Que sait Ould-Abbès sur la mort suspecte de Houari Boumediene ?

Houari Boumediene
Houari Boumediene avec Ahmed Medeghri et Abdelaziz Bouteflika. D. R.

Par Hani Abdi – Le secrétaire général du FLN, Djamel Ould-Abbès, a affirmé en pleine conférence sur la présence du parti lors des élections des assemblées locales que la mort du défunt Houari Boumediene «n’était pas naturelle». Sans en dire plus.

Le patron du FLN a évoqué des «secrets qui commencent à être divulgués». Mais l’assistance – aussi bien les cadres du parti que les journalistes – n’avait pas compris pourquoi Djamel Ould-Abbès avait évoqué la mort suspecte de l’ancien président de l’Algérie lors de cette conférence. Leur étonnement était d’autant plus grand qu’il n’avait rien annoncé de nouveau. De nombreuses personnalités algériennes, et même étrangères, ont parlé avant lui de l’assassinat de Boumediene. En 2013, Ahmed Taled Ibrahimi, médecin et ancien ministre, a déclaré que Houari Boumediene a été victime d’un empoisonnement. Et il n’était pas le premier à mettre en avant l’hypothèse d’un assassinat. Avant lui, l’ancien président Chadli Bendjedid, l’ex-chef d’Etat algérien, avait affirmé que feu Houari Boumediene se plaignait de maux de tête juste après son retour d’un séjour en Syrie. Cette hypothèse a été appuyée par un témoignage de l’ex-ministre des Affaires présidentielles et étrangères irakiennes, Hamed El-Djabouri, qui assurait que le président Houari Boumediene était «mort empoisonné suite à sa visite dans la capitale syrienne, Damas, où il a assisté à son dernier sommet arabe».

Pour cet ex-ministre irakien, le président Boumediene avait subi les effets du lithium, un élément chimique très réactif. Ainsi donc, l’hypothèse de l’assassinat de Boumediene est bien connue du grand public. Que sait donc Ould-Abbès de plus qui pourrait faire avancer cette hypothèse ? Pour certains, Ould-Abbès cherche à faire diversion à chaque exercice avec la presse pour éviter les questions qui fâchent. «En difficulté malgré le score amélioré obtenu aux élections locales, Djamel Ould-Abbès cherche à se mettre au devant de la scène médiatique, à faire parler de lui, en faisant des déclarations parfois étranges», estime un fin connaisseur du FLN, selon lequel Ould-Abbès ne sait rien de plus par rapport à ce qui a été dit jusque-là sur la mort de l’ancien président Houari Boumediene.

Sa dernière sortie médiatique a été marquée par sa fameuse déclaration sur Saïd Bouteflika. «Laissez Saïd tranquille, il n’a aucune ambition présidentielle !» avait-il affirmé. Une déclaration qui lui a permis d’être à la Une de la presse nationale.

H. A.

Comment (45)

    ELBIR
    10 août 2018 - 18 h 25 min

    En effet elmarhoum Mohamed Boukharouba a ete assassiné par le maussad(mossad) avec la complicité des goumias arabes.

    BEKADDOUR MOHAMMED
    3 mars 2018 - 11 h 13 min

    Il est des hommes que Dieu a pourvu d’une vue intérieure telle qu’ils savent les étapes, Boumédiène fut de ceux là, il est incompris jusqu’à ce jour PAR CERTAINS mais lui, il voulait El Jazaïr heureuse, indestructible, inaccessible, et Le Temps montre que Lui il savait ! Peu importe que de petits hommes se nourrissent de sa poussière, Lui fut Un Homme DE DIEU !

    Anonyme
    28 décembre 2017 - 0 h 22 min

    Cui bono… On peut simplement regarder à qui profite le crime pour souvent trouver qui en est l’auteur.
    .
    فلا نامت أعين الجبناء

    Abdelaziz DJABALI
    27 décembre 2017 - 21 h 15 min

    -LA MORT MYSTÉRIEUSE DE BOUMEDIENE

    -Jeudi 5 octobre 1978.

    -Le vol régulier Alger-Moscou est prévu à 9 h 15.

    -Les rares passagers attendent patiemment dans la salle d’embarquement,

    -quand ils voient trois limousines noires s’immobiliser devant la passerelle.

