Les marches sont stériles sans contre-pouvoir constitué

Par Youcef Benzatat – C’est mettre la charrue avant les bœufs que de faire des marches de contestation dans la situation politique actuelle.

La marche de dimanche qui s’est ébranlée de Boumerdès dans l’objectif d’atteindre Alger, malgré l’interdiction de toute marche dans la capitale, bien que cette interdiction soit elle-même illégale, est une véritable marche populaire de contestation politique. Si la motivation première annoncée était les conditions sociales des retraités militaires et des appelés ayant participé à la guerre contre le terrorisme, le fait que son objectif était de transgresser cet interdit, en fait d’elle une véritable marche politique. De plus, une marche d’une telle ampleur dans la conjoncture actuelle, caractérisée par une rupture profonde et un rejet irréversible du pouvoir par la population, ne peut laisser indifférente la masse du peuple qui se trouvait sur son passage, pour venir la grossir en la transformant d’une simple manifestation corporatiste à caractère social en une véritable marche populaire de contestation politique. La question de savoir qui en est l’organisateur est sans importance devant sa puissante symbolique.

Dans la conjoncture actuelle, le pouvoir sait qu’une marche sur Alger finira sans aucun doute en émeute et se propagera sur tout le territoire national. C’est d’ailleurs pour éviter ce danger que cette interdiction a été décrétée.

Le pouvoir affiche de plus en plus cyniquement sa confiscation des libertés politiques dans un environnement de corruption généralisée et d’immobilisme économique en mode de gouvernance, alors qu’en face, la précarité sociale se creuse chaque jour un peu plus dans un environnement institutionnel de plus en plus déliquescent. Dans ces conditions, celui-ci n’a d’autre choix que la fuite en avant. Interdiction et répression restent les seuls atouts qu’il puisse faire valoir pour préserver sa domination sur la société et continuer à jouir de la rente comme un bien privé.

Le pouvoir et son opposition structurelle sont allés tellement loin dans leur implication dans le détournement de la rente qu’il n’est plus envisageable pour eux de contribuer à une transition vers un Etat de droit, synonyme de justice indépendante et d’ouverture d’enquêtes tous azimuts sur les fortunes mal acquises. Pour ces raisons, toute tentative de manifestation qui viendrait les menacer sera brutalement et violemment réprimée. Renforçant ainsi l’Etat policier et accentuant la restriction des libertés publiques.

Seul un contre-pouvoir, issu d’une alliance des forces progressistes et démocratiques en rupture avec les processus institutionnels existants, boycotteurs, personnalités indépendantes, intellectuels, société civile et partis politiques marginalisés seront en mesure de gagner la confiance du peuple et de canaliser sa colère qui se dessine en perspective pour pouvoir négocier avec le pouvoir une transition pacifique sous l’impératif de la préservation de notre souveraineté nationale et l’atténuation de la souffrance du peuple.

Y. B.

Comment (82)

    leputois
    26 mai 2017 - 17 h 35 min

    Tout ça pour ça…eh bien à
    Tout ça pour ça…eh bien à partir de maintenant on va attendre el adhan…pour ceux qui ont la foi et font le ramadhan

      Karamazov
      26 mai 2017 - 19 h 01 min

      Oui ! Ina lillahi wa ilayhi
      Oui ! Ina lillahi wa ilayhi radji3oun: on y réchappera pas! sauf si……

    Dr Knock
    26 mai 2017 - 9 h 08 min

    J’avais oublié de livrer à
    J’avais oublié de livrer à Monsieur Benzatat un chiot que je lui ai gardé pour la fin. On ne va pas se quitter comme ça?
    Je n’ai jamais été traumatisé par mes origines, je n’en suis ni triste ni fier, le fait de ne pas savoir qui était vraiment mon arrière-grand-père m’indiffère totalement. Je m’appelle Akli n’Ahmed n’Meziane Hamou n’A3mar. Mon arbre généalogique ne remonte pas plus loin.Toute cette lignée est née dans le même village et taillée dans la même veine, deg dourar ihin anda tsourebbagh, dans ces montagnes où j’ai été élevé. Je passe sur le fait qu’ils n’ont pas besoin que je les raye de ma biographie, ils se sont arrangés pour s’entre-zigouiller, une pratique courante, là-bas, en ces temps – là.
    Tout jeune, j’ai été frappé par la lecture des « mots » de Sartre et notamment par ceux-ci :
    « Ce que j’aime en ma folie, c’est qu’elle m’a protégé, du premier jour, contre les séductions de « l’élite » : jamais je ne me suis cru l’heureux propriétaire d’un « talent » : ma seule affaire était de me sauver – rien dans les mains, rien dans les poches – par le travail et la foi. Du coup ma pure option ne m’élevait au-dessus de personne : sans équipement, sans outillage je me suis mis tout entier à l’œuvre pour me sauver tout entier. Si je range l’impossible salut au magasin des accessoires, que reste-t-il ? Tout un homme, fait de tous les hommes et qui les vaut tous et que vaut n’importe qui ».
    L’identité que s’est construite Sartre écrase complètement celle qu’on a voulu lui transmettre. Mais Sartre ne dit pas : « je ne suis plus ». Ou « ne voulant pas être, je ne suis rien ». Comme le fait devant nous Benzatat.
    Il y quelques similitudes entre ce qu’écrit Benzatat et « les mots » de Sartre ». Mais croyant se constituer une sorte d’hyper-identité, à la Frankenstein , Benzatat se rate complètement, disperse sa personnalité et la dilue dans un fatras d’origines multi-ethniques qui le nihilise. « Je ne suis personne » , nous dit-il à la fin. Et la lassitude qu’il provoque chez « Yacine » en le barbant avec le récit de ses origines est encore plus éloquente. Benzatat ne se cherche pas : à travers son anamnèse il se perd. Je comprends maintenant sa phobie pour tout ce qui revendique une identité. Quand on ne peut faire à propos de la sienne qu’une tératogénèse ! Mais qu’aurait dit, à propos de ce »melting-potisme » Goëring ?
    Et là j’ai envie de vous raconter l’histoire des trois péteurs.

      Mindjibalina
      26 mai 2017 - 16 h 57 min

      Si ton arbre généalogique ne
      Si ton arbre généalogique ne remonte pas loin, c’est parceque ce n’est consigné nulle part, jusqu’à à ce que l’état civil soit introduit par la France coloniale. Comme quoi à toute chose Malheur est bon. Et l’on comprend, du moins pour ma part deux choses, l’impératif de consigner notre histoire, à défaut on obtient un Héros comme Okba et un barbare, mécréant qui s’appelle Koceila. Historiographie du vainqueur oblige. Deuxieme chose Si Mello veut inventer un citoyen asceptisé, quand il veut la paix et un autre plus authentique quand ça l’arrange, sans un hymne sain à la diversité de Dieu, on appelle ça de l’ambivalence. Entre nous vous avez vu un gars du FFS qui prend les USA pour modèle de cohésion, arrêtons de prendre les enfants du bon dieu pour des roseaux sous les vents. E si Benzatat nous plonge dans l’acide pour nous diluer avec d’autres métaux que des menteurs lui ont procuré , libre à lui, il me trouvera toujours en  »faction ». le seul motif de fierté pour l’homme n’est ce pas d’avoir réussi une vie de cohérence, en d’autres termes qu’il s’est ramassé, qu’il ne s’est pas dispersé. alors soyons cohérant, et l’amour de sa patrie est le premier signe de celle ci.

        Mello
        27 mai 2017 - 13 h 33 min

        Encore une fois, vous
        Encore une fois, vous deroulez comme vous l’entendez, ya Mindjibalina. Entre prendre le modele Americain comme modele de cohesion sociale, comme vous le laissez supposer, et prendre la nation Americaine comme reference patriotique , c’est deux mondes en parallele. Ya si, le probleme de l’identite pour l’Americain ne se pose pas aujourd’hui, il l’est sans aucune reference ideologique . Modele de cohesion n’est, en fait, qu’une vision caricaturale. Un Americain emprisonneé ou tué ailleurs est vite pris en charge par son Etat, une cohésion forte Etat citoyens.
        Dieu, comme les gens caricaturent ceux ou celles qui ne sont pas du meme avis. Encore une auto-defense a assurance multirisques, le socialiste a besoin d’une pensee vraiment libre, libre de tous les prejuges pour soulever des nations qui travaillent contre les oligarchies qui les exploitent et qui vivent en parasites !
        Pour revenir a l’Americain , il peut organiser une marche seul, a deux, a trois sans etre inquisitionné, arreté ou que la police bloque tout .
        Amigos, l’amour de la patrie est un sentiment personnel et personne d’autre n’a le droit d’apporter un jugement.

        Yust60
        28 mai 2017 - 16 h 41 min

        Ça se voit vous et les math
        Ça se voit vous et les math ça fait 2…

        ….

    Hend Uqaci
    25 mai 2017 - 12 h 55 min

    Moua, mon commentaire a été
    (…) Trois frères se disputaient un héritage autour d’une table en verre. Le ton monte , le plus jeune s’énerve, tape du poing et casse un coin qui tombe par terre en mille morceaux. Le grand frère se lève , fulmine contre son benjamin « ispice de aghyoul » (âne bâté) tu a cassé la table que nous ont laissé nos parents, ayaqjoun (chien)! » Le benjamin se lève et dit à son grand frère : « la tourabibou 3alaya, prends un mètre et mesure, tu verras que ce n’est que ma part que j’ai cassée. »
    Je renouvelle ma demande : pas touche à ma part, laissez-là koum elle est !

    Dr Knock
    25 mai 2017 - 12 h 39 min

    Nous y voilà , camarade @le
    Nous y voilà , camarade @le putois, de l’autre côté de l’ennui. Après moult contorsions par quelque chemin qu’on passe, on y revient. En vérité il n’y a que la matière pure qui vaille ! Si on avait commencé par cela, il n’y aurait pas eu de débat! Mon père, un vieux zimmigri, après karantan de ghorba, disait-il, n’avait appris à peine que quelques mots de français, jouait les nabab avec ma pôvre mère: «ramassez les zoutils» , qu’il lui disait quand il avait fini de manger. Alors maintenant que c’est dit ramassez les outils !

      leputois
      25 mai 2017 - 13 h 36 min

      La nature a toujours eu plus
      La nature a toujours eu plus d’un tour dans son sac camarade Dr knock. Le moins que l’on puisse retenir et qui parait le plus trivial est que chasser le naturel et il revient au galop. On n’échappe pas à sa nature c’est ce que l’on m’a appris tout jeune que j’étais, voila quelques dizaines d’années. Le monde est ainsi fait depuis plus de treize milliards d’années, depuis la première seconde où il a commencé à s’édifier et rien n’ira au delà de ce que permet la nature.

    Khelfane
    25 mai 2017 - 1 h 50 min

    Les acteurs de cette
    Les acteurs de cette polemique pourraient échanger leurs e-mails et porter le débat

    Hors cette rubrique ,celà’ libérerait la place pour d’autres opinions et et échanges

    Merci

      leputois
      25 mai 2017 - 7 h 41 min

      Sans vouloir vous contrarier,
      Sans vouloir vous contrarier, cet espace est fait pour des échanges d’opinions entre tous ceux qui visitent le site dAP, et je pense qu’il est assez volumineux pour contenir les réflexions de tout le monde. Et libre à chacun de zapper les interventions qui ne l’intéresse pas. (…). Bien à vous.

    youcef benzatat
    25 mai 2017 - 0 h 02 min

    Extrait de mon premier roman
    Extrait de mon premier roman : « Le Déshonneur du Général »

    Yacine s’était absenté un instant, pour revenir ensuite avec un tas de cartons, qu’il avait étalé sous nos pieds et sur lesquels nous devrions dormir pour la nuit. Nous nous étions ensuite installés sous un ciel étoilé et éclairé par la lueur d’une lune généreuse. Il avait sorti de son sac quelques nourritures que nous partageâmes, et après avoir bien mangé et bien bu, j’avais saisi cette occasion pour lui rappeler encore son errance, de laquelle j’espérais toujours qu’il puisse se ressaisir :

    – En tout cas, le fait de vous avoir poussé dans vos derniers retranchements à la quête de la pureté fantasmatique des racines est l’une des ruses que le Général ajustera à la perfection, en lui opposant notre assimilation à cet Orient chimérique, qu’il dresse comme un épouvantail pour anéantir toutes nos potentielles solidarités. Remarque, pour peu que tu sois doté d’un minimum de discernement, tu constateras sur le visage des Habitants que leur sang n’a pas manqué de se mêler à celui des étrangers, pour venir enrichir leur graine. De même en ce qui concerne leurs parlers et tout ce qui se rapporte à leur existence. Malheureusement, le piège tendu par le Général a poussé les Habitants, soit à vouloir atterrir sur cette terre comme s’ils tombaient d’un ciel qui n’est accessible que par leurs sens, aussi chimérique que l’Orient dont il se prévaut, ou alors, fuir la plaine et emprunter les chemins qui montent à destination des collines oubliées, lui préférant la vie en autarcie !

