Non à l’amnésie !

terrorisme amnésie
Un des nombreux attentat-suicides commis par les hordes sauvages du GIA, bras armé du FIS. New Press

Par R. Mahmoudi – La diffusion par la télévision nationale d’un court documentaire rappelant la violence des années 1990 a tout d’un coup mis en émoi partis politiques et commentateurs de presse, lesquels, au nom d’une étrange idée de l’éthique, jugent incongru de montrer aujourd’hui des scènes aussi horribles, comme s’il fallait continuer à refouler un mal qui n’aurait pas dû refaire surface.

Ce serait faire une offense au citoyen que de croire qu’il serait naïf et que le pouvoir pourrait le manipuler à travers une stratégie de la terreur, qu’il aurait résumée dans un spot audiovisuel d’un peu plus de cinq minutes. L’Algérien n’est pas cet animal réagissant selon le fameux réflexe pavlovien, pour espérer le conditionner par une simple opération médiatique ou par un effet magique aussi intense soit-il.

Quant à croire que le pouvoir serait niais à ce point en voulant raviver de douloureux souvenirs pour on ne sait quel dessein machiavélique (les commentateurs ulcérés parlent d’un acte de «chantage politique»), cela relève tout simplement du fantasme. Car, si tel était la volonté des concepteurs du court documentaire diffusé par l’ENTV, ils auraient pu imaginer des émissions entières et mobiliser des moyens plus importants.

Du coup, cette soudaine levée de boucliers nous pousse à nous interroger sérieusement : qui veut occulter les atrocités commises par les sanguinaires du GIA durant la décennie noire ? Qui a intérêt à entretenir les illusions et les mensonges sur ces événements tragiques qui ont failli effacer l’Algérie de l’existence et qui ont laissé des séquelles indélébiles ? D’habitude, seuls les partisans de l’ex-FIS s’offusquaient de (re)voir les images odieuses de leurs crimes montrées au public. Aujourd’hui, nous avons bien l’impression que la culture de l’amnésie a gagné des segments de la classe politique que nous croyions immunisés contre de pareilles abjurations.

R. M.

Comment (43)

    Baltazar
    7 octobre 2017 - 7 h 34 min

    Plus jamais ça

    Anonyme
    1 octobre 2017 - 21 h 25 min

    Certains commentaires sont plus choques par les images que par le crime lui meme
    l etat est severement critique alors qu ‘ on d attarde pas sur l agresseur
    ils condamnent  » la violence d ou quelle viennent  » _
    ca vous rapelle rien …??

    Anonyme
    1 octobre 2017 - 20 h 21 min

    Oui un devoir de mémoire s’impose à toutes et à tous et un hommage national doit être rendu chaque année à tous ces héros qui se comptent par milliers qui ont évité à ce pays de sombrer. Les Algériens doivent honorer les sacrifices de la population , de l’armée et des services de sécurité qui ont vaincu l’hydre terroriste. Les Algériens doivent se souvenir pour toujours de la barbarie de ces hordes criminelles et antinationales.

    le philosophe
    1 octobre 2017 - 18 h 47 min

    « Non à l’amnésie ». Un vrai « sujet-bateau ». Dans les classes terminales c’est le sujet idéal pour piéger les candidats qui ont toujours négligé les cours. Mais essayons de nous en sortir par quelques réflexions. « Amnésie » est à rapprocher et comparer à « oubli ». Les psy font une grande différence entre les deux termes: « L’amnésie n’est pas un simple oubli, il s’agit d’une perte importante de la mémoire. L’amnésie est aussi un symptôme qui témoigne d’une lésion ou d’un désordre au cerveau. Les causes peuvent être différentes : maladies ou accident » dit un célèbre animateur d’une célèbre émission « Allodocteurs ». Ceci dit, les horreurs de la décennie noire ont touché de près ou de loin tous les Algériens, sans exception.Les crimes avaient atteints leur paroxysme vers 1997et étaient même en rémission devant la résistance héroïque du peuple qui avait tout essayé: qanoun errahma; les patriotes; les journalistes , les un iversitaires, les médecins, les avocats, les enseignants et les enseignantes égorgé(e)s devant leurs élèves, les fonctionnaires de l’Etat qui ne voulaient pas abdiquer (comme ces chefs de daïra assiégés dans leur résidence du trou perdu où ils avaient pour tâche de maintenir la présence de l’Autorité, laquelle tardant à intervenir ne put que récupérer les corps étêtés de ces pauvres cadres dont les épouses et les enfants furent et restent à ce jour traumatisé) les GLD sans oublier la bravoure de notre armée dont les jeunes du Service National, à cause de leur inexpérience payèrent de leur vie. Le Premier ministre de l’époque n’hésitait à qualifier le terrorisme de « résiduel » et que les actions sporadiques ne faisaient que traduire l’agonie des hordes sanguinaires. La démission du Président et la venue de Boute’flika souleva un grand espoir de voir s’éteindre DEFINITIVEMENT cette catastrophe. Grâce au wiam et la loi qui s’en suivit, le peuple applaudit des deux mains toutes les mesures d’accompagnement des mesures courageuses prises dans ce sens. La reconnstruction du pays, le retard à rattraper dans le développement social, économique ne laissèrent guère le temps aux Algériens qui pansaient leurs blessures (profondes tant morales que physiques) de penser au passé pour se tourner résolument vers l’avenir que tout le monde souhaitait meilleur pour notre pays. La tâche était immense et les tentatives de certains renégats de nous entrainer vers un printemps douteux furent vouées à l’échec parce que le peuple ne voulait plus se laisser berner encore une fois.
    Mais, qu’on nous explique en quoi reparler de cette période en diffusant des images, presque toutes inédites, atroces, insoutenables faites de destruction, de corps déchiquetés (comme ces enfants scouts de Mostaganem tués le jour de commémoration du 1er novembre)et de corps en morceaux allongés à même le sol, vont-elles (ces images) aider à guérir de l’amnésie. Les images de ce type ont-elles réussies à bannir l’extrémisme sanguinaire en Irak; en Somalie; en Syrie; en Libye; à Ghazaen…en…. Symétriquement a-t-on vu une seule image des soi-disant victimes des attentats aux USA; en France; en Angleterre; en Allemagne? Jamais: rien que des témoins éplorés, solidaires et des ministres au garde-à-vous devant les députés tous unanimes pour marcher à Paris devant les locaux de Charlie, à Tunis et ailleurs, et dire « nous ne baisserons jamais les bras devant ces djihadistes radicalisés » mais tous, sous-tendus par l’Islam « qui porte en lui les germes de la violence » comme l’a souligné l’ancien pape Benoit 16, grand théologien devant l’Eternel.

