Les importations de véhicules gelées depuis le 2 février

Un nouveau mécanisme d'encadrement sera mis en place par la Banque d'Algérie. New Press

La Banque d’Algérie a instruit les banques et les établissements financiers à geler, à compter du 2 février 2017, toute domiciliation d’importation de véhicules par les entreprises pour propre compte en attendant la mise en place d’un nouveau mécanisme d’encadrement, a appris l’APS auprès de cette institution financière.

«Il est porté à la connaissance des banques et établissements financiers que les autorités compétentes s’apprêtent à mettre en place un nouveau mécanisme d’encadrement des importations de véhicules par les entreprises pour propre compte», lit-on dans la note adressée par la Banque d’Algérie aux banques et établissements financiers. «Dans l’attente de la mise en place de ce mécanisme, les banques et les établissements financiers sont invités à geler, à compter du 2 février 2017, toute domiciliation de ce type d’importation», poursuit la note. Les présidents directeurs généraux et les directeurs généraux des banques et établissements financiers «sont priés de veiller à une application rigoureuse» de cette note, affirme encore la Banque d’Algérie.

R. E.

Comment (17)

    ikbel
    14 mai 2017 - 11 h 12 min

    dans le cadre A.N.D.I. aussi
    dans le cadre A.N.D.I. aussi concernée par cette Note
    j’attend une réponse

    Rastignac
    8 février 2017 - 8 h 49 min

    J’aurais aimé savoir si les
    J’aurais aimé savoir si les plus éclairés d’entre nous pourraient nous dire pourquoi tous ces importateurs ne se sont pas constitués des fonds propres, en Algérie bien sûr, ou ne vont t-elle pas chercher leurs financements offshore pour se passer de l’argent du pétrole et des devises qui ne devraient être affectées qu’au développement d’une industrie automobile, entre autres.

      lehbilla
      9 février 2017 - 6 h 55 min

      Pardonnes moi Rastignac, mais
      Pardonnes moi Rastignac, mais je pense que tu ne connais pas grand chose du parcours du combattant des importateurs et des écoles où ils ont été formés ni de la graine dont ils sont issus. Ils t’auraient appris comment s’enrichir sans pitié et sans se soucier des autres au risque de ramener tout le monde aux ères Mad Max. Bonne journée l’ami.

    lehbilla
    8 février 2017 - 7 h 31 min

    Pourvu qu’ils ne nous gèlent
    Pourvu qu’ils ne nous gèlent pas nous en tant que personne, mais aussi pourvu qu’ils ne gèlent pas les importations de brouettes, c’est tellement important pour le quotidien de tous.

    anonyme
    8 février 2017 - 7 h 20 min

    en europe un jour j’ai
    en europe un jour j’ai rencontré un pied noir, qui était venu en touriste en algerie.et ma première question c’était comment avez-vous retrouvé l’algerie? réponse ils ont tout et ils importe tout.

    Bekaddour Mohammed
    7 février 2017 - 8 h 57 min

    On a mis un pouce rouge à mon
    On a mis un pouce rouge à mon « commentaire » qui donne la vedette à l’âne… Celui qui l’a mis mérite une explication, la voici : Brûler la politesse est une expression qui signifie entre autres ne pas respecter un certain ordre chronologique, n’est-il pas exact qu’en Algérie toute une société TRADITIONNELLE dans les quatre coins du pays, des Aurès à Fellaoucène, a été violentée, bousculée, s’est elle même plantée, s’est piégée, en acceptant la logique des importateurs, dont L’Argent est l’unique « Religion », le temps de l’âne CHEZ NOUS était beau, tout un savoir vivre, avec un sens du temps de vivre, méditer, travailler, l’import aurait dû être un implant en douceur, du temps antique de l’âne beaucoup se sont BRUSQUEMENT retrouvé en 4X4, en avion, en pesticides, en herbicides, en antibiotiques, en « Ingénieurs », non il aurait fallu avoir le sens des étapes, de la bonne CHRONOLOGIE, fonction de ce qu’on est, objectivement, voyez le résultat ! Laideur… Autodestruction ! Mais il n’est jamais tard pour bien faire, bien vivre donc…

    Abri
    6 février 2017 - 20 h 06 min

    Pfff…..

