Le rappel à l’ordre du Président : ce que Bouteflika reproche à Tebboune

Bouteflika Conseil des ministres
Le président Bouteflika lors des élections de mai 2017. New Press

Le Président Abdelaziz Bouteflika aurait rappelé sévèrement à l’ordre la nouvelle équipe gouvernementale, à sa tête Abdelmadjid Tebboune. Selon le journal Ennahar, connu pour être proche des cercles de décisions, le chef de l’Etat aurait adressé une instruction à caractère urgent au Premier ministre afin qu’il mette un terme à ce qu’il qualifie de «véritable harcèlement des opérateurs économiques».

Le Président Bouteflika, ajoute la même source, aurait exprimé sa «déception» quant à «la médiatisation exagérée de l’action du gouvernement». Le chef de l’Etat aurait ainsi appelé dans ce sillage le gouvernement à cesser de faire de la publicité à son action. Le Président Bouteflika, toujours selon la même instruction, aurait demandé au gouvernement de cesser de faire pression sur les walis pour bloquer le foncier industriel et de rappeler les équipes des inspecteurs et contrôleurs du ministère du Commerce et des Finances dépêchées sur le terrain pour «exercer» des pressions sur les opérateurs économiques.

Par la même instruction, Bouteflika reproche au gouvernement d’Abdelmadjid Tebboune d’avoir puisé dans l’argent destiné au financement des investissements productifs pour poursuivre le programme de construction des logements promotionnels publics. Les griefs du chef de l’Etat contre le Premier ministre et son action ne se limitent pas à cela. Le président Bouteflika reproche à son Premier ministre sa façon de faire. Il lui demande de cesser de «faire pression sur les walis» sur le dossier du foncier industriel.

Dans cette instruction-remise à l’ordre du Premier ministre, le chef de l’Etat ordonne également à l’équipe gouvernementale de libérer toute marchandise ou équipement bloqués au niveau des ports à cause de la mise en place des licences d’importation.

Cette instruction du chef de l’Etat sonne comme un désaveu pour le Premier ministre qui s’est distingué dès sa nomination par un nouveau style et une action bien médiatisée. Cette médiatisation semble ainsi déplaire au chef de l’Etat, qui l’a déjà relevé dans son instruction.

Hani Abdi

Comment (64)

    Inquiet
    10 août 2017 - 21 h 09 min

    LA PRISE DE CONSCIENCE, LA SOLIDARITE, ET L’UNITE DU PEUPLE ALGERIEN
    AVEC SES ELITES NATIONALISTES INTEGRES, SINCERES, COMPETENTES,DEMOCRATIQUES
    POUR UN CHANGEMENT CIVILISE, DEMOCRATIQUE, PACIFIQUE, ET RESPONSABLE

    L’UNION CONTRE LA CORRUPTION, LA RUSE POLITIQUE ,
    LA SUPERCHERIE ECONOMIQUE- FINANCIERE-FISCALE, L’OPPORTUNISME, LA DIVISION, ET L’AVILISSEMENT DE L’ALGERIE,, DE SES INSTITUTIONS, ET DE SON PEUPLE

    L’UNION CONTRE LA MENACE DE LA DISPARITION DE L’ALGERIE, EN TANT QU’ETAT,
    AVEC SES INSTITUTIONS LEGITIMES, ET LEGALES, DE PLUS DE CINQUANTE CINQ ANS
    DE SON ECONOMIE BRADEE A VIL PRIX, ET EN TANT QUE PEUPLE MILLENAIRE,
    VIVANT, ET JALOUX DE SA PERSONALITE, ET DE SON INDEPENDANCE CHEREMENT ACQUISE

    Anonyme
    9 août 2017 - 22 h 22 min

    Le président nommé son PM et son gouvernement ; l exécutif ordonne au législatif par une feuille de route une politique économique et social et sécuritaire ; ce Mr Teboune applique cette feuille de route et forcement ca ne plais pas à une caste qui a élaboré un système opaque ; ce Mr Teboune fait un inventaire de son prédécesseur Mr Sellal ou bcps ont profité d un système qui aimeraient pérenniser à long terme mais ce Mr PM Teboune que je ne connais pas mais qui m a l air d etre un patriote et se soucier de l avenir de son pays et de son peuple veut mettre un grand coup de pied à cette fourmilière . Mr Chirac à dit à Mr Sarkosy ministre de l intérieur à l époque ; j ordonne et tu t exécute et dans un état de droit . le PM en France chef du gouvernement est le patron de la politique intérieure du pays tt en suivant la feuille de route de l exécutif le président. ca doit être la même puisque ns suivons svent le modèle Français même au niveau des lois . donc Mr Teboune n est pas une marionnette je pense et fera ce qu on lui a demander de faire mais doit avoir le soutien du president et de l ANP et surtout du peuple algérien ds sa mission pr l intérêt suprême du pays et de son avenir .

      Marre du khorti
      10 août 2017 - 3 h 33 min

      « l exécutif ordonne au législatif par une feuille de route une politique économique et social et sécuritaire » ??? Oui, en Algérie, pays où les institutions ne sont que des façades, mais dans les pays démocratiques, en vertu du principe de séparation et d’indépendance des pouvoirs (éxécutif, législatif, judiciaire…), l’exécutif n’a pas normalement à ordonner quoi que ce soit au législatif.

        Anonyme
        11 août 2017 - 0 h 39 min

        le président Bouteflika a bien nommé Mr Teboune PM ainsi que le président Macron a nommé Edouard Philipe PM ; ses deux premiers ministres suivent la feuille de route de leurs présidents respectifs qui les ont nommé même en France tu vois ; il applique la politique et le programme de Macron ; la ou je te rejoins la démocratie signifie les pouvoirs séparés  » la justice  » et qui n est pas en Algérie indépendante du pouvoir à la différence d une vraie démocratie comme la France un état de droit ; mais en attendant ttes les ordonnances de justices et les peines sont rendus  » au nom du peuple algérien  » même si pr bcps ca reste une façade mais on ne peut condamner sans articles de lois même en Algérie je ne pense pas qu’on juge au faciès mais avec des faits des preuves et des témoignages et je pense qu en Algerie les algériens ne sont pas envoyé en prison si ils n ont rien fait d illégal ; même ds les pays démocrate les plus fort les plus riches s en sort mieux que les autres dvt l éducation; la médecine et la justice c’est une triste réalité du au capital finance ; seul le PM espagnol ;anglais; pays bas et Belgique car ils ont des rois et reines donc mènent leurs propres gouvernances ; mais la GB il doit être investi par la reine malgré le vote démocratique qu il soit travailliste ou conservateur et remet sa démission qd il quitte son poste a la reine .Ainsi que la chancelière allemande sont vraiment les patrons de la politique gouvernementale interne . Enfin l Algerie n est pas la France et n a pas de 5 eme republique et l executif ds ses pays sont le president et le gouvernement ; le législatif est plutôt le parlement ou qd il y a cohabitation entre un pm elu aux élections législatives en France . l Algérie reste souveraine et n est pas laïque donc de fait elle est illicite ds la constitution et ds ses lois et ca personne ne le changera je pense en Algérie et autres pays arabes musulmans ; terre d islam contrairement à la France terre chrétienne n est pas forcement un modèle mais la justice est indépendante du pouvoir en France ; tt citoyen est justiciable sauf le président pdt son mandat.