      MELLO
      1 octobre 2017 - 19 h 45 min

      Le Philosophe
      Vous êtes en plein dans le mil. Ces images rediffusées par la télévision d’Etat ne sont en fait que celles rabâchées durant les années de terrorismes , faisant indirectement l’apanage de ces terroristes sanguinaires, mais réduisant, par la même, les visions émancipatrices et libératrices des enfants. La violence , par cet effet, s’est incrustée dans la mémoire de nos bambins. Des années après, on se pose les questions: pourquoi la violence dans les familles, pourquoi la violence à l’école, pourquoi la violence aux stades, etc… Et aujourd’hui sous le titre  » Non à l’amnésie » nos responsables nous inondent encore de ces facteurs destructeurs de société.

        le philosophe
        1 octobre 2017 - 20 h 29 min

        Merci de m’avoir complété. La justesse de votre analyse n’a d’égal que le désarroi des lâches qui votent « je n’aime pas » sans raison et surtout sans apporter la contradiction. Notre pays est en danger.
        -Non à l’amnésie.
        Non aux images atroces.
        Non à la récupération politique.

    salah
    1 octobre 2017 - 18 h 27 min

    Le peuple ne veux plus du clan et de BOUTEF4 le peuple veut que l’on applique l’article 102 de la constitution et que l’on destitue le président
    Hmimide prépare le 5 mandat de BOUTEF4 vous croyez que le peuple le veux?! d’où le chantage (MOI OU LE CHAOS) mais c’est presque le chaos
    N’Oublions pas Mr ZEROUAL qui grasse e ce grand homme que l’on commencer a avoir moins d’attentats en Algérie, BOUTEF4 n’est pas le sauveur de l’Algérie et encore moins grâce a lui

