La facture d’importation de sucre en hausse en 2016

importations
Les importations de sucre ont augmenté de 40%. New Press

Les importations de sucre et de ses matières premières (sucres blanc, roux, de betterave brute, de canne à sucre, sirop de lactose…) ont augmenté à 871,7 millions de dollars (usd) en 2016 contre 714,76 millions usd en 2015, a appris l’APS auprès des Douanes algériennes. Quant aux quantités des importations de sucre, elles ont également marqué une hausse à 2,03 millions de tonnes (Mt) contre 1,93 Mt, selon le Centre national de l’informatique et des statistiques (Cnis) des Douanes. Ainsi, le coût des importations de sucre a grimpé de près de 22% en 2016 tandis que les quantités importées ont augmenté de 5,25%.

Cette hausse de la facture du sucre s’explique non seulement pas l’augmentation des quantités importées, mais aussi par le renchérissement des prix à l’importation par l’Algérie de cette denrée alimentaire. En effet, le prix moyen à l’importation du sucre roux a été de 398 usd/tonne sur les dix premiers mois de 2016 contre 358 usd/t à la même période de 2015, soit une hausse de 11,2%. Même tendance pour le sucre blanc dont le prix à l’importation a augmenté à 522 usd/t contre 506 usd/t (+3,2%). Sur les marchés mondiaux, les cours du sucre continuent à flamber : dans son dernier rapport, l’Organisation des Nations unies pour l’alimentation et l’agriculture (FAO) a indiqué que l’indice des prix de ce produit alimentaire avait fait un bond spectaculaire de près de 10% en janvier 2017. Ceci s’explique par un resserrement de l’offre sur une longue période au Brésil, en Inde et en Thaïlande.

R. E.

Comment (22)

    Anonymaoui
    12 février 2017 - 14 h 24 min

    Où sont les usines promises
    Où sont les usines promises par les concurrents de Rebrab. Ils ont pris les terrains et les aides du trésor public pour se bâtir des fortunes dans la spéculation foncière et immobilière. L’industrie du sucre n’est pas assez rentable pour ces spéculateurs nés.

      Djamel BELAID
      14 février 2017 - 14 h 07 min

      Différentes sociétés
      Différentes sociétés étrangères dont Union Cristal sont associées à des partenaires algériens au centre du pays ou à l’Ouest pour produire du sucre raffiné en Algérie. Donc, il me semble que vous ne soulevez pas la bonne question. Pour leur approvisionnement ces raffineries importent en devises du sucre brut brésilien. On pourrait espérer que les pouvoirs publics leur demandent de démarrer progressivement une production de sucre local. Cela, à partir de la matière première locale: pomme de terre fécule, orge ou betterave à sucre comme chez nos voisins maghrébins. Les pouvoirs publics pourraient dire à ces opérateurs: nous vous permettons de vendre à un marché de 40 millions d’habitants. En échange, progressivement développez des projets permettant d’intégrer de la matière première. Certes les process ne sont pas les mêmes. Mais les bénéfices tirés des activités du raffinage doivent aller, en partie, vers des embryons de production nationale. La betterave à sucre est une plante dont des entreprises telles Cristal Union ont un grand savoir faire. Aux pouvoirs publics de leur demander de mettre ces compétences en application sur le territoire national. Des betteraviers de C.Union pourraient former nos agriculteurs à l’utilisation des semences monogermes et aux programmes de désherbage de la betterave. Certes, le coût d’une usine de traitement de la betterave à sucre n’est pas négligeable. Mais des solutions existent pour commencer petit et progressivement développer les capacités de production d’un tel outil. Djamel BELAID. Ingénieur agronome. ps: nous conseillons à chacun de voir sur youtube l’ingéniosité industrielle des Chinois à construire des chaînes de transformation de la pomme de terre douce (sweet potatoes). Des producteurs algériens pourraient s’en inspirer pour développer une filière semi-industrielle de betterave à sucre.

