Produits agricoles algériens refoulés : le ministère du Commerce explique

Djellab refoulement
Le refoulement est dû au non-traitement des palettes en bois, selon Djellab. New Press

Les causes de refoulement des produits agricoles depuis le Canada et la Russie ne sont pas d’ordre phytosanitaire, a indiqué, lundi, le ministère de l’Agriculture, du Développement rural et de la Pêche dans un communiqué.

«Les cas cités récemment dans la presse concernent des marchandises de dattes et de pommes de terre qui ont été refoulées depuis le Canada et la Russie pour causes qui ne sont pas d’ordre phytosanitaire», a précisé la même source. Le ministère a également affirmé qu’il était chargé d’encadrer les opérations d’exportation des produits agricoles en «veillant à ce qu’ils répondent aux normes phytosanitaires exigées par le pays d’importation».

«Dans ce cadre, nos services phytosanitaires ont simplifié les procédures de contrôle en réalisant des prélèvements des échantillons sur site au niveau des plates-formes d’exportation des wilayas exportatrices afin que la marchandise soit admise directement au niveau de point de sortie (port ou aéroport) où le certificat phytosanitaire d’exportation est établi», note le communiqué. Dans le cas où les produits seraient jugés «non conformes» à l’arrivée, «une notification parvient systématiquement à nos services» dans laquelle le pays importateur évoque un non-respect des normes en vigueur», ajoute la même source.

A ce propos, le ministère a souligné que durant l’année en cours , «les seules notifications parvenues à nos services ont concerné deux opérations d’exportation de pâtes et de boissons gazeuses expédiées vers le Canada qui a décidé leur refoulement pour cause de non-traitement des palettes en bois, conformément à la norme internationale 15 relative au traitement de bois d’emballage et non pour des raisons phytosanitaires».

Par ailleurs, le ministère signale que «tous les produits importés (végétaux et pesticides) font l’objet d’analyses systématiques par les services phytosanitaires aux points d’entrée et, à ce titre, une quantité de 16 tonnes de pesticides a été refoulée à ce jour en 2018 pour non-conformité contre 46 tonnes en 2017». 

Quant au bilan des exportations arrêté au 31 mai 2018, le ministère a fait savoir que pas moins de 15 produits ont été exportés pour un volume de près de 45 000 tonnes contre 34 000 tonnes exportées en 2017. Les dattes demeurent toujours le produit le plus exporté avec un pourcentage de plus de 83%, note le ministère.

Pour rappel, des informations ont été relayées récemment au sujet du refoulement de la marchandise algérienne exportée vers la Russie et le Canada, en l’occurrence pommes de terre, tomates et dattes.

Le ministre du Commerce, Saïd Djellab, a indiqué, dimanche, avoir instruit ses services de collecter toutes les informations nécessaires sur l’affaire du «refoulement de la marchandise algérienne récemment exportée», de collecter les informations nécessaires concernant l’exportateur et de définir les causes du refoulement de la marchandise.

R. E.

Comment (53)

    mouatène
    15 juin 2018 - 15 h 26 min

    dans cette affaire c’est le riche escroc agriculteur de chez nous qui a tenté de duper l’honnete grand agriculteur de laba et ça n’a pas marché. parce que ça ne peut pas marcher. on ne dupe pas tout le monde.

    Anonyme
    13 juin 2018 - 11 h 24 min

    Ce Ministère, il faudrait le rebaptiser Ministère de l’Importation!!!

    kad
    12 juin 2018 - 18 h 27 min

    C’est de véritable onagres qui dirigent certaines institutions chez nous, pourtant les voisins qui eux exportent depuis longtemps sont passés par là. Tous ces voisins là avaient compris que pour exporter il fallait soit s’associer avec un européen soit engager un spécialiste de ces pays qui maitrise tous les arcanes de l’exportation. Qui au demeurant n’est pas une simple affaire de commerce mais bien plus, les nôtres dans leur ignorance des règles et lois appliquées dans les pays importateurs, et surtout leur cupidité d’abord en refusant de recruter des gens ayant l’expertise dans le domaine, pas forcément des « pieds noirs ». Et puis se débarrasser de l’état d’esprit qui consiste à dire on va glisser quelques patates vertes dans le lot, ils n’y verrons que du feu ou bien encore pour soit disant protéger les récoltes on les saupoudre de DDT, ces choses sont proscrite dans le monde entier sauf chez nous. La moindre infraction aux normes du pays importateur se soldera par un retour à l’envoyeur avec perte et fracas. Alors messieurs de grâce ayez l’intelligence primaire de profiter de l’expérience des autres et lâchez un peu de vos gains pour bénéficier de l’expertise de ceux qui savent et surtout ne ridiculisez pas notre pays.