    MELLO
    1 octobre 2017 - 18 h 20 min

    Monsieur R. Mahmoud, effectivement et entièrement d’accord avec vous,  » NON A L’AMNESIE ». Nul ne peut prétendre l’ignorer, dans ce cas bien précis, le régime algérien n’a que peu à voir avec le droit et la morale. Né d’un coup de force militaire et se maintenant par la violence et la corruption, le régime est nu; il ne s’embarrasse de formes que pour complaire à ses partenaires occidentaux, soucieux d’apparences qui ne trompent que ceux qui veulent bien l’être. Plutôt qu’une évaluation critique objective du régime politique, on a préféré les campagnes de glorification et de dénonciation taillées sur mesure pour des personnes et par l’attribution de couleurs à des décennies, de sorte à masquer la nature du régime, ses pratiques et sa vraie couleur qui ne change pas malgré le changement d’hommes. Les événements qui surviennent continuellement chez nous et qui adviennent autour de nous depuis des mois évoquent ceux que le pays a vécus en octobre 1988 et des faits graves qui en ont découlé, de crise et de drames dont le peuple continue encore à avaler certaines des plus amères potions. Cette lecture erronée de la part de plusieurs parties – avec des intentions sournoises de la part de certaines autres parties – ont empêché, fort regrettablement, que les véritables enseignements soient tirés des événements d’octobre 1988. Elles ont permis aux adversaires du changement, à cette époque, d’œuvrer méthodiquement au blocage des voies menant à la solution juste qui consiste à assurer le passage vers un système politique réellement démocratique. Cela a fait perdre au pays, à mon avis, une opportunité précieuse de renouveler et de consolider sa marche vers le progrès et le développement. Dans les faits, la vie politique étant mise en situation de gel durable, les événements se réduisent à un face-à-face entre jeunes de quartiers et jeunes policiers. Cette «dépolitisation» forcée de la scène nationale – qui peut croire que les péripéties du pouvoir relèvent de la «politique» ? banalise l’émeute comme moyen d’expression habituel. Elle nourrit aussi cette forme d’autisme du pouvoir qui a tendance à ne voir que ce qu’il veut bien. Dans les faits, il suffit d’écouter les gens pour saisir que des scandales sont imputés à l’ensemble du régime. Les citoyens, interdits d’une vie politique qui aurait incité à saisir les nuances, ont un jugement global et définitif sur le système représenté comme un ensemble. Ils ont la conviction que les affaires ne sont que la partie immergée de l’iceberg. C’est à partir d’un tel jugement qu’ils évaluent leurs privations. Le bannissement de la politique, les entraves aux libertés syndicales apportent une fausse tranquillité. Il ne faut jamais cesser de le répéter : même en Algérie, une émeute n’est jamais banale. Ceux qui y ont recours ne se livrent pas à une scénarisation ludique de leurs problèmes, ils savent que cela comporte des risques et que la justice a tendance à avoir la main lourde. Quand les médiations entre l’Etat et la société sont à sens unique, elles perdent toute consistance. Elles sont socialement inutiles même si elles servent des clientèles. Elles ne sont pas aptes à envoyer un message évident : même en Algérie, l’émeute n’est pas un phénomène banal. Et encore moins à se dire que l’autisme fait le lit du populisme radical religieux. Sur un autre volet, cette décennie noire a fait que la corruption est omniprésente, dans la gestion des hydrocarbures, dans l’administration des deniers publics, dans la gestion des patrimoines publics fonciers et immobiliers. Au sommet des appareils, les contrats hydrocarbures, notamment les contrats « spot » sont, de longue date, la source de l’enrichissement phénoménal des dirigeants réels du pays, une poignée de responsables et leurs hommes d’affaires. La liste des sociétés-écrans et des « fondations » en Suisse, au Liechtenstein, à Séoul, à Hong-Kong et Rio de Janeiro gérées par des hommes de paille est interminable. Les gestionnaires de fortune genevois de grandes banques, dont certaines sont représentées à Alger, connaissent parfaitement les usages algériens. Pour le reste, il n’y a plus d’homme fort à la tête des institutions, il n’y a que des exécutants aux ordres.

    Felfel Har
    1 octobre 2017 - 18 h 10 min

    Le hasard fait parfois bien les choses. Je me documentais sur les discours des présidents français en perte de crédibilité, comme Macron, Hollande, Sarko, et j’ai retrouvé cette déclaration du Général De Gaulle. En novembre 1965, en se portant candidat à la présidence (à 75 ans), il déclarait à la télé: « L’adhésion franche et massive de citoyens m’engage à rester en fonction, l’avenir de la République nouvelle sera décidément assuré. Sinon, personne ne peut douter qu’elle s’écroulera aussitôt….. » N’est-ce pas le même avertissement (chantage ou ultimatum comme vous voulez) que les faiseurs de rois (FLN, RND, TAJ et MPA) tentent de faire passer. A la suite de Mme de Pompadour et de Louis XV, notre président nous tance: « C’est moi ou le chaos ». La récente émission sur la décennie noire procède de cette logique. Qu’il ne se compare au Général qui du haut de ses 2 mètres faisait entendre sa voix, bien articulée et sonore!

      Felfel Har
      1 octobre 2017 - 18 h 12 min

      Correction SVP. Dernière phrase, lire: Qu’il ne se compare pas … » Merci!

    abdel
    1 octobre 2017 - 18 h 07 min

    amnésie totale ou demie amnésie? si non comment expliquer que beaucoup d »algériens continuent a voter pour les partis islamistes qui ont pignon sur rue et ont toujours comme projet l »instauration d’un etat théocratique! sommes -nous devenus des masochistes ?

    Anonyme
    1 octobre 2017 - 16 h 22 min

    Vers la fin 1997, mi 1998 la guerre que la branche armée ( AIS-GIA) du parti dissous nous a imposée a pris fin avec sa défaite cuisante et la reddition de l’AIS aux forces de l’ANP, grâce aux femmes et hommes braves civils et militaires de ce pays. Vers la fin de l’année 1998 même les plus arrogants et belliqueux des éléments du parti dissous rasaient leur barbe et rasaient déjà les murs. Tous les Algériens en âge de comprendre à cette époque le savent, s’en souviennent et n’oublieront pas le sacrifice de ces braves civils et militaires, encore vivants ou tombés au champ d’honneur.

