Sidi Abdellah : pose de la première pierre d’un chantier de logements

Sidi Abdellah
La nouvelle ville de Sidi Abdellah. New Press

Le Premier ministre, Adelmadjid Tebboune, a procédé samedi, dans le cadre de sa visite de travail et d’inspection dans la wilaya d’Alger, à la pose de la première pierre d’un projet de  réalisation de 14 200 logements à la nouvelle ville Sidi Abdellah.  11 000 logements de la formule location-vente  et 3 200 logements publics promotionnels (LPP) constituent ce projet.

Auparavant, le Premier ministre avait inauguré le premier tronçon de la double  voie reliant le nord de la ville de Zeralda au cyberparc de Sidi Abdellah.  S’étendant sur 1 ,5 km sur un total de 10 km, cette route permettra de relier la nouvelle ville  Sidi Abdellah aux agglomérations avoisinantes.

Lors de sa dernière visite dans cette nouvelle ville, le ministre avait, pour rappel, déjà assuré que les logements qui seront livrés seront dotés de structures de proximité pour assurer toutes les prestations indispensables dont les écoles (primaire, moyen et lycée), les garderies, les locaux commerciaux, près de 500 locaux, pour diverses activités. Ces structures de proximité, avait déclaré Tebboune, permettront de créer environ 1 200 emplois directs.

L’entreprise de la nouvelle ville Sidi Abdallah prendra en charge également le transport public avec quatre destinations dont la gare ferroviaire, la commune de Mahelma, les gares routière de Zéralda et d’Alger.

R. N.

 

Comment (7)

    Anonyme
    16 juillet 2017 - 7 h 28 min

    Boycotter la langue arabe imposée par De Gaulle et ses suppletifs

    Afroukh
    15 juillet 2017 - 19 h 53 min

    Sidi abdel karkour!

    MELLO
    15 juillet 2017 - 16 h 54 min

    Ce n’est pas ce qui a été avancé auparavant sur cette nouvelle ville de Sidi Abdellah. En Algérie , on a la mémoire courte, on paie des études de projets et on les laisse au fond des tiroirs pour les ressortir après pour en faire autre chose. L’Algérie a, dans ce cadre, prévu la création de cinq villes nouvelles à Sidi Abdellah (Alger), Bouinan (Blida), Boughezoul (Médéa), Hassi Messaoud (Ouargla) et El Ménéa (Ghardaïa). Dans les études et le projet, la Ville nouvelle de Sidi Abdellah sera dédiée aux technologies de l’information et de la télécommunication, à la formation et à la recherche universitaire, ainsi qu’aux technologies avancées. Sidi Abdallah doit obéir à une conception architecturale bien élaborée qui tienne compte des moindres petits détails, pour constituer à l’avenir un modèle de pôles urbains et de nouvelles villes», a insisté le ministre …. Abdelmadjid Tebboun , et oui c’est toujours lui , mais en premier ministre. Par ailleurs, ces cités seront réalisées selon une conception particulière devant être préservée par les habitants. Il leur sera par exemple interdit de placer des barreaux en fer sur les fenêtres hormis ceux du premier étage qui pourront se procurer une autorisation à cet effet. Des pylônes électriques qui fonctionnent avec l’énergie photovoltaïques seront réalisés progressivement.. Le projet qui sera réceptionné , compte un espace pour les sportifs, un hôtel de 200 chambres, un bassin d’eau, des espaces de patinage et booling, des salles de cinéma, l’équitation, des piscines et autres.

