Près de la moitié des médecins autorisés à exercer en France sont Algériens

hôpitaux français médecins algériens
Les médecins algériens sont de plus en plus nombreux dans les hôpitaux français. D. R.

L’Algérie continue de pourvoir la France en médecins dans différentes spécialités ; les dernières statistiques sur les nouveaux médecins algériens autorisés à exercer en France confirment cette tendance.

En effet, sur une liste de 77 étrangers autorisés à exercer en France la fonction de médecin rendue publique récemment, 31 sont Algériens, soit un taux de 40,25%. C’est ce qui ressort des arrêtés publiés dans le Journal officiel de la République française publié du 25 au 27 juillet dernier.

Les 31 Algériens admis à travailler dans les différents services de santé français sont spécialisés en gériatrie, psychiatrie, gynécologie obstétrique et médecine du travail, outre la médecine générale.

Pour rappel, selon une étude du Conseil national de l’Ordre des médecins (CNOM) de France rendue publique en novembre 2014, plus de 10 000 médecins algériens exercent dans les hôpitaux français, ce qui représente 25% du total des médecins étrangers – au nombre de 40 354 – en activité régulière. Mais il convient de souligner que sur les 10 000 praticiens algériens recensés en France, seuls 27,1% d’entre eux sont diplômés en Algérie. Selon la même étude, les médecins algériens représentent 41% des psychiatres, 36.9% des ophtalmologues, 15.7% des gynécologues et 21.5% des chirurgiens étrangers.

Cependant, des précisions doivent être apportées à propos de ces chiffres. En effet, même si la France a un besoin accru de médecins, le diplôme de médecine algérien n’est pas reconnu systématiquement dans l’Hexagone. Selon un constat largement partagé au sein du corps médical en France, le niveau des médecins formés en Algérie était meilleur il y a dix à quinze ans.

Le président de l’Ordre des médecins, le docteur Bekkat Berkani, fait bien de dénoncer le fait que les médecins sont formés en Algérie et vont exercer en France. Mais la réalité est beaucoup plus complexe et nuancée que cela. Beaucoup de médecins algériens débutent comme simples infirmiers, en se procurant une autorisation délivrée par des instituts habilités, avec comme condition une formation à temps plein de 700 heures ou 20 semaines, répartis entre un enseignement théorique et un stage d’évaluation des compétences.

Pour pouvoir exercer en tant que médecin, la loi française du 1er février 2012 oblige les praticiens à passer un examen de vérification des connaissances pratique et écrit. Ils doivent également passer une période probatoire de huit à quinze ans dans des services de soins agréés pour la formation des médecins internes français.

Ramdane Yacine

 

Comment (36)

    medic
    1 août 2020 - 21 h 59 min

    c’est simple un médecin algérien thesè donc docteur en algérie devient FFI faisant fonction d intene en médecine soit un étudiant en medecine payé 1320€00 net. pendant 3 ans minimum
    un français interne qui a suit le cursus donc thèsé touche 2600€ il sera formé par l algérien

    Anonyme
    27 avril 2018 - 13 h 15 min

    Pour info, un médecin débutant en france est mieux considéré qu’un professeurs en algérie

    Yassiham
    9 août 2017 - 13 h 34 min

    On parle de médecins 6000 à 10000 Algériens inscrit au CNOM avec les mêmes droits et devoirs que tout autres médecins inscrit au CNOM. On ne parle pas de ceux non inscrit et non encore autoriser a exercer . Les choses ont changé . Vous allez dans n importe quel CH vous trouverz des Drs Algériens compétents qui assument leurs finctions avec competences reconnu en public ou dans le privé. Y a qu’ en Algérie ou les officielles du conseil de l ordre ou les anciens du ministère tiennent le même discours des années 80 90 et 2000 pour dénigrer les compétences des médecins Algériens.
    NON MR BEKKAT nous assurons notre art que la faculté Algérienne nous a enseigne dans les règles avec des compétences reconnues. Nous ne somme pas des demi médecins .

    Aboudesoufle
    9 août 2017 - 13 h 16 min

    Ouvrer , ouvrer la cage aux oiseaux..