    Ahmed
    1 octobre 2017 - 14 h 29 min

    Heureusement pour nous Dieu a crée en nous l’oubli. J’aurais voulu qu’on décrive la décennie actuelle avec ses suicides, ses haragas, ses drogués, ses divorces et autres

    lyes2993
    1 octobre 2017 - 14 h 05 min

    Il est important que les nouvelles générations sachent ce que nous avons enduré durant les années 90 : certains ont trop tendance à croire que les choses se sont arrêtées miraculeusement ! Et oui, il a fallu la mort de centaines de milliers de nos frères et soeurs, le deuil, la souffrance et le sacrifice de millions d’Algériens pour affronter le quotidien affreux de l’époque, qu’a essayé d' »illuster » l’ENTV avec quelques échantillons de vie !
    Chacun à sa façon, nous avons tenté de reconstruire nos vies à jamais meurtries par cette décennie noire ! Peu importe les griefs politiques que nous pouvons avoir vis à vis de MM Zéroual, Bouteflika, Ouyahia, Gal Nezzar, Gal Laamari, Gal Toufik, il serait hypocrite d’oublier qu’ils ont chacun aussi contribué à maintenir l’existence de l’ALgérie ! et Dieu, le Grand Miséricordieux, nous a doté d’hydrocarbures qui nous ont permis de rester vivants et d’un peuple qui a su se réveiller au bon moment avec l’avenement dans nos montagnes des fameux Patriotes et des G40 pour suppléer nos valeurs frères et fils de l’ANP et du DRS !
    Evidemment, je trouve vraiment dommage et irritant que Bouteflika s’accroche à son siège mais pour être clair, en étant profondément patriote, je n’oublierai jamais sa contribution à l’apaisement de la situation et au retour de l’Algérie parmi les Nations …. et pour cela, ma gratitude lui sera éternelle et des millions partagent mon point de vue : Zeroual, Bouteflika, Gal Toufik, Gal Laamari font partie de ces Hommes auxquels l’Algérie sera toujours reconnaissante ! Il n’y a qu’à voir comment certains pays ont été détruits par le terrorisme pour imaginer comment l’Algérie aurait pu finir… surtout avec des voisins comme les nôtres !

      Anonyme
      1 octobre 2017 - 16 h 17 min

      ce sont ceux qui tu qualifies de «sauveurs» qui ont causé la décennie noire, depuis son indépendance, l’Algérie a subi un régime dictatoriale arabo islamiste, qui a supplée au régime coloniale, voilà ce qui a abouti à la décennie noire : arabisation sauvage d’un peuple amazighe, pour lui ôter son identité millénaire amazighe, islamisation radicale tout azimut de la société algérienne : construction des mosquées, au lieu de construire des centres culturels, des universités du savoir, des bibliothèques, des théâtres, etc… imposition de la religion dans les écoles, dans la politique (islam religion d’État), un islam radicalisé par l’arrivée massive d’intégristes religieux d’Égypte dans les écoles algériennes. L’Algérie est musulmane depuis des siècles, elle n’avait pas besoin d’être radicalisée dans les écoles, dans les institutions de l’État, dans les médias et j’en passe, voilà d’où nous vient la décennie noire et ceux qui l’ont provoquée, se la jouent sauveurs, seul le peuple algérien a sauvé le pays il n’a pas suivi les terroristes, il a donné ses enfants pour l’armée, il a donné ses enfants pour les patriotes qui ont sauvé le pays, il a fait, au péril de sa vie, de la résistance face à l’hydre terroriste. Le combat contre l’intégrisme terroriste qui nous vient d’ailleurs et implanté dans nos écoles et institutions, fut le même que celui contre le colonialisme, pendant ce temps là Bouteflika était en exile chez les arabes qui nous ont exporté leur idéologie terroriste vers l’Algérie. Le patriote Zeroual, le peuple algérien, l’armée populaire algérienne, sont seuls les héros de ce combat contre le terrorisme.

      Azekdhouf
      1 octobre 2017 - 16 h 38 min

      Conneries, les memes chimeres de toujours, tetaniser par l’ assassinat hier et par le souvenir aujourd’ bui. Les islamistes ont fait le jeu du regime. Les deux se soutiennent On est plus islamistes sous la  » concorde arabislamique « ! Ridicule…

    Redouane
    1 octobre 2017 - 14 h 02 min

    Il n’y a aucune culture de l’AMÉSIE de la part du peuple Algérien, ni OUBLI surtout. Celui qui prétend le contraire se trompe lourdement. Le peuple n’oubliera JAMAIS que le chef des égorgeurs qui a reconnu – PUBLIQUEMENT – dans un media… « algérien » avoir égorgé de SES PROPRES MAINS un jeune du service national puis il fut reçu par l’actuel P.M… Et le comble, c’est que ce sinistre individu, comme beaucoup d’autres comme lui, n’a JAMAIS été jugé pour TOUS ses crimes : JE SUIS EN DROIT, EN TANT QU’ALGÉRIEN, DE ME POSER DES QUESTIONS LÉGITIMES… par respect à tous les Algériens et Algériennes qui furent lâchement assassinés par ces hordes terroristes.

      anonyme
      1 octobre 2017 - 17 h 06 min

      deux guerres en Algérie continuent sous diverses formes :
      la guerre d’Algérie pour l’indépendance ( Fln / pieds noirs )
      la décennie noire ( militaires / islamistes )

