Partenariat : une délégation américaine à Médéa

Les Hauts-Plateaux attirent les investisseurs américains. New Press

Une délégation de responsables américains s’est déplacée aujourd’hui dans la wilaya de Médéa à la recherche de bonnes opportunités de partenariat. Conduite par l’attaché culturel de l’ambassade, cette délégation a rencontré les responsables locaux, dont les élus de l’Assemblée populaire de wilaya et ceux de la commune. Les Américains ont eu droit à une présentation de la wilaya de Médéa sous toutes ses facettes. L’exposé leur a permis de prendre connaissance des énormes potentialités économiques dont dispose cette wilaya. La délégation américaine s’est montrée intéressée par plusieurs secteurs, dont celui de l’agriculture. Mais pas seulement. La délégation américaine a proposé des partenariats, notamment dans le domaine de l’administration et de la gestion des collectivités.

Les Américains veulent ainsi aider de part leur expérience les responsables au niveau de cette wilaya à optimiser la gestion notamment des ressources humaines et à avoir une meilleure visibilité en matière de développement socioéconomique avec la valorisation des potentialités dont jouit cette wilaya.

Ce n’est pas la première fois que des responsables américains s’intéressent aux régions de l’intérieur du pays, des Hauts-Plateaux ou du sud du pays. Une grande ferme américaine, en partenariat avec une société algérienne, a déjà lancé un projet d’élevage de vaches laitières et de production céréalière et fourragère à El-Bayadh. Il s’agit d’un grand partenariat entre un consortium d’Américains spécialisés dans l’élevage et la culture céréalière et le groupe privé algérien Lacheb. S’étendant sur une superficie de 25 000 ha, dont 5 000 réservés à l’élevage de vaches laitières et d’autres bovins, cette exploitation agricole produira du blé dur, de l’orge, du fourrage, de la pomme de terre et activera aussi dans l’ensilage du maïs, sur une superficie globale de 20 000 ha. Un autre groupe américain a lancé un autre mégaprojet à Adrar en partenariat avec le groupe privé Tifra-Lait.

Hani Abdi

Comment (20)

    salim
    15 juin 2017 - 13 h 24 min

    bravo
    bravo

    AMAR MOKHNACHE
    12 juin 2017 - 8 h 59 min

    il Y A JUSTE UN PETIT DETAIL
    il Y A JUSTE UN PETIT DETAIL A PRENDRE EN CHARGE! deja la presse a fait etat d’un partenariat avec LES 20 MEILLEURES FERMES PILOTES DU PAYS ! EN L ABSENCE D UNE LOI CADRE QUI GERE ET ENCADRE LE PATRIMOINE DE L ETAT AINSI QUE LES CAPITAUX MARCHANDS DES EPE LE RISQUE DE VOIR UN AUTRE CAS DE PARTENARIAT « REUSSI » DU GENRE SIDER EL HADJAR OU ASMIDAL OU….N EST PAS A ECARTER …IL Y A LIEU D ABORD DE PROTEGER LE PARTIMOINE PUBLIQUE CONTRE LE DERIVES ET AUTRES DILAPIDATIONs AVEC DE NOUER CES « mariages » dans un environnement ou l impunite a toujours cours…

    Djamel BELAID
    11 juin 2017 - 20 h 12 min

    OK, pour voir ce que les
    OK, pour voir ce que les yankees vont nous apporter. Personnellement je suis septique, mais essayons. Mais les pouvoirs publics ne doivent pas se cacher la face: le fellah produit, si cela lui rapporte. Dans le cas des céréales en Algérie, c’est celui qui transforme le grain en semoule puis en couscous qui gagne le plus. Développons les moyens pour que des fellahines groupés en G.I.E installent (ou rachètent des moulins) et fabriquent de la semoule avec leurs grains. Ils feront plus de bénéfices et seront donc encouragés à produire plus. Actuellement, ils font juste le minimum pour gagner la prime de 1000 DA/quintal qui se rajoute aux 3500 DA/quintal attribué par l’OAIC. S’ils gagnaient ce qu’empochent les patrons des grands moulins privé, lil oua n’har, ils s’intéresseraient aux meilleures techniques et délaisseraient un peu l’élevage ovin qui est actuellement une véritable catastrophe vis à vis de la culture des céréales (car la paille mangée par les moutons devraient être enfouies dans le sol).
    Belaid Djamel Ingénieur agronome.