    BEKADDOUR
    9 août 2017 - 12 h 16 min

    Anecdote vraie du vécu… En 1971, j’ignore le nombre de médecins algériens qui vivaient en France, pas beaucoup si j’en crois l’expérience vécue, avec le consulat d’Algérie à Marseille qui m’avait convoqué pour la visite d’aptitude au service militaire assorti d’un test d’évaluation sur la connaissance qu’un dit « émigré  » avait du pays de ses origines – je précise : Le consul était un Tlemcénien du nom de Gaouar (Je le dis à « Zoro » en passant, qui m’en veut de considérer l’ouest comme cas psychiatrique : Mon frère, détrompes toi, « qui aime bien châtie bien », nous en reparlerons inchallah) – eh bien, le médecin chargé d’évaluer nos aptitudes était un Français DE SOUCHE, et il avait pris la chose à la rigolade, il nous avait dit, nous étions une petite poignée : « Qui veut être apte, qui veut être inapte ! »…
    Je pense moi MAINTENANT à un pauvre inapte appelé « ministre des Moudjahidine » recruté par erreur!?

    Anonyme
    9 août 2017 - 11 h 58 min

    L’Algérie est devenue, telle que voulu par le clan au pouvoir depuis 62, le paradis des HB (Hamir wa Baghala). Tout ce qui sent l’intelligence est méprisé, dévalorisé et poussé à l’exil ou au désespoir.
    Et vive le 5ème mandat par procuration.

    salim
    8 août 2017 - 19 h 13 min

    De quoi faut-il qualifier ceci, si ce n’est de la trahison pure et simple. Ou un manque de savoir proche de la sauvagerie. Se faire former à l’œil en Algérie sans débourser quoique ce soit, et plusieurs de ces médecins n’ont même pas exercé en Algérie ne serait-ce que pour rembourser où s’acquitter de cette dette morale qu’ils ont vis-à-vis de leur pays.
    Que non, ils partent faire le bonheur des pays étrangers et de la là ils se mettent à insulter les autres restés au bled.
    De vrais caméléons.

      zaatar
      9 août 2017 - 12 h 49 min

      Il faudra aussi rappeler que ces exodes sont voulus par les formateurs même du pays, c’est à dire nos dirigeants. Autrement, si une politique adéquate était appliquée à l’égard de nos universitaires et autres diplômés pour qu’il reste au pays, on n’aurait certainement pas connu des exodes massives de la sorte. Bref, tout le monde sait que le problème du pays n’est pas là…que si les médecins, les ingénieurs, les informaticiens et autres diplômés foutent le camp c’est bien pour autre chose et c’est aux dirigeants du pays d’y remédier. L’être humain dans sa nature aspire seulement à bien vivre et peut importe l’endroit sur la planète. Et naturellement il choisit l’endroit qui lui sied le mieux.

    nacer
    8 août 2017 - 10 h 11 min

    Nous sommes beaucoup plus nombreux que vous le croyez. et nous portons tous l’Algérie dans nos cœurs. La même phrase est répétée pas tous les cadres d’origine Algérienne: « pourquoi on ne peut pas faire chez nous ce qu’on fait ici? » Demandez à M Bouteflika, il a certainement posé cette question aux médecins d’origine algérienne qu’il a rencontrés en France au cours de ses séjours répétés.
    Dr N.B (produit Algérien remodelé en France)

      zaatar
      8 août 2017 - 12 h 36 min

      Bientôt les médecins Algériens seront beaucoup plus nombreux en Allemagne qu’ailleurs. C’est un bon filon qui a été trouvé. On ne pourra pas, cependant, poser la même question à M.Bouteflika qui n’a pas fait de séjour en Allemagne pour des soins. On le saura peut être après…plus tard.

      Anonymaoui
      8 août 2017 - 19 h 13 min

      Justement Dr. NB pourquoi vous ne faites pas chez vous ce que vous faites dans les hôpitaux français ? Pourquoi en France vous êtes polis, à l’écoute du malade, toujours souriant, disponibles , ponctuels, de bonnes tenues et hygiène corporelle mais pas lorsque vous exerciez chez vous?
      Quelques hypothèses : le dinar algérien n’est pas motivant, les poursuites judiciaires pour erreurs médicales sont presque inexistantes, la docilité des malades et de leurs proches, le corporatisme et les syndicats voyous, les protecteurs tapis dans les rouages de l’État et la liste reste ouverte. C’est la réalité quelques soient vos argumentaires.

        zaatar
        9 août 2017 - 8 h 51 min

        On a bien donc les dirigeants à l’image de tous ce que l’on constate. Le principe de cause à effet est bien évidemment respecté.

