Une mère algérienne se défenestre avec sa fille dans la banlieue parisienne

Pantin Parisien
NPM : Le lieu du drame, à Pantin, dans la banlieue parisienne. D. R.

Le quotidien régional Le Parisien rapporte dans son édition de ce mardi qu’une mère de 27 ans et sa fille de 2 ans sont dans le coma «après une défenestration inexpliquée». Le drame s’est déroulé à Pantin, dans la banlieue parisienne. La femme a chuté d’une hauteur équivalant à huit étages, sur un passant qui est décédé, selon le quotidien français.

La police a ouvert une enquête sur les circonstances de cette défenestration qui a semé l’émoi dans le quartier. L’hypothèse d’un crime a été écartée, toujours d’après Le Parisien, qui a recueilli des témoignages des voisins selon lesquels la victime était logée grâce au concours d’une association qui vient en aide aux réfugiés.

La femme, «native d’Algérie (…) était en situation régulière, reconnue réfugiée» et travaillait dans une grande enseigne de vêtements, selon le responsable de l’association qui était «dans l’incapacité d’expliquer les raisons de ce drame», relève le journal parisien.

L’identité de la victime n’a pas été révélée.

L. S.

Comment (9)

    kenzy
    5 avril 2018 - 9 h 30 min

    Pourquoi tant de pouces rouges à Anonyme 23 h 47 mn? N’es-ce-pas vrai ce qu’il dit?

    Anonyme
    4 avril 2018 - 20 h 53 min

    Allah yarhamha….

    Moh
    4 avril 2018 - 10 h 04 min

    Je ne savais pas que des Algériens pouvaient bénéficier du statut de réfugié pourtant l’Algerie n’est une dictature ni un pays en guerre.

    Anonyme
    4 avril 2018 - 9 h 37 min

    L enquete definiera les motifs de ce drame,attendez avant de lancez des c….

    timour
    4 avril 2018 - 9 h 05 min

    En lisant se tels propos, on se demande qu’est devenu « l’humour algérien »? Il est vrai qu’il s’agit d’une femme…et d’un enfant. On en arrive, ici, à se moquer de la détresse humaine. Quelle mentalité!

      zineb
      4 avril 2018 - 20 h 55 min

      C’est qu’une femme et une petite fille. Pour les algériens, ça compte pas, surtout ceux d’ici. Aucune compassion ni remise en cause. Seule, déracinée, en exil forcé avec un enfant sur les bras, elle a certainement pété les plombs. Le pouce en bas était une erreur, g appuyé sur le mauvais bouton

        Malika
        4 avril 2018 - 23 h 42 min

        Les commentaires ne la visait pas en tant que femme.

        Pauvres femmes Algériennes opprimées par le père, le frère ou le mari ! ce discours plait beaucoup en France.

          zineb
          5 avril 2018 - 5 h 51 min

          Oui on a compris. L’essentiel c’est votre image devant la France et devant les autres. Les drames humains ne comptent pas et la vie des Algériennes ne compte pas. On s’inquiète plutôt du devenir des islamistes violeurs qu’on soutient avec des cagnottes infinies alors que des personnes désespérées sont livrées aux associations étrangères et à elles mêmes

    Anonyme
    3 avril 2018 - 23 h 47 min

    En montant les escaliers elle était française. Mais en tombant, elle redevint algérienne. C’est le lot de tous ceux et de tous celles qui croient au miroir des alouettes

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