Contribution – Simone Veil : un faucon sous le masque de colombe

Veil, colonisation, sionisme
Simone Veil. D. R.

Par Youcef Benzatat – Après la Seconde Guerre mondiale, où elle fut épargnée après sa déportation à Auschwitz, Simone Veil s’engage dans une carrière de magistrate en France pour ensuite finir dans une carrière politique prolifique, qui la consacrera plusieurs fois ministre, présidente du Parlement européen et, enfin, elle finit sa carrière au Conseil constitutionnel de 1998 à 2007 où elle prendra définitivement sa retraite.

On retient d’elle, en tant que militante pour les droits des femmes, l’adoption en 1975 de la loi qui porte son nom, qui dépénalise l’interruption volontaire de grossesse. C’est à ce moment que le mythe Simone Veil est né. Alimenté par cette image d’une fragile colombe, rescapée miraculeusement des camps de la mort nazis et courageuse militante pour les droits des femmes, allant jusqu’à imposer à une assemblée d’hommes, dont la majorité sont des conservateurs, cette loi antipénalisation de l’IVG.

Cette image publique et surmédiatisée sera élevée à la limite de la canonisation où il est inimaginable de lui trouver quoi que ce soit à lui reprocher. Mais derrière le masque de cette fragile colombe se dissimule en vérité un véritable faucon, agissant dans un premier temps au profit de la stratégie de De Gaule dans sa gestion de la fin de la guerre d’Algérie, à partir de 1959, pour ensuite se retourner vers un soutien permanent à Israël et au sionisme dans son entreprise colonialiste de la Palestine.

C’est en rejoignant en 1959 le gouvernement du général de Gaulle, sous les ordres du ministre de la Justice, Edmond Michelet, nommé à la même date, dans la fonction de directrice de l’administration pénitentiaire de ce ministère qu’elle va jouer son premier rôle de faucon dans une mission insoupçonnée au profit du projet de dénouement de la guerre d’Algérie voulu par De Gaule. Elle fut chargée à cette occasion de gérer la relation avec les prisonniers FLN détenus aussi bien en France que sur le sol algérien pour conforter la stratégie de De Gaule dans des négociations avec une partie algérienne qu’il voulait rallier à sa cause.

A cette date, De Gaule était convaincu que rien ne serait plus comme avant dans la façon dont la colonisation de l’Algérie était menée jusque-là. Tout en projetant de garder l’Algérie française, il prévoyait des concessions hautement significatives, qui pourraient rallier à sa cause la partie modérée du FLN/ALN et éradiquer les plus radicaux parmi les indépendantistes. Il opta dès lors pour une stratégie dans laquelle il soufflait le chaud et le froid. La guerre s’intensifia sur le terrain, et du napalm fut même utilisé pour déloger les combattants de la Révolution, qui sont encore terrés dans les maquis. En parallèle, il va doter les SAS d’un décret, le 2 septembre 1959, pour renforcer leur mission psychologique de masse et espérer rallier les populations civiles à sa stratégie.

En même temps, il engagea des négociations tous azimuts pour rallier le plus grand nombre parmi les membres du FLN à sa cause. C’est à ce moment-là que Simone Veil entre en action et se porte volontaire à souffler le chaud sur les prisonniers FLN détenus dans les prisons françaises et algériennes, en assouplissant leurs conditions de détention. Elle va jusqu’à suspendre des exécutions de condamnés à mort. Elle sera soutenue publiquement, via les relais médiatiques, par son ministre de tutelle qui participe de la même stratégie à ses côtés contre le Premier ministre, Michel Debré, pour mettre une pression supplémentaire sur les détenus FLN, pour ne pas leur donner l’impression d’une quelconque abdication des autorités françaises face à la Révolution.

Après 1962, l’image de la colombe n’en sort que renforcée par cette épreuve, y compris chez les anciens détenus du FLN qui sont restés figés à l’image reflétée par le masque de la colombe. Vénérée à ce jour en tant qu’amie de l’Algérie et assimilée aux véritables militants pour l’indépendance de l’Algérie, tels que Jean-Paul Sartre, Pierre Vidal-Naquet, Jean-Jacques Servan Schreiber, Françoise Giroud, Jean Daniel, Michel Rocard, Laurent Schwartz «et tant d’autres militants anticolonialistes français qui rejoignaient la lutte pour l’indépendance et la liberté du peuple algérien». Dire cela aujourd’hui, c’est dire la vérité devant l’histoire, sans concession aucune, afin que la dignité du peuple algérien soit préservée intégralement devant cette page douloureuse de son histoire.

La guerre d’Algérie terminée, elle endosse sitôt l’autre masque de faucon israélien, pour un soutien permanent au sionisme dans son entreprise colonialiste de la Palestine. Une information publiée sur le site Internet de la Chambre de commerce France Israël (CCFI) indique qu’un accord secret a été signé entre la France et l’Etat sioniste d’Israël qui avait pour objectif de donner des organes de citoyens français à des malades israéliens. Un accord incompréhensible, sachant que pour recevoir un organe en France il faut patienter de longues années sur des listes d’attente interminables. Si cet accord a été tenu secret, c’est certainement pour son caractère scandaleux. C’est lors de son passage au ministère de la Santé, après la guerre israélo-arabe de 1973, qu’elle avait signé cet accord franco-israélien de dons d’organes, au moment où Israël manquait cruellement de donneurs. Cet accord qui fut appliqué avec une très grande discrétion aura permis à de nombreux Israéliens de rester en vie au détriment de citoyens français qui n’ont pas pu survivre du fait de la liste d’attente qui était exagérément longue.

Plus proche de nous fut cette déclaration insidieuse à l’ONU, le 29 janvier 2007, dans laquelle elle reprend à son compte toute la stratégie de victimisation de l’Etat colonialiste d’Israël lorsqu’il s’adresse à la communauté internationale : «La création d’un Etat palestinien aux côtés d’un Etat d’Israël, chacun vivant en paix dans ses frontières, au terme d’une négociation, devrait mettre fin aux campagnes menées contre l’existence d’Israël.» Cette déclaration se veut un écho à celles de Benjamin Netanyahu et de tous ceux qui l’ont précédé pour justifier les violences quotidiennes contre la population civile palestinienne dont les bombardements au phosphore, les assassinats arbitraires d’enfants au quotidien et l’extension illimitée de la colonisation des terres palestiniennes dont elle ne dit mot. Il s’agit pour elle de «mettre fin aux campagnes menées contre l’existence d’Israël» et non de celles menées contre la Palestine, y compris par les monarchies arabes elles-mêmes, qui ont définitivement abandonné la question palestinienne ! Quant aux frontières, elle ne donne aucune précision sur leur tracé, ce qui nous renseigne sur sa conception des négociations qu’elle appelle de ses vœux où il est hors de question de revenir aux frontières de 1967 et Jérusalem capitale de la Palestine.

C’est tout simplement la rhétorique sioniste qui inonde les médias complices pour justifier le projet sioniste du grand Israël dans lequel la Palestine en tant qu’Etat souverain doit disparaître. Une rhétorique qui doit qualifier tout discours critique envers la colonisation de la Palestine comme un discours antisémite, récemment adopté par le Parlement européen dont elle garde toujours des attaches depuis son passage en 1979 en tant que présidente de cette institution.

C’est cette même rhétorique qui est déployée par les médias complices des colonialistes israéliens et qui est reprise telle quelle par Simone Veil. En réalité, de qui Israël a-t-il vraiment peur ? Qui peut le menacer concrètement ? Alors que ses soutiens militaires sont les maîtres du monde ! D’abord, l’OTAN et, surtout, les Etats-Unis ! Que peut le Hezbollah ou le Hamas ou même l’Iran devant une puissance nucléaire qui est soutenue par les armées les plus puissantes du monde ? Simone Veil n’a jamais soutenu, ni même évoqué dans ses déclarations ces juifs israéliens, véritablement et sincèrement anticolonialistes, qui manifestent à longueur d’année à Tel-Aviv ou à New York York, ces authentiques juifs qui vivaient côte à côte avec les Palestiniens depuis des millénaires et qui veulent réellement un Etat pour les Palestiniens ! L’un d’entre eux, le plus grand musicien contemporain, ce grand M. Daniel Barenboïm, initiateur du rêve israélo-arabe, fut jeté brutalement de la tribune où il prononçait un discours critique du sionisme, à l’occasion d’une invitation à Israël pour recevoir un prix de consécration, croyant l’attirer vers leur idéologie colonialiste comme ils ont réussi à le faire avec Simone Veil et beaucoup d’autres, y compris des Algériens comme Boualem Sansal, Ferhat Mehenni, Merzak Allouache, etc., parmi lesquels des contributeurs à la propagande de l’image de colombe du faucon Simone Veil.

Y. B.

Comment (77)

    Reda
    25 octobre 2018 - 17 h 58 min

    Les sionistes , maître de l’imposture mais qui finissent souvent par être démasquer .

    Krimo
    16 juillet 2017 - 20 h 07 min

    Benzatat,

    En réponse à votre post du 16 juillet 2017 – 10 h 58 min

    Désolé, j’ai fait l’effort de vous lire mais à votre soliloque, je n’en retiens que de la confusion, par contre ceci transparaît ««Ah non ce n’est pas comme ça qu’il faut voir les choses …….»

    Je vous soumets un cas d’une personne qui figure dans la short-list des amis de l’Algerie, que vous reproduisez dans votre article que j’oppose a Veil.

    1. Simone Veil 45 ans après l’indépendance d’Algérie, je vous cite : [ … Plus proche de nous fut cette déclaration insidieuse à l’ONU, le 29 janvier 2007, dans laquelle elle reprend à son compte toute la stratégie de victimisation de l’Etat colonialiste d’Israël lorsqu’il s’adresse à la communauté internationale «La création d’un Etat palestinien aux côtés d’un Etat d’Israël, chacun vivant en paix dans ses frontières, au terme d’une négociation, devrait mettre fin aux campagnes menées contre l’existence d’Israël.» …]

    2. 40 ans plus tard (comprendre après 1962) voici ce que dit une personne «grande amie de l’Algerie» qui figure sur votre liste et sur le même sujet
    «Mais ce concours macabre qu’Israéliens et Palestiniens semblent faire sur le nombre de morts enterrés chaque jour, les Palestiniens sont en train de le gagner, ils tuent davantage, ils tuent énormément de civils israéliens, 400 depuis le début de la seconde Intifada dans les rues, les autobus, les cafés, les lieux où la jeunesse danse, preuve que la stratégie antiterroriste d’Ariel Sharon est une impasse. A la guerre, on pardonne aux généraux de faire des victoires avec des morts, pas des défaites. ……… Mais à Paris, les personnes de bon goût ne comptent que les morts palestiniens. Quand on arrive aux autres, on ne sait plus compter. D’ailleurs, ce sont des goujats… Les fils d’un peuple supplicié devraient savoir se tenir à table, je veux dire à la guerre, et prendre les coups sans les rendre, c’est à peu près ce qu’ici et là on entend et on lit. Prendre les coups sans les rendre paraît néanmoins une conduite sur laquelle on ne doit plus pouvoir compter de la part des juifs, en aucune circonstance. En revanche, au lieu de montrer aujourd’hui – vainement – leur force, on voudrait les adjurer de montrer leur intelligence, et leur si longue sagesse. « Choisis la vie », dit le message de Moïse. »

    Sauriez-vous qui c’estɁ A votre sagacité, s’il en est, de faire le reste

    A vous suivre je dirais : plus faucon que cela tu meurs

      youcef Benzatat
      16 juillet 2017 - 22 h 32 min

      En ce qui me concerne, lorsque j’aborde un texte que je trouve confus, j’abandonne et je passe à autre chose, je ne m’acharne pas sur son auteur comme un pervers ! Plus claire que ça, je ne vois pas ce que je pourrai vous répondre, je ne peut rien de plus pour vous monsieur !

