Un document secret révèle les pratiques de barbouzes du Makhzen à l’ONU

Omar Hilale. D. R.

Le hacker marocain Chris Coleman vient de poster sur son site un document explosif qui prouve que le Makhzen continue à utiliser des méthodes de barbouzes pour infléchir à son profit les positions de l’ONU à l’égard du conflit du Sahara Occidental. Chris Coleman révèle ainsi qu’en 2014, l’ambassadeur du Maroc à l’ONU, Omar Hilale, a exercé des pressions sur Susana Malcorra et Kim Bolduc, respectivement chef de cabinet du secrétaire général de l’ONU et représentante spéciale du secrétaire général pour le Sahara Occidental et cheffe de la Minurso, pour les amener à accepter les «règles» du Maroc concernant les activités de la mission de l’ONU pour l’organisation du référendum au Sahara Occidental. A l’époque, Rabat avait notamment paniqué à l’idée que les Etats-Unis, très offensifs sur le dossier sahraoui, parviennent à faire passer leur projet d’élargir le mandat de la mission au monitoring des droits de l’Homme, à l’instar des autres missions de paix onusiennes.

L’ambassadeur du Maroc à l’ONU avait justement reçu pour ordre de Mohammed VI de faire bien comprendre, par quelque manière que ce soit, à Mme Bolduc – qui venait d’être nommée à la tête de la Minurso – de «ne pas compliquer sa mission en essayant de s’ingérer dans les questions des droits de l’Homme qui ne relèvent pas de son mandat». Dans le cas contraire, rapporte Chris Coleman, le Maroc s’était promis de lui mettre des bâtons dans les roues «jusqu’à compromettre sa mission».

«Le Maroc est prêt à travailler, la main dans la main, avec Mme Bolduc et développer un partenariat fructueux avec elle pour la mise en œuvre du mandat de la Minurso, qui se limite strictement à la surveillance du cessez-le-feu, au déminage et à l’assistance logistique aux mesures de confiance», avait ajouté sur un ton menaçant le diplomate marocain dans le but de limiter le mandat de la Minurso.

Omar Hilale a insisté également pour que «la question des droits de l’Homme reste dans les mains du Haut-Commissariat des Nations unies aux droits de l’Homme (HCDH) où Anders Kompass, directeur des opérations et de la coopération technique, veille à ce que les rapports de cette instance soient favorables au Maroc et où le soutien de Mme Navi Pillat a été acheté moyennant le versement annuel d’un million de dollars comme contribution au budget du Haut Conseil au droit de l’homme de l’ONU».

Comble des combles, le diplomate était allé même jusqu’à obliger la responsable de la Minurso pour que les réunions des missions des procédures spéciales aient lieu dans des bâtiments désignés par les autorités marocaines où ces dernières ont implanté des installations techniques pour l’écoute des conversations tenues entre les militants sahraouis et les envoyés onusiens. Omar Hilale avait notamment «déploré» que «des instructions aient été données de New York pour que les réunions des Procédures spéciales se tiennent désormais au siège de la Minurso». «Le Maroc s’oppose à une telle décision», avait-il martelé.

Fort heureusement, et grâce à la mobilisation de la communauté internationale, ni l’ONU et ni la cheffe de la Minurso n’ont accepté l’ignoble chantage marocain. C’est ce qui conduira d’ailleurs par la suite Mohammed VI à expulser du Sahara Occidental occupé les composantes civile et politique de la Minurso.

Khider Cherif

Comment (25)

    Ali
    30 avril 2017 - 17 h 09 min

    Le référendum d
    Le référendum d’autodétermination prévu sera t il organisè avant oú après les négociations . Ces négociations sont de toute façon déséquilibrées entre un makhzen armé jusqu’aux dents occupant le Sahara et appuyé par la France et le polisario qui survit grâce aux aides internationales dans des camps . Le makhzan n’acceptera jamais de se retirer sachant qu’il exploite les richesses de ce territoire . Il ne restera sur la table finalement que la proposition d’autodétermination chère au makhzen.

