Une source diplomatique révèle : «Alger n’a pas besoin du Tunisien Ghannouchi pour discuter avec les Libyens»

A quoi joue le leader du parti islamiste tunisien Ennahdha Rached Ghannouchi ? New Press

En se posant comme un intermédiaire entre l’Algérie et les Frères musulmans libyens, le leader du parti islamiste tunisien Ennahdha, Rached Ghannouchi, cherche-t-il à se faire une publicité gratuite sur le dos de l’Algérie ? Des responsables au ministère algérien des Affaires étrangères en sont convaincus, surtout, affirment-ils, qu’ils n’ont besoin des services de personne pour «discuter avec nos frères libyens». Pour eux, c’est certain, Rached Ghannouchi profite des portes qui lui sont ouvertes en Algérie pour prouver à l’opinion tunisienne qu’il a encore du poids et surtout qu’il est une personnalité incontournable dans les milieux islamistes maghrébins.

En faisant courir le bruit qu’il constitue une pièce importante dans une supposée diplomatie parallèle menée par l’Etat tunisien dans le cadre du dossier libyen, il escompte ainsi engranger un capital crédibilité qu’il compte capitaliser par la suite lors des prochaines élections locales tunisiennes. Le leader d’Ennahdha a compris pertinemment qu’avec l’arrivée au pouvoir de Donald Trump aux Etats-Unis, les Frères musulmans, dont dépend d’ailleurs sa formation, vont traverser des moments difficiles. Cela est d’autant plus vrai que des personnalités du Parti républicain américain projettent de présenter au Congrès un projet de loi classant la confrérie religieuse comme organisation terroriste. Aussi, se démène-t-il comme un diable pour prouver que les Frères musulmans représentent au Maghreb un courant d’opinion et une force de frappe dont il n’est pas possible de se passer.

Il n’est pas impossible d’ailleurs aussi que les Frères musulmans libyens tout autant que ses «frères» du PJD marocain l’aient sollicité pour jouer cette partition. Depuis l’annonce par le Parti républicain de sa décision d’ajouter les Frères musulmans à la liste américaine des organisations terroristes, l’alerte rouge a été donnée dans les plus hautes instances de la confrérie. La peur est aujourd’hui telle que la branche égyptienne des Frères musulmans a accepté de payer 5 millions de dollars une société de lobbying américaine qu’on leur a présenté comme étant capable d’infléchir la position de l’Administration Trump qui a décidé de faire de la lutte contre les islamistes et les terroristes un axe majeur de sa diplomatie. Le temps où le leader d’Ennahdha entrait à la Maison-Blanche sans frapper et tutoyait le patron du Département d’Etat paraît ainsi définitivement révolu.

En fin calculateur, Rached Ghannouchi voit la Libye comme un moyen de rebondir politiquement et de prouver à l’opinion internationale que les Frères musulmans peuvent encore jouer un rôle de force stabilisatrice au Maghreb et plus généralement dans le monde arabe. Dans cette épreuve de la dernière chance, le leader islamiste tunisien compte assurément sur le président turc Recep Tayyip Erdogan, lui-même affilié à la confrérie des Frères musulmans, de plaider auprès de Donald Trump la cause de tous les «frères». Erdogan a encore l’avantage, en effet, d’être un pilier de l’Otan au Proche-Orient et d’avoir des canaux de discussions privilégiés avec la CIA et la Maison-Blanche. Il ne faut pas oublier aussi que le siège de la confrérie des Frères musulmans se trouve maintenant en Turquie. Quoi qu’il en soit, le vent des «printemps arabes» a bel et bien tourné.

Khider Cherif

Comment (18)

    yuva amazigh
    15 février 2017 - 19 h 09 min

    les lybiens parlent la même
    les lybiens parlent la même langue que nous les Algériens, alors pourquoi faire appel a ce frere musulmans pour servir d’intermédiaire entre nous et la lybie, il n’a qu’a s’occuper de ces oies et tout le monde serait tranquille

    sceptique sévère
    14 février 2017 - 19 h 28 min

    Alger n’a pas besoin du
    Alger n’a pas besoin du Tunisien Rached Ghannouchi pour discuter avec les Libyens!? Ok! Et de Rached Kheriji aussi!??? car Rached Ghannouchi son vrai nom est Rached Kheriji !! Pourquoi a t-il senti le besoin de changer de nom!??? pour cacher quoi? que ce que ça cache? a moins que c’est la mode chez tous les islamistes que de changer de nom!! Tous des abou machin? comme si ils ont honte de leurs parents et préfèrent s’identifier à d’autres pour tromper leur monde? Je vous jure, mr Ghannouchi, c’est pas moi qui le dit, c’est l’autre; c’est abou Wikipédia qui lez dit!!