    Mohamed
    9 août 2017 - 22 h 03 min

    Notre chère Armée Nationale Populaire, l’A.N.P, doit sauver le pays, ses institutions, son économie
    Et son peuple, otages d’un clan affairiste parasitaire, mafieux, et vorace, depuis 1999,
    Qui a ruiné l’économie,du pays et sa base productive de richesses, devenue une économie des importations
    Et appauvrit , avilit , et humilie son peuple

    Krim
    9 août 2017 - 21 h 51 min

    Manoeuvres, et calculs politiques pour les élections présidentielles 2019
    D’un coté :
    L’économie informelle, et des importations, création d’une société de consommation,
    Le libéralisme sauvage commercial, et de services, sans bases agricoles, et industrielles solides
    La domination d’une oligarchie minoritaire, opportuniste, parasitaire, et incompétente
    Et la marginalisation de l’état, de ses institutions, et du peuple

    De l’autre coté;
    La légalité de l’état, l’état de droit, les institutions fortes, les investissements productifs
    Sources de créations de richesses, d’emplois, et de surplus pour les exportations
    Bref, la reconsidération du role de l’état , et de ses institutions

    Djamel BELAID
    9 août 2017 - 20 h 26 min

    Mr Tebboune mérite de réussir. Il a toute notre sympathie. Sa réussite passe également par un ferme engagement de la société civile dans le soutien à son action. Djamel BELAID.

      anonymus
      9 août 2017 - 21 h 10 min

      un geste de Gaid l’aiderait beaucoup
      ca a été fait pour amar saadani

        Djamel BELAID
        9 août 2017 - 22 h 37 min

        Le meilleur soutien est celui de la rue. Un soutien populaire massif contre les prédateurs de l’économie nationale. Quant aux décideurs du pays, ils doivent nettement orienter le mandat en cours vers plus de bonne gouvernance. Les prédateurs doivent être livrés à la justice et être sanctionnés. Cela apportera plus de soutien à la direction politique actuelle pour les défis qui nous attendent. Djamel BELAID.

          Mohand
          10 août 2017 - 18 h 06 min

          Cher ami,
          le peuple est terrorisé par son vécu et comme vous les savez, la moindre manif pacifique est interdite depuis 1999, les prédateurs sont considérés comme des génies dans notre pays et quant au gouvernement, de manière générale, il n’y a rien à attendre d’eux.
          Le pays leur appartient, nous, on doit les remercier de nous laisser vivre dans leur propriété, et puis, ils sont tellement intelligent et nous, nous sommes encore seulement des indigènes illettrés et incultes, c’est la continuité du colonialisme, la seule différence, c’est que les colons aimaient le pays et ces derniers, je ne crois pas que c’est le cas, en tout cas, il n’y a rien dans leurs actes qui ferait penser à l’amour du pays.

    Ferhat
    9 août 2017 - 16 h 53 min

    Quelle Bêtise…. Faut -il que ça soit par voie de presse. Il suffisait au président d’appeler son premier ministre pour lui signifier cela, sans remue ménage … toutes ces supputations ne sont qu’une guéguerre pour les intérêts des uns et des autres au sein du pouvoir….Entre-temps le peuple algérien reste spectateur. L’Algérie de 2017 pour laquelle se sont scarifié les Didouche, Abane, Ben Mhidi, Amirouche, et autres est devenue la risée du mon entier…… Jusqu’à quand cela va – t -il durer ?

    prédator.dz
    9 août 2017 - 16 h 17 min

    Il y a une chose que je voudrais comprendre dans ce pays, toutes les luttes pour le pouvoir, avec le pouvoir ou contre le pouvoir se font à la sauce kabyle ? Soit en utilisant la menace kabyle (supposée ou réelle), ou bien en remontant les kabyles les uns contre les autres, soit en les utilisant pour la corvée de cuisine, soit en leur faisant porter le chapeau (les bonnets d’âne), en un mot les kabyles ressemblent à ce légume « roi » qu’est l’oignon. Lorsqu’il est absent dans une sauce le goût n’y est pas. le plus drôle dant tous ça ce sont les kabyles eux même qui sont toujours chargés de la corvée de l’éplucher! les larmes sont garanties d’avance!

      MELLO
      9 août 2017 - 17 h 59 min

      Aujourd’hui comme hier , la presse privée aux ordres et les médias publiques embrigadés , ont pour mission de porter la façade démocratique et de fabriquer l’opinion intérieure et internationale ; par campagnes successives ils se mobilisent pour organiser la confusion et la désaffection politiques , encourager la résurgence de toutes sortes d’archaïsme , et tout spécialement pour réactiver le spectre de l’intégrisme . La préoccupation étant , comme toujours , soit de reconduire les notabilités et les élites domestiquées de la société civile et politique soit d’en promouvoir .d’autres après les avoir programmées .Il n’y a là , décidément ,rien de nouveau dans ce processus rôdé à longueur de décennies : les mêmes manipulations tactiques au service d’un objectif stratégique immuable : Recomposer le champ politique pour ne pas en perdre la maîtrise .  » Il fallait bien que quelque chose change pour que tout puisse rester comme avant »
      Pour nous, Algériens, l’heure est venue de tirer ensemble les leçons de notre histoire, de nous écouter les uns les autres par-delà les différentes chapelles, de débattre de nos échecs pour rendre une actualité aux idéaux de Novembre et trouver les conditions de leur réalisation. C’est la seule garantie pour éviter une véritable bombe à retardement : la dislocation d’une majorité de la société exclue de toute retombée de la manne pétrolière et gazière. C’est l’unique voie pour soustraire l’ Algérie à une instabilité permanente nourrie par l’absence de volonté réelle de réduire les tensions régionales qui empêchent tout processus d’intégration de notre pays.