    Anonymous
    30 mars 2017 - 6 h 31 min

    C EST VRAI QUE LE MAROC N A
    C EST VRAI QUE LE MAROC N A PAS ENCORE EU SON PRIENTEMPS ARABE

    13500 DZ
    29 mars 2017 - 0 h 06 min

    https://www.youtube.com/watch
    https://www.youtube.com/watch?v=B7liHkrdCAY
    Algerie Rachid Nekkaz Levy le vendeur d’illusions (Le Makhzeni) نكاز رشيد بائع الاوهام
    https://www.youtube.com/watch?v=B7liHkrdCAY
    Algerie Rachid Nekkaz Levy le vendeur d’illusions (Le Makhzeni) نكاز رشيد بائع الاوهام

    Thidhet
    28 mars 2017 - 23 h 47 min

    Lire des articles sur l
    Lire des articles sur l’actualité politique d’el marouk me donne l’impression de parcourir la chronique obscène d’un vaste lupanar.

      LeJusticier
      29 mars 2017 - 1 h 11 min

      Pour infos, wikileaks sort
      Pour infos, wikileaks sort aussi les information plusieurs années aprés! Tu veux qu’il te sort du temps réel, cela ne sert à rien car il faut analyser les informations et les dévoiler petit à petit! Sa crédibilité est en jeu et en plus il ne faut pas montrer en direct que tu as les infos, sinon tu devoiles tout à l’ennemi LOL! Non il ne faut pas le changer, il fait bien son boulot!

    Mahdi
    28 mars 2017 - 23 h 22 min

    Ce Chris coleman un jour il
    Ce Chris coleman un jour il est marocain un jour sahraoui un jour il est autre. Franchement pour un kacker il est pas bon 🙂 nous sommes en 2017 et il arrive a sortir des documents datant de 2014 entre temps 3 ans sont passes il est pas bon il faut le remplacer :).

      Saleh
      29 mars 2017 - 18 h 19 min

      Cela ferait l’affaire de PD6,
      Cela ferait l’affaire de PD6, n’est ce pas? Va baiser la lain de ton maitre.

