L’UGTA et le patronat appellent à des mesures économiques souveraines

Abdelmadjid Sidi Saïd et Ali Haddad
Abdelmadjid Sidi Saïd et Ali Haddad. New Press

Par H. A. – Les signataires du Pacte économique et social de croissance ont saisi l’occasion de la réunion préparatoire de la tripartite présidée ce matin par le Premier ministre, Ahmed Ouyahia, pour exprimer dans un message lu par le secrétaire général de l’Union générale des travailleurs algériens (UGTA), Abdelmadjid Sidi Saïd, «leur immense estime, leur attachement indéfectible et leur fidélité totale» au président Bouteflika. Ils adhèrent à son appel à s’«imprégner des valeurs de solidarité et d’unité que véhicule le combat libérateur du pays pour bâtir une économie forte et créatrice de richesse et d’emploi».

Les partenaires économiques et sociaux font preuve d’optimisme quant à l’avenir en estimant que «notre pays dispose de tous les atouts qui lui permettent d’envisager son avenir économique avec sérénité». Ils admettent toutefois que le contexte est «délicat», aussi bien sur le plan interne qu’externe. Ils font leur le souci de «rester maître de son destin» et la nécessité de prendre les mesures de redressement de l’économie en toute souveraineté, notamment s’agissant de l’effort national visant à sortir de la dépendance des hydrocarbures.

Les partenaires socioéconomiques se sont référés, plus d’une fois, au message du président Bouteflika à l’occasion de la célébration de la journée du Moudjahid, le 20 août 2017, en particulier la réaffirmation de son initiative de «dialogue social». Ils estiment que l’appel lancé par le président Bouteflika à l’adresse du gouvernement et de ses partenaires sociaux et économiques «doit constituer, pour l’ensemble des acteurs, le socle d’un sursaut national pour le renouveau économique».

H. A.

Comment (22)

    pomme
    26 août 2017 - 23 h 10 min

    Le type à la casquette (…) est censé défendre les travailleurs?L’uGTA c’est du vent…qui représente du vent….Qui travaille en Algérie?La rente, vous avez dit, la rente….un pays de rentier.

    Moh
    26 août 2017 - 22 h 35 min

    L’UGTA et le pouvoir sont les deux faces de la même pièce de monnaie.

    BERKANI
    26 août 2017 - 17 h 59 min

    Mon vœu n’est pas « virtuel », loin s’en faut, et la réalité n’est pas « tout autre ».
    Dans son ouvrage intitulé The Mind of the Strategist, l’éminent expert en management Kenichi Ohmae donne une intéressante description de la réflexion stratégique:
    « La réflexion stratégique consiste d’abord à chercher à comprendre le caractère particulier de chaque élément d’une situation puis de s’efforcer mentalement de restructurer ces éléments aussi avantageusement que possible. Dans le monde réel, les phénomènes et les évènements n’évoluent pas de façon linéaire. Donc, pour disséquer une situation en ses parties constituantes et les rassembler selon le modèle souhaité, le plus sûr moyen consiste, non pas en une méthodologie à suivre point par point comme un système analytique, mais plutôt en l’utilisation de l’instrument non linéaire par excellence qu’est le cerveau humain. Mais si la réflexion stratégique contraste vivement avec l’approche conventionnelle des systèmes mécaniques, il reste qu’elle s’écarte également de celle qui mise tout sur l’intuition et aboutit à des conclusions sans aucun effort préalable de décomposition et d’analyse ».

    BERKANI
    26 août 2017 - 12 h 16 min

    « Renouveau économique » dites-vous ? Mais que peut-on attendre de gens obnubilés par l’entassement inutile d’immenses fortunes en Dollars dans des zones offshore ?????
    En vérité, seule une véritable élite qui porte les valeurs que vous cherchez indument à vous approprier, – comme le reste, d’ailleurs-, pourra assurer ce renouveau.
    Et pour atteindre ce but, il n’y a qu’une solution : L’éradication du système et de tous ceux qui en ont largement profité, et ce, de gré ou de force.