    Il se redressa précipitamment, comme quelqu’un qui fut soudainement accablé par quelque doute l’ayant déstabilisé et me demanda quelles fussent mes origines.

    – Tu me poses une question très compliquée, mon ami. Je me la suis posé à moi-même autant de fois, comme le ferait une cigogne qui voudrait construire son nid sur une branche qui dépasse en plein milieu d’un fleuve, qui serait sujet à crues et à torrents généreux et pleins de vie. À vrai dire, je ne me suis jamais senti aussi bien que dans la posture d’un Habitant parmi les Habitants. Certainement, quelque chose à laquelle se reconnaissent tous les humains doués de bons sens. Pour tout dire, à force de vouloir reconstituer les lignées par lesquelles je suis venu au monde, je me suis tellement perdu dans leurs entrelacements, au point de ne plus savoir qui je suis. Aux dernières nouvelles qui alimentent les veillées de ma famille pendant les fêtes, mon arrière-grand-père paternel serait un nomade, issu de la tribu des Zaâtcha, du fin fond des Aurès. Elle aurait paraît-il résisté jusqu’à épuisement à la pénétration des armées des derniers conquérants qui étaient venus convoiter nos terres. Toujours selon ces nouvelles de circonstance, leurs ancêtres avaient fait pareil avec les armées venues d’Orient, et même avec celles venus bien avant. Les derniers survivants, ceux qui ont échappé aux enfumoirs, ces grottes devenues en l’occasion des chambres à gaz, pour assassiner en masse, aux étouffoirs dans lesquels on les a emmurés vivants, aux exécutions sommaires et aux innombrables formes de tortures, et après la destruction de leur ksar, leur oasis, leurs puits d’eau et même leurs animaux, étaient contraints de nomadiser pour trouver refuge dans le sud constantinois. D’ailleurs beaucoup d’autres tribus avaient subi le même sort et dont les survivants avaient également trouvé refuge dans cet environnement hospitalier. Beaucoup parmi eux sont même venus de très loin. Comme si les ancêtres les avaient appelés à se regrouper en ce lieu, au pied du nid d’aigle des montagnes des Aurès, dans l’espoir de revivifier les combats qu’ils avaient à mener eux-mêmes de leur temps, pour leur insuffler le sens du sacrifice et de l’abnégation, pour préparer le combat contre les derniers occupants étrangers.

    Je fus interrompu par les aboiements d’une meute de chiens qui passaient non loin du tombeau, sans donner l’impression de s’en éloigner. Yacine se leva et m’invita à l’aider à leur jeter des pierres pour les éloigner. Il faut dire qu’il était préparé à toute éventualité. Un tas de pierres était stocké dans un coin du tombeau, prêts à servir. Nous réussîmes à les chasser de quelques jets, bien que l’écho de leurs aboiements n’ait jamais cessé de déchirer au loin la sérénité de cette nuit qui semblait devenir une éternité. Rien d’étonnant devant ce désagrément. Des chiens errants, il y en a partout, autant que les fous et les sans domicile fixe qui errent dans les villes et les villages, abandonnés à leur sort. En plus des sévices administrés par le Général et ses hommes et la terreur bigote de ceux qui se prétendent être tombés de quelques cieux, ou de la discorde et la division de ceux-là qui voudraient se distinguer par quelques folklores domestiques, auxquels il faut rajouter ces bandes violentes qui sèment la terreur, les Habitants devraient aussi se confronter aux menaces que font peser sur eux ces hordes de chiens errants et toutes sortes de menaces imprévisibles.

    À peine nous nous sommes réinstallés sur notre lit de fortune, que Yacine se tourna vers moi, les yeux grands ouverts et les oreilles toutes dressées. Visiblement, il ne donnait pas l’impression d’avoir été distrait par cet incident et attendait avec impatience la suite de mon récit. Il me relança sur un ton de défi :

    – Prétends-tu peut-être que seule la tribu à laquelle tu appartiens a pu conserver sa pureté face au défi du temps et du mouvement des hommes dans son enclavement entre les montagnes des Aurès et l’océan des sables !

    Son sens de la provocation, qui mettait à nu son esprit désemparé et confus face à la tournure de la conversation, m’avais permis de reprendre mon récit là où il devenait pertinent. Non sans avoir éprouvé quelque satisfaction à lui faire prendre encore plus conscience de l’errance dans laquelle il était embarqué avec ses chemins qui montent à reculons.

    – À aucun moment je n’ai prétendu à une quelconque pureté qui aurait caractérisé quelque tribu que ce soit. Encore moins la mienne. Bien au contraire, beaucoup parmi mes oncles et mes cousins, aussi proches que lointains, affirment plutôt le contraire. Le sang des Habitants nichés dans cette enclave n’a cessé lui aussi d’être mêlé à celui des étrangers, qui étaient, pour une raison ou une autre, contraints de séjourner sur leurs terres. À commencer par les armées qui étaient à l’origine de la destruction du royaume de Massinissa. Ils étaient restés plusieurs siècles, après avoir bâti des villes et influencé considérablement l’agriculture, la technologie et toute leur existence. Ils avaient drainé avec eux mercenaires, esclaves et serviteurs de toutes les régions où ils étaient passés, ainsi que leurs mœurs et coutumes et leurs religions. Mais bien avant eux, les hébreux s’y étaient déjà implantés en nombre, avec leurs habitudes et leur religion. À la chute de l’empire, beaucoup parmi ces étrangers sont restés et leur sang n’a pas manqué de se mêler à celui de nos ancêtres. Il en fut de même pour tous les autres conquérants, qui n’ont cessé de convoiter nos terres, partout où vivaient nos ancêtres et pas seulement dans cette enclave. Pour peu que tu sois doté d’un minimum de discernement, tu constateras par toi-même que le sang des Habitants est fortement mêlé à celui de tous ces étrangers.

    Yacine continuait à m’écouter sans trop forcer sur son attention. Plus désemparé que jamais. Il arrivait à peine à dissimuler son irritation, celle qui est propre à tout escargot, lorsque celui-ci rencontre un obstacle et fait rentrer ses antennes toutes. Une posture partagée également par ces hommes qui prétendent être tombés de quelques cieux propres à eux, lorsqu’ils sont confondus devant le bien-fondé de leur dogme pour tous. Malgré sa lassitude, qu’il manifestait de plus en plus avec insolence, je poursuivis mon récit sans trop prêter attention à son assiduité.

    – Mon arrière-grand-mère paternelle venait d’une famille turque, qui serait elle-même métissée à des andalous établis à Constantine depuis la chute de l’Empire du Couchant. Quant à mon grand-père paternel, il se serait marié avec une femme d’origine maltaise, dont la famille est venue dans le sillage des derniers conquérants. Elle serait elle-même métissée avec des hébreux établis sur nos terres depuis les temps anciens. Quand à ma mère, elle descend des crêtes qui sont nichées sur les montagnes du Djurdjura et qui est venue se réfugier avec sa famille dans le sud constantinois, après que les derniers conquérants avaient détruit leur village pendant la Révolution. Pour ce qui en est de mon arrière-grand-père maternel…

    Le ronflement de Yacine commençait à être incontrôlé et sifflotant, qu’il me dissuada de poursuivre cette obsession d’égrènement des entrelacements interminables de ma filiation. Ce qui m’avait d’ailleurs évité les désagréments certains d’une crise de migraine, qui m’aurait terrassé jusqu’au matin. J’en profitai pour enfoncer la capuche sur ma tête et essayer de reprendre des forces dans le sommeil, pour pouvoir affronter les traquenards qui m’attendaient dès le lever du jour.

      Mello
      25 mai 2017 - 11 h 36 min

      Meme Yacine s’est laisse
      Meme Yacine s’est laisse emporter par ce sommeil plus fort que tout le recit. Vous comprendrait Mr Benzetat que l’histoire d’un pays est assez complexe. Elle ne se limite pas a la conquete par X ou Y , ou bien ,elle se limite pas a la langue ou a la religion que veulent lui imposer des hommes comme vous et moi. Que dire alors de ces Etats Unis qui furent un point de chute de plusieurs generations de peuples divers ? Mais , a la difference, juste apres la guerre de Secession , l’Etat et la nation Americaine fut construit avec un peuple fusionne et uni, un peuple unique qui partage toute l’histoire et l’ hymne du pays. Chez nous, qu’a t-on fait de ce peuple apres 1962 ?.

        Mindjibalina
        25 mai 2017 - 17 h 13 min

        Oh non, les USA ? Celle des
        Oh non, les USA ? Celle des génocides Amérindiens, du racisme et esclavagisme qui a duré des siècles sans jamais disparaitre, les USA de l’interventionnisme qui a coûté​ la vie à des millions de personnes sans compter les déplacés. Wach bik Mello, tu te trompes de paradigmes. Choisis au moins les pays scandinaves, c’est plus en phase avec ta doctrine de sociale democratie. Si tu parles de cohésion sociale, elle n’existe pas, c’est le pays des communatarismes. Enfin…….

          Mello
          26 mai 2017 - 12 h 03 min

          Vous abordez un sujet plutot
          Vous abordez un sujet plutot de geostrategie ou de geopolitique qui dependent des pouvoirs en place. Moi , je range cet exemple des USA purement dans la notion Etat/Nation. Le citoyen Americain , quelque soit son origine ou l’origine de ces grands parents, il se reconnait dans cette « americanite » . Ce racisme , cet esclavagisme ne sont en fait que des outils sociaux propages par ceux la memes qui veulent s’accaparer des espaces geographiques ou acquerir des titres de superiorite. La servitude ou encore la subordination existe pratiquement dans tous les pays du monde y compris dans ces pays scandinaves qui vous tiennent lieu de reference sociale.
          En terme tres clair, on nous a pas appris a etre Algerien , au sens propre du terme, sans etre arabe ou amazigh.
          Est il si difficile d’etre Algerien et de dire que nos parents et grands parents etaient des Algeriens- point.
          Comme le disait Anacharsis Cloots : l’humanite ou le genre humain ne vivra en paix que lorsqu’il ne formera qu’un seul corps, une nation.

          Mindjibalina
          26 mai 2017 - 14 h 58 min

          ce que tu dis est tout le
          ce que tu dis est tout le contraire de l’esprit Yankee. l’Américain, si tant est qu’il existe, ne peut ni ne veut faire corps avec le reste de l’humanité. C’est être naïf que de croire à ça. L’appartenance à une nation, quelle qu’elle soit ne se détermine pas l’abandon de ce qu’on est pour épouser un générique faussement rassembleur, qui ne prend de sens que lorsque l’aisance financière est de mise. C’est un pays qui a voté sur un homme dont le programme consistait à chasser les musulmans et construire un mur qui les sépare du Mexique. Alors mon ami Mello, le cowboy dont la violence est épidermique ne saurait être pour moi une référence dans la construction d’une nation. Il n’y a pas pire égoïste qu’un américain, qui refuse même de respecter la limitation des émissionde carbone par le standing américain n’est pas négociable, dixit Buch fils. Les USA est tout ce qu’il y a d’abject dans la construction d’une soi-disante nation. C’est une démocratie à certains égards , les minorités visibles y sont protégées, mais l’argent y reste le seul ciment, un dollar wa Trust et non pas  »i » God we trust » qu’ils devraient mettre sur leur monnaie. Enfin, rien avoir avec mes ancêtres à moi, ou l’on récuse même l’idée d’un état central, qui serait par essence dictateur. Le sujet est complexe, mais l’idée que je poursuis est qu’être algérien, ce n’est pas raser ce que l’on est, et ferait-on de la langue ou des langues que non enfants devront étudier, et l’histoire c’est de Okba ou de Kouceila qu’on enseignera. Mello je ne te sais si superficiel…..