        Redouane
        1 octobre 2017 - 19 h 17 min

        Ni oubli ni amnésie mais tout simplement le PARDON. Qualité qui démarque le peuple Algérien de tous les autres. Il n’y a aucune continuation en Algérie de la guerre d’Algérie (FLN/PIEDS-NOIRS) comme vous le prétendez faussement. Le peuple Algérien est un peuple pacifique qui ne cherche nulle noise envers d’autres peuples mais gare aux autres peuples qui veulent s’attaquer au peuple Algérien. Concernant la décennie noire (MILITAIRE/ISLAMISTES) j’estime heureusement que le peuple algérien a eu la chance extrême d’avoir une armée aussi forte qui a su le protéger des hordes barbares qui étaient actionnées de l’étranger par des pays tiers pour détruire l’Algérie et le peuple Algérien. Thanks God, notre glorieuse A.N.P. nous a sauvés ! Al Hamdoulilah. Et avec laquelle nous devons faire corps.

        Redouane
        1 octobre 2017 - 20 h 05 min

        Ni oubli ni amnésie mais tout simplement le PARDON. Qualité qui démarque le peuple Algérien de tous les autres. Il n’y a aucune continuation en Algérie de la guerre d’Algérie (FLN/PIEDS-NOIRS) comme vous le prétendez faussement. Le peuple Algérien est un peuple pacifique qui ne cherche nulle noise envers d’autres peuples mais gare aux autres peuples qui veulent s’attaquer au peuple Algérien. Concernant la décennie noire (MILITAIRE/ISLAMISTES) j’estime heureusement que le peuple algérien a eu la chance extrême d’avoir une armée aussi forte qui a su le protéger des hordes barbares qui étaient actionnées de l’étranger par des pays tiers pour détruire l’Algérie et le peuple Algérien. Thanks God, notre glorieuse A.N.P. nous a sauvés ! Al Hamdoulilah. Et avec laquelle nous devons faire corps.

    abdel
    1 octobre 2017 - 13 h 31 min

    le véritable crime,c’est l’impunité dont jouissent les criminels,qui sont réçus dans les palais de la republique,alors que les victimes sont oubliées,et leurs familles interdites de saisir la » justice », les imposteurs qui ont initié ces lois seront jugés par l’histoire,car comme disait l’autre, »l’histoire se répète toujours deux fois » »

    ZORO
    1 octobre 2017 - 12 h 51 min

    le pouvoir semble afficher sa neutralité dans cette affaire ,il veut dire au peuple fais attention !!tant que les assassins ne sont pas connus et jugés ,ils peuvent revenir sous un autre manteau te faire du mal!!!

    Beka
    1 octobre 2017 - 12 h 35 min

    Ecoute zorro, Sans le savoir toi et tes semblables encouragent le separatisme. tu peux plus imposer une langue, une idendite ou une Doctrine religieuse Meme a minorite.
    les enfants ont grandi. Tu peux plus utiliser le matrag ils sauteront par la fenetre…

      ZORO
      1 octobre 2017 - 13 h 08 min

      Ecoute Beka ,je vais te mettre une puce a l oreille si tu en as. Lis bien les commentaires de tes comperes tu verras leur désarroi devant l arabisation et l islamisation de notre societe wal hamdoulilah . ILs commmencent a baisser les bras ,ils voient que c est trop tard. Qu ils. Vivent leur cauchemard en attendant leur trepas .

    ZORO
    1 octobre 2017 - 12 h 02 min

    @ NUMIDE ,ABOUSTROFF, FREIN DE PAIX ETC: Changer de peuple vous dormirez tranquilles ,en attendant vivez vos cauchemards!!!

    Kouidri Saadeddine
    1 octobre 2017 - 10 h 06 min

    Il suffit d’écrire ou de dire sur ces images que les acteurs de ces massacres ont été non seulement amnistiés mais qu’un de leur chef a été élevé au grade de « personnalité nationale » pour avoir la vérité vraie et un reflet du visage du système politique actuel.

    Predator.DZ
    1 octobre 2017 - 10 h 04 min

    Moi, je crois que cet épisode de notre histoire récente doit être enseignée à l’école, au lieu de s’offusquer lorsque la basmala est retirée des manuels scolaires. Autrement nous sommes entrain de refaire exactement le même chemin vers une autre décennie noire, voire pire.

      Anonyme
      1 octobre 2017 - 11 h 05 min

      Oui c est une necessite d enseigner ce drame integriste a l ecole et meme d insrtaurer un jour ferie. mais il y aura une opposition des neo integristes et de toute la racaille complice qui feront une gymnastique intello pour empecher cette bonne initiative.

    Abou Mrang
    1 octobre 2017 - 10 h 01 min

    Non a l’amnésie wi à l’anamnèse !
    C’est y quoi le sujet ? Les atrocités commises par les tangos, leur rappel à nos souvenirs résilients, la volonté de titiller nos mauvaises consciences oula chaïéne akhar ?
    Car il me semble que toutes les critiques ont été braquées sur le pourquoi du comment de l’opportunité de cette diffusion et non sur le massacre lwimim!!
    Ya3ni à supposer thoura qu’effectivement le pouvwar a diffusé ces images pour faire de la diversion ou, comme le supputent certains, de la pub pour les monstres qui ont commis ces horreurs, ou l’apologie de la réconciliation, ce qu’à quoi on aurait échappé sans la baraka la rahma de Sidna el Barzidène errahim, pourquoi za3ma l’opposition, elle, fait-elle kifkif en embrayant sur le combinage, épargnant ainsi les tangos comme si ce n’était pas eux les responsables, réactivant ainsi les quituquistes?

