend les autres pour des incultes parce qu’il n’est pas d’accord avec ce qu’ils disent : Il n’y a pas plus crétin que celui qui appelle les autres incultes sans les connaître et sans réfléchir une seule seconde à ce qu’ils disent. Tu ne connais rien de l’histoire, rien ! La France s’est enrichie encore plus à l’époque grâce à l’Algérie, mais elle était déjà en pleine expansion. Le capitalisme avait atteint sa phase ultime où, comme l’a dit Lénine, il devait passer à la phase impérialiste/colonialiste. L’Algérie comme grenier de l’Europe, c’est un mythe qu’on raconte aux petits enfants. Bien sûr, la France achetait du blé à l’Algérie, mais ça ne veut pas dire que c’était le blé algérien qui maintenait les français en vie. Le peuple français était misérable à l’époque, c’est vrai aussi, mais ce n’est pas le peuple français qui a attaqué l’Algérie, c’était sa bourgeoisie, le peuple français ne servait que de chair à canon.
        Tu me dis que la Turquie a trahi le peuple algérien ?? Ridicule au delà du plus haut degré ! Les turcs étaient des occupants virulemment hostiles et méprisant envers algériens. Ils n’étaient pas de gentils invités venus en paix vivre côte-à-côte avec les indigènes du pays. C’étaient des pirates et des exploiteurs tout comme les françias, seule différence est qu’ils s’étaient confinés aux grandes villes alors que la France a tout bouffé.Comment pouvaient-ils « trahir » ceux qu’ils occupaient par la force ???
        Tu dis que la France a attaqué « les régions industrialisées d’Afrique du Nord » ?? Ahurissant !… Ça ne mérite même pas une réponse !

          Kichi Duoduma
          30 décembre 2016 - 19 h 34 min

          La réponse à l’anonyme qui
          La réponse à l’anonyme qui appelle les autres “incultes” était de la part de Kichi Duoduma, pas d’un anonyme, je ne sais pourquoi c’est sorti “anonymous”.

          Anonyme
          31 décembre 2016 - 4 h 14 min

          Kichi duoduma est un anonyme
          Kichi duoduma est un anonyme aussi. Ose dire ton vrai nom et tu ne le srais plus.

          Kichi Duoduma
          31 décembre 2016 - 12 h 03 min

          @Anonyme : pourquoi voudrais
          @Anonyme : pourquoi voudrais-tu savoir mon vrai nom ? Tu es de la police secrète ou quoi ?… J’utilise un pseudonyme et tout le monde devrait le faire aussi pour qu’on puisse savoir que c’est le même individu qui poste, peu importe sa vraie identité. On peut même utiliser un nombre ou un code. Avec tous ces “anonymous” on ne sait pas si on répond à la même personne ou à quelqu’un d’autre.

          Anonymous
          31 décembre 2016 - 12 h 41 min

          Je maintiens mon opinion et
          Je maintiens mon opinion et je combattrai les revanchards et les sionistes qui infestent ce site pour se faire les avocats du barbarisme coloniale français. Sache que l’Algérie est plusieurs fois millénaires, cette une civilisation ancienne, que les pov sionistes harkis ou gaulois de ton espèce ne pourront pas changer cette réalité historique. La France féodale a débarqué en Algérie terre de civilisation millénaires pour imposer la barbarie féodale coloniale française. Les turques n’existaient pas, l’histoire parle des Ottomans qui ont fait des pays où ils étaient des protectorats. Les Ottomans étaient en Grèce, en Bulgarie, dans toute l’Europe Orientale, ils étaient dans toute l’Afrique du Nord, sauf dans les territoires qu’on appelle le Maroc qui étaient sous tutelle portugaise espagnole britannique. Les Ottomans étaient dans tout le Moyen Orient y compris au Proche Orient (Liban Palestine, Syrie) mais certains incultes surtout les racailles marocaines, parlent de la présence Ottomane seulement en Algérie. La présence Ottomane n’a pas eu seulement du mauvais, elle a permis à l’Algérie d’échapper aux griffes des arabes, des anglais, des portugais, des espagnoles qui infestaient les territoires qu’on appelle Maroc. Une chose est sûre même si la présence Ottoman en Algérie et ailleurs n’a pas été bénéfique, elle a été beaucoup moins violente, barbare, chaotiques que la présence coloniale occidentale en générale et en particulier la France barbare violente, féodale. Si tu veux te la jouer l’avocat des barbares français en Algérie et ailleurs,sur un site algérien, tu n’y as pas ta place, vas y distiller tes insanités ailleurs.

          Kichi Duoduma
          31 décembre 2016 - 14 h 14 min

          @l’anonyme: Je pensais que tu
          @l’anonyme: Je pensais que tu étais un crétin au début, mais je me suis trompé, je m’excuse : tu es un triple-crétin. Tu ne sais de toute évidence pas ce que “féodalisme” veut dire, ni “industrialisation”. Tu vois aussi une défense de la conquête française de ma part alors que tout ce que je dis est que les turcs et les algériens n’avaient aucune chance de l’empêcher à cause justement de leur retard dans l’industrialisation. Apprends à comprendre les paroles de ton interlocuteur d’abord avant de foncer en avant la tête baissée comme un taureau furieux et sans cervelle.

          un passant
          1 janvier 2017 - 22 h 45 min

          Il ne faut pas perdre votre
          Il ne faut pas perdre votre temps M Kichi, rien qu’a voir la hargne et les réponses à tous les intervenants sur ce site de la part de cet  » anonymous » on comprend qu’il est en service commandé.Il y’a actuellement une nouvelle stratégie de la part de certaine officines qui consistent à nous transformer tous en Numides pure souche après nous avoir chanté depuis 1962 notre appartenance à la  » kheirou ouma akhradjate linass ». L’objectif de cette stratégie est clair, un seul peuple uni derrière la conduite éclairée de ses gouvernants. Il s’agit surtout de se réapproprier certains symboles pour délégitimer ceux qui les invoquent de façons vraie et sincère.

        Ait walou
        1 janvier 2017 - 8 h 45 min

        Ton commentaire est
        Ton commentaire est incompréhensible, un pays affamé, comme la France, au bord de l’asphyxie, attaque et colonise un pays comme l’Algérie, développé et industrialisé !!!
        La sublime porte avait perdu de son rayonnement, elle n’a pas su prendre le train du développement, le monde était rentré dans l’air du capitalisme il fallait de la matière première, de l’espace et beaucoup d’appétit.
        La sublime porte avait tout mais manquait d’appétit, et après la défaite de 1815, l’onde choc s’est ressentie sur la régence d’Alger, on était devenu vulnérable et la France a saisi l’occasion.
        Oui, c’est le capitalisme qui était inéluctable, lui qu’on a pas vu venir qui nous a colonisé.

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