    muhand
    15 juillet 2017 - 10 h 50 min

    En vous lisant ya si Benzatat j’ai de la pitié pour vous. Vous êtes vraiment un malade et incurable. Le défunt Matoub avait dit que le greffon ne veut pas prendre, entendez par là que le mélange entre arabes et autochtones ne prendra jamais. Vous êtes dans une illusion en pensant que le peuple algerien est métissé. Non la population est diverse mais pas mélangée . Les arabes ne sont pas miscibles avec les amazighs. Tout nous différencie y compris les gènes. On ne partage rien avec ces nomades errants dont vous faites partie, pas même la religion, religion musulmane que vous essayez de salir par votre comportement et vos pratiques. Les amazighs que nous sommes sont fiers de notre passé, humains nous le sommes, hospitaliers nous le sommes, ouverts à d’autres nous le sommes, la soumission nous révolte voilà pourquoi aucun colonisateur n’a réussi à nous imposer sa vision. Combien de chiens errants ont tenté de nous faire
    peur en aboyant à tue tête, nous continuons notre chemin en ne prêtant même pas attention à la meute. Vos
    protecteurs au pouvoir ont depuis toujours tenté d’effacer l’histoire de mon pays, de nous imposer une
    langue qui n’est pas la notre, peine perdue, la grandeur du peuple Amazigh à toujours su se protéger. Hier le
    colon français à voulu faire de nous des gaulois, n’est ce pas que vos protecteurs avaient accepté
    contrairement à nous qui avons pris les armes ? Hier encore alors que guerre faisait rage dans les
    montagnes de Kabylie vous vous posiez la question  » qu’ont ils ces Zeouaoua avec les français ? » Si vous
    vous sentez insulté il faut juste comprendre que pour répondre à vos insanités je suis obligé de vous
    chercher dans les égouts où vous patauger. La différence entre moi et vous Mr Benzatat est que moi, même
    si je suis un fervent opposant aux gueux qui nous gouvernent, je ne laisserai jamais des non algériens
    insulter nos gueux contrairement à vous qui j’en suis sûr, restez par lâcheté et peut être par peur, silencieux.
    Hier vous étiez traître, aujourd’hui vous l’êtes, demain vous le resterez, c’est ainsi que vous êtes fait. Comme je l’ai dit plus haut, vous me faites pitié.

      Benzatat youcef
      15 juillet 2017 - 11 h 01 min

      Vous êtes encore là le zombie des crêtes !
      Je vous croyais parti consulter à cette heure-ci ?!

        muhand
        15 juillet 2017 - 11 h 40 min

        C’est l’hôpital qui se fout de la charité? Votre cas serait un bon sujet de recherche ya si Benzatat. Je dirais même que celui qui expliquera le mal qui vous ronge aura une forte chance d’avoir le Nobel de médecine. Franchement vous me faites de la peine. Si je peux vous aider pour que vous retrouviez un peu de sérénité je le ferais, je suis humain et les humains qui souffrent me font de la peine . Faites moi signe.

          youcef Benzatat
          15 juillet 2017 - 11 h 44 min

          A votre stade il vous faudra d’urgence la camisole et l’injection, et encore ! à ce que je vois? votre cas est vraiment désespéré…

    salim samai
    15 juillet 2017 - 10 h 25 min

    Pourquoi encore la GUERRE, ces commentaires et ces insultes! On peut avoir des opiniosn differentes et se respecter!
    L´insulte ne fait pas l´Histoire! « Que celui qui n´a jamais peche…. » Il n´y a ni Ange ni Satan!
    C´est toujours un Mixed Bag de l´un et l´autre! Malheureux, c´est la nature humaine et Dieu le savait!
    Ce sont les Politicards et les Apprentis-Chouyoukh qui tendent seulement á diaboliser ou á angeliser!

      muhand
      15 juillet 2017 - 16 h 41 min

      Je vous rassure Mr Benzatat j’ai le sang de Massinissa qui coule dans mes veines et pour que vous sachiez, ce grand Aguelid a vécu près de 100 ans et a eu son dernier enfant à 96 ans, c’est vous dire que nous sommes taillés dans le roc et nourris à l’huile d’olive. Lisez Ibn Khaldoun vous saurez qui vous êtes et comment vous vous comportez.

    youcef Benzatat
    15 juillet 2017 - 2 h 11 min

    Dr Knock ! Il ne vous reste qu’a allez consulter, votre folie risque de vous embarquer dans des aventures dangereuses, comme celle que le zombie de la meute nous brandit sur cet espace, à menacer de prendre les armes contre les arabes de la plaine à partir des collines oubliées. Vous vous voyez déjà en héros, je suppose, à la tête d’une katiba en campagne où vous serez l’adjudant-chef, avec comme soldats : le putois, Mello, Krimo et le zombie en éclaireur. Mais contrairement à Hitler, où presque toute la population aryenne de la Bavière était kabyle, vos soutiens à vous se réduirons comme une peau de chagrin et il vous arrivera exactement ce qui est arrivé à Coluche à deux heures moins le quart avant le Christ. Car les Algériens, généralement, ne sont ni arabes, ni Amazighs et sont un mélange très riche de peuples venus de toutes parts et qui se sont métissés avec les autochtones et trouverons insultant que vous les dépouiller de leur richesse pour leur imposer votre fantasme de la pureté ethnique et se retournerons contre vous. Les amis de Simone ne vous seront d’aucune utilité à ce moment-là, gardez-vous de cette illusion. Essuyez votre bave et cessez de brailler, et prenez RDV dès maintenant. Vos amis du matin dz étaient par centaines à vouloir détourner mes écrits, je n’ai décidé de le quitter que lorsque Benchicou a cédé son canard aux porte-voix de la bataille pour laquelle tu es engagé. Vous pourriez être des milliers, mon efficacité vous neutralisera à chaque tentative. Observez-vous depuis un certain temps sur AP, mes écrits vous empêchent de dormir et de vivre en sérénité, sinon vous ne viendrez pas en meute à dénigrer. Parfois il suffit d’une seule plume pour confondre mille milles de Knock et beaucoup de putois, de Mello, de zombies et de krimo. Vous êtes à présent lessivés, il ne vous reste plus que les insultes et toute sorte de vulgarité comme arguments, jusqu’à la menace. C’est pour cela qu’il est urgent de consulter avant qu’il ne soit trop tard !

      Dr Knock
      15 juillet 2017 - 9 h 59 min

      Sauvé par le gong, n’est-ce pas? Vous êtes K.O je ne frappe pas un homme par terre! Adios!
      Prêchez maintenant à vos bigots!

        Benzatat youcef
        15 juillet 2017 - 10 h 58 min

        Mesquine !!

      Krimo
      15 juillet 2017 - 11 h 14 min

      Benzatat

      « Il suffit d’une plume …….  » !!!!! Comme vous avez raison pour une fois, mais y a un hic ya si Benzatat, la plume il faut la tremper (pas tromper) dans l’encre et surtout pas dans le fiel.

      Ceux qui s’erigent contre vos ecrits le font d’abord pour votre bonne conscience et surtout pour l’ethique que vous bafouez. Je ne vais pas me lamenter sur votre sort puisque vous assumez votre posture victimaire agrementee d’un chouia de forfanterie. Joli apanage pour cultiver le paradoxe.

      Si la meute comme vous dites, vous aurait mis en peine, c’est parce que raison et non reson(ance).

      Dans ce pays devenu Cour des miracles, il est loisible de tartiner sa culture a satiete et toutes les elucubrations sont permises. Rouh ya Malek Bennabi, Rouh ya Mostepha Lacheraf, que dire de Mammeri, Issiakhem, Kateb Yacine, Mohamed Dib et beaucoup d’autres illustres plus jeunes ou plus vieux qui ont laisse la culture algerienne aux mains …….

      Pour menager le moral l’ecoute de » sobhane allah ya ltif » d’El Anka s’impose

        youcef Benzatat
        15 juillet 2017 - 11 h 54 min

        Vous vous évertuez à citer de grands noms, mais vous êtes incapable de démontrer que vous avez bien compris le propos de l’article et d’avancer le moindre argument contradictoire qui puisse faire débat ! Vous réagissez par une pulsion de contrariété par quelque chose qui n’est aucunement en rapport à l’article lui-même et ceci explique l’invective, l’insulte, l’expression désespérée de la haine qui vous anime envers mon opinion sur les séparatistes berbéristes en enrobant tout cela par des assertions absurdes que vous me prêtez ! Taisez-vous monsieur et mettez-vous à lire cela vous fera beaucoup de bien j’en suis certain.

          Krimo
          15 juillet 2017 - 23 h 29 min

          Benzatat,

          Vous élevez l’outrecuidance au rang 8 de l’Art. Apparemment vous lire, devrait vous situer au rang d’auteur universellement admis et reconnu par la complexité d’un style et d’écriture ou fond et forme tanguent d’un bord à un autre. Vous citer des noms connus et reconnus en la matière risquerait de vous bruler quelques neurones ……… alors qu’il y a en a si peu (de neurones).

          Ya si Benzatat «ritti zouaylek ou chad l’ardh» votre article se résume au seul titre «Simone Veil : un faucon sous le masque de colombe». Dès les premières lignes de votre article vous mettez en exergue votre nationalisme mal place et vous passez a la vindicte, sur un air «maaza oulaou taret» et de par votre prétention c’est le «habhabisme » qui prend le pas, tout en ignorant que : vous insultez l’intelligence.

          A l’instar de votre article et a votre manière de porter le jugement dénué de toute valeur, je vous donne un exemple : vous dites que Jean Jacques Servan Schreiber était un ami de l’Algérie et pourtant, juif de son etat il était aussi lieutenant au sein de l’armée française durant la guerre d’Algérie. J’aiguise mon nationalisme a tout va sur le mode Benzatat en vous suivant dans votre turpitude ….. et sur ce simple fait je l’aligne sur Le Pen père. Pas besoin, votre réponse je vous la donne «Ah non c’est pas comme ça qu’il faut voir les choses …….» La j’oserai en vous disant : tiens un soupçon de raison vous rattrape.

          Ubu rougirait devant vous.

          youcef Benzatat
          16 juillet 2017 - 10 h 58 min

          Votre commentaire est toujours vide comme les précédents, excepté l’objection suivante : « A l’instar de votre article et à votre manière de porter le jugement dénué de toute valeur, je vous donne un exemple : vous dites que Jean Jacques Servan Schreiber était un ami de l’Algérie et pourtant, juif de son état il était aussi lieutenant au sein de l’armée française durant la guerre d’Algérie » ! Par votre mauvaise foi et votre déconnection du débat en Algérie, vous ne pouvez comprendre cette assertion qui est en fait une citation insinuée en réponse à un article paru sur un quotidien algérien « Hommage d’un ancien prisonnier politique FLN à Madame Simone Veil », qui lui-même est une réponse à mon précédent article, intitulé (« l’indigène » Boudiaf à l’ombre de « madame » Simone Veil). Voici la citation complète approprié : « Après 1962, l’image de la colombe n’en sort que renforcée par cette épreuve, y compris chez les anciens détenus du FLN qui sont restés figés à l’image reflétée par le masque de la colombe. Vénérée à ce jour en tant qu’amie de l’Algérie et assimilée aux véritables militants pour l’indépendance de l’Algérie, tels que Jean-Paul Sartre, Pierre Vidal-Naquet, Jean-Jacques Servan Schreiber, Françoise Giroud, Jean Daniel, Michel Rocard, Laurent Schwartz «et tant d’autres militants anticolonialistes français qui rejoignaient la lutte pour l’indépendance et la liberté du peuple algérien ». Dire cela aujourd’hui, c’est dire la vérité devant l’histoire, sans concession aucune, afin que la dignité du peuple algérien soit préservée intégralement devant cette page douloureuse de son histoire. » et voici la citation extraite du texte d’origine : « C’est ainsi que, à l’écoute de nos avocats en lutte, elle prenait avec la plus grande modestie une part invisible pour le grand public, dans la lutte des intellectuels, des journalistes, des scientifiques, comme Jean-Paul Sartre, Pierre Vidal-Naquet, Jean-Jacques Servan Schreiber, Françoise Giroud, Jean Daniel, Michel Rocard, Laurent Schwartz et tant d’autres militants anticolonialistes français qui rejoignaient la lutte pour l’indépendance et la liberté du peuple algérien. Ils ont sauvé l’honneur de la France et de la République pendant la Guerre d’Indépendance et rendu possible l’espoir d’un rapprochement futur des peuples algérien et français. »
          Je garde cependant du respect pour ce journal, car il produit du débat sans animosité comme vous le faites ! Il était de son droit de me répondre et je suis également en droit de répondre à sa réponse. Voilà l’éducation qui vous manque, faire débat en s’élevant réciproquement et non pas de déformer les propos de quelqu’un avec comme seul argument la bestialité, parce que mon propos contredit votre attitude à vouloir vous faire ami d’Israël par tous les moyens, pour vous aider à obtenir l’indépendance de la Kabylie ! A ce propos, la Kabylie c’est mon pays, ma patrie et je l’a défendrai avec toute la force de mon « Nationalisme » comme vous dites, et je suis en droit de m’attaquer à tous ceux qui ont des intentions malveillantes contre elle. Vous êtes malhonnête de plus, parce que vous me prêtez de l’aversion pour les Juifs alors que dans l’article c’est plutôt l’inverse qui transparait, en rendant hommage à tous ces juifs qui militent pour deux Etats indépendants ! Alors je vous conseille de prendre soin de lire ces trois articles cités, qui font débat autour de beaucoup de questions et faites-vous une opinion digne de quelqu’un qui prend la parole en public au lieu de venir déverser sur nous votre haine et votre bestialité !