    Anonymous
    11 juin 2017 - 4 h 23 min

    les turcs et les chinois pour
    les turcs et les chinois pour nous construire nos maisons et routes
    les amerloque qui s’occupent de nos terres agricoles
    IL NE MANQUAIT QU40 NOUS DONNER LE BIBERON
    Nous sommes quoi?

      Anonymous
      12 juin 2017 - 1 h 40 min

      J’ai jamais vu un autre Pays
      J’ai jamais vu un autre Pays distribues des logements GRATIS, ont es des bras cassés dans touts les domaines.

        anonyme
        12 juin 2017 - 12 h 51 min

        GRATIS ? c’est de la poche de
        GRATIS ? c’est de la poche de Bouteflika? et les escrocs protégés en cols blancs ceux qui se servent du trésor public GRATIS tu les as oubliés ?

    Anonymous
    9 juin 2017 - 13 h 45 min

    Ouverture, modernisation de
    Ouverture, modernisation de notre agriculture bureaucratique archaique, et diminuée de ses meilleurs terres
    Par les nouvelles cités politiques,électorales, démagogiques, et populistes inaugurées
    Sur les meilleures plaines Agricoles très fertiles, et à hauts rendements …..démographiques ?!…..,
    Pardon, agricoles !
    (Mitidja, Maghnia, Beni Slimane (Médéa), Arib (Ain Bessam), Ain Defla (Dahra), Mina (Mostaghanem),
    Bou Namoussa (Annaba),.Setif, Mascara, Bel Abbes, Sersou Tiaret , etc,…..

    Seule une agriculture à très hauts rendements par hectare techniquement, et technologiquement très moderne
    Pourrait sauver l’Algérie de la disette, de la famine, de la sécheresse,
    et de la désertification qui avance dangereusement vers le Nord (des barrages verts à construire en urgence)
    (Pour mémoire les sécheresses au Sahel, en Somalie, en Californie, en Bolivie(glaciers asséchés des Andes),
    Une partie de la Chine, et de l’Australie,etc,…..

    La vraie sécurité, et l’avenir de l’Algérie = l’Agriculture, les Elevages, la Peche, et l’Hydraulique modernes

    Sans idéologies bureaucratiques, « socialistes?!….. », démagogiques, populistes, et stériles
    Qui ont prouvé, par le passé, leurs échecs retentissants, et leurs conséquences catastrophiques, à ce jour, Pour le pauvre, divisé, et marginalisé peuple algérien depuis Septembre 1962

      Djamel BELAID
      12 juin 2017 - 15 h 52 min

      Vous avez raison de parler de
      Vous avez raison de parler de modernisation de notre agriculture. Regardez par exemple nous ramassons les pommes de terre: à la main! Il nous faudrait plus d’arracheuses de pomme de terre. Les exemples sont nombreux. Mais à mon humble avis, le manque le plus criant et le plus criminel est le manque de semoirs low-cost pour semis direct. UNE REVOLUTION TECHNOLOGIQUE: Depuis quelques années, partout à travers le monde l’abandon du labour et son remplacement par la technique dite du semis direct révolutionne l’agriculture en climat semi-aride. Mais cette technique nécessite des semoirs spécifiques. Il faut les construire ou transformer les semoirs existant. Or, malgré quelques efforts nationaux, nous sommes très en retard. IL FAUT TIRER LA SONNETTE D’ALARME (Mr le Ministre de l’agriculture, ce dossier constitue la mère des batailles), d’autant plus que cette technique réduit les coûts (notamment en carburant), réduit les besoins d’engrais grâce à la localisation de l’engrais près de la semence et améliore les quantités d’eau de pluie stockée dans le sol. MODERNISER LA LOCATION DES TERRES. Il nous faut aussi une legislation permettant la location de la terre (système de fermage qui existe dans les pays développés). MODERNISER LA TRANSFORMATION DES CEREALES: actuellement, les paysans algériens ne peuvent pas transformer leur blé en semoule. Ils sont interdits de cette activité du fait du mode de distribution de subventions aux seules grosses minoteries. Cette activité très lucrative n’est permise qu’aux privés détenteurs de moulins. Il faut moderniser la législation et permettre au fellah d’écraser son grain. Il gagnera ainsi plus d’argent et sera moins tenté de faire du moutons sur ses meilleures terres à blé. Djamel BELAID Ingénieur agronome.

