Communiqué de l’Institut français à l’intention des étudiants algériens

Institut inscriptions
De jeunes Algériens devant l'Institut français d'Alger. D. R.
«Inscriptions au Test de Connaissance du français (TCF) pour la semaine du 5 au 9 novembre.
L’augmentation importante, cette année, du nombre des candidats à l’inscription au Test de connaissance du français (TCF) a conduit l’Institut français d’Alger à prolonger, pour la semaine du 5 au 9 novembre 2017, l’organisation des inscriptions par ordre alphabétique afin que les candidats puissent s’inscrire dans les meilleures conditions possibles.
Le calendrier fixé pour la semaine du 5 au 9 novembre, défini en fonction des flux enregistrés cette semaine, est donc le suivant :
– Dimanche 5 novembre : noms commençant par la lettre A 
– Lundi 6 novembre : noms commençant par la lettre B
– Mardi 7 novembre : noms commençant par les lettres C, D, E, F, G, H 
– Mercredi 8 novembre : noms commençant par les lettres I, J, K, L, M 
– Jeudi 9 novembre : noms commençant par les lettres N, O, P, Q, R, S, T, U, V, W, X, Y, Z
L’Institut français tient à rappeler que les inscriptions pour le TCF pourront bien sûr se poursuivre à l’IFA au cours des semaines et mois suivants, selon des modalités qui seront précisées très prochainement.»
C. P.

Comment (22)

    Anonyme
    1 novembre 2017 - 20 h 13 min

    Merci beaucoup à la France d’avoir ouvert ses frontières aux algériens parmi ceux qui sont déjà sur ton territoire et qui vivent avec tous les droits de citoyens savent que tu aurais pu ouvrir tes frontières à autre pays et on sait que des millions de gens souhaitent venir en France et ce de presque le monde entier. Malgré la haine de la France et l’instrumentalisation de la guerre d’Algérie avec tous les moyens de communication possible pour alimenter et sans arrêt cette haine la république français, la terre des droits de l’homme, a préféré quand même n’écouter que son cœur en privilégiant l’étudiant algérien pour aller en France poursuivre ses études et même y rester pour vivre. Les algériens aiment le système français car ils aiment la liberté la dignité et la justice, c’est ce que cherchent ces étudiants en venant en France nous avons fait comme eux ils y a 30ans nous voulons juste les rassurer qu’ils ont fait le meilleur choix pour leur vie et comme nous, ils ne le regretteront sans doute jamais !

    Laissez passer cette réaction on verra les arguments à deux sous des fameux nationalistes à la Derbouka !

