Feraoun démagogue

Démagogie, Tebboune, Feraoun
Mme Feraoun mènera-t-elle jusqu’au bout sa nouvelle politique ? New Press

Par R. Mahmoudi – Après avoir commencé à séduire par son style nouveau, son audace, le gouvernement Tebboune est vite rattrapé par la maladie infantile du système politique algérien : la démagogie. La mesure prise cette semaine par la ministre de la Poste et des TIC d’arabiser tous les documents fournis par les services de la poste s’inscrit en droite ligne de cette vieille recette que les décideurs ont l’habitude de mettre à jour à chaque fois que la machine grince, que la légitimité du pouvoir est sérieusement entamée. Et c’est bien le cas aujourd’hui, malgré les fausses apparences.

Car, au lieu de faire face aux problèmes, nombreux et complexes, dont souffrent la poste et les TIC dans notre pays, et de s’ouvrir au débat sur les insuffisances criantes dont pâtit ce secteur devenu stratégique, la ministre ou ceux qui la conseillent et lui dictent la marche à suivre ont trouvé un bon moyen de diversion pour faire oublier leurs échecs à répétition. Sur le plan formel, ils peuvent toujours se référer à la loi sur l’arabisation des institutions qui a été votée par l’APN et qui est en vigueur.

Sur le plan politique, on peut voir dans cette mesure une façon comme une autre de récupérer l’électorat islamiste, lequel se laisse facilement séduire par tout ce qui touche aux «thawabit» (valeurs inaliénables). Mais cela doit-il se faire au détriment de l’efficacité et de la rentabilité de tout un secteur ? Que fera-t-on de l’expérience acquise par les fonctionnaires ? On ne compte pas les risques de division que tout cela peut provoquer dans la société, où aucun débat préalable n’a été lancé pour, au moins, en connaître les échos et pouvoir ainsi prévenir les lacunes et défaillances qui ne manqueront pas d’être signalées. Il fallait pourtant, avant d’agir, tirer les enseignements des expériences passées, depuis les premières campagnes d’arabisation, où l’idéologique avait, comme aujourd’hui, primé sur les intérêts du pays.

R. M.

Comment (31)

    MELLO
    14 juillet 2017 - 17 h 18 min

    Nous savons tous et ne soyons pas des cachotiers ou des hypocrites, qu’il y a des pays qui ont procédé à l’arabisation mais sans pour autant diaboliser les langues étrangères. La contrainte de l’arabisation nous a plongés dans un désarroi linguistique que chacun selon ses positions, ses aptitudes et son histoire personnelle a essayé de résoudre à son échelle. Arrêtons le massacre, rendons à nos jeunes étudiants leurs langues, faisons en sorte qu’ils en apprennent le plus possible, afin qu’ils ne soient plus bègues et qu’ils puissent de concert avec leurs enseignants qui sortiront de leur mutisme mortifère redonner à l’université les moyens de jouer son véritable rôle, la production du savoir sur la société et sur le monde, d’assurer la transmission de son savoir et sa diffusion, pour que l’université redevienne un lieu de débat, mais aussi qu’elle rentre en communication en langue avec elle-même et avec son environnement, qu’elle investisse la société et non plus qu’elle soit soumise au diktat de la société et ses contradictions. L’Algérie n’est pas dans une logique d’Etat, mais dans celle d’un pouvoir. Nous n’avons pas d’institutions, et il y a eu un interdit fait à l’université de produire une élite et d’être indépendante. Depuis 1991, soit huit années avant l’arrivée du Président BOUTEBLIKA, La Loi n° 91-05 du 16 janvier 1991 portant généralisation de l’utilisation de la langue arabe a été promulguée, mais …