    el wazir
    9 juin 2017 - 13 h 25 min

    Le partenariat avec les
    Le partenariat avec les américains n’est pas réjouissant. De façon générale,Ils sont formaté pour tirer le maximum de profit et repartir; Pour preuve ce fournisseur de silos a grains qui nous a menacé de faire intervenir Trump (un gars de son patelin) pour obtenir de force et sans concurrence tout le programme OAIC d’augmentation de ses capacités de stockage de 1 million de tonnes. Pauvre type!! il veut maximiser ses profits et faire son beurre sur le dos des pays arabes pétroliers avant la fin du mandat de Trump; Dans tous les cas ce type de cinéma ne marche pas avec nous

      Djamel BELAID
      11 juin 2017 - 20 h 32 min

      On ne peut que féliciter les
      On ne peut que féliciter les pouvoirs publics de soutenir la production locale de céréales et de renforcer les capacités de stockage de l’OAIC. Cela permet également d’importer au meilleur prix ce qui nous manque. Mais les pouvoirs publics devraient encourager la modernisation du stockage de l’orge à la ferme. Rappel: contrairement au blé, la commercialisation de l’orge est libre. Une telle stratégie pourra être plus tard utilisée pour le blé. Il n’est pas normal que les céréaliers ne puissent pas stocker leur récolte à la ferme comme dans tous les pays du monde. Cela permettrait de faire des lots de qualité équivalente. Le revers de la médaille: spéculation et fraude avec des cargaisons de blé importé. Mais il nous faut chercher des solutions, on ne peut laisser des remorques de blé attendre trois jours devant certains silos de l’OAIC. Djamel Belaid. Ingénieur agronome.

        el wazir
        11 juin 2017 - 22 h 47 min

        SAHA Ftourek M Belaid Djamel?
        SAHA Ftourek M Belaid Djamel? J’ai toujours était d’avis que le déficit flagrant de stockage de grain dans notre pays est un handicape majeur qui bloque l’épanouissement de notre agriculture et limite notre production nationale. SI nos capacités de stockage (public et privé) ne dépasse pas le 1 million de tonnes, je me demande comment fait l’OAIC devant plus de 10 millions de tonnes (selon le ministère du commerce, a vérifier??) importés annuellement si nos capacité disponible de stockage s’avèrent largement insuffisante a même de faire face a une production nationale moyenne d’environ 4 Millions de tonnes. Pour ce qui concerne le partenariat avec les usa, il ne pourra être qu’a sens unique (dès qu’ils empochent le pactole, ils déguerpissent), quand a celui qui a voulu s’accaparer sous la menace le nouveau programme OAIC (qui vient avec un grand retard comme si ont avait pas de ministre avant) c’est la façon avec laquelle il veut s’imposer en absence de procédure de concurrence

          Djamel BELAID
          12 juin 2017 - 15 h 29 min

          @El-Wazir Saha ftourek pour
          @El-Wazir Saha ftourek pour ce jour. L’OAIC développe de grosses capacités pour le stockage des céréales. Cela permet de mettre à l’abri le consommateur de la spéculation mondiale et d’éventuels spéculateurs nationaux. Il n’y a qu’à voir pour l’orge la différence qu’il y avait entre le prix public et le prix chez les vendeurs privés. Voir sur youtube les reportages réalisés par plusieurs chaînes de TV.
          CAPACITES DE STOCKAGE Concernant votre question, il me semble qu’il faut considérer que les achats de céréales sur le marché international sont étalés. Il en est donc de même des arrivages dans nos ports. L’OAIC possède une flotte de camions qui permet de dispatcher ces céréales sur tout le territoire national. Par ailleurs, outre les structures propres à l’OAIC, les minoteries possèdent également une certaine capacité de stockage.
          LA PAROLES AUX CADRES OAIC. Sauf erreur de notre part, nous ne voyons pas d’études et d’articles réalisés par des cadres de l’OAIC. Comme ils sont chaque jour sur le terrain, ils auraient beaucoup à nous apprendre sur la meilleure façon d’assurer l’augmentation de la production.
          D Belaid.