    Le Terroir
    1 novembre 2017 - 16 h 35 min

    -Ouverture vers le monde ? A ma connaissance ce n’est pas avec la langue française. Cette langue nous limite avec la moitié de la Belgique, le tiers de la Suisse, la province du Québec.
    Il me semble que l’anglais prime de loin pour s’instruire et se brancher sur toute la planète. Parler de la langue anglaise en Algérie c’est être étiqueté d’obscurantiste, c ‘ est quoi ce délire? Si on suit cette logique on dira que le français est aussi la langue de l’oppression et de ceux qui ont abrité les terroristes pendant la décennie noire etc… La langue anglaise c’est l’Angleterre avec les meilleures universités au monde, Oxford, Cambridge etc…
    Les anciens étudiants algériens, je veux dire les méritants aux bourses d’études à l’étranger durant les années 60-70, partaient dans d’autres pays : les USA, la Russie, l’Allemagne, l’ Italie, la Belgique etc . Ils avaient une année d’apprentissage de la langue (le russe, l’anglais, l’allemand, l’italien etc…..)pour ensuite commencer leurs études. Les centres culturels des autres pays étrangers installés en Algérie offraient aussi des bourses d’études (centre culturel soviétique-russe, centre culturel italien, espagnol, allemand, français, british, etc…).
    Il y avait une grande ouverture sur le monde avec l’apprentissage des autres langues et des technologies.
    Les étudiants algériens apprennent assez vite les langues étrangères et c’est honorable.
    -Je pense qu’il est préférable d’ouvrir des universités étrangères en Algérie, ça servirait de locomotive à notre système d’enseignement. A l’époque dans les années 60-70, je me rappelle que beaucoup de professeurs étrangers (des progressistes en général) venus des pays occidentaux et des pays arabes, enseignaient et secondaient les professeurs algériens à tous les niveaux, primaires, secondaires, supérieur. C’étaient des coopérants techniques, et l’enseignement se portait bien. C’était un investissement du gouvernement Boumedienne qui avait donné ses fruits, à l’exemple de Boumerdes et autres institutions, il y avait aussi des étudiants étrangers qui venaient pour étudier. Les diplômes algériens étaient reconnus à l’étranger ou dans certains cas ils devaient refaire leurs mémoires de fin d’année.
    -Certains internautes défendent la France avec un excès de zèle et mieux que les français, c’est vraiment lamentable. Sont-ils algériens ?
    -Certains disent que nos anciens combattants parlaient la langue française. C’est juste et normal car il n’y avait que le français qui était enseigné dans les écoles algériennes sous l’occupation française.
    -Le récent événement aux portes du CCF est vraiment pitoyable. Les organisateurs savent que les étudiants algériens désireux étudier en France ne maîtrisent aucune autre langue étrangère et que de là, ils se retrouvent obligés à n’ aller qu’ en France. Ils ont exploité cet handicap pour mieux nous humilier. Ils nous transforment en petits indigènes venus quémander sa connaissance du français. Alors pourquoi ce test? Il me semble qu’un diplômé algérien a quand même une bonne connaissance du français ? Non?.
    Les centres culturels français disséminés en Algérie sont installés en grand nombre pour entretenir la langue française. Ils veulent que l’algérien reste figé, conditionné et orienté vers la France. Ils pensent aussi aux retombés économiques, car si l’algérien se met à parler d’autres langues étrangères, il traitera aisément avec les autres pays et la France perdra beaucoup… elle perdra les milliards pompés en Algérie !
    -Voici le résultat de cette cohue organisé devant le CCF: les médias étrangers commencent à en parler. L’amalgame entre le 1 NOVEMBRE et cette cohue provoquée devant le CCF s’est passé comme prévu!
    Il faut savoir encore que beaucoup d’ étudiants se rendent en France pour des questions pratiques et financières, ils ont de la famille et ça se comprend.

    Tous mes remerciements à AP.

      Mello
      1 novembre 2017 - 17 h 26 min

      Je pense que vous avez tout dit , tout dit sur les conditions d’etudes des annees 70 , ouvertes sur le monde. On etait au Lycee Technique d’Etat de Dellys, des societes, des entreprises venaient nous proposer des bourses d’etudes a l’etranger, pour pouvoir nous faire signer un contrat de travail en leur sein. Apres le BAC des etudiants furent envoyes en RDA, en URSS, en Polongne, et meme aux Etats Unis. Le niveau d’etudes au Lycee permettait aux etudiants d’affronter ,convenablement , leurs cursus a l’etranger. Les etudes terminees, 90 % revenaient afin de reintegrer la societe co-contractante. Le systeme scolaire , en general, etait bilingue, mais l’anglais aussi avait une place preponderante. C’etait le temps , ou notre ecole etait ouverte sur le monde, point final.

      Nourredine
      1 novembre 2017 - 17 h 27 min

      @Le Terroir , puisque tu es pour la langue anglaise (pourquoi pas) qu’est-ce que tu attends pour manifester et inciter le pouvoir totalitaire algérien pour mettre plus de budget (de l’argent) dans nos écoles, nos collèges, nos lycées et nos universités afin de développer cette langue étrangère anglaise tout en condamnant le monolinguisme idéologique ??? Aya ya sidi , si tu veux que ce soit l’anglais et non le français, on manifestera avec toi, à tes côtés . Mais dénonce au moins d’une manière claire ce pouvoir « mono-linguiste arabe généralisé et belliqueux » qui refuse même …Tamazight , cette langue qui est née pourtant … chez nous !