    Anonyme
    15 juillet 2017 - 16 h 01 min

    La langue amazighe est-elle officielle dans la constitution de Bouteflika???? si oui pourquoi elle ne s’affiche pas dans les édifices publics et privés en Algérie??? comment se fait-il qu’il n’y a pas de trace de cette langue dans les édifices publiques, on y voit que l’arabe et rien que l’arabe. L’amazighité est la langue officielle du pays et celle de tous les algériens y compris les arabophones qui prétendent parler arabe, alors que le daridja «arabophone» est composé majoritairement de mots d’origine amazighe. Les panneaux de signalisation sur les édifices publiques doivent comporter la langue tamazighte, en vertu de la constitution et ce, une bonne fois pour toute afin que la langue tamazighte millénaires du peuple algérien, fasse parti du paysage algérien, et doit être acceptée et devenir chose normale dans tous les esprits des algériens qui ont perdu tout leurs repères identitaires historiques linguistiques amazighe au profit de l’arabe langue étrangère imposée et non pas naturelle et non as ancestrale dans l’histoire de l’Algérie qu’on le veuille ou non.

      MELLO
      16 juillet 2017 - 12 h 20 min

      Pourquoi ??? Difficile de répondre à de telles questions .
      Mais une chose est sûre, l’Algérie serait donc ce pays qui a si peur de la réalité . Complexe, les algériens auraient-ils tous trouvé leurs comptes dans le système actuel, dans cet univers de mensonges, de haine, de pillage, de corruption, de l’imposture généralisée, de trahison, de ruse et de faux semblants où la vérité, la confiance de l’autre et la sincérité sont strictement rationnées ? Et comme ça, dépité et outré, je me pose la question suivante : comment avec autant de tares et de défauts que nous traînons depuis que le monde est monde nous avons été capables de chasser la colonisation ? Comment avons-nous été capables d’un tel acte d’héroïsme et de solidarité ? Comment avons-nous été capables de mettre de coté nos petites différences et ressusciter les liens qui nous unissaient les uns aux autres depuis des siècles, Est-ce un accident de l’histoire ? En lisant chaque matin la presse, en parcourant les sites et les réseaux sociaux et où que j’aille à travers notre pays, l’odeur du séparatisme si fermenté réveille mes angoisses.

        Anonyme
        16 juillet 2017 - 12 h 52 min

        Toutes vos questions sont légitimes, moi même je me les pose. Le grave problème du peuple algérien réside dans la perte de ses repères identitaires, ce peuple a perdu sa personnalité algérienne authentique, il ne sait pas qui il est, ce qui nous expose à toutes les dérives, les mensonges, l’ignorance, la haine de soit, voilà comment on peut définir l’algérien, il ne sait pas qui il est, il rejette son identité authentique amazighe, il a développé un fort complexe d’infériorité vis à vis des bédouins féodaux arabes, le plus grave c’est qu’ils associent l’islam à l’arabe, c’est qui fait qu’ils idolâtrent tout ce qui ressemble de prés ou de loin à l’arabe. Pour eux les arabes sont sacrés, puisque le Coran est rédigé en arabe. Le peuple algérien est ignorant et profondément complexé vis à vis des arabes qu’il singe, alors que les arabes ne sont pas une référence pour nous, au contraire, c’es la pire des races. Les algériens confondent islam et arabe, ils sont empreint d’un fort complexe du colonisé vis à vis de l’impérialisme idéologique arabe.

          MELLO
          16 juillet 2017 - 13 h 30 min

          Toutes ces appréhensions sont légitimes, lorsqu’on sait que la classe sociale qu’est l’Elite Algérienne ne joue plus son rôle de guide ou d’éveil de consciences. Au lieu d’éclairer le peuple et de construire l’avenir de cette Algérie, elles se cachent derrière les idéaux de l’Islam, de la démocratie, de la laïcité, de l’identité- la fausse-, de la langue, pour mieux dissimuler leur ignorance, leur soif du pouvoir et leur façon de s’accommoder de l’injustice et de l’inégalité sociales croissantes. Elles pensent que mettre à mal l’Etat dans la conjoncture actuelle est une marque d’intelligence, de militantisme qui va les légitimer aux yeux du peuple. Mais comme disait Che GUEVARA, un pays où tous les dirigeants sont honnis par le peuple est un pays facile à conquérir et à domestiquer.

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