    Nobody Paris
    28 mars 2017 - 23 h 18 min

    ON N’OUBLIERA JAMAIS PAS L
    ON N’OUBLIERA JAMAIS PAS L’AGRESSION DES TRAITRES MAROCAINS DE 1963 SUR NOTRE PAYS.
    CELA FAIT TOUJOURS CHAUD AU COEUR DE VOIR DES AMIS VOUS EPAULER A DES MOMENTS CRUCIAUX. EXTRAIT D’UN ARTICLE PARUE DANS ALGERIE PATRIOTIQUE DU 27 nov. 1916.
    << Fidel Castro lors de l’agression marocaine de 1963 : «Pour les Algériens, toute l’aide dont ils auront besoin !» 27 Nov, 2016 Nous republions l’article paru dans le quotidien cubain Granma, sur l’aide consentie par Cuba à l'armée algérienne, au sortir de la guerre de Libération nationale, pour repouser l’agression marocaine de 1963. Il rapporte les détails des discussions entre les dirigeants algériens et cubains et revient sur le déroulement des opérations militaires qui devaient déboucher sur l’occupation de la ville marocaine de Casablanca, en guise de représailles. A l'aube du 22 octobre 1963, le navire marchand Aracelio Iglesias arriva à Oran, la deuxième ville d'Algérie, dans le nord-ouest du pays, pour débarquer la colonne qui fut transportée par voie ferrée dans 42 plateformes et 12 wagons, à environ 80 km, au fort construit par la Légion étrangère à Bedeau, près du village de Ras-el Ma. En pénétrant dans la ville, une certaine tension s’installa à l’apparition d’une file de véhicules militaires français. Il n'y eut pas d'incidents. Les Français s’arrêtèrent pour laisser passer les Cubains. Les accords d'Evian, signés le 18 mars 1962, préalablement à l’indépendance de l’Algérie, prévoyaient le stationnement de troupes françaises, lequel cessa à la date prévue. L'indépendance de l'Algérie fut proclamée le 5 juillet, et à l’occasion des premières élections, le 19 août 1962, Ahmed Ben Bella fut élu à la présidence, avec pour vice-président le colonel Houari Boumediene. Dans la matinée du 9 octobre 1963, Abdelaziz Bouteflika, l’actuel président algérien, alors ministre des Affaires étrangères, se rendit à la résidence de l'ambassadeur cubain, le commandant Jorge Serguera. Il l’informa qu’une invasion de troupes marocaines était imminente et que l'armée algérienne manquait de tanks et autres moyens pour affronter une guerre conventionnelle. Serguera lui répondit que Cuba pouvait envoyer des tanks, des canons et des muitions à l’Algérie, et lui répéta les paroles de Fidel : «Pour les Algériens, toute aide dont ils auront besoin…» Bouteflika en fit part à Ben Bella et à Boumediene qui acceptèrent la proposition sur le champ. Immédiatement, Serguera informa le commandant Manuel Pineiro à Cuba. Lorsque l'opératrice demanda à qui était adressé l'appel et de la part de qui, celui-ci répondit : de la part de Raul Perozo pour Eduardo Mesa, deux guérilleros morts dans un combat mémorable face aux tanks de Batista. Serguera demanda 22 infirmiers de Pedro Miret, avec leurs « instruments» pour combattre une épidémie. Piñeiro, qui était un chef astucieux, comprit le message, Miret étant chef d’artillerie. Quelques heures plus tard, Piñeiro lui faisait savoir : «Alejandro [Fidel] est d'accord.» Serguera fit part aux dirigeants algériens de l’accord de Fidel. Le commandant Raul Castro, ministre des Forces armées révolutionnaires (FAR), se rendit en hélicoptère dans les provinces orientales pour retrouver Fidel dans la ferme El-Jardin, dans l'actuelle province de Las Tunas, où le cyclone Flora frappait durement le pays, et l’informa de l'invasion marocaine. Après une analyse dynamique, les efforts se concentrèrent sur l’organisation de l'opération «Dignité». Un groupe tactique de combat et un premier groupe spécial d'instruction (GEI) furent formés. Des membres de l’état-major, Flavio Bravo, Aldo Santamaria, Angel Martinez, (Francisco Ciutat), Roberto Viera, Ulises Rosales, Pedro Labrador et Mario Alvarello, s’envolèrent pour Alger où ils arrivèrent le 14 octobre. Le 9 octobre lors d’une réunion présidée par le ministre des FAR au campement de Managuaco, à San José de las Lajas, près de La Havane, Raul demanda aux présents s'ils acceptaient de partir comme volontaires pour une mission difficile hors du territoire national. Le soir même, ils furent convoqués au port de La Havane, et dans la nuit du 10, environ 120 soldats et officiers s’embarquèrent pour l’Algérie. Après le départ dans les temps du matériel, le second groupe partit à bord du navire Andrés Gonzalez Lines, une semaine plus tard, suivi le 22 par un renfort embarqué dans deux avions. Dans l’un d'eux se trouvait le commandant Efigenio Ameijeiras, qui allait assumer la direction des opérations. Au groupe tactique de combat furent assignés le commandant Roberto Viera en tant que second chef, le capitaine Ulises Rosales, chef de l’état-major et le lieutenant Pedro Labrador, comme instructeur. L'armement fut transporté à bord des deux navires : un bataillon de tanks avec 22 T-34 ; un groupe d'artillerie avec 18 obus de 122 mm ; un groupe de mortiers avec 18 pièces de 120 mm ; un groupe d'artillerie antiaérienne avec 18 pièces 14.5 mm et une batterie de canons antichar de 57 mm. Le groupe cubain du GEI était composé de 26 officiers, 19 sous-officiers et 640 soldats. Les tanks arrivèrent à Oran en 12 jours Le 22 octobre, le soleil n’était pas encore