Abdelmadjid Sidi Saïd à Ould-Abbès : «Trêve d’hypocrisie et de populisme !»

tripartite Charte
Lors de la signature de la Charte sur le pacte public et privé. New Press

Par Hani Abdi – Le secrétaire général de l’UGTA, Abdelmadjid Sidi Saïd, a énergiquement répondu à ceux qui critiquent la Charte du partenariat public-privé (PPP) et qui veulent tromper les travailleurs en leur faisant croire qu’il s’agissait d’une privatisation déguisée.

S’exprimant aujourd’hui, lors d’une rencontre entre le patron du FLN, l’UGTA et le FCE, le premier responsable de la centrale syndicale a qualifié l’avalanche de critiques de ce partenariat public-privé d’actes d’«hypocrisie» et de «populisme». Une déclaration qui sonne comme une mise au point indirecte au secrétaire général du FLN, Djamel Ould-Abbès, qui n’a cessé de mettre en garde contre la privatisation des entreprises stratégiques.

Pour le secrétaire général de l’UGTA, lier le PPP à un éventuel plan de privatisation caché des entreprises publiques, c’est tout simplement faire preuve de mauvaise foi en ce sens que la Charte, rendue publique, était claire et ne prévoyait qu’une ouverture partielle du capital des petites et moyennes entreprises. Le patron de l’UGTA appelle ainsi à une «trêve d’hypocrisie et de populisme», estimant que le PPP va dans le sens des intérêts économiques du pays. «Nous n’avons jamais eu l’intention céder au privé les entreprises publiques. Nous préférons travailler avec le privé algérien qu’avec les étrangers. Le partenariat entre le secteur public et privé est devenu plus qu’une nécessité», a martelé Abdelmadjid Sidi Saïd.

Le secrétaire général du FLN assure que le partenariat public privé est un levier de  nature à renforcer puissamment  les synergies entre  les secteurs public et privé. Pour lui, il s’agit d’un instrument à même d’accélérer le  développement  de  partenariats  entre ces secteurs qui aboutiront à la promotion de la production nationale.

Djamel Ould-Abbès a admis lors de cette rencontre que Sidi Saïd avait dit vrai et que le PPP signé par le gouvernement Ouyahia, l’UGTA et le patronat vise plutôt à donner un nouveau souffle à l’économie nationale à travers la mutualisation des moyens publics et privés. Le secrétaire général du FLN a affirmé également que le patron de l’UGTA, Sidi Saïd, comme le président du FCE «sont des patriotiques qui travaillent pour le bien de l’Algérie».

Djamel Ould-Abbès a insisté sur le fait qu’il n’y a aucun problème entre le Premier ministre, Ahmed Ouyahia, et lui et que le FLN soutient entièrement l’action du gouvernement. «Cette rencontre n’est pas une tripartite bis, comme je le lis dans la presse. Les tripartites sont organisées par le gouvernement. Cette réunion n’est pas dirigée contre le Premier ministre, comme je le lis aussi dans la presse», a assuré Djamel Ould -Abbès, qui s’est fait taper sur les doigts après ses déclarations, semant le doute sur les visées réelles de la Charte relative au partenariat public-privé.

H. A.

Comment (34)

    Umeri
    4 janvier 2018 - 20 h 03 min

    Une petite précision, lorsqu’on privatise,l’ Entreprise Publique est vendue a un Entrepreneur privé,plus offrant, lequel indemnise les travailleurs,les met dehors, prend possession des lieux et des équipement et libre de changer d’activités, comme par le passé, sont transformées en Immobilier,secteur qui rapporte le mieux. Dans le cas de l’ouverture du capital,l ‘opérateur privé est actionnaire,l’Entreprise maintient ses activités et les emplois sont sauvegardé.Corrigez moi si je me trompe, merci.