        Le Terroir
        1 novembre 2017 - 20 h 28 min

        Merci pour votre considération.
        Oui l’ anglais est utilisé pour des considérations pratiques. La langue est un instrument linguistique, c ‘est une langue qui est diffusée mondialement et tout se traite en anglais, sciences, nouvelles technologies, livres; magazines, etc-etc….Nous avons l’ arabe et tamazight, l’ anglais serait parfait comme troisième langue, le français devrait être une quatrième langue au même titre que l’ espagnol, le russe, l’ allemand, le chinois et autres; ça sera au choix de l’ élève.
        Nous ne pouvons pas nier tamazight, le nier, c’est nier toute notre histoire, nos ancêtres, notre culture. Oui, nous avons eu l’ apport de la civilisation arabo-musulmane, mais nous sommes berbères. Beaucoup de pays musulmans ne sont pas arabe, exemple: Bosnie, Turquie, l’ Albanie, toute l’ Asie centrale, la Malaisie, les philippines, l’ Iran, l’ Indonésie, les Tartares aussi, l’ Azerbeijan, Kazakhstan, Senegal et beaucoup de pays africains et d’ europeens.

        Oui pour l’ enseignement de Tamazight qui est notre langue d’ origine. Je suis en train de l’ étudier et de découvrir l’ alphabet qui est fort intéressant. Je me suis dit un jour que j’avais appris des langues étrangères au cours de mes voyages et de mes études, mais pas Tamazight, quelle honte! Ne pas mieux connaître la langue de ses ancêtres.

        Oui pour l’ installation des lycées et universités étrangères en Algérie, j’ aimerais bien voir dans mon pays: Oxford England, Harvard USA, L’Université Lomonossov de Moscou, L’Université libre de Berlin(FU) et plus! Les budgets existent et c’est au gouvernement de se décider. Par le savoir nous chasserons l’ obscurantisme, nous retrouverons notre dignité, nous connaîtrons mieux notre identité et nous saurons éviter les manipulations. Il y a des milliers de compétences algériennes à l’ étranger qui pourront aussi enseigner dans ces institutions. Je préfère ça à l’ installation du superflu comme renault, peugeot, Kia et toutes les importations inutiles de pure perte.
        Avec le savoir nous construirons tout nous même.

        Les autres centres culturels étrangers sont un peu timides en comparaison avec le CCF.

        Amicalement. Merci à AP.

    Mello
    1 novembre 2017 - 15 h 36 min

    Voila le resultat d’une arabisation totale de notre systeme scolaire. Avec un enseignement bilingue ou trilingue a partir du primaire, nos enfants n’auront pas de difficultes a maitriser plusieurs langues et ce cinema du TCF aurait pu etre evite. Que nos gouvernants aient le courage d’ouvrir notre ecole sur les langues etrangeres afin d’eviter a cette jeunesse de se donner en spectacle et leur permettre d’aller affronter ce monde qui ne pardonne pas.

    lhadi
    1 novembre 2017 - 12 h 34 min

    Je plaide pour une politique qui puisse faire de la jeunesse et de l’éducation la priorité de la Nation.

    Dans cet esprit, la ministre de l’éducation nationale se doit d’engager une loi d’orientation et de programmation pour refondre l’école de la république dont l’objectif majeur est de favoriser la réussite de tous.

    Le spectacle honteux qui se déroule sous nos yeux aurait pu être évité si les langues vivantes ont été enseignées dès le cycle primaire.

    Fraternellement lhadi
    ([email protected])

    sab
    1 novembre 2017 - 2 h 35 min

    les jeunes algeriens fuient le pays un certains 1 novembre LA HONTE LA HONTE LA HONTE que dire de la révolution algeriens et un millions de martyrs avec un résultat pareil

    Akli Boughzer
    31 octobre 2017 - 22 h 40 min

    Et pourtant il y a encore dans nos écoles des « enseignants » bornés,monolingues arabisants qui disent à leurs élèves de ne pas apprendre la langue des « koufars » sous entendu le français.Par contre l’anglais ne subit pas le même sort et pour cause c’est la langue de leurs maîtres du moyen orient berceau de l’arabisme et de l’islamisme.

    Anonyme
    31 octobre 2017 - 22 h 30 min

    Terrible cette photo
    il faut que tous les algériens jeunes et vieux prennent le large et ne laissent que Haddad et cie