      MELLO
      26 août 2017 - 15 h 30 min

       » il n’y a qu’une solution : L’éradication du système et de tous ceux qui en ont largement profité, et ce, de gré ou de force. » vous affirmez, mais la méthode reste à tracer , à indiquer . Le vœux est virtuel , mais la réalité est tout autre. Une communauté politique dont le changement de régime se fait dans la sang n’est pas une Nation; celle qui ne change de président que si celui en exercice meurt n’est pas une Nation. Tant que le changement de régime se fait par la violence, par le sang, par le meurtre, cela signifie qu’il n’existe pas de valeurs consensuelles dans la communauté, et, par conséquent, elle a en son sein des membres qui sont en désaccord et qui sont prêts à s’entretuer en raison de ce désaccord qui porte sur le fondement du lien social. Cela signifie aussi que le système politique n’intègre pas la majorité des membres de la communauté. Or une Nation est une communauté humaine intégrée par un système politique régulé par des règles de compétition pour le pouvoir acceptées par une majorité.

    Dignité j'écris ton nom
    26 août 2017 - 1 h 09 min

    c’est insoutenable à quel point certains se mettent à plat ventre et se confondent avec le sol , pour peu de plaire à …..et de ne pas attirer ses foudres ! c’est honteux et dommage de voir qu’il existe encore des gens comme ça qui n’ont que faire de leur nif et de leur dignité qu’ils ont perdu .
    le plus grave : c’est que cela se passe qu’ici , au pays des martyres qui n’auraient jamais accepté de vivre sous un joug clanique .

    water water
    25 août 2017 - 22 h 53 min

    On parle logement , travail, depuis l’indépendance on m’a demandé d’adorer la déesse république et son fils demi dieu, et pourtant depuis, je n’ai jamais eu un travail, un logement , une sécurité social, bref je suis un marsien, maintenant ce qui m’intérresse dans ce black hole, c’est la seule partie de la planéte où l’effet précède la cause. On apprend toujours.

    Felfel Har
    25 août 2017 - 19 h 47 min

    Voilà comment les loups tentent d’amadouer les agneaux que nous sommes pour mieux nous dévorer. Peuvent-ils nous expliquer comment se fait-il que durant les 20 dernières années, alors que les caisses de l’Algérie étaient pleines, le peuple algérien s’est appauvri, s’est paupérisé, et que des milliardaires ont poussé comme des champignons? Pourquoi la solidarité n’a-t-elle pas permis une redistribution équitable de la richesse nationale? Tout ce que l’Algérien lambda a en moins, c’est l’autre algérien béta qui l’a en plus. Oû était celui qui appelle maintenant à l’unité nationale, au consensus et à la paix sociale? Doit-on faire appel à Robin des Bois pour enlever aux riches ce qu’ils ont volé pour le donner aux pauvres? Certains se paient des châteaux en Espagne pendant que d’autres attendent un logement décent. Est-ce comme celà que l’on réconciliera les Algériens?

    Mouloud
    25 août 2017 - 16 h 22 min

    Leurs discours ne passent plus. Ils ont atteint leurs seuil d’incompétence (le principe de Peter). Seul la mobilisation du peuple Algérien par le boycotte de toutes les élections, l’utilisation des réseaux sociaux et des mouvements de désobéissances civiles feront bouger les lignes. Nous avons le devoir de nous mobiliser, de demander l’application de la constitution, de mettre en place une constituante, de réclamer que la justice mette en demeure les corrompus, de mettre à la retraite ceux qui sont atteint par la limite d’âge dans tous les corps de l’Etat, de provoquer de nouvelles élections, le recouvrement par les banques de toutes les créances arrivées à échéances. Il est temps de sauver le Soldat « Algérie » de ces vautours, incompétents, médiocre et corrompus. L’armée issue du peuple saura être le garant de cette transition si elle est pacifique, ordonnée, structurée et se fait dans le calme. Mobilisons nous!