    Felfel Har
    4 janvier 2018 - 19 h 02 min

    Et si ces joutes oratoires n’avaient pour but que d’amuser la galerie, pour faire croire qu’il y a un débat sain et fécond au sein du sérail? En fait, tout le monde prend ses ordres de la même source, chacun recevant sa partition (son scénario) pour jouer son rôle. Normalement, quand les spectateurs ne sont pas impressionnés tant par le jeu insipide des vaudevillistes que par le thème du spectacle, les acteurs se retirent et ne reviennent pas sur scène pour un « bis » non mérité. Rideau!

    Felfel Har
    4 janvier 2018 - 15 h 13 min

    Tout ce cirque me rappelle la Comedia dell’Arte, ce genre théâtral ancien où les acteurs, ou plutôt des bouffons portant des masques, révélaient, avec force ironie, de drôles de personnes et leurs tares. Ce spectacle mettait en présence des menteurs, des naïfs/imbéciles, des rusés/ingénieux, des intrigants, etc. Ne retrouve-t-on pas dans ce vaudeville algérien tous les personnages comme Pantalone, Il Dottore, Il Capitano, Scapino. Alors que la crise menace le pays et qu’aucune solution digne de ce nom n’est proposée, certains ne trouvent rien d’autre à faire sinon de remettre au goût du jour cette forme de distraction qui ne nous amuse pas du tout. 3ib a3likkoum ya nass!

    pomme
    4 janvier 2018 - 13 h 57 min

    Tous complices les uns les autres pour se maintenir au pouvoir et s’enrichir, enrichir leur progéniture, la progéniture de leur progéniture et ainsi de suite. Cette engeance ne connaît pas de limites et le peuple ne fait que constater les dégâts, assister à leurs échanges de sourires en coin et se faire la bise comme des femmes.

    PREDATOR
    4 janvier 2018 - 13 h 51 min

    Tous sont devenus présidents de la république en raison de l’absence depuis des années du président

    L'EPERVIER.
    4 janvier 2018 - 13 h 43 min

    a les mettres tous bandeaux sur les yeux , mains liees par derriere devant 1 peloton d’execution . voila ce qu’on devrait faire.

    Lghoul
    4 janvier 2018 - 13 h 15 min

    Dans quel pays au monde le syndicat est « l’ami intime » du patronat ? Du jamais vu et du bizarre qui ne peut se produire que chez nous ou toutes les nomes du logique ont disparu et sont remplacées par des histoires a dormir debout. Ce qui est incroyable est qu’ils montrent leurs visage sans honte et sans retenue pour nous prendre pour des imbéciles aveugles.

    Tangoweb54
    4 janvier 2018 - 12 h 32 min

    Un Harki qui remet en place un larbin chayat voila ou nous en sommes en 2018 !… deux individus mal aimés, vieillards seniles, qui s accrochent par tous les moyens à leurs fauteuils respectifs malgré leur rejet quasi-unanime par le peuple!!!

    Rachid Djha
    4 janvier 2018 - 10 h 29 min

    Ouyahia, Haddad, Sidi Said ? Les 3 nouveaux R’babs El Djazaïr . C’est à croire que le « Clan de Tizi » vient de faire un coup d’État au « Clan d’Oujda » en ayant fait une OPA sur tous les leviers politico-socio-economiques et même syndical et sportif de notre pauvre ALGERIE.

      IamFreezingHere
      4 janvier 2018 - 16 h 46 min

      Ces gus que tu viens de citer n’appartiennent ni au clan de Tizi ni au clan de Tlemcen, ils appartiennent au clan des KDS… Et au cas ou tu viens juste de sortir d’un long coma de 20 ans, je te signale que c’est le Clan De Tlemcen qui a la mainmise sur tous les leviers politico-economico-socio-militaro-policier-sportivo-financier-affaires-maghrebines-et-internationales-etc. depuis 1999!