    Anonymous
    9 février 2017 - 23 h 24 min

    On aime le diabète
    On aime le diabète

    Anonymous
    9 février 2017 - 23 h 22 min

    Tous les moyens sont permis

    Tous les moyens sont permis pour détruire Rebrab

      Djamel BELAID
      15 février 2017 - 14 h 30 min

      Il ne s’agit pas de détruire
      Il ne s’agit pas de détruire Rebrab ou Flen. Mais simplement d’appeler à un peu plu de patriotisme économique. Où est la logique quand on importe du sucre brut brésilien pour le raffiner localement? Où est la logique quand on importe des huiles brutes ukrainiennes qu’on raffine localement? En Algérie, les opérateurs nationaux et ceux alliés à des groupes étrangers bénéficient d’un marché stable et prospère de 40 millions de consommateurs. Et cela, sans affronter la concurrence internationale. La moindre des choses seraient qu’ils aillent, progressivement, vers plus d’intégration. C’est à dire dans l’utilisation de plus de matière première locale. Il y a différentes façons de procéder. Si leur outil industriel n’est conçu que pour utiliser de la matière première importée, qu’ils ouvrent alors un atelier avec de nouvelles installations permettant de travailler progressivement la matière locale. Exemple: SIM et Sanders devraient stimuler la production locale de colza ou de féverole pour leurs unités d’aliments du bétail. Remarquez, c’est aussi dans leur intérêt. En cas de crise sociale grave, ils ont tout à perdre. Les pouvoirs publics doivent avoir un discours clair et dire aux investisseurs. Nous vous offrons l’accès au marché local, mais sous conditions 1) de création d’emplois, 2) de transfert de technologie (nous avons une main d’oeuvre qualifiée), 3) d’utilisation progressive de matière première locale, 4) de stimulation de la production de matière première locale par les agriculteurs algériens. C’est là un accord win-win. Il faut savoir que de grands groupes français tels Avril, Cristal Union, Axéréal, Lactalis ou Danone face au processus de mondialisation (voir la puissance de Cargill ou Dreyfus) n’ont de survie possible que par un développement à l’export. Sachons utiliser ce contexte.Ils ont besoin de nous! QUESTION ANNEXE: quid des projets de l’OAIC? Quelle stratégie de transformation des céréales (secteur très rentable)? Pourquoi ne pas imaginer le développement de filiales de droit privé par des accords avec des groupes privés locaux ou étrangers. Idem pour l’ONAB. Ces mastodontes publics doivent être à l’initiative. Qu’ils nouent des partenariats avec des firmes étrangères ou locales ou bien qu’ils rachètent de petites entreprises étrangères leur permettant de maîtriser processus agro-industriel et management de pointe (comme fait Cevital mais comme ont fait de grosses coopératives céréalières françaises). Djamel BELAID. Ingénieur Agronome.

    Kahina
    9 février 2017 - 23 h 22 min

    Le sucre raffiné, la source d

    Le sucre raffiné, la source d’énergie des cellules cancéreuses. Au lieu de diminuer la consommation de ce tueur en silence, on augmente son importation.
    On dirait qu’on fait tout pour diminuer l’espérance de vie des Algériens

    TUERIE !!
    9 février 2017 - 13 h 51 min

    L’importation tue l’Algérie !
    L’importation tue l’Algérie !!!!!
    Que fou ce pseudo gouvernement pour qui roulent t’ils ????????

    SUCRE
    9 février 2017 - 13 h 46 min

    Le sucre très mauvais pour la
    Le sucre très mauvais pour la santé !!!!

    Moi
    9 février 2017 - 2 h 04 min

    Qui se sucre avec ces
    Qui se sucre avec ces importations? Les diabetiques? Donnez des noms et ne les stigmatisons pas.Mais reveillons nous a ces importateurs qui se presentent comme exportateurs alors qu’ils ne sont que des reexportateurs qui empochent au passage les avantages accordes par l’etat pour juste apres denigrer leurs autorites et leur pays.N’est pas BILL GATES qui veut!!!!