levé que le premier bateau arriva à Oran, environ 12 jours après la rencontre entre Bouteflika et Serguera ; le deuxième groupe arriva le 29. Dénonçant la concentration des troupes marocaines à la frontière, Ben Bella fit part de la situation difficile de l'Algérie. Le roi du Maroc, Hassan II, connaissant la précarité de l'armement algérien, avait ordonné à ses troupes de franchir la frontière le 14. Les villes de Hassi Beïda, Figuig, Tindouf et Tinjoub furent prises, en dépit de l’héroïque défense algérienne. Je me suis rendu à Colomb Béchar, à 1 200 km au sud de la capitale, où était installé le poste de commandement du vice-président Boumediene. Le 23 octobre, en tant que correspondant de Prensa Latina, nous avons obtenu une entrevue, au cours de laquelle le ministre de la Défense dénonça également la complicité des services secrets des Etats-Unis, parce qu’Hassan II utilisait leurs pilotes. Le colonel fit en sorte que plusieurs journalistes puissent se rendre à Tinjoub et informer que le 24 octobre, après cinq jours d’affrontement, l’Algérie avait repris Hassi Beida. Dans les sables sahariens, le docteur Julio Hernandez Socarras était l’un des 28 médecins, trois stomatologistes, 15 infirmiers et infirmières et huit techniciens, qui depuis environ quatre mois, le 23 mai 1963, faisaient partie de la première mission cubaine d'aide civile envoyée par Fidel. Quelques-uns furent dépêchés dans la zone de combat pour l'assistance aux blessés. A l’arrivée du Dr Pedro Rodriguez Fonseca, chef de la mission militaire, et de ses médecins, le Dr Hernandez et les autres coopérants retournèrent dans les hôpitaux qui leur avaient été assignés au mois de mai. L'objectif stratégique était la ville de Casablanca «Nous étions près de la frontière et de Tindouf. Nous avons préparé une attaque par le côté nord de la zone de combat, où Hassan II ne disposait pas de forces importantes. Nous devions entrer par-devant les monts de l’Atlas jusqu'à Casablanca. L'idée était de passer la frontière, d’avancer sur 60 à 70 km et d’y faire entrer les guérilleros africains qui s’entraînaient à Sidi Bel-Abbès et Oran, avec l’accord des Algériens», explique le général de division de réserve Ulises Rosales. «L'opération fut planifiée pour lancer une attaque simultanée dans trois directions : la principale avec le groupe cubano-algérien dans la direction d’Aricha-Berguenet ; une autre à Tlemcen-Oudja à environ 78 km de la première, avec deux bataillons d’infanterie algériens, une compagnie de tanks 55 venus d'Egypte et la troisième à Figuit, avec deux bataillons d'infanterie algériens», nous a-t-il dit. Après une réunion à Colomb Béchar entre les directions militaires algérienne et cubaine, la thèse de Boumediene fut choisie : nous emparer de territoires frontaliers marocains, afin qu’en cas de négociations, l’Algérie se trouve dans de meilleures positions. Ameijeiras dit : «Nous n'arrêterons pas avant d’être arrivés à Casablanca.» «Nous étions sur le point de partir, préparés à amorcer l'offensive cubano-algérienne le 29 octobre – ajoute Rosales –, lorsque Ameijeiras informa qu'il fallait attendre. Serguera était allé à Alger pour informer Ben Bella et il donnerait l'ordre.» Mais le Président lui dit : «Nous devons attendre ; demain (30 octobre) je dois assister à une conférence au Mali pour examiner la situation en présence d’Hassan II, du président Modibo Keita et de l'empereur Hailé Selassié.» Serguera ordonna donc d’attendre. Plus tard, Serguera informa de la déclaration de cessez-le-feu et de la suspension des hostilités. Le danger passé, Viera revint à Cuba avec la moitié du contingent. Le reste des membres de l'opération Dignité poursuivit l’entraînement militaire des Algériens pour l'utilisation de l’armement et la préparation au combat, sous le commandement d'Ulises Rosales. Le 2 janvier 1964, à l’occasion du 5e anniversaire de la Révolution cubaine, fut organisé à Alger un défilé militaire conjoint en présence de Ben Bella, Boumediene et Serguera. Les officiers et les soldats algériens firent une démonstration impressionnante. Le gouvernement algérien put constater que son armée populaire était prête à assurer sa tâche principale de défendre les conquêtes de la Révolution. Le commandant Raul Castro Ruz envoya un message de reconnaissance à chacun des Cubains. Le 11 mars 1964, le commandant Flavio Bravo remit officiellement tout l'armement, qui fut reçu par Boumediene et le commandant Slimane Hoffman. Le contingent resta jusqu'au mois d’octobre, au terme de l’entraînement militaire. Les messages de félicitations de Ben Bella et de Boumediene témoignent de l’efficacité avec laquelle l'opération Dignité avait été menée. La pénétration frontalière dura seulement 17 jours ; les documents déclassifiés durant ces 50 ans permettent de comprendre comment la courageuse résistance algérienne et la décision cubaine d'envoyer ce groupe d’instruction et de combat contribuèrent de manière décisive au dénouement positif. Les conversations durèrent plusieurs mois sur d'autres scènes jusqu'en février 1964, au terme desquelles les frontières antérieures, établies par l'Organisation de l'Unité africaine (OUA), furent rétablies. Gabriel Molina Franchossi In Granma