    -L’homme qui prend place dans l’avion,

    -n’est autre que Houari Boumedienne,

    -accompagné de Ahmed Taleb Ibrahimi, ministre et médecin.

    -Curieusement, il n’y aura pas de cérémonie officielle,

    -pour saluer le départ du raïs.

    -Pourquoi tant de secret autour d’un voyage présidentiel ?

    -Depuis son retour le 24 septembre de Syrie,

    -où il assistait à une réunion de chefs d’État arabes,

    -Boumedienne se plaint de maux de tête continus.

    -La douleur est si forte que ses audiences sont limitées.

    -Des dirigeants étrangers débarquent à Alger,

    -sans pouvoir le rencontrer.

    -C’est le cas du vice-président du Vietnam Nguyên Huu Tho,

    -ami de longue date du président.

    -L’incident intrigue.

    -Le raïs serait-il dans l’incapacité de gouverner ?

    -Les rumeurs commencent à se répandre.

    -Boumedienne aurait été victime d’un empoisonnement lors de son séjour en Syrie.

    -Le Mossad l’aurait contaminé avec le flash d’un appareil photo.

    -L’hebdomadaire britannique Sunday Express,

    -citant une source française affirme,

    -qu’il a été déposé par de jeunes officiers.

    -Boumedienne est malade, tout simplement.

    -Les médecins détectent une hématurie,

    -caractérisée par des traces de sang dans les urines.

    -Malgré les soins, le mal persiste.

    -Dès lors, on décide de l’évacuer sur Moscou.

    -Pourquoi l’Union soviétique,

    -et non la France ou la Suisse ?

    -Parce que les amis russes cultivent la discrétion.

    -Le jeudi 5 octobre, Boumedienne,

    -s’envole donc vers Moscou.

    -Son dernier voyage.

    -Là, le président est pris en charge par les meilleurs spécialistes,

    -qui évoquent la maladie de Waldenström,

    -une infection rare du sang découverte par un chercheur suédois,

    -qui lui a donné son nom.

    -La dernière semaine du mois d’octobre,

    -le secret est défloré :

    -Boumedienne est officiellement malade.

    -À Bagdad, le ministre des Affaires étrangères,

    -Abdelaziz Bouteflika, l’admet, quoique en termes diplomatiques :

    -« Le président a éprouvé le besoin de prendre du repos,

    -car il était complètement exténué », affirme-t-il.

    -En URSS ?

    -Drôle d’endroit pour prendre des vacances !

    -Personne n’est dupe.

    -Les diplomates à Bagdad savent que Boumedienne est souffrant.

    -Le 14 novembre, le quotidien El-Moudjahid annonce en une :

    -« Le président est de retour à Alger. »

    -Affaibli et amaigri, Boumedienne est contraint au repos.

    -Le samedi 18 novembre, il plonge dans le coma.

    -Du coup, l’hôpital Mustapha d’Alger est transformé en bunker,

    -alors qu’une gigantesque opération médicale internationale est mise en place.

    -Les sommités de la médecine mondiale se rendent au chevet de l’illustre malade.

    -Non loin de la grande salle où se retrouvent les médecins,

    -se tiennent d’autres réunions,

    -plus secrètes,

    -mais tout aussi décisives.

    -Les membres du Conseil de la révolution,

    -instance mise en place par Boumedienne au lendemain du coup d’État contre Ben Bella en juin 1965,

    -se concertent.

    -Il y a là Chadli Bendjedid, commandant de la région militaire d’Oranie ;

    -Abdellah Belhouchat, chef de la première région militaire de Blida,

    -et coordinateur du ministère de la Défense;

    -Abdelaziz Bouteflika, ministre des Affaires étrangères;

    -et Ahmed Bencherif, ancien patron de la gendarmerie.

    -Tous des prétendants à la succession.

    -Le vendredi 24 novembre, petite lueur d’espoir :

    -le raïs émerge du coma.

    -Il faut tout tenter pour le sauver.

    -Quelqu’un suggère le nom de Jan Gosta Waldenström,

    -médecin chef de l’hôpital de Malmö.

    -Son diagnostic ne tardera pas :

    -les chances de Boumedienne sont infimes.

    -Mais, comme il l’avouera à un journaliste de Paris Match,

    -« les choses peuvent tourner.

    -La vie n’a peut-être pas encore dit son dernier mot ».