    1commentaire
    12 juin 2018 - 17 h 51 min

    Le profit au detriment de la qualités pas de nia du tout voilà ou sa menne surtout avec le travail de la terre elle pardonne pas surtout à celui qui la respect pas

    BEKADDOUR MOHAMMED
    12 juin 2018 - 17 h 25 min

    Pied-à-terre, Monsieur Le Ministre ! Descendez voir ce qui se cultive et comment, etc. Jadis, Monsieur, a régné la pénurie, au temps où le défunt Tayebi Larbi était à votre poste, les Algériens se soignaient par de l’humour, il y avait cette « histoire » : L’épouse du défiunt Tayebi Larbi fait ses courses et ne voit rien sur les étals, elle s’exclame « Ouachta entayeb !!! ». (Avec quoi vais-je cuisiner !!!), il lui fut répondu « Taybi Larbi »… (Fais cuire Larbi). De nos jours, oui les étals sont riches, mais il semble que ce soit avec du poison : Le poison est-il bon cuit ou cru ? Grâce à Dieu, c’est perfectible, ce débat est important ! Allah yjib el kheyr liljami3

    le Terroir
    12 juin 2018 - 13 h 05 min

    Le ministre de l’agriculture est absent. Il me semble qu’il est concerné en premier lieu, non ? Que se passe-t-il ? C’est l’incompétence ou l’ignorance qui est exploitée par certains pour pousser aux catastrophes et saboter notre agriculture ? Il n’y a qu’à faire appel aux compétences de notre pays et de la communauté algérienne à l’étranger. L’algérien répond toujours à l’appel de son pays. Il y a des milliers de techniciens et d’ingénieurs dans ce domaine. Comme exemple : Il n y a qu’à voir ce qu’il se développe dans la wilaya d’El Bayadh sur le net dans le domaine agricole avec Monsieur Chikhoune. Il dirige actuellement le Conseil d’Affaires algéro-américain. Des mégas projets sont en cours. Certains lobbies de l’import cherchent à saboter ses projets. Avons-nous besoin de ramener des pieds noirs ? Revenons à nos produits, une enquête approfondie devrait être faite ! Le fellah parfois ne connaît pas tous ses produits. Les champs agricoles ne devraient pas être ouverts à tout vent, les élevages aussi, ils devraient être surveillés tout comme le corail sur le littoral. Beaucoup de pays surveillent leurs fermes, les champs agricoles, les réserves de poissons et crustacés etc.…ce ne sont pas des espaces libres pour se promener, loin de là. Merci à AP.

    DRS OU EST TU ???
    12 juin 2018 - 9 h 58 min

    SABOTAGE PURE !!!

      Anonyme
      12 juin 2018 - 16 h 26 min

      Nous ne sommes pas bons dans ce domaine c’est tout. Et les autres sont en droit de nous le faire savoir. Ils ne vous pas s’empoisonner pour nos beaux yeux non plus ….
      D’autant que les gens veulent manger des choses dont on peut retracer la fiabilité. Les essais nucléaires francais dans le Sahara n’ont pas du laissés derrière du sulfate de magnésium… A nous de saisir cette occasion pour transformer cet échec en future succès… en changeant nos pratiques.

    LOUCIF
    12 juin 2018 - 9 h 51 min

    Moi je ne comprends rien à cette sérénade collective ! Puisque le Ministre de l’Agriculture, du Développement rural et de la Pêche nous explique que … » les causes de refoulement des produits agricoles depuis le Canada et la Russie ne sont pas d’ordre phytosanitaire », c’est qu’il connait VRAIMENT les vraies raisons du refoulement !

