Libye : des migrants vendus comme esclaves aux enchères

Comment (3)

    AL HANIF
    19 novembre 2017 - 12 h 34 min

    Notre Prophète (saws) n’a t-il pas réaffirmé lors du sermon d’adieu (khutbatou el wada3) ceci:
    « Ô gens votre Dieu est Un et votre ancêtre est Un.
    L’Arabe n’a aucun mérite sur le non-Arabe, ni le blanc sur le non-blanc sauf par la piété »
    et le Saint Livre dans la Sourate 4 rappelle l’origine commune des tous les êtres humains.
    « Ô hommes! Craignez votre Seigneur qui vous a crées d’un seul être, et qui de ces deux-là a fait répandre (sur la terre) beaucoup d’hommes et de femmes.
    Au nom de notre religion, nous devions nous joindre à toutes actions qui dénoncent l’esclavagisme et le racisme.

    Au lieu de cela, nos indignations sélectives ont laissé des marches se transformer en défouloir anti-arabe et anti-musulman dans les rues de Paris.
    Notre absence à ces actions qui dénoncent un traitement avilissant et inhumain sera nul doute instrumentalisée pour alimenter les contingents islamophobes et conforter toutes les manipulations.
    Du côté de Bani Wali, dans l’ancien fief de Gaddafi, le chaos engendré par un projet criminel a mis en mouvement des esclavagistes des temps modernes qui peuvent compter toujours et encore sur les alliances tribales et continuer à engranger des milliards dans le trafic des êtres humains.
    Se taire, c’est être doublement complice: comme être humain et comme musulman!.

    AL HANIF
    16 novembre 2017 - 13 h 47 min

    Je ne me sens aucune affinité avec ces Libyens violeurs, marchands en misère humaine et esclavagistes qui interceptent le flot des migrants, tous désignés sous le label « abd », donc noir et d’essence inférieure, pour les acheminer en Europe, réclamer rançon ou les vendre à des bordels pour les femmes, dans des véritables enchères publiques. Celles-ci se tiennent régulièrement sous la protection de milices qui n’oublient pas les ablutions pour sacrifier aux cinq prières quotidiennes.
    Je ne me suis jamais senti, jadis, aucune affinité avec Gaddafi, tyran mégalomane et violeur dont les turpitudes étaient connues de tous. Le témoignage de Mémona Hinterman (reporter) ne laisse aucun doute à ce sujet sur la menace de mort: « I send somebody to kill you. »
    Elle jettera un pavé dans la mare en dénonçant l’accueil triomphal à Paris par un Sarko et trouvera, à juste raison indigne que le tapis rouge lui soit déployé. Seul le fait d’avoir invoqué ses règles empêchera un viol garanti car elle connaissait ce tabou car étant de père musulman. Mais la bestialité du « Guide Suprême » ne s’arrête pas à ce détail et elle raconte:
    « Il faut le décourager de me violer autrement, en le dégoûtant, mais sans l’offenser. Il faut lui faire admettre de lâcher prise. »
    Le chaos Libyen d’aujourd’hui n’exonère en rien des comportements dégradants qui salissent la dignité de tous les musulmans qui, hélas, ont des indignations sélectives. Non je n’aurais jamais aucune affinité avec ces Libyens-là!

    Anonyme
    15 novembre 2017 - 23 h 35 min

    Apres avoir semé le chaos dans ces pays l’occident verse ses larmes de crocodiles à travers leurs médias mensonges
    Bande d’hypocrites
    c’est Sarko et cie qui devraient être vendu aux enchères

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