Des intellectuels appellent à boycotter la 22e édition du Salon du livre d’Alger

Salon livre Alger
Les signataires de l'appel dénoncent la prolifération d’un contenu à caractère religieux nocif pour la société. New Press

Par Hani Abdi – Des intellectuels ont lancé un appel pour boycotter la 22e édition du Salon international du livre d’Alger (Sila). Devant le laisser-aller, l’inquisition et la prolifération d’un contenu à caractère religieux nocif pour la société, ils demandent aux Algériens de boycotter ce rendez-vous censé être celui de la promotion du savoir et de la culture.

«Parce que la survivance des outrages est toujours le fruit d’une accumulation de petits ‘‘détails’’ tolérés, négligés, minimisés. Parce que la femme algérienne a déjà trop d’ennemis, de bourreaux et de tuteurs pour fermer les yeux sur une énième banalisation des horreurs subies. Parce qu’écrire au-delà de l’interdit et des conventions implique forcément une certaine cohérence qui ne doit souffrir aucune relativisation ou coquetterie sémantique. Parce que les violences faites aux femmes n’ont pas besoin d’un coup de pouce supplémentaire, qui plus est, venant d’un haut responsable culturel. Parce que le Salon international du livre d’Alger traîne suffisamment de tares, allant du non-professionnalisme à la marchandisation vulgaire, en passant par la censure et la prolifération du livre religieux», lit-on dans le texte de cet appel qui dénonce la forte place qu’occupent les inquisiteurs et les promoteurs des géhennes terrestres dans cet espace.

«Hamadache, Chamseddine, Benhadj ainsi que des milliers d’anonymes promoteurs de géhennes terrestres n’ont pas besoin d’un renfort inespéré venu de ce qui devrait être le bastion de la liberté et de l’équité…», ajoute-t-on dans ce texte, qui rappelle le dérapage, lors d’une interview sur le plateau d’Ennahar TV, du commissaire de cette manifestation, Hamidou Messaoudi, également directeur de l’Enag, qui a évoqué la polémique soulevée l’an dernier par la présence au Sila d’un livre intitulé Frapper son épouse : une solution pour les problèmes conjugaux ? d’un certain Abdelhamid Ahmed Abou Souleiman. Sur un ton humoristique adipeux, le responsable du Sila estime qu’une telle controverse n’avait pas lieu d’être, d’autant que ce «fascicule pourrait s’avérer utile pour modérer la violence conjugale. Car certaines épouses frappées par leurs maris semblent avoir été percutées par un camion». «Cette déclaration ne souffre aucune ambigüité : au lieu de massacrer son épouse, l’homme algérien devrait apprendre ‘‘l’éthique’’ coranique de la violence conjugale (sourate Nissaâ). Au moment où les prédicateurs téléportés du VIe siècle dénoncent vigoureusement les lois algériennes qui condamnent cet acte et les considèrent, à juste titre et fort heureusement, en contradiction avec les textes sacrés, le premier responsable du Sila vient indirectement faire écho à leur propagande de la haine et de la violence, et comble de l’infamie, en fait une matière à rire», lit-on encore dans le même texte.

«Nous, écrivain(e)s, éditeur(trice)s, intellectuel(le)s, lecteur(trice)s, avons aussi le droit de déserter massivement ce 22e Salon international du livre en exprimant, sur toutes les tribunes qu’il nous sera possible d’occuper, les raisons morales et historiques qui nous poussent au boycott. Morales parce que la violence conjugale est tout simplement inacceptable, quel que soit ‘‘l’opinion’’ du sacré à ce sujet. Historiques, car, dans un passé pas très lointain, écrivains, intellectuels, journalistes et artistes ont pris part à la résistance citoyenne contre la terreur intégriste qui voulait imposer cette négation de la vie et de la dignité humaines», argue-t-on, considérant ainsi que le boycott «sera une réponse à ce que nous considérons comme une atteinte aux principes fondamentaux du respect de la personne humaine, une insulte à des années de combat féministe et un crachat sur les tombes de toutes celles qui ont été égorgées, battues, violées, kidnappées, maltraitées ou détruites psychologiquement, parce que femmes».