          Mello
          27 mai 2017 - 14 h 01 min

          Peut importe le Yankee porte
          Peut importe le Yankee porte a la tete de ce grand pays, il le fut par la grace de ses paires citoyens des Etats Unis, auxquels nous ne pouvons nous substituer.
          La politique n’est qu ‘une science de gestion mise a la disposition de ces gouvernants qui la laissent evoluer en fonction des interets des uns et des autres. La nation, voila le sujet majeur, reste ce projet si complexe qui nous tient a coeur. La nation ,je ne saurais guere reprendre sa definition, mais elle se construit principalement par sa composante humaine, sans parler de l’espace geographique. Principalement composante humaine, cela signifie en termes tres clairs: reconnaissance pleine et entiere d’ une composante se reconnaissant de cette nation, sinon ,pourquoi tous ces debats interminables sur l’identite et sur les langues de ce peuple qui voudrait etre ALGERIEN.
          Pourquoi tant d’animosite , tant de rejet des uns et des autres. Juste que la vraie definition de la nation Algerienne ne semble pas en mesure de reunifier tous ces « eclats » de la societe qu’ a bien voulu installe le colonialisme.

      Mindjibalina
      26 mai 2017 - 17 h 08 min

      Qu’espérais-tu récolter avec
      Qu’espérais-tu récolter avec ce roman, le prix des produits décapants ou le prix des agents diluants ?

    Mindjibalina
    24 mai 2017 - 22 h 37 min

    Pourquoi Pas après tout.
    Pourquoi Pas après tout. Après les recettes moyen-orientale aux fortes odeurs épicées, voilà des recettes asceptisées, ou le goût n’est pas recherché ou l’Algérien devient telle une oie que l’on gave pour les jours de fêtes, leurs fêtes. Mello a raison de dire que nous sommes passés maîtres dans l’autoflagellation. A quant un produit national. D’ailleurs tout fonctionne de la même manière. Regardez la structuration de notre économie, tout est importé.

    Mindjibalina
    24 mai 2017 - 16 h 45 min

    Détrompe toi Dr Knock, ils n
    Détrompe toi Dr Knock, ils n’arrêteront jamais leur grand projet arabo-islamiste, car ce que tu sembles ignorer c’est qu’ils ont un goût d’inachevé. Ils s’allieront au diable pour terminer cette tâche qui leur reste au travers de la gorge. Oui un goût d’inachevé. Maudit dans le Coran, complexés furieux de Dieu lui même, incapables de dépasser leur propre condition, ils s’anoblisent par la religion. Honni par le Coran ils ne permettront jamais à une nation de s’émanciper et d’être autre chose qu’arabes pour être tous dans le même bateau. N’est ce pas là le jeux du diable qui a juré de prendre avec lui toute l’humanité en enfer. Je te raconte une anecdote : un ami auquel je demandais pourquoi dieu aurait dit الاعراب أشد كفر و نفاقet que ce type d’assertions ne seraient elles pas assimilables au racisme m’avait tout simplement fait savoir que le bon dieu voulait que l’humanité tout entière devait tout faire pour ne pas incarner cette humanité exécrable qui tire toute l’humanité vers le bas. Ceux qui subjugués par le verbe, la poésie et التجويد et se font manipuler et quittent ce qu’ils sont pour être les ennemis du reste de l’humanité, souvent sans en être conscients. Non je garde ma Kabylie, je garde mon algerianité et le piège tendu sera coûte que coûte dévoilé. C’est en ces termes que je cites la stratégie dilutioniste de certains. PS : Dieu lui même leur demande donc de cesser d’être arabes, non pas ethniquement, mais culturellement, autrement dit cette propension à paraitre autre chose que ce qu’ils sont en réalité et de détruire la diversité éclatante de dieu. Je ne serais jamais de ceux qu’on écrase. Voilà c’est dit Mr. Benzatat.

      Dr Knock
      25 mai 2017 - 9 h 37 min

      Mais @mindjibalina, ce n’est
      Mais @mindjibalina, ce n’est ni toi ni moi qu’il fallait convaincre de quoi que ce soit. Et tout ce que j’ai écrit partait de ce constat et nous ramenait à lui. Sinon à qui voudrait tu apprendre que les arabes voudraient nous dépouiller de notre humaniste pour conduire aux pieds de leur Dieu ? Question de méthode camarade!

        leputois
        25 mai 2017 - 11 h 20 min

        Est ce qu’on parle des arabes
        Est ce qu’on parle des arabes bédouins de la péninsule arabique ou des arabes maquillés et travestis que l’on connait et qui nous côtoient tous les jours au point où l’atmosphère s’embrume? Dans le second cas rien de mieux que d’allonger ses pas et de monter tout haut sur les monts du djurdjura où l’air est pur et admirer la plaine à perte de vue.

      ZORO
      25 mai 2017 - 18 h 29 min

      Meme la parole de Dieu vous
      Meme la parole de Dieu vous osez la travestir,vous n etes pas sans savoir que الاعرابsont les campagnard et les montagnard qui dans leur isolement se tiennent loin du savoir qui illuminait les cites c est donc leur nature .une fois qu ils se trouvent en ville dans toute sa diversite ils refusent la realite et s agrippe a leur us et la croyance et la preuve elle est en toi ton pseudo la devoile «  »mindjibalina » »qui Veut dire en arabe « de nos montagnes »pour le coran tu es donc un a3rabi اشد كفرا و نفاقا من غيركsi toutefois si tu ignores la difference entre a3rabi et arabi ne t aventure plus a dire des betises qui se retournent contre toi . De ZORO.el Arabi …..@ mindjibalina ela3rabi achadou koufrene wa nifaka…..

        Mindjibalina
        26 mai 2017 - 15 h 16 min

        T’es sérieux là ? Quoi de
        T’es sérieux là ? Quoi de plus naturel chez celui qui se sentant coupable refute jusqu’à l’évidence.

    Hend Uqaci
    24 mai 2017 - 16 h 45 min

    Bon lizoureille tous! Ecoutez
    Bon lizoureille tous! Ecoutez moi ! Puisque vous vous disputez pour savoir s’il faut mettre la charrue avant les boeufs ou les bœufs avant la charrue, je vous propose un compromis. On mélange les bœufs et la charrue, et après on plante tout à l’envers , we3llellah tesfa !

    Doumage ! le putois était le seul a pousser la dialectique à son terme , on dirait que le résultat lui a fait peur alors il est revenu avec des résultats rassurants. Moi je vous dis que de la société actuelle il n’en sortira rien de rien. Ce n’est pas la peine de tirer des plans. Et je vous dirais même que le mieux c’est de laisser pourrir et de laisser la sélection naturelle faire son oeuvre.

    Et si vous n’êtes pas d’accord alors faites ce que voulez mais ne touchez pas à ma part, laissez là comme elle est, je vais la léguer à mon chat !

      leputois
      25 mai 2017 - 6 h 35 min

      Bonjour hend Uqaci, on ne
      Bonjour hend Uqaci, on ne perdra rien pour attendre oui et à qui le dis tu. Laisser la sélection naturelle faire son oeuvre est de toutes les manières le chemin obligé. Autant l’esprit humain et la concordance de ses réflexions et ses idées semblent obéir à une logique crée par l’être humain lui même, autant que ce dernier ne sait peut être pas que ce sont là les résultats d’un enchaînement d’événements totalement naturels. Oui, jusqu’à la plus petite des réflexions qui fait fonctionner la cervelle de l’humain pour faire sortir une idée, c’est une succession gigantesque d’actions des forces de la nature sur la base des récepteurs et capteurs de l’être humain, qui vont actionner tout une chaîne d’agissements des forces de la nature (force électromagnétique principalement) jusqu’à engendrer les influx nerveux sur le cerveau à même d’engendrer l’idée où la réflexion puis allaer à l’action par la suite. Et tout cela est liée et repose sur l’environnement de l’être humain qui directement impose des « contraintes » auxquelles répond le cerveau humain et par conséquence l’être humain lui même. Et donc, en finalité, quoi qui se passe comme événement, même issus de la cervelle humaine, ce ne sont que des résultats d’actions du naturel par l’intermédiaire des forces de la nature sur la base de la réception des paramètres de l’environnement. Aussi, et pour ta suggestion de laisser pourrir et laisser la sélection naturelle faire son oeuvre, ce n’est qu’une piste parmi les pistes toutes naturelles qui existent. La différence de l’une par rapport aux autres réside simplement par les données d’entrées issues des paramètres externes de l’environnement, qui lui même est évolutif bien sur car impacté directement par les agissements de l’être humain lui même. On pourra disserter plus en détails si vous le voulez et on ira avec votre accord jusqu’à disséquer les quatre forces de la nature que sont les nucléaires forte et faible, l’électromagnétique et la force de gravité et leurs actions sur la matière depuis la particule élémentaire jusqu’aux macromolécules et aux organismes vivants et on démontrera sans peine l’influence de l’environnement sur leurs actions en fonction des paramètres qui régissent son aspect . Bien à vous l’ami.

    Mello
    24 mai 2017 - 12 h 21 min

    Les marches sont steriles,
    Les marches sont steriles sans contre-pouvoir constitué, le sujet du jour de Mr Benzatat. Restons y en reflechissant mieux, au lieu de « gambader » comme disait l’autre. Le contre-pouvoir sera dans cette assemblee que l’on dit fantoche, avec une centaine de deputes de l’opposition en y incluant certains independants comme Noureddine Ait Hammouda qui viendront grossir ce bloc qui pourrait constituer le contre-pouvoir. Cette centaine de deputes auront la lattitude d’introduire des debats sur toutes les questions qui touchent a l’interet national, comme ils ont la possibilite de saisir le conseil constitutionnel.
    Chiche, faites-nous rêver en étant un embryon de contre pouvoir qui pourra s’élargir à toutes ces forces qui ont choisi de rester en dehors de ces institutions, le peuple vous suivra.