    Hellal Amar
    14 février 2017 - 16 h 54 min

    J’ai bien l’honneur de vous
    J’ai bien l’honneur de vous transmettre le texte ci-après, pour partage éventuel avec vos lecteurs. Il est constitué de quelques constats et commentaires que suscite la situation prévalant dans notre région.
    Ce nouveau texte a fait l’objet d’une première mouture transmise aux mêmes fins à votre rédaction, à la suite de votre article sur les demandes de responsables de partis politiques d’ouvrir la frontière terrestre avec le Maroc.
    La première mouture n’a pas été reprise dans vos espaces réservés aux commentaires de vos lecteurs. Sans, je pense, perdre ni de sa pertinence ni de son utilité pour tous ceux qui ont l’idéal maghrébin au cœur, cette nouvelle mouture ne manquera pas, j’en suis convaincu, de susciter l’intérêt de vos lecteurs que l’on sait très attentifs à tout ce qui a trait à notre pays et à sa pérennité.
    Meilleures considérations. Hellal Amar.

    Début du texte :
    Après l’admission récente du Maroc à l’Union africaine, les média ont évoqué les propos tenus, à cette occasion, par le monarque marocain devant les chefs d’Etat réunis à Addis Abeba et laissant comprendre que l’Algérie était la cause de l’édification non encore parachevée de l’UMA.
    Il n’y a rien de plus faux que cette accusation et son auteur n’est pas à sa première déclaration surprenante.
    On lui doit déjà, par exemple, une annonce des plus alarmantes qu’il a faite, dans son discours, lors de la commémoration de la fête du trône en 2012. Il avait, alors, fait part de de son intention d’instaurer une monarchie citoyenne au Maroc.
    On a compris qu’il voulait ainsi se montrer comme étant un homme de progrès, en rupture avec les méthodes, brutales et dictatoriales, avec lesquelles le Maroc avait été jusqu’alors gouverné, mais aussi on a su ainsi qu’il n’avait pas retenu de l’Histoire que lui avaient enseigné d’éminents professeurs que le premier acte de la citoyenneté fut de couper la tête du roi et, pour ne laisser subsister aucun doute, celle aussi de la reine.
    Il n’y a rien, non plus, de moins fondé que cette accusation puisqu’à l’instar d’autres processus similaires dans le monde, l’unification maghrébine ne pouvait se réaliser et durer qu’à la condition que les Etats concernés soient semblables et le demeurent. Depuis un demi-siècle, des unions se sont constituées dans le monde et ont duré lorsqu’il s’est agi de réunification comme c’est le cas l’Allemagne ou du Vietnam ou sont en cours de parachèvement comme c’est le cas de l’Union européenne et, nous le souhaitons vivement, de l’Union africaine.
    Dès qu’il n’y a plus de similitude ou en cas de glissement qui les font s’éloigner des intérêts de leurs peuples pour servir d’autres ambitions, les tentatives d’union avortent. Dans le Monde arabe, cela a été le cas de la République Arabe Unie, du Yemen réunifié et du Maghreb où les composantes fondamentales des identités nationales des Etats concernés ne sont plus du tout semblables.
    Pour le cas de l’UMA, ceci n’est pas dû à l’action ou, comme certains le prétendent, à l’inertie de l’Algérie.
    Non, non et non ! L’échec de l’édification maghrébine est bel et bien le fait du Maroc et du Maroc seul qui s’est détourné et s’est dissocié du processus d’unification et a opéré son Maxit, en décidant, au début des années 1990, d’imposer le visa aux ressortissants algériens désirant se rendre ou transiter par son territoire.
    Et il a fait pire, par la suite, en accordant refuge aux terroristes qui revenaient assassiner en Algérie et en leur facilitant les voyages vers leurs centres en Europe et au Moyen Orient.
    Il est important de rappeler pour en souligner le caractère quasi irrévocable que c‘est à la faveur de sa dernière révision constitutionnelle, en 2015 – même notre quotidien « Le Matin » avait trouvé son contenu exemplaire – le Maroc s’est doté d’une nouvelle identité nationale aux termes de laquelle il n’a plus rien de semblable avec les autres Etats magrébins, du fait que :