    Benarbi Lahcène
    9 août 2017 - 15 h 42 min

    Franchement et sincèrement chers amis internautes algériens, rien qu’avec une image pareille de « notre » Président, est-ce qu’on peut croire qu’il (Bouteflika) est capable de rappeler à l’ordre quiconque ou de faire quoique se soit !

    Il est connu qu’un être humain affaibli, incapable de se faire comprendre par les autres, est incapable personnellement , donc en personne, de « mettre de l’ordre » ou de « rappeler à l’ordre » quelqu’un ??? !!!! Avec tous le respect qu’on peut avoir pour Bouteflika. On ne peut lui souhaiter qu’une retraite digne et une fin de vie digne et de la considération aussi bien pour lui que pour notre chère Algérie !

      Nasser
      10 août 2017 - 18 h 07 min

      c’ est juste difficile à croire et c’ est pout cette raison que je pense que c’ est un coup monté contre le 1° ministre,

    AISSA
    9 août 2017 - 15 h 31 min

    LAISSER L’HOMME BOSSER IL EST DROIT DANS SES BOTTES.

    LE NUMIDE
    9 août 2017 - 14 h 36 min

    LE NON DIT DE BOUTEFLIKA: il reproche à Teboune et ses ministres d’avoir verser dans la facilité et d’avoir preter le flanc à un jeu médiatique folklorique malsain de ressentiment intégriste entretenu sciemment par les cercles wahabo-baathistes de face book et du parti HMS , contre les operateurs économiques et au détriment de l’efficacité et du bon sens de la politique de la stabilité dans une conjoncture fragile et minée de dangers .. Nous ne pensons pas Mr Tebboune un fanatique de la guerre régionaliste et idéologique anti- kabyle ( nous ne le connaissons pas ) c’est apparemment un homme d’Etat vu sa longue expérience , mais les faits sont là , il a été entrainé peut être même son insu par ce jeu diabolique de Mokri et Bouteflika est assez malin pour savoir que derrière ces irruptions folkloriques antifrançaise et anti Hadad avec le volontarisme de Tebboune comme alibi , et tout le boucan qui fut lancé dans les réseaux sociaux intégristes et crypto-baathistes c’était sa personne qui était visée .. Le volontarisme du nouveau gouvernement a été manipulé et squatté par les agitateurs professionnels de MOKRI et parasité et mobilisé par cette compagne en lame de fond des cercles idéologiques menés par les frères musulmans et les résidus du Baath , en apparence contre certains operateurs économiques en les connotant sur les thèmes de leur appartenance régionale kabyle , mais en vérité pour régler des vieux comptes idéologiques du « Printemps arabe » , par la provocation et secouer le cocotier de la politique de stabilité et d’équilibres nationaux prônée par Bouteflika surtout dans son état de maladie .. Ce qui indispose gravement la raison d’état dont tout président algérien incarnation de la nation est garant et ce dont Tebboune ne s’ en est aperçu que trop tard .. certains cercles proches du gouvernement ont eu cette tentation malsaine et c’est une faute grave

    !!!
    9 août 2017 - 13 h 05 min

    Notre président à été séquestré par des anti-Algériens avec des intentions plus que douteuse de faire main basse progressivement sur notre territoire !
    Merci AP, de passer mon message !!!!
    J’espère que notre futur président ne sera pas placé par un pays étranger et j’espère qui sera ultra NATIONALISTE comme BOUMEDIENE, empoisonné après avoir nationalisé nos hydrocarbures et nos mines (…)

      malik
      9 août 2017 - 17 h 33 min

      Teboune n’a, apparemment, pas bien saisi sa feuille de route et il a confondu entre vitesse et précipitation. Il s’est attaqué à un pacte économique et social qui constitue un modèle de dialogue social à travers le monde et que le président est l’artisan principal et c’est autour de sa personne que ce consensus est construit.
      Il s’est acharné contre les entrepreneurs et il a crée un climat de peur chez la population avec le début des pénuries.
      Il est tout à fait normal qu’il soit rappelé à l’ordre par celui qu’il l’a nommé et à qui il doit rendre compte de ses actes et décisions.

        anonymus
        9 août 2017 - 21 h 15 min

        on ne peut cacher la foret avec un arbre
        bien mal acquis ne profite jamais

    Anonyme
    9 août 2017 - 12 h 05 min

    Je ne crois pas un seul instant que c’est de l’enfumage .Vous leur attribuez trop d’intelligence. Je dirai que nous sommes arrivés à l’incurie et je pense que là haut ,les mafieux se préparent à fuir le bateau.

    Amar
    9 août 2017 - 11 h 52 min

    Vous l’aurez compris, dans ce pays pas une tête ne dépasse, le patron s’appelle désormais Bouteflika, reste à savoir lequel?
    L’homme providence, revenu au chevet d’une Algérie malade.
    Force est de constater que le remède pour sauver ce pays s’éloigne chaque jour encore un peu plus.

    Anonyme
    9 août 2017 - 10 h 51 min

    Surement une manipulation des Marocains et de leur roitelet Momo 6 pour détourner l’attention sur les évenements du Rif et jaloux qu’ils sont des avancées démocratiques et économiques de notre chère Algérie !

    Abbane
    9 août 2017 - 10 h 40 min

    DU CINÉMA, QUI PROUVE QUE C’EST le président et non le frère l’auteur. Un scandale, du jamais vu sur la planète !! Ça suffit d’humilier ce peuple

    Ammar
    9 août 2017 - 9 h 07 min

    L’informel s’est imposé comme pratique économique et maintenant comme pratique politique gouvernementale!… l’ère de la gouvernance informelle?
    C’est un aboutissement logique d’un processus politique qui ne reposait pas sur un projet de société, mais sur l’intérêt d’un groupe au-dessus de l’intérêt de nation

    moi
    9 août 2017 - 8 h 18 min

    les dollars épuisés faut passer à la distribution du foncier aux amis et copains et le trône sera épargné

      zaatar
      9 août 2017 - 9 h 29 min

      Pas mauvais comme réflexion. Elle sent tout aussi juste…

    elhadj
    9 août 2017 - 8 h 07 min

    apparemment le pays est dirige a l aveuglette puisque ceux qui sont censés le gérer selon la volonté populaire et un programme élaboré dans la bonne entente et dans un cadre républicain se critiquent par le biais de la presse sans qu on s adresse directement au peuple souverain.il y a quelque chose qui risquerait de créer une situation inquiétante pour la stabilité du pays des lors que des forces pour le moins obscures déstabilisent l action du premier ministre .tant que le president de la republique absent physiquement de la scène politique ne s adresse pas de vive voix au peuple;n organise pas périodiquement des conseils des ministres;ne représente plus le pays dans les forums a l Etranger;ne reçoit pas les dirigeants étrangers en visite en Algérie ,les citoyens demeurent convaincus que le pays n est pas constitutionnellement dirige par celui qu ils ont élu.ces supputations affectent la confiance des citoyens,créent un climat malsain pour l avenir .n est il pas plus indique d organiser une élection présidentielle anticipee comme l a fait notre valeureux et respecte ZEROUAL pour le bien et la stabilité du pays

    Benhabra brahim
    9 août 2017 - 7 h 54 min

    Darwin avait raison???!!!!!…….l homme descend du singe.