    Abou Stroff
    1 octobre 2017 - 9 h 51 min

    « Du coup, cette soudaine levée de boucliers nous pousse à nous interroger sérieusement : qui veut occulter les atrocités commises par les sanguinaires du GIA durant la décennie noire ? » s’interroge R. M..
    il y a plusieurs réponses à cette question et ces réponses dépendent du positionnement politique de celui qui les émet.
    ainsi, tous les islamistes, sans exception, considèrent que le GIA a été créé par la houkouma. donc, le massacre de bentalha, entre autres est l’oeuvre de la houkouma. conclusion imparable: ceux qui ont regardé le court documentaire en question peuvent apprécier la « sauvagerie » de la houkouma quand il s’agit de défendre des intérêts palpables et quantifiables.
    par contre, si on considère que ce sont les islamistes qui ont perpétré le massacre de bentalha, entre autres, alors, le court documentaire pose plus de question qu’il n’en résout. en effet, ceci va à l’encontre du discours dominant qui veut que nous devenions tous amnésiques et que l’égorgeur et l’égorgé devraient se mettre à siroter du thé autour d’une table garnie de baklawa.

    Enfin, il est toujours possible d’avancer l’hypothèse selon laquelle le pouvoir en place nous (nous la plèbe) met devant un choix incontournable: soit nous choisissons d’être sous la coupe du pouvoir en place incarné par bouteflika, soit nous rejetons ce pouvoir et nous tombons entre les mains ou sur les genoux de la vermine islamiste qui saura nous « apprivoiser » à coup de sourates et de hadiths.
    moralité de l’histoire: dans tous les cas de figure, bouteflika qui était « absent » du terrain où se déroulait les massacres, ne peut en aucun cas prétendre avoir participé à l' »extinction des feux ».
    quant à la « réconciliation nationale » de bouteflika, elle ne fait, à mon humble avis, que retarder les échéances, ni plus ni moins.

    Salim31
    1 octobre 2017 - 9 h 50 min

    De plus en plus de jeunes sont embobinés par l islamisme, une chose qui est devenu courante et dangereusement facile!! les gourous sont revenus comme si rien ne s etait passe. Et bizarrement, aucune trace des crimes, aucun rappel de memoire… certains n ont aucune conaissance des crimes commis par l integrisme dans les annees 90, sous pretexte de ne « pas reveiller les demons  » les complices et les « QUITUQUISTES » sont en train d effacer les crimes et d’instaurer une chape amnesique, une sorte de tabou pour mieux revenir…
    IL FAUT SE REAPRORIER LA MEMOIRe, DIRE, MONTREr, MEME SI C EST CRUEL!!! LES JEUNES DOIVENT SAVOIR QUE LES LES TERROS D HIER ET LES GOUROUS DU COIN SE Ressemblent ! (…)

    lhadi
    1 octobre 2017 - 9 h 47 min

    Le mal qui a dévasté l’Algérie n’a rien perdu de sa virulence, prêt à frapper de nouveau pour peu qu’on néglige de le prendre encore au sérieux : Quand souffle l’esprit de haine, avivé par les intégrismes, alimenté là par la peur et l’exclusion, quand certains groupuscules, certaines publications, certains enseignements, certains partis politiques se révèlent porteurs, plus ou moins ouvertement, d’une idéologie extrémiste sous couvert religieuse, alors l’esprit de vigilance qui anime le citoyen algérien doit se manifester avec plus de force que jamais. N’acceptons pas d’être les témoins passifs, ou les complices, de l’inacceptable.

    Ne rien occulter des décennies sombres, c’est tout simplement défendre une idée de l’homme, de sa liberté, de sa dignité. C’est lutter contre les forces obscures sans cesse à l’oeuvre. Ce combat doit être celui de l’espoir avant tout.

    Les valeurs humanistes, les valeurs de justice, de liberté, de tolérance qui fondent l’identité algérienne nous obligent à tirer les leçons de l’histoire. Les ignorer serait une coupable imprudence, d’autant que cette même histoire ne cesse de se répéter et semble inlassablement tirer parti de l’inconscience ou de l’amnésie du citoyen algérien.

    Fraternellement lhadi
    ([email protected])

      ZORO
      1 octobre 2017 - 12 h 19 min

      Nous sommes algeriens et nous pouvons l attester devant DIEU et les humains que les extremismes qui continuent a saper notre nation sont aussi idiologiques etrangers a nos valeurs que religieux importes importés d un peu partout!!!

