L’Algérie va fabriquer des équipements pétroliers

L'Algérie vise à réduire sa facture d’importation en matière d'équipements. D. R.

Les sociétés algérienne Poval et chinoise Shandong Kerui Well Control Equipement ont convenu, mardi à Alger, de la création d’une société mixte spécialisée dans la production et la commercialisation d’équipements pétroliers. Dans ce sens, un mémorandum d’accord a été paraphé par le P-DG de Poval, Boualem Latreche Bouteldja, et le vice-président de l’entreprise chinoise, Sun Qinghong, en présence du ministre algérien de l’Industrie et des Mines, Abdesselam Bouchouareb.

L’usine qui sera implantée courant 2017 dans la wilaya de Médéa, à 80 km au sud d’Alger, produira pour sa première année de démarrage un millier de têtes de puits, a avancé le P-DG du groupe AGM (société mère), Bachir Dehimi. A travers ce genre de partenariat, l’Algérie vise à réduire sa facture d’importation. Rien que dans ce domaine précis, le groupe gazier et pétrolier national Sonatrach débourse une somme de 200 à 400 millions de dollars américains pour l’acquisition de têtes de puits, a expliqué Bouchouareb.

R. E.

Comment (19)

    Power
    14 mai 2017 - 20 h 48 min

    Mes chers compatriotes…les
    Mes chers compatriotes…les gens qui veulent entreprendre..travailler..créer..innover…sont décourager par une véritable armée de bureaucrates bêtes et méchants, a tout les niveaux….et c’est des gens incultes,bornés,qui même diplômés,mais sans valeur intellectuelles qui dirigent ou travaillent dans les institutions,et ils prennent du plaisir a saboter par ignorance toutes les initiatives..il faudrait une purge a la Erdogan de tout ces organes et services exterieurs de l’Etat..pour peut-etre..faire avancer les choses…

    Anonymous
    9 avril 2017 - 10 h 15 min

    Il faut restructurer tout le
    Il faut restructurer tout le complexe des pompes et vannes de Berrouaghia, (Médéa) sur des bases de gestions
    De formations, de recherches-développements , et de commercialisations solides
    Selon des normes, et des standards internationals reconnus
    (pas de certificats d’audits bidons, et de complaisances…..?!)

    Malheureusement la production et les produits du complexe sont en de ça et au dessous des attentes
    Des consommateurs algériens à cause d’une mauvaise politique de gestion des ressources humaines
    Formations, promotions, valorisations des salaires, fuites de la main d’oeuvre qualifiée,
    Quelques mauvais gestionnaires qui gèrent, et qui soignent leurs carrières (salaires sans contre partie)
    Au détriment de l’avenir menacé du complexe, et de son pauvre personnel

    Le complexe des pompes, et vannes de Berrouaghia (Médéa) a plus que jamais besoin
    De vraies réformes profondes
    Et de vrais changements managériale, technique, technologique, industriel, et commerciale
    Pour le sauver de la disparition à jamais face à la libéralisation économique, et commerciale sauvage
    En Algérie
    (libéralisation des importations sauvages
    (Algérie – C.E.E), concurrences des étranges, licences d’importations de complaisances, et de laxismes,…..

    Anonymous
    18 mars 2017 - 5 h 12 min

    Poval a été éjecter du
    Poval a été éjecter du Venezuela ,pour la qualité très médiocre de ses produits ,des produits très bas de gamme ,vulgaires copies de l’italien brosso (d’ailleurs en procé avec les chinois)
    Je ne sais pas sur quel critère nos gouvernants valident des partenariat qui nous coûte des milliards à perte
    Le jour où on aura une autosuffisance alimentaire ,ce jour là on va faire confiance à nos décidants car ca c’est apparent comme résultat ,autrement sur ces projets bidon qui ne font que saigner l’Algérie le résultat n’est jamais apparant

    Kassaman
    17 mars 2017 - 11 h 08 min

    Après la lecture des
    Après la lecture des commentaires précédents, j’ai effectué une rapide recherche et je me rend compte que le titre de cet article peut être trompeur finalement puisque il semble bien, comme le rappelait #nectar que nous fabriquons déjà et depuis des décennies des équipements pétroliers notamment donc la société ALDIM. voir un historique de l’ENSP dont elle est filiale ici:
    http://www.enspgroup.com/lexperience-de-lensp/

    Nobody Paris
    17 mars 2017 - 10 h 56 min

    VIVEMENT QUE L’ALGERIE
    VIVEMENT QUE L’ALGERIE INVESTISSE DE FACON TRES FORTE DANS
    LA ROBOTIQUE, L’AVENIR EST LA, INVESTIR DANS LA FORMATION D’INGENIEURS ET DE TECHNICIENS. CELA NOUS PERMETTRA D’EXPLOITER NOTRE SAHARA ( EXPLOITATION AGRICOLE, SOUS-SOLS, SECURITES). UN ROBOT TRAVAIL 24H/24. LES ROBOTS PEUVENT SUPPLEER AUSSI NOS FORCES ARMEES.
    LAISSONS LES CHIENS ABOYER, L’ALGERIE SUIT SON CHEMIN.
    SALUTATION A TOUS.

    Anonymous
    17 mars 2017 - 3 h 38 min

    Je pense que tous mes
    Je pense que tous mes compatriotes ont raison nous voulons faire beaucoup pour l’instant nous arrivons pas à produire des fruits et légumes pour casser les prix et exporter arrêtons de rêver et pourtant j’aimerais que ce rêve devienne réalité, mais pour l’instant j’ai encore le droit de rêver, un jour peut être j’en serais fier et heureux.