    Rayés Al Bahriya
    9 août 2017 - 5 h 05 min

    Qui dirige l’état?

    Qui décide?

    Allah yestar

    Waali
    9 août 2017 - 2 h 33 min

    le seul premier ministre ,depuis l’indépendance; à être encensé par une grande partie du peuple est vertement remis à l’ordre par le président …allez y comprendre quelque chose!

      GENSERIC
      9 août 2017 - 5 h 13 min

      Encensé !!!!
      un larbin, qui vient aux ordres à Paris !

      prédator.dz
      9 août 2017 - 8 h 35 min

      vous autres quand vous êtes aveuglés par la haine envers des personnes, vous semblez prêts à vous allier même avec Israel pour avoir le dernier mot, omettant au passage qu’il s’agit là de la souveraineté et la sécurité nationales. réveillez vous! la france n’a jamais été et ne sera jamais notre allié, seuls les rapports de force détermineront la nature de ces relations. ni Tebboune ni personne n’a le droit d’hypothéquer. Maintenant si certains se sentent obligés de proposer leurs « bons offices » en espérant en retour des facilitations pour leurs visas, c’est vendre au rabais sa fierté.

    Rayés Al Bahriya
    9 août 2017 - 1 h 06 min

    Quelle tohu bohu

    MELLO
    8 août 2017 - 23 h 07 min

    Voulant s’aventurer sur un terrain honnis par la majorité des Algériens, Mr TEBBOUN avait cru bon d’effacer toute cette pègre pour avoir cette majorité d’Algériens de son coté, mais il s’est vite retrouvé face une muraille constituée de Oulmi, Bairi, Mazouz, Blikaz Hasnaoui, Dennouni, Metidji, Benhamadi et plusieurs autres milliardaires , tous proches de Saïd Bouteflika. Cette histoire , nous rappelle, sans commune mesure , celle de feu Md BOUDIAF qui avait voulu avoir tout le peuple de son coté, malheureusement, une seule hirondelle ne fait jamais le printemps. Ces hommes d’affaires ont confié dans leur missive adressée au … frère du Président que le nouveau Premier Ministre ne croit pas au consensus et fait cavalier seul pour imposer des mesures économiques comme le blocage des importations et les révisions de plusieurs projets validés par son prédécesseur Sellal. Ces richissimes entrepreneurs ont expliqué que l’économie nationale va beaucoup pâtir des décisions hâtives et brutales de Tebboune. Normal, quand on laisse un cancer métastaser, aucun traitement , » chimiothérapique » soit il , ne pourra venir à bout. Les racines de ce mal sont très profondes, vieilles de près de vingt ans , c’est à dire depuis l’arrivée des Bout.. au pouvoir. Mr TEBBOUN doit s’estimer heureux s’il doit encore président cette tri-partite prévu en Septembre. Il ira , probablement rejoindre ce lot de cadres qui se considèrent élites. Quel que soit le secteur ou l’institution considéré du développement (culture, éducation, santé, agriculture, économie), on assiste partout à l’incurie notoire des élites, absolument aveuglées par la course au pouvoir, la recherche des prestiges, de la gloire perdue depuis novembre 1954 et très enclins à s’approprier les richesses publiques pour une consommation immédiate incontrôlée.

      Bison
      9 août 2017 - 7 h 08 min

      Je pense que pour le  » projet d’assainissement » si vraiment projet y’a, fait consensus non seulement au sein du peuple mais même au delà, sans doute au sein même de ce que vous appelez la pègre ! Seulement, tout le monde voit le mafieux c’est l’autre! On est jamais concerné, sauf qu’on est désigné et là on comprend pas, on ne comprend plus! Aujourd’hui, la corruption, le népotisme, le  » prend ce que tu peux (c’est publique!!!),…, le mal ne se limite plus au sommet ou à quelques milliardaires, le mal est descendu dans le peuple, s’est propagé, et chacun ne se fixe de limites que les limites que fixent ses moyens que tout le monde essaie d’affuter ! Aujourd’hui, si quelqu’un vole une poule et si jamais on le juge ( avec preuves à l’appui, et la poule en témoigne elle même) et si on met en prison en application de la loi ( loi que lui même se plaignait avant qu’on appliqué jamais, oui sur les autres) et ben il ne comprend pas la décision, il ne comprend plus, et voilà qu’il crit au scandale, à l’injustice et que la justice est comme une toile d’araignée elle n’attrape que les petits moustiques et laisse passer les grosses bêtes,…, et qu’on ne voit que lui alors que d’autres détournent des milliards et sont libres,… etc, etc!!!!! Et voilà!!Comme si lui en volant QUE une poule, c’est pas lui qui cause la crise économique, c’est pas lui ruine le pays!! Non, lui en volant QUE ‘une poule », se contentant que du PEU », le fait par bonne conduite, et sûrement pas par faute de mieux ( pouvoir voler plus et plus gros) ! ! Oui, parce que lui, le voleur de poule, si on le mettait là où se brassent des milliards, et si on lui mettait les milliards à portée de main, wallah il ne toucherait pas, tout au plus il prendrait juste de quoi s’acheter une poule…!! Et puis dire que « Les racines de ce mal sont très profondes, vieilles de près de vingt ans , c’est à dire depuis l’arrivée des Bout.. au pouvoir » je sais pas si totalement exacte ! Au sinon à moitié exacte, les racines sont effectivement très profondes mais alors PLUS vieilles que vingt ans! L’arrivée des  » bout… » comme vous dites a mon avis coïncide juste avec l’envolée des prix du pétrole « la bahbouha » et le développement d’Internet et réseaux sociaux,…, les medias,….,et par conséquent tout , ou du moins plus de choses, finit ou finissent par se savoir!
      Le mal est profond c’est vrai mais alors très vieux que vingt ans! Je pense que beaucoup ont prévenu au tout début de l’indépendance, dont ben youcef ben khedda a prévenu, tiut resumé clairement dans son « discours prémonitoire » mais personne ne l’écoutait, personne ne voulait l’écouter ou tout le monde faisait la sourde oreille ( tellement la tentation est grande, et tout le monde se disait qu’il valait mieux être du côté des  » héros » et des beaux parleurs, et puis le patriotisme, le patriotisme se disent les plus sincères pour finir de se convaincre, etre bon patriote n’empêche pas de tremper de temps en temps ses moustaches dans le pot de miel et de les lécher, juste en passant sa langue dessus, histoire d’éviter qu’elle ne collent et rien d’autre et surtout éviter le gaspillage, c »est plutôt un bon geste et même faire preuve de bonne morale ( notre religion n’interdit pas le gaspillage ?) N’est ce pas…quand on est musulman et bon apiculteur 😉