      !!!!
      9 février 2017 - 13 h 49 min

      Une enquète dous être fait et
      Une enquète dous être fait et des sanctions à titre de disuation doit se faire sur la place publique d’Alger piur atteinte aux intéret de la nation !!@

    Moi
    9 février 2017 - 1 h 36 min

    Qui importe le sucre?Road 4
    Qui importe le sucre?Road 4

    Nasser
    8 février 2017 - 14 h 51 min

    la surconsommation est
    la surconsommation est certainement lié à de mauvaises habitudes alimentaires mais il n’ est pas question de le banir de son alimentation , alors c’ est l’ affaire de chaque citoyen que de prendre conscience qu’ il doit modifier ses habitudes tout d’ abord pour sa santé et celle de ses proches d’ autant que d’ un point de vue économique ça génère des dépenses annexes (celles de la santé et par ricochet du travail ) et elles se répercuteront sur l’ économie du pays (mangeons des sucres sains comme par exemple du miel des dattes et des fruits du terroir et surtout bougeons), mais pour cela il faut aussi qu’ils soient à des prix abordables pour ne pas grever le budget de la ménagère je n’ oublie pas non plus les industriels de l’ agro-alimentaires,ils sont responsables de cette situation car plus les produits sont sucrés et plus on est Addict et il peut être de moins bonnes qualités nutritives mais pour eux ce qui compte c’ est la rentabilité alors…… la santé du citoyen c’ est le cadet de leurs soucis.

      mohamed
      8 février 2017 - 15 h 47 min

      le miel est 6000 dinars, les
      le miel est 6000 dinars, les dattes sont à 750 dinars et les fruits leurs prix au dessus de 300 dinars KOUL YA GUELILE avec un SMIG de 1800 dinars!!!!!!!!!!!!

        anonyme
        8 février 2017 - 17 h 05 min

        Tout est calculé pour que le
        Tout est calculé pour que le citoyen ne pensera qu’à son ventre et il passera son temps à courir pour ne pas s’occuper de la politique et des corrompus..

    el wazir
    8 février 2017 - 14 h 09 min

    Il faut reconnaître que l
    Il faut reconnaître que l’année 2016, a été une année très rentable en matière de lutte contre la corruption et l’endiguement du transfert illicite de devise et de la réduction considérable de la facture des importations. Les efforts du gouvernement sont a plus d’un titre louables, en effet grâce au travail de fourmi mené durant 2016 surtout, cette prise en charge du gouvernement nous a procuré de la confiance et a augmenté notre certitude quand une meilleure prise en main de la gestion des dépenses publiques a l’avenir, car avec une meilleure maîtrise dans la lutte contre tous ces vols, ces détournements, et toute sorte de trafic illicite fera sans nul doute de l’année 2017, celle de l’efficacité dans l’assainissement radical de notre économie de ces formes de corruption, puisque le gouvernement a fait preuve d’une volonté affirmée dans la réalisation de cet objectif de protection de la souveraineté nationale et de son économie., dont la réussite incombe également a tous Les algériens patriotes

      anonyme
      8 février 2017 - 17 h 00 min

      Les corrompus sont protégés
      Les corrompus sont protégés par la justice nous avons Chakib Khelil comme exemple parmi d’autres alors, stop aux mensonges.

      Anonymous
      10 février 2017 - 8 h 51 min

      Hhhhhhhhh, tout ce paragraphe
      Hhhhhhhhh, tout ce paragraphe pour ne rien dire.