          Anonymaoui
          9 août 2017 - 12 h 18 min

          Même si mon commentaire ne vous concernait pas parlons-en de la « dirigeantite aiguë  » qui semble vous hanter à longueur de colonnes de ce site patriotique à plus d’un titre. Qui est dirigeant et qui ne l’est pas.
          Restons dans le secteur de la santé où à mon avis un chef de salle de soins, un chef de polyclinique, un chef de service dans un hôpital et un directeur d’hôpital sont des dirigeants de ces structures dotés de prérogatives et de moyens leur permettant d’exercer leur autorité pleine et sans partage. Les chefs de services dans les grands hôpitaux en sont l’exemple vivant. Donc les dirigeants ne sont pas si loins des lieux des abus et des souffrances ils sont partie prenante. Ils ne faut surtout pas les deresponsabiliser de leurs actes et imputer l’erreur au responsable hiérarchique.

          zaatar
          9 août 2017 - 13 h 13 min

          C’est à dire pour vous, pour rester dans le secteur de la santé, un hôpital qui enregistre des décès à outrance à longueur d’années, des services à prestations catastrophiques, on devraient les imputer aux chefs de services de cet hôpital, au Directeur de cet hôpital, au chef de soins…etc, et on continue ainsi année après année. c’est d’ailleurs ce qui est constaté dans tous les hôpitaux d’Algérie à peu de chose près…tout le monde crie à la catastrophe et ce sont ces chefs de service et directeurs d’hôpitaux en premier…Comme ça dure depuis longtemps, cela voudra dire que même s’ils ont été remplacés c’est toujours pareil…cherchez l’erreur…

        nacer
        9 août 2017 - 13 h 48 min

        je vous donne 2 exemples qui pourraient être une réponse (cela m’est arrivé quand j’étais interne à CHU Oran): Une fois le surveillant, je dis bien le surveillant!! m’a insulté parce que pour lui je travaillais beaucoup et du coup, ça lui donne du travail (stérilisation du matériel de Bloc opératoire).
        la 2ème anecdote, un jour, je n’ai pas trouver des seringues pour faire l’anesthésie locale à un patient et personne ne voulait m’aider, même ce fameux surveillant, et j’ai commencer à gueuler, et c’est une FEMME DE MENAGE qui est allée me chercher une seringue de son casier……
        et j’en ai plein d’autres histoires, pourtant je n’ai travaillé qu’un an en Algérie. Ici, je ne m’occupe que du patient, pour le reste chacun fait son boulot correctement.

          Mohamed
          23 février 2018 - 16 h 27 min

          Dr Nacer je suis étudiant en médecine et je voudrais savoir qu’elles sont les démarches à entamer pour pouvoir exercer en France plus tard vu que c’est difficile d’intégrer un curcus en médecine dans une université française
          Merci de me répondre, cordialement

    Anonyme
    8 août 2017 - 8 h 11 min

    Ce n’est pas le fait du hasard si le choléra islamiste est soutenu et glorifié par les services spéciaux étrangers,la cruauté des sadiques du FIS voilés d’islam de surcroît a été derrière l’exil forcé de nos meilleurs cadres,principalement vers la France d’où émanaient les fameuses Fatwas pour massacrer les Algériens.

    226
    8 août 2017 - 3 h 26 min

    l’Algerie a un besoin fort pour les psychiatres.