    Mais alors pourquoi , il ne les donne pas ???? Waach , c’est un secret ou quoi ? A moins que nos agriculteurs aient introduit dans leur plantes des produits à base d’uranium concentré (Yellow Cake) dans l’intention d’empoisonner ou de tuer ??? Là , effectivement, il ne faut pas divulguer le secret car c’est de l’ordre de la haute technologie !!

    DYHIA-DZ
    12 juin 2018 - 8 h 40 min

    L’Algérie gagnera plus en optant pour une agriculture organique

    Il n’ya pas de normes et de lois sur l’utilisation des fertilisants chimiques. Je crois qu’il ya un abus…Situation hors contrôle.

      Anonyme
      12 juin 2018 - 13 h 09 min

      c’est le ministre du commerce que vous avez dans l’ article, pas le ministre de l’agriculture qui se trouve ???

    Aigle
    12 juin 2018 - 7 h 40 min

    Silence nos autorités participent à liquidation en douce d’une population prise en otage,que faire soit mourir d’une famine certaine ou de mourir des produits empoisonné,le destin d’un peuple qui a voulu chassé un occupant malsain,s’est fait remplacer par des hors loi,sans foi,ni loi

    Anonyme
    12 juin 2018 - 4 h 39 min

    Monsieur le ministre qu avez vous a nous dire au sujet de la sardine de la « veille » qui mesure a peine 3 cm et qu on nous vend au marche emballée dans du papier journal.

      israf
      12 juin 2018 - 9 h 34 min

      Les années passent et se ressemblent ! quel gachis ? Ancien gestionnaire dans le secteur public, je me rappelle qu’en 1992 déjà , nous avions expliqué en long et en large au cours d’une réunion qui a eu lieu à la SAFEX comment mettre en place les conditions matérielles indispensables au lancement des exportations de fruits, légumes et poisson.
      Nous avions tout évoqué et donné nos recommandations à l’issue de cette réunion .
      Concernant le poisson dont l’exportation est tolérée par l’UE et les mollusques, j’avais personnellement remué ciel et terre pour que le Ministère de l’Agriculture mette en place en relation avec les universités, un système de surveillance des zones de production pour garantir la qualité des produits, système qui existe dans la plupart des pays méditerranéens, je me rappelle avoir même mis à contribution notre représentation auprès de l’UE pour faire bouger les choses mais en vain , le pire c’est de se rendre compte que « wash yfhem eddab lekronefel » Quand vous menez ce type de combat, vous passez pour un perturbateur hélas
      Mais il n’est jamais trop tard pour bien faire Bon courage pour combattre la bureaucratie infernale

    jokerpic
    12 juin 2018 - 4 h 27 min

    La première chose qui incombe au ministère du commerce est d’instituer au niveau de ces antennes de contrôle de qualité des testes de pesticidité et de toxico facile a travers les laboratoires existants dans toutes les wilayas d’Algérie appartenant a l’état le  » BON a Exporter  » doit être une obligation a tous les exportateurs.

    Les pesticides en quantité tue l’humain par des maladies (cancers) et les abeilles qui équilibrent l’eco-systéme de la reproduction des plantes a base de toute vie.

    Aussi pour que le fruits et légumes d’Algérie soient attractifs a l’export ils doivent en priorité être BIO les marchés européens étant envahie le maroc , vietnam , indonesie , et autres pays spécialistes dans ce genres de business depuis des décennies.

    L’Algérie a l’avantage de la qualité en fertilité de tous ces produits agricoles vu son écho-climat unique au monde 32 millions dH sur 40 mH dans le monde.
    La consommation interne doit être controlé a la production et au marché de gros.

    Seule 2 ou 3 examens suffisent .L’algerie obtiendra alors une réputation interne et externe et se placera dans le marché de l’export des fruits légumes et produits agricole en générale.
    Pour avoir une idée un pays comme l’Espagne exporte dans les 600millions de dollars d’huile la californie des milliars de dollars d’orange « alors que l’orange algérienne  » est de meilleure qualité calorifique.C’est ce label que les productions agricoles doivent obtenir pour acquérir une réputation a l’internationale comme « daglatnour ».Et ceci passe aussi non seulement par le climat clément et des Certificat d’Analyses .