    Moskosdz
    28 mars 2017 - 22 h 25 min

    Hormis la magouille,le
    Hormis la magouille,le complotisme,la ruse,la lâcheté et la trahison,faut pas s’attendre à quelque chose de mieux d’un pays narcotrafiquant.

    13500 DZ
    28 mars 2017 - 21 h 11 min

    Un livre A LIRE …TRES
    Un livre A LIRE …TRES trés intéressant Qui laisse ses lecteurs… s’évader a l’époque des esclaves …
    https://books.google.fr/books?id=3sqcPHdU3NMC&pg=PA460&dq=voyages+d%27ali-bey+el+abbassi+tome+second&hl=en&sa=X&redir_esc=y#v=onepage&q&f=true

    HANNIBAL
    28 mars 2017 - 19 h 58 min

    Au Dominion des paradoxes le
    Au Dominion des paradoxes le makhnaz corrompu a condamné une femme d’affaire
    femme d’un koweitien sur l’injonction de celui ci le royaume de mar »o »k lécheur de babouches
    des monarchies du golfe qui lui couperont l’aumone mais pour ce cas c’est exceptionel ce
    koweitien trouvera une autre marochienne suite Maroc : Hind Achabi condamnée à 2 ans de prison pour adultère, son complice s’en sort bien !! http://www.realites.com.tn/2017/03/maroc-hind-achabi-condamnee-a-2-ans-de-prison-pour-adultere-son-complice-sen-sort-bien/

    Med Benhamou
    28 mars 2017 - 19 h 56 min

    Je remarque de plus en plus d
    Je remarque de plus en plus d’intervenants qui insistent sur l’urgente necessite de la reprise de la lutte armée par le peuple du Sahara occidental et j’y souscris pleinement à l’effet d’éviter à ce peuple de se retrouver dans la même situation que le peuple palestinien

      amel
      28 mars 2017 - 21 h 29 min

      Ce n’est pas que je suis pour
      Ce n’est pas que je suis pour la lutte armée, mais il faut savoir qu’un petit déclic réveillera les marocains et leur fera découvrir le vrai dieu; s’il y a un conflit armé, adieu le royaume de bibendum et adieu la lourde chappe de mensonge et de peur (éddél)sur les épaules des marocains. Ils comprendront qu’il n’y a qu’un dieu et que ce dieu ne fait pas de différence entre ses créatures et donc n’irait pas leur imposer bibendum comme intermédiaire entre lui et eux. Bibendum a tout intérêt à régler le problème du sahara occidental sans meettre son royaume en péril, t’en fais pas va Si jamais les sahraouis déterrent leur hache de guerre il va s’empresser de faire bouger les chose à un rythme numérique. l’HSTOIRE NE FAIT QUE SE RÉPÉTER.