    Djamel Belaid
    8 février 2017 - 13 h 52 min

    En matière de production de
    En matière de production de sucre, il s’agit d’étudier toutes les possibilités locales. Une étude stratégique devrait avoir lieu au niveau du MADR et autres cercles de réflexion. SUCRE DE BETTERAVES: Dans les années 70, nous produisions de la betterave à Khémis Milliana. Depuis, le progrès agronomique fait que cette culture est plus facile car elle est totalement mécanisable. POMME DE TERRE: avec la fécule de pomme de terre, il est possible de fabriquer du sirop de glucose. ORGE: avec le malt d’orge, il est possible de produire du maltose et du sirop de maltose. DATTES: il est possible de produire du robb utilisable en industrie alimentaire. AGAVE: ce cactus permet de produire un sirop sucré. A l’heure d’internet ces solutions peuvent être facilement documentées. Les investisseurs privés ont là des opportunités intéressantes. La production de sirop de maltose à partir d’orge est d’une simplicité enfantine (voir sur you tube). AU POUVOIRS PUBLICS d’adopter une stratégie pour favoriser l’intadj watani. Des aides à la production locale de sucre 100% DZ doivent être accordées aux agro-industriels patriotiques. Les pouvoirs publics devraient demander aux fabriquants locaux de bière d’orienter une partie du malt qu’ils produisent (où qu’ils peuvent produire avec l’orge algérienne) vers la production de maltose. Des entreprises comme Heineken Algérie disposent d’un savoir-faire certains. Ce n’est pas l’importation de sucre roux brésilien et son raffinage local en sucre blanc qui nous sauvera. EDUCATION NUTRITIONNELLE: à l’heure oùen Algérie, le diabète prend l’ampleur d’une épidémie (il suffit de voir dans nos villes le nombre d’amputés des pieds pour cause de diabète), des conseils doivent être donnés dans les programmes scolaires et dans les médias. A ce titre, la récente mesure de limiter le taux de sucre dans les sodas va dans la bonne voie. Djamel BELAID Ingénieur Agronome.

      mhd bouira
      8 février 2017 - 19 h 30 min

      Il faudrait aussi servir le
      Il faudrait aussi servir le sucre dans les cafés avec des sticks(dosette de 5 grammes) au lieu du bocal ou on a cette tendance à en rajouter.

      Cheikh kebab
      9 février 2017 - 3 h 54 min

      Ok si belaid,mais produisons
      Ok si belaid,mais produisons assez d’orge?de dattes? Pour faire du sucre??? Et puis puisque vous vous souvenez de l’usine de khemis miliana pourquoi avoir abandonné la betterave,et pourquoi ne pas reprendre?? Pourquoi l’état ne le fait pas car vous savez bien que le privé investit dans le plus facile,c naturel. Dans la phase où nous sommes où on importe tout intrant l’état à un rôle majeur à jouer,volontarisme des années 70!!

        Djamel BELAID
        9 février 2017 - 8 h 09 min

        Si « Cheikh Kebab » vous
        Si « Cheikh Kebab » vous demandez «produisons nous assez d’orge?de dattes? Pour faire du sucre??? ». Votre interrogation mérite toute l’attention. LES DATTES: pour le robb, il s’agit d’exploiter les dattes non commercialisables comme celles tombées au sol ou Ghars. L’ORGE, nous n’en avons exporté qu’une seule fois ces dernières années. C’est vrai, le plus souvent nous en importons pour la donner … à nos moutons. PRODUIRE PLUS D’ORGE ? Cela est possible. Cette céréale est bien adaptée à nos conditions climatiques. Il faut pour cela réunir les conditions pour que la marge bénéficiaire du fellah augmente. Si le fellah qui produit de l’orge pour en faire du malt puis du maltose (sucre) recevait une partie des devises économisées par notre pays, il ferait tout (lil oua nhar) pour en produire plus (voir le succès de la tomate dans le Sud). La technique du semis-direct permet de réduire les coûts de mécanisation et de placer l’engrais près de la semence, d’où un meilleur rendement de l’orge. Il s’agit là d’une rupture technologique capitale. Mais ce dossier n’est pas classé de façon prioritaire. Pourtant dans un pays sec comme l’Australie plus de 70% des céréaliers ont abandonné le labour et sont passés au semis direct. INGENIEURS, TECHNICIENS : il nous faut mieux les utiliser en les rapprochant du terrain et en les spécialisant sur les sujets d’actualité. Pourquoi certains ne seraient-ils pas directement payés et dirigés par des groupements paysans (avec obligation de résultats comme à l’étranger)? BETTERAVE A SUCRE : la filière tomate industrielle montre les potentialités des fellahs et industriels à traiter un produit périssable. Pourquoi ne seraient-ils pas capables, comme certains de nos voisins, de produire de la betterave? Les pouvoirs publics devraient demander aux 2 raffineurs de sucre locaux d’assurer au moins 10 puis 20% de leur approvisionnement avec de la matière première DZ au lieu de ne traiter que du sucre roux brésilein. Ce serait là un puissant stimulant pour nos agriculteurs. STRATEGIE : les pouvoirs publics doivent réajuster leur stratégie et englober les aspects techniques, commerciaux et d’organisation des filières (pourquoi pas des CCLS libres à côté des CCLS de l’OAIC?). CONTREBANDE : De nombreux produits alimentaires importés s’échappent par les frontières du fait de la contrebande. La justice doit être sévère à leur encontre. Le travail de protection des douaniers et de l’ANP à nos frontières est à saluer.

