Le Medef sera présent à Alger du 6 au 8 février : un conseil d’affaires algéro-français bientôt créé

Gatazz Medef
Pierre Gatazz, président du Medef. D. R.

Un Conseil d’affaires algéro-français sera créé en marge de la visite d’une importante délégation du Mouvement des entreprises de France (Medef), conduite par son président, Pierre Gattaz. La délégation, qui fera le déplacement à Alger du 6 au 8 février, aura a s’entretenir avec les organisations patronales algériennes dont le Forum des chefs d’entreprises.

Ce dernier souligne dans un communiqué que «la création de ce Conseil vise à mobiliser les entreprises des deux pays pour fonder de nouveaux partenariats et de favoriser ainsi la promotion des relations économiques, commerciales et industrielles entre l’Algérie et la France». La visite du Medef sera aussi l’occasion de rencontres économiques importantes dans le cadre d’un Forum d’affaires qui sera organisé autour de thématiques telles que la partenariat public-privé, la sous-traitance, les énergies renouvelables et le numérique.

Il est à rappeler, par ailleurs, qu’une délégation d’hommes d’affaires de la Confédération générale des entreprises algériennes (CGEA), menée par sa présidente, Mme Saida Neghza, également présidente de l’Union méditerranéennes des confédérations d’entreprises Businessmed, a effectué une visite de travail le 2 février à Paris, au siège du mouvement des entreprises de France Medef où elle a rencontré son président, Pierre Gatazz.

Selon un communiqué de la CGEA, les deux parties «se sont entretenues sur les perspectives de renforcement du partenariat multilatéral entre les entreprises algériennes et françaises, ainsi que l’amélioration du dialogue économique méditerranéen au profit de l’investissement et la création de richesses et d’emplois».

Les deux parties se sont entendues, par ailleurs, sur la nécessité d’entreprendre des actions ensemble pour développer des politiques favorisant le développement de l’investissement et la création d’entreprises, l’amélioration des qualifications des travailleurs pour les nouveaux métiers, le développement du secteur privé et de la culture de l’entrepreneuriat, notamment parmi les jeunes et les femmes».

R. E.

Comment (7)

    Anonyme
    5 février 2018 - 20 h 51 min

    Génial cette entente: l’investisseur étranger et/ou non résident (même minoritaire) est protégé par la loi sur l’investissement qui lui offre les recours (avec appui diplomatique) à des arbitrages internationaux (un petit sayf de Damocles) dont la sentence est un atout majeur et de qualité pour l’investisseur national résident au vu de sa qualité juridique incontournable devant le juge national. Malicieux ? non c’est du business. On projette sur l’avenir, les bureaux d’experts juridiques sont là, pas dans un placard.

    Abou Stroff
    5 février 2018 - 15 h 30 min

    «la création de ce Conseil vise à mobiliser les entreprises des deux pays pour fonder de nouveaux partenariats et de favoriser ainsi la promotion des relations économiques, commerciales et industrielles entre l’Algérie et la France» dixit le fce et repris par R. E..
    je pense qu’il y a une grossière erreur de transcription de la part de R. E.. en effet, le vrai communiqué, que j’ai en main, est celui qui suit:
    «la criatiou de ce=i Counseil vise à moubiliser li entriprises di dou pays bour founder di novox bartinariats et de favourisi ainsi la proumoution di rilations iconomiques, coommerciales et indistrielles entre l’Angéré et la France».
    ceci dit, je donnerai cher pour assister au tête à tête que ne manquerait pas d’avoir haddad avec gattaz.

    Anonymous
    5 février 2018 - 14 h 23 min

    « Selon un communiqué de la CGEA, les deux parties «se sont entretenues sur les perspectives de renforcement du partenariat multilatéral entre les entreprises algériennes et françaises, ainsi que l’amélioration du dialogue économique méditerranéen au profit de l’investissement et la création de richesses et d’emplois».
    Les deux parties se sont entendues, par ailleurs, sur la nécessité d’entreprendre des actions ensemble pour développer des politiques favorisant le développement de l’investissement et la création d’entreprises, l’amélioration des qualifications des travailleurs pour les nouveaux métiers, le développement du secteur privé et de la culture de l’entrepreneuriat, notamment parmi les jeunes et les femmes».

    Ne jamais croire ni coopérer avec ces gens-là (medef), ils sont les responsables de la politique aucun recrutement pour les Algériens dans les entreprises privées en France. Des rapaces charognards qui appauvrissent des pays entiers pour faire d’autres des paradis fiscaux. Leur nuisance est terrible et irréversible.

    chana
    5 février 2018 - 10 h 06 min

    Avant de signer tout accord avec des patrons français, regardez ce que certaines boites ont fait en Afrique – exemple Orange au Cameroun – et vous verrez que ce sont des pratiques mafieuses soutenues par l’état français.

    Anonyme
    5 février 2018 - 9 h 14 min

    Il faut absolument soutenir ces rencontres avec le MEDEF et ses dirigents,loin de la politique politicienne.
    il faut creer un organisme de partenariat entre le patronat Algerien et le patronat Francais pour favoriser la promotion des relations economiques et de partenariat win-win.Notre pays dispose des infrastructures necessaires pour devenir la porte indispensables vers les pays Africains dont les marches sont tres prometteurs.Un partenariat entre les entreprises Algeriennes et Francaises pour s imposer sur le marche africain est une opportunite a ne pas negliger.Il faut creer un forum economique identique a celui de DAVOS a Alger ou une autre ville en Algerie pour mieux s introduire dans le monde des affaires et du partenariat.

      008
      5 février 2018 - 9 h 52 min

      Les investisseurs français n’auront pas besoins d’investir dans domaine des brosses avec leur équipe aux multiples mandats.

      Des contrats sinon bonjours les fuites dans Le Canard enchainé, Le Parisien, Le Figaro sur vos biens et proches en France..

    Anonyme
    5 février 2018 - 1 h 26 min

    Dans le cadre des conditions du cinquième mandat..

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