H. A.

Comment (42)

    Anonyme
    25 septembre 2017 - 0 h 40 min

    Dans ce cas pourquoi se marier à une femme si c’est pour la battre ? Plutôt acheter une poupée gonflable comme savent en faire nos très intelligents amis chinois. Et de préférence la choisir très belle. Les avantages coulent de source : une poupée reste à la maison, elle n’exige pas, elle ne contredit pas en plus elle reste comme lorsqu’on l’a achetée : jeune et belle.

    bobsky
    24 septembre 2017 - 13 h 46 min

    arretons de melanger les livres divins et religieux avec les livres scientifiques et culturels

    chibl
    24 septembre 2017 - 12 h 14 min

    L’algérien est devenu intolérant , intégriste et surtout inculte, un livre de plus ou de moins je ne vois pas le danger,les mosquées avec leurs message de haine, des tele qui abrutissent et qui appellent au meurtre, je ne vois juste pas ou il est le danger, regardez la photo, vous pensez que c’est Algériens ça? ça c’est le GANDOURISTAN.

    LE NUMIDE
    24 septembre 2017 - 12 h 07 min

    LE BOYCOTT DES INTELLECTUELS ALGERIENS est dirigé contre les organisateurs qatariens et saoudiens de ce SILA et contre le ministre de la Culture qui ne veut pas prendre ses responsabilités .. C’est un acte de désobéissance civile , morale et nationale contre les livres de la Terreur wahabiste sous couverture religieuse et avec les milliards du Khalij .. Le Gouvernement Ouyahia et son ministre RND ne nous imposeront pas les livres des Chouyoukhs qui ont appelé au meurtre de 200 000 soldats et citoyens algériens depuis 1992 .. s’il veulent interdire les éditions françaises aussi ( on connaît leur réponse ) qu’ils le fassent, on s’en fiche . Le Sila devient alors national et algérien , berbère … Mais pas de Chouyoukhs wahabistes saoudiens , qatariens et égyptiens chez nous .. le Boycott doit continuer , sinon FERMEZ le SILA

      Bouzorane
      24 septembre 2017 - 19 h 46 min

      2 ministres sont derrière cette mascarade et qu’il faut virer au plus vite : le ministre des affaires religieuses, un islamiste qui s’ignore, et le ministre de la culture, un baathiste pro-egyptien de la pire espèce.

    Rayés Al Bahriya
    24 septembre 2017 - 11 h 24 min

    Daech On Book…
    Daech On Line…
    Line Book…
    Face Bouc

    Rafik Louanchi
    24 septembre 2017 - 10 h 41 min

    Boycoter ou pas le SILA, çà ne sert à rien car le « niveau » des algériens a été tiré vers le bas ! Si les algériens sont très nombreux à choisir des livres religieux (surtout les livres prosélytes) plutôt que des livres littéraires, scientifiques, techniques, économiques etc.. etc.. c’est que çà correspond à son réel niveau culturel et intellectuel ! C’est trop tard, le mal est profond !

    Nassim Ali
    24 septembre 2017 - 10 h 32 min

    Qui sont ces Intellos? Qu’ont ils fait depuis qu’ils se presentent comme des intellos et qu’elle est leur production? Des intellos qui appellent a boycott de la Culture, c’est l’appel a l’ignorance et l’inculture. S’ils se presentent tel quel, ils doivent dresser une liste des livres qui appellent a l’appel a l’extreme et au terrorisme quelque soient leurs formes et trouver les voies et moyens pour leur interdiction au Salon.

    Kaci Mohand
    24 septembre 2017 - 8 h 44 min

    Pas boycotter, aller sur place, et renverser leur livres par terre! et laisser des intellectuels dire aux gens sur place que leur livres sont vecteurs de terrorisme et autres ignominies faite « au nom de l’islam » . Le feu par le feu.
    Boycotter, c’est agir comme un petit bourgoeis, il faut se salir les mains si on veut éradiquer la peste wahhabo-salafiste! Eux n’hésiteront pas en tous cas!

    reda
    23 septembre 2017 - 22 h 30 min

    La solution pour se prémunir de ces problèmes: Instaurer la laïcité, combattre sans répit l’Islam dans toutes ses dimensions.Mohamed Aissa un intégriste sectaires passe son temps à pourchasser ceux qui ne partagent pas ses lubies….Il a encourager le salafisme.