    Dr Knock
    24 mai 2017 - 9 h 51 min

    @ le putois. Je n’ai aucune
    @ le putois. Je n’ai aucune raison de douter de votre sincérité, ni de celle de Mr Benzatat malgré ses grands airs. Et je suis prêt à aller encore plus loin que vous. Nous ne sommes que matière, y compris nos préjugés culturels qui ne sont que biologie ( ? ??). C’est de la méthode que vous proposez et de celle-là exclusivement qu’il s’agit. Vous, vous pensez que certaines questions secondaires ( ?) se régleront facilement après, moi je vous dis que vous ne pouvez pas les éluder car elles occupent déjà l’espace politique, l’ont miné et empêcheront toute démarche vers l’utopie. Et si je dis cela ce n’est nullement par philanthropie, au contraire !
    Et maintenant sortons ce débat des refoulements pour le re-situer là où vous l’avez noyé. C’est-à-dire dans sa contradiction : Ethnie-nation, peuple, prolétariat, langue, culture et tout ce qui, Monsieur Benzetat ne vous agrée pas. Je vous rappelle que c’est au contraire sur ces questions que de plus éminents et savants que nous se sont cassé les dents. On ne s’en sort pas par des boutades du genre « les prolétaires n’ont pas de patrie » ! Hier seulement on nous chantait ces rengaines éculées dans les deux camps. «C’est le prolétariat des peuples les plus avancés qui libéreront le reste du monde opprimé» disaient les uns . «On se débarrasse d’abord des colons étrangers, on s’occupera des nôtres après», rétorquaient les autres. Les questions ethniques ont toujours été le cadet des soucis de ces grands humanistes. Même Marx dans ses œuvres de jeunesse croyait lui aussi à « la mission civilisatrice» du colonialisme avant de confier la libération des «peuples» colonisés au prolétariat des pays colonisateurs. C’était d’ailleurs la posture des partis communistes par la suite avant de se rendre à l’évidence et même de céder à une autre lubie complètement inverse où c’étaient les peuples colonisés qui sonneraient le glas du capitalisme (voir la question irlandaise). L’émancipation des peuples opprimés qui contribuerait à l’émancipation du prolétariat et non l’inverse. Cela est valable aussi pour les modes de production où Marx lui-même abandonne l’idée de la linéarité du matérialisme historique. Ce n’est plus le développement du capitalisme qui nous conduirait à sa fin, mais au contraire un retour à des formes de propriétés plus traditionnelles, communales, et a des modes de productions moins intensifs, etc. (les altermondialistes…). Ces formes de production économiseraient à certains peuples les souffrances du passage par le capitalisme.
    Et dans ce cas, vous devriez plutôt encourager l’expérience kabyle. L’expérience ou la tentation!
    Té, pourquoi vous n’avez pas appliqué cette idée à la question kabyle ? La Kabylie comme point de départ de la libération ou de la prise de conscience « prolétarienne » en Algérie ?
    Bon, d’accord cette démarche intellectuelle vous aurait étouffé, alors prenons le sujet par sa queue : et si la Kabylie était un obstacle pour la libération du prolétariat arabe algérien ? Dans ce cas pourquoi, au lieu de vous enliser dans vos atavismes épidermiques anti-kabyles, vous ne gagneriez pas en stratégie en encourageant l’indépendance de la Kabylie qui vous débarrassera de son poids dans votre « longue marche » vers la libération du prolétariat de la Nation Arabe toute entière ?
    Ou procédons suivant la méthode algorithmique par séquençage du problème. On règle d’abord le problème kabyle, puis celui de la religion, et ainsi de suite avec les problèmes auxquels l’indépendance n’a apporté aucune réponse, et qui sont des obstacle à toute autre alternative. Ou sortez de votre programme la question kabyle, et proposez-le au reste de l’Algérie.
    Moi je vous avoue que janimar d’être kabyle!!! Aussi je vous échangerais bien ma conscience de kabyle contre une conscience de prolétaire bien faite.
    Bien faite safidir : sans l’arabité et l’islamité et sans la nationalité.
    Ih, on bazarde tout : l’arabité, l’islamité, la nationalité, la kabylité et l’histoire. Une fois complètement nus, diqurmadhènes, circoncis de tous nos oripeaux : religieux nationalistes et culturels, comme des sadous, on vous suivra comme ceux de Moïse vers l’Algérie promise. PS: J’ai raté mon propre copié-collé et j’ai envoyé mon brouillon. Mais bof, vous m’aviez compris.

      Mello
      24 mai 2017 - 11 h 41 min

      Non, non, rien que pour cette
      Non, non, rien que pour cette montagne somtueuse, rien que pour ces forets verdoyantes et cette mer qui nous ouvrent les bras je ne changerais jamais ma kabylite. Ce fut d’ailleurs propre au pays Catalans, lorsque Saint pierre interpelle le createur  » Dans ce petit bout de terre, je vois la mer, la campagne , la vigne ,la montagne et le soleil – n’est ce pas un peu injuste pour les autres ?  » Dieu lui repond dans un sourire  » J’ai fait une faveur aux Catalans, car je sais qu’ils resteront discrets  » Une blague Catalane qui resume assez bien quelque unes des caracteristiques de ce peuple atypique. Malgres l’installation de 5500 nouveaux habitants par an, l’identite catalane resiste bien.
      Comme en Algerie la division reste un sport national, alors essayez , comme moi d’avoir une double identite, Etre ne a Alger ,a Oran ou a Contantine , avoir appris de mes parents la langue maternelle, allez la transmettre a vos enfants qui vous diront , environnement oblige, que faire de cette langue morte. La plaie du colonialisme vient de se reouvrir.

        Karamazov
        24 mai 2017 - 12 h 24 min

        Cher Mello, Knock est un
        Cher Mello, Knock est un artiste dans son genre, il sait que bon sang ne saurait mentir, et que le naturel revient au galop. Vous venez d’en apporter la preuve. La preuve de vôtre naïveté. Sauf que , vous, vous jouez aux jeux des perdants. Nous nous sommes faits ent…., à ce jeu plutôt mille fois qu’une. Vous pratiquez une ruse de guerre qu’on vous connait , et au jeu de laquelle vous étiez toujours perdants face aux virtuoses de elharbou khida3a. Le marché que propose le Dr Knock est jouable. Ok ok , il y a incompatibilité entre la kabylité et votre projet , alors renoncez à l’arabo islamité et nous renoncerons à notre kabylité. Du moins théoriquement pour construire un projet commun! Vous n’avez donc pas remarqué qu’à chaque fois que Knock ramène le sujet à cette question, ils bottent en touche du coté de l’humanité ?

        Zoro
        26 mai 2017 - 9 h 01 min

        A Mello Zoro te l as deja
        A Mello Zoro te l as deja dit quand il etait gosse il croyait que ses petits amis kabyles etaient des arabes qui parlaient une autre langue .alors laisse tes enfants vivre leirs vie et faire leur choix en fonction du reel.ils seront peut etre ARABES mais pas comme tu le concois. SIGNE ZORO ………Z……

          Mello
          26 mai 2017 - 12 h 24 min

          Ya si Zoro, tu sembles
          Ya si Zoro, tu sembles ignorer une chose fonfamentale et si c’est vrai, c’est vraiment domage pour toi. Chez nous, des milliers d’annees en arriere, les parents transmettent les notions fondamentales ( pas de l’ecole) de l’identite ( pas celle de la carte) , c’est ainsi que la langue, notre langue a su traverser des temps coloniaux de toute nature. La Kabylite , ce n’est pas dans le sang , c’est le sang lui-meme. L’education kabyle, on la dompte comme les kabyles domptent cette nature si difficile qui les entoure.
          Alors ou se situe le reel ? Le reel sera un jour dans cette Algerianite qui nous concerne tous.

          Anonymous
          26 mai 2017 - 17 h 03 min

           » CHEZ NOUS » c est ce cercle
           » CHEZ NOUS » c est ce cercle miniscule qui te trompe parce que tu n arrive a voir grand « .Des milliers d annees en arriere » c est aussi cette notion du temps qui te leurre dans une aveugle retrovision , as tu oublie que l homme est ephemere et que sa vie ne se compte pas en millers d annees??l homme sur cette terre est jjaune il est noir et il blanc pourtant toutes les croyances du moment nous disent que son origine est unique. Enfin Mello est tu sûre que Zoro n est pas plus berbere que toi et que seulement ses. aieux ont compris mieux que les tiens qu il fallait etre nomades
          pour etre plus humain. donc please soit conscient et laisse le sang c est le propre de tous les vivants!!!يا ايها الناس إن خلقناكم من ذكر وانثي وجعلناكم شعوبا و قبائل لتعارفوا إن اكرمكم عند الله اتقاكم. صدق الله العظيم

          Mello
          27 mai 2017 - 17 h 06 min

          Le CHEZ NOUS, represente tout
          Le CHEZ NOUS, represente tout un ETRE , tout ce que nous avons decouvert a notre premier cri ephemere de la decouverte du monde. Ce monde si implaccable qui nous laisse au bord du quai , attendant le pourvoyeur d’un nouvel horizon. Un horizon bien sombre , emailles de cris, de guerres, de revoltes et de revendications qui n’en finissent pas. Revendications du message accessibles et comprehensibles par nos vieilles qui nous ont legue notre CHEZ NOUS.

          ZORO
          27 mai 2017 - 23 h 25 min

          Les vielles de vos vieilles
          Les vielles de vos vieilles sont surement les vieilles de nos vieilles mais nos vieilles ,nous ont dit d avancer les votre
          Continuent a vous dire rester ou vous etes et comme tu le sais MELLO,celui qui n avance pas recule. son horizon ne sera que plus sombre, tu as raison donc de le dire !!!!

          Wakhda
          28 mai 2017 - 3 h 38 min

          Tu as raison toi le nomade,
          Tu as raison toi le nomade, le Beni de Dieu.احقت أيها الاعرابي

          ZORO
          28 mai 2017 - 7 h 38 min

          Et voila wakhda de retour
          Et voila wakhda de retour ,dans son arrogance de toujours,il croit que Dieu benit les gens pour ce qu ils sont et non pour ce qu ils font.Puisque tu me donne encore l occasion je tiens a te le repeter,j ai étudié ton cas pour supprimer ton (K) WAKHDA la carastrophe deviendra WAHDA la belle union et nous serons que plus forts. Vas y avance je te tend la main. Signe. ZORO …..Z…………..

          Mello
          28 mai 2017 - 15 h 14 min

          Nos vieilles , a nous,
          Nos vieilles , a nous, puisque tu y tiens tant, ne sont nullement comme vos vieilles qui vous bazardent dehors au premier cri de la vie. Mohammed Fellag en a fait une piece. Ce grand pere qui s’accroche au camion , lorsque sa famille avait voulu quitter le village natal. Nos vieilles a nous , nous poursuivent partout par leurs daouattes el khir, leurs benedictions, elles veillent sur nous et nos petits enfants. Tu vois ! Vos vieilles et nos vieilles ne sont pas identiques.
          Ait Menguellet, Idir, Matoub et tant d’autres artistes kabyles ont en fait des hymnes.

          ZORO
          29 mai 2017 - 0 h 12 min

          Ya si Mello,tu n oses plus
          Ya si Mello,tu n oses plus dire ZORO, Q uest ce qu il t arrive ?tu perds deja ton sang froid !!tu crois que c est ca daouettes el kheir? Fellag l humuriste voyait tres juste quand il disait :les arabes sont toujours là c est parce qu ils nous ressemblent.Quand à Idir je l ai vu de mes propres yeux ,sa bouche cousue et sans mot dire acquiesçait Ghenaissia (enrico macias) qui bombait le torse en disant: les berberes etaient des juifs avant que ne viennent les romains les christianiser et ensuite les othomans?????pour les islamiser! Ait menguellet, je n ai rien a dire ,lounes si je l ai bien compris il voulait etre tout sauf un arabe?????tu aurais du citer,el hadj el anka,ezzahi,el ankiss et tous les autres ou bien penses tu que ce sont des nomades et que leurs vieilles les ont bazarde. Au sujet des vieilles je suis sûr l que ni les miennes ni les tiennes ne comprendront ce debat en francais.il est temps pour Zoro le nomade de te quitter ,sa route est longue son horizon reste ouvert,alors que toi ya si mello reste où tu es et retiens tous les autres mais je suis sûr que tu n arriveras pas ,ils vont tous te quitter. Signe ZORO. ……..Z

          Mello
          29 mai 2017 - 12 h 12 min

          De derives en derives , tel
          De derives en derives , tel un nomade, tu iras continuer ton chemin vers cet incertain lointain et sans issue, quant a moi je reste la pour continuer a militer pour qu’ un individu comme toi puisse retrouver ses reperes au lieu de fuir cette realite amere que tout Algerien vit en son fort interieur. Tu peux partir et nous quitter comme tous ces deserteurs partis vers d’autres horizons tenebreux, quant a nous , nous marcherons et nous constituerons un contrepouvoir, ceci pour revenir au sujet.
          Un dernier point sur ces grands artistes que tu sembles connaitre, ils sont tous partis en chantant leurs dernieres chansons en KABYLE. Que Dieu les accueille en son vaste paradis.