    Abumazen
    14 juillet 2017 - 22 h 18 min

    Il s’appelle maksen et en France se fait appeler Michel
    Bouffeur de cochons

    Abumazen
    14 juillet 2017 - 22 h 16 min

    Vive houari boumedienne

    Abumazen
    14 juillet 2017 - 22 h 13 min

    L’Algérie est UN UNIS INDIVISIBLE
    Que vous le vouliez ou non

    youcef Benzatat
    14 juillet 2017 - 21 h 29 min

    Personne n’est en droit d’interdire à quiconque d’aller ou il veut, mais il est permis de traiter de complicité de crime quiconque se rend dans un lieu où un crime abominable s’y déroule sans le dénoncer, c’est écrit juste sur le commentaire au dessus ! Vous n’avez pas honte de fabuler et mentir !

    youcef Benzatat
    14 juillet 2017 - 20 h 48 min

    On n’entend plus que vous comme d’habitude, comme sur le Matin dz, vous êtes toujours là en meute, vous croyez peut-être m’intimider et me faire peur pour que je cesse de sensibiliser nos citoyens sur le danger que vous représentez sur la paix civile dans mon pays avec votre idéologie séparatiste, haineuse et raciste, fausse route, je vous combattrai jusqu’à votre éradication…

      youcef Benzatat
      14 juillet 2017 - 21 h 25 min

      Je suis persuadé que si vous alliez vous cultiver un petit chouia cela va certainement contribuer à l’inhibition de votre bestialité !
      Pour votre information, le mot Kabyle est un mot façonné au cours de circonstances de hazard et qui n’a aucun fondement ethymologique. Les arabes appelaient tous les habitants d’Algérie des hautes montagnes, là ou ils ne pouvaient pas accéder, par le mot « kabails » « tribus », ce sont en effet les français qui lui ont donné le nom kabyle et kabylie. C’est dire que toute l’humanité sont des kabyles depuis l’ancien monde. De quoi êtes vous fièrs ? De votre ignorance, de votre esprit grégaire, de votre cloisonnement sur vous mêmes, enfin tous les ingrédients qui constituent le nid du fascisme ! Tout ca c’est la faute au pouvoir qui vous a mal élevé et vous a maintenu dans l’ignorance…Pour en fabriquer les monstres que vous êtes devenus aujourd’hui.

        MELLO
        14 juillet 2017 - 22 h 07 min

        Vous devez donc connaitre ces fameux bureaux arabes. Les bureaux arabes sont des structures administratives mises en place par la France après la conquête de l’Algérie en 1830. Créés en 1844, leur but est le renseignement et la définition d’une politique indigène. Contrairement aux arabes qui définissent les kabyles comme tels, les Français connaissent mal le pays qu’ils occupent et ses habitants. Leurs connaissances de la langue, la religion, la culture sont très pauvres alors qu’ils doivent vivre au quotidien avec la population. Ainsi naît l’idée de bureaux arabes qui permettraient d’établir un contact entre les autorités françaises et la population indigène. En 1844, l’organisation des Bureaux Arabes est définie par un arrêté ministériel. Dorénavant ceux-ci sont un lien entre l’autorité militaire française et les indigènes. À tous les niveaux, ces bureaux sont subordonnés à l’autorité militaire. En 1870, il existe près de 50 bureaux avec un secrétaire arabe (« khodja »). Dans tous les bureaux arabes, de 150 à 200 officiers jouent le rôle de juges et de percepteurs des impôts. Beaucoup d’entre eux considèrent qu’ils ont une mission civilisatrice et que leur but est d’apporter le progrès et l’émancipation aux indigènes. L’administration française, à travers ses « bureaux arabes », procède à l’arabisation des noms de famille et de lieu. C’est ainsi que, par exemple, Iwadiyen devient les Ouadhias, Aït Zmenzer est transformé en Beni Zmenzer ou encore Aït Yahia en Ould Yahia. Après la révolte des Mokrani, ces actions, d’après l’analyse d’Alain Mahé, prennent le caractère d’une politique de destruction de l’identité kabyle : pour casser la cohésion de la société villageoise, la généralisation de l’état civil donne lieu à l’attribution de noms arbitraires et différents aux membres d’une même famille. Bonne lecture

    youcef Benzatat
    14 juillet 2017 - 19 h 05 min

    Votre intolerance, votre haine et votre violence rappelle curieusement l’avant 1990, c’est triste, mais malheureusement cela me semble inévitable et beaucoup d’observateurs sont du même avis que moi, des comportements tels que le votre nous menerons droit vers une autre guerres civile ou l’armée vous éradiquera comme elle la fait avec les islamistes. A CE MOMENT ISRAEL NE VOUS SERA D’AUCUNE UTILITE…

    Benzatat youcef
    14 juillet 2017 - 15 h 19 min

    J’ai compris que vous venez du matin dz ou je pubie mes écris que j’ai délaissé lorsqu’il est devenu raciste et haineux et vitrine privilégiée du MAK, vous voulez quoi exactement alors si c’est pas le cas. Vous êtes un raciste, haineux et impropre, pervers et à la limite de la psychose paranoïaque ! Rouh tel’eb m’a entegek y’a ouled, comme on dit dans ma région qui est ouverte à tout venant…

    youcef Benzatat
    14 juillet 2017 - 14 h 05 min

    Personne n’est en droit d’interdire à quiconque d’aller ou il veut, mais il est permis de traiter de complicité de crime quiconque se rend dans un lieu où un crime abominable s’y déroule sans le dénoncer, voilà pour votre tentative hypocrite de vous racheter de votre obsession abominable de venir à chaque fois déverser votre haine sur mes articles parce que je dénonce votre racisme haineux à vouloir séparer ethniquement les Algériens avec votre MAK néofasciste…

    youcef Benzatat
    14 juillet 2017 - 13 h 15 min

    AVIS A NOS AMIS QUI VIENNENT AU DEBAT SUR CE FORUM
    Il y a sur ce forum 3 pseudos, le putois, Dr Knock et Mello, rejoints récemment par un zombie, sous le pseudo de Muhand, qui viennent systématiquement s’opposer à mes opinions, à chaque fois que je publie un article, quelques soit le sujet ou l’angle ainsi que la grille d’analyse par lequel je l’aborde, sans proposer de débat, ni arguments, mais seulement de l’invective, des grossièretés, des affirmations mensongères, des détournements de mes propos, etc. Ces pseudos sont connus pour leur militantisme pour l’indépendance de la Kabylie, pour la séparation ethnique des Algériens, en somme pour un Etat raciste et haineux qui manifeste tous les symptômes du néofascisme. Ceci pour trois d’entre eux, quant au 4e, Mello, c’est un régionaliste kabyle, solidaire avec ses comparses, mais jusque-là, il se tient à un régionalisme qui revendique les mêmes conditions que les 3 autres, avec l’indépendance en moins. Il suffit d’aller faire un tour sur les archives d’AP pour le vérifier. Laissant les aboyer…et brailler à tue-tête s’il le faudra, comme les jeunesses hitlériennes entre les deux guerres, pour la pureté de leur race aryenne. Heureusement, que ces voyous ne représentent qu’une minorité de kabyles égarés, car ce peuple est très grand par son histoire pour se laisser souiller par de tels pervers, qui polluent l’environnement partout où ils passent…

      youcef Benzatat
      14 juillet 2017 - 21 h 03 min

      Rien de nouveau a ce que je sache, jusqu’à là on a pas entendu autre chose sortir de votre bouche que ce que vous venez de déverser explicitement.

    youcef Benzatat
    14 juillet 2017 - 10 h 29 min

    Je l’ai dis dans l’article, abruti, du peu que vous prenez le temps de le lire, au lieu de vous attaquer aveuglement a ceux qui s’opposent à votre projet séparatiste et raciste d’Etat kabyle. Vous voyez, sur ce forum il y en a beaucoup dans votre cas, mais j’ai décidé de ne plus y répondre, car leurs interventions ne sont que calamités, incivilités, grossièretés et provocations de tout genre.

      MELLO
      14 juillet 2017 - 18 h 44 min

      « L’indépendance n’est pas la fin en soi, mais seulement un moyen qui permettra la transformation de la situation de notre pays, qui passe de l’état de stagnation à celui d’un pays libéré, pleinement engagé dans la bataille de la reconstruction économique et de libération sociale », message au peuple algérien du président légitime du GPRA, Ben Youcef Ben Khedda, le 18 mars 1962. Bien évidemment, les intentions ne suffisent pas. Il faudrait aussi que les futurs dirigeants se soumettent à la volonté populaire. Pour le président Ben Khedda, la seule légitimité est celle qui sort des urnes. « Cet État sera démocratique. Il souscrira sans réserve à la Déclaration universelle des droits de l’homme et fondera ses institutions sur le principe démocratique et sur l’égalité des droits politiques entre tous les citoyens sans discrimination de race ou de religion », écrit-il. Qu’en est-il, 55 ans plus tard, du message de Ben Youcef Ben Khedda ? Il va de soi que sa teneur reste encore d’actualité. En effet, les défis de l’époque sont encore à relever. D’après le président Ben Khedda, « nous avons à édifier une société nouvelle qui reflétera le visage nouveau et jeune de l’Algérie libre, où chaque citoyen doit apporter sa contribution »En toute responsabilité, chaqu’un de nous aura à se prononcer sans incivilité ni provocation. N’est ce pas Mr Benzetat ?

    youcef Benzatat
    14 juillet 2017 - 10 h 12 min

    Malgré sa propre démission politique, Rachid Boudjedra à dit une vérité qui résume à elle seule les dégâts considérables que le système éducatif a causé aux générations poste indépendance, à peu près en ces termes : la mémoire et l’histoire qui leur ont été transmises sur la colonisation et sur la guerre d’indépendance ont anéanti toute forme de conscience blessée par 132 ans de cruauté et de barbarie de tout genre. L’ignorance aidant, on est devenus facilement maniables et succombons aveuglement aux mensonges que les médias et les discours sournois des uns et des autres nous inondent avec ! Depuis le premier jour de l’occupation, en 1832, des français, civils et militaires se sont opposés à la barbarie coloniale et n’avaient d’autre choix que de démissionner ou rentrer dans les rangs et cela à duré jusqu’à la veille de l’indépendance. Lorsque ceux-ci s’engageaient aux cotés des « indigènes », ils étaient combattus avec la même cruauté : torture et exécutions arbitraires. Comme par miracle, on nous présente l’image d’une Simone Veil qui a réussi à échapper à cette logique et a combattu la colonisation de l’intérieur même du pouvoir français, dans le gouvernement de De Gaule !! Voilà la puissance du mensonge des médias et des faiseurs d’opinions de l’apocalypse, des hommes politiques sournois et des historiens de service ! Le résultat est la continuation de la colonisation sous d’autres formes, en désarment les Algériens par la neutralisation de leur conscience blessée, afin qu’ils redeviennent aptes à l’asservissement et à la soumission. Mais il restera toujours des consciences en alerte pour déconstruire tous les mensonges et les propos sournois qui visent à nuire à la dignité et à la souveraineté du peuple algérien, à sa mémoire et à son histoire. J’entend assumer ma responsabilité de ce point de vue et je reste disponible au débat avec tout commentateur sur ce forum, du peu qu’il soit sincère et conséquent…

      MELLO
      19 juillet 2017 - 21 h 17 min

      Je me vois apparaître dans la réflexion de Mr BENZETAT. Certes apparaître , c’est être mais encore faudrait il que Monsieur BENZETAT me fasse apparaître sans me faire paraître.