    Anonyme
    4 janvier 2018 - 9 h 52 min

    Mon avis à moi. les reformes en cours me paraissent necessaires meme si le partenaire privé algerien n’est peut-etre pas toujours bien formé pour cela, mais il y’en a ceux qui ont fait leurs preuves (…) ou bien le partenaire algerien, qui n’est pas seulement l’homme d’affaires, peut relever le défi, quitte à ce que ce soit au prix de sacrifices supplémentaires, ou bien on se rassemble tous quelque part pour une salat el istiqtsad, istisna3, isti3lam, istisyah, istizra3, etc…etc.. la liste est infinie et il personne ne va chomer…
    salam

    ARGELINO
    4 janvier 2018 - 9 h 31 min

    Ce revirement de ould abbas est dù aux gènes de lâcheté acquis à sa naissance , car comment expliquer ce virage à 180 ° si ce n’est pas par la peur et la lâcheté de perdre son poste en attaquant de front Haddad et Sidou Said exactement comme son ami Tebboune , alors D.O.A s’empresse de demander pardon aux deux compères en demandant une entrevue avec eux tout simple.

    Samy
    4 janvier 2018 - 8 h 59 min

    J’ai constaté qu’à chaque fois que l’Algérie tente de sortir du carcan imposé par le « makhzen local » qui grenouille autour du néo-FLN on veut nous ramener aux pratiques qui ont sclérosé et immobilisé le pays.Tout ça pour permettre à une caste de privilégiés de continuer à s’accaparer tout le pays en usant de pratiques inavouables.Il est temps de tourner cette page noire qui a fait d’un pays riche une république bananière livrée aux corrompus incompétents de tous poils et qui s’en donnent à coeur-joie sûrs de l’impunité. Il est temps aussi d’appeler un chat, un chat et de cesser cette hypocrisie ambiante qui dissimule tant de tares…

    Zaatar
    4 janvier 2018 - 8 h 52 min

    Depuis le temps, les dires, les querelles, les débats, les dialogues et les dissertations entre les divers protagonistes et responsables du pays ont toujours tourné autour de dissociations d’entreprises, de fusions d’entreprises, de privatisations ou non d’entreprises, de passage d’EPIC à SPA….etc. En fait tout tourne autour de l’organisation à remodeler ces entreprises (pour des intérêts précis bien sur). Mais on n’a jamais entendu ces mêmes messieurs plancher sur les technologies à développer, comment les développer, les secteurs stratégiques économiques à mettre en valeur (surtout comment), lancer des productions dans diverses secteurs, mettre des stratégies de formation en place pour accompagner l’évolution technilogiques des secteurs…etc. NON, on ne verra ni entendra jamais cela. ça sera, du PPP, du PaPaPa, du PuPuPu, des réunions pour parler de la pluie et du beau temps, et pendant ce temps, on sous traite tout à l’étranger pour qu’il vienne nous réaliser ce dont on a besoin. Allez y trouver une centrale électrique en Algérie dont le constructeur des machines est algérien. Allez y trouver dans le sud un équipement principal pour le forage de puits et extraction de pétrole et de gaz techniquement Algérien, allez y trouver dans les raffineries de pétrole de sonatrach, des chaudières, des chambres de combustions algériennes…et j’en passe. Peut être en existe t’il dans certain secteurs, mais ça reste au stade de balbutiements du moment que l’on exporte rien de ce genre. Alors PPP et le reste c’est du baratin que l’on connait depuis cinquante ans maintenant.

    صالح/ الجزائر
    4 janvier 2018 - 8 h 18 min

    si la majorités des entreprises publique ( stratégiques ) étaient présentes avant la naissance du responsable du FCE , et avant que le patron , de ce qu’il reste encore de l’UGTA , prenne du service chez ses employeurs et protecteurs , pour pratiquer à grande échelle du populisme et couvrir l’hypocrisie des uns et des autres ( ou la mafia politico financière ) dont il fait partie , qu’il sens des intérêts économiques peut apporter le FCE au pays ? .
    les travailleurs , et tous les Algeriens , ne croient pas à l’hypocrisie de : «Nous n’avons jamais eu l’intention céder au privé les entreprises publiques … le partenariat entre le secteur public et privé est devenu plus qu’une nécessité» , car le plus grand hypocrite a sacrifié leur cotisation au profit de la banque Khalifa , et qu’ il n’pas dit , au nom de ces meme travailleurs NON , à la proposition de privatisation de plus de 1200 entreprises durant le premier ( ou le deuxième ) mandat .
    le privé qui ne peut pas ( ou ne voudrait pas ) creer des PME et PMI n’apporteriait rien de plus au secteur publique sauf l’annexion au dinar symbolique de ce dernier .