      Anonyme
      13 juin 2018 - 21 h 30 min

      c est du passe on parle de l avenir de l Algérie ! vous êtes en retard d une guerre !

    Anonyme
    12 juin 2018 - 4 h 27 min

    La première chose qui incombe au ministère du commerce est d’instituer au niveau de ces antennes de contrôle de qualité des testes de pesticidité et de toxico facile a travers les laboratoires existants dans toutes les wilayas d’Algérie appartenant a l’état le  » BON a Exporter  » doit être une obligation a tous les exportateurs.

    Les pesticides en quantité tue l’humain par des maladies (cancers) et les abeilles qui équilibrent l’eco-systéme de la reproduction des plantes a base de toute vie.

    Aussi pour que le fruits et légumes d’Algérie soient attractifs a l’export ils doivent en priorité être BIO les marchés européens étant envahie le maroc , vietnam , indonesie , et autres pays spécialistes dans ce genres de business depuis des décennies.

    L’Algérie a l’avantage de la qualité en fertilité de tous ces produits agricoles vu son écho-climat unique au monde 32 millions dH sur 40 mH dans le monde.
    La consommation interne doit être controlé a la production et au marché de gros.

    Seule 2 ou 3 examens suffisent .L’algerie obtiendra alors une réputation interne et externe et se placera dans le marché de l’export des fruits légumes et produits agricole en générale.
    Pour avoir une idée un pays comme l’Espagne exporte dans les 600millions de dollars d’huile la californie des milliars de dollars d’orange « alors que l’orange algérienne  » est de meilleure qualité calorifique.C’est ce label que les productions agricoles doivent obtenir pour acquérir une réputation a l’internationale comme « daglatnour ».Et ceci passe aussi non seulement par le climat clément et des Certificat d’Analyses .

    Anti khafafich
    12 juin 2018 - 2 h 51 min

    Il n y a rien a rien à expliquer, ces pays ont refoulé vos produits car non valides et point barre. Ton bla bla ne sert à rien à part cacher votre incompétence . Apprenez à admettre vos fautes, démissionnez etc et cessez de mentir et blablater y en a marre de votre incompétence.

    hamza
    12 juin 2018 - 0 h 53 min

    L’exportateur doit respecter rigoureusement le cahier de charge de l’importateur faute de quoi la marchandise fera l’objet .L’application stricte des normes d export evitera certainnememt les mauvaises surprises.

    Nasser
    12 juin 2018 - 0 h 43 min

    Curieuse réponse! D’un côté il explique les causes et à la fin , il dit avoir « instruit ses services de collecter toutes les informations nécessaires sur l’affaire du «refoulement de la marchandise algérienne récemment exportée», de collecter les informations nécessaires concernant l’exportateur et de définir les causes du refoulement de la marchandise………

    Anonyme
    12 juin 2018 - 0 h 42 min

    Et el-guernina ? Vous y avez pensé ou pas encore ? Faut le dire à Ouyahia qui semble atrocement manquer d’idées ! Jamais les pieds noirs ne lui parleront d’exporter el-guernina et ses produits dérivées ! Il ne la connaissent même pas !

    salim
    12 juin 2018 - 0 h 21 min

    « Saïd Djellab, a indiqué, dimanche, avoir instruit ses services de collecter toutes les informations nécessaires sur l’affaire du «refoulement de la marchandise algérienne récemment exportée», de collecter les informations nécessaires concernant l’exportateur et de définir les causes du refoulement de la marchandise » » contradiction avec le début de l’article où le ministre affirme que ce n’est pas à cause d’anomalies phytosanitaires que la marchandise a été refoulée?? alors dites nous quelle est cette cause? il oublies ou feint d’oublier qu’avec le net on peut tout savoir rien ne se cache mr le wazir