    Brahim
    14 juillet 2017 - 7 h 59 min

    Vous savez, si cette dame n’avait donné d’elle même pour rendre l’IVG avant les 3 mois de grossesse possible et remboursable, on aurait eu une flambée de batard déséquilibrés et potentiels tueurs en série. Cette dame quoi que l’on dise a rendu service à la societé. Un enfant pour qu’il soit épanoui doit être désiré. Un enfant non désiré est un enfant malheureux.

    الهوارية في كندا
    14 juillet 2017 - 6 h 55 min

    Un an après l’arrivée de mes parents en France, ma sœur est née en 1971, Madame Simone Veil a adressé à ma mère un colis de 20 kg de vêtements de bébé filles couvertures, biberons et autres objets pour transporter l’enfant par le biais de la CPAM sécurité sociale.
    Mes parents étaient étonnés, le salaire de papa en 1970 était de 3000 Francs
    Par contre nos voisins Marocains qui ont eu aussi une petite fille quelques semaines avant n’ont rien reçu

    Kahina
    13 juillet 2017 - 22 h 21 min

    J’ai suivi un documentaire sur sa vie/son parcours. En deux mot: Elle a détruit l’âme européenne. Elle s’est bien vengée.
    La vengeance des « anges »??

    MELLO
    13 juillet 2017 - 21 h 26 min

    Monsieur BENZETAT voudrait d’un bûcher pour cette grande Dame. Cette Dame, comme tout être humain ne pouvait pas choisir sa religion , ni ses parents. Juive, elle est née, juive elle est morte. Mais sa vie , sa grande vie fut consacrée à des causes justes. Des témoignages ont donné d’elle une grande Dame qui s’est ralliée à la cause Algérienne durant la guerre de libération. Gisèle Halimi, avocate pendant la Guerre d’Algérie, disait d’elle: «Au ministère de la Justice, Simone Veil, une petite magistrate déléguée à l’époque, nous a aidés à faire transférer Djamila Boupacha car on voulait l’abattre, là-bas dans sa cellule, pour qu’elle ne parle pas. On l’a arrachée aux griffes de ses assassins.» . De plus, Simone Veil est envoyée visiter les prisons où sont enfermés les détenus algériens du FLN. «Je mentirais en disant que j’ai été accueillie à bras ouverts. Partout, j’ai été si mal reçue par les responsables que j’ai préféré rédiger moi-même mes rapports plutôt que de faire dactylographier par un agent local de la pénitentiaire», raconte-t-elle. Simone Veil se retrouve face à un problème concret. «Fallait-il maintenir dans les prisons algériennes les cinq ou six cents personnes condamnées à mort mais dont le Général avait suspendu l’exécution en 1958? Le bruit courait que des militaires extrémistes projetaient de pénétrer en force dans les prisons pour y « faire justice », comme on dit. Je pris cela très au sérieux.» Les prisonniers furent donc transférer en métropole «et les inquiétudes sur leur sort purent être levées».Simone Veil ne fut pas «porteur de valises» ou militante engagée dans le combat du peuple algérien. Simone Veil prend une part importante dans le sauvetage de prisonniers algériens. D’ailleurs du message du Président Bouteflika on retient ceci  » «Le peuple algérien a compté Simone Veil parmi les amis de ses justes causes. Il n’oublie pas aussi la proximité et la solidarité que cette grande dame lui a témoignées durant la terrible tragédie nationale qu’il a vécue», a souligné le président Bouteflika.

    Réda
    13 juillet 2017 - 20 h 56 min

    Bravo M. BENZATAT.
    Encore merci

    muhand
    13 juillet 2017 - 20 h 30 min

    Honte à vous Mr Benzatat. Cette grande dame restera grande par son parcours et sa droiture. Le ridicule ne tuant pas, vous osez citer l’immense Allouache, l’inénarrable Sensal et le maquisard Mehenni, comme étant des soutiens à Israël. Doucement sur le papier, vos écrits sont nauséabonds. Dans les pays qui se respectent vos propos vous auraient envoyé devant les tribunaux. Si vous osez ce tels inepties c’est parce que vous vous sentez protégé par ceux qui ont poussé à l’exil ceux que vous citez. Ravaler vos vomis Mr Benzatat.

    Rayés Al Bahriya
    13 juillet 2017 - 19 h 26 min

    Hitler et Himmler dans leur opération de la solution finale avaient créés les fours crematoirs pour procéder

    À l’épuration finale des minorités européennes avaient tant bien que mal réussis leur plan. Un plan à l’échelle

    Industrielle. .. le crime de masses de millions d’européens. ..biensure . L’horreur est humaine dit On. Mais c’est les aléas

    De toutes les guerres et du sens de l’histoire.

    Mais Simone Veil avait fait du réceptacle de la femme le lieu de la solution finale qui consiste à tuer dans l’oeuf ou l’antre

    De la femme le foetus vivant soit labominatuon . Des innocents non responsables de leur venues future au monde des

    humains qui trichent sur leur compte tout comme un banquier qui volerai les deniers publics.

    Ceci dit l’antre de la femme est érigé en tour de Babel de l’abomination dont les démons déchus Harout et Marout.

    Simone Veil a légalisé le crime de masse appelé aussi IVG .

    Les Camps de concentration avaient des chiffres sur le nombre de morts. …mais le plan IVG mondial ne donne aucun

    chiffre sur les le nombre de foetus tués dans l’antre des mères porteuses. ..VOILÀ encore l’autre deuxième viol des

    consciences humaines et des vies humaines occies. ..

    Terrible. ..deux monstres de la même pièce de la mort….HITLER VS VEIL.

    Eh oui … et ils saluent sa mémoire au même titre que le président Bouteflar. ..!!

    Dieu vous brûlera en enfer …

    Quand on pense. …!!!

    Point de vue
    13 juillet 2017 - 18 h 32 min

    Comment peut on écrire autant d’abominations, transformer les faits et accuser cette personne de tous les maux de la terre en particulier des problèmes des Palestiniens ??? Y.B. a oublié de donner un détail qui montre ce que les Français pensent de cette Dame !!! Mme Simone Veil sera inhumée au Panthéon à Paris !!! Oui Monsieur Y.B. et cela parce qu’une majorité de Français l’ont souhaité, pour honorer cette grande dame !!! Alors vos jugements et vos gémissements, vous devez deviner se que j’en pense !!! Mais au fait !!! Que faite vous, vous Y.B. concrètement, en Palestine, pour aider au règlement du conflit Israélo-palestinien ????

      USMS
      13 juillet 2017 - 18 h 54 min

      Cette « grande dame » ne doit sa grandeur et la place au panthéon que par le fait de faire partie de la minorité agissante en france et dans le monde, j’ai nommé les juifs, ya mon frère.

        Point de vue
        13 juillet 2017 - 21 h 35 min

        Donc d’après votre brillante réflexion, logiquement il y aurait 75 juifs inhumés au Panthéon à Paris !!!! Quand à dire que Mme Veil fait partie de la minorité agissante, pour moi c’est une évidence et c’est uniquement pour cela qu’elle est honorée, car elle a toujours agit et globalement bien agit dans sa vie!!!! Pour le reste de votre brillante réflexion, comme quoi il suffit d’être juif pour savoir agir brillamment dans la vie, je vous laisse juge de ce genre de propos assez surprenant. Car vous-même n’étant pas juif (moi non plus d’ailleurs), cela laisserait à supposer que vous faite partie de ceux qui subissent sans savoir agir !!!! Etonnante réflexion quand on sait que les juifs ne représentent que 14 millions de personnes dans le monde sur 7 milliards d’individus dont 1,6 milliards de musulmans !!!! Pour information en France il y a seulement 500000 juifs pour 66 millions de Français dont 5 millions de musulmans !!! Je serais tenté de dire que si votre réflexion est exacte, ils sont vraiment forts, ces juifs, ou les autres sont vraiment nuls !!!! Moi qui suis athée, je me pose sérieusement la question de ma conversion au judaïsme simplement pour faire partie de ceux qui savent agir brillamment dans la vie, et ainsi pourquoi pas être inhumé au Panthéon à coté de Simone !!!! Ah, ah, ah, ah !!!!

          USMS
          14 juillet 2017 - 18 h 30 min

          Il ne s’agit de se convertir au judaïsme pour être brillant car il y a des juifs c… comme pas deux. Néanmoins, je persiste à dire qu’ils sont les maîtres du monde bien qu’ils ne soient même pas 20 000 000 à travers le monde. Ils ne sont pas plus intélligents que les autres, ils sont plus malins. Le malin dans la réligion catholique, c’est le diable. Et ils le sont car pour arriver par exemple à ce que le pape leur présente les excuses des catholiques pour les avoir accusés de la mort du christ 20 siécles après il faut le faire. Ils sont les maîtres du monde et cette anecdote est plus que révèlatrice: Après maintes massacres de palestiniens, un politique israélien demanda au charognard charon, ce qu’en pensent les usa, la hyène répondit « l’amérique, c’est nous ». (…)

      youcef Benzatat
      13 juillet 2017 - 21 h 07 min

      Quelle référence ? Le PANTHEON !! Lieu où se nichent tous les grands criminels de l’histoire de France. A t’on vu un militant contre l’esclavage, le colonialisme, le racisme enterré dans ce lieu témoin de toutes les abominations contre l’humanité. Pauvre de vous cher compatriote, élevé dans la soumission et la nuque basse…

        Point de vue
        13 juillet 2017 - 21 h 46 min

        Vous avez oublié de me préciser « Que faite vous, vous Y.B. concrètement, en Palestine, pour aider au règlement du conflit Israélo-palestinien ???? » Sans aucun doute des actions bien plus brillantes que celles de Mme Simone Veil !!!!

        bird
        13 juillet 2017 - 23 h 22 min

        Vous devriez vous informer sur les personnes inhumées au Panthéon avant d’écrire n’importe quoi .
        Quelques exemples de criminels selon vous .Victor Schoelcher ;Pierre et Marie Curie ;J Jacques Rousseau ;Voltaire ;Emile Zola ;Alexandre Dumas;Louis Braille l’inventeur de l’écriture pour les aveugles ;Jean Moulin ;Germaine Tillion; Condorcet ;Felix Eboué ;Jean Jaurés ;Victor Hugo ;Paul Langevin ;René Cassin ;Gaspard Monge ,Marcellin Berthelot .Faites un effort ,lisez leurs biographies avant d’écrire n’importe quoi ,il faut établir la vérité toute simple .