        MELLO
        9 août 2017 - 15 h 48 min

        Bison, je tiens à saluer ta réflexion qui consiste tout de même à faire apparaître cette culture de dilapidation des deniers publics, du haut en bas de la pyramide des responsabilités. La « chose publique » est un concept qui a du mal à percer dans l’épais brouillard formé par la corruption, l’irresponsabilité, et le « je m’en‑foutisme » au plus haut niveau ! Quand on parle de racines profondes, c’est juste et vrai , qu’elles vont au delà de ces vingt dernières années, mais avec moins de ramification. Bien sur, il ne s’agit pas d’établir une corrélation entre l’intronisation des Bout… et la crise politique qui remonte aux premières heures de l’indépendance, et peut-être même avant. Sûrement d’ailleurs. Mais l’actuel chef d’état l’a considérablement aggravée, sapant ce qui constitue le souffle d’une Nation, son « esprit » : le « vouloir vivre ensemble ». En centralisant tous les leviers décisionnels, en instrumentalisant cyniquement et en manipulant les facteurs de cohésion nationale, les
        Bout… ont divisé le pays et créé une situation potentiellement dangereuse pour l’unité et l’intégrité du pays. Alors, quid du sens de l’intérêt général ? De la morale publique ? Faut‑il rejoindre cette cohorte de « politiques » qui se bousculent avec voracité aux portes blindées d’un système rentier comme jadis, du temps des pénuries, on se chamaillait devant les Souks el fellah et autres supermarchés ? Mais, il est vrai que la rente n’est pas éternelle !

      prédator.dz
      9 août 2017 - 10 h 24 min

      Je suis d’accord avec toi MELLO, mais je voudrais bien lire aussi ton analyse de la période pré- Boutef. Fais le avec cette même « verve » et cette même « clairvoyance » pour expliquer le cheminement du Pays depuis l’indépendance vers la décennie noire, les réels responsables de la situation qui a mené vers les ponctions sur salaires que l’on veut imputer à la tête de Turc d’Ouyahia, les réels facteurs ayant contribué à la faillite de l’école, je suis impatient!