    BEKADDOUR MOHAMMED
    12 juin 2018 - 0 h 19 min

    La révolution agraire du temps de Houari Boumédiène, fut prématurée parce que ciblant alors un monde illettré, mais notre pays a depuis formé des milliers d’ingénieurs et de techniciens, c’est à eux que devrait maintenant revenir l’agriculture algérienne, et logiquement ils nous affranchiront de la dépendance aux énergies fossiles, et pour la consommation interne comme pour l’exportation, l’agriculture aura des gens qualifiés…

    Ali8
    12 juin 2018 - 0 h 00 min

    Sa doit être une main étrangère jalouse de la réussite de nos agriculteurs poisonneurs de l’humanité,sinon je ne vois pas d’autres raisons,a part la corruption n’a fonctionnée avec des responsables intègre et loyaux envers leurs nations

    Anonyme
    11 juin 2018 - 23 h 51 min

    Le ministre n’est pas clair dans sa réponse, le doute plane sur cette déclaration, je crois avoir compris que ces exportateurs ont eu le feu vert et chacun s’est derouillé a expédier le plus s ans tenir compte d’aucune aublgation. Il parle de palettes, la prochaine c’est le plastique,ensuite c’est l’air dans le centenaire et j’en passe. De toute manière, c’est un très, très, très mauvais point pour un début de notre agriculture et la responsabilité du ministère est entière a 100%.

    Mohamed
    11 juin 2018 - 23 h 39 min

    Salam aleikoum,

    Tout s’explique maintenant, le taux des maladies cardio-vasculaires, les AVC à tout âges, et les différents type de cancers qui sont en nettes croissances chez la population algérienne de tout âge et de n’importe quelle classe socio-économique, maintenant l’acte manger, se nourrir, déjeuner, diner chez soi, croyant être à l’abri est devenu un facteur d’attraper des maladies mortelles.
    notre acte le plus élémentaire et basique, se nourrir car même devenant végétarien, nous ne sommes plus à l’abri.
    Saha ftourkoum

    Mkideche
    11 juin 2018 - 23 h 37 min

    J’espère que Monsieur le ministre comprend qu’il ne pourra jamais yboukel , sorry , convaincre les organismes sous traitants auprès des ministères en europe ou canada pour la bonne santé de leurs citoyens!!! Je vous conseille vivement M. le Ministre, avant d’occuper un poste pareil, d’aller en occident pour travailler en respectant leurs normes rigoureuses, vous aller remarquer que vous serez toujours en manque de sommeil tellement le travail est bien sacré. Bonne continuation M. le ministre.

    Watani Watani
    11 juin 2018 - 23 h 20 min

    Salam Lkhawa, juste une question à M. le Ministre: Ne sentez vous pas jaloux des autorités occidentales qui veillent au bien de leurs populations? Par réaction, est-ce que vous allez lever un peu la barre d’exigence de qualité pour vos consommateurs du bled? Merci.

    le Terroir
    11 juin 2018 - 23 h 18 min

    Ou est le ministre de l’ agriculture?

    BISKRA
    11 juin 2018 - 23 h 14 min

    Il est probable que le ministère effectue des prélèvements mais les exportateurs mélange des marchandises de deux récoltes différentes.
    Je m’explique exemple pour les dattes. comme mon pseudo l’explique je suis né avec les dattes dans la bouche, de la Deglette noor au mechdegla passant tantboutch venant du sud algérien. C’est dernière c’est du chocolat algérien
    Je constate que lorsque je voyage en Europe, les boites contenant des dattes en brochette ne contiennent pas la même récoltes. La couche supérieur c’est des dattes de l’année en cours ( récolte du mois de novembre) et ceux des couches inférieures des dattes de l’années precedentes ou des dattes nettoyer du sable venant de Ourgla, Ghardaïa, etc…
    d’autre part, les vrai dattes de deglettes noor ont des caractéristique bien défini et un calibrage plus belle et grosse( A ne pas confondre avec les dattes de la Tunisie, d’Irak ou de la Jordanie).
    Il faudrait que les ministères créent des plates formes pour de recueille des dénonciateur des escrocs qui nuisent à l’image de l’Algérie et les honnêtes agriculteurs, industriels et exportateurs.