      el watan
      14 juin 2017 - 15 h 16 min

      les silos de stockage
      les silos de stockage américain est une opportunité pour l’état de maitriser le stockage du blé

    Anonymous
    9 juin 2017 - 3 h 21 min

    On ouvre grandes nos portes
    On ouvre grandes nos portes au loup

    VIVE L’ALGÉRIE!
    8 juin 2017 - 23 h 41 min

    ils sont là pour vérifier que
    ils sont là pour vérifier que toutes les semences de l’Algérie millénaire leur ont été données et qu’il ne reste rien à se mettre sous la dent ! que l’Algérie a bien été livrée les pieds et poings liés à Monsanto et qu’on ne peut plus rien faire pousser sans le leur acheter ! heureux nos ancêtres qui n’auront rien vu…

    AMAR MOKHNACHE
    8 juin 2017 - 16 h 17 min

    C EST UNE EXCELLENTE AFFAIRE
    C EST UNE EXCELLENTE AFFAIRE LA COOPERATION AVEC DES AMERICAINS ET SURTOUT DANS LE MONDE AGRICOLE !! NOUS ESPERONS QU IL Y AURA UNE DELEGATION DES FELLAHS ALGERIENS DANS CETTE RELATION D AFFAIRES …NOUS CONSTATONS DE VISUS QUE LES REPRESENTATIONS CONSULAIRES AMERICAINES NE FONT QU ACCOMPAGNER ET DEFFRICHER LA VOIE A LEURS HOMMES D AFFAIRES POURQUOI LES NOTRES NECESSITENT ILS DES TUTEURS,,??? IL Y A LIEU DE LES LAISSER FAIRE…

    Vangelis
    8 juin 2017 - 16 h 01 min

    C’est quoi ça ? Partenariat
    C’est quoi ça ? Partenariat dans le domaine de l’administration et de la gestion des collectivités ajouté à « l’optimisation des ressources humaines » ? Ce type de partenariat n’est qu’un moyen de vendre des services et aucune technologie ni savoir faire n’est en jeu. Faut-il vraiment s’associer à des américains pour apprendre à gérer des collectivités avec leurs ressources humaines ? Si l’Algérie en arrive là c’est que c’est grave.

    AntiOGM
    8 juin 2017 - 15 h 57 min

    Qu’ils retournent de la ou
    Qu’ils retournent de la ou ils viennent ON NE VEUT PAS D’OGM !!!

    Mello
    8 juin 2017 - 15 h 39 min

    Voila une relation qu’on dit
    Voila une relation qu’on dit « gagnant-gagnant » dans un domaine abandonne par notre main d’oeuvre preferant exposer leur tete au soleil et poser leur der….. au sol comptant les mouches qui leur tournent au dessus. Qu’on dit que ce peuple est vite colonisable , on nous tombe dessus, car c’est une verite qui blesse. Jadis, grenier de l’Europe, avec une main Algerienne, maintenant on met notre sol, apres celui du sous sol, entre les mains des etrangers. Sommes nous devenus des incapables, des feneants ou le tout, des bons a rien ?

    Anonymous
    8 juin 2017 - 15 h 38 min

    A encourager, et s’ouvrir à
    A encourager, et s’ouvrir à toute initiative de coopération, et de partenariat qui pourraient
    Aider l’agriculture algérienne à sortir de sa crise structurelle profonde, et de son sous-développement
    (formations, maitrises, et auto-suffisance, dans une première étape,…..
    …..Exportations des fruits, et légumes du terroir, dans une deuxième étape), sans bureaucratie mortelle
    (« Autogestion socialiste ?!… » bureaucratique, « révolution agraire?!… » bureaucratique, démagogique, et populiste,
    Foncier agricole négligé, abandonné, puis détourné par des lois laxistes sur mesures,
    Et par des fonctionnaires bureaucrates complices, véreux, et des corrompus des diverses administrations ,…..)

    La modernisation accélérée de l’agriculture algérienne (rendements élevés)
    Est une prioritaire sécuritaire urgente, pour arreter les importations des produits alimentaires de l’étranger
    Devant l’accroissement effrayant, et exponentiel de la population algérienne

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