    MELLO
    13 juillet 2017 - 19 h 00 min

    Feraoun démagogue ?? Je n’en suis pas si sûr , elle qui est placée comme un pion prète à servir ses maîtres. Alors, entre le débat stérile sur l’arabisation de tous les secteurs et les implications ravageuses de la loi de finances 2017, il faut être un grand optimiste pour croire au lendemain enchanteur de l’Algérie. En effet, au moment où l’on demande au peuple algérien de se serrer la ceinture –ce qui suppose une mobilisation et une implication générales des acteurs politiques responsables de la crise en vue de raccourcir au mieux la période de takachouf –, les nouveaux maîtres se préoccupent des questions superflues. Et qui plus est, tout le monde sait aujourd’hui que la gestion hasardeuse des affaires, à laquelle on a assisté depuis près de 20 ans, ne nécessite ni une maîtrise des sciences politiques ni des sciences économiques. Et pour cause ! Tout le sort du pays est suspendu au cours des hydrocarbures. Au lieu d’un débat stérile sur l’arabisation du secteur des PTT, les préoccupations de la majorité des Algériens sont ailleurs. Aujourd’hui on ne sait plus ce que signifie être Algérien. Tout le monde sait comment être un agent du DRS, un ‘rkhis », un islamiste, un arabe, un berbériste, mais personne ne sait comment être un Algérien, ce citoyen forgé par plus de 2000 ans d’histoire. Quel citoyen avons-nous été ? Qui sommes-nous aujourd’hui ? Qui serons-nous demain ?

      Zoro
      14 juillet 2017 - 11 h 33 min

      Il y a des gens qui n arrivent même pas à reconnaître leur progéniture, ils disent qu ils sont différents de nous ,tandis qu d autres ne cessent de nous rabâcher l histoire de l algerien de 2000ans, hier l administration était en français aujourd hui elle en arabe peut être que demain elle sera en takvailit ,tachaouit,tamzabit,tawahranit ,taksantinit,tatltemcanit etc ou est le problème ? ??

        MELLO
        14 juillet 2017 - 16 h 58 min

        Et Zoro revient au galop, mais sur son dromadaire. Nous sommes en 2017, soit 55 ans après la proclamation de l »indépendance et on continue à nous rabâcher cette arabisation, décidément , qui n’arrive pas à s’accrocher au train de l’histoire de ce pays qui a plus de 2000 ans. Peut être que notre progéniture saura , avec l’aide de Zoro, marquer cette empreinte qui s’estompe avec le temps. Que certains illuminés le veuille ou pas, la langue Française sera, encore, pour longtemps la langue du travail. « Les colonies ne cessent pas d’être des colonies parce qu’elles sont indépendantes », Benjamin Disraeli, ancien premier ministre britannique au XIXe siècle.
        Cette sentence s’applique évidemment à tous les pays issus des colonies…..

    El Mehdi
    11 juillet 2017 - 12 h 38 min

    Le problème des langues et de leur utilisation dans la vie politique, économique et sociale mérite un long débat sans animosité aucune et surtout sans insultes. Néanmoins, je souhaiterai qu’on éclaire ma lanterne en m’indiquant le pays africain (hormis l’AFS) qui a su et pu se développer en adoptant le Français ou l’Anglais comme langue officielle! Est-ce que le Japon travaille en Anglais ou en Français? Est-ce que les pays du Nord européen travaillent en Français ou en Anglais ou dans leur langue nationale, sans s’enfermer bien sûr? Idem pour la Corée du Sud? Ne nous querellons pas pour un problème mal posé, car nous n’aurions que des mauvaises réponses! Notre problème est ailleurs mes chers amis et nous en sommes tous responsables, à commencer par nos intellectuels s’il en reste encore.

    jugurthajubak
    10 juillet 2017 - 7 h 03 min

    La charrue avait été mise avant les boeufs, l’Arabisation de l’Algérie à marche forcé est un échec, à vouloir imposer l’Arabe comme langue principale en quelques années était suicidaire, à l’heure actuelle combien de millions d’Algériens ne maitrisent ni l’Arabe ni le Français, il fallait introduire l’Arabe à dose homéopathique et ne jamais vouloir en faire la langue principale à court ou à moyen terme, je suis meurtri et le mot n’est pas trop fort, quand j’entends des officiels algériens parler un arabe cassé, truffé de mots en Français, vouloir effacer 132 ans de présence Française en une ou deux décennies était et est irréaliste, je me rappelle au début, les cours du soir que des pseudos professeurs venus de « pays frères », donnaient aux fonctionnaires (le cordonnier syrien et l’épicier égyptien ce n’est pas une légende), sans parler des « cheikhs Algériens » qui ne maitrisaient aucunement l’Arabe littéraire, pour ne dire pas plus que le commun des mortels, c’était un spectacle affligeant.