          Anonymous
          29 mai 2017 - 18 h 05 min

          Allez Mello !!ne retiens plus
          Allez Mello !!ne retiens plus ZORO ,tu n arriveras jamais a le faire.Pour te rendre encore plus jaloux ,je te dirais Mello que 1000 km separent les lieux de naissance de mes grands parents et 300 ceux de mes parents.trace donc ton cercle d appartenance et trace le mien tu apprendras peut etre que l homme n est ni figuier ni olivier c est un etre qui les cultive là où il est.Concernant nos gands maitres de la chanson chaabi c est a leur honneur d avoir chante en kabyle parce qu ils etaient racés ils etaient nomades ils ne pouvaient jamais etre ingrats ils ne le voulaient pas dans les deux sens. Le contre. Pouvoir. Mello ne peut venir d un petit terroir. Saha ftourek.Signé Zoro. …….Z……

          .

          Mello
          30 mai 2017 - 11 h 17 min

          Amigos, les oliviers et les
          Amigos, les oliviers et les figuiers ont leur terrain de predilection, ils ne peuvent etre plantes partout. Adios. Notre marche continue malgre les bloquages.

          ZORO
          30 mai 2017 - 14 h 42 min

          (و. التين و الزيتون وطور
          (و. التين و الزيتون وطور سينين و هذا البلد الأمين ) c est là le terrain de predilection du figuier et de l olivier cher melo et tu sais bien que ce n est pas Zoro qui le dit, donc essayes de ne plus l oublier . SIGNE ZORO….Z…

          Mello
          1 juin 2017 - 7 h 30 min

          Rien que pour ce message
          Rien que pour ce message idilique, je te renvoies a ce qu’ont fait les amazighs, bien avant ce message, dans la region que tu ne nommes pas. Tu sais que 2969 c’est enorme, enorme et bien avant ce message que tu cites. Point.

          Mello
          1 juin 2017 - 11 h 11 min

          Apparamment, ton dernier post
          Apparamment, ton dernier post a ete zappe, mais j’ai le plaisir de le lire. Tu fais reference a Ferhat, pour moi ce n’est qu’un fossoyeur de la nation et par la meme de la dimension amazigh. Mon referent a moi, reste Mouloud Maameri (Alah irrahmou) qui avait su developper cette histoire tant dilapidee et fourvoyee par ceux qui ne veulent pas reconnaitre la verite sur cette contree Amazigh. Je dis bien 2969 et ce sera le 12 Janvier 2018, anniversaire de l’an 950 avant Jesus, lorsque les amazighs dans leurs luttes mettent les pharaons en inferiorite et place Sheshnaq roi des pharaons . Voila , pour l’histoire. C’etait en quelque sorte une longue, tres longue marche , semee de divers blocages et distortions. Saha f’tour koum.

          Mello
          2 juin 2017 - 15 h 42 min

          Une erreure involontaire de
          Une erreure involontaire de ma part s’est glissee dans ce post: c’etait en 951 avant Jesus Christ que Sheshnaq combatit les pharaons avant d’etre Roi. Saha ftour koum

          Mello
          28 mai 2017 - 15 h 20 min

          En fait, ya si, pourquoi
          En fait, ya si, pourquoi attacher tant d’importance a l’hors sujet ,alors que le sujet c’ est les marches sont steriles sans contre-pouvoir constitue. L’art de noyer un poisson dans l’eau par quelqu’un qui signe Z du doigt alors que le vrai Zorro ….

      leputois
      24 mai 2017 - 12 h 21 min

      Dr Knock, cher ami, là on va
      Dr Knock, cher ami, là on va dans le détail du détail. Je vous donne entièrement raison. Mon approche est globale dans une première mesure car le soucis primeur du pays est le système qui le gouverne où la manière de le dégager. Maintenant effectivement, une fois ce principal problème réglé, il y a tout à construire effectivement. Mon intervention se voulait simpliste dans une première approche car fait relation aux difficultés que connait le pays en ce moment et plus particulièrement aux principaux secteurs vitaux qui permettent la construction du pays. Et là, je pense effectivement qu’il n y a rien de plus simple dans une certaine mesure. Développer notre industrie avec les richesses que l’on a ne devrait pas poser de problème à quiconque. Asseoir une bonne économie au pays aussi ne devrait pas poser de problème, du moins c’est que devrait penser une majorité avec les potentialités que recèle le pays. Reste les questions ethniques, des différences que ressentent les un et les autres, des fractures conséquences du vécu du pays à cause des inégalités engendrées par la gouvernance mafieuse, tout cela se répercutera effectivement sur la suite à l’événement de l’éviction de la mafia et sur la façon d’ériger une nouvelle gouvernance au pays. La dessus, on ne va pas s’inventer le fil à couper le beurre, les grandes démocraties ont mis des siècles pour s’asseoir non sans grosses ou énormes turbulences au sein du pays et de ses populations. Tout le monde sait que le problème du kabyle ou pas kabyle a été fabriqué par le système en place depuis l’indépendance. D’ailleurs la division pour régner a été la principale action répétitive pour pouvoir gouverner et on n’en est pas à la fin. Aussi, l’assise d’une véritable démocratie dans ce pays après éviction de cette mafia prendra du temps pour les raisons que tu as invoqué et pas pour le reste que moi j’estime acquis. Réconcilier des sociétés entre elles après s’être tirés dessus l’une sur l’autre pendant des dizaines d’années n’est pas évident du tout. Néanmoins, ce qui a été possible dans d’autres pays le sera probablement chez nous aussi. Et toujours est il, et d’après l’un des plus grands savants qu’a connu l’humanité en la personne d’Einstein, rien ne peut être immobile, tout doit muer, tout devra changer, tout doit bouger, c’est la loi universelle…en bien ou en mal? on ne peut le prédire.

    Dr Knock
    24 mai 2017 - 8 h 42 min

    « histoires d’ethnies, d
    « histoires d’ethnies, d’origine, de berbérophones, d’arabophones et tuttitophones. Ce n’est rien pour vous, mais pour moi ça veut dire beaucoup ! Et là je vais vous raconter une anecdote. Le général Bigeard, dans une émission de télévision, toise le mercenaire Bob Denard et lui dit : «moi Môssieur je combats pour mon pays pour l’honneur, vous vous battez pour l’argent.» Bob Denard regarde le général et lui dit : «c’est normal Mon général, chacun se bat pour ce qui lui manque!»
    Un de mes professeurs me disait: si une personne te promet monts et merveilles vois ce qu’il a déjà fait en pareille circonstance, il y a plus de chance qu’il refasse ce qu’il a déjà fait que ce qu’il promet… Une vielle rengaine! Mais on nous l’a faite celle-là:  » nkhourdjou frança ou mba3d koulchi sahel » ! Eh ben non Messieurs ! Par quelle autre mafia on remplacera celle qui nous gouverne actuellement? A quelle sauce vous allez nous manger quand vous aurez dégagé ceux qui gouvernent actuellement?
    On a les mêmes origines? Mon œil ! Et alors, est-il nécessaire de rappeler tous les parricides, les infanticides et les fratricides de l’histoire pour qu’il suffise de le dire pour balayer tous les doutes? Et pourquoi se battre pour l’Algérie alors que c’est l’humanité qu’il nous faut sauver? Réglerions-nous les problème de l’Homme en ne réglant que les problème des algériens ? On dégage la mafia au pouvoir pour faire de la place à la mafia de l’opposition. On met de côté tout ce qui nous oppose et ce qui fâche pour une alliance objective de pacotille. On s’entretuera après. Ceux qui survivront parmi les plus forts imposeront la dictature aux plus faibles.

    Alors on liquide les questions religieuse et kabyle ou pas ?

      leputois
      24 mai 2017 - 9 h 13 min

      Bonjour l’ami Dr Knock,

      Bonjour l’ami Dr Knock,

      Je ne sais pas si vous avez lu mon post en entier ou juste les premières lignes. Car il fallait faire copier-coller d’au moins les 10 premières lignes et vous verrez que je fais le même raisonnement que le vôtre pour ce qui est de l’après-mafia dégommé. Je pars de supposition bien sûr. (…)
      Tout cela est totalement pour faire oublier le véritable problème du pays. Il n y en a qu’un seul: la mafia au pouvoir. En fait le fond du problème se résume en une seule question que voici: quelle est la procédure pour faire dégager ce pouvoir mafieux de là où il est? Après, une fois ce pouvoir mis hors d’état de nuire, on va juste faire une supposition. On va supposer que les intérimaires qui seront chargés des affaires du pays lors de la transition sont des gens honnêtes et qu’ils prépareront une relève digne de ce nom, c’est à dire des dirigeants qui seront des élus du peuple et qui rendront des comptes qu’au peuple. Ensuite, tout le reste est un jeu d’enfants, notamment le développement de tous les secteurs stratégiques du pays. Par exemple l’énergie, je peux vous assurer qu’avec les richesses que l’on a, en l’espace d’un quinquennat nous serions parmi les premières puissances du monde. L’agriculture également… bref vous m’aurez compris.
      Je pars d’une supposition d’honnêteté des gens lors de la transition. Ce qui laisse comprendre que si ce n’est pas le cas, mon raisonnement est nul. C’est à dire si on a une autre mafia au pouvoir, c’est retour à la case départ et c’est encore le même problème. D’ailleurs, ce sont des propos que j’ai également tenus d’une autre manière. Une mafia en appelle une autre car, voyez-vous , je suis du genre de mec à penser que l’égoïsme de l’être humain transgresse tout et donc pousse celui ci à faire tout et n’importe quoi en usant de tous les subterfuges possibles. D’ailleurs c’est ce que l’on observe depuis des millénaires dans l’évolution de l’humanité. Les guerres, les conquêtes, les dominations, les colonisations… etc, et on arrive maintenant à user de malice en cachant ses desseins sous le voile de l’amitié, l’altruisme international, le gagnant-gagnant…etc. Le naturel de l’être humain n’a jamais changé et ne changera pas. C’est dans ses gènes. Il est égoïste, expansionniste, dominateur, compétiteur… et cela a pour conséquences des affrontements permanents jusqu’à des équilibres d’entre sociétés, de pays, de peuple…etc.
      Mais le feu n’est jamais éteint, il suffit de la défaillance d’une partie pour que celle ci soit totalement bouffée. Et c’est ce que l’on observe encore aujourd’hui. Pour revenir à notre mafia, tant qu’il n y aura pas une révolte en bonne et due forme du peuple, rien ne la délogera de là où elle est. Ces mafieux ne sont pas fous pour se tirer une balle dans le pied, comme je le lis parfois ci et là ou il est dit qu’il faut une transition démocratique pacifique, s’asseoir autour d’une table et voir comment ériger une démocratie dans le pays.
      Ces mafieux ne sont pas fous pour rendre la source de leurs richesses, la rente pétrolière, au peuple et de mettre un système démocratique aux commandes du pays, au risque de se voir par la suite jugés par ce même système et exécutés pour les méfaits commis depuis l’indépendance à ce jour.

      Mello
      24 mai 2017 - 10 h 16 min

      mi louzzen ak-ttren, mi rwann
      mi louzzen ak-ttren, mi rwann ak-tchen.
      Nous avons tout pour etre heureux ,mais on agit avec la mentalite de khemmass (…) Ne sommes nous pas sur terre pour participer aux qualites fondamentales de l’humanite ? Savez vous que plus de 70% des Algeriens ont un genre et un niveau de vie largement superieur a ceux de la majorite des pays de l’Europe, puisqu’elle reste notre reference?. En depit de cela, lAlgerien se plaint de tout en affichant une contrariété et un chagrin quasi-permanents. Il voit partout des ennemis en train de conspirer contre lui. Je ne comprends pas comment pas des gens qui possedent toutes les commodités sans fournir le moindre effort puissent etre malheureux a ce point .
      Les Algeriens ne savent ils pas vivre ensemble ? Ignorent ils ce que c’est le bonheur ? Certe la liberte leur a ete confisquée, mais la rahma, le respect d’autrui, le bon voisinage, le respect des idees , le respect en clair reste du ressort de chacun de nous. Pourquoi tant de haine, d’egoisme, d’aversion , de violence, d’hypocrisie dans notre conduite collective ?

        leputois
        24 mai 2017 - 13 h 13 min

        La réponse à votre question
        La réponse à votre question est triviale. Parce que l’Algérien est naturel à l’image de l’être humain rudimentaire non sophistiqué et non traficoté. Ce qui a été dans l’histoire de l’humanité depuis maintenant deux millénaires se retrouve translaté ou téléporté à notre époque et restreint à l’intérieur des frontières algériennes. Mais l’évolution fait toujours son bonhomme de chemin, attendons de voir ce que cela va donner.