          youcef Benzatat
          14 juillet 2017 - 0 h 26 min

          Vous oubliez Malraux et tant d’autres, hormis les scientifiques apolitiques, faites le compte, cela vous évitera tant de grossièretés et d’incivilités sur ce forum…

          youcef Benzatat
          14 juillet 2017 - 11 h 28 min

          WIKEPEDIA POUR LES FENEANTS : Adolphe Sylvestre Félix Éboué, né le 26 décembre 1884 à Cayenne (Guyane) et mort le 17 mai 1944 au Caire, est un administrateur colonial, résistant de la première heure durant la Seconde Guerre mondiale et homme politique français. Humaniste, franc-maçon1, il fut membre de la SFIO jusqu’en septembre 1939. Gouverneur du Tchad, alors possession coloniale française, il range le territoire du côté de la France libre sitôt entendu l’Appel du 18 juin 1940 du général de Gaulle. Depuis 1949, Félix Éboué repose au Panthéon.

    youcef Benzatat
    13 juillet 2017 - 15 h 46 min

    EXTRAIT DE MON PREMIER ROMAN : « LE DESHONNEUR DU GENERAL »

    « […] Je fus interrompu par les aboiements d’une meute de chiens qui passaient non loin du tombeau, sans donner l’impression de s’en éloigner. Yacine se leva et m’invita à l’aider à leur jeter des pierres pour les éloigner. Il faut dire qu’il était préparé à toute éventualité. Un tas de pierres était stocké dans un coin du tombeau, prêts à servir. Nous réussîmes à les chasser de quelques jets, bien que l’écho de leurs aboiements n’ait jamais cessé de déchirer au loin la sérénité de cette nuit qui semblait devenir une éternité. Rien d’étonnant devant ce désagrément. Des chiens errants, il y en a partout, autant que les fous et les sans domicile fixe qui errent dans les villes et les villages, abandonnés à leur sort.[…] »

      Bison
      13 juillet 2017 - 18 h 50 min

      Cet extrait qui parle de gens paisibles sortis de leur retraite paisible dans un tombeau, ou à l’ombre d’un tombeau, par des aboiement qui semble interminables de mechants chiens errants néanmoins peureux qui détalent après quelques jets de pierres amassées en nombre et à dessein ,… Vous êtes sûr que ces deux bonhomme ne sentent pas un peu le mort ou ont peut etre festoyé à la sardine par temps chauds ; c’est peut ça aussi qui a provoqué les aboiement frénétiques de ces pauvres chiens qui ne demandaient pas plus qu’un peu d’air sain! Qui dérange ou qui provoque qui dans l’histoire ou du moins dans l’extrait de l’histoire!? Il ne faut pas toujours jetter des pierres à chaque fois qu’un chien aboie, comme si il le fait toujours par gaieté de coeur ou juste pour emmerder les autres, il faut se demander si on l’emmerde pas non plus!? A qui peut-on se fier encore par les temps qui errent… en silence !

        youcef Benzatat
        13 juillet 2017 - 20 h 26 min

        Vous avez toucher à un point sensible du roman et je vous soumet tout le chapitre duquel cet extrait fut prélevé. QUI EST LE MORT PARMI LES DEUX PERSONNAGES C’EST AU LECTEUR DE TRANCHER !
        Cela faisait un moment que le soleil avait commencé sa descente vers l’horizon, sans pour autant que sa lueur n’eût baissé en intensité. La rue poussiéreuse et balayée par le souffle lent du vent chaud, par ce climat sec des hauts plateaux, n’arrangeait pas la moiteur de mon corps, déjà gluant de transpiration. Malgré ces conditions inconvenantes, je ne pouvais pas encore prendre le risque de dégager la capuche sur ma tête, par crainte d’être reconnu par quelques hommes du Général qui pourraient se trouver sur mon chemin. Il était temps de faire une halte pour me rafraîchir et prendre quelques forces pour pouvoir poursuivre mon périple.

        J’étais rentré dans un cybercafé non loin de la rue de l’hôpital, aménagé dans un petit local au rez-de-chaussée d’un bâtiment, et à ma surprise, je m’étais retrouvé nez à nez avec Yacine, attablé devant un ordinateur, en train de faire sa révolution sur la toile comme à ses habitudes. Il était accompagné par deux Habitants, chinant dans l’un de ses deux sacs, qu’il traînait toujours avec lui. L’un d’eux devait contenir ses affaires personnelles, avec une bouteille de vin et quelques maigres portions de nourriture toujours planquées au fond. L’autre sac, c’est sa boutique ambulante. Il était rempli de bric et de broc, de ces objets d’informatique introuvables et très prisés par les Habitants les plus branchés, qu’il achetait et revendait pour survivre. Cela durait depuis la fin de nos études à l’université et après qu’il avait refusé de retourner dans son village natal.

        Yacine venait d’une crête escarpée, comme il y en a tant sur les sommets des collines oubliées, où le temps s’était arrêté depuis très longtemps déjà. En dehors de son business, à vendre et à acheter ces produits importés en contrebande, il était très actif sur les forums des réseaux sociaux virtuels. Dans l’accomplissement de sa révolution virtuelle, qu’il menait comme un forcené solitaire, face à son écran d’ordinateur, il aurait dépouillé la chaîne de commandement des hommes du Général de leur potentiel d’ingérence dans les affaires des Habitants, autant de fois que le nombre des anciens combattants qui n’avaient jamais tiré un coup de fusil pendant la Révolution ! Il ne ratait aucune occasion pour affirmer avec force, que le salut des Habitants dépendait de leur détermination et de leur engagement à affronter l’errance du Général et à le ramener dans son rôle naturel, celui de les servir en les protégeant contre toute forme de violence, intérieure ou étrangère. Au lieu de vaquer tel un artisan de basse-cour, soucieux de la seule rentabilité de son commerce, à faire et à défaire des milices, par la seule motivation du maintien de sa domination sur les Habitants et les soumettre. Se plaçant au-dessus de leurs assemblées, et en étendant son rôle à leur contrôle, pour affaiblir leurs capacités d’intrusion dans son ordre. Parce qu’il percevait cette intrusion comme une ingérence étrangère aux affaires internes de son royaume. Au point de passer pour un traître pour quiconque s’aventurait à contester son hégémonie, considérée comme sacralisée dans ses fantasmes et qu’il aurait hérité légitimement du combat libérateur. Car, l’image qu’il se faisait de lui-même, serait d’être un intouchable en toute circonstance, et d’être le seul représentant légal de cet héritage. Ce constat très lucide de Yacine, qu’il laissait transparaître à chaque fois qu’il manifestait sur les places de la ville, était porté par une conscience blessée par les sévices et les privations que le Général et ses hommes infligeaient à des Habitants sans défense.

        Cependant, voyant son désir tarder à s’accomplir, il fut happé à son tour par une idée des plus perverses qui s’était emparée des Habitants des collines oubliées. Ceux qui s’étaient complètement perdus dans les abysses du temps, lorsque l’on évoquait avec eux la mémoire des ancêtres. Il s’était mis à se prendre pour un descendant d’une race pure. Un authentique Habitant. Comme si sa tribu était restée enfermée pendant des millénaires dans un bocal, loin des hommes qui étaient venus fouler nos terres pendant des siècles, loin de leurs mœurs et de leurs coutumes. Malheureusement pour lui et pour tous ceux qui s’étaient perdus dans cette autre errance, ils avaient tout simplement succombé naïvement au piège tendu par le Général, lorsqu’il avait inscrit dans la loi du royaume le travestissement de notre mémoire par celle importée d’Orient. Pour le contrarier, ils lui avaient opposé la pureté des valeurs des ancêtres, sans se soucier de l’enrichissement de celles-ci par tant d’apports arrachés aux différents peuples qui étaient venus convoiter nos terres depuis les temps les plus reculés. Sans même se soucier de l’afflux d’hommes venus de toutes les contrées, dont le sang s’était mêlé avec celui des Habitants, faisant de nous des métisses parmi les plus riches qui existent sur terre et qui continuent à s’enrichir de plus belle de notre temps. Confondant l’identité ethnique avec la culture, ils considéraient cette dernière comme une luxuriance, en se gavant à longueur de fêtes cycliques de rites anciens et de folklores domestiques.

        Bien qu’il ne manque aucune occasion pour venir crier sa rage sur les places de la ville, affirmant que, depuis le départ des étrangers la situation des Habitants était restée toujours bloquée à cet instant fondateur, il était incapable d’apporter plus de lumière pour les convaincre à dépasser leurs divisions et la fatalité dans laquelle ils étaient reclus, devant l’immensité de la tâche à accomplir. Celle qui les amènerait à se libérer de l’aliénation à cet enchaînement qui fait d’eux d’éternels sujets dans l’ordre intransigeant du Général. Aveuglés par le piège qu’il leur avait tendu, les uns se prenaient pour des orientaux, plus orientaux que le Général lui-même, après être tombés directement du ciel. Les autres, continuaient à revendiquer leur authenticité et la pureté de leur race des sommets des crêtes les plus élevées des chemins qui montent, sur les collines oubliées où ils s’étaient réfugiés.

        Il m’avait présenté à ses hôtes, d’un air aussi présomptueux, comme si j’étais un étranger dans ma propre patrie. Car depuis longtemps, la confédération à laquelle appartient sa tribu, avait commencé par adopter des pratiques qui rappellent fâcheusement celles que l’humanité avait à affronter dans un effroi sans précédent durant le siècle dernier. Les plus pervers parmi eux avaient été jusqu’à ne plus vouloir faire partie de notre patrie, et de s’entêter à créer la leur sur les crêtes les plus reculées des collines oubliées.

        – C’est lui Tahar, le fils du taxieur, le beau fils du Général, malgré lui, par qui le scandale est arrivé !

        S’adressant au plus bavard de ses deux clients, qui s’entêtait à s’exprimer dans son parler des crêtes, sans se soucier de se faire comprendre ou non, et avec toute l’arrogance qui sied à quiconque voudrait s’afficher avec une quelconque différence. Ce dernier avait fait semblant de sursauter, comme pour donner l’impression du crapaud qui se retrouve nez à nez face à un serpent affamé.

        – Mais vous êtes inconscient !

        S’adressant à moi d’un air de faux paniqué, trahissant son désintérêt pour ma posture de traqué.

        – Vous vous rendez compte que toutes les forces armées de la ville sont sur le qui-vive, craignant des troubles par votre faute ! La ville est totalement bouclée. Des barrages ont été disposés à tous les accès et sur tous les carrefours sensibles. Sans compter ceux qui sont à vos trousses. Des hommes du Général, épaulés par des hommes de main du capitaine Brékho, rodent en ce moment-même dans les gares et tous lieux où vous êtes censé vous trouver. On dirait le couvre-feu mon ami, comme au temps de l’occupation et vous êtes là comme si de rien n’était.

        Il marqua un temps d’arrêt pour ingurgiter abruptement le soda qui était posé à côté de lui et poursuivit :

        – Ainsi c’est vous l’heureux élu de Mamlouka, l’interdite ! Je vous imaginais plus futé que cela, au moins appartenir à une bande organisée, difficile à neutraliser ! En tout cas, vous n’êtes pas au bout de vos peines. Je vous souhaite tout de même bon courage.

        Je l’imitais en allant chercher un soda au comptoir, que j’avais bu d’un trait :

        – Non ! Je ne suis rien de tout ça, seulement un Habitant parmi la multitude. Je ne suis ni inconscient, ni affabulateur, ni n’appartiens à une quelconque bande, ou autre organisation secrète. Je ne suis pas non plus cet autre objet du Général dans son jeu de marionnettiste, à agiter les uns du haut vers le bas et les autres du bas vers le haut. Je suis seulement convaincu que Mamlouka ne lui appartient pas, ni à lui, ni à quiconque qui voudrait venir la convoiter, sous quelques autres ruses ou mensonges. Par l’imposture de ces nouveaux pèlerins qui croient être tombés de quelques cieux chimériques ou de ceux qui tentent de gravir vainement les chemins qui montent, pour aller quêter quelques fiertés dans leur folklore domestique.