    ANTI CORRUPTION
    11 juin 2018 - 23 h 11 min

    C’est encore un complot OURDI par la main (droite ou gauche??) invisible de l’étranger , du néocolonialisme, le sionisme , l’impérialisme et surtout les Illuminati jaloux des gigantesques acquis de l’Agriculture algérienne.

    Algerien06
    11 juin 2018 - 22 h 22 min

    Faut vous Faire aider pour une communication cohérente
    Un specialiste de la communication a fait ici un exposé
    Beaucoup de Compétence en Algerie
    Mais Personne Ne Consulte Personne

    Exxon-si-Kaddour
    11 juin 2018 - 22 h 21 min

    Cause toujours tu m’intéresse comme d’habitude s’est jamais de notre faute,c’est toujours faute à la main étrangère,dite nous monsieur le ministre,pourquoi la population Algérienne à majorité souffre des maladies graves

    PREDATOR
    11 juin 2018 - 22 h 05 min

    ET QUE DIRE DU POISON PÉRIMÉ QUE VOUS NOUS FAITES INGURGITER A CHAQUE JOUR QUE DIEU FASSE
    DES MARCHANDISES ÉTALÉS LE LONG DES TROTTOIRS EN PLEIN SOLEIL, MÊME LE PAIN EST ÉTALÉ SUR LES TROTTOIRS

      Anonyme
      13 juin 2018 - 21 h 33 min

      pardon ;vous oubliez le lait en sachets étalé sur le trottoir !

    Algerien
    11 juin 2018 - 22 h 02 min

    Informations a Verifier
    Si c’est reél c’est grave

    Alors que le pays comptait sur l’agriculture pour diversifier les ressources en devises en cette période de crise, des tonnes de dattes, de pommes de terre et autres produits agricoles algériens sont interdits de commercialisation en France, au Canada, en Russie et au Qatar. Motif : la non-conformité avec les normes exigées et surdosage en produits chimiques pour les pommes de terre, tandis que les dattes sont infestées de vers. Selon Ali Bey Nasri, les producteurs algériens font preuve d’excès dans l’utilisation de cinq types d’engrais et de pesticides interdits à l’étranger. De ce fait, les produits algériens se trouvent privés d’accès aux marchés européens, nord-américains et même moyen-orientaux. Affirmant que l’Algérie n’a exporté, durant les quatre premiers mois de l’année 2018, que l’équivalent de 20 millions d’Euros, Ali Bye Nasri invite le ministère de l’Agriculture à solliciter les milliers d’ingénieurs agronomes que compte le pays afin d’aider les agriculteurs à produire des fruits et légumes conformes aux standards internationaux. Selon la même source, la France a décidé d’incinérer des tonnes de pommes de terre algériennes jugée impropre à la consommation. La Russie, quant à elle, a renvoyé la marchandise à l’expéditeur en raison d’une forte concentration de pesticides. Le Canada, quant à lui, a refoulé une cargaison de dattes infestées de vers.

      salim
      12 juin 2018 - 0 h 24 min

      on s’en fout de l’exportation ce qui nous préoccupe c’est la santé de nos enfants et vous vous nous parlez d’être conforme aux normes pour exporter quelques tonnes de produits agricoles?!

    Rayah
    11 juin 2018 - 21 h 43 min

    Je ne suis pas du tout convaincu , le ministre parle pour ne rien dire.

    DAHMANUS
    11 juin 2018 - 21 h 39 min

    Dans un pays qui se respecte, ce ministre doit deposer sa demission..mais en algerie jamais un responsable (ministre) n’a eu a deposer sa demission, c’est interdit en algerie, ici en demis de ses fonctions mais jamis de demission.
    je crois fort que c’est du baratin un docteur est plus credible qu’un ministre ok

    IamFreezingHere
    11 juin 2018 - 21 h 29 min

    Bof, a l’ère d’internet pas besoin d’attendre les explications boiteuses du ministre.
    C’est une information publique a laquelle tout le monde a accès, et qui dit en substance:

    « Rappel de Dattes deglet nour d’algérie conditionnées de marque Sud Dattes en raison de la présence d’insectes »

    (…)

    ALgerien
    11 juin 2018 - 20 h 21 min

    Perso Je Fais beaucoup plus confiance a un Docteur
    Qu’a un Ministre

      yen
      11 juin 2018 - 21 h 57 min

      Vous savez, pour vérifier les dires de ce ministre
      il suffit de faire une demande de l’accès à l’information
      aux services canadiens pour avoir le coeur net.