    Anonyme
    8 août 2017 - 1 h 00 min

    il faut être humain en France pour exercé et tout les médecins en France avt de pratiquer prête sur le serment Hippocrate et pas hypocrites donc j ai vu des anesthésistes car la France en manque et j ai vu quelque chefs de service mais non titulaire et loin du salaire de Jean Luc et cela leur diplôme est reconnu et reformé ,homologué par leur soins et ceux ci prête serment en France car ils ne peuvent point pratiquer sinon ;c’est un état de droit et la médecine il blague pas avec ; ce n est pas une vulgaire marchandise ;le reste la plupart font la sécurité à Leclerc ou au Mac Do et la France repère tt de suite les imposteurs car en France le piston n’existe pas en médecine seule les compétences compte et un rapport est fait sur chaque médecins par d autres experts . ils étaient médecins en Algérieet bcps se retrouve mecano du dimanche ou boulanger en pain chaud ; fft arrêter vos balivernes ; y en a des compétents mais beyenine ca se voit au charisme leur compétences et à leurs simplicités comme sur leurs collègues Français ils le montre pas ; les autres des mauvais comédiens ca marche qu en Algérie leurs salades leurs arrogances ici ils sont vite fait reperé ; il est lieutenant capitaine en Algérie il se retrve a faire de la sécurité a carrefour c’est pareil!

    Anonyme
    8 août 2017 - 0 h 09 min

    avec la kharabisation de tout ce qui bouge , nous ne pourront bientôt exporter que des docteurs es belahmar et dont on trouvera les flyers dans les boites aux lettres d’immeubles pour proposer des services hautement scientifiques tels les désenvoutements, le retour du mari , etc… la destruction de l’Algérie est en bonne voie!

    Anonyme
    7 août 2017 - 23 h 12 min

    @@@ : JUSTE IMPOSSIBLE.
    Je confirme ce que tu as dit.
    Je ne sais pas comment ils font pour sortir des chiffres sans vérifier leurs sources.
    Il n’y a pas un seul hôpital en France ou il n’y a pas au minimum 2 ou 3 algériens exerçant comme médecin spécialisé .
    Et ils sont vraiment très compétent et appréciées.

    JUSTE IMPOSSIBLE
    7 août 2017 - 21 h 58 min

    ce post est à revoir , rien que dans ma famille j’ai 4 medecins qui exercent en France dont un cardio …donc dire 31 excusez moi mais ….savez vous qu’il ya presque 10 000 algeriens en France ayant le diplome de medecin ? le savez vous ? faites votre enquéte et vous verrez …merci

    BEKADDOUR
    7 août 2017 - 19 h 17 min

    ADDITIF… Notre Frère Mohammed Boukharrouba revenait d’un hôpital d’U.R.S.S, ceci pour précision ou rappel

    BEKADDOUR
    7 août 2017 - 19 h 15 min

    Je vous l’écris sous forme d’énigme… Houari Boumédiène revenant d’U.R.S.S en survolant le territoire français, qui avait Giscard pour chef d’état… Boukharrouba Mohammed notre meilleur vrai Frère, il ne fut pas le seul Frère Vrai, avait adressé un message au très catholique Giscard qui contenait ce résultat EN FILIGRANE, mais encore un peu, patience, la vérité apparaîtra aux yeux DU MONDE ENTIER : Tahya El Jazaïr parce qu’Aimée de Dieu !

    Anonyme
    7 août 2017 - 18 h 37 min

    LA QUESTION QUI POUSSENT CES MEDECINS ET PERSONNELS MEDICALS A FUIR LE PAYS ? ALORS QUE LA PRISE EN CHARGE DES MALADES EST CATASTROPHIQUE .; ET LES INFORMATIONS QUI NOUS PARVIENNENT SONT INQUIETANTES ; avec l argent detournes illegalement vers l etranger suffit emplement a retenir ces medecins en algerie !

    Terraillon
    7 août 2017 - 14 h 53 min

    Ici chez nous on peut être médiocre et devenir professeur et même chef de service ,croyez moi qu’ils sont majoritaires.
    Je connais des profs corrompus, d’autres qui s’occupent de garage de contrôle technique véhicules sous le nom de madame, d’autres généralistes qui on fait des DIU et sont devenus par la grâce des commissions d’équivalence # et leurs familles_ hauts placés _# spécialistes et professeur bien-sûr.
    Une majorité font de la médecine «Airways» car passes plus de temps à voyager, pris en charge pour des congrès ,que de s’occuper de leurs élèves , allez voir les thèmes de certaines thèses de professorat soutenues …
    Les pépites existes et existeront toujours le truc est de savoir les garder dans la fonction publique là où ils pourront être le plus profitables .
    Debauchez des prof retraités de renommée internationale, logez les au club des pins et laissez les faire ce qu’ils font de mieux c’est à dire faire de la médecine et former, vous verrez dans une génération ou deux, ça ne coûtera pas plus cher que ce qu’on dépense en ce moment.