      Foufi
      1 novembre 2017 - 16 h 46 min

      @Anonyme
      C’est l’eCheC de L’Arabisation tout azimut .Cette de effroyable image,un 1er Novembre,devrait interpeller nos Elites .Mais ils n’en en cure quand bien mème ils feront une parodie de Célébration de Ce jour saCré pour les vrais patriotes.Benghebirt est rentrée dans les rangs en s’insCrivant dans la Continuitée qui Consiste à priver nos jeunes d’ouverture sur le monde,à les enfermer dans le carcan d’une langue certes riChe,mais teintée de religiosité qui méne inéluctablement vers une atrophie du cerveau synonyme de médioCrité,d’inculture.Est ce normal qu’un pauvre baChelier complètement arabisé se retrouve (malgré lui,malgré ses parents,malgré les enseignants) à l’Université confronté à une langue d’enseignement qu’il n’a jamais appris.Combien d’élèves brillants ont du décrochér pour rejoindre le rang des chomeurs et des harragas.Personne ne s’émeut de celà,c’est un sujet tabou que mème nos élites ,Benghebrit y Comprit ,nos élus n’osent s’y aventurer.
      alors,qui sont ces responsables qui font l’amalgame entre une langue de travail qui n’est qu’un outil et une langue qu’on impose comme langue identitaire.Comment peut-on se développer,aller de l’avant si le problème de la langue n’est pas réglé consensuellement .

    El Kenz
    31 octobre 2017 - 22 h 22 min

    Le fait n’est pas innocent ,et plus encore le choix de sa date qui coïncide avec le 1er Novembre que la France tente par tous les moyens d’ effacer du calendrier et de la mémoire des Algériens. Les nostalgiques de l’ Algérie française veulent que Novembre commence par le 2 , le 1er les gênent beaucoup, il leur rappelle leurs abominables crimes de 132 ans d’ occupation. Les troupes qui ont envahi le ICF viennent dans leur majorité d’ une région connue pour son grand amour pour Fafa. Un journaliste d’ El Watan, Amari pour le nommer a écrit dans un de ses pamphlets je cite « la vie des Algériens était plus clémente sous la colonisation que sous le pouvoir poste indépendance d ‘ Oujda. On connait même les noms des Associations de la société civile qui ont vendu le rêve aux jeunes de s’inscrire pour décrocher une place au  » Paradis Français ». Encore un coup tordu de FaFa qui appelle certainement d’ autres à l’ avenir avec en arrière pensée le refus de l’ Algérie de s’inscrire comme gendarme de ses intérêts au Sahel. Pourquoi la France n’ a pas pensé faire ce « généreux » test pour les enfants son ami le Maroc que pour les fils du pays quel déteste ?

      Assirem
      1 novembre 2017 - 10 h 18 min

      Un peu de sérieux. Nous sommes en 2017 et le language des années 70 se fait un peu vieux. Nous ne pouvons accuser éternellement les autres pour tous nos malheurs. Soyons majeurs et récoltons nos fruits qui sont les fruits de nos récoltes.

    sabritag
    31 octobre 2017 - 22 h 18 min

    Loucif, tout a été dit
    il est malheureux de se retrouver avec des universitaires moins lettrés que leur parents n’ayant pas fréquenté l’école.

    benchikh
    31 octobre 2017 - 20 h 12 min

    Demain c’est le premier Novembre le déclenchement de la guerre de libération ,et hier, 700.000 étudiants Algériens en face du centre culturel Français pour traverser la mer vers une vie meilleur et sûr !!!!!!????

    Loucif
    31 octobre 2017 - 20 h 11 min

    …., si les Ben Bella, les Taleb Ibrahimi, les Bouteflika, les Ali Kafi, les Mahsas, les Boussouf, etc… etc… avaient accepté de laisser en parallèle la langue française au lieu de tout arabisé dans la précipitation par chauvinisme idéologique, l’Algérie aurait été un pays en phase avec le temps et l’espace d’aujourd’hui sans perdre son identité et on n’aurait jamais assisté à ce qui s’est passé au CCF français ! Et pourtant chers braves amis internautes il faut savoir que tous ceux que je viens de citer sont tous de parfaits bilingues (y compris ceux qui ont décidé de déclarer la guerre au colonialisme français le 1er novembre 54) ! Et donc, comment se fait-il que le bilinguisme c’est bon pour eux mais pas pour nous enfants de l’après indépendance ! Il y a quelque chose de criminel et de suicidaire chez le pouvoir de 62 !