    Mindjibalina
    23 mai 2017 - 23 h 21 min

    Je nourris un idéal, j’aime
    Je nourris un idéal, j’aime ma société, j’aime la pluralité qui est en moi, si vous appelez ça une chimère, j’appellerai ça du réalisme. Cette même société résiste à la chute. Des régions entières, en raison d’une certaine sociologie, ont gardé les moyens d’être encore authentiquement algériennes, la Kabylie en fait partie. J’évoque certains partis politiques parce-qu’ils ont fait de leur combat un défi pour exister. Mr. Benzatat vous êtes impatient et trop pressé pour voir les autres voies qui existent. La stratégie dilutioniste c’est vous qui l’incarnez, moi je sauve ce qui est encore à sauver et je ne ments pas. Cette terre est berbère non pas ethniquement mais en raison de ses mythes fondateurs qui n’ont rien à voir avec votre culture asceptisée d’importation ou de l’arabo-islamisme d’importation également que certains ont imposé par la violence et/ ou par la manipulation de l’histoire. C’est en ces termes que je vous dis que vous dites des choses fausses qui vous dépassent. En résumé vous êtes une variante stérilisée mais plus pernicieuse de ceux là . J’essaye modestement, malgré mon grand désespoir, de libèrer ma société pour ce qu’elle est et non pas pour ce que certains, depuis déjà longtemps voudraient qu’elle soit. Voilà ma contribution. Je ne suis ni sectaire, ni partisan, je sais juste qui je suis et d’où je viens.

    Mello
    23 mai 2017 - 16 h 36 min

    Le vrai opposant, c’est celui
    Le vrai opposant, c’est celui qui oeuvre a rassembler et a mobiliser le peuple autour des valeurs fondatrice de la nation , ou bien celui qui passe son temps a nous dire que le regime est illegitime , qui passe son temps a denigrer a insulter et a surveiller le president meme quand il va aux toilettes. Depuis le temps qu’ on denigrait et insultait ce pouvoir, a t’ on reussit a nous rassembler autour des vraies valeurs d’une republique ?
    Que craint il pour tourner le dos aussi froidement a cette opposition qui ne cesse de lutter ?.
    Pourquoi le peuple refuse obstinement de se rassembler , de se mobiliser derriere l’ opposition ?
    Le peuple Algerien est il eveille et mesure ou bien est il irresponsable ?
    La verite consiste a reconnaitre la realite et la realite fait peur a tout le monde.
    Ou est la ligne de demarcation entre l’arabite, l’islamite et la berberite? A quel moment l’arabite, l’islamite ou l’amazighite ont prive l’Algerien de sa citoyennete ?
    Qui a reellement peur du changement ? Qui cherche l’embrasement au nom de la liberte, de la democratie et du changement ?.

    Dr Knock
    23 mai 2017 - 12 h 15 min

    Là oui ! C’est ainsi que je
    Là oui ! C’est ainsi que je vous préfère, Ya Oustaz, sorti de votre cocon. Si vous vouliez survoler le débat Il ne fallait pas l’ouvrir aux manants comme mwa mais l’organiser uniquement pour vos paroissiens. Et pourtant , nous nous sommes tous résumés, j’aurais dit confinés, à la plus simple expression : la francophonie. Concernant mézigue, je l’avoue j’ai quelques réticences chroniques et récidivantes à vous suivre dans vos gurutades et messsianades réchauffées. Mais que vous vous attaquiez à Mindjibalina et Mello qui ne se sont même pas assumés par le bout d’où vous croyez qu’ils ont péché, je crois que vous êtes injuste. Si le débat ne concernait que moi et vous, je m’inclinerais sans regrets devant votre entrain fanatique, et je suis même prêt à m’éclipser , puisque vous semblez penser que dans ce débat c’est à vous que revient la conduite et que c’est à vous que revient de dicter les figures imposées.
    Nonobstant ma petite personne et votre fakhama , je pensais dans mes plus inavouables confessions qu’il y a comme un entêtement à vouloir reconduire les vielles illusions. D’un côté Benzatat qui élude, parce qu’il ne veut pas en entendre parler, la question religion et la question ethnique à laquelle il est allergique comme à une maladie parce que son Etat fantasmé est au dessus de toutes nos «boutades». Et de l’autre l’entêtement de Mello à vouloir embarquer le FFS dans ce débat coute que coute. Et pourtant, ces deux éléments hantent le débat et ne sauraient être évacués ainsi. Le FFS et le RCD qui ont trop voulu instrumentaliser la question ethnique en sont pour leurs frais avec l’émergence du MAK et du RPK. Idem quant au pouvoir et la question religieuse. Croire qu’on peut se débarrasser de ces questions, uniquement parce qu’elles sont insupportables aux dé-battants, c’ est fausser le débat. Et comment parler du projet de société en éludant les questions qui pourtant de nos jours sont les plus prégnantes? Et ben mwa je vous dis que, que vous le vouliez ou non, vous allez devoir faire avec : alors que fait-on de la religion et de la question kabyle dans cette future société ?

    Youcef Benzatat
    23 mai 2017 - 10 h 08 min

    Malheureusement, on constate
    Malheureusement, on constate souvent que tout débat se résume en affrontements entre arabophones contre berbérophones. La fin de la dictature, la démocratie, l’Algérie, sont systématiquement évacués pour laisser place à des querelles de dupes. Aujourd’hui, les arabophones sont presque absents, seuls les berbérophones (Mello, Mindjibalina, Dr Knock) sont en faction. C’est une véritable guerre interethnique qui se profile ! Les arguments relèvent systématiquement de diffamations, mensonges, affabulations, etc. Entre « nostalgique de la période avant Chadli », « complexe ethnisiste », et autres inepties de ce genre, ou trouver des militants aux arguments susceptibles de constituer ce contre-pouvoir tant attendu ? La pollution des débats sa se combat, elle aussi. De ma part je le répète inlassablement depuis toujours : la dictature s’est installée depuis le tournant de notre indépendance nationale, la langue que je préconise comme langue de tous les algériens est la Derja et non l’Arabe comme certains en font la confusion, l’Etat qui me semble porteur de démocratie et de valeurs universelles ne peut être qu’un Etat souverain, émancipé de toute intrusion, religieuse, identitaire et militaire. Nous continuerons à lutter et à espérer au renversement de la dictature pour fonder un Etat ou tous les Algériens se sentent représentés. Notre combat s’affirme être aussi bien contre cette dictature et en premier contre les esprits aliénés qui fond obstruction, tels que les commentateurs cités plus haut, les conservateurs de tout bord, nationalo-conservateurs, berbéristes, arabophones, islamistes enfin tous ceux qui veulent imposer leur spécificité à tout le reste des Algériens. L’Algérie est transculturelle et sa population métissée et cosmopolite. C’est l’Algérie à laquelle je crois et pour laquelle je combats.

      Dr Knock
      23 mai 2017 - 12 h 11 min

      C’est ainsi que je vous
      C’est ainsi que je vous préfère, Ya Oustaz, sorti de votre cocon. Si vous vouliez survoler le débat Il ne fallait pas l’ouvrir aux manant comme mwa mais l’organiser uniquement pour vos paroissiens. Et pourtant nous nous sommes tous résumés, j’aurais dit confinés, à la plus simple expression : la francophonie. Concernant mézigue , je l’avoue j’ai quelques réticences chroniques et récidivantes à vous suivre dans vos gurutades et messsianades réchauffées. Mais que vous vous attaquiez à Mindjibalina et Mello qui ne se sont même pas assumés par le bout d’où vous croyez qu’ils ont péché, je crois que vous êtes injuste. Si le débat ne concernait que moi et vous, je m’inclinerais sans regrets devant votre entrain fanatique, et je suis même prêt à m’éclipser , puisque vous semblez penser que dans ce débat c’est à vous que revient la conduite et que c’est à vous que revient de dicter les figures imposées. Nonobstant ma petite personne et votre fakhama , je pensais dans mes plus inavouables confessions qu’il y a comme un entêtement à vouloir reconduire les vielles illusions. D’un côté Benzatat qui élude, parce qu’il ne veut pas en entendre parler, la question religion et la question ethnique à laquelle il est allergique comme à une maladie parcveque son Etat fantasmé est au dessus de toutes nos « boutades ». Et de l’autre l’entêtement de Mello à vouloir embarquer le FFS dans ce débat coute que coute. Et pourtant ces deux éléments hantent le débat et ne sauraient être évacués ainsi. Le FFS et le RCD qui ont trop voulu instrumentaliser la question ethnique en sont à leurs frais avec l’émergence du MAK et du RPK. Idem quant au pouvoir et la question religieuse. Croire qu’on peut se débarrasser de ces questions, uniquement parce qu’elles sont insupportables aux dé-battants, c’ est fausser le débat . Et comment parler du projet de société en éludant les question qui pourtant de nos jours sont les plus prégnantes. Et ben maw je vous dis que vous le vouliez ou non, vous allez devoir faire avec : alors que fait-on de la religion et de la question kabyle dans cette future société ?

      leputois
      23 mai 2017 - 17 h 06 min

      Ahhh là j’adhère Mr Benzatat.
      Ahhh là j’adhère Mr Benzatat. J’irai même plus loin en ce qui concerne ces histoires d’ethnies, d’origine, de berbérophones, d’arabophones et tuttitophones. Tout cela est totalement pour faire oublier le véritable problème du pays. Il n y en a qu’un seul. La mafia au pouvoir. En fait le fond du problème se résume en une seule question que voici. Quelle est la procédure pour faire dégager ce pouvoir mafieux de là où il est. Après, une fois ce pouvoir est mis hors d’état de nuire, on va juste faire une supposition. On va supposer que les intérimaires qui seront chargés des affaires du pays lors de la transition sont des gens honnêtes et qu’ils prépareront une relève digne de ce nom c’est à dire des dirigeants qui seront des élus du peuple et qui rendront des comptes qu’au peuple. Ensuite tout le reste est un jeu d’enfants, notamment le développement de tous les secteurs stratégiques du pays. Par exemple l’énergie, je peux vous assurer qu’avec les richesses que l’on a, et en l’espace d’un quinquennat nous serons parmi les premières puissances du monde. L’agriculture également…bref vous m’aurez compris. Maintenant si on pollue tout ce débat par les origines et les ethnies, tiens ça me fait rappeler en parlant d’origine. Sachez Messieurs que l’on provient tous de la même origine et je vous ferez la démonstration un de ces quatre. Nous provenons tous de la poussière d’étoiles. Tous nos atomes qui nous constituent ont été fabriqués dans ces creusets stellaires que l’on nomme étoiles qui à leurs morts ont rejetés dans l’espace toute leur moisson d’atomes qu’elles ont patiemment fabriqués en leur seins. ces atomes nous ont constitués part la suite. Et puis si vous n’êtes pas content de cet énoncé, en, voici un autre: nous avons tous la même origine, celles des premiers hominidés préhistoriques qui naquirent au Kenya et en Ethiopie. Un rapide parcours de la préhistoire vous parlera d’homo Erectus, d’homo habilis, de pithécanthrope de java, de néandertal et de sapiens…on provient tous de là…on est tous cousins les amis du pôle nord au pôle sud et d’est en ouest.