        Djamel BELAID
        9 février 2017 - 10 h 07 min

        Si « Cheikh Kebab » vous
        Si « Cheikh Kebab » vous écrivez : « Dans la phase où nous sommes où on importe tout intrant l’Etat à un rôle majeur à jouer,volontarisme des années 70!! ». Il est certain que c’est aux pouvoirs publics d’orienter l’économie nationale vers la production locale. RESTER LES BRAS CROISES ? Ceci dit, le citoyen et l’investisseur potentiel doivent-ils rester les bras croisés ? Je ne le pense pas. Il existe de très belles réussites au niveau de l’Ansej. Certains jeunes entrepreneurs ont réussi à créer des dizaines d’emplois. La coopérative agricole de Sétif « Anfel » valorise le lait des éleveurs et leur redistribue des bénéfices. Concernant le sucre de datte, les produits Alfaiza sont même exportés en Europe. Le sucre d’orge (maltose) mérite toute l’attention des céréaliers. UN PROCESS SIMPLE : Le process est simple dans la mesure où l’orge possède naturellement les enzymes permettant la transformation de l’amidon du grain en maltose. Chose qui n’existe pas, par exemple, chez la pomme de terre fécule. De nombreux éleveurs algériens ont développé de petites germoirs afin d’alimenter leur cheptel en orge germé (7 jours). Concernant le malt, la germination est plus courte (2-3j). Ensuite viennent les phases de séchage puis broyage. On obtient alors une farine sucrée de malt qui peut servir directement ou fabriquer du sirop de malt. L’Ansej devrait prévoir des fiches techniques et vulgariser la technique. On pourrait penser à de petites installations rurales. Le pays dispose de nombreuses personnes capables de se documenter sur ce type de procédé que l’on trouve facilement sur le net et susceptibles de le mettre en application. L’initiative individuelle peut donc précéder l’action des pouvoirs publics. Maintenant les pouvoirs publics pourraient demander aux fabriquants locaux de bière habitués à travailler le malt à développer une petite production locale de malt. AUTRE SOLUTION: le MADR et l’OAIC ont signé des partenariats avec la coopérative agricole française Axéréal. Celle-ci dispose de 10 malteries en Europe. Pourquoi ne pas installer une malterie pilote au niveau d’une CCLS à l’intérieur du pays? La farine sucrée de malt ainsi produite, utilisable en agro-alimentaire, permettrait de redresser les finances de certaines CCLS déficitaires. Nous sommes convaincus que l’OAIC (ou des coopératives paysannes) doivent investir dans la transformation des céréales. Les bénéfices ainsi retirés permettraient de soutenir la filière et ainsi progressivement soulager le budget étatique. Djamel BELAID. Ingénieur Agronome.

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