Hadjar s’entretient à Bruxelles avec le Commissaire européen à la recherche

Tahar Hadjar
Tahar Hadjar. New Press

Le ministre de l’Enseignement supérieur et de la Recherche scientifique, Tahar Hadjar, s’est entretenu, jeudi à Bruxelles, avec le Commissaire européen chargé de la recherche, des sciences et de l’innovation, Carlos Moedas.

L’entretien s’est déroulé en marge de la cérémonie de signature de l’accord scellant la participation de l’Algérie au Partenariat pour la recherche et l’innovation dans la région méditerranéenne (Prima), une initiative visant à développer des solutions nouvelles pour la gestion durable de l’eau et la production alimentaire dans la région méditerranéenne.

La rencontre a permis aux deux parties de «faire le bilan de la coopération algéro-européenne dans le domaine de la recherche scientifique et technique», a indiqué une source diplomatique.

Selon la même source, la rencontre entre les deux hommes a été également l’occasion d’aborder «les perspectives de coopération» et d’examiner «les voies et moyens de la renforcer et de la diversifier».

M. Hadjar effectue jeudi et vendredi une visite de travail à Bruxelles où se réunit également le comité mixte Algérie-UE de l’accord de partenariat scientifique et technologique.

«J’espère que cette réunion pourra être une opportunité qui marquera une nouvelles ère pour le renforcement de la coopération euro-algérienne dans ce domaine stratégique d’intérêt commun», a-t-il déclaré lors de la signature de l’accord de coopération entre l’Algérie et l’UE en matière de recherche et d’innovation.

Le ministre s’entretiendra également vendredi avec le vice-président, ministre de l’Enseignement supérieur, de la Recherche et des Médias de la Fédération Wallonie-Bruxelles, Jean-Claude Marcourt.

R. N.

Comment (9)

    Benbarka
    26 octobre 2017 - 21 h 48 min

    C’est sûr qu’il va rendre visite à la nouvelle directrice de l’UNESCO, la française et non moins marocaine juive Audrey Azoulay fille d’André Azoulay conseiller perpétuel des rois du Maroc depuis Hassan ii. Le roi actuel l’avait d’ailleurs chargé de le représenter « personnellement » aux obsèques du génocidaire prix Nobel de la Paix…éternelle pour les Palestiniens.

    Anonyme
    26 octobre 2017 - 20 h 10 min

    Hadjar un analphabète trilingue parler de recherches scientifiques avec le Commissaire européen à la recherche. Drôle de pays.

    Anonyme
    26 octobre 2017 - 18 h 33 min

    Le ministre Hadjar a un projet et il le reussira grace a la cooperation internationale avec le concours de nos eminents scientifiques et academiciens..S ouvrir au savoir a travers le monde entier et profiter des autres experiences.L Algerie est sur la bonne voie grace a la fidelite de ses propres enfants.

      bougie
      27 octobre 2017 - 13 h 50 min

      C’est pour cela qu’il est en Europe mais il ne faut pas qu’il brade les avancées technologiques ,scientifiques ,recherche spatiale ,aéronautiques ,industrielles ,informatiques ,ferroviaires ( TGV algérien ) a moindre coût ,l’Algérie étant un leader incontesté dans tous ces domaines .

    Ammar
    26 octobre 2017 - 16 h 47 min

    Singapour a conçu une méthode d’enseignement des mathématiques qui lui a fait prendre la tête des palmarès internationaux de référence. Les résultats de cette pédagogie ont été si convaincants que des dizaines d’autres pays l’ont adoptée. En France, quelque 120 000 élèves l’utilisent déjà dans leurs écoles élémentaires.
    Alors que la méthode française est considérée comme si sophistiquée que les profs ont parfois du mal à l’expliquer, celle de Singapour refuse que l’on recrache un cours appris sans que celui-ci ait été compris. Sur le site du ministère de l’Éducation de Singapour, les mathématiques sont définies comme « le moyen de développer et d’améliorer les compétences intellectuelles d’un jeune adulte ». « Ce ne sont pas forcément les formules que les enfants retiendront lorsqu’ils seront devenus adultes ; d’ailleurs, ils pourront toujours les retrouver sur Internet… L’essentiel est que la gymnastique du cerveau reste. Ils doivent absolument apprendre à réfléchir et à garder des mécanismes de pensée, des habitudes de raisonnement », assure Monica Neagoy, grande spécialiste de la méthode de Singapour en France. La docteur en didactique des mathématiques, qui a adapté la méthode pour la Librairie des Ecoles, transmet avec enthousiasme la magie de cette approche dans le monde entier, en formant des enseignants des États-Unis au Qatar, ainsi qu’aux quatre coins de la France… et même au Point. Le Point.fr tente à son tour de vous montrer en vidéo le génie de la méthode, tel que Monica Neagoy nous l’a présenté, en choisissant quelques exemples concrets de ce que la méthode propose pour appréhender des notions essentielles.

      Mello
      27 octobre 2017 - 12 h 08 min

      Dans l’ecole anglo-saxone, la disposition des eleves est en U , il n’y a pas d’eleves derriere d’autres eleves , comme cette disposition dans les ecoles de France , ou meme chez nous en Algerie. Dans l’ecole anglo-saxonne le professeur et les eleves discutent et partagent le cours. De cette methode est nee cette nouvelle technique d’enseignement des mathematiques: sans resoudre un probleme au tableau, la resolution se fait oralement entre le prof est tous les eleves, seule la configuration d’une fonction est tracee au tableau. Un veritable dialogue est ne entre le prof et les eleves qui n’hesitent pas a “ corriger” ce prof , si necessaire.

    Ammar
    26 octobre 2017 - 16 h 46 min

    C’était le 19 juin. La ministre de l’Enseignement supérieur, Frédérique Vidal, rencontrait pour la première fois son homologue singapourien, Ong Ye Kung. Officiellement, ils ont parlé de coopération bilatérale en matière d’enseignement supérieur, de recherche et d’innovation. Sans doute ont-ils aussi évoqué l’année de l’innovation France-Singapour, annoncée pour 2018. Si la France, si fière de sa réputation d’excellence scientifique, s’acoquine avec la cité-État dans ce domaine, c’est peut-être aussi parce qu’elle a des leçons à tirer de ce pays qui caracole en tête des palmarès internation…

    Ouelechaab
    26 octobre 2017 - 16 h 29 min

    Oser parler de recherche et affirmer de la renforcer, quand des recteurs n’ayant pas leur baccalauréat avaient été promu au-delà de toute éthique et désigné par le fait du Prince au poste de «Recteur» et maintenu à ce poste plus de vingt ans, cela constitue une autre occasion pour les Européens et autres de bien se gausser de cette pauvre Université Algérienne sous la coupe de tels personnages, ne devant leurs promotions non pas à leurs mérités académiques et leurs CV mais à un pouvoir inculte et dominateur, former de «dobermans». !

    Pr Nadji K.

    Mello
    26 octobre 2017 - 16 h 25 min

    “ Faire le bilan de la cooperation de la cooperation Algero-europeenne dans le domaine de la recherche scientifique et technique “. J’aimerais bien le croire et lire ce bilan qui ne peut etre qu’a sens unique, c’est a dire Algerie ( ….) Europe ( xyz) . Non, mais , honnetement n y a t il pas d’autres domaines qui pourraient profiter a notre pays ? Le mode de collecte et le traitement des ordures serait un sujet a developper, biensur pas entre ce ministre et son homologue Europeen. Pourquoi pas ?

Laisser un commentaire

Votre adresse de messagerie ne sera pas publiée.