      Cette affaire de palettes ne me convainc pas

    L'inspecteur
    11 juin 2018 - 20 h 16 min

    Les exportateurs c’est vos protégés c’est normal que vous les couvrez pour qu’ils continuent à nous empoisonner.

    Algerien06
    11 juin 2018 - 20 h 15 min

    Faut vous Metrre d’Accord
    Le Professeur Bouzid Parlent de Taux Anormalement Elevé de taux de Pesticide
    voir Article sur le Net

    Larbi
    11 juin 2018 - 19 h 56 min

    Ce $inistre clame que la cause du refoulement n’est pas d’ordre phytosanitaire.
    Mais on ne sait toujours pas alors pourquoi les produits ont été refoulés!!!
    Cela fait déjà un moment qu’il promet une soi-disant enquête et là,il nous promet encore une enquête….
    Bref,il ne sait rien,quoi…
    Cette affaire est sérieuse car elle sape les efforts des pesonnes sérieuses qui exportent,alors que la Russie peut être le débouché le plus important pour nos exportations agricoles (embargo Russe sur les produits agricoles européens,Turquie partenaire politique non fiable,etc…C’est le moment,deja tardif,de se positionner)

    Anonyme
    11 juin 2018 - 19 h 51 min

    Rien à expliquer vous fourguez la m….aux algériens lobotomisés par la religion et vous avez cru que les autres aussi l’étaient mais ces derniers sont cartésiens et veillent à la santé de leurs populations.

    Kahina-DZ
    11 juin 2018 - 19 h 46 min

    Il faut que les produits soient conformes aux NORMES ALIMENTAIRES .
    Faites les analyses physico-chimiques, organoleptiques et microbiologiques avant la vente.
    Chaque produit que vous vendez doit avoir une fiche technique qui le décrit:
    1. La valeur nutritive
    2. Conditions de conservation ( température, à l’Abri de la lumière, ..etc)
    3. Date d’expiration

    BLA.BLA
    11 juin 2018 - 19 h 40 min

    on continue a être la rizé.pas de bla bla.a cause des palettes la tu me vexe mon cher ministre .ya un soucis avec notre agriculture pour l export.les regles phytosanitaires.le calibage .le conditionnement…c est un metier.nous somme encore dans le bricollage. ya bladi ou tu vas.

    Algerien
    11 juin 2018 - 19 h 36 min

    Concernant Les dattes
    C’est un produit qui ne demande pas une grande transformation
    Vous trouvez le Moyen de vous faire refouler des dattes ?
    Mauvais tri
    C’est sur des petits détails tout simple que vous perdez en Crédibilité

    MALIK
    11 juin 2018 - 19 h 35 min

    Cher Monsieur le ministre, merci de nous rassurer car les pommes de terre rejetées par la Russie nous sont à présent, vendues et on a peur de consommer ce légume que tout le monde aime ! s’il vous plaît rassurez le peuple. il paraît qu’au Sud, des agriculteurs (analphabètes) versent des tonnes de pesticides sur tous les légumes, que nous consommons alors, en vous faisant confiance ! merci, respects.

      Anonyme
      11 juin 2018 - 21 h 42 min

      « il paraît qu’au Sud, des agriculteurs (analphabètes) » Comme si les agriculteurs du nord étaient des lettrés et se conformaient aux normes alimentaires européens. Ga3e kif kif ki etelli qui sahraoui tous ont été esquintés par un système politique moribond.

    Hibeche
    11 juin 2018 - 19 h 34 min

    C’est ce qu’on appelle une réponse alambiquée.

    Algerien06
    11 juin 2018 - 19 h 30 min

    Vous repondez pas a la question du retour des pommes de terrre ?
    Vous parlez d’une histoire de Palette ?
    Mieux dire la vérité ca va se savoir
    Je Vais regarder les sites Russe pour voir ce qu’il disent
    Deja difficile a exporter alors faut etre serieux

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