    jugurthajubak
    10 juillet 2017 - 6 h 26 min

    La charrue avait été mise avant les boeufs, l’arabisation de l’Algérie à marche forcée, un échec cuisant, à vouloir imposer l’Arabe comme langue principale en quelques années était un suicide assuré, à l’heure actuelle combien de millions d’Algériens ne maitrisent ni l’une ni l’autre, il fallait introduire l’Arabe à dose homéopathique et ne jamais vouloir en faire la langue principale à court ou à moyen terme, je suis meurtri et le mot n’est pas trop fort, quand je vois les officiels algériens parler un arabe cassé, truffé de mots en Français, vouloir effacer 132 ans de présence Française en une ou deux décennies était et est irréaliste, je me rappelle au début, les cours du soir que des pseudos professeurs venus de pays frères (le cordonnier syrien et l’épicier égyptiens) donnaient aux fonctionnaires sans parler des « cheikhs Algériens » qui ne maitrisaient pas l’Arabe littéraire, c’était un spectacle affligeant.

    sources
    10 juillet 2017 - 0 h 06 min

    pourriez-vous, je vous prie, citer la source officielle qui annonce cette décision ? Merci

    FISSOU
    9 juillet 2017 - 22 h 40 min

    Sans m’exhiber je vous assure que j’ai toujours fait mon travail comme il se doit et sans dire qui je suis, dans ma ville je suis cité en exemple et je n’ai jamais failli à mon devoir et pour clore le débat je suis un nationaliste convaincu et issu d’une famille de révolutionnaires , mais une chose est sur en tant que fonctionnaire j’irais de ce pas transferrer mon compte postal courant vers une banque et ce problème comme vous le dites bien démagogique sera pour moi clos .
    cette ministre est elle au courant u’en Arabie Séoudite terre du Prophète QSSL , l’alglais est la langue officielle ..
    il me semble bien qu’en l’Algérie il y a beaucoup d’ignorants qui s’ignorent comme le disait mon défunt père (Allah Yarahmou )
    el faham yifhem .

      Zoro
      10 juillet 2017 - 8 h 21 min

      Allez fissou ,fissaa fissaa transfert ton compte pour que la poste tombe en faillite.

    tangoweb54
    9 juillet 2017 - 19 h 50 min

    Après 54 ans depuis l’indépendance de l’Algérie, le pouvoir Algérien doit mettre fin a l’utilisation de la langue Française, langue du colonialisme et de 132 ans d’esclavages et de répression du peuple Algérien, La langue Arabe doit retrouver son passé glorieux comme langue du Coran, de la littérature et des sciences. Je salut chaleureusement cette Ministre courageuse.N’ oublions pas que le Président Zeroual et son Premier Ministre Ouyahia avaient bien initié une loi pour la généralisation de la langue nationale et officielle qui est l’Arabe bien sûr, malheureusement cette loi a été gelé pour des raisons obscures.La Tunisie et le Maroc sont bien en avance en matière d’Arabisation par rapport a l’Algérie ou les suppôts du colonialisme s opposent toujours a notre identité et notre langue

      Abou Stroff
      9 juillet 2017 - 21 h 04 min

      jusqu’à preuve du contraire, la langue arabe est une langue d’un « colonialisme » qui ne dit pas son nom. en effet, jusqu’à preuve du contraire les « arabes » n’ont pas été invité en afrique du nord mais se sont imposé par les armes. pourquoi devrait on différencier les deux colonialisme? quant au passé glorieux de la langue, il ne « vous » reste qu’à ressasser un passé mythique et idéalisé pour éviter de vous regarder dans un miroir qui vous indiquera que « vous » êtes hors histoire

        Otto
        10 juillet 2017 - 2 h 08 min

        Comme le français, cette langue à été introduite par les armes et ceux là même qui la parlent oublient au passage que la france les considérait comme des…indigènes jusqu’à son départ.
        Dès indigènes qui aujourd’hui encore défendent le français corps et âme et méprise par ignorance l’arabe qui a donné à l’Algérie une religion, elle qui était païenne, une histoire puisque c’est au nom de l’islam que les algériens se sont démarqués du colonialisme et surtout un espace géopolitique dans lequel elle évolue avec les pays d’Afrique du Nord en ayant pratiquement les mêmes origines et par voie de conséquence les mêmes destinés.
        Ce complexe par rapport à la langue arabe à été véhiculé et savamment travaillé par la france et il faut croire qu’elle a réussi à fédérer autour d’elle un bon nombre d’ignorants qui au lieu de considérer la langue arabe comme une richesse culturelle, un butin de guerre, préfèrent se confondre dans d’innombrables inepties qui n’ont au demeurant qu’un seul objectif, celui de faire le jeu de la france, diviser pour mieux régner.