        MELLO
        9 août 2017 - 17 h 15 min

        Quand l’Algérie va mal parce qu’elle a mal , il est difficile de diagnostiquer cette maladie. Que de femmes , que d’hommes ont tenté de dénouer toute cette histoire tumultueuse , sans pour autant arriver à leur fin. Le principe est clair car Il faudrait rappeler que tous ceux qui ont cherché une autonomie et une gestion démocratique des institutions de la république, ont été comme l’indique si bien le sort tragique réservé à Med Lamine Debaghine et Abane Ramdane, après le congrès de la Soummam, effacé d’un revers de la main par des incultes, seulement soucieux de leur carrière personnelle. Juste pour mémoire,
        Bouteflika est le 9eme président de l’histoire de l’Algérie, depuis 1958 à ce jour. Déjà, victime de son AVC, son absence pendant plusieurs mois, avait alimenté toutes sortes de rumeurs sur la place publique algérienne. La plus grande rumeur fait état de sa succession par le puissant homme d’affaire Issad Rabrab, proche des cercle du pouvoir, alors que les pistes de Benflis, Ouyahia, Sellal et Reda Hamiani étaient souvent évoquées par la rue algérienne. Ballons de sonde ou manipulations, il reste que le destin des présidents algériens depuis 1958 à ce jour est des plus tragiques. Déshonorés et humiliés, ils ont tous fini par quitter leurs fonctions sur la pointe des pieds devant une opinion nationale crédule et manipulable à souhait. Ferhat Abbas (1889-1985), est le premier président du gouvernement provisoire de la république algérienne GPRA de 1958 à 1961. Homme de culture et de la science, il sera sollicité par Abane Ramdane dés 1955, pour composer le noyau politique de la révolution. Par son rayonnement personnel, par la coalition politique qu’il a rassemblée autour de lui, il a donné à la révolution un rôle qu’elle n’avait encore jamais tenu et qu’elle a conservé jusqu’aux Accords d’Evian, en 1962. Cependant, dés l’assassinant de Abane en 1957, il sera broyé . Accusé d’avoir pris le train en marche, il sera sacrifié sur l’autel du mensonge, par d’illustres parvenus. Il sera écarté et placé en résidence surveillée après l’indépendance, jusqu’à sa mort.
        Benyoucef Benkhedda, fut le successeur de Ferhat Abbas (1961-1962). Ce pharmacien de formation et ancien militant du MTLD , fut décapité comme son prédécesseur, alors que son apport à la cause indépendantiste reste majeur. Sans doute a-t-il eu des lacunes, des illusions et des échecs. Mais, par son style, ses méthodes et ses idées, l’insurrection du 1er novembre 1954 a pris une dimension internationale. Humilié et sali au congrès de Tripoli durant l’été 1962, cet autre protégé de Abane sera écarté de la vie politique et assigné à résidence surveillée jusqu’à la fin de sa vie. Une réclusion de laquelle il ne se relèvera plus.
        Ahmed Ben Bella, est le premier président de l’Algérie indépendante. Il sera l’un des architectes du 1er novembre 1954 à côté d’Ait Ahmed et de Khider. Cependant, son manque de charisme a été une aubaine pour le faire passer pour un tyran et un dictateur aux yeux de l’opinion nationale algérienne. Il sera catalogué d’anti berbériste et de panarabiste à la solde de l’Egypte. Il est destitué de son trône le 19 juin 1965 alors qu’il tentait de réamorcer une sortie de crise en prenant contact ouvertement avec les forces politiques du moment, notamment le FFS. Il connaîtra le même sort que ses deux adversaires qui l’ont précédé aux fonctions de président de la république.
        Mohamed ben Brahim Boukharouba, dit Houari Boumédiène, est le deuxième président de l’Algérie indépendante (1965-1978). Contrairement aux rumeurs accablantes qui courent encore à ce jour à son sujet, le colonel Boumediene fut en dépit de ses limites intellectuelles un meneur d’hommes et un chef d’Etat. Son ascension, il ne la doit qu’à un coup de la providence, car Il faut préciser que c’est le colonel Si Nacer qui a décliné la proposition de Krim Belkacem. Tout comme ses prédécesseurs, il finira à El Alia suivi de la rumeur selon laquelle le président Boumedienne est détenteur d’un compte secret à la Chase Manhattan Banque.
        Chadli Bendjedid (colonel), décrit tantôt comme un homme stupide et tantôt comme un Don Quichotte, Chadli à cependant le mérite d’être le président de la décrispation. Aux plus hautes destinées du pays de février 1979 à janvier 1992, il avait été à l’origine de la démocratisation des institutions algériennes, notamment par la promulgation d’une constitution pluraliste en février 1989. Ses tentatives de se réapproprier une certaine légitimité par une véritable ouverture démocratique, lui coûtèrent sa place. Il sera humilié par ceux là mêmes qui l’ont préféré à un certain Bouteflika lors d’une réunion marathon à l’ENITA.
        Mohamed Boudiaf, membre fondateur du FLN, un des chefs historique de la guerre d’indépendance algérienne et membre du Gouvernement provisoire de la République algérienne (GPRA), au poste de ministre d’État de 1958 à 1961 puis vice-président jusqu’en 1962, il entre en opposition contre le régime militaire qui a pris de force le pouvoir, et s’exile durant près de 28 ans. Rappelé en Algérie, en 1992 en pleine crise politique, à la tête de l’État (HCE), en tant que président du Haut Comité d’État, organe en charge provisoire de la gestion de l’État, du 14 janvier 1992 jusqu’au 29 juin 1992, suite à son assassinat , lors d’une conférence des cadres à Annaba.
        Liamine Zeroual (général et ministre de la défense), est le 4eme président de la république algérienne indépendante. Le retrait du président était prévisible dans la mesure où son désaccord avec le chef d’état-major, le général Mohamed Lamari, était devenu public. Durant l’été 1998, la presse écrite avait reproduit invectives et menaces proférées par les deux camps. L’étalage au grand jour des divergences entre le pouvoir réel (l’armée) et le pouvoir formel (présidence et gouvernement) a eu, comme il fallait s’y attendre, un aboutissement logique : l’effacement du titulaire du second s’inclinant devant la puissance du premier.
        C’est sous la pression des généraux Mohamed Lamari et Tewfik Mediene, alors dans un climat de guerre civile, que le président le plus estimé des algériennes et algériens a décidé de mettre un terme à son mandat de chef de l’Etat en 1999.
        Les crises politiques, successives, ont eu un impact; défavorable ,majeur sur la gestion de la maison Algérie et si cette fracture entre les jeunes générations de l’Algérie profonde n’a pas eu lieu , ce n’est pas faute pour le cabinet noir de n’avoir pas fait de la prédation politique une véritable stratégie destinée à pérenniser sa main mise sur le pays sur ses richesses et sur le destin d’une nation au passé glorieux . La confiscation , l’instrumentalisation la falsification et la manipulation de la mémoire historique illustrent clairement le caractère délibéré , planifié et totalitaire d’une volonté éradicatrice de toute forme de lutte politique non violente et de toute avancée démocratique . Quelle question se pose aujourd’hui ? Est-ce que l’Etat voulu par des générations d’Algériens, par ce peuple qui a tant payé pour atteindre cet objectif est aujourd’hui bien incarné par le régime en place ? Quand on entend des responsables faire officiellement des procès en patriotisme à notre jeunesse, nous avons le devoir de leur rappeler, d’une part, quels étaient les principes fondateurs de l’Etat algérien et d’autre part, combien ils les ont bafoué !! Et combien ils continuent quotidiennement de les bafouer !! Car notre pays – qui avait entamé, à la fin des années 1980, une des expériences les plus intéressantes d’ouverture démocratique au sud de la Méditerranée – retombe dans le gangstérisme politique d’une oligarchie criminelle. Celle-ci a-t-elle pu masquer sa nature brutale et prédatrice en jouant admirablement de l’islamophobie ambiante, en instrumentalisant des élites fort peu intéressées par l’émancipation politique de leur société ou, plus prosaïquement, en « achetant » la « compréhension » des partenaires de l’Algérie à coups de pétrole et de gaz… et en laissant planer la menace de violences sur leur propre territoire ? La tragédie, c’est que jamais ce pouvoir n’envisage l’Etat de droit en construction. Il préfère nouer et dénouer dans les villas des hauteurs d’Alger des alliances éphémères entre compères d’égale duplicité.

    Abdelhak
    8 août 2017 - 22 h 36 min

    1. Au fait, ne pensez vous pas que la Présidence aurait été avisée de dire à Tebboune : Nous vous avions dit de faire ceci (puisque M. Tebboune dit agir sur ordre direct du Président), et vous avez fait cela … donc carton jaune.
    2. Carton jaune (voire orange) , pour un défenseur de l’économie nationale que prétend être le PM, signifie ne plus rien faire pour gêner les « joueurs » adverses, au risque de se prendre le rouge. En termes institutionnels, c’est paralyser l’action du gouvernement, la contraindre à l’inertie. C’est pire que le limogeage, c’est l’humiliation permanente. ET C’EST CELA LE BUT (de s’être attaqué aux puissants du moment) !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!