    Nobody Paris
    16 mars 2017 - 22 h 14 min

    C’EST UNE BONNE CHOSE. CA VAS
    C’EST UNE BONNE CHOSE. CA VAS DANS LE SENS DU PROGRES. CELA PERMETTRA DE CREER DES EMPLOIS EN ALGERIE.

    VERITE
    16 mars 2017 - 17 h 49 min

    C’est le régne de l’import
    C’est le régne de l’import-import et pour longtemps encore, tant que dure ce système et ses accointances avec les islamistes inventeurs de l’informel .

    Djamel Belaid
    16 mars 2017 - 14 h 02 min

    SEMOIRS CHERCHENT
    SEMOIRS CHERCHENT CONSTRUCTEURS…Une construction d’engins pétroliers? Cela est une bonne nouvelle. Il y a un secteur où l’urgence est criante, c’est celle de la construction locale de semoirs low-cost pour semis direct. Ces engins permettent de préserver la fertilité du sol. Car labourer est catastrophique pour nos sols. La Syrie, entre 2005 et 2012 a fabriqué 92 de ces engins. Quant à l’Algérie, elle en a fabriqué 2. Ces engins sont INDISPENSABLES; il s’agit d’une priorité absolue car ils permettent de lutter contre la sécheresse.

    saviezvous
    16 mars 2017 - 6 h 08 min

    Saviez vous qu’il existe une
    Saviez vous qu’il existe une société qui fabrique des têtes de puits à Reghaia depuis des lustres, une filiale qui ne semble pas interesser Sonatrach,les autorités et surtout les medias?

      Djamel BELAID
      17 mars 2017 - 8 h 57 min

      Comment s’appelle cette
      Comment s’appelle cette entreprise? Qu’on lui fasse un peu de pub…

    Anonymaoui
    15 mars 2017 - 20 h 31 min

    Quoique un peu en retard c
    Quoique un peu en retard c’est une bonne initiative. Pourvu qu’elle aboutisse dans les delais et conditions les plus favorables pour la partie algérienne.

    Amcum
    15 mars 2017 - 13 h 44 min

    C’est une bonne nouvelle même
    C’est une bonne nouvelle même si j’ai un peu honte de ce genre de nouvelles !!
    Pourquoi toutes ces années de retard ?

      Cheikh kebab
      15 mars 2017 - 23 h 26 min

      D’accord avec toi amchum.
      D’accord avec toi amchum. Nous,dans les années 70 nous avons créé sonatrach et ses 12 filiales tous domaines puis la base centrale logistique de béni merad destinée à usiner des pièces mécaniques et autres… Et des apprentis sorciers ont détruit ça. La base logistique heureusement a été récupérée par l’armée.

      Salem
      16 mars 2017 - 2 h 30 min

      Parce-que aucun pays ne
      Parce-que aucun pays ne Fabrique ces tête de puits sauf UK EU JAPON ITALIE !
      MAINTENANT Que la chine c’est élevé au premier Rang !! C’est gagnant gagnant !
      ….

        soleil
        16 mars 2017 - 6 h 03 min

        je prend pour argent comptant
        je prend pour argent comptant ta réponse,et la pomme de terre,une honte pour le pay tjr pareil incapable de regler se problème des decennies

          Thidhet
          16 mars 2017 - 7 h 26 min

          Pour la pomme de terre, le
          Pour la pomme de terre, le lait, etc, c’est une question de savoir-vivre plus que de savoir-faire. Ces problèmes sont dûs à cette tendance qu’ont beaucoup d’algériens à vouloir s’enrichir vite et en de tournant les pouces. L’erreur de l’état dans ce domaine est d’hésiter à jouer du bâton, comme l’aurait n’importe quel gouvernement qui se respecte. Mais il est vrai que chez nous, ceux qui sont censés faire appliquer la loi sont souvent les premiers à les mépriser. D’où la nécessité de …

          Anonymous
          17 mars 2017 - 6 h 01 min

          réplique typique du mokoko,
          réplique typique du mokoko, pomme de terre…bande de soumis affamés

        nectar
        16 mars 2017 - 8 h 39 min

        Je suis désolé Monsieur de
        Je suis désolé Monsieur de vous contredire, il existe une société filiale de l’ENSP, qu concevait et fabriquait tous types d’outillage de forage, miniers et pétroliers, depuis les années 70..Cette usine existe encore  » ALDIM, zone industrielle de Réghaïa » mais abandonnée pratiquement par l’ENSP par manque de compétences et de laisse-aller, pour favoriser l’import/import..Même l personnel recruté ces dernières années se fait sur injonction de la direction générale à Hassi-Messaoud, pour des personnes recommandées entre autres par les pontes du système..
        Poval que je connais très bien, ayant déjà exercé dans cette société, n’a pas le know-how, ni les compétences sur la région, en plus d’un manque d’équipements industriels (machines, traitements thermiques etc..)..C’est encore un leurre de ces incompétents ( comme Dehimi and co) qui ne font que freiner le développement industriel du pays par des incohérences stratégiques… Ces messieurs qui décident et parlent de l’outillage de forage, qu’ils ne connaissent même pas…devraient se taire et changer de métier…Ils ont coulé les filiales SONACOME et leurs méfaits continuent à se propager à d’autres secteurs de l’économie…En conclusion, il est plus facile de remettre sur le rail ALDIM et cela couterait peu au pays, comparé au gouffre d’une nouvelle structure.

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