        @Zoro
        10 juillet 2017 - 8 h 14 min

        @aboustroff : colonialisme de 15 siecles dis-tu ?? A ton âge tu ignorés que depuis que le monde existe l terre à toujours appartenu à celui qui l occupe et sait la defendre.

        Zoro
        10 juillet 2017 - 8 h 51 min

        @ABOUSTROFF: Colonialisme de 15 siecles dis tu?Avec toute ta perspicacite,et loin d être un tube digestif ambulant, tu ignores que depuis que le monde existe,la terre a toujours appartenu à celui qui l occupe et a su la defendre.

        tangoweb54
        10 juillet 2017 - 12 h 59 min

        Abbou Stroff @. La langue Arabe c’est la langue de notre identité et de nos origines, la langue Arabe a toujours existait en Algérie bien avant l’arrivée de l’Islam, c’est une langue de savoir, de culture et d’intelligence, quand a dire que les Arabes sont des colonisateurs la vraiment tu dépasses toutes les limites car tu oublis que toi même et tes semblables n’êtes pas des habitants d’origine, car le Nord d’Afrique appartient aux Africains noirs se sont eux les habitants d’origine, toi tu es venu comme tout le monde de quulque du Yémen. Avant l’arrivée des Arabes l’Afrique du Nord était une région sauvage et primitive, c’est grâce a l’Islam et la langue Arabe que cette région est sortie de son ignorance et sa barbarie.

      farida
      9 juillet 2017 - 23 h 53 min

      N importe quoi,plus royaliste que le roi.
      Pour ton information, le roi du Maroc que tu admires a introduit l enseignement du français dès la première année scolaire,quand à cette ministre limitée intellectuellement ,elle n a trouvé que cette proposition debile pour faire parler d elle

        Bison
        10 juillet 2017 - 14 h 20 min

        « Avant l’arrivée des Arabes l’Afrique du Nord était une région sauvage et primitive, c’est grâce a l’Islam et la langue Arabe que cette région est sortie de son ignorance et sa barbarie. » !!! On croit entendre un israélien parlant de la Palestine et des palestinien avant la conquête ( bénie, d’après lui et d’après toi ( en faite vous êtes pas cousin pour rien, même mentalité, juste la médiocrité en plus chez les arabes))! En résumé, il y’a pas de victime absolue, tout le monde est bourreau de quelqu’un d’autre!

    lhadi
    9 juillet 2017 - 17 h 19 min

    L’Algérie est une boite de pandore qui contient un fléau terrible qui peut lézarder la jeune nation algérienne.

    Cette jeune et nubile ministre ceda à la curiosité et l’ouvrit.

    Par conséquent, elle doit être remerciée sans état âme.

    fraternellement lhadi
    ([email protected])

    Akli Boughzer
    9 juillet 2017 - 17 h 16 min

    Après avoir lamentablement échoué,cette ministre sort le joker du populisme cher aux conservateurs et aux islamistes:l’arabisation.Mais quand une lettre met prés d’un mois pour aller d’un quartier à on autre d’Alger et que la connexion internet correcte devient on rêve inaccessible que dire?Elle me rappelle ces cancres ayant échoué dans leurs études qui changent leur habillement et se laissent même pousser la barbe pour faire diversion.

      farida
      9 juillet 2017 - 23 h 55 min

      Tout a fait d accord avec vous

    Amcum
    9 juillet 2017 - 14 h 00 min

    Personnellement, je trouve la mesure pertinente.
    Les nouveaux cadres recrutés ont une meilleure maitrise de la langue arabe. Ce personnel doit être soutenus en lui facilitant le travail sensible qu’il effectuait. Rien de plus normal que de normaliser les choses en adoptant l’arabe. Pour quoi pas Tamazight, je dis oui dans un avenir proche. Si on doit maintenir une langue étrangère cela DOIT être l’anglais, monsieur Mahmoudi. Puis passer du francais à l’anglais c’est trois fois rien, cela ne demande aucune science nucléaire. Le dernier des informaticiens peut faire cela. PUIS tout s’achète et se personalise en 2017 (je parle de software).