      prédator.dz
      9 août 2017 - 9 h 19 min

      Ya si abdelhak, comment expliques tu la démarche de Mr Tebboune qui, d’un côté, décide seul et à l’unanimité de sa voix, sur conseils de conseillers douteux, de suspendre des importations de produits de large consommation et/ou desquels notre semblant d’industrie dépend fortement, sans consulter personne au préalable pour en mesurer l’impact ou, tout au moins préparer les acteurs et obtenir leur adhésion dans leur majorité et d’un autre côté il lance le dialogue du consensus national avec des formations politiques transparentes qui venaient juste de prouver leur parfaite inutilité sur la scène nationale.
      Ma lecture transversale de cette démarche ne peut obéir qu’à une seule logique:
      1-Procéder au captage de la manne financière du privé par une opération de harcèlement en bonne est due forme, en surfant sur la vague de dénigrement entretenue à l’endroit du secteur privé.
      2- Reconstituer un bloc politique avec les restes des partis politiques et une partie de l’opinion qu’il aura séduite avec sa fausse opération « mains propres ».
      3- Déstabiliser l’économie et le front social par les hausses des prix et la restriction irréfléchies des importations pour détourner l’attention sur ses réels objectifs
      4- Vendre ce package au plus offrant ou s’en servir lui même le moment venu.
      Questions : ne serait-il pas allé chez fafa pour examiner cette option avec philipou au détour d’une banale virée parisienne sous couvert de vacances très perso?.
      Si la Présidence n’a pas démenti son alibi (qu’il y est allé sur instruction du Président) cela veut dire tout simplement que c’est faux (le Président ne se justifie jamais auprès de son premier Ministre) et même si c’était le cas, il n’aurait jamais du implique le Président dans cette affaire, c’est à lui que revient le rôle de fusible et ne jamais mettre l’institution présidentielle en avant. A ce niveau de responsabilité, même si c’est le Président qui vous donne une mission, il ne faut jamais le citer, il faut accepter toutes les conséquences sans coup férir, il y va de la souveraineté nationale y si Tebboune. Cela vaut bien un sacrifice? Ou alors tu es du genre qui, à la première difficulté réagit par : « c’est pas moi c’est lui » Mr le PM assume ton rôle pour le bien du Pays ou dégage!

        Abdelhak
        9 août 2017 - 10 h 46 min

        Salam, ya Si Predator.Dz
        J’avoue ne pas très bien saisir le sens de ton analyse :
        * Comment peut-on dans le même temps déstabiliser l’économie et le front social au risque d’une explosion à la rentrée et espérer en tirer un quelconque bénéfice ?
        * Ne jamais mettre l’institution présidentielle en avant ? mais le problème est que TOUS les acteurs de ce navet se réclament de l’institution présidentielle et de son programme !!!!
        * Au contraire, je pense que ce sont les puissances de l’argent qui justement allument ce contre-feu pour détourner l’attention sur les récentes révélations des fortunes engrangées et transférées.
        * le seul fait de réactiver ces canaux de communications tels Ennahar (ignoble) ou l’Expression (écoeurant) doivent vous mettre la puce à l’oreille… La Présidence aurait-elle besoin d’Ennahar pour passer ses messages???? Mais dans quel état vivons-nous ?

          prédator.dz
          9 août 2017 - 11 h 38 min

          Re- Salam Ya si Abdelhak ; La déstabilisation sociale profite toujours à quelqu’un qui veut justement déstabiliser celui qui le gène (bien aux dépends du peuple). On ne sait pas ce qui se passe dans la tête des uns et des autres.
          Tout le monde (à tort ou à raison) se réclame de l’institution présidentielle lui, si Tebboune, de par son poste et son statut, ses déclarations ne peuvent souffrir d’aucune équivoque.
          Pour Ennahar ou la presse en général, à quelques rares exceptions près, on assiste à un phénomène qui s’appelle du mercenariat journalistique: les temps sont durs pour le secteur, alors tout est bon à prendre!
          P.S j’ai parlé d’une lecture transversale qui n’a pas la prétention d’une analyse, qui se fait généralement sur la base de faits avérés.

    Abdelhak
    8 août 2017 - 22 h 22 min

    C’est une ignominie ce qu’ils vous ont fait, M. Tebboune !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! F’hem yal fahem.

    mhd dz
    8 août 2017 - 21 h 46 min

    Allons droit au but,le président a parlé et aurait signifié au premier ministre……..
    Dans quel interview?
    Quelle t.v?
    Quelle radio?

    Nasser
    8 août 2017 - 21 h 36 min

    Si c’est le cas, à la place de Tebboune , je quitte le bateau!

    Anonymaoui
    8 août 2017 - 21 h 09 min

    Comment se fait-il que seul ce canard boiteux Ennahar arrive à se débrouiller une copie d’un document officiel très confidentiel puisque il s’agit en quelque d’un avertissement infligé à Tebboune. Soit ce document n’existe pas et ce tapage médiatique rentre dans un plan de déstabilisation du premier ministre par les oligarques et leurs souteneurs. Si ce document existe c’est la preuve de l’existance d’un dysfonctionnement en haut lieu sinon comment expliquer le fait que le président de la république fixe un plan d’actions au gouvernement et en même temps réprimande Tebboune d’avoir respecté à la lettre ce même plan d’actions. Il y a vraiment de quoi se faire de la bile.

    Larnaque
    8 août 2017 - 20 h 40 min

    Le chant du cygne!!!!!!!!!!!! Après Hanachi, Tebboune. Ce n’est pas le président qui reproche quoi que ce soit au PM. Comment le peut-il? Des forces occultes (en fait pas si occultes que ça) ont mis en branle, par médias aux ordres interposés, tout un processus savamment préparé qui emportera tel un tsunami Tebboune et sa suite. Le premier acte de ce vaudeville a été d’une indécence crasse (la grande rigolade en plein milieu des obsèques d’un ancien moudhahid et ex-PM). Pendant que tout un chacun se recueillait religieusement devant la dépouille du défunt, S. Bouteflika, A. Sidi-Said et A. Haddad plaisantaient gaiement, au vu et au su de toute l’Algérie, du coup qu’ils étaient entrain de préparer à Tebboune, debout à quelques mètres d’eux et perdu dans ses pensées. C’est ainsi que nos dirigeants s’y prennent pour redresser l’économie du pays. En manigançant à longueur de journées des coups tordus pour dégommer ceux-là même qu’ils viennent tout juste d’introniser. Pôvre Algérie!

      prédator.dz
      9 août 2017 - 8 h 00 min

      Pendant que tout un chacun se recueillait religieusement dites-vous? Allant Larnaque, c’est une arnaque! avez vous bien vu toutes ses têtes, en dehors de la famille proche du défunt, paix à son âme, aucun des présents ne méditait sur la philosophie de la mort,ce qui nous arrive généralement dans de telles circonstances et encore moins à celui qu’on mettait en terre. Il y a plus urgent, on est en pleine bataille décisive, la scène ressemblait à une véritable mosaïque vivante réagissant à l’actualité du moment et, en fonction des rapports de force, les uns et les autres se positionnaient soit plus proche de Said, soit plus éloigné de Tebboune et à chacun, au gré de ses intérêts, généralement un pied dans chaque camp, histoire de ne pas perdre le contact avec la réalité. Même la presse qui s’y était amassée ne l’a été que pour prendre le pou de la république. Pour Tebboune qui « semblait perdu dans ses pensées », il avait l’air plutôt de quelqu’un qui assistait à ses propres obsèques.A mon avis il était loin, très loin de consacrer une pensée à ce Monument que fût REDHA MALEK. Au passage, je n’ai pas vu beaucoup de monde défendre sa mémoire contre les attaques perfides d’un terroriste parlementaire.