    Algérie Authentique
    23 septembre 2017 - 22 h 15 min

    le boycott ne peut pas suffire, parce que l’essentiel des ventes se fait dans ce créneau de livres importés d’arabie yéhoudite; des livres achetés par des « associations » le plus souvent et donc par des fonds versés par l’Etat qui les subventionne!!! mais cependant le boycott peut aider à remettre les pendues à l’heure ! d’autant qu’il n’y a pas que cet aspect de discutable au sujet du « salon du livre » il y a comme l’a révélé ap récemment des contenus subversifs et injurieux véhiculés par des éditeurs étrangers dont au moins un dictionnaire libanais, mais il y a aussi des auteurs anti algériens tels que tahar benjeloul le mokoko dont les romans sont proposés à la vente par centaines au stand des éditions Gallimard-folio notamment et cela tous les ans ! il faudra bien faire le ménage la dedans!

    Bouzorane
    23 septembre 2017 - 18 h 38 min

    Notre Don Quichotte des affaires religieuses préfèrent s’attaquer à des moulins à vent appelés ahmadias plutôt que de s’occuper du vrai problème qui a clochardisé l’Algérie : l’idiologie islamiste… Mais comment pourrait-il en être autrement puisqu’il est lui-même un islamiste mais qui l’ignore lui-même !!…Nous avons là 2 preuves du don-quichottisme schizophrène de notre sinistre des affaires religieuses.

    Mohamed El Maadi
    23 septembre 2017 - 17 h 56 min

    Je rajouterais que ce site a travers les commentaires s’est trop arabisé et que nous francophones on se sent mal a l’aise devant de tant d’arriération et d’extrémisme qui nuit a l’image de L’Algérie .L’Algérie ce n’est pas seulement les frérots mais des citoyens qui lutte contre la Kaboulisation de notre société et rêve d’une société plus ouverte et moins misogyne

    Kadabine
    23 septembre 2017 - 17 h 13 min

    Il faur arreter cette mascarde qui s apelle arabisation et islamisation le pays va droit dans le mur; l arabisation a porte le premier coup de butoir a toute une geration perdu le 2 eme c ‘est l islamisme il sera fatale a l avenir du pays _ biensur il pourront toujours dire hizb franca ou koffar leur accusation habituels ils aboirons toujours … mais on peut pas laisser le pays se faire guider par des aventuriers arabophones qui ont la nationalite francaises ou par des barbus psychatriquement atteint l interet du pays avant tout .

    nectar
    23 septembre 2017 - 16 h 13 min

    Sans ça, je ne risque pas de fréquenter ce salon, qui devient beaucoup plus un business qu’un lieu de rencontres et d’échanges entre les amoureuses et les amoureux du livre et surtout du savoir.. L’ Algérie est atteinte dans ce qu’elle de plus noble depuis belle lurette, au point ou le savoir devient une denrée rare et presque inexistant..Quant à ce Monsieur Messaoudi, qui rit des malheurs de celle qui l’a mis au monde et torché durant des années, n’est qu’un idiot parmi tant d’autres…

    Abou Stroff
    23 septembre 2017 - 15 h 35 min

    puisque la question tourne autour de la femme, je rappelle le principe makhloufien autour duquel s’articule toute la pensée islamiste (musulmane?):
    « quand on fait péter makhlouf (un quelconque mâle), makhlouf fait péter sa femme ou son chien ».
    explication du principe: quand makhlouf (un mâle quelconque) est exploité, méprisé, avili, humilié ou réduit à un « moins que rien » par autrui (son patron, son voisin ou un quelconque autre mâle), il acceptera son sort de moins que rien puisqu’il aura inscrit dans sa cervelle qu’il y a TOUJOURS plus moins que rien que lui même. en effet, le moins que rien a toujours l’occasion de bomber le torse face à une quelconque femme puisque cette dernière lui est, par construction, inférieure.
    moralité de l’histoire: makhlouf ne pensera jamais à changer le monde dans lequel il vit en faisant la révolution puisque son statut de « moins que rien » lui apparaitra comme tout à fait « normal ». en d’autres termes l’avilissement, la répression, l’oppression des femmes est constitue une condition nécessaire à la survie de toutes les sociétés archaïques.