    – d’une part, la composante de son identité nationale a désormais une dimension quadruple et est devenue aussi hébraïque, et
    – d’autre part, ses ressortissants n’ont pas pu accéder au statut de citoyen et sont restés des sujets avec pour souverain le roi et non pas le Peuple comme ailleurs au Maghreb.
    On attend que nos experts en stratégie et politique mondiale nous éclairent sur la signification de cette nouvelle identité marocaine et sur ses implications politiques et sécuritaires sur la partie du monde où nous nous trouvons.
    Après avoir discouru longuement et publié moult articles sur le Maghreb en marge et au lendemain du sommet de Zéralda, il faudra bien que notre intelligentsia reconnaisse la triste réalité montrant que la « relance » de l’Unité maghrébine a été une immense duperie ayant profité au seul Maroc à travers le cessez le feu que le FPOLISARIO avait décrété à titre de contribution à l’édification du Maghreb.
    Il faut aussi que notre intelligentsia reconnaisse que le projet d’unité maghrébine tel que tablé en 1958 à Tanger était dès le départ miné car antinomique du Maghreb des Peuples et destiné :
    – faire perdurer la main mise néocoloniale sur l’Afrique du Nord en lui imposant un leadership marocain sachant que la libération que tout un chacun savait inéluctable de toute l’Afrique du Nord était devenue très proche et était portée par de profonds et puissants mouvements populaires, aptes à instaurer de nouveaux rapports de force dans la région et sa périphérie,
    – mettre à profit le fait que l’Algérie, encore en pleine guerre de libération nationale, était supposée avoir été affaiblie par l’ arrestation et la remise de ses leaders à l’occupant colonial et ne pouvait, de ce fait, s’opposer au projet maghrébin sous contrôle marocain.
    Le Maghreb tel que décidé à Tanger n’est rien d’autre que cela et, de toute évidence, le Maroc n’a pas renoncé à son projet funeste pour la région et sa sécurité.
    Il faut féliciter la délégation du FLN qui avait pris part à la commémoration de la proclamation de Tanger, organisée dans cette ville. On se rappelle, avec fierté, qu’ayant été quasiment agressée par les délégués de l’Istiqlal et des partis islamistes, elle avait demandé à ces derniers d’accepter que le Maghreb soit enfin celui des Peuples et non pas une extension à l’ensemble de l’Afrique du Nord du protectorat qui n’a jamais cessé d’être exercé sur le Maroc.
    Peine perdue, puisqu’après avoir utilisé l’Istiqlal et ses ultras pour relancer ses prétentions territoriales sur l’Ouest de l’Algérie, le Maroc persiste et signe en mettant en branle ses islamistes qui, à leur tour, se sont mis à amplifier les même revendications et actionnent leurs clones, en Algérie, dans la région et jusqu’en Turquie, pour entonner, ensemble, les rengaines demandant à l’Algérie de baisser pied et de se soumettre à l’ordre néocolonial et à la loi des narcotraficants qu’un Maghreb sous leadership marocain ou celui des frères musulmans nous réserve.
    Leur action conjointe fait peur et nous éloigne davantage du Maghreb des Peuples dont nous rêvons depuis le discours de Béchar.
    Pour descendre en flammes l’Algérie, ses institutions et ses responsables, ils leur ont adjoint, en les payant grassement avec l’argent sale de la drogue, des rébus de la scène politique algérienne, y compris des hommes qui ont renié leurs lignes politiques respectives, des pervers notoires et des mercenaires de la plume et de l’intox qui sévissent à El Magharibia et dans les rédactions parisiennes.
    Heureusement, à l’instar de tous ceux qui les ont précédé dans cette voie et se sont discrédités dès qu’ils se sont placés au service d’intérêts foncièrement hostiles à l’Algérie, ces supplétifs et auxiliaires signalent ainsi et malgré eux-mêmes, à l’opinion, qu’ils sont politiquement finis et sont arrivés à la fin de leur parcours. Fin du texte.

    .