    co5
    8 août 2017 - 20 h 09 min

    « Selon le journal Ennahar » un canard boiteux concerné selon …….par des enquêtes ou bien les algériens pour des……….le premier à sa feuille de route et il l’applique point barre sinon il est viré.

    elhadj
    8 août 2017 - 20 h 07 min

    si de telles instructions sont dictées par le president de la republique on peut déduire qu il désavoue toutes les mesures d assainissement décidées pare le premier ministre et le fait de les diffuser publiquement rend mal aisée sa tache tout en l affaiblissant psychologiquement.cela aurait du être réglé en conseil des ministres pour préserver le crédit et l image du gouvernement et ne pas laisser l opinion publique supposer qu il y a un lobby puissant bien incruste dans les rouages de l Etat qui semble dicter ses desideratas pour préserver ses interets au détriment de l intérêt général du pays. une bonne gouvernance du pays implique une coordination a tous les niveaux sans arriver a un rappel a l ordre ou reproches publiques aux serviteurs de la republique

    eniya
    8 août 2017 - 19 h 31 min

    Bidon comme article , on peut par contre dire que toute une batterie de la presse aux ordres des rapaces s’est declenchée contre teboune a sa tete Ahmed Fattani Directeur de  » l’Expression, suivi en cela par ennahar ( pour cirer les bottes de said bouteflika suite a l’affaire de boudjedra)…..
    Go Teboune Go ……. tu es comme tu l’as si bien rappellé de Boumedienne, « plus on te critique et plus saches que tu es sur le bon chemin  »
    oui tu es sur le bon chemin , tous ces loups de cette pseudo presse ne sont que larbins au service de plus larbins qu’eux

    Chaoui ou zien
    8 août 2017 - 18 h 50 min

    En d’autres mots les cocottes sont cuites pour l’equipe Tebboune. Est ce une autre fuite en avant ou serait cette fois ci une fuite en arriere? Ou peut etre fait on du sur place? Comme toujours. Une chose est certaine cependant, Haddad a les bras tres longs puisque Bouteflika lui meme ordonne a l’equipe Tebboune de «mettre un terme à ce qu’il qualifie de «véritable harcèlement des opérateurs économiques». Peut etre, c’est ce que Haddad et Said discutaient si allegrement et jovialement durant les obseques de l’un de nos heros de la revolution.

    Abdelhak
    8 août 2017 - 18 h 43 min

    Salam,
    A mon sens, il est impossible que ce soit le Président qui ait commandité ce texte ou cette réaction :
    * Ni le fond, ni le mode, ni le ton ne sont dans la nature du personnage;
    * Le champ des pouvoirs de la Présidence autorisent d’autres actions que « d’exprimer un mécontentement »;
    * Il est hautement inélégant (pour le moins) de porter cela sur la place publique alors que le PM a été autorisé à partir en congé et se trouve à l’étranger;
    * L’un des deux ment : le PM a-t-il été autorisé à mener une action de salubrité ou non ? car ce qui lui est reproché n’est pas seulement la forme, mais le fond !!
    Une question à 10 DA : Où est le Conseil des Ministres ? n’est-ce pas lui qui devrait régler le problème de la cohérence de l’action gouvernementale. C’est donc le Président, par sa « situation » qui génère la confusion.
    Le signataire du texte est évident !!!!! Les rédacteurs savent que le PM ne pourra pas réagir de l’étranger. La seule position honorable sera de rentrer et présenter sa démission !
    C’est à un coup d’Etat en direct auquel nous assistons. Les forces de l’argent alertés par ce soubresaut, font le forcing …. pour notre mal à tous.

    Non à l'Etat arabe
    8 août 2017 - 18 h 40 min

    Tout au conditionnel. L’Etat arabe comme l’Etat islamique est de l’odre du divin et tout est rèvelation. Tu as voulu voir vesoule on a vu paris chantait Jacques brel. Il est grand temps d’en finir avec ce feodalisme à la sauce islamique!

      GENSERIC
      9 août 2017 - 5 h 21 min

      évidement tu optes plutôt pour le féodalisme ATHÉÏSTE, à la sauce LAÏQUE !!!

        Non à l'Etat arabe
        9 août 2017 - 9 h 20 min

        La kabylie est laic spirituelle mais n’a pas besoin d’islam pour avoir une Ethique

    TARZAN
    8 août 2017 - 18 h 40 min

    donc monsieur tebboune on va résumer la chose: vous allez passer des vacances en france (le choix de ce pays pose déjà des interrogations), le premier ministre français l’ayant appris vous invite à matignon, et du coup vous, vous avez informé notre président de cette invitation et vous a dit d’y aller. donc c’est ça l’histoire?

    difou.guery
    8 août 2017 - 18 h 24 min

    sauf erreur de ma part j en deduit que le president vient de démontrer q il est influencer dans ses décisions par said qui lui meme a etait contacter par haddad et le chef syndicat ,,,

    Ayweel
    8 août 2017 - 18 h 05 min

    Ainsi vont les choses, toute action positive au profit de la nation et à l’encontre des suces-sang, vautours, rapaces et hyènes est nettement bloquée. Que faire, la force du bien ne peut résister à la force du mal. Dur sera le retour de la manivelle………. rouuuuuuuuuuuuh à gassabi rouuuuuuuuuuuuuuuuuh…..

    Dziriya
    8 août 2017 - 18 h 04 min

    ادعوا الله رانا فلعواشير أن يبدل لنا الله رئيسا خيرا من بوتفليقة يكون حنون و يحب الجزائر و يحفظ مالهاو شعبها و حدودها و يبني اقتصادها آمين

      "al foutouhat"
      8 août 2017 - 22 h 13 min

      @Dziriya
      catholique ?

    Crétinisme Galopant
    8 août 2017 - 17 h 56 min

    Est-ce que vraiment Bouteflika sait exactement ce qui se passe autour de lui de manière lucide pour remettre lui-même en place Tebboune ??? J’en doute beaucoup, beaucoup, beaucoup !! et beaucoup ….beaucoup

    Dounia
    8 août 2017 - 17 h 51 min

    C’est bien, soyez justes aussi envers les familles qui ont perdus leurs familles durant la decennie, non. Je vous trouve fortement injuste et on n’oublira pas.

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