        Pendant que je parlais, Yacine esquissait un sourire contenu en s’efforçant de retenir son irritation devant ma réponse et s’était levé, en s’adressant à moi d’un air ironique :

        – Pour l’instant, tu n’as pas le choix et tu es obligé de me suivre, car nous allons gravir ensemble les chemins qui montent vers la direction de la Soumaa où gît dans le dénouement l’Aguelid Massinissa, le père de la Nation, là où se trouve ma retraite, pour te planquer, au moins pour cette nuit, afin d’échapper aux hommes du Général. La nuit porte conseil, comme disent les anciens et on verra pour plus tard quel plan suivre pour te sortir d’affaire !

        Avec sa générosité habituelle et sa camaraderie sans faille, que je lui connaissais depuis notre première rencontre, au tout début de nos études universitaires, Yacine était resté un ami en toute circonstance. Il avait toujours eu ce mérite de préserver l’amitié entre nous, au-delà de nos différences d’opinions les plus opposées, voir les plus conflictuelles, dans la mesure où notre confrontation se déroulait sous bonne foi, avec la perspective de résister ensemble à l’ordre intransigeant que nous impose le Général. Jusqu’à ce moment d’errance, lorsqu’il avait été pris à son tour dans les plis de cette idée perverse qui s’empara de la confédération à laquelle appartient sa tribu. Depuis, notre relation tendait à se détériorer de plus en plus et nos échanges de devenir autant de dialogues de sourds. Joignant la parole à l’acte, il s’était saisi de ses deux sacs et m’avait fait signe de le suivre. Nous avions traversé ensemble l’autoroute qui ceinture la ville, puis nous avions pris la direction de la Soumaa, droit vers le tombeau abandonné du roi Massinissa. Lorsque nous étions arrivés, l’horizon était déjà ceinturé par le halo rouge et noir, qui annonce habituellement la retraite du soleil, pour laisser place au triomphe de la lune sur l’obscurité qui s’apprête à sévir.

        – Voilà ! Nous y sommes. Ici gît notre grand Roi, l’Aguelid Massinissa, qui unifia pour la première fois les authentiques Habitants de cette terre, il y a plus de deux mille ans déjà. Après avoir vaincu son rival du couchant, l’autre Roi, Syphax, et assisté quelques années auparavant à la destruction de Carthage, cité de ses rivaux de toujours. Avant de perdre à jamais son royaume au profit des étrangers qui n’en finissaient pas de se succéder pour sa convoitise. Aujourd’hui c’est mon gîte de fortune et ce soir tu en es l’hôte.

        Il jeta ses sacs au sol et poussa un grand soupir en enchaînant :

        – Chaque fois que des bergers passent par- là, il faudra de nouveau faire le ménage. Ils pourraient quand même aller faire leur besoin un peu plus loin. Mais ils ne sont pas à plaindre, les bougres, c’est de la faute du Général et des Brékhos qui sont à son service. Les imbéciles. Ils auraient au moins pu prendre des dispositions pour protéger le tombeau des actes de vandalisme. Ils ne savent que couvrir de mensonges toute réalité. Ils ont été jusqu’à peindre les pierres, comme ils ont l’habitude de peindre les arbres ! Pour se donner bonne conscience devant les visiteurs étrangers attirés par notre glorieux passé et scandalisés par nos monuments et nos paysages délabrés.

        J’avais attendu qu’il termine de râler pour lui répondre. Tout en l’aidant à ramasser les excréments qui s’y trouvaient, pour aménager un espace où l’on pouvait se poser. Secoué par mon imagination troublée et envahie par des visions hallucinantes, de coups de glaives et de résonances de boucliers, de scènes de combats de gladiateurs face à nos valeureux martyrs d’antan. L’esprit confus par le son du cuivre et du fer, mêlés aux images de sang de nos ancêtres giclant au loin, porté par les cris de douleur des lames tranchantes des gladiateurs. En échos lointains aux escarmouches qu’effectuaient les combattants de la Révolution face à l’armée des derniers occupants étrangers, plus puissante et plus entraînée. Nos martyrs d’hier, comme d’aujourd’hui, se lançaient dans les combats, armés par leur seule abnégation pour préserver la dignité et les terres convoitées des Habitants. Toujours confrontés à la traîtrise. Comme le fut l’héritier du royaume de Massinissa, le roi Jugurtha, qui croisera le fer avec les gladiateurs romains des années durant, avant d’être trahi à son tour par son propre beau-père Bocchus, un précurseur des harkis depuis les temps les plus anciens.

        – Ce que tu omets de préciser, c’est qu’au moment de sa mort, dans Cirta, ville de ses ancêtres et siège de son palais, avant que l’occupant Constantin ne lui donne son nom définitif, pour devenir l’actuelle Constantine, on parlait plusieurs langues de l’ancien monde. Pour te dire, que la langue de nos ancêtres était déjà riche de tous les apports des langues des étrangers qui vivaient à cette époque dans le royaume. Qui n’a jamais fini d’ailleurs de s’enrichir au contact des langues des peuples qui sont venus convoiter nos terres jusqu’à nos jours. C’est cette langue que parlent aujourd’hui les Habitants, alors que les imposteurs la considèrent sournoisement comme une langue vulgaire, dérivée de celle des orientaux.

        – Tu veux dire que la langue que parlent les hommes nichés sur les crêtes des collines oubliées est aussi une derdja ?

        – Elle l’est moins, bien évidemment, comme l’affirment nos savants et beaucoup d’autres, parmi les plus aliénés dans le piège tendu par le Général. Parce qu’elle n’a pas subi de fortes doses de contaminations étrangères, gréco-latines, arabes, africaines, turques, espagnoles, françaises. Vous les entendrez dire parfois, au plus profond dans leur errance, qu’il faudra purifier notre race de cette bâtardise qui s’est abattue sur nous comme une malédiction. L’éplucher jusqu’à sa totale purification. Éplucher et éplucher encore toute contamination, jusqu’au sang qui coule dans nos veines et qui est entaché par cette souillure. Éplucher jusqu’à défaire l’ultime arabesque de ses entrelacements métisses. Jusqu’à ce que ne subsiste qu’un seul homme indemne, s’il le faudra. Quitte à s’éplucher lui-même par défaut, jusqu’à se faire la peau, sous les décombres de sa tribu anéantie. Comme cela fut le cas autrefois chez les peuples du Nord, suite à leur errance dans le fantasme de la pureté de leur race. Ça commence toujours par la croyance aux vertus de la ghettoïsation ethnique et tribale et la stigmatisation du partage des valeurs avec les autres, autres que nous-mêmes. Seulement nous, entre nous, et bien ancrés sur les crêtes de nos collines oubliées !

        Il sortit sa bouteille de vin du sac et me la tendit généreusement, non sans dissimuler son irritation.

        – Tiens ! Bois un coup, peut-être tu verras plus clair ! Tu commences vraiment à divaguer.

        Me lança-t-il de son air présomptueux habituel et inconsistant en pareilles circonstances. Irrité par mon intransigeance à ne considérer comme seul repère pour les Habitants, que leur seul intérêt commun, au-delà de toute différence qui puisse les distinguer les uns des autres, par mensonge ou malencontreusement. Comme pour mon père et sa génération, j’éprouve la même compassion pour Yacine et les Habitants perdus dans quelques errances qui les empêchent de gravir les véritables chemins qui montent. Non pas ceux qui montent à reculons, mais ceux-là qui promettent l’accès aux cimes les plus inaccessibles. Les véritables chemins qui mènent aux étoiles. Là où réside le salut des hommes et des femmes qui portent douloureusement les stigmates de toute forme de barbarie qui les poursuit depuis que le Général et ses hommes se sont accaparés de leur destin et de la terre de leurs ancêtres.
        Ce jardin de merveilles qu’ils n’avaient cessé de sillonner à travers toute l’immensité de son étendue, depuis l’aube de l’humanité jusqu’à la venue au monde des hommes de Novembre. Cette terre patrie où éclot l’enchantement devant la spectaculaire fidélité de ses saisons, où le soleil ardant de l’été répond avec sa nonchalance à la sagacité de l’hiver glacial des hauts-plateaux. Celle où se cultive l’intensité de l’imagination devant la variation infinie de ses paysages, allant de la mer bleue à l’océan des sables dorés, en marquant des pauses intermédiaires à l’image de tout ce que la terre peut contenir comme possibles, marquant de leur empreinte l’alternance du caractère de ses Habitants, entre témérité et résignation extrême. Patrie de l’hospitalité, qui a vu s’épanouir en son sein, juifs et musulmans, chrétiens ou sans religion, africains ou méditerranéens et autres européens, turcs ou arabes, à la peau noire ou blanche et tant d’autres hommes venus de tous les continents. Patrie déchue. Trahie. Avec les rêves et les espoirs de bonheur et de liberté chez les hommes qu’elle a vus naître : déçus. Vaine était la tâche des hommes de Novembre, qui, par leur abnégation l’avaient ensemencée pour que les Habitants ne puissent récolter que détresse et frustrations. Toutes celles et ceux qui sont tassés dans des abris exigus, se nourrissant d’ordures ramassées dans des déchetteries et privés des soins élémentaires. Vivant sans rire et sans musique. Analphabètes par millions, ignorant tout de Shakespeare, Galilée, la chambre de capture d’El-Hazen, les trous noirs et les trous béants de l’inconscient. Frustrés sexuels : hétérosexuels, homosexuels, transsexuels, masturbateurs et toutes celles et ceux qui n’ont jamais eu un rapport sexuel. Non jeûneurs du mois sacré, harcelés et persécutés. Fous errants, interdits d’hôpitaux. Femmes battues, répudiées, jetées dans la rue, soumises aux mâles et aux corvées domestiques et sexuelles, par lesquelles elles sont violées perpétuellement. Enfants victimes de pédophiles pervers et sadiques, et ces autres enfants morveux qui passent leurs journées à pleurer et à recevoir des coups des adultes qui les entourent, ventres creux et pieds-nus. Militants des droits de l’homme, journalistes, enseignants, intellectuels, artistes, écrivains, poètes, harcelés quotidiennement ou non, arrêtés arbitrairement ou non, humiliés ou non, torturés ou en attente, tués ou encore vivants. Immolés, survivants ou non, harragas, noyés ou non, hittistes, renvoyés des écoles ou encore parqués dans ces voies de garage au savoir sinistré. Assemblées privées de débat, Justice amputée de son droit, éditoriaux sans vérité, jardins publics sans fleurs et librairies sans poésie.
        Yacine s’était absenté un instant, pour revenir ensuite avec un tas de cartons, qu’il avait étalé sous nos pieds et sur lesquels nous devrions dormir pour la nuit. Nous nous étions ensuite installés sous un ciel étoilé et éclairé par la lueur d’une lune généreuse. Il avait sorti de son sac quelques nourritures que nous partageâmes, et après avoir bien mangé et bien bu, j’avais saisi cette occasion pour lui rappeler encore son errance, de laquelle j’espérais toujours qu’il puisse se ressaisir :

        – En tout cas, le fait de vous avoir poussé dans vos derniers retranchements à la quête de la pureté fantasmatique des racines est l’une des ruses que le Général ajustera à la perfection, en lui opposant notre assimilation à cet Orient chimérique, qu’il dresse comme un épouvantail pour anéantir toutes nos potentielles solidarités. Remarque, pour peu que tu sois doté d’un minimum de discernement, tu constateras sur le visage des Habitants que leur sang n’a pas manqué de se mêler à celui des étrangers, pour venir enrichir leur graine. De même en ce qui concerne leurs parlers et tout ce qui se rapporte à leur existence. Malheureusement, le piège tendu par le Général a poussé les Habitants, soit à vouloir atterrir sur cette terre comme s’ils tombaient d’un ciel qui n’est accessible que par leurs sens, aussi chimérique que l’Orient dont il se prévaut, ou alors, fuir la plaine et emprunter les chemins qui montent à destination des collines oubliées, lui préférant la vie en autarcie !