    Anonyme
    3 janvier 2018 - 23 h 46 min

    Ils ne posent pas la question pourquoi ce ppp? Pourquoi l’entreprise publique aurait besoin du prive?? Une entreprise comme eniem ou bcr,enie,saidal….ont entre 40-50 ans d’expérience,de quoi ont elles besoin?? Le management?? C vous qui nommez c managers M Ouyahia; sur quelle base les nommez vous?? L’argent?? L’état à plus d’argent et moyens que tous les privés réunis! Il a la planche à billets et la vache à lait sonatrach??? Alors pourquoi ce ppp???pour enrichir encore les copins des coquins souteneurs des larbins sans honneur??

    Fuji Yama
    3 janvier 2018 - 23 h 44 min

    Mr Sidi Saïd, une fois de +, vous êtes hors sujet et hors contexte des réalités du travailleur Algérien. Pendant que nos médecins se font tabasser pour leurs droits socio-
    professionnels,vous faîtes du surplace ,et au mépris de tous les
    les travailleurs Algériens,vous
    continuez à philosopher avec vôtre
    PPP. Et les revendications de ces médecins, qui devrait en prendre acte?
    Win hak el3oumel wa les retraités?
    Enta raged wa t’manger wa t’felsef,
    wa hak el 3oumel, Allah yerham!
    Wa Allah haram aleikoum!

    Anonyme
    3 janvier 2018 - 23 h 40 min

    Sidi le said s’ est apparemment transformé en sauveur des raffineries françaises en panne. Il a voulu acheter une carcasse d’une raffinerie pour la stocker dans le garage Algérie.
    Sidi le Said est le syndicat des travailleurs français

    https://www.youtube.com/watch?v=IwzVmi9zABY.

    Anonyme
    3 janvier 2018 - 20 h 57 min

    Sidi-Said est en train de négocier l’achat d’une raffinerie française en état délabré.

    https://www.youtube.com/watch?v=IwzVmi9zABY

      Anonyme
      3 janvier 2018 - 23 h 35 min

      AP,
      Serait-il possible de nous informer sur cette raffinerie française que Sidi-Said, le syndicat des baznassa, voulait nous importer , sachant que cette raffinerie est non-fonctionnelle.

    Hoicne-Nasser BOUABSA
    3 janvier 2018 - 20 h 03 min

    L’HYPOCRISIE DU TRIO INFERNAL !

    OUYAHIA et son ami BOUCHOUAREB sont les artisans et les symboles de la politique néo-libérale, par laquelle on veut éliminer par petite dose, la compétence économique de l’état algérien. Derrière eux il y a des réseaux très puissants qui se sont incrustés dans les rouages de l’état. Ce qui a permis à ces réseaux mafieux de dérober plus de 300 milliards $ des caisses publiques. Ces réseaux représentent un état parallèle. Ils sont devenus tellement puissants, qu’ils peuvent faire démissionner un premier ministre (TEBBOUNE).

    Maintenant que les traces de leurs crimes économiques semblent effacées à jamais, leur objectif actuel est d’injecter une petite partie de leur argent dans le circuit économique (sachant que la grande partie du financement de leur programme maléfique devrait d’après eux être générée directement ou indirectement par la planche à billet, qu’OUYAHIA avait dans son cartable avant qu’il ne soit désigné Premier Ministre). Nous assistons donc à un autre hold-up de grande envergure au détriment du peuple algérien, qu’on essaye de nous vendre sous l’étiquette PPP.