      Yasmine
      24 septembre 2017 - 16 h 05 min

      Juste excellent, beaucoup ne savent pas cela. Merci!

    karimdz
    23 septembre 2017 - 15 h 19 min

    Faut quand même pas exagéré, c est pas parce qu il y a eu un propos dépassé de l organisateur qu il faille boycotter ce rendez vous annuel du livre.

    Libre à ces intellectuels de le faire, mais le savoir, la culture, les échanges ne sont pas non plus, leur apanage.

    Mohamed El Maadi
    23 septembre 2017 - 14 h 25 min

    Au moins c’est clair ! pourquoi se marier si c’est pour battre sa femme?? alors achetez un âne et passez vous les nerfs dessus.
    Nous avons perdu la bataille idéologique comme je le racontais un jour : quand j’étais jeune je pouvais parler avec ma cousine et maintenant plus possible car vous voyez le mal partout mais partout.
    Il nous faut changer la façon de voir la femme algérienne, ce n’est pas une chaise ni un morceau de viande, mais un être humain imparfait comme nous tous.
    (…) Le mariage est un contrat de confiance basé sur l’amour et l’affection ; Ma femme sort avec ses copines et je ne l’accompagne pas, je ne fouille pas dans ses affaires et ne regarde jamais son portable ou les messages qu’elle reçoit; J’ai confiance en elle!!! Je ne dis pas que je suis un modèle mais croyez moi cela évite des disputes stériles et vaines!!

      Mohamed El Maadi
      23 septembre 2017 - 17 h 47 min

      Au regard des votes négatives qu’a reçu mon commentaire je me dis que nous avons des problèmes au pays .Une femme c’est pas un chien et son lieu de « détention « certainement pas une niche .Enfin libre a soi de « torturer » sa femme mais qu’on ne l’impose pas a autrui.

      zaatar
      24 septembre 2017 - 7 h 44 min

      Et le pauvre âne que vous a t’il fait pour que vous passiez vos nerfs dessus? On a compris que si vous rameniez un âne ce n’est surement pas pour l’épouser…

      Anonyme
      24 septembre 2017 - 19 h 43 min

      Dans ce cas pourquoi se marier à une femme si c’est pour la battre ? Plutôt acheter une poupée gonflable comme savent en faire nos très intelligents amis chinois. Et de préférence la choisir très belle. Les avantages coulent de source : une poupée reste à la maison, elle n’exige pas, elle ne contredit pas en plus elle reste comme lorsqu’on l’a achetée : jeune et belle.

    Zaatar
    23 septembre 2017 - 13 h 58 min

    De toutes les manières les al saoud finiront en ère Mad Max, c’est ce qui est dit dans toutes les religions et eux ne le savent pas…La péninsule arabique sera le théâtre de batailles dignes de celles que l’oncle Sam nous a bassiné avec dans les longs métrages et autres films…et pour la note le désert de la péninsule arabique est le décors qui sied le mieux à cette fin.

    Nasser
    23 septembre 2017 - 12 h 17 min

    Nous citoyens sommes devant la réalité, nous connaissons ces énergumènes. Ils sont tous ignares, sans principes, sans courages, des lâches qui montrent leur supposée force que quand ils sont en groupe. Mais dès qu’ils trouvent un contradicteur plus têtu qu’eux, ils fuient! L’État ne doit pas surtout pas les ménager car ils comprennent cela comme un faiblesse qui les encourage à faire plus! Un seul coup de maitre de temps à autre et ils disparaitront comme ils sont revenus! La paresse et ou la patience de l’état dans leur cas est dangereuse et coûteuse! La preuve est que si les citoyens et la presse en parlent c’est que ces hordes avancent et que les choses se compliquent! Pourtant la solution est simple en ces moments!