        Il se redressa précipitamment, comme quelqu’un qui fut soudainement accablé par quelque doute l’ayant déstabilisé et me demanda quelles fussent mes origines.

        – Tu me poses une question très compliquée, mon ami. Je me la suis posé à moi-même autant de fois, comme le ferait une cigogne qui voudrait construire son nid sur une branche qui dépasse en plein milieu d’un fleuve, qui serait sujet à crues et à torrents généreux et pleins de vie. À vrai dire, je ne me suis jamais senti aussi bien que dans la posture d’un Habitant parmi les Habitants. Certainement, quelque chose à laquelle se reconnaissent tous les humains doués de bons sens. Pour tout dire, à force de vouloir reconstituer les lignées par lesquelles je suis venu au monde, je me suis tellement perdu dans leurs entrelacements, au point de ne plus savoir qui je suis. Aux dernières nouvelles qui alimentent les veillées de ma famille pendant les fêtes, mon arrière-grand-père paternel serait un nomade, issu de la tribu des Zaâtcha, du fin fond des Aurès. Elle aurait paraît-il résisté jusqu’à épuisement à la pénétration des armées des derniers conquérants qui étaient venus convoiter nos terres. Toujours selon ces nouvelles de circonstance, leurs ancêtres avaient fait pareil avec les armées venues d’Orient, et même avec celles venus bien avant. Les derniers survivants, ceux qui ont échappé aux enfumoirs, ces grottes devenues en l’occasion des chambres à gaz, pour assassiner en masse, aux étouffoirs dans lesquels on les a emmurés vivants, aux exécutions sommaires et aux innombrables formes de tortures, et après la destruction de leur ksar, leur oasis, leurs puits d’eau et même leurs animaux, étaient contraints de nomadiser pour trouver refuge dans le sud constantinois. D’ailleurs beaucoup d’autres tribus avaient subi le même sort et dont les survivants avaient également trouvé refuge dans cet environnement hospitalier. Beaucoup parmi eux sont même venus de très loin. Comme si les ancêtres les avaient appelés à se regrouper en ce lieu, au pied du nid d’aigle des montagnes des Aurès, dans l’espoir de revivifier les combats qu’ils avaient à mener eux-mêmes de leur temps, pour leur insuffler le sens du sacrifice et de l’abnégation, pour préparer le combat contre les derniers occupants étrangers.

        Je fus interrompu par les aboiements d’une meute de chiens qui passaient non loin du tombeau, sans donner l’impression de s’en éloigner. Yacine se leva et m’invita à l’aider à leur jeter des pierres pour les éloigner. Il faut dire qu’il était préparé à toute éventualité. Un tas de pierres était stocké dans un coin du tombeau, prêts à servir. Nous réussîmes à les chasser de quelques jets, bien que l’écho de leurs aboiements n’ait jamais cessé de déchirer au loin la sérénité de cette nuit qui semblait devenir une éternité. Rien d’étonnant devant ce désagrément. Des chiens errants, il y en a partout, autant que les fous et les sans domicile fixe qui errent dans les villes et les villages, abandonnés à leur sort. En plus des sévices administrés par le Général et ses hommes et la terreur bigote de ceux qui se prétendent être tombés de quelques cieux, ou de la discorde et la division de ceux-là qui voudraient se distinguer par quelques folklores domestiques, auxquels il faut rajouter ces bandes violentes qui sèment la terreur, les Habitants devraient aussi se confronter aux menaces que font peser sur eux ces hordes de chiens errants et toutes sortes de menaces imprévisibles.

        À peine nous nous sommes réinstallés sur notre lit de fortune, que Yacine se tourna vers moi, les yeux grands ouverts et les oreilles toutes dressées. Visiblement, il ne donnait pas l’impression d’avoir été distrait par cet incident et attendait avec impatience la suite de mon récit. Il me relança sur un ton de défi :

        – Prétends-tu peut-être que seule la tribu à laquelle tu appartiens a pu conserver sa pureté face au défi du temps et du mouvement des hommes dans son enclavement entre les montagnes des Aurès et l’océan des sables !

        Son sens de la provocation, qui mettait à nu son esprit désemparé et confus face à la tournure de la conversation, m’avais permis de reprendre mon récit là où il devenait pertinent. Non sans avoir éprouvé quelque satisfaction à lui faire prendre encore plus conscience de l’errance dans laquelle il était embarqué avec ses chemins qui montent à reculons.

        – À aucun moment je n’ai prétendu à une quelconque pureté qui aurait caractérisé quelque tribu que ce soit. Encore moins la mienne. Bien au contraire, beaucoup parmi mes oncles et mes cousins, aussi proches que lointains, affirment plutôt le contraire. Le sang des Habitants nichés dans cette enclave n’a cessé lui aussi d’être mêlé à celui des étrangers, qui étaient, pour une raison ou une autre, contraints de séjourner sur leurs terres. À commencer par les armées qui étaient à l’origine de la destruction du royaume de Massinissa. Ils étaient restés plusieurs siècles, après avoir bâti des villes et influencé considérablement l’agriculture, la technologie et toute leur existence. Ils avaient drainé avec eux mercenaires, esclaves et serviteurs de toutes les régions où ils étaient passés, ainsi que leurs mœurs et coutumes et leurs religions. Mais bien avant eux, les hébreux s’y étaient déjà implantés en nombre, avec leurs habitudes et leur religion. À la chute de l’empire, beaucoup parmi ces étrangers sont restés et leur sang n’a pas manqué de se mêler à celui de nos ancêtres. Il en fut de même pour tous les autres conquérants, qui n’ont cessé de convoiter nos terres, partout où vivaient nos ancêtres et pas seulement dans cette enclave. Pour peu que tu sois doté d’un minimum de discernement, tu constateras par toi-même que le sang des Habitants est fortement mêlé à celui de tous ces étrangers.

        Yacine continuait à m’écouter sans trop forcer sur son attention. Plus désemparé que jamais. Il arrivait à peine à dissimuler son irritation, celle qui est propre à tout escargot, lorsque celui-ci rencontre un obstacle et fait rentrer ses antennes toutes. Une posture partagée également par ces hommes qui prétendent être tombés de quelques cieux propres à eux, lorsqu’ils sont confondus devant le bien-fondé de leur dogme pour tous. Malgré sa lassitude, qu’il manifestait de plus en plus avec insolence, je poursuivis mon récit sans trop prêter attention à son assiduité.

        – Mon arrière-grand-mère paternelle venait d’une famille turque, qui serait elle-même métissée à des andalous établis à Constantine depuis la chute de l’Empire du Couchant. Quant à mon grand-père paternel, il se serait marié avec une femme d’origine maltaise, dont la famille est venue dans le sillage des derniers conquérants. Elle serait elle-même métissée avec des hébreux établis sur nos terres depuis les temps anciens. Quand à ma mère, elle descend des crêtes qui sont nichées sur les montagnes du Djurdjura et qui est venue se réfugier avec sa famille dans le sud constantinois, après que les derniers conquérants avaient détruit leur village pendant la Révolution. Pour ce qui en est de mon arrière-grand-père maternel…

        Le ronflement de Yacine commençait à être incontrôlé et sifflotant, qu’il me dissuada de poursuivre cette obsession d’égrènement des entrelacements interminables de ma filiation. Ce qui m’avait d’ailleurs évité les désagréments certains d’une crise de migraine, qui m’aurait terrassé jusqu’au matin. J’en profitai pour enfoncer la capuche sur ma tête et essayer de reprendre des forces dans le sommeil, pour pouvoir affronter les traquenards qui m’attendaient dès le lever du jour.

          Bison
          13 juillet 2017 - 22 h 30 min

          Désolé cher monsieur, des petits extrait encore ça va mais des pavés de la taille de celui que vous nous soumettez là ca me coupe toute appétit au delà de troisième ligne. Mais pour répondre, a votre question de qui est mort parmi les deux personnages, et je précise, sans avoir lu le texte au delà de la troisième ligne, je dirai que surement comme toujours dans ce genre d’histoire de mort, de tombeau, …le mort véritable c’est la VÉRITÉ ! Et va savoir si c’est pas elle, la vérité morte et entrée profondément, qui a trouvé moyen de se réincarner en chiens errants et en aboyant désespérément elle essayait de vous dire quelque chose mais au lieu de l’écouter et de l’entendre vous avez choisez de la chasser à jet de pierre pour préserver votre train train de quotidien et surtout votre quiétude d’esprit ! Juste une piste à creuse, je suis pas remancier .

      bird
      14 juillet 2017 - 8 h 20 min

      Je ne vois pas ou est l’incivilité et la grossièreté dans mes interventions ,si établir ou rétablir la vérité historique se nomme grossièreté alors oui .Simone Veil n’à pas « été épargnée  » elle a survécu aux camp d’extermination ,il faut donner le sens aux mots que l’on utilisent ,personne ne l’a « épargnée » prenez un Larousse et relisez le sens .
      Faites donc une liste des « grands criminels de l’histoire « 

    Rayés Al Bahriya
    13 juillet 2017 - 14 h 20 min

    Hitler et Himmler dans leur opération de la solution finale avaient créés les fours crematoirs pour procéder

    À l’épuration finale des minorités européennes avaient tant bien que mal réussis leur plan. Un plan à l’échelle

    Industrielle. .. le crime de masses de millions d’européens. ..biensure . L’horreur est humaine dit On. Mais c’est les aléas

    De toutes les guerres et du sens de l’histoire.

    Mais Simone Veil avait fait du réceptacle de la femme le lieu de la solution finale qui consiste à tuer dans l’oeuf ou l’antre de la

    Femme le foetus vivant soit labominatuon . Des innocents non responsables de leur venues future au monde des humaines qui

    trichent sur leur compte tout comme un banquier qui volerai les deniers publics.

    Ceci dit l’antre de la femme est érigé en tout de Babel de l’abomination dont les démons déchus Harout et Marout.

    Simone Veil a légalisé le crime de masse appelé aussi IVG .

    Les Camps de concentration avaient des chiffres sur le nombre de morts. …mais le plan IVG mondial ne donne aucun chiffre

    Sur les le nombre de foetus tués dans l’antre des mères porteuses. ..VOILÀ encore l’autre deuxième viol des consciences humaines

    Et des vies humaines occies. ..

    Terrible. ..deux monstres de la même pièce de la mort….

    Eh oui … et ils saluent sa mémoire au même titre que le président Bouteflar. ..

    Dieu vous brûlera en enfer …

    Quand on pense. …!!!

      bird
      13 juillet 2017 - 17 h 35 min

      Du délire tout simplement ,la femme est maîtresse de son corps ,de ses choix de donner ou non la vie ,c’est la différence entre l’homme et les animaux .Un discours totalement incohérent ,hors sol ,venu des temps ténébreux ,la civilisation apparemment va beaucoup trop vite pour certains .Mettre au monde des enfants non désirés ,les nourrir ,les soigner ,les éduquer ,et se faire répudier et jeter a la rue !

    Soukari
    13 juillet 2017 - 13 h 59 min

    Un peu tiré par les cheveux cette analyse… Parfois, il vaut s’abstenir d’écrire que de remplir du vide… Dommage, d’habitude vous nous nous avez habitué à mieux.

    Sprinkler
    13 juillet 2017 - 13 h 58 min

    Contre la narco-monarchie comme pour le cancer sioniste il faut promulguer l’IVC ou l’IINTERRUPTION VIOLENTE DE LA COLONISATION !