    Abou Stroff
    25 août 2017 - 10 h 22 min

    AP, vous n’avez pas le droit d’induire en erreur vos naïfs lecteurs. en effet, la photo de fakhamatouhou qui illustre l’article constitue un faux ou un usage de faux (fakhamatouhou est incapable, au moment présent, de se tenir debout!).
    moralité de l’histoire: « le Patronat et UGTA réaffirment leur soutien à Bouteflika pour un «sursaut national» » parce que le « patronat » (un ramassis de prédateurs qui ne produit quasiment rien mais qui reçoit une grosse partie de la rente) et l’ugta (un ramassis de bras cassés qui reçoit des miettes de rente) sont des clients de la marabunta qui nous gouverne et dont le parrain du moment est leur bienaimé fakhamatouhou national.

      MELLO
      25 août 2017 - 20 h 58 min

      Ton coup a fait mouche, cher ami. Autant supprimer la photo que d’afficher celle du moment présent. Nous avons appris la modestie, le sens du compromis, la modération des ambitions, et même appris à ne rêver que de l’essentiel. Mais nous avons également appris combien il est vital de tenir ses promesses. Nous avons appris que la colère et le désespoir naissent toujours des promesses non tenues . Inutile de revenir sur le décor Potemkine chaque fois ravalé au goût du jour, donc sur tous les faux dialogues, les fausses élections, les fausses initiatives qui ont fait de la fausse promesse la seule stratégie de gestion de crise dont est capable un régime aveugle et sourd à tous les appels d’une population éreintée par la crise.

      mouatène
      26 août 2017 - 15 h 49 min

      mesdames et messieurs bonjour. heueueueu….. les anciens disaient «  » quand on n’a pas ce que l’on aime, il faut aimer ce que l’on a «  » courage ya mouatinines.

    elhadj
    25 août 2017 - 10 h 11 min

    les citoyens désemparés par la vie chère;la mauvaise gestion du pays;la puissance de l oligarchie ,l informel ;la corruption etc ne sont plus réceptifs a ces messages répétitifs tenus par les mêmes personnes qui gèrent le pays.les citoyens démobilisés n arrivent pas a admettre qu avec les mêmes gestionnaires le pays puisse échapper a la faillite sans assainissement de la gestion de ses ressources;de la réalisation des projets qui perdurent;des importations de pacotille,de prise de sanctions financières a l encontre des entreprises défaillantes.les citoyens sont devenus murs n admettent plus qu on les considèrent mineurs

    naceur
    25 août 2017 - 8 h 41 min

    le monarque sortant de son palais royal

    Bibiche&Bibicha
    24 août 2017 - 22 h 11 min

    En quatre mandat présidentiel, son objectif a été de faire construire sa mosquée. Il s’est pris pour un pharaon de l’ancienne Egypte et qui veut léguer son trône à un proche comme si il faisant partie d’une dynastie royale. Mais le pays est ruinée, en faillite, un peuple misérable, une éducation en lambeau, un pays transformé en dépotoir à ciel ouvert, l’anarchie, l’informel, la bureaucratie, la corruption, l’islamisme intégriste rampant, le népotisme, la médiocrité, une castre de privilégiée qui domine des « intouchables », un pays défiguré, l’image du pays dégradée, notre fierté bafouée, notre souveraineté spoliée, voilà le bilan du Président après 18 ans de règne au pouvoir de notre pays. Je suis triste pour mon pays et mon peuple, en colère contre ce gachis, cette perte de temps qui nous a fait reculé, ou l’avenir de mes enfants sera pire que le mien.

    Zitoun
    24 août 2017 - 21 h 54 min

    Rien fait en 18 ans quand les caisses étaient pleines, la médiocrité et l’incompétence ont été promu en méritocratie, alors que maintenant que les caisses sont vides Mr le Président Bouteflika appelle à l’union nationale, la solidarité et à l’effort national! Il a été les premier à avoir une approche sectaire dans la gestion du dialogue (en écartant les syndicat autonome et les partis de l’opposition) , la répartition de la rente (en favorisant les oligarques, la bureaucratie et l’informel). Il est le premier responsable et coupable de la situation actuelle. Il est blâmable! Le peuple n’a plus confiance en lui et ses satellites, ce peuple qui est resté malgré l’indépendance, des citoyens de seconde zone à qui on a volé son rêve d’être un citoyen libre, prospère et heureux dans son propre pays. Nous représentons la force vive dans ce pays , boycottons les élections, communiquons à travers les réseaux sociaux de façon pacifique, calme et ordonné. Le message aura une répercussion national et international, ne soyons plus les moutons à tondre qui une fois tondu sont amenés à l’abattoir. Le peuple mérite sa vrai indépendance, sa prospérité, son bonheur et nous avons aussi le devoir d’assurer une vie décente aux générations futures.

