L’Algérie signe la Déclaration commune sur «Erasmus de la Méditerranée»

Messahel Climat
Abdelkader Messahel, chef de la diplomatie algérienne. New Press

En marge de sa participation à la Conférence «Rome Mediterranean Dialogues» qui se tient à Rome du 30 novembre au 2 décembre 2017, le ministre des Affaires étrangères, Abdelkader Messahel, a procédé à la signature de la Déclaration commune sur Erasmus de la Méditerranée.

Cette déclaration, initiée par l’Italie, pays hôte de la conférence, intervient en soutien au programme de l’Union européenne «Erasmus Plus» en faveur des pays du sud de la Méditerranée.

Les pays signataires, à savoir l’Algérie, l’Italie, l’Egypte, la Tunisie, la Jordanie, le Liban, la Libye et le Maroc s’engagent, au titre de cette déclaration, à renforcer la coopération interuniversitaire et à multiplier les possibilités de rencontres et de dialogue entre les étudiants et les jeunes chercheurs des deux rives de la Méditerranée.

C. P.

Comment (3)

    jubator
    2 décembre 2017 - 10 h 56 min

    Je me demande pourquoi nos dirigeants signeraient des accords qu’ils ont déjà signés avec les français.
    (…)
    En outre, il existe un important partenariat universitaire entre l’USTO-MB Université des Sciences et de la Technique d’Oran et l’Institut Polytechnique de Grenoble dans le domaine de l’automobile avec pour objectif une convention de coopération scientifique et technique. Cet accord date du 03/04/2017. Plusieurs journaux algériens ont fait état de cette info.
    Enfin il est à signaler que plus de 27 000 de nos étudiants suivent leurs études en France suivant un protocole que nos différents ministres ont défini avec les français.

      Med
      2 décembre 2017 - 12 h 45 min

      Vous oubliez de signaler que les étudiants algériens inscrits dans les universités françaises ne sont pas boursiers de l’état algérien, et c’est leurs parents , au prix de sacrifices considérables, qui les soutiennent financièrement !

    jaber
    1 décembre 2017 - 19 h 06 min

    En notant l’absence de la France parmi les pays signataires, j’en déduis que cet Etat demeure fidèle à sa politique anti-arabe et anti-maghrébine (surtout algérienne), ne tolérant pas dans son espace la présence de jeunes chercheurs qui pourraient apporter un plus à leur pays.

    Bonne soirée.

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