    Et pourtant chers amis internautes algériens, il faut savoir que c’est le journaliste Mohamed El Aïchaoui (1929-1959) un parfait bilingue qui a écrit la déclaration du 1er novembre 1954 sous la dictée en français de Mohamed Boudiaf et de Mourad Didouche donc eux mêmes bilingues, que la déclaration du 1 er novembre a été imprimé sous la supervision de Ali Zamoum, lui-même bilingue , que cette proclamation à été à l’origine écrite en français , puis a été acheminé par Mohamed El Aïchaoui accompagné par Amar Ouamrane puis par Ali Zamoum et Saïd Mohammedi jusqu’au village d’Ighil Imoula, alors qu’ils sont tous eux-même bilingues, bref j’arrête là ! N’en parlant pas de Abane Remdane, de Ben M’hidi , de Krim Belcacem, de Ben khedda qui était de parfaits bilingues ! Alors pourquoi on est arrivé à ce que des Algériens s’agglutinent au CCF alors qu’ils auraient pu accéder aux langues étrangères le plus normalement du monde depuis l’école jusqu’à l’université algérienne auatant que la langue arabe ??? Dîtes moi pourquoi ce gâchis ?? Pourquoi les « historiques » ont fait de la langue étrangère un instrument d’émancipation et de liberté, alors que les générations de l’indépendance n’ont pu avoir accès au minima au bilinguisme ? Le nationalisme arabo-islamique primaire, bête et méchant du pouvoir de 1962 a pris le dessus sur tout autre considération , hélas !! Les conséquences sont catastrophiques pour le pays à l’aube du 3ème millénaire, à l’heure de la mondialisation , à l’heure des technologies de l’information et de la communication. Rouh ya dzaier, rouh !!

      Anonyme
      31 octobre 2017 - 21 h 58 min

      Au contraire c’est le fait de donner des notions de Français qui les oriente automatiquement vers les pays francophones, notamment la France et le Canada et dans une moindre mesure vers la Belgique et la Suisse francophone. Ils faut s’orienter vers les langues d’avenir en créant des collèges et universités anglophones à l’image de ce qui se passe au Liban où ça marche très bien; voire des cursus en Chinois. C’est deux langues représenterons a elles deux l’essentiel des langues utilisées au niveau mondial. Le Français ainsi que l’Espagnol peuvent être enseignés, mais à la marge. Ceux qui ont fait l’école Française, dont je suis, sont maintenant une poignée. Ils doivent céder la place.

        Loucif
        1 novembre 2017 - 12 h 21 min

        @Anonyme , je parle de bilinguisme en général ! Ce qui est important pour les algériens c’est d’arriver à maîtriser une deuxième langue car ce qui est clair clair aujourd’hui, c’est que la langue « dîte » de Dieu et du Coran ne suffit plus à elle seule pour communiquer ou s’ouvrir au monde ! NB : je ne dis pas que la langue française est une obligation ou la panacée, mais beaucoup d’algériens sont beaucoup plus familiarisés la langue française qu’à la langue anglaise, l’histoire en est l’explication et la raison, tout simplement !

      El Kenz
      31 octobre 2017 - 22 h 52 min

      Ya rajal oublié le pouvoir d’ « Oujda » de 1962 ,et tout rentrera dans l’ ordre. 55 ans passés et certains n’ont pas voulu quitté Oujda pour autre chose de plus constructif pour l’ Algérie. Le tout petit problème qui se déclare en Algérie, les raccourcis sont vite pris , le pouvoir d’ « Oujda ». Pour la sincérité, le pouvoir d' »Oujda »que bcp s’en servent comme base pour nous vendre leur culture du dénigrement primaire , a été multicolore de 1962 à 2017. Et même le grand chante de la tribu du dénigrement ,Ali Yahia Abdenour y était ministre.

      chibl
      1 novembre 2017 - 0 h 18 min

      Bravo monsieur, la stricte vérité. salutations du 1er novembre et TAHYA EL DJAZAIR.

      Akli Boughzer
      1 novembre 2017 - 9 h 18 min

      @Loucif,oui ces personnages que vous avez cités ont mis l’Algérie sur une voie de garage dés 1962 en faisant de l’école l’annexe de la mosquée et en arabisant pour arabiser.Ils ont agi comme des autistes en ne voyant pas venir la catastrophe car l’arabisme et l’islamisme mal gérés c’est de la nitroglycérine.

        issam
        2 novembre 2017 - 15 h 52 min

        Facile de tous mettre sur la langue arabe,ceci est le résultat d’un pourvoir corrompu et dictatoriale

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