    Chelieth
    14 février 2017 - 15 h 17 min

    Comme dans la fable de la
    Comme dans la fable de la grenouille qui voulait se faire passer pour un boeuf. IL finira par eclater.

    kameleon78
    14 février 2017 - 13 h 41 min

    Ghannouchi veut se montrer
    Ghannouchi veut se montrer important mais les choses ne sont pas en sa faveur. le Gourou pensait à une victoire des islamistes en Libye ses amis de Fajr Libya et aussi à la pression du Daesh en Libye donc Ghannouchi aurait été bien placé pour jouer les bons émissaires mais malheureusement pour lui, le Daesh en Libye s’est effondré et les milices de Fajr Libya n’ont pas la main sur le pays donc on n’a plus besoin des services de Ghannouchi puisque les islamistes n’ont pas réussi à s’emparer du pouvoir dans le pays. Pour être plus clair je dirai que Ghannouchi est hors jeu en Libye à cause de la défaite des islamistes dans ce pays.

    Nada Amel
    14 février 2017 - 13 h 18 min

    Maintenant que les anglo
    Maintenant que les anglo-saxons leur ont donné un bon coup de pied puisqu’ils ne leur servent plus à rien ils essaient de se donner une propre importance. A part le fait qu’ils sont traitres à leur pays, à leurs pays et leurs identités, ces gens là ne sont rien, nada, personne et en plus ils sont bêtes et ignares, ils ont d’ailleurs été choisi pour ça par les anglo-saxons qui les ont installés sur des trônes avec les saoudiens à leur tête, quelle sinistre plaisanterie. Maintenant il faudrait bien leur faire reconnaitre leur défaite car ils ont été défait par les patriotes et par les vrais arabes et les vrais musulmans.

    UN ALGÉRIEN.
    14 février 2017 - 10 h 12 min

    JUSTE AVANT DECLENCHEMENT
    JUSTE AVANT DECLENCHEMENT PRINTEMPS « ARABE » DÉCEMBRE 2011 , GHANOUCHI DÉSIGNÉ PLUS GRAND INTELLECTUEL ANNÉE 2011 PAR FOREIGNE POLICY USA . .2012 GHANOUCHI PASSE DEVANT LA COMMISSION WINEP , BRANCHE DE AIPAC (LOOBY SIONISTES ISRAEL ) A WASHINGTON POUR EXPOSER LE ROLE FUTUR DES « FRÈRES MUSULMANS DANS LE MONDE ARABE  » . .WINEP LUI A DÉCERNÉ UN PRIX . .PARMIS LES 100 PLUS GRAND INTELLECTUELS DU MONDE DÉSIGNÉ PAR FOREIGNE POLICY : FIGURENT :..DICK CHESNAY (CRIMINEL DE GUERRE IRAK) , LES CLINTON (YOUGOSLAVIE , DAESH SYRIE ) , ROBERT GATES (DIRECTEUR CIA) , SARKOSY (CRIMINEL DE GUERRE LIBYE) , ERDOGAN (TERRORISME SYRIE) , JHON MAC CAIN (AL KAIDA SYRIE) , BHL LE SINISTRE……….GHANOUCHI EXILÉ EN GB 2003/2011 DATE DE SON RETOUR DE LONDRES A TUNIS JUSTE APRÈS LE COUP D’ETAT CONTRE BEN ALI !!!! ? AVEC SOUTIENT MÉDIATIQUE OCCIDENTALE SIONISTE . ….LES DIRIGEANTS DES « FRÈRES DIT MUSULMANS » ONT PACTISER AVEC LE SIONISME DANS LEUR QUÊTE DU POUVOIR LORS DU FAMEUX PRINTEMPS SIONISTES CONTRE DES ETATS MUSULMANS …….GRACE AU PIGEONS GHANOUCHI ,ERDOGAN ,MORSI QARDAWI , LES HARKIS DU QATAR PRINCIPAL SOUTIENT DE FRÈRES MUSULMANS WAHABITE , DJIHADISME FAUX , TRAHISON …..ET LA PALESTINE , BLOCUS GAZA AUX OUBLIETTES , SEULE COMPTE « LA DOULA ISLAMIYA WAHABITE » ALLIÉS DES SIONISTES. …je ne blâme pas les Sionistes qui défendent leur Intérêt , mais les Harkis dit Musulmans.