    Meli
    1 octobre 2017 - 9 h 28 min

    Moi personnellement d’après ce que je vois Dans la rue de Tout les jours ça me confirmer que non seulement ces partis politiques ont oublié, mais aussi le peuple, qui a oublié tout ces horreurs commises!!!
    quand j’entend la pensée des Algériens qui tourne autour le hallal et le haram, leur tenue vestimentaire, des petites filles de moins de 5 ans avec le hidjab, ce qui se passe dans nos mosquées…, je tiens à vous dire que peut être on a gagné la bataille armée contre les terroristes, mais ils on gagné la bataille de la pensée terroriste!!! pratiquement tous les Algériens pensent comme eux et croyez moi c’est encore plus dangereux!!! ils envahissent nos écoles, les administrations, les mosquées, ils sont même chez nous!!! la réconciliation nationale leur a permis de propager leurs idées en douce.
    Et n’oubliez surtout pas que lors des élections de 1990 le c’est le peuple qui a voté FIS, alors détrompez vous, car si c’était à refaire aujourd’hui, le peuple ferait la même chose!!!
    Rabi yester, hada makane.

    صالح/لجزائر
    1 octobre 2017 - 8 h 34 min

    les Algeriens ont voté Fis non pas par conviction pour son programme reduit à « aliha nahia wa aliha namout », parti crée par des personnages comme Abbassi, Belhadj et Cie qui ont ete encouragés par des acteurs de la decennie noire chadlienne « pour une vie meilleure ». dans leur travail de sape des realisations morales et materielles anterieures. les Algeriens ont choisi le Fis parce qu’ils estimaient que c’était l’unique force politique organiséé à l’epoque, capable de balayer le regime bati sur la médiocrité… et le « koul nakoul ».

    LE NUMIDE
    1 octobre 2017 - 8 h 33 min

    Arrêtons de délirer!! ce n’est ni le pouvoir ni Sckoupi qui a installé la terreur et le crime de masse en Algérie (on dit ca pour deux motifs : soit pour dédouaner l’islamisme soit pour conforter sa lâcheté intellectuelle et sa veulerie spirituelle)…. LE CRIME suprême en Algéri,e c’est l’islamisme et les partis islamistes!! on se souvient en 94, quand Ali Belhadj a remplacé le Dieu des algériens…
    la seule force qui a vaincu la terreur islamistes c’est l’ANP quand les généraux nationalistes et les patriotes ont décidé que la terreur doit changer de camp , les dieux de l’Islamisme alors sont devenus comme des rats. les partis démocrates (sauf le RCD) ont failli en renonçant au combat contre le monstre islamiste wahabite et n’ont pas porté le combat national algérien à l’echelle mondiale contre sa matrice l’Arabie saoudite et contre son vecteur: la secte des frères musulmans égyptiens. le reste c’est du blabla et la lacheté de certains algériens continue toujours, ils aiment les Idoles du wahabisme et se croient monothéistes !!!

      ZORO
      1 octobre 2017 - 13 h 29 min

      Enfin le Numide reconnait :
      Qu il delire dans son hibernation!

    Friend of peace
    1 octobre 2017 - 8 h 25 min

    La memoire courte fait oublier que l’islamisme est le fils du règime arabiste et avant qu’il ne ne soit projetè sur la scène politique sevit le système comme substrat ideologique de boumediene.
    Un peuple ne doit pas se limiter aux symptomes de la violence mais aux causes qui l’ont générée. Limiter le probléme à la dimension criminelle est infantilisme dans lequel le règime excelle, comme si l’on nous disait de faire recours aux jugements moraux et de laisser au système toute deduction politique ou societale.

    Si les islamistes ont fait 200 000 morts, leur genese est dans le coup d’Etat contre le Gpra qui a fait que la caste ait besoin de faire recours à l’islamisme comme substitutif de la sociétè algerienne. le régime recourt à cela pour trouver une dimension qui le libère du fardeau du coup d’Etat et de l’illegitimité.
    L’islamisme commence bien avant les islamstes. C’est le baath fln qui, le premier, livra les femmes à la charia, au tuteur et à leur misogynie. Le code de la « famille » retrograde rompt avec tout le discours sans sens de la revolutionette.
    La mise sur piste politique du parti islamique a été longtemps préparée, outre l’arabisation imposèe de force, par des conferences pour islamiser et creer une base politique au futur parti naissant. Sahnoun organisait ses conferences librement, alors que le FFS etait encore dans la clandestinité.
    Le régime croyait en une contre-position islamistes contre laics, pour sortir vainqueur comme alternative. En effet, la premiere victime des islamistes a été un étudiant kabyle de ben aknoun.

    Il y a une dimension societale qu’il faut considerer aussi: si la kabylie s’est refusèe de collaborer au fait accompli de la dictature, elle a payé le prix, en 63 ce sont 400 membres du FFS qui ont été assassinés par le regime. Pendant que le FIS faisait le plein dans les autres régions algériennes, en Kabylie il n’avait jamais trouvé preneur. L’assimilation avait commencè tot, apres 63, le régime cherchait un semblant de reppresentativité en recourant à la stratégie d’utilisation des fonctionnaires d’origine Kabyle. Ce qui n’a pas réussi au régime ne reussira pas aux islamistes.