    MELLO
    24 août 2017 - 21 h 39 min

    Question – Que fut réellement le congrès de la Soummam, un renforcement de la révolution ou une déviation ?

    Hocine Aït Ahmed: Le fait de poser cette question près de quarante ans après la tenue de ce congrès me paraît sidérant. Autant soulever la même question sur le rôle du 1er Novembre 1954, au moment même où l’Algérie vient d’en célébrer le 40ème anniversaire.
    Soyons clairs : je ne me suis jamais considéré comme un « historique ». J’en ai assez souvent martelé les raisons pour ne pas avoir à les ressasser aujourd’hui.
    Permettez-moi de les résumer en une seule phrase: la guerre de libération n’est en aucune façon réductible à un appareil, à un parti, encore moins à un homme, un complot, où une coterie, quels que soient par ailleurs les rôles des uns et des autres assumés dans des périodes et des étapes données.
    Pas plus que je ne suis spécialiste d’étiologie, terme barbare pour dire philosophie politique. Je vous livre donc un témoignage plus existentiel que théorique.
    En tant que militant de terrain, je m’interroge d’abord sur le sens des évènements que recouvrent les mots. Ces deux tournants politiques ne sont pas des météorites tombées du ciel. Leur restituer leur signification et leur portée exige le rappel – faute d’analyse – des causes et des enchaînements politiques qui les ont créés.
    Le déclenchement de la lutte armée en Algérie, le 1er Novembre 1954, a été, bien sûr, déterminé par la radicalisation des combats patriotiques en Tunisie et au Maroc.
    Le rêve d’un soulèvement maghrébin généralisé était à nos portes. Mais l’annonce de la lutte armée en Algérie est fondamentalement la résultante de la poussée populaire en travail depuis les répressions coloniales sanglantes de mai 1945.
    N’oublions jamais les dynamiques sociales profondes dont les personnalités et les partis ne sont souvent que la face visible de l’iceberg nationaliste.
    C’est vrai que les formations politiques ou religieuse, le PPA-MTLD, l’UDMA, le PCA, les Oulémas, s’étaient coupées des masses, tellement leurs stratégies « légalistes » leur paraissaient dérisoires et sans issue.
    C’est elles qui, de surcroît, en payaient les notes douloureuses, notamment à chacun des « scrutins » grossièrement truqués sous le règne de Naegelen. La formule « élections à l’algérienne » était devenue proverbiale en France même à la moindre anicroche touchant le suffrage universel. Formule ô combien ! Prémonitoire.
    Ce jeu de toboggan piégé et savonné qui ramenait toujours au point de départ avait fini par excéder nos compatriotes: « Ne nous appelez ni à l’abstention ni à la participation électorale ! Donnez-nous des armes ! »: ce message nous parvenait de partout. C’est à ce message qu’a finalement répondu l’appel du 1er Novembre.

    Question: Pouvons-nous conclure que les dirigeants politiques de l’étape précédente avaient trahi ?

    Hocine Aït Ahmed: Pas d’anathèmes ! Accuser à tout bout de champ de trahison, c’est ce genre de retours destructifs au passé qu’il faut éviter. Il y a des mots qui tuent, surtout dans un pays où la vie et l’opinion des gens continuent de perdre de leurs valeurs.
    Le sens de la responsabilité doit inciter à la sérénité et à la prudence quand il s’agit de porter des jugements d’ordre politique. Sauf à ravaler ses propres agressions verbales, lorsque les formations en question deviendront parties prenantes à ces premières assises constitutives du FLN.
    Le sens capital de cet événement réside dans la nature politique et contractuelle d’une stratégie de libération nationale élaborée par le congrès de la Soummam.