    Pfff…..
    Ça va être comme à cuba
    Nos politiciens ont gagné la palme d’or à travers les âges et les siècles.
    Ils sont trop vieux, d’un autre âge et n’ont rien compris à l’économie et au développement.
    Il serait temps de libérer le fauteuil, laissez la place aux jeunes générations svp.

    Bekaddour Mohammed
    6 février 2017 - 18 h 46 min

    Importez des charrettes et
    Importez des charrettes et des ânes, c’est mieux que les 4X4 étrangers, pour l’agriculture, il y faut juste du courage, un peu, et du fourrage, beaucoup, si vous avez besoin d’idées, Messieurs, en voici une, gratos, mais vous ingrats, en vérité ! Vous avez brûlé la politesse à l’âne, faites-nous un bon Hihan, ouallah il sera entendu mieux que le one two three, viva l’importation de tout !

      anonyme
      6 février 2017 - 21 h 56 min

      Détrompe toi Mohamed, on nous
      Détrompe toi Mohamed, on nous annonce que les licences d’importations on cessés mais en réalité les protégés bénéficient de dérogations pour s’enrichir encore plus.
      Seuls les importateurs n’ayant pas de de pistons on vu leurs licences annulées.

        Bekaddour Mohammed
        7 février 2017 - 7 h 37 min

        @anonyme….Oh, nul n’est
        @anonyme….Oh, nul n’est dupe, sois tranquille, j’ai évoqué la charrette, et l’âne précisément parce que ce fut l’âge d’avant le Piston, tous sens confondus. EUX, ils ont la licence de la licence, une Ogresse les a adoubés, les non élus n’ont droit qu’au rôle de Figurants, invités au mieux à applaudir, du moins quand ils ont deux mains ! Bledna ? Ou Bled_No !

        e ogresse leur a accordés « La licence d’être Algériens », et celui qui n’a pas eu les faveurs de cette og

          anonyme
          7 février 2017 - 13 h 51 min

          Les dérogations bénéficient
          Les dérogations bénéficient aux escrocs habituels, les intouchables.

    Anonymous
    6 février 2017 - 10 h 10 min

    Voilà pourquoi aucun
    Voilà pourquoi aucun investisseur sérieux ne viendra jamais dans ce pays. Un état imprévisible, désorganisé et instable qui pond du jour au lendemain une note qui change totalement es règles du marché.

    Alilou
    6 février 2017 - 8 h 08 min

    Nos décideurs ont raison de
    Nos décideurs ont raison de vouloir combattre les businessia qui contournent les lois mais ont-ils pensé aux entreprises dont les véhicules (VLTT) sont un outil de travail (secteur pétrolier, BTPH, …) ?

    Anonymous
    5 février 2017 - 22 h 27 min

    Tant mieux ,c’est peut être
    Tant mieux ,c’est peut être le moment de penser au transport en commun,ou a creer un moyen de transport purement algerien et exportable de surcroit.Sommes nous à ce point denué du genie de creation?

      zellidje
      6 février 2017 - 20 h 52 min

      J’ai pensé à une charrette
      J’ai pensé à une charrette extensible au nombre de voyageurs et qui comporte non pas des roues mais des pieds de bœufs que chaque voyageur pourra actionner pour aller dans le sens qu’il veut, c’est pas du génie ça ???

    La Cigale
    5 février 2017 - 20 h 59 min

    Excellente initiative mais il
    Excellente initiative mais il faut aller plus loin encore en stoppant complètement les importations de véhicules étrangère Dorénavant nous devons acheter que les véhicules de fabrications locale et cela pendant 5 ans puis ensuite acheter que les marques très fiables par des commandes faites directement par les particuliers gérer par un organisme d’état ou privés qui sera lui même contrôler par l’état sur le bon respect de la réglementation établis.

    anonyme
    5 février 2017 - 18 h 20 min

    Pas pour tout le monde car
    Pas pour tout le monde car des dérogations existes pour les privilégiés pour tout les produits interdits à l’importation mais ça on le dit pas..

Laisser un commentaire

Votre adresse de messagerie ne sera pas publiée.