    Le Contrat PPP (Partenariat Public Privé) signé par le trio OUYAHIA-HADDAD-S.SAID n’est donc que la clé d’introduction et représente une nouvelle étape dans le démantèlement du secteur public algérien. OUYAHIA a déjà pratiqué sa politique désastreuse dans les années 1990 lorsqu’il fut Chef de Gouvernement, avec le résultat connu : plus de 300.000 algériens au chômage et le bradage d’une très grande partie du patrimoine public foncier.

    Connaissant l’allergie des Algériens envers la privatisation et sachant qu’il n’a pas les moyens de contenir leur colère actuellement, OUYAHIA tente dès le début de minimiser l’impact de son programme maléfique en argumentant que les entreprises stratégiques comme Sonatrach et Air Algérie ne seront pas touchées par les PPP (Questions à 2 sous : le privé algérien a-t-il l’argent et le know-how pour s’associer avec Sonatrach, Air Algérie, SNTF,… La réponse est évidemment : NON. Donc le sujet ne se pose même pas.)
    Ils restent les petites et moyennes entreprises. Lesquelles ? Il ne le dit pas, bien que la liste est certainement déjà établie – puisque les requins ne dorment pas – elle peut concerner Hadjar , Saidal , Naftal , Cosider , Tassili Airlines, Sonelgaz, Algérie Poste, Algérie Telecom , Mobilis , CNAN , Ferphos , les Minoteries , l’autoroute, les ports, aéroports, etc…

    Sachant qu’OUYAHIA nourrisse des ambitions présidentielles, peut-être qu’il prépare aussi l’ouverture de la porte aux entreprises francaises. L’horizon 2019 c’est déjà demain. Le marchandage autour du palais d’El-Mouradia se fait en partie aussi à Paris, ce n’est donc pas étonnant qu’il est passé un deal avec MACRON dans ce sens. Les discours des derniers mois dégagent une certaine odeur !

    En dehors des démarches et intentions dangereuses qui pourraient se cacher derrière le contrat PPP lancé par la tripartite, il est connu à travers le monde entier que le modèle PPP est une ruine financière pour les contribuables et les consommateurs. Le seul profiteur c’est le privé !!

      Sagesse
      3 janvier 2018 - 21 h 03 min

      <>….
      Vous avez parfaitement raison, car en cas de redressement de l’entreprise déficitaire, c’est l’état seul qui déboursera. En un mot, en cas de gain, on partage, et, en cas, de perte, c’est l’état qui casque, donc le contribuable. Le privé est toujours gagnant…et le privé, c’est eux !

        Anonyme
        3 janvier 2018 - 23 h 26 min

        Effectivement.
        Vous l’avez si bien résumé

      Ali
      4 janvier 2018 - 11 h 49 min

      pour vous sonelgaz Algerie poste hadjar etc sont des moyennes entreprises??? hé ben mon vieux vous ferez mieux d’aller vous ressourcer ou lire la définition de la moyenne entreprise

      Basta
      4 janvier 2018 - 14 h 01 min

      Vous avez tapé dans le mille
      Bravo
      Il est plus que temps que le peuple prenne son destin en main:
      plus de Haddad plus de ouyahia plus de sidhoum plus de bouchouareb et tout ce beau monde qui nous empoisonne la vie

    Massillas
    3 janvier 2018 - 19 h 15 min

    Et ketchini ? Ahvass le regionalisme inek avec ouyahia et haddad…..! Tu es la honte des Kabyles en demandant la privatisation des entreprises publiques pour les donner A QUI ??? Ahaddad et consorts, c’est sûr…… Dhaya kane et soussem kane thoura !!!

    DYHIA
    3 janvier 2018 - 18 h 48 min

    Sidi Said, le syndicat des produits de première nécessité, prend la parole et essaie de nous faire avaler quelques couleuvres.
    Les couleuvres font aussi partie de la recette semoule + l’huile + sucre. Rajouter la viande de la couleuvre renforce le goût du plat.