    Question : Le congrès de la Soummam donne lieu à des lectures idéologiques contradictoires…

    Hocine Aït Ahmed: Aucune autre lecture idéologique ou partisane ne pouvait être faite de ce congrès. La plate-forme de la Soummam a été, je le répète, le premier pacte politique contractuel, donc fondé sur le respect du pluralisme et non pas sur un consensus populiste. Sauf qu’on n’empêchera pas les racontars d’aujourd’hui – à l’exemple des racontars d’hier – de tenter d’asservir l’histoire à des fins de légitimation et de propagande.
    …………………………………………………………………………………………………………………………………………………..
    Qu’il s’agisse de réformer le système, ou de le changer par la reconstruction d’un consensus national, le régime est visiblement à la peine. Pour la simple raison qu’on ne peut tromper tout le monde tout le temps;
    Donner au tout le nom de Programme du Président en s’appuyant sur le label « moins mauvais des candidats » octroyé par quelques décideurs dans l’ombre, ne constitue aucunement une politique : C’est une fuite en avant qui a coûté très cher au pays-en hommes, en milliards, en cohésion et en prestige. Croire, aujourd’hui, que donner le nom de consensus à une mesure impopulaire suffira à la faire passer, c’est vraiment n’avoir rien compris. Critiques à l’égard des réunions de la tripartite, nombre d’observateurs mettent en exergue l’absence de mécanisme de suivi des décisions adoptées lors des éditions précédentes. Cet argument est incontestable, mais n’explique pas fondamentalement l’insipidité de ces rencontres car le problème de fond réside dans l’absence d’un réel « dialogue » entre protagonistes autonomes.
    En effet, le pouvoir a toujours décidé, seul, de la liste des participants à ces grandes messes du « dialogue social ». Pourtant, une tripartite se voulant crédible devrait mettre face à face des acteurs autonomes, des organisations mandatées par leurs bases sociales et militantes respectives, sans ingérence des « pouvoirs publics ». De même que l’on ne négocie l’arrêt d’une guerre qu’avec ses ennemis, on ne dialogue socialement qu’avec ses véritables adversaires. Tel n’est pas le cas lors de cette curieuse « tripartite ».

    mounir benahmed
    24 août 2017 - 20 h 52 min

    UGTA = Unon Generale des Travailleurs Anesthesies expliquez-moi SVP comment cette organisation appuie l action gouvernementale alors que la majorite s endette pour acheter le kabche de l aid

    Kamel Messaoudi
    24 août 2017 - 20 h 51 min

    Ouf, grâce à la photo qui illustre l’article, je sais maintenant que mon brizidène se porte bien ! Merci AP !!

    mzoughene
    24 août 2017 - 20 h 47 min

    LE TRIO RÉPONDENT A L APPEL DE BOUTEFLIKA POUR DISTRIBUER LES 100 MILLIARDS DE DOLLARS QUI RESTENT AUX ZAWALYAS QUI NOUS SOMMENT POUR ACHETER KABCH EL AID ET BIEN SUR RANGER LA PLANCHE A BILLETS ………………..SAHA IDHOUM J AI UNE INFLAMMATION DU A L INFLATION !

    Kamel Messaoudi
    24 août 2017 - 20 h 45 min

    Et comment !! On ne peut entendre que çà de la part de l’UGTA et du patronat : « nous soutenons le programme du Brizidène Bouteflika et la personne du Brizidène  » !

    Pour le reste, aucune déclaration ou proposition pour développer l’emploi, pour encourager la croissance économique, pour réduire le chômage ou pour la préservation du pouvoir d’achat des algériens !

    Non ! Nous on ne parle que du soutien au programme du Brizidène et si vous n’êtes pas contents, c’est la même chose et taper votre tête contre le mur !

    Hocine-Nasser Bouabsa
    24 août 2017 - 20 h 35 min

    Greetings from Pyongyang !

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