      Abou Stroff
      9 juillet 2017 - 14 h 04 min

      puisque tout s’achète et que l’HISTOIRE n’a aucun sens, pourquoi ne pas acheter un peuple et des dirigeants pour remplacer les algériens et ceux qui les dirigent et ne plus se casser les……………………………….. pieds avec ces histoires de langues qui n’en finissent pas?

        Amcum
        9 juillet 2017 - 18 h 25 min

        Merci pour ton commentaire,
        Pour ma part, je n’ai pas honte de mon pays, ni de son peuple ni de ses dirigeants ! Par contre je sais que nous avons des choses à améliorer des acquis à préserver et un long chemin d’édification et de consolidation à faire. Je suis et je reste confiant.

      Anonyme
      10 juillet 2017 - 0 h 05 min

      Les pays arabes et africains ,anglophones, ne sont pas à ma connaissance plus développés que ce que vous pensez.
      Déjà avec l arabisation forcée,le niveau scolaire et culturel en Algerie a chuté ,vous voulez maintenant tout changer pour de l anglais……et pourquoi pas chinois puisque c est la prochaine puissance mondiale????
      la colonisation arabe n a pas fini de nous couler….

        Akli Boughzer
        10 juillet 2017 - 8 h 02 min

        En somme tu es satisfait de cette gouvernance au rabais et tu voudrais que ça continue.Tu fais partie de « l’élite »,si tu vois ce que je veux dire.Quand à tout ce gâchis,ce gaspillage et tous ces laissés pour compte ça te laisse froid du moment que toi tu as réussi à te faufiler.J’espère que ta conscience te laissera tranquille.

    Ghani
    9 juillet 2017 - 13 h 45 min

    C’est le moins qu’on puisse dire, d’autant plus qu’aucune étude scientifique de terrain n’a eu lieu avant de prendre une décision, aussi aléatoire et contreproductive, compte tenu de la palette linguistique prévalant dans la société globale.
    Si la citoyenneté existait dans le pays, de tels comportements opportunistes cesseraient. Hélas, on en est loin. Sachons que la pratique d’une langue ne relève pas seulement d’un outil de communication, mais d’une composante fondamentale de la personnalité de base de tout individu. Bien que celui-ci l’ignore le plus souvent!

      Amcum
      9 juillet 2017 - 18 h 34 min

      Monsieur Ghani, d quelle étude scientifique vous nous parlez ici. Ce n’est pas de la science nucléaire (3ilm elghoubar). C’est comme passer d’une version à une autre. Le travail technique des logiciels se fait en mode CODAGE (binaire) qui est le langage des machines.
      Les USA envoie une navette de plus 40m de longueur durant 2 ans dans l’espace. Ils parlent avec cette navette avec un langage machine.
      Le seul travail technique à faire c’est de s’assurer que le personnel maitrise la langue arabe et les quelques termes techniques à introduire ….

      Akli Boughzer
      10 juillet 2017 - 8 h 07 min

      Réponse à @amcum et non à @Anonyme
      En somme tu es satisfait de cette gouvernance au rabais et tu voudrais que ça continue.Tu fais partie de « l’élite »,si tu vois ce que je veux dire.Quand à tout ce gâchis,ce gaspillage et tous ces laissés pour compte ça te laisse froid du moment que toi tu as réussi à te faufiler.J’espère que ta conscience te laissera tranquille.Amcum,tu portes bien ton pseudo.

    mhd dz
    9 juillet 2017 - 9 h 39 min

    Cette même feraoun à déclarer devant le peuple sur el chourouk qu,en cas d,échec de sa part elle quitterais son poste sans se retourner et au jour d,aujourd’hui elle est encore la…encore une qui veut garder le koursi quitte à enfoncer le secteur encore un peu +.

    Abou Stroff
    9 juillet 2017 - 9 h 21 min

    « Feraoun démagogue » titre R. M.. je pense, avec la perspicacité dont j’ai toujours fait preuve (admirez la modestie qui m’étouffe), que feraoun montre, avec beaucoup de panache, que l’onanisme n’est pas une pratique exclusive de nos augustes dirigeants mais fait partie intégrante de l' »activité » de nos augustes dirigeantes. moralité de l’histoire: il faut, à tout prix, divertir la plèbe pour que cette dernière oublie de poser les questions qui fâchent.

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