    Dr Knock
    23 mai 2017 - 8 h 06 min

    A mon très humble avis, ce ne
    A mon très humble avis, ce ne sont pas les vœux pieux qui manquent, même s’ils partent d’une bonne volonté. Ce débat part dans tous les sens : normal, me diriez-vous, c’est un débat « d’opinions ». Le débat ne pouvait se faire anathème. Parce que chacun y va comme il peut pour démolir sa proposition. Je ne citerai que deux exemples : Mr Benzatat semble avoir une nostalgie pour les années des dogmes totalitaires d’avant Chadli, tout en s’en défendant fougueusement et dont on peut voir la difficulté qu’il a à s’en affranchir dans sa réponse à Mindjibalina et à Mello. Mello se trompe d’époque et s’enferme dans un déni en confondant causes et remèdes. Ce qui conforte la position de le putois, qui peut continuer à désespérer à fond, mais qui, en attendant, reste le seul à avoir raison. En attendant que la solution tombe toute seule comme conséquence inéluctable ou que nous soyons arrivés là où nous allons…

      Mello
      23 mai 2017 - 14 h 07 min

      Cher Dr Knock, comme je ne
      Cher Dr Knock, comme je ne cesse de le dire, etre aujoud’hui un vrai militant, c’est d’abord etre en phase avec l’histoire contemporaine de notre pays. Seulement , durant une longue periode ,plus de cinquante ans deja, nos gouvernants ont fait une sale guerre a l’intelligence, au savoir et a l’aptitude. Notre seule et unique source reste ce fin fond de la memoire, celui qui ne peut etre efface par quiconque. Je reprendrais volontier ce philosophe et romancier Allemand Hans Magnus Enzensberger qui fait l’eloge de l’analphabete :  » … si jen tiens compte , un analphabete m’apparait comme un personnage honorable auquel j’envie sa memoire, sa capacite de consentration , sa ruse ,son endurance et sa finesse de son ouie … » .
      Pour beaucoup aujourd’hui, ils sont nombreux a l’exprimer ,avec fierte et exaltation, sur les reseaux sociaux, ce que etre democrate et patriote , ce que etre Algerien. Nous sommes ce dont nous nous souvenons. Et depuis 1962, nous nous souvenons que de ce qui a marque notre chair. Mais on s’est tant hai pour des valeurs qui avaient fait notre force a travers tant de siecles.

    Mindjibalina
    22 mai 2017 - 22 h 58 min

    C’est certainement pas ce
    C’est certainement pas ce type d’opinions et ce type de digressions qu’on va construire un rapport de force au désavantage du système actuel. Vous dîtes des fois vrai mais vous dîtes souvent des choses fausses qui vous dépassent. La contestation du système peut se faire de plusieurs manièrese. Qu’elle soit spontanée ou structurée, l’essentiel réside dans son niveau de mobilisation et la longueur de son souffle. Quant à ceux qui jettent des anathèmes à tout va sur les acteurs politiques en mélangeant ce qui est structurel de ce qui est conjoncturel, en faisant fi des sciences politiques en croyant que leur nihilisme affiché fait d’eux des visionnaires attitrés, ou que leur complexe ethnisiste les mettraient au dessus des soi-disants archaïsmes en survivance, se trompent machi chouiya, bezzaf. Plus que jamais la nation à besoin de leader, plus que jamais, la nation a besoin de structures militantes averties comme celles du FFS,du RCD, du PT, uds, Jil Djadid, Nida El Watan. Le principe etant d’offrir un cadre militant à des personnalités lucides dont le passé n’est pas organique. Plus que jamais la nation a besoin de la Kabylie, plus que jamais,la nation a besoin d’une ANP qui refuse de s’impliquer dans le jeu politique. Plus que jamais la nation a besoin de l’ensemble des dignes fils des chaouias pour imprimer de la force à un mouvement qui se veut national. Le reste suivra

      Youcef Benzatat
      22 mai 2017 - 23 h 45 min

      Depuis que je vous lis, je
      Depuis que je vous lis, je constate dans vos interventions que de la haine et de l’anathème, fortement influencés par votre propre complexe ethnisiste que vous projetez sans vergogne sur autrui. C’est dommage ! Vous auriez pu apporter votre contribution dans le débat au lieu de vous perdre derrière des chimères…

    dahman
    22 mai 2017 - 18 h 10 min

    les barbus sont bien protéger
    les barbus sont bien protéger avec de gros salaires les soldats retraiter ou handicaper n’ont pas le droit d’ouvrir leur gueule

    karamazov
    22 mai 2017 - 16 h 05 min

    @ Si Mélo!. J’emploierai un
    @ Si Mélo!. J’emploierai un néologisme, ou un anglicisme, pour désigner ce que vous faites en ce moment, même si le mot français est plus approprié. Vous être en train de « buguer » l’alternative. Ce qui, venant d’un suppo invétéré, du FFS ne m’étonne guère. C’est ce que le FFS a fait tout au long de son histoire : il a saboté toute alternative qui ne venait pas de lui.Soit on vous laisse jouer soit vous piper les dés. Une question ya Si Mélo : y a-t-il un avenir pour l’Algérie sans le FFS ? En espérant que vous ayez saisi le ton ironique, bien entendu !

      Mello
      23 mai 2017 - 10 h 53 min

      N’ayant pas la faculte
      N’ayant pas la faculte mentale de comprendre les deux mots (maux) que vous avez utilises, en lisant leurs definitions, j’ai vite saisi ce que je represente pour vous.
      D’un simple citoyen, vivant la realite Algerienne dans mon pauvre quartier, je me permet de rapporter ce que je saisis dans les rencontres avec les cadres du FFS qui viennent nous voir . Fondamentalement, j’ai tout de meme cette faculte a ecouter , a juger et rapporter ce que le FFS voudrait pour cette Algerie. Quant a vouloir buguer le climat politique, vous devez savoir que le FFS a ete le premier parti a demander le multipartisme en 1963. Vous devez savoir que le FFS a ete le seul parti a vouloir une alternative en proposant des memorendum a ce pouvoir, vous devez savoir que le FFS a ete le premier parti ayant marche sur Alger, le 31 Mai 1990, contre ce pouvoir et contre lune Algerie islamique. Sans oublier sa position en Janvier 1992 qui aurait pu eviter ces quelques 200 mille morts et deux decennies vraiment affreuses. Alors, un avenir sans le FFS, c’est au peuple Algerien d’en decider, ni vous , ni moi.

    lhadi
    22 mai 2017 - 15 h 23 min

    Ce que le pays, ce que les
    Ce que le pays, ce que les citoyennes et les citoyens attendent, c’est autre chose, c’est un véritable changement, une politique apportant enfin des solutions réelles et neuves aux problèmes pressants qui se posent à eux. C’est dans cet esprit que le F.F.S se doit d’élaborer le programme de gouvernement qu’il soumettra aux autres partis démocratiques en vue de parvenir à un solide accord politique. L’aiguisement de la crise que connait notre pays,l’aggravation dangereuse de la politique autoritaire du pouvoir, la montée du mécontentement populaire, font de l’élaboration d’un tel programme un devoir impérieux. Il ôtera, en effet, au pouvoir l’arme que constitue pour lui l’absence d’une entente durable des formations démocratiques .Il favorisera le développement du grand mouvement majoritaire capable de battre le pouvoir. Il constituera pour les citoyennes et les citoyens une garantie pour l’avenir, les partis démocratiques s’engageant solennellement devant le pays à appliquer demain ensemble au gouvernement ce programme élaboré et défendu en commun. Cela dit, le F.F.S ne doit pas conditionné sa lutte contre le pouvoir et pour l’instauration d’un régime démocratique nouveau, au déroulement des discussions au sommet entre dirigeants. C’est, avant tout dans le développement de l’action à la base, dans les entreprises, les quartiers, les villes et les villages, que se forgera l’union des forces ouvrières et démocratiques, l’union de toutes les forces populaires. C’est pourquoi le F.F.S doit impulser et organiser l’action pour les revendications et les libertés, l’indépendance et la paix. C’est pourquoi aussi il doit faire connaitre le programme de gouvernement qu’il proposera.Tout le peuple algérien sera, en effet, concerné. D’abord parce qu’il apportera des solutions aux problèmes qui sont les siens. Ensuite parce que les transformations préconisées ne peuvent se faire qu’avec les larges masses populaires de notre pays. Le F.F.S a besoin de leur appui aujourd’hui comme il fera appel à leur concours demain. En présentant aux hommes et aux femmes de notre pays ce programme de gouvernement démocratique d’union populaire, le F.F.S fera face une nouvelle fois à ses responsabilités devant la classe ouvrière et la nation. Il montrera sa capacité à servir tout à la fois les intérêts immédiats de son peuple et l’avenir de l’Algérie et à faire de notre pays une Algérie moderne, pacifique, libre et heureuse, une Algérie marchant hardiment vers le progrès et le bonheur. Une autre vie est possible. Une autre politique est nécessaire.Voilà la raison d’être, voilà la raison d’agir. Fraternellement lhadi ([email protected])

    Youcef Benzatat
    22 mai 2017 - 11 h 57 min

    Détrempez-vous monsieur, l
    Détrompez-vous monsieur, l’environnement de corruption généralisée et d’immobilisme économique en mode de gouvernance » ne date pas depuis notre accès à l’indépendance ! Dans un premier temps, depuis 1979, on a révisé la loi de 1971 pour aller progressivement vers une gestion sur le modèle des concessions des années 1950 et démembré le réseau d’entreprises nationales chèrement payées avec la marginalisation des cadres pionniers qui ont donné une dynamique à l’économie nationale. Ce n’est qu’a partir des années 1990 et plus intensément depuis 1999 que cet environnement de corruption généralisée et d’immobilisme économique se sont imposés comme mode de gouvernance »

      leputois
      22 mai 2017 - 13 h 44 min

      Vous voulez nous faire croire
      Vous voulez nous faire croire que juste à l’indépendance on avait des enfants de chœur qui gouvernaient l’Algérie? Que parce qu’il n y avait pas de corruption généralisée, d’immobilisme économique, qu’un semblant de gestion du pays se posait et que donc on devrait en déduire que les dirigeants étaient les plus honnêtes qui soient? Vous devez certainement dû entendre parler du Sendouk Tadhamoune géré par Ben Bella et compagnie. Une opération de délestage national opérée par la mafia de l’époque qui avait commencé ses méfaits bien avant, pendant la guerre de libération même. Ce qui est dans les gènes de l’homme et de l’Algérien que nous sommes ne risquera pas de s’en aller sur un simple claquement de doigts. Ce qui s’est installé après la guerre de libération s’est amplifié au fur et à mesure du temps, au fil que les appétits se sont aiguisés et nous ont démontré – par le spectre des assassinats, des menaces, des emprisonnements et de la répression par l’application de la loi – que rien ne sera laissé au hasard pour faire changer ces pratiques.

        Youcef Benzatat
        22 mai 2017 - 14 h 01 min

        Tout ce que vous dites est
        Tout ce que vous dites est vraie, seulement il faut faire la part des choses et reconnaître qu’au tournant de l’indépendance et particulièrement depuis le 19 juin 1965 il y avait une volonté de souveraineté économique et d’amorce de dynamique de développement, indépendamment de la volonté de vouloir soumettre le peuple à un régime bonapartiste et son lot d’assassinats politiques et de purges de toute forme de voix discordante.

          leputois
          22 mai 2017 - 17 h 19 min

          Mr Benzatat soyons réaliste
          Mr Benzatat soyons réaliste et pragmatique dans nos analyses. Il y avait peut être une volonté de bien faire mais cela n’a pas suffit pour épargner le peuple et le pays de ce qu’ils ont enduré depuis par le simple et seul fait de l’égoïsme de l’être humain et de la malhonnêteté de ce dernier. On reconnait implicitement qu’une toile s’est tissée depuis, et on démontre que depuis 62 à ce jour elle s’est enracinée à ce que plus personne ne puisse la déloger même par les plus dures des manifestations ou marches qui resteront effectivement stériles. Aussi, même un contre pouvoir ne sera pas crédible à l’égard du peuple car la confiance n’y est plus et la probité n’existe plus en aucun des acteurs principaux du pays. Le taux de participation aux dernières législatives est lourd de sens. Raison qui me fait dire que seule une véritable révolution changera effectivement les choses à l’image de la façon dont se sont érigées toutes les grandes démocraties…il a bien fallu passer par là, et on n’est pas un cas particulier, mieux on est sous une chape dictatoriale maquillée en démocratie, ce qui suggère fortement le soulèvement populaire massif pour espérer un changement.

