Le rebelle de salon Hassan Aribi sort de sa casemate dorée et tire un pétard
Par M. Aït Amara – La taupe de l’ex-FIS au sein du Parlement n’a pu se retenir de répondre à nos articles dans lesquels nous révélons ses viles manœuvres dont il reçoit les directives de ses patrons d’Ankara. Hassan Aribi est sorti de sa casemate dorée pour tirer un pétard mouillé, ratant complètement sa cible. Piètre doctrinaire d’une nébuleuse extrémiste dont les plus nigauds ont pris les armes pour instaurer un califat dans lequel cet escroc politique rêvait d’être vizir, tuant et massacrant pour que le comploteur dégonflé qu’il est se taille un siège permanent à l’APN en surfant sur le sang des victimes des hordes sauvages auxquelles il s’associe par pur machiavélisme.
Actif à plein temps sur les réseaux sociaux où il mène son action subversive contre l’Etat républicain – est-ce normal ? –, ce faux-cul a franchi le Rubicon lorsqu’il a tenté d’instrumentaliser la colère des radiés de l’ANP, en faisant mine de défendre les vaillants soldats qui ont combattu le terrorisme islamiste, alors que sa motivation inavouée est de créer une faille au sein de l’ANP et d’ouvrir ainsi une brèche dans laquelle s’engouffreraient ses acolytes qui guettent son signal, dans la position du tireur embusqué.
Ce résidu du FIS, au lieu de se dissoudre avec ses copains et de disparaître dans le tourbillon de la chasse d’eau tirée, s’est glissé subrepticement dans les arcanes de l’hémicycle qu’il a érigé en blockhaus immunisé pour s’y réfugier entre un guet-apens contre la République et une fusée éclairante qu’il tire dans le ciel pour indiquer l’objectif à ses ordonnateurs turcs.
Le long message visqueux posté par cet antrustion d’Erdogan sur sa page Facebook détruit toutes les preuves qui auraient pu être produites à sa décharge. En plus de se faire l’avocat du FIS dissous par la justice algérienne pour ses menées subversives et ses complots qui visaient à enterrer la démocratie, ce mouchard affiche ouvertement sa vassalité au régime islamiste d’Ankara, transgressant manifestement le devoir de réserve auquel il est tenu en tant que député, ce qui constitue en soi une sérieuse menace pour la sécurité nationale.
Pourquoi l’Etat se tait-il face à ce manquement coupable ?
M. A.-A.
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