    Bison
    23 septembre 2017 - 11 h 57 min

    La religion est juste un habit d’apparat en Algérie et dans les pays arabes! depuis 60ans on a combattu l’illettrisme (pour satisfaire les statistiques) en produisant de l’ignorance à la chaine ! Et La religion, comme toute chose, peut s’accommoder avec l’illettrisme mais jamais avec l’ignorance !
    L’illettrisme peut produire de grands sages mais l’ignorance ne produit que de l’arrogance ! Un illettré on peut raisonner avec lui, on lui faire entendre raison… mais impossible avec un arrogant qui se croit savant juste parceque l’ecole lui a délivré un diplôme et par ce qu’il sait écrire son nom ou meme lire des livres (il ne suffit pas de savoir lire, faut il encore comprendre, faut il encore savoir distinguer le vrai du faux…)!
    Un vrai savoir, un vrai 3ilm, un 3ilm al nafi3, un savoir utile c’est le savoir qui rend service au moment de besoin (autrement c’est juste un fardeau sur le dos ou pour le cerveau)! C’est à ça aussi qu’on doit juger l’utilité de quelqu’un considéré comme savant et fortiori des associations de savants! Qu’a t-il, qu’ont ils apporté et qu’apportent-ils de bon (ou de mal) a leurs nations, a l’humanité! Le reste c’est du blabla!
    les titres… avec des titres, on a peut etre moins d’illettrés… que les US et le Japon! Mais combien on aimerait pouvoir échanger un seul de leur savant contre toute une association de nos savants… juste une année (ça nous ferait un bien incalculable)! !

      Zoro
      23 septembre 2017 - 18 h 52 min

      Notre faune n arrive pas à rassasier nos savants ,ils s en vont chasser dans la forêt des autres!!!!
      SIGNEZORO. ..Z..

    Nasser
    23 septembre 2017 - 11 h 17 min

    On voit bien que les rouages de l’État sont gangrénés par ces fossoyeurs, ces manipulateurs, ces hypocrites, ces incompétents! Et quand les choses se compliquent, on sollicite le concours des citoyens ?!

      lakhdar
      23 septembre 2017 - 18 h 53 min

      Cher ami, certains de nos pontes ne voulaient l’indépendance que pour ça, jusqu’à interdire d’aller à l’école de peur que leurs coreligionnaires leur échappent de leurs griffes.
      L’interdiction de la langue de Molière dans notre pays est une illustration parfaite.
      Ce que l’on voit aujourd’hui était en germe bien avant, la seule différence, c’est que l’élève a dépassé le maître dans la satanisme.

    Nasser
    23 septembre 2017 - 11 h 13 min

    C’est un salon wahhab-salafiste dont le commissaire est désigné , étrangement, par des responsables au niveau de l’État!
    A BOYCOTTER SANS HÉSITER !!

      Nasser
      23 septembre 2017 - 11 h 26 min

      On verra bien qui participera par leur accoutrement !!

        lakhdar
        23 septembre 2017 - 18 h 43 min

        Comme la si bien dit un comique français en parlant d’autre chose du genre humain, ça ne se reproduit pas, mais il y en a de plus en plus.
        Et puis, avec la réconciliation national, ce n’est pas à eux de redevenir normaux, mais à nous d’être comme eux.
        Pour ceux qui ont décidé de notre sort, ils s’occupent des affaires économiques à titre privé, quand ils ne pourront plus le faire, ils ont assuré leurs existences ailleurs jusqu’à l’extinction de l’espèce humaine sur terre…

    Nasser
    23 septembre 2017 - 11 h 04 min

    Tout le mal des pays musulmans, vient des Al-Saoud, ces fossoyeurs, ces falsificateurs, ces hypocrites que soutiennent les occidentaux. Il n’y a pas de plus savant qu’eux !! Leurs « oulémas » (savants en religion) sont uniques, inégalables.

    Pour ces énergumènes, la femme n’est ni la mère, ni la sœur, ni l’épouse, ni la fille, car leur espèce n’est pas compatible avec le genre humain. Ils ont du être conçus par l’accouplement de deux étranges entités non encore élucidés par la science!

    Nasser
    23 septembre 2017 - 10 h 51 min

    Normal que nous ayons des « responsables » de ce genre quand ils « s’alimentent » de ce genre de oulémas saoudiens:
    « Dans une vidéo qui l’identifie comme un important dignitaire religieux, Hijri affirme que les femmes ont normalement «la moitié du cerveau» d’un homme mais qu’elles n’en ont plus qu’un «quart» quand elles vont faire du shopping et qu’elles ne doivent donc pas être autorisées à conduire un véhicule….
    Ce saoudien a été suspendu de toute activité religieuse.
    Dans un communiqué, le porte-parole du gouverneur de la province d’Asir a souligné que: « la sanction imposée «est un signe montrant que les plateformes de prêche ne seront pas utilisées pour porter atteinte aux valeurs d’égalité, de justice et de respect des femmes inhérentes à l’islam»