    Sprinkler
    28 mars 2017 - 19 h 07 min

    Aux risque de  » bousculer « 
    Aux risque de  » bousculer  » nos amis Saharouis, seule la lutte armée leur ouvrira le chemin de la liberté…Qu’ils n’attendent pas que  » De Glaoui VI  » leur apporte l’Indépendance sur un plateau d’argent comme nous l’aurait  » offerte  » un certain De Gaulle pour complaire à l’égyptien Nasser selon les  » flatulences  » savantes d’un pétro-bédouin qui a reçu la sienne d’indépendance comme on reçoit les clés d’une maison close…Dieu et les Hommes sont témoins, pour s’affranchir du colonialisme français l’Algérie a payé l’un des tribu les plus élevé de toute l’Histoire humaine…La horde coloniale et non moins harde de sauvage a mis plus de 70 ans pour faire mettre un genou à terre à l’Algérien !!! 70 années de massacres, de viols, de pillages, de brimades, de spoliations, n’ont pas réussi à éteindre la flamme de la Liberté dans le coeur des Algériens meurtris ! Alors aux armes amis Saharouis, les justes causes finissent toujours par triompher !

    HANNIBAL
    28 mars 2017 - 18 h 56 min

    Au royaume des paradoxes la
    Au royaume des paradoxes la vie ne vaut meme pas d’etre vécue regardez les esclaves .
    et ca veut jouer au colonialiste !!

    Une «femme-mulet» marocaine meurt après une avalanche à Ceuta

    …Suite : https://www.yabiladi.com/articles/details/52307/femme-mulet-marocaine-meurt-apres-avalanche.html

      Keltoum
      28 mars 2017 - 19 h 39 min

      J’ai vu ce lien et même de
      J’ai vu ce lien et même de nombreuses vidéos sur ce sujet et je suis sincèrement triste de dire qu’en plus d’avoir fait de ce peuple des soumis au travers de cet humiliant Baise -main et ces dégradantes prestations du serment d’allégeance devenus les seuls critères de citoyenneté pour le marocain, la prédatrice famille allaouite à fait de la femme marocaine un Mulet de somme servant de moyen de transport aux barons du makhzen. Le plus dramatique est l’absence de réactions de la société civile et des Organisations de défense de la femme.

    Anonymous
    28 mars 2017 - 18 h 54 min

    la schizophrènie est
    la schizophrènie est incurable ,,,,la seule remede changer de cerveau

    Djaffar
    28 mars 2017 - 18 h 20 min

    Certains intervenants font
    Certains intervenants font systématiquement allusion aux origines arabes du M6 pourtant ses compatriotes berbères du Rif aussi forment une grande partie des colons et forces de répressions au Sahara occidental.

    Tout les Marocains quelque soit leurs origines ou religions se valent, un peuple sans dignité, vil et lâche.

    HOURYA
    28 mars 2017 - 17 h 27 min

    Moralité : seule la LUTTE
    Moralité : seule la LUTTE ARMEE , utilisant tous les moyens, peut libérer LE SAHARA OCCIDENTAL du colonialisme de la NARCO-monarchie du maroc . LE POLISARIO doit vite déclencher des ATTAQUES QUI FONT MAL aux fesses du roitelet-drogué M 6. C’EST ça la BONNE ET SEULE SOLUTION dans ce monde pourri où l’impérialo-sionisme dirige tout et oblige le monde entier à se prosterner devant sa  » GRANDEUR DE GANGSTER « . ( Réunion de l’O.N.U. une fois par an, résolutions jamais appliquées (comme pour LA PALESTINE , véto ( de ceux qui détiennent ce  » DROIT DE LA JUNGLE « , lorsque même les résolutions qui ne s’appliquent jamais ne leur plaisent pas et rebelote, et le temps passe ) et au bout de 130 ANNES ou plus, c’est soit une GUERRE DE PLUS DE 7 ans avec des millions de martyrs et des destructions que l’ont sait, soit la dispersion comme poussière à travers le MONDE DES populations spoliees et chassées de leur Pays, donc l’OUBLI de leurs générations futures DONC LA VICTOIRE DU FAIT ACCOMPLI ! Drôle de justice « humaine » !
    Moralité des moralités : QUE LES PEUPLES COMPTENT SUR le BON DIEU et sur EUX-MÊMES et se fassent eux-mêmes justice. Compter sur l’O.N.U. est la pire des fautes, sinon des lâchetés !