    Rastignac
    14 février 2017 - 9 h 29 min

    Doumèje ! Avec lui nous
    Doumèje ! Avec lui nous aurions pu en faire une paire en lui attelant notre bœuf à nous : Moquerie ! Qui lui se fit adouber par Erdogan pour partager cette tâche messianique et nous garder de l’apocalypse. Ce n’est pas une plaisanterie. Car elle est de très mauvais gout pour qu’en en rie. Ces tangos convertis jouent leurs dernières farces à l’histoire ils sont prêts à prendre n’importe quelle vague pour faire parler d’eux. Outre l’aveu de leurs misérables forfaitures, en laissant entendre qu’ils ont des accointances avec les terroristes, donc des influences et pourraient les pousser à s’acheter une nouvelle conduite et leur montrer comment se ranger des voitures. Sauf qu’on nous la fait pas, même Boutef, notre champion de la concorde et de la réconciliation, n’en a pas un seul instant été dupe : « un terroriste restera toujours un terroriste » qu’il a dit pour nous le signifier. Je n’ai pas encore vu un seul de ces sanguinaires faire acte de contrition ni demander pardon pour le mal qu’ils ont fait. Au contraire, ils s’en vantent : Hmadache est encore là pour ne jamais rater l’occasion d’en témoigner. N’oublions jamais que Ghanouchi et Mokri sont des leurs , des leurres plutôt. Alors c’est quoi cette fumée ?

    Rayes El Bahriya
    14 février 2017 - 4 h 23 min

    En toute modestie c’était mon
    En toute modestie c’était mon point de vue
    que j’avais mis en ligne D’il y a 1 semaine sur
    ce site d’un autre article. chose d’évident et
    claire comme l’eau de roche.
    qui croiraient à la blancheur du corbeau?
    l’occident a créé la secte des fées musulmans
    le verre qui va pourrir le fruit défendu.
    triste de truster en ces loups.

    DJAZYA
    13 février 2017 - 21 h 28 min

    un GHANOUCHI, frère
    un GHANOUCHI, frère islamiste (pas MUSULMAN S.V.P. ! les Musulmans sont bien plus propres ! ) ami de Madeleine ALBRIGHT -la-juive-sioniste, ancienne secrétaire d’ Etat U.S.A. du temps du criminel BUSH Junior, GHANOUCHI se fumiste comme tous ses semblables ERDOGAN, MAKRI, MENASRA, DJABALLAH, djouini ET CONSORTS ces imposteurs qui ont fait avec l’aide et les finances de leur maître le WAHHABISME , le mal que l’on sait à l’ ALGERIE, et qui ont ramené le monde arabe qui était à l’avant garde des peuples durant HUIT SIECLES DU VII ème au XV ème (grégoriens) au moyen âge ; GHANNOUCHI et ses acolytes d’ici et d’ailleurs, tous inféodés au Wahhabisme, et à l’impérialo-sionisme , pour certains comme ERDOGAN EGALEMENT A L’O.T.A.N. et à l' »état fantôche dit israél », entrent en ALGERIE et en sortent c omme dans un moulin ! Y A HASRATOUNA ! Y A LIL 3ÂARRRR ! ô HONTE ô DESESPOIR ! où sont passés nos glorieux patriotes ? WINKOU Y A RIDJAL ?

    mo
    13 février 2017 - 20 h 52 min

    He is not honest to allah
    He is not honest to allah

    Yacine.Dz
    13 février 2017 - 19 h 45 min

    Je l’ai déjà noté dans une
    Je l’ai déjà noté dans une contribution. Ghannouchi à son propre agenda. Les frères musulmans manioeuvrent pour éviter d’être classés « organisation terroriste » par l’administration Trump. Ils ont trouvé une faille dans le dispositif antiterroriste nord-africain. Ils se sont accrochés au concept algérien de « reconciliation » si cher au pouvoir algérien pour s’engouffrer dans cette faille. Dieu merci, il parait que les autorités du pays ont compris la manoeuvre.