          Youcef Benzatat
          22 mai 2017 - 22 h 02 min

          Absolument et j’adhère tout a
          Absolument et j’adhère tout a fait à votre analyse. Le point que j’avais soulevé en réponse à votre commentaire ne concerne que l’escalade dans la généralisation de la corruption. Bien entendu, le régime autoritaire qui s’est installé par la force des armes au tournant de notre indépendance a bel et bien fait le lit à la situation que nous vivons aujourd’hui. Pour revenir à l’alternative de son dénouement il faut bien aborder cette question de révolution à laquelle vous faites allusion avec beaucoup de précautions et de pragmatisme. Il nous faudra en effet une révolution globale, allant des mentalités, de la culture, de l’économie et bien évidemment de notre système politique jusqu’aux moindres aspects de notre vivre ensemble..

    Mello
    22 mai 2017 - 9 h 38 min

    « Le pouvoir et son opposition
    « Le pouvoir et son opposition structurelle … » quoi de plus nefaste que cette allusion perfide a l’egard de militants qui ne cessent de se debattre dans une conjoncture opaque et verrouillee par ce regime mafieux. L’opposition structurelle est la seule , a meme, de nous faire sortir de ce marasme dans lequel la responsabilite est du ressort du seul pouvoir qui mene un travail d’aneantissement partisan, par le verrouillage systematique de tout canal d’expression, y compris toutes ce s interdictions de manifestations ou de marches populaires.
    Cette opposition structurelle dispose d’une organisation, de representations regionales, de locaux ( avec leurs propres frais) et enfin d’un programme qui gagnerait a etre mis a la disposition de toute la societe. Ce sont la, des atouts majeurs qui pourront servir a tout citoyen , de n’importe quelle region, d’y acceder et d’ y participer.
    L’organisation des marches , bien que faisant partie des actions de revendications, ne servent plus a rien , car banalisees et non ecoutees , notament lorsque les organisateurs ne se sont pas identifies.
    On se rapelle tous de cette marche grandiose du 14Juin 2001 , organisee par une nebuleuse « aarouch » , qui se termina dans un chaos total au niveau de la place du 1 er mai , pour un resultat nul sans apport democratique pour le citoyen.
    Le changement de strategie de lutte est indispensable par une approche politicienne ,menee par les partis politiques d’opposition, les cadres en politique ( Ex: Djamel Zenati, Said Khellil, Mouloud Hamrouche, Ali Bennouari, etc…) les intellectuels ( politologues, economistes, Avocats, les juristes en general) ainsi que des cadres syndicaux autonomes. C’est dans cette optique que ne cesse de travailler le FFS afin de rendre la communication politique au centre du paysage populaire.

      Youcef Benzatat
      22 mai 2017 - 11 h 27 min

      Plus perfide que vous on n’en
      Plus perfide que vous on n’en connaît pas d’autre dans le champ politique algérien. Contrairement aux autres formations politiques qui s’affichent ouvertement en tant que « chyatines et demi de Bouteflika et de son système mafieux et cynique » (Ouled Abbas). Vous jouez un double jeu en affaiblissant l’opposition d’un côté et en renforçant la dictature de l’autre, par votre entrisme sournois au détriment de la volonté de refus de la majorité de vos cadres que vous sacrifier avec les mêmes méthodes que vous empruntez à vos maîtres. Quand à moi, je vous dénonce ouvertement et j’ai dû l’écrire sur ces mêmes colonnes dans un article récent intitulé « le mensonge du FFS…

        Mello
        22 mai 2017 - 13 h 01 min

        Longtenps la question de la
        Longtemps la question de la délation,sujet tres douloureux, a ete ignoree par les uns et les autres au sein de cette intelligentsia. La délation , longtemps installee comme mode de chiatines, s’est transformee progressivement ces quinze dernieres annees en veritable systeme de pouvoir et de gouvernance. Veritable instrument de connaissance et de controle de la population, la delation fut fortement encouragee par ce regime , a tel point que certaines categories professionnelles furent fortement incitées a apporter leur collaboration aux recoltes d’informations perfides a l’égard des militants engages. Et qu’importe si la verite est ailleurs, car dans le contexte actuel, il est difficile de renverser la vapeur et de mettre un terme aux hypocrisies et aux lâchetés de toute sorte, de remettre a leur place les gens, les situations et les choses. Trop, trop de mensonges, trop d’affabulations et de deformations ont ete ecrits a propos de ce parti qu’est le FFS. Maintenant, il y a ceux qui croient et ceux qui ne croient pas en ce FFS, c’est leur droit, mais qu’ils donnent des preuves a ces allégations. Le FFS avance ,ses idees sont combattues par cette presse aux ordres, cette television d’Etat et les pourvoyeurs de fonds de cette smala qu’est le regime en place.
        La seule solution reste la negociation dans le cadre du consensus national, le FFS avance avec pragmatisme car en politique il faut etre pragmatique. Les militants du FFS ne sont pas nes terroristes, leur gènes ne sont pas structurés par la negation ou par la violence et la destruction, malheureusement la politique du pire menée par certains continue son bonhomme de chemin. Il y a une fin a tout.

          Youcef Benzatat
          22 mai 2017 - 14 h 06 min

          Ils ont même réussi à vous
          Ils ont même réussi à vous inoculer leur stratagème de la main de l’étranger ! C’est pitoyable !!

          Mello
          22 mai 2017 - 15 h 58 min

          Ne sommes nous pas les
          Ne sommes nous pas les etrangers de nous memes, pour nous faire battre de nos propres mains ?
          Comme cet arbre qui se plaint de la hache qui le decoupe et la hache lui retorque que ma manche vient de toi .
          Comble de malheur.

        Sahitou
        22 mai 2017 - 15 h 10 min

        BRAVO. En effet ils sont
        BRAVO. En effet ils sont parti prenante du pouvoir ou une opposition de façade. Ils ont toujours fait de l’obstruction contre toute opposition réelle. Leur role est de détruire et d’étouffer dans l’oeuf toute vraie opposition depuis 63.
        Le FFS est responsable de 50% de ce qui nous arrive aujourd’hui. Depuis 1963, rien n’ a changé dans leurs méthodes sauf qu’ils ont éliminé toute forme de contestation interne. Que sont devenus les vrais militants et pourquoi ils ont disparu ? Il y a bien une raison.

      leputois
      22 mai 2017 - 12 h 07 min

      Ils sont tous les mêmes.
      Ils sont tous les mêmes. Avides de pouvoir et d’argent, tous ceux que vous venez de citer et tous les algériens en général et l’humanité entière si vous en convenez. chacun cherche son intérêt d’abord, celui de sa famille, ses proches…etc. Il est utopique de croire à notre époque qu’on vous veuille du bien rien que pour le plaisir de vous voir émancipé et comblé de bonheur. Ce qui pourrait être vrai dans certains cas, la générosité existe, mais tellement limitée au regard des atrocités commises à l’encontre de l’être humain par l’humain. Il est quasi démontré maintenant que tous ne cherchent qu’à promouvoir leur stature et engranger du fric!!! Si les conditions permettaient à chacun d’entre nous de se remplir les poches facilement, personne n’aurait hésité un seul instant. Les « partis politiques » n’œuvrent que dans l’intérêt de se voir aux commandes, gérer la rente et bénéficier des différents avantages ci et là. Et la mafia au pouvoir, cependant, veille au grain, opère la distribution de la rente d’une manière efficace, celle qui lui permet de se maintenir au pouvoir en jugulant l’avidité des uns et des autres qu’elle sait qu’ils n’ont d’yeux et d’envie que pour cela. Alors les intellectuels, les politologues, les économistes et autres avocats et juristes pourront tous aller se rhabiller, notre système est fatal et ce n’est qu’une révolution en bonne et due forme qui pourra avoir raison de lui.

      Karamazov
      22 mai 2017 - 13 h 20 min

      J’arrive à vous suivre,
      J’arrive à vous suivre, presque, partout dans vos digressions, Sauf quand vous vous mettez à ranimer des zombies et à racoler pour le FFS. Vous ne vous êtes même pas rendu compte que c’est son hégémonisme qui l’a perdu. Ce FFS n’a jamais eu aucun leadership et ne doit encore, en vérité, son existence qu’au fantôme d’ Ait Ahmed qui le hante encore et d’où tout partait et à qui tout revenait, et au système à qui il sert de faire-valoir. Et même si ceux que vous citez ont quitté le FFS ou n’ont rien à y voir malgré leur implication dans l’échec, vous persister à les absoudre de leurs responsabilités en osant les recycler. Nous on vous parle d’alternative ! D’alternative à tout ce beau monde !

        Mello
        22 mai 2017 - 14 h 07 min

        En effet , l’idee n’est autre
        En effet, l’idée n’est autre que ce consensus préconisé par le FFS. Malheureusement , le parti s’est trouvé confronté a un refus de changement qui ne dit pas son nom de la part des partis sollicités. Pour le FFS,cette initiative consacre une avancée politique significative mais il ne prétend pas imposer sa propre vision au risque de déboucher vers une divergence partisane plus destructrice. Désormais, le FFS admet qu’il faut faire avec ce qui existe et en fonction des événements, pour réaliser ce qui est possible. Attaquer frontalement ce pouvoir ne rime a rien, vouloir l’abattre par la force est un choix condamné à l’échec, par la rue c’est dangereux, ceci en admettant que la rue accepte de suivre les opposants. C’est de la résignation disent certains, c’est du réalisme dit le FFS qui compte sur ses idées de cohérence.

      Sahitou
      22 mai 2017 - 14 h 18 min

      « C’est dans cette optique que
      « C’est dans cette optique que ne cesse de travailler le FFS afin de rendre la communication politique au centre du paysage populaire. ». C’est dans cette meme optique stérile que le FFS a toujours travaillé depuis qu’il a mis dehors et chassé les militants qui osaient poser des questions et remettre en cause certaines pratiques. Si vous pensez toujours « national » quelque soit les gesticulations de ce parti, personne n’écoute plus ses messages car ils sont contradictoires. Aux yeux des autres il demeurre toujours un parti regional.
      Il est devenu aussi un parti comme tous les autres: Il est sans ame car il est en fait un parti qui suit la feuille de route du pouvoir en place.
      En 2017, quelle est la difference entre le FFS, le RCD et le PT de TATA Louiza ? Aucune difference car ils ne sont plus que des opposition de façade pour faciliter la tache au gouvernement en place. Sinon pourquoi avoir accépté de cautionner la honte sachant que tout est connu a l’avance et cela est meme declare par ould abbas.
      Ce qui vrai est que le peu de militants vous fuient maitenant. En dehors de la famille et des copains le FFS a rejoint son cercuil. Le reste vous pouvez continuer a croire que vos idées sont bonnes et qu’il y a des gens qui vous écoutent encore.

    leputois
    22 mai 2017 - 9 h 31 min

    Oui effectivement, « Le
    Oui effectivement, « Le pouvoir affiche de plus en plus cyniquement sa confiscation des libertés politiques dans un environnement de corruption généralisée et d’immobilisme économique en mode de gouvernance, alors qu’en face, la précarité sociale se creuse chaque jour un peu plus dans un environnement institutionnel de plus en plus déliquescent. ». On n’apprend rien la dessus, cela a toujours été ainsi depuis l’indépendance. Le seul changement c’est la montée en puissance du pouvoir à afficher cette détermination à enrayer tout mouvement contestataire de la ligne directrice apposée au pays pour suivre sa politique et sa façon de le gérer. Ce n’est que la conséquence (ou la suite logique) de la manière ou la façon de la prise de pouvoir par ces dirigeants à l’aube de l’indépendance (et je dirais même avant). Ce qui nous pousse à dire qu’il est plus raisonnable de penser que remettre le pouvoir au peuple d’une façon pacifique est une utopie. Et ceci se démontre à chacune des manifestations hostiles au pouvoir que ce dernier réprimande énergiquement que ce soit dans l’égalité ou dans l’illégalité, de toutes les façons c’est pareil pour lui, car il modifie les lois à sa guise et rend légal ou illégal ce que bon lui semble à la mesure de ses ambitions.

Laisser un commentaire

Votre adresse de messagerie ne sera pas publiée.