    Kahina
    3 janvier 2018 - 18 h 42 min

    Sidi Said … n’est pas au courant que nos médecins résidents ont été matraqués.
    Il est occupé par la vente des entreprises publiques.

    karimdz
    3 janvier 2018 - 18 h 39 min

    C est toujours bien de voir les uns et les autres se critiquer, car il y a toujours une part de vérité, et cela réfrène quelque part, les mauvaises intentions.

    lhadi
    3 janvier 2018 - 18 h 15 min

    Il existe plusieurs lectures sur le spectacle honteux donné en haut lieu. La traduction alerte que j’utilise est plus rigoureuse : elle rend parfaitement compte de la vélocité machiavélique du florentin d’Alger.

    N’en déplaise au maitre du spectacle destiné aux enfants ; ce marionnettiste qui fait parler et déplacer des marionnettes tout en racontant des histoires, il ne peut y avoir de développement économique sans développement politique.

    A ce propos, le premier des ministres ne sera pas au service de l’Algérie. Il sera au service du Président de la république. Il va se garder d’agir pour éviter les erreurs et s’interdire les idées pour échapper aux disputes.

    Un exécutif qui veut juste défendre sa position et non conquérir le pays n’avance plus et ne crée plus.

    C’est donc encore des années perdues qui s’annoncent.

    Fraternellement lhadi
    ([email protected])

    elhadj
    3 janvier 2018 - 17 h 54 min

    le responsable inamovible de l UGTA ferait mieux de s occuper des problèmes socio professionnels des travailleurs quant a l amélioration de leur pouvoir d achat et des retraites lamines par l inflation ,les augmentations des charges et des taxes. les motions politiques de soutien au pouvoir ne peuvent ni satisfaire les travailleurs ni améliorer leurs conditions de vie ni apaiser le climat social au demeurant délétère .

    MELLO
    3 janvier 2018 - 17 h 52 min

    Les deux faces d’une même pièce, voila ce que sont l’UGTA et le FLN. Face aux licenciements massifs, aux fermetures d’entreprises, au bradage du secteur public, à la précarisation de l’emploi – y compris dans la fonction publique – et au démantèlement brutal des services de protection sociale, seuls les travailleurs et les syndicats autonomes qui portent véritablement leur combat se retrouvent sans recours. Notre pays, pillé par une corruption structurelle que les campagnes conjoncturelles obéissant à la seule logique des « règlements de comptes » ne menacent nullement, livré à une administration entre les mains d’un pouvoir brutal et n’ayant qu’une vision instrumentale de la Loi, n’en finit pas de payer un prix exorbitant aux dérives criminelles de ses dirigeants.

    Anonyme
    3 janvier 2018 - 17 h 45 min

    cette tripartite n a pas ni les compétences ni la légitimité populaire pour décider de l avenir économique du pays ! ils sont entrain de jouer a la roulette russe avec les perspectives du peuple algérien ! des apprentis sorciers doubles d opportunistes qui mettent l Algérie en danger ! le reste : errih fe chbek

    Sagesse
    3 janvier 2018 - 17 h 07 min

    Ould Abbès, n’êtes-vous pas fatigué de recevoir des gifles de partout ? D’autant plus que vous ne les rendez jamais ! Cessez de vendre une image qui ne vous convient guère et que les Algériens ne vous attribueront jamais, celle d’un homme intègre et patriote ! Tout le monde, en Algérie, sait …dans quel mépris vous êtes tenu aussi bien des cercles du pouvoir que de la rue algérienne. Ayez un sursaut d’orgueil, s’il vous en reste un tant soit peu, et taisez-vous à jamais ! Essayez-vous de nous faire oublier toutes les magouilles et veuleries qui sont les vôtres ? C’est de l’actualité et non de l’histoire ancienne, alors, effacez-vous, vous faites honte à l’Algérie et aux Algériens !

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