TAJ appelle au rapprochement politique entre partis

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Marche de TAJ à Alger en janvier 2017. New Press

Le président de Tajamou Amal Al-Jazair (TAJ), Amar Ghoul, a appelé, lundi à Alger, au rapprochement politique entre les partis pour relever les défis politiques, économiques et sociaux par la voie du dialogue et de la concertation. «Le consensus politique entre partis est difficile mais le rapprochement demeure possible», a estimé Ghoul à l’ouverture de la réunion du bureau politique de TAJ, appelant les partis au rapprochement politique par la voie du dialogue et de la concertation.

Le président de TAJ a également appelé le gouvernement à consacrer le «temps qu’il faut» aux dossiers de développement lors de la prochaine tripartite afin d’adopter une feuille de route participative qui permette de parvenir à un consensus national loin des divergences politiques pour faire face à la crise économique à travers la mise en place d’une économie hors hydrocarbures par l’appui à d’importants secteurs économiques tels que l’agriculture, l’industrie, les services et les énergies renouvelables.

Après avoir appelé les institutions et les partenaires du gouvernement à «consentir davantage d’efforts» pour assurer la réussite de la prochaine rentrée sociale, Ghoul a affirmé que le message du président de la République, Abdelaziz Bouteflika, à l’occasion de la Journée nationale du moudjahid «contient des orientations pertinentes et une vision éclairée pour faire face aux défis qu’il importe à tous les Algériens de relever».

Evoquant les prochaines élections locales, Ghoul a indiqué que sa formation politique «participera au niveau de 1541 Assemblées populaires communales (APC) et 48 Assemblées populaires de wilaya (APW)», relevant que son parti «dévoilera prochainement les grandes lignes de son programme électoral». Il a appelé les Algériens, les instances, les partis et les acteurs de la société civile à la nécessité de préserver l’acquis de la sécurité et de la stabilité qui figure parmi «les plus importants acquis», saluant dans ce contexte les efforts déployés par l’Armée nationale populaire (ANP) et les autres corps de sécurité en vue de garantir sécurité et stabilité.

Après avoir affirmé que l’approche algérienne de règlement des crises internationales et régionales «est pertinente, objective et tient compte des intérêts de toutes les parties», Ghoul a plaidé pour le dialogue comme voie idoine de règlement des crises.

R. N.

Comment (4)

    mzoughene
    22 août 2017 - 20 h 10 min

    QUI VA S ACCOQUINER AVEC UN LARBIN ET UN TOURNE VESTE A L OCCASION : VOILA le genre de specimen qui se prepare a diriger le peuple algerien !

    chibl
    22 août 2017 - 18 h 08 min

    Svp AP pourquoi vous nous torturez avec des photos pareils?

    MELLO
    22 août 2017 - 17 h 45 min

    Que veut Mr GHOUL ? Un rapprochement politique entre tous les partis, que ça ! Ghoul , comme toujours , saisit la première occasion pour prendre le train du Président et s’inscrire dans son projet de consensus autour de son programme. Pourtant, maintes fois renvoyé de l’école ( du gouvernement) , il ne cesse de se courber en appelant d’autres à le suivre. Amar Ghoul, l’un des plus grands opportunistes du régime algérien, a été évincé du gouvernement après pas moins de dix-sept ans de présence.Un véritable record quand on sait que ce désormais ex-ministre ne jouit d’aucune compétence particulière dans aucun domaine en dehors de l’art de courber l’échine. En plus, il s’agit d’un homme politique sans aucune carrure. C’est un piètre orateur dont la façon de s’exprimer en public sied plutôt à un imam illuminé qu’à un politicien. Y a t il un autre qui pourra le suivre dans ce rapprochement ?

    Mus
    22 août 2017 - 10 h 03 min

    Cet opportuniste sans origine, ni foi ni loi est en train de défoncer des portes ouvertes en disant et redisant des platitudes par lesquelles il tente de se frayer une toute petite place a l’ombre de ses employeurs d’El Mouradia. Les élections locales étant, en principe, proches, il essaye de placer son ramassis d’adeptes au sein de ce qu’il appelle un parti, histoire de ne pas rester en marge du processus de partage de la tarte a bouffer qu’offre le système. Ridicule pour lui et ses amis du pouvoir et malheureux pour l’Algérie.

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