    -Cependant, à Bouteflika,

    -Waldenström tient le langage de la franchise :

    -« Il n’y a rien à faire. »

    -Le 28 novembre,

    -Boumedienne sombre à nouveau dans le coma.

    -Un journaliste de Jeune Afrique écrira :

    -« Durant quarante-huit heures, les praticiens croient encore à une possible récupération.

    -Mais, à peine entrouvertes, les portes de l’espoir se sont refermées. »

    -Mercredi 27 décembre 1978,

    -Houari Boumedienne décède à 3 h 55 du matin.

    -Il avait 46 ans.

    -Les Algériens sont sous le choc.

    -Ils seront des milliers à assister à son enterrement le vendredi 29 décembre,

    -au cimetière d’Elia, près d’Alger.

    -Habillé d’un manteau noir, Abdelaziz Bouteflika prononce l’oraison funèbre.

    -Un signe que la succession est réglée à son profit ?

    -Contre toute attente, Bouteflika sera disqualifié de la course à la présidence.

    -Les militaires ont préféré Chadli Bendjedid.

    http://i.huffpost.com/gen/4966522/thumbs/o-BOUMEDIENE-570.jpg?7

    karimdz
    27 décembre 2017 - 13 h 13 min

    Feu le Président Boumédienne rahimou Allah, est mort empoisonné, cela est une certitude, voici un témoignage du Pr Tchazof qui l avait soigné en Russie :
    « S’agissant du diagnostic et quoiqu’il ait soutenu, sans l’affirmer, que les symptômes que présentait feu Boumediène ressemblaient à un «empoisonnement», Pr Tchazov a avoué, 35 ans après, que l’équipe médicale présente à son chevet s’était révélée, à l’époque, «incapable de diagnostiquer son état de santé». Selon ses dires, le défunt président lui avait confié qu’«il a commencé à se sentir mal après avoir mangé dans l’avion». S’il n’a pas précisé où était l’avion quand ces signes de fatigue sont apparus sur lui, Pr. Tchazov n’a néanmoins pas manqué de faire le parallèle avec la mort du leader palestinien Yasser Arafat quant à l’insuffisance du diagnostic. «Nous avions constaté le dysfonctionnement de beaucoup de ses organes vitaux et aussi un changement dans l’équation chimique de son sang. Nous étions devant un état critique qui s’aggravait. Nous l’avions accompagné à Alger. D’autres médecins avaient été amenés de France mais, nous n’avions pas pu comprendre son cas», a-t-il indiqué.  »

    Il parait meme que ses os se brisaient à cause du lithium.

    La question qui reste posée, c est qui l’a empoisonné. On a un début de réponse dans les propos de feu notre Président Boumédienne, il se sentait mal après avoir mangé dans l avion, mais on n a aucune autre précision, de quel pays ?

    On a par contre ce témoignage intéressant de ‘ex-ministre des Affaires étrangères irakien Hamed Jabori qui avait déclaré :  » Boumédiène a été empoisonné par les services irakiens avec du thallium ».

    En tout cas, Boumedienne était l algérien par excellence, celui du nif, jaloux de l indépendance et de la souveraineté du pays, celui qui voulait faire du pays un état développé et moderne, celui qui sur le plan extérieur, avait soutenu de nombreux mouvements de résistance notamment en Afrique, et un grand leader du monde arabe.

    Il est clair qu il génait, qu il avait beaucoup d ennemis. En tout cas le peuple algérien dans sa grande majorité a aimé ce président, et nous l aimons aussi, car il demeure une référence. Quand il est mort, il a laissé sur son compte, 690 dinars ! Autant dire, qu il était totalement désintéréssé, si ce n est de servir le pays, Allah yarahmou.

      BEKADDOUR MOHAMMED
      3 mars 2018 - 10 h 42 min

      J’étais étudiant algérien en France, à Aix-en-Provence, j’avais 23 ans, j’ai appris la nouvelle par télévision dans la cafétéria du campus, ce jour là j’ai appris la mort de la vraie El Jazaïr ! A t-elle laissé des héritiers ? Pour se relever !