    Apres la décennie noire, l’Algerie devait donc certe prendre acte de la violence mais devait apprendre la lecon locale, celle de kabylie qui offrait un model democratique autoctone et une praxis politique qui repose sur du solide. Mais la vision Oummiste du régime et de sa constituency d’assimilés ont prédisposé le pays au role de suiveur du moyen orient. En effet le régime n’a rien à offrir ni comme analyse ni d’alternative, l’arabislamisme continue d’etre une l’unique voie, meme si c’est vers une impasse.

    La constitutionette faite dans un cinema par l’illegitime benbella, puis replatrée plusieurs fois, impose « la concorde civile » l’acte de morts de la nation qui instaure une minirepubliquette islamique, outre la charia à l’école on a droit au Tuteur des femmes et ainsi 50% de nos concitoyens vivent déjà sous l’épée de Damoclès de la pax islamique.
    Une vitesse supérieure est constatable apres la debacle des dernieres elections, quand 80% des algeriens ont refusè les urnes du système. Voilà alors les imams propulsés en institutions moralisatrices. Et on introduit meme la notion de « finance islamique » qui n’est rien d’autre que des pret bonifés ou sans interet – mais l’utilité est plus pedagogique et politique- là où des centaines de miliards$ sont evaporés dans la nature.

    En somme, le choix societal est au préalable des choix politiques. Mélanger ou feindre de faire l’économie des processus historiques et anthropologiques est le meilleurs moyen de stabiliser un peuple dans la boue.

    selecto
    1 octobre 2017 - 5 h 11 min

    Bizarrement tout les offusqués par ce rappel des massacres contre notre peuple ont un point commun: Ils refusent tous de dénoncer la colonisation du Sahara occidental a commencer par les « démocrates » et « islamistes ».

    Moh
    1 octobre 2017 - 4 h 39 min

    Avant tout ellah yarham tous nos frères et sœurs. Ie documentaire est en deux partis l’horreur et boutef. Ils ont exploités l’horreur pour présenter boutef comme le Mehdi le sauveur de l’Algérie et que on doit pas oublier sa.libre à vous.

    Redouane
    1 octobre 2017 - 4 h 36 min

    Alors là, c’est vraiment « intelligent » d’avoir fait passer une telle horreur qui vient raviver le « QUI TUE QUI ? ». Ces images subliminales, pas du tout neutres, vont apporter au contraire de l’eau au moulin à tous ceux qui guettent l’Algérie en confirmant l’esprit sadique et tueurs des gens du système qui veulent continuer à faire peur au peuple Algérien si, au cas, ou ce dernier venait à se décider de NE PAS VOTER lors des prochaines élections. Mais vous êtes complètement FOUS et IDIOTS ya s’hab le pouvoir d’avoir fait….. Çà ! On n’a pas idée, vraiment. Là, le système démontre par A+B qu’il est en perte totale de vitesse. Mais vous êtes en train de vous culpabiliser sans vous en rendre compte bandes d’abrutis ! Ça y est vous avez plaidé : COUPABLE !!! GUILTY…..
    Les gens qui ont décidé et autorisé cela DOIVENT être relevés de leurs fonctions illico presto. Rien que pour çà : BLA RABHA, ON NE VOTERA PAS !!! Allez vous faire foutre bandes d’incapables….. Ghir t’bahdlou fina ou tayhouna fi g’darna. Inaâl… !!!

    Algérie Authentique
    1 octobre 2017 - 1 h 17 min

    votre article est splendide! tous ces rats négationnistes finalement sont quelque part complices des terroristes , ils veulent effacer la mémoire du peuple, la mémoire de ceux qui ont souffert au nom d’on ne sait quelle prétendue bien-pensance! ces gens sont ni plus ni moins que des négationnistes, des révisionnistes, des conspirateurs, des amis des terroristes ou des amis de ceux qui pensent que les terroristes « font du bon boulot » ! je suis pour le maintien de la mémoire de la décennie de la honte aussi vive que possible pour que plus jamais cela ne se reproduise!!! regardez l’exemple de la shoah, le battage médiatique est permanent , des générations entières ont été sensibilisées au fléau de l’holocauste! croyez vous que cela soit indécent ???? Non monsieur! ce qui est indécent c’est le crime et pire l’oubli! Il ne faut pas écouter ces idiots ou ces salauds qui veulent nous tuer une n’ieme fois , il faut continuer de faire vivre le souvenir douloureux de la sauvagerie de ceux qui sont encore là tapis dans l’ombre , car ils sont encore présents parmi nous armés de leurs sabres prêts à nous détruire à nouveau sur injonction de je ne sais quel barbu d’outre frontière ! N’OUBLIONS JAMAIS pour que plus jamais cela ne se reproduise !!!!

    ali
    1 octobre 2017 - 0 h 45 min

    Exactement,il faut montrer aux jeunes generations qui sont tentées par le salafisme et les freres musulmans ce que ces barbares ont fait au peuple algerien qui lui, pratiquait un islam de ses parents et grands parents .
    Il faut montrer aussi que la reconciliation nationale a été la pire decision prise au moment où ces assassins commencaient à perdre du terrain et c est pourquoi Zeroual élu à la grande majorite ,l a refusé et a démissionné.

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