    Mohamedz
    28 mars 2017 - 16 h 20 min

    C’est quand même très
    C’est quand même très original ce paradoxe d’une peuplade de schizophrènes crevant la dalle avec à sa tête un roitelet prédateur et esclavagiste qui se paye le luxe de jouer au colonialiste

    RasElHanout
    28 mars 2017 - 16 h 10 min

    En un mot la prédatrice
    En un mot la prédatrice famille allaouite allochtone a piégé le Maroc et son peuple sur ce dossier du Sahara occidental et par conséquent aucune personne sur cette planète terre ne souhaiterait être aujourd’hui à la place de homomo6

    Fouedz
    28 mars 2017 - 16 h 01 min

    Tout le monde s’accorde à
    Tout le monde s’accorde à dire que le lignes sont en train de bouger sur ce dossier de décolonisation du Sahara occidental notamment depuis la disparition politique des deux principaux soutiens au roitelet sur ce dossier à savoir Hillary Clinton et Nicolas Sarkozy. La prochaine résolution du Conseil de Sécurité prévue pour fin avril va être édifiante. En attendant sirotons notre thé et apprecions la suite.

    Ziad Alami
    28 mars 2017 - 15 h 51 min

    Je continue à dire et à
    Je continue à dire et à écrire que l’indépendance du Sahara occidental est au bout de son peuple et que tout le reste n’est que du bla bla bla et une perte de temps que le roitelet est en train de mettre à profit pour un changement démographique des populations locales par les vastes mouvements de transhumance de ses sujets des régions les plus pauvres du Maroc vers les villes du Sahara occidental en perspective du prochain référendum devenu un passage obligé pour le règlement de cette question de décolonisation.

    BabElOuedAchouhadas
    28 mars 2017 - 15 h 40 min

    Cette stratégie de fuite en
    Cette stratégie de fuite en avant de la part du Régime du Makhnez au point de vouloir défier la Communauté Internationale finira par emporter cette narco-monarchie et l’exemple de l’Irak de Saddam en est édifiant. Le seul problème est que aujourd’hui c’est le peuple irakien qui est en train de payer l’addition. Mon post est un message codé au peuple marocain

      amel
      28 mars 2017 - 18 h 08 min

      Malheureusement ce message
      Malheureusement ce message codé ne peut rien faire pour un peuple tenu avec soin dans l’analphabétisme et l’ignorance. Ceux d’entre eux qui ont vu une école de l’intérieur – à peine 50% – font pour la plupart partie de la classe « dirigeante » ou croient l’être. Certains sont persuadés, grâce à la propagande, qu’ils ont les même ancêtres que bibendum. La plupart sont passés par un malheur « grâce » auquel l’hassassin 2 ou son fils ont « sauvé » ces gens. la méthode consiste à mettre des chiens enragés dans l’administration; ces chiens sont lâchés librement sur la population et dés que la population se plaint le père du bibendum comme son fils aujourd’hui intervenait pour les « sauver »; résultat: ils lui sont éternellement reconnaissants. Même lorsque la famine frappe, la maladie, n’importe quelle misère, on entend les gens louer leur roi de les avoir sauvés ou lui adresser leurs prières via les moyens de communications. C’est pire qu’avec bouteflika chez nous. C’est par ces pratiques que l’on reconnait « annas arokhass », les gens qui n’ont pas de dignité, les gens qui ont besoin d’un média entre eux et dieu (chose que l’on ne trouve par exemple plus en occident). De plus, les marocains en général, ont peur de leurs services secrets; on a vu par exemple cette femme de ménage maltraitée par la diplomate: la chose qui lui a donné le plus les jetons c’est qu’on l’accuse d’avoir dit « des choses » à propos du roi. Voilà la valeur intrinsèque de ces gens. Donc ne te fatigues pas, ils ne fonctionnent pas comme les êtres libres et ne comprendront jamais ton message, sauf une partie infime, impuissante, qui, elle, a compris depuis longtemps mais ne peut rien faire.

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