    #######
    7 août 2017 - 14 h 38 min

    Immaginer que le gouvernement Algérien les paye deux fois plus: il n’y aurait plus de Medecins en France ! La fuite des cerveau comme un coup de théatre…

    Malik
    7 août 2017 - 14 h 21 min

    Effectivement, les médecins formés en Algérie sont employés comme auxiliaires (sous-médecins en quelque sorte) des médecins français. Ils préparent le dossier médical (questionnaire sur les symptômes, pathologie etc… des patients entrant en milieu hospitalier) ou sont cantonnés dans les services d’urgence, qui sont fuis par la majorité des médecins français à cause des contraintes.
    Quant aux salaires des médecins algériens, ils sont moindre par rapport à ceux de leurs confrères français (cursus oblige!!!). Voilà la triste réalité !!!

      nacer
      8 août 2017 - 14 h 19 min

      Bonjour MALIK. vous avez entièrement raison, c’était la vérité il y’a quelques années (je suis passé par là, apprentissage et diplôme étranger obligent..); Mais les choses ont changé et les médecins étrangers ont les mêmes fonction et responsabilité que leur collègues Français et par conséquent le même salaire selon une grille salariale établie par le ministère de la santé. Après avoir passé avec succès le contrôle de connaissance et passé le concours national de Praticien Hospitalier…j’en suis témoin

        Chahra
        9 juillet 2019 - 10 h 32 min

        J’aimerais avoir quelques informations à propos des equivalences svp!!!

    Anonyme
    7 août 2017 - 13 h 52 min

    Les médecins algériens diplômés avant les années 80 étaient admis à exercer en France sans aucun problème. L’équivalence des diplômes était une simple formalité. Beaucoup d’eau à coulé sous les ponts depuis cette période faste pour l’université algérienne… hélas !

    Nasser
    7 août 2017 - 13 h 40 min

    Le titre est trompeur: Il fallait préciser… médecins  » étrangers »
    En plus « 31 » pour toute la France c’est négligeable; ne nécessitant pas un article.
    Cela rappelle cette anecdote : la moitié de la flotte de guerre de … a été coulée ! ( la flotte était composée de 02 bateaux)

      zaatar
      7 août 2017 - 14 h 47 min

      C’est dans l’article: « Pour rappel, selon une étude du Conseil national de l’Ordre des médecins (CNOM) de France rendue publique en novembre 2014, plus de 10 000 médecins algériens exercent dans les hôpitaux français, ce qui représente 25% du total des médecins étrangers ».
      Peut être que ça vous a échappé.

        Nasser
        7 août 2017 - 16 h 28 min

        J »ai bien lu. Je parle du « titre » qui ne correspond donc pas à ce qui est dit dans l’article:
        – Près de la « moitié » (soit 40/%) c’est par rapport au total « étranger » on peut comprendre que c’est par rapport au total des médecins en France qui est de 25%

          zaatar
          8 août 2017 - 7 h 47 min

          Ce qui signifie pour vous que les médecins Français sont soumis aussi, au même titre que les étrangers, à autorisation pour exercer. Ce qui est une aberration évidemment. Vous savez pertinemment que les autorisations de travail sont délivrées aux étrangers et non aux résidents Français. D’autre part, le chiffre 31 est juste une correspondance sur la liste publiée des 77 étrangers autorisés à exercer en France…vous faites bien donc un méli- mélo des informations de l’article.

    zaatar
    7 août 2017 - 11 h 39 min

    Même s’il débutent en tant qu’infirmier avant d’accéder à la profession de médecin, toutes les bases nécessaires au préalable ont été acquises ici en Algérie et c’est la France qui en profite après une formation complémentaire. Donc la formation de ces médecins Algériens leur revient beaucoup moins cher. Mais bon, la finalité n’est pas là.
    Le vrai problème réside en l’exode massif des compétences Algériennes, tous secteurs confondus, et ça nul besoin de le démontrer. Et les raisons sont connues de tous. Ce sont les mêmes qui font que bientôt il y aura des pénuries chez nous comme au bon vieux temps.

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