      Anonymous
      14 février 2017 - 20 h 12 min

      Ghannouchi et les freres
      Ghannouchi et les freres musulmans ont ete classes organisation terroriste par les Egyptiens

    Anonymous
    13 février 2017 - 19 h 20 min

    fréres musulmans = MI6…….
    fréres musulmans = MI6………….Wahhabites = CIA…..et ils prétendent créer le califat ….

    riad adjani
    13 février 2017 - 18 h 34 min

    Ghanouchi n’a aucun rôle sauf
    Ghanouchi n’a aucun rôle sauf le rôle d un espionne la mensaf merzouki

    Felfel Har
    13 février 2017 - 18 h 07 min

    Tous ceux qui ont contribué à
    Tous ceux qui ont contribué à mettre le feu au Maghreb ne sont pas qualifiés pour le circonscrire. Fidèles à leur stratégie, ils excellent dans l’hypocrisie et la manipulation pour faire croire qu’ils représentent une force de Paix. Rien n’est plus faux! Maintenant qu’ils sont dans la ligne de mire de Trump, ils n’ont plus aucune influence, aucune crédibilité. ils ne représentent qu’eux-mêmes, un groupuscule de mercenaires en voie d’extinction. Ne prêtons pas attention à leur élucubrations!

    Anonymous
    13 février 2017 - 17 h 56 min

    Analyse tres claire et exacte
    Analyse tres claire et exacte,c est d ailleurs chez Erdogan en Turquie que Ghannouchi a passe le dernier week end
    pour discuter de la nomination du Palestinien Salem Fayadh comme representant de l ONU dans les negociation en Lybie.Une rencontre discrete chez Erdogan avec le chef de la CIA et soudain les USA mettent un Veto a la nomination de Salem Fayadh.Il est vrai que les freres musulmans font tout pour garder la main mise de leur frere Abdelhakin Belhaj sur la tripolitaine et la capitale Lybienne.L Algerie doit user de sa diplomatie discrete en cooperation avec l Egypte pour dejouer ce stratageme et inviter les USA a retirer leur veto,car Salem Fayadh est l homme de la situation,c est un homme tres respecte aux USA comme ailleurs.
    Lisez cet article pour vous informer sur le frere musulman Abdelhakim Belhaj,l homme d Erdogan et Ghannouchi en Lybie.
    http://www.investigaction.net/Un-protege-de-l-OTAN-a-la-tete-de/

    Yacine OULHAdj
    13 février 2017 - 17 h 38 min

    Il est surprenant de lire, y
    Il est surprenant de lire, y compris dans Algérie Patriotique, que les départs du pouvoir de Moubarak et de Benali sont la conséquence d’un printemps arabe, à l’image de ce qui s’était passé à Budapest et à Prague où de profonds soulèvements populaires avaient eu lieu et avaient pour objectif de se débarrasser de l’occupation militaire étrangère. C’est à ces deux soulèvements que nous devons le terme de printemps…Ni à Tunis, ni au Caire, les armées nationales locales ne peuvent, raisonnablement être considérées comme étant des armées d’occupation étrangères, comme dans le cas de Budapest et de Prague. On connait leur profond patriotisme et leur attachement à leurs peuples et ,chaque année, nous célébrons leur victoire d’octobre 1973 à laquelle notre 8ème BB, qui avait été associée aux unités égyptiennes, a damé le pion au sinistre Sharon et, de l’aveu même des généraux israeliens, détruit une partie de son armée. On se souviendra aussi et toujours de ce que l’armée tunisienne avait fait, en parallèle à l’ANP, pour assurer la protection et la défense du potentiel de combat palestinien retiré du Liban.
    Il faut bien reconnaître qu »à travers l’ensemble de l’Afrique du Nord, les renversements de régime qui se sont produits une fois la libération parachevée, sont périodiques et se produisent une fois chaque décennie, en réponse à une puissante demande populaire . Dans les années 50; ce fut en Egypte et ont permis de se débarrasser du roi Farouk et de sa monarchi archaique; dans les années 1960; c’est en Algérie où il a été mis fin à l’aventurisme et procédé à la récupération des richesses nationales; dans les années 1970, après deux tentatives infructueuses des FAR au Maroc, c’est en Libye où les bases militaires étrangères ont été fermées; dans les années 1980, c’est en Tunisie pour mettre fin à la déliquescence de l’autorité; dans les années 1990, c’est une nouvelle fois en Algérie pour contrer la menace extrémiste sur l’Etat issu de Novembre et, dans les années 2000, c’est en Mauritanie pour défaire la main mise néocoloniale sur le pays.
    La décennie en cours s’achève dans moins de trois ans. On ne peut penser DJ que les FAR échouent à transformer un nouvel essai avant 2020.

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