    Anonyme
    27 décembre 2017 - 9 h 26 min

    à l’occasion de l’anniversaire de sa mort j’ai improvisé avant hier ces quelques vers en son Hommage bien que je ne connaisse rien des règles et des syllabes parfaites de la poésie mais au moins c’est sans hypocrisie…
    هواري بومدين

    زرت عيادة أشكو عللي
    و المؤمــــــن بالابتــــــلاء مصـاب

    فصرت بطبيبــها مبتــلي
    فصبـــــر جميل إن الصبر يثاب

    مع طلته كل سقم ينجلي
    و هـــــل المتيـــــم بحبــه يعـــــــاب

    حمـــدت الله على مرضي
    الذي قادنــــــي لسيــــــد الأحبــاب

    فقمــت أصلي للمتعالي
    على تلك النعمــــة وذاك الثــــواب

    عجيــب رئيس طبيب !
    متواضـــــع منه الكـــل يرتــــــاب

    رئيس لا قدـــــيس و لا قسيس
    لكن واحدا تخشاه الأحزاب

    نفيس أقواله نواميس
    مروءة جمعت الفرقاء و الأقطاب

    يخافه الدسيس و النجيس و إبليس
    بعيد النظر باسم الثغر مهاب

    جمال روح و جسد تعد المقاييس
    نال إعجاب الأعداء قبل الأحباب

    عريس استحت لشموخه البرانس
    كأنه ولي صالح أو من أولي الألباب

    صدق النـــية فأعانه الوهــاب
    بتسبيب الأسباب و إذلال الصعاب

    و ألقـــى محبـــته في قلوب
    الأطفـــال و الشيوخ و الشـــباب

    محمد بوخروبة سيد الأحرار و العروبة
    تبنى شعبه و نسي الإنجاب

    حفنة ذباب لا تعرف قامتهم
    انتصاب اتهموه كالذئاب بالانقلاب

    و هو منج الجزائر من السراب
    و الضباب لجادة الحق و الصواب

    قطعوه مثل الكلاب بأنياب مغتاب
    كثيرهم مرتزقة هدفهم الاكتساب

    منهم الكذاب و الأعراب و النهاب
    و من هو في رجولته مصـــاب

    رماه من كان وقته في الجحور
    بعد أن صــار من أهل القبـــور

    من بينـــهم مريــض دكتـــور
    أبشع النعــــوت ظلما و زور

    و قال مخنان جور في شوارع الخمور
    وما هوغير دبور بين الجنسيات يدور

    غراب ناعب حسبه البعض شحرور :
    هـــــواري بومـــــدين ديكتاتور

    شعور يحمور من سيده الديناصور
    هم ليسوا رجالا لكن فقط ذكور

    رحم الله بطنا أنجبت رجلا دستور
    مثل الإعصــار للحق يثـــور

    متعـــك الله بالجنــــة و الحــــور
    وأرضا ضمتك لن تصبح يوما بور

    Hommage à BOUMEDIENE
    Que j’étais fière d’être algérienne!
    Le rêve était permis, me donnait des ailes
    Me rendait libre, aérienne
    Savante ou académicienne
    l’impossible n’était pas
    du temps de Boumediene
    Alors qu’à présent,
    du rêve l’Algérie s’abstienne
    Qu’on me traite d’archaïque , d’ancienne,
    De sauvage Amérindienne
    Ou même d’antédiluvienne
    Je leur dirai:
    C’est à ces valeurs que j’appartienne
    C’est à ces valeurs que j’y tienne
    Qu’elles soient vieilles ou contemporaines
    Je chanterai à jamais cette antienne
    J’adore l’époque Boumediene
    Je ramasse les débris et restes
    de l’époque Boumediene
    Précieusement dans un reliquaire
    Avec un soin d’antiquaire
    Et d’une soucieuse bibliothécaire
    Témoins et ornements d’une lustre ère
    Tels pour un jardin, les matricaires
    les roses et les persicaires…
    A ceux qui critiquent Boumediene
    Qu’ils se souviennent :
    Alors que les caisses étaient vides
    Et que sur nous les ennemis étaient avides
    De l’enseignement gratuit
    à tous ces enfants qui pataugeaient
    Pieds nus dans la boue
    Les cheveux pleins de poux
    A l’époque du colonisateur
    Qui l’indifférence leur alloue
    De moqueries les bafoue
    Dans la misère les cloue
    Sans savoir, ni gloire, ni sous
    Situation qui le passionne l’engoue