    BEKADDOUR
    13 juillet 2017 - 12 h 35 min

    A moins d’exclure les Juifs du statut de créature humaine, quiconque vit leur histoire conclue à la nécessité d’un état à eux, les Palestiniens paient d’avoir chanté pendant que la fourmi travaillait, ils dansent désormais, comme nous lors de l’invasion française, par oubli que le rapace existe, et nous l’avons cher payé… La clef est dans la reconnaissance du statut d’humain aux humains, le reste est affaire de Jugement dernier, de Dieu…Simone est morte sans avoir vécu le dénouement, à SA place tout être sain aurait fait pareil, défendre Les Siens, comme NOUS nous défendons notre indépendance, malgré tant de traitres !

    Bison
    13 juillet 2017 - 12 h 11 min

    Pour Mr benzatat, et il y’en plein des benzatat en algerie, cette dame ( dont j’en ai rien à foutre) (cette Dame ou quelqu’un d’autre) même si elle avait libéré l’Algérie à elle seule, et aimé l’akgerie à la folie, elle ne passerait pas à leurs yeux voilés qui ne voient qu’à travers l’intérêt de la cause palestinienne juste parce qu’ils croient détecter en elle un relent de sionisme ou soupçon de soutien a israël (c’est son choix)! On ne peut pas lui reprocher de soutenir un pays de son choix autrement elle ferait pareil concernant nos choix et notre soutien pour la Palestine!!!! Oui, oui notre cause est plus juste!! Chaqu’un voit ça cause est plus juste et merite plus de soutien que celle du camp opposé, qui admettrait soutenir une cause injuste ! C’est connu, on commence toujours invoquer par soi disant défendre l’intérêt général ou celui de son pays pour mieux emballer et faire passer comme un timbre à la poste l’intérêt véritable qui nous tient à coeur (et qui souvent se situe ailleurs)!
    P.-S., En France aussi, certains d’extrême droite lui reproche entre autre et surtout le faite qu’elle s’est opposée à Giscard d’Estaing qui voulait en son temps de président de reconduire 300000 algeriens chez eux!! Ceci soit dit en passant, je me tais.

      youcef Benzatat
      13 juillet 2017 - 12 h 31 min

      Révisez votre assertion, vous aurez mieux à dire à défaut de vous taire, si elle s’est opposée au renvoi des 300000 algériens ce n’est certainement pas pour leurs beaux yeux, mais en redoutable faucon elle a conseillé avec justesse son Président que cet acte constitué une véritable faute politique qui aurait privé la France d’énormes intérêts et avantages économiques et en premier d’une masse d’hydrocarbures à un prix nettement compétitif qui aurait affecté sérieusement leur économie. Oui, il y a fort heureusement beaucoup de Benzatat qui veillent sur la désinformation pouvant nuire à notre intégrité territoriale et a l’unité de notre peuple et a sa souveraineté !

        Bison
        13 juillet 2017 - 13 h 32 min

        C’est la seule chose ( qui ne vient pas de moi) qui retient votre attention dans tout ce que j’ai dis! Ou bien pour mieux occulter le rester et vous dispenser de répondre! Et puis, tous les pays, tius lew etats et tous les patiites du mondes agissent toyjours dans l’interets de leurs oays avant tout lele quand leurs actes bénéficient au passage aux autres! Seul un algérien peut agir dans le seul interts des autres ( avant même voire contre l’intérêt de son pays) et s’enorgueillir juste montrer son nif légendaire et désintéressé ! Aussi, Je maintiens mon commenraire tel quel !

          Bison
          13 juillet 2017 - 13 h 39 min

          C’est la seule chose ( qui ne vient pas de moi) qui retient votre attention dans tout ce que j’ai dis! Ou bien pour mieux occulter le rester et vous dispenser de répondre! Et puis, tous les pays, tous les etats et tous les vrais patriotes du mondes entier agissent toujours dans l’intérêt et pour les l’interets de leurs pays avant tout même quand leurs actes bénéficient au passage (volontairement ou involontairement) aux autres peuples ou aux autres etats! Seul un algérien peut agir dans le seul interts des autres ( avant même voire contre l’intérêt de son pays) et s’enorgueillir juste pour montrer son nif légendaire et désintéressé ! Aussi, Je maintiens mon commenraire tel quel !

      youcef Benzatat
      13 juillet 2017 - 12 h 54 min

      Je rajouterai ceci pour votre information, dans la république française, lorsqu’un ministre s’oppose à son Président il est remercié sur le champ ! Comme le fut Michel Rocard, un véritable ami de l’Algérie, qui fut remercié par le Président François Mitterrand après leur désacord, beaucoups d’autres ministres ont vecu cette expérience, telle que celle de Mme Taubira pour ne citer que celle-là. Je vous renvoi à la lecture de « l’histoire secrète du pétrole algérien » de Hocine Malti et suivre le processus du bras de fer autour de la souveraineté de l’Algérie sur ses richesses minières. Vous comprendrez pourquoi Simone Veil a conseillez à son Président d’accourir à Alger et s’exuser pour la menace proférer de renvoyer les 300 000 algériens dont vous faites allusion.

    y en a marre
    13 juillet 2017 - 11 h 26 min

    Merci Mr Y. Benzatat pour ces éclaircissements

      Anonyme
      13 juillet 2017 - 12 h 53 min

      L’esprit algérien est ce qu’il a de plus mesquin.
      Aucune information, aucun argument qui se tient, que de la médisance.

      Krimo
      13 juillet 2017 - 17 h 10 min

      Benzatat,

      Malti, quelle belle référence Ɂ Son pave historique sur l’histoire du pétrole, pouvait en filigrane vous être conté par tout ancien garde barrière d’une base pétrolière qui a vécu l’avant et l’après 1971. Quand la frustration prend le pas. C’est le seul ancien de 1971 qui n’a jamais été rappelé aux commandes de l’énergie. Un ancien ministre honni, brillant ingénieur pétrolier dans sa prime jeunesse a mis a nu son incompétence et ces errements quant a certains contrats avec Total a l’encontre de l’avis et dans le dos de ses experts autorisés en la matiere. …….. Bien revanchard M. Malti.

      M. Benzatat, il s’agissait de 35 000 travailleurs algériens et non de 300 000 que Giscard voulait renvoyer en Algérie. Il y a eu Simone mais surtout Raymond Barre qui s’est opposé à ce départ. Giscard a usé de la dénonciation des Accords d’Évian pour ce faire. Il faut aussi rappeler que Boumediene des 1973 voulait arrêter l’émigration et espérait le retour de France des ouvriers algériens qualifiés pour participer a l’industrie mise en place. Son discours de l’époque «naklou trab bladna» ou quelque chose du genre, pour aussi dénoncer les actes racistes subis par des algériens a cette période.

      M Benzatat faut pas fabuler aussi et demander a une ancienne candidate aux fours de ne pas avoir ses faiblesses et renier ses origines. Beaucoup d’anciens détenus de la révolution ne disent que du bien de Simone l’avocate, et surtout faut pas mettre notre médiocrité sur le dos des autres.

      Pour rappel Barre s’est opposé a son président en tant que ministre et deux ans plus tard il fut Premier Ministre de Giscard jusqu’à La fin.

        youcef Benzatat
        13 juillet 2017 - 20 h 46 min

        On a compris que vous trompez le doigt dans le miel comme il a dit l’autre ! Bonne appétit ! Vous êtes mieux à l’ombre on ne viendra pas vous le disputer ainsi…

    Dr Knock
    13 juillet 2017 - 10 h 38 min

    Oh oui, ces imbéciles de nazis l’ont « épargnée » ! Je me demande même si elle n’a pas fait exprès de survivre à l’extermination des juifs. Dommage que le nazisme ne soit plus ce qu’il était. Autrement croyez-vous que des Sansal, Allouache, K Daoud aurait osé ce qu’ils ont osé ? Et puis croyez-vous que sous le troisième Reich des Ferhat auraient existé ? Heureusement que Benzatat est là pour nous rappeler que : Ma3ek ya falastine dhalma oula medhlouma !

      zaatar
      13 juillet 2017 - 13 h 11 min

      Le nazisme n’est plus ce qu’il était. Il n’allume plus les feux de forêts. La colombe a su s’extirper au dernier instants des brasiers à la manière d’un Daniel Craig des grands jours. Alors, les Sansal, Daoud et autres Ferhat ont mis leurs shorts et sont allègrement allés se baigner à la fontaine fraîche dans cette chaleur suffocante de juillet.

        Dr Knock
        13 juillet 2017 - 14 h 12 min

        Oui, d’autres pyromanes les ont remplacés.
        Les faucons, les colombes, les vautours, les corbeaux qui croassent, tout ça ce n’est que de la volaille, en vérité.
        Dommage que les colombes ne meurent même plus de leurs blessures. Tant qu’il y aura des Zommes pour cracher sur leurs tombes et pour corriger l’histoire nous sommes rassurés. Les nazis ont raté la colombe mais d’autres snippers ont repris le flambeau. Oh, que dis-je ? le flambeau, pardon ! Il y a des soldats cachés qui font comme ce soldat japonais perdu dans la forêt et qui trente ans après n’était pas au courant que la deuxième guerre mondiale est finie. Falastine vaut bien que l’on déterre la hache de guerre pour qu’elle continue.

      Krimo
      13 juillet 2017 - 22 h 56 min

      Benzatat,

      Qui c’est On. Le message vous etait adresse personnellement, pourquoi vouloir y associer votre « galerie ».

      A vous lire !!!!!! Je vous dirai seulement ceci « Ceux qui ont la pretention de tout savoir n’ont malheureusement pas le talent de tout comprendre »

      Prenez au moins le soin de tremper votre plume dans l’encrier avant d’ecrire

        youcef Benzatat
        14 juillet 2017 - 0 h 29 min

        Si c’est pour arriver au niveau du débat que vous proposer avec votre insolente intrusion sur ce forum… Enlevez votre doigt du miel et taisez-vous, de grâce…

    Tin-Hinane
    13 juillet 2017 - 10 h 36 min

    Merci pour cet article qui m’a appris des choses que je ne savais pas sur Simone Veil mais je ne suis pas étonnée par ce que j’ai appris. Cet état d’Israël est une folie, jusqu’à quand l’occident (les Etats-Unis et la France essentiellement) pourra t’il continuer à insuffler de l’oxygène à cette monstruosité, il arrivera bien un jour (et il est proche) où l’occident lui même aura besoin de tout son oxygène pour survivre. Israël n’est pas viable, les palestiniens n’auront pas un état dans l’état, lest palestiniens auront la Palestine qui est leur pays. Le bien triomphera de nouveau sur le mal.

      Dr Knock
      13 juillet 2017 - 14 h 03 min

      Oui, d’autres pyromanes les ont remplacés.
      Les faucons, les colombes, les vautours, les corbeaux qui croassent, tout ça ce n’est que de la volaille, en vérité.
      Dommage que les colombes ne meurent même plus de leurs blessures. Tant qu’il y aura des Zommes pour cracher sur leurs tombes et pour corriger l’histoire nous sommes rassurés. Les nazis ont raté la colombe mais d’autres snippers ont repris le flambeau. Oh, que dis-je ? le flambeau, pardon ! Il y a des soldats cachés qui font comme ce soldat japonais perdu dans la forêt et qui trente ans après n’était pas au courant que la deuxième guerre mondiale est finie. Falastine vaut bien que l’on déterre la hache de guerre pour qu’elle continue.

      Dr Knock
      13 juillet 2017 - 14 h 35 min

      Erratum,
      la réponse ne vous est pas destinée.

    Jugurthajubak
    13 juillet 2017 - 10 h 06 min

    Lors d’un de ses passages à la télé, elle avait déclaré, il faut ouvrir grand les portes des administrations Françaises aux français d’origine Algérienne, car, ils sont tous entrain de faire du commerce et si on continu comme ça, demain ils détiendront l’économie Française.

    BEKADDOUR
    13 juillet 2017 - 9 h 40 min

    Il faudrait faire un « Portraits de femmes célèbres », juxtaposer par exemple les portraits de Simone Veil avec ceux de La Kahina, et… Lalla Fatima En Soumer… Etc

Laisser un commentaire

Votre adresse de messagerie ne sera pas publiée.