    Nasser
    23 septembre 2017 - 10 h 36 min

    Même la presse étrangère en particulier russe à rendu compte de ce dérapage de ce commissaire du Salon du livre en Algérie Hamidou Messaoudi! Les taupes islamo-wahhabo-salafistes, sans tenue et sans barbe, s’introduisent partout!
    Des milliers de son genre sont désignés responsables de certaines structures et organismes sensibles surtout dans les secteurs de l’éducation et de la culture.
    Un voisin retraité de l’enseignement m’a expliqué, il y a quelques mois, avec suffisance que le « sinistre » de l’école algérienne ne vient ni de la qualité des programmes ni de l’incompétence des enseignants, mais de la politique de l’État qui a engagé… des femmes enseignantes! Selon lui, l’école a « coulé » à cause de la femme parce qu’elle n’est pas faite pour ça! Sa place est au foyer! Cet énergumène était …. directeur de CEM » !
    —-
    RT (Russie)
    …. Au sujet de la brochure de quelques pages intitulée Comment battre sa femme, il a rétorqué : «Entre nous, il aurait dû terminer le titre par « Comment battre un homme ». Mais « Comment battre une femme », je vous jure que parfois ce livre est utile.»
    Alors que l’animateur lui enjoignait de s’arrêter et de ne pas créer de polémique, Hamidou Messaoudi a basculé. Le commissaire s’est obstiné et a enchaîné les répliques de mauvais goût : «Parfois tu frappes ta femme et tu la regardes le lendemain, tu te dis qu’elle a été percutée par un camion ! Avec ce livre, au moins si on frappe, on le fait avec douceur.»
    Depuis, la vidéo ricoche de réseaux sociaux en réseaux sociaux, elle est même éditée pour que les propos fâcheux puissent être plus accessibles. Les condamnations des internautes sont nombreuses. (RT)

    Hamoud Mostefaoui
    23 septembre 2017 - 9 h 26 min

    Ya khouya Hani Abdi , il est foutu notre pays ! L’intégrisme , la religion a rongé notre pays jusqu’à l’os et ce à partir de l’école même ! Je ne sais pas si on va s’en sortir avec cette hydre aux milles bras, d’autant que le pouvoir est complice de cette situation ! Koune sbaah , comme on dit !

      Kassaman
      23 septembre 2017 - 11 h 01 min

      Ce n’est pas la religion, l’Islam, qui ronge l’Algérie mais bien la secte wahabo-sioniste!

    Moskosdz
    23 septembre 2017 - 7 h 31 min

    L’Algérie au parfum de la vie d’autrefois a fini par s’offrir corps et âme au wahhabisme mortifère et inhumain,laisser donc ces fanatiques propager leur culte de la haine de l’autre et la mort de la vie,c’est leur tendre carrément le couteau de boucher pour nous égorger avec.

    ferial
    23 septembre 2017 - 6 h 18 min

    Pendant qu’on s’étripe sur des sujets futiles, on occulte les véritables problèmes qui minent la société algérienne. On fait du sur place on avance pas, c’est bien dommage.

    Kamel
    23 septembre 2017 - 3 h 47 min

    On dirait un discours de l’association de ni putes ni soumises, pas un mot sur les autres écrits qui insultes les Algériens comme les Libanais qui les traitent de harkis.
    Un discours hystérique.

    LE NUMIDE
    23 septembre 2017 - 1 h 25 min

    nous boycottons ce salon wahhabite qataro-saoudien terroriste nocif pour la culture algerienne , la société et la nation qui ne nous concerne pas . Les organisateurs du contenu du salon du livre ont pris leur decision , nous prenons nos responsabilités .. Tandisque leurs tenants sont bien placés en Europe pour étudier la culture universelle et la science , ils importent sous la pression des mercenaires islamistes wahhabites depuis toujours les livres diaboliques de l’ignorance et de la TERREUR

    issam
    22 septembre 2017 - 23 h 38 min

    J’aimerais bien que ce salon du livre consacre des ouvrages sur la franc maçonnerie qui agit au sein du gvt jusque dans l’architecture de l’aéroport Boumedienne !

      Moskosdz
      23 septembre 2017 - 7 h 41 min

      +Issam//La franc-maçonnerie a au moins le mérite de construire,inversement la pègre islamiste ne sait que détruire ce que les autres ont construit.

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