    Médecine pour tous gratuite
    Et l’arbre Algérien de santé affruite
    Est-ce une sage conduite ?
    Ou une accidentelle fortuite ?
    Votre méconduite et ce que vous dites
    Ne peuvent au désespoir la réduire
    Cette Forte Algérie au succès réintroduite
    Malgré toutes les insuffisances !
    La vie des Algériens augmente d’espérance
    Qu’en pensent les galvaudeux ?
    Est- ce une politique instaurée
    Ou juste un coup hasardeux ?
    Comme disent les cafardeux
    Et prétendent les cauchemardeux…

      Kahina
      27 décembre 2017 - 12 h 00 min

      WOW BRAVO!!
      L’Algérien était fier d’être Algérien!! La nationalité algérienne était respectée dans le monde
      Le patriotisme dominait les programmes scolaires,
      C’est cette génération qui défend présentement l’Algérie.

      karimdz
      27 décembre 2017 - 12 h 54 min

      Allah yarahmou.

    Tinhinane
    27 décembre 2017 - 4 h 45 min

    Effectivement, selon les informations qui circulaient, Boumedienne aurait été empoisonné dans un pays arabe lors d’une rencontre de ces pays kharabes. Les Mossades seraient derrière son empoisonnement.

      anonyme
      27 décembre 2017 - 11 h 11 min

      Merci de ces vers qui viennent du fond du coeur
      Boumediene fut un homme d’état de stature internationale qui aimait son pays et son peuple
      Il nous manque terriblement
      Paix à son âme

    Anonyme
    27 décembre 2017 - 0 h 59 min

    Boumedienne et sa gestion par la terreur de la population algerienne n a pas fait mieux que les colons.
    Etudiant à l époque, celui qui osait critiquer le pouvoir et les anciens moudjahiddines était directement enlevé et séquestré par la SM (sécurité militaire),finalement les algeriens n ont jamais été libres.

      008
      27 décembre 2017 - 1 h 19 min

      En tout cas il n’ y avait pas de régionalisme et corruption comme aujourd’hui au point que les voleurs sont protégés par la justice.

      La SM et son chef Kasdi Merbah étaient des nationalistes incorruptibles.

        Anonyme
        27 décembre 2017 - 12 h 20 min

        Je ne sais pas quel âge vous avez mais déjà certains ne se gênaient pas pour profiter de leur situation professionnelle à tel point qu un jour îl a admis dans un de ses discours »que qu on on touche au miel,on ne se prive pas pour en goûter « ,la révolte d octobre 1988,malheureusement confisquée au peuple par les islamistes, n a été qu une réponse aux abus de tous bords.

      Moh
      27 décembre 2017 - 2 h 27 min

       » finalement les algeriens n’ont jamais été libres. »

      Tu aurais du rajouter  » finalement les algeriens n’ont jamais été libres que sous Bouteflika comme Chakib Khelil et Cie »

        Anonyme
        27 décembre 2017 - 12 h 24 min

        La gouvernance du pays par Bouteflika n est qu une copie de celle de Boumedienne, ,il a été formé par lui.
        Si on est dans cette situation c est parce que rien n a changé! !!!

      BEKADDOUR MOHAMMED
      27 décembre 2017 - 7 h 58 min

      @Anonyme
      27 décembre 2017 – 0 h 59 min
      Boumedienne et sa gestion par la terreur de la population algerienne n a pas fait mieux que les colons.
      ——————————————————————–
      C’est vrai qu’il vaut mieux être « Anonyme » pour énoncer une telle ineptie !

        Anonyme
        27 décembre 2017 - 12 h 08 min

        Justement je dénonce et en parle en anonyme car la situation n a guère changé.
        Combien de nos concitoyens actuellement sont en prison ou mis en examen pour avoir osé exprimé un avis contraire au politiquement correct admis par nos gouvernants?
        Le dernier fait du Tifo traité par nos gouvernants est un des exemples

    Chaoui Ou Zien
    27 décembre 2017 - 0 h 47 min

    Ce ould abbas aspire peut etre a devenir le Kaid Ahmed algerien des annees 2000, folklorise dans les blagues algeriennes d’antan. Les gens de ma generation comprendront. Cependant, on a realize bien plus tard que Kaid Ahmed n’etait pas aussi loin de la plaque qu’on le croyait. Les idiots se sont averes etre nous. Peut etre veux t-il concurrencer notre Djha national. Bien que certains lecteurs d’AP diraient sans avoir tort « hacha djha…. » Qui est donc ce ould abbas, champion attitre des ragots.

    Chaoui
    27 décembre 2017 - 0 h 43 min

    On ne peut qu’approuver comme adhérer à tes propos. Le fait est que notre défunt et regretté Président Houari Boumédiene fut l’objet d’un attentat contre sa personne en septembre 1978 lors de ce sommet de la Ligue arabe en Syrie où s’était précisément tenu le « Front de fermeté » composé de la Syrie, Libye, Yémen Démocratique, OLP et Algérie.
    Evgueni Tchazov, Médecin Chef qui dirigeait du temps de l’URSS le « Département n° 4 » chargé de la santé des leaders communistes du Kremlin, écrit dans son livre/Mémoire intitulé « Santé et Pouvoir, souvenirs d’un Médecin du Kremlin » avoir eu en charge sitôt arrivé à Moscou pour s’y faire soigner le Président Boumédiene. Il conclura au diagnostic de l’empoisonnement sans pour autant, avec l’aide de spécialistes d’autres pays, déterminer en l’état de leur connaissance la nature dudit poison, ne connaissant pas alors les effets du lithium dont on découvrira à posteriori que ce serait cet agent hautement toxique qui causa sa mort et qu’il s’agissait en l’espèce d’un manifeste assassinat.
    Rappel : outre les 4 membres du « Front de fermeté » précité, Feu Boumédiene avait alors fait une tournée dans 10 pays du Moyen Orient pour tenter de les amener à se fédérer ensemble, unis, autour d’un « Front de refus » face à Israël. L’Égypte avait alors fait défection et l’Irak de Sadam Hussein de faire une vote face à la dernière minute.
    En foi de quoi, le coupable de l’assassinat de notre Président est l’un de ces 10 pays visités. On peut en écarter certains, à commencer par la Syrie et l’OLP, la Libye et le Yémen quand le coupable – qui peut être n’importe lequel – figure parmi les 6 autres, agissant pour son compte ou pour celui des US ou encore d’Israël, voire de la France. Pour essayer de comprendre, on ne pourrait se faire l’économie de situer les choses dans le contexte international du moment…
    Un jour nous saurons…Forcément.
    Je suis curieux de savoir si nos services ont conservé des tissus (peau) ou des prélèvements sanguins ? La science d’aujourd’hui pouvant nous éclairer sur ce qui était hier méconnu…

    Kahina
    26 décembre 2017 - 23 h 18 min

    La radio trottoir disait que Boumedienne ( allah yerahmou) a été empoisonné. En tout cas, tout le monde disait que sa mort n’était pas naturelle.

    Regardez la photo, vous verrez les hommes qui géraient l’Algérie. Charisme, intelligence et patriotisme. Le bon vieux temps où personne n’osait insulter l’Algérie.

    Moh
    26 décembre 2017 - 21 h 46 min

    (…)
    Plus l’échéance des élections présidentielles approchent plus lui et ses amis parleront de Boumedienne et ses réalisations pour attirer la sympathie du peuple d’ailleurs comme par hasard on annonce le déblocage de budget pour la construction d’un musée à sa maison de la région de Guelma.
    (…)

    monsieur sait tout ...mdr
    26 décembre 2017 - 21 h 14 min

    « Que sait Ould-Abbès sur la mort suspecte de Houari Boumediene ? »
    il devrait aussi connaitre son futur remplaçant dans ce cas ..
    Jimmy est une ^personne qui a un trouble de la personnalité , il est fortement narcissique et ça commence à se voir de trés loin …

    karimdz
    26 décembre 2017 - 20 h 54 min

    La mort du grand président Boumédienne, rahimou Allah, selon certaines informations, aurait été empoisonné par sadam hussein.

    La raison, toujours selon ces sources, parce qu il n appréciait pas les actions de notre pays oeuvrait pour la paix entre l iran et l irak.

    Et s il avait écouté feu Boumédienne au lieu d écouter les américains, il serait encore en vie et président d un pays puissant.

      anonyme
      26 décembre 2017 - 22 h 09 min

      Karimdz
      26 décembre 2017 – 20 h 54 min

      Là tu divagues vraiment, du n’importe quoi quand à dire que S Hussein a assassiné feu Boumediene

      Didouche
      27 décembre 2017 - 14 h 23 min

      la these de l’assassinat de boumedienne par saddam hussein est plausible,la preuve l’assassinat par le meme saddam hussein de notre ministre des affaires etrangeres Ben yahia par le tir d’un missile irakien.le black out autour des résultats de l’enquête indique qu’il y a une complicité du clan des usa et fafa en dans notre pays.SAddam a été utilisé par l’occident contre le régime progressiste en Irak puis contre la révolution iranienne.à la fin il a détruit son pays et s’est fait tué par ses manipulateurs.

    Sourire kabyle
    26 décembre 2017 - 20 h 46 min

    Après Angela Merkel, maintenant la mort de Boumédienne, ce Djamel me rappelle le film de fiction,
    Forrest Gump interprété par Tom Hanks, (se trouvant au cœur des principaux événements de l’histoire des États-Unis). Pour notre Djamel national, il était au coeur de tous les événements d’Algérie, la prise d’Alger par les français, la réédition de Abdelkader, la fondation de l’Etoile nord africaine, les massacres de 8 mai 1945, la nuit de la Toussaint, dans l’avion du FLN, détourné par les français, le congrès de la Soummam, la bataille d’Alger, les accords d’Evian, le coup d’État de Boumedienne, et et et…

    Mas umeri
    26 décembre 2017 - 20 h 21 min

    Les déclarations de Ould Abbas,devraient être inscrites, comme »potins de la commère » il ne sait absolument rien, il n’y a que du vent. Dans un autre pays, ou la justice est réellement indépendante, il serait interpellé, afin qu’il fournisse des preuves de ce qu’il avance.Mais, le protégé de Bouteflika, ne risque rien, car il joue un peu le rôle du « fou du roi »

    Anonyme
    26 décembre 2017 - 20 h 21 min

    Une affaire araboarabe!

    Lestat
    26 décembre 2017 - 20 h 02 min

    Un autre pitre sorti de la même école que Sellal, des fois j’ai de sérieux doutes que cet énergumène ait fréquenté une quelconque école.

    Rayés Al Bahriya
    26 décembre 2017 - 19 h 48 min

    L’ayant entendu moi méme d’une source proche
    de sa parenté…..
    Le Mossad était derrière son empoisonnement
    Par des flash radio actifs lors de la réunion à
    Damas des chefs d’états arabes du front d’un refus.
    Même Arafat Yasser avait subi le meme sort….
    Je le tiens de source sure…

    Bouzorane
    26 décembre 2017 - 19 h 35 min

    Il n’y a vraiment pas de quoi faire une légende!
    Boumediene a commis au moins 2 fautes graves que ni l’Algérie ni l’histoire ne lui pardonneront jamais :
    – a aidé un certain kadafi, aux origines douteuses, à renverser le roi snoussi qui, lui, était d’origine algérienne, de notre illustre tribu zénatie des Ait Snous
    – a envoyé nos militaires en 1973 à des milliers de km pour faire les larbins aux egyptiens, alors qu’en 1975, lorsque le Sahara Occidental était agressé sous notre nez, à nos frontières, il n’a pas bougé le petit doigt!!!

      Nour
      26 décembre 2017 - 20 h 55 min

      Ce que Boumediene a fait comme realisations dans ce pays, ni Bouzorane, ni Bo3kal ni Batna toute entiere ne peut le nier .

        Anonyme
        27 décembre 2017 - 16 h 16 min

        L arabisation de l enseignement et notre adhésion à la ligue arabe ont été les pires décisions ,elles ont détruit l Algerie alors que nous avions l un des meilleurs système d éducation .
        l industrialisation clés en mains a fini le processus de destruction

      Selecto
      26 décembre 2017 - 21 h 32 min

      @Bouzorane
      Tu es à côté de la plaque mon ami, c’était Gamal Abdenasser qui avait organisé le coup d’état de Kaddafi contre le roi Senoussi qui était d’origine algérienne dans le but de déclarer l’union entre la Libye et L’Egype et c’était Boumedienne qui s’était opposé, il avait dit à Kaddafi qu’il ne voulait pas de frontières avec l’Egypte point barre

      Quand Kaddafi parlait de l’époque du roi Senoussi il disait  » du temps du pouvoir algérien

      Quant à la guerre de 1973 c’est parce qu’Israel considérait l’Algérie comme ennemie à ce jour.

      Pour le Sahara occidental personne n’a soutenu autant le peuple Sahraoui que Boumedienne, si tu veux plus de détails lis les derniers mémoires du général Khaled Nezzar qui sont très riches en révélations.

      Bouzorane
      26 décembre 2017 - 22 h 47 min

      Je te salue mon ami Selecto. Tu peux dire ce que tu veux, Boumediene a bien aidé Kadafi au nom de l’idéologie révolutionnaire (donc anti-monarchie) et du cosmopolitisme pan-arabe (donc anti-national). Snoussi n’a reçu aucun soutien de l’Algérie. Toujours au nom du cosmopolitisme pan-arabe, notre armée a participé à une guerre qui ne la concerne pas (le but réel était moins de libérer la palestine que de récupérer la sinai), alors qu’une agression qui se déroule à nos frontières aurait du nous pousser à intervenir militairement et à engager une guerre contre l’agresseur, surtout que nous avions nous-même subi ce même agresseur en 1963. Nous aurions du réagir d’une manière beaucoup plus énergique et ferme.
      Boumediene était un cosmopolite qui privilégiait les « intérêts suprêmes » de la « nation arabe » au détriment de nos propres intérêts nationaux.
      Au fait, mon ami Selecto, j’ai pensé à toi suite aux déclarations de Messahel sur le maroc. Comment se fait-il qu’un aussi grand fan de notre MAE que toi, on ne t’ait pas trop entendu (lu)?

      Bouzorane
      26 décembre 2017 - 23 h 09 min

      Je salue également la ville de Batna, les batnéens et batnéennes. Bien que je ne sois pas batnéen moi-même, j’aime beaucoup cette ville.

        L'inspecteur
        27 décembre 2017 - 4 h 22 min

        Bouzorane, Tu n’est ni de Batna ni même pas de l’est ni de la Kabyle, sois plus malin la prochaine fois car Boumedienne est aimé par tout les Algériens sauf de ceux de ton espèce et ce n’est pas votre clique d’Algériens de papiers qui le fera oublier.

    Chibl
    26 décembre 2017 - 19 h 33 min

    Ould Abbas ne sait rien du tout, c’est un menteur professionnel, même s’il savait qui va le croire.
    Ce type qui est un martyr vivant et qui a fait des études avec ANGELA MERKEL sait peut être comment l’émir Abdelkader est mort aussi?

    MoiNews
    26 décembre 2017 - 19 h 18 min

    Mr Ould abbes le génie de la politique Algérienne,il sait tout et rien,comme il déclare il était le camarade de classe de Mme Merkel,grâce à des hommes comme lui notre pays bât tout les records de la corruption,de l’injustice,de la régression

    jaber
    26 décembre 2017 - 18 h 41 min

    « Ceux qui savent ne parlent pas et ceux qui parlent ne savent pas ».

    N.B – Une petite correction sur l’intitulé sous la photo, il s’agit du Président Boumediène, de Mr Ahmed Medeghri Ministre de l’Intérieur et non pas Mr Kaid Ahmed (Allah yerhamhoum tous les trois) et Mr Abdelaziz Bouteflika ancien Ministre des Affaires Etrangères et actuel Président de la République.

      Lyes Khaldoun
      26 décembre 2017 - 20 h 01 min

      Tout à fait, Monsieur. Merci de le signaler, nous corrigeons de suite.

    didouche
    26 décembre 2017 - 18 h 38 min

    Mr Ould Abbas
    ,Boumediénne n’a pas besoin de lécheurs de semelles pour défendre sa mémoire.le pouvoir que tu défends fait tout à fait le contraire de ce que faisait Boumediénne.A son époque,il n y avait pas de corruption,de détournement de l’argent public,de pouvoir familial,de régionalisme,de visites aux zaouias pour tromper le petit peuple,de soumission aux puissances occidentales et aux roitelets du golf,de culte de personnalité,de nomination d’incompétents et médiocres aux hautes fonctions de l’état.alors continues sur ta mission d’allégeance et laisse l’âme de boumedienne tranquile la ou elle se repose.il avait ses actes pour parler de lui.

      CHIBL
      26 décembre 2017 - 21 h 14 min

      Bien dit monsieur, c’est tout a fait cela qu’il fallait dire,merci.

      Moh
      26 décembre 2017 - 22 h 07 min

      Merci Didouche.

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