Vaccination : Boudiaf dément l’hospitalisation d’un ou d’une élève

Abdelmalek Boudiaf. New Press

Le ministre de la Santé, de la Population et de la Réforme hospitalière, Abdelmalek Boudiaf, a démenti, samedi à Blida, l’hospitalisation d’un ou d’une élève ayant été vacciné au R-R, inscrit dans le calendrier vaccinal national.

Le ministère de la Santé «n’a enregistré depuis le lancement de la campagne de vaccination contre le rougeole et la rubéole aucune admission d’un ou d’une élève à l’hôpital après avoir reçu une dose du vaccin R-R qui permet de les prémunir contre ces maladies à l’avenir», a déclaré Boudiaf en marge des travaux de la journée d’étude sur la greffe d’organes qu’il présidait à l’Institut national du rein et de greffe d’organes, à l’hôpital Frantz-Fanon. Il a tenu à rassurer, à cette occasion, les parents d’élèves concernant la qualité et l’innocuité des vaccins inscrits dans le calendrier vaccinal national, précisant que l’«Etat ne peut en aucune manière acheter un médicament pouvant représenter un danger pour la santé publique». Il a dénoncé également les auteurs de ces rumeurs.

D’autre part, Boudiaf a appelé tous les parents d’élèves à ne pas être influencés par ces rumeurs «qui seront abandonnées dans les tout prochains jours» et à permettre à leurs enfants de se faire vacciner. Ce vaccin est destiné aux élèves âgés de 6 à 14 ans, a-t-il encore dit avant de rappeler que près de 500 000 élèves avaient bénéficié de ce vaccin à ce jour.

Il a ajouté, enfin, que l’opération de vaccination qui avait atteint un taux de 13% se poursuivait dans les différents établissements éducatifs, soulignant que sur un total de 194 pays membres de l’Organisation mondiale de la santé (OMS), 160 appliquaient ce calendrier de vaccination dont l’Algérie qui annoncera, dans deux ans, l’éradication définitive de cette  maladie.

En vue de mettre fin à ces rumeurs, un nombre d’experts algériens se réuniront demain, dimanche, au ministère de la Santé pour rédiger un communiqué explicatif sur les bienfaits de ce vaccin sur la santé et qui sera distribué à l’ensemble des médias.

R. N. 

Comment (4)

    Kassaman
    13 mars 2017 - 9 h 28 min

    Le ministre nous dit que l’
    Le ministre nous dit que l’«Etat ne peut en aucune manière acheter un médicament pouvant représenter un danger pour la santé publique», je suis sûr que les intentions de l’état sont bonnes, mais les seules preuves de l’innocuité des vaccins que nous ayons proviennent des groupes pharmaceutiques eux-mêmes or ces deniers sont des sociétés côtés en bourses avec pour objectif principal la profitabilité maximale pour les actionnaires et non pas la santé publique. De plus les scandales liés aux médicaments se multiplient, les liens entre vaccins et maladies auto-immunes se multiplient, en occident la défiance envers les vaccins va grandissant. Donc oui le doute est largement permis en la matière. pour avoir un autre avis sur la vaccination consultez le site du Pr Joyeux: http://www.professeur-joyeux.com/.

    Anonymous
    12 mars 2017 - 18 h 51 min

    Un député de TAJ paie ses
    Les ravages de l’immunité parlementaire sont inestimables. Au nom de cette «protection» que donne la Loi fondamentale, certains membres du Parlement se permettent tout. Y compris le «droit» d’escroquer des citoyens. C’est ce que vient de faire un député apparenté à TAJ, le parti de Amar Ghoul. Kamel Mida est député d’Alger. Quelques mois seulement après avoir décroché son mandat de député, il «achète», en janvier 2013, un lot de terrain à Alger. La parcelle, d’une superficie de 8950 m2 est située à proximité de la cité Malki, à Ben Aknoun. Le quartier est très prisé. Le terrain appartenait aux héritiers Chkiken. Ces derniers, au nombre de 49, ont vendu le terrain au parlementaire à raison de 120 000 DA le mètre carré. Le nouvel acquéreur n’a pas d’argent. Avec l’accord de quelques héritiers (certains ne sont même pas mis au courant), il promet de bénéficier d’un crédit bancaire pour lancer une promotion immobilière. Des héritiers avec qui nous avons discuté, dont Nadia Bensmaïa et son frère (représenté par son épouse), disent qu’ils n’ont pas été associés à la transaction conclue devant un notaire «proche du député». Certains se trouvent à l’étranger. Mais ils sont mis devant le fait accompli. Ils réclament leur dû. Le député promet. Mais il n’y a rien de concret. Et pour mieux «rassurer» ses vis-à-vis, il leur donne des chèques. Ces derniers s’avèrent être sans provision. Les banques concernées (notamment CPA et Société générale) fournissent même des documents attestant que les chèques sont sans provision. Les deux dames exhibent des mises en demeure envoyées par les avocats. Sans réponse. «Kamel Mida nous répond au téléphone. Il promet à chaque fois de payer à la fin du mois. Mais il n’y a rien. Cela dure depuis deux ans», indique Nadia Bensmaïa. Cette plaignante n’est pas la seule dans ce cas. Le mis en cause aurait donné des chèques à tous les héritiers. A l’exception de certains, tous se sont avérés sans provision. Contrairement à Nadia Bensmaïa, ils n’ont pas tous déposé une plainte. «Nous avons déposé une plainte au tribunal de Koléa. La requête sera transmise à la cour de Tipasa qui va faire une demande de levée de l’immunité parlementaire au président de l’APN. Nous attendons la suite», affirme, pour sa part, Me Bouakil, avocat de Mme Bensmaïa. Contacté, le député de TAJ ne nie pas les faits. Il refuse par contre d’admettre la notion de «chèque sans provision». Il s’agit, pour lui, de «chèques de garantie». En tout cas, dit-il, «celui qui se sent lésé n’a qu’à saisir la justice». Un défi ? Pendant ce temps, les héritiers Chkiken indiquent que le nouvel acquéreur commence déjà à vendre des parties du terrain dont le montant n’a toujours pas été réglé.

      Kassaman
      13 mars 2017 - 9 h 34 min

      Souvent dans les forums nous
      Souvent dans les forums nous pouvons lire des posts ou les intervenants se disent victimes de corruption mais sans jamais donner de détails. Votre cas ici semblent très bien documenté et puisqu’il met en cause un député une enquête journalistique s’impose.

    5colonne
    12 mars 2017 - 15 h 58 min

    Renseigner vous sur les
    Renseigner vous sur les vaccins et leurs provenance, ex: BEAUCOUP DE VACCIN SONT INTERDIT EN ALLEMAGNE , SUISSE MAIS PAS EN FRANCE FAITE TRES ATTENTION FAITES DES RECHERCHES AVANT DE VACCINER VOS ENFANTS PARCE QUE LES SEQUELLES VIENNENT 15 a 20ans APRES JE VOUS PARLE EN CONNAISSANCE DE CAUSE YA PLUS DE CONFIANCE